Atlas des oiseaux nicheurs de Bourgogne -...

Atlas des oiseaux nicheurs de Bourgogne

Bilan 2010

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Atlas des oiseaux nicheurs de Bourgogne

Bilan 2010 Coordination et rédaction : Brigitte GRAND (EPOB) ‐ Anne‐Laure BROCHET (EPOB) Relecture : Hugues BAUDVIN (La Choue) ‐ François BOUZENDORF (LPO Yonne) ‐ Véronique VOISIN (AOMSL) Image de couverture : Brigitte GRAND (EPOB)

Atlas des oiseaux nicheurs de Bourgogne – Bilan 2010

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SOMMAIRE

RÉSUMÉ & MOTS‐CLÉS .................................................................................................................... 4

REMERCIEMENTS ............................................................................................................................ 4

INTRODUCTION ............................................................................................................................... 5

1. MÉTHODOLOGIE .................................................................................................................... 5

1.1. Informations à collecter/transmettre ............................................................................... 5

1.1.1. Informations demandées au niveau national ............................................................... 5

1.1.2. Informations complémentaires pour la Bourgogne ...................................................... 6

1.2. Critères de nidification ..................................................................................................... 6

1.3. Évaluation des populations à la maille par classe d’abondance .......................................... 7

1.3.1. Estimations semi‐quantitatives ......................................................................................... 7

1.3.2. Evaluations quantitatives ................................................................................................. 7

1.4. Durée et répartition des efforts de prospection par maille ................................................ 7

2. RÉSULTATS ............................................................................................................................ 8

2.1. Synthèse régionale ................................................................................................................. 8

2.2. Exemples cartographiques pour quelques espèces ............................................................... 8

CONCLUSION ................................................................................................................................. 12

BIBLIOGRAPHIE ............................................................................................................................. 12


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LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1 : Critères retenus pour l’évaluation du statut de reproduction (Codes EBCC) ........................................ 6

Tableau 2 : Classes d’abondance pour l’évaluation semi‐quantitative des populations d’oiseaux nicheurs .......... 7

Tableau 3 : Classes d’évaluation du niveau de prospection par maille utilisé dans le cadre de l’atlas des oiseaux

nicheurs en Bourgogne............................................................................................................................................ 8

LISTE DES FIGURES

Figure 1 : Nombre d’espèces nicheuses recensée par maille en Bourgogne (en vert : nb < 10 espèces ; en jaune :

nb < 60 espèces ; en rouge : nb ≥ 60 espèces) en février 2011 ............................................................................... 9

Figure 2 : Compilation à la manière d’un atlas des données de nidification de 2009 à 2010 pour (a) le Blongios

nain, (b) le Busard Saint Martin, (c) la Buse variable, (d) la Chevêche d’Athéna, (e) le Cygne tuberculé, (f) la

Fauvette grisette, (g) la Huppe fasciée, (h) la Mésange charbonnière, (i) la Pie‐grièche à tête rousse et (j) la

Sterne pierregarin, ................................................................................................................................................ 12


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RÉSUMÉ & MOTS‐CLÉS

Résumé : La dynamique engendrée autour de notre association fédérative ne pouvait pas se

poursuivre sans la réalisation d’un atlas régional qui manque actuellement en Bourgogne. Le

lancement en 2009 d’un Atlas des Oiseaux Nicheurs de France Métropolitaine est l’occasion pour

l’EPOB, non seulement de participer à un travail d’envergure nationale, mais également de publier un

atlas à l’échelle de la Bourgogne, selon une méthodologie reconnue aux niveaux national et

européen. Un peu plus de 250 mailles ont été prospectées depuis le début de ce projet permettant

d’établir les premières cartes. Ce travail sera complété par une troisième et une quatrième année de

terrain en 2011 et 2012, et sera suivi par la rédaction d’un atlas en 2012 et 2013.

Mots‐clés : Atlas / Oiseaux nicheurs / Indice de reproduction / Bourgogne

REMERCIEMENTS

Nous remercions l’ensemble des bénévoles et salariés des associations naturalistes de la région qui

s’investissent dans ce programme. Ce projet fédérateur repose sur l’enthousiasme de ce réseau de

personnes qui consacrent collectivement des milliers d’heures à réunir des indications sur les oiseaux

qui nichent en Bourgogne. Sans leur contribution, réaliser un projet d’une telle envergure serait tout

simplement impossible. Nous remercions plus particulièrement les personnes qui se sont investis

dans le comité de pilotage de cet atlas : Joseph ABEL, Hugues BAUDVIN, David BEAUDOIN, François

BOUZEDORF, Claude CHAPALAIN, Cécile DETROIT, Loïc GASSER, Hervé JACOB, Christian LANAUD,

Christian MAYADE, Sébastien MERLE, Johann PITOIS, Daniel SIRUGUE, Véronique VOISIN.

Ce programme bénéficie du financement du Conseil Régional de Bourgogne, de la Direction

Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Bourgogne, et de l’Europe

avec les fonds FEDER. Nous tenons à les remercier pour leur soutien dans ce projet.


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INTRODUCTION

Les atlas ornithologiques sont la photographie à une période donnée de la répartition et du statut

des espèces d’oiseaux présentes sur un territoire. Ils montrent à travers un ensemble de cartes, la

distribution des espèces selon leur phénologie (reproduction, hivernage, migration) à l’échelle d’une

ville, d’une région, d’un pays ou d’un continent. En 2009, un nouvel Atlas des Oiseaux Nicheurs de

France Métropolitaine (AONFM) a été lancé conjointement par la Ligue pour la Protection des

Oiseaux (LPO) et la Société d’Etudes Ornithologiques de France (SEOF), avec la collaboration

scientifique du Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN). L’AONFM est l’occasion pour l’EPOB,

non seulement de participer à un travail d’envergure nationale, mais également de publier un atlas à

l’échelle de la Bourgogne, selon une méthodologie reconnue aux niveaux national et européen. Ce

projet national fait suite aux deux atlas précédents réalisés en 1976 et en 1985‐1989. Il vise à fournir

une évaluation régulière de la répartition, de l’abondance relative et du statut des oiseaux nicheurs

de France Métropolitaine au cours de la période d’inventaire comprise entre 2009 et 2011.

L’EPOB est le coordinateur régional de l’AONFM pour la Bourgogne. Dans ce cadre, la

fédération assure le bon déroulement du projet national à l’échelle régionale : animation du réseau

des coordinateurs départementaux, élaboration d’un plan et d’un échéancier de prospection. Un

comité de pilotage de l'Atlas des oiseaux nicheurs en Bourgogne (AONIBou) a notamment été créé,

pour faciliter l'organisation et la réalisation de l'enquête. Il réunit les différents acteurs associatifs

bourguignons investis dans la réalisation de l'atlas national et régional : l'EPOB (AOMSL, La Choue,

LPO Côte‐d'Or, LPO Yonne, la SHNA) et la SOBA Nature Nièvre.

Ce premier bilan depuis le début de ce projet en 2009 décrit la méthodologie utilisée et

présente les premiers résultats régionaux.

1. MÉTHODOLOGIE

Le protocole retenu pour l’atlas des oiseaux nicheurs de Bourgogne est le même que celui utilisé

pour l’atlas national (ISSA 2009). L’objectif de cet atlas régional est de définir et de cartographier

toutes les espèces d’oiseaux sauvages nichant spontanément en Bourgogne. Les principales

caractéristiques de ce protocole sont décrites ci‐après.

Le calendrier prévisionnel de l’AONFM est le suivant (et l’EPOB se tiendra sensiblement au même) :

‐ Années 2009 à 2011 : collecte, saisie et contrôle des données

‐ Année 2012 : prospections complémentaires, vérification, analyse et rédaction

‐ Année 2013 : édition et publication

1.1. Informations à collecter/transmettre

1.1.1. Informations demandées au niveau national

Les prospections sur le terrain s’appuient sur le découpage de la France en projection Lambert 93

avec un maillage de 10x10 km, représentant au total 5879 mailles pour l’ensemble du territoire


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national métropolitain et 315 mailles pour la Bourgogne. Il s’agit de la présence/absence d’une

espèce par maille avec attribution d’un statut de reproduction obligatoire. Pour être valide, cette

information basique doit au minimum comprendre :

‐ Un nom d’espèce,

‐ Un code de maille,

‐ Un code de statut de reproduction (cf partie 1.2),

‐ Une année,

‐ L’identification de l’observateur ou du coordinateur qui importe la donnée.

1.1.2. Informations complémentaires pour la Bourgogne

Afin de pouvoir alimenter les bases de données de l’EPOB et des associations ornithologiques

départementales, chaque observation doit également faire mention de la commune et du lieu‐dit.

1.2. Critères de nidification

L’un des objectifs des prospections sur le terrain est d’obtenir le meilleur indice de nidification

possible pour le plus grand nombre d’espèces dans chaque maille. Il existe trois niveaux d’indice de

reproduction (possible, probable, certain) selon les critères présentés dans le Tableau 1 et

correspondant à ceux retenus par l’EBCC (European Bird census council) pour l’Atlas des oiseaux

nicheurs européens (HAGEMEIJER & BLAIR 1997).

Tableau 1 : Critères retenus pour l’évaluation du statut de reproduction (Codes EBCC)

Statut de reproduction Critères

Possible 01 – espèce observée durant la saison de reproduction dans un habitat favorable

02 – mâle chanteur (ou cris de nidification) en période de reproduction

Probable 03 – couple observé dans un habitat favorable durant la saison de reproduction

04 – territoire permanent présumé en fonction de l’observation de comportements

territoriaux ou de l’observation à 8 jours d’intervalle au moins d’un individu au

même endroit

05 – parades nuptiales

06 – fréquentation d’un site de nid potentiel

07 – signes ou cris d’inquiétude d’un adulte

08 – présence de plaque incubatrice

09 – construction d’un nid, creusement d’une cavité

Certaine 10 – adulte feignant une blessure ou cherchant à détourner l’attention

11 – nid utilisé récemment ou coquille vide (œuf pondu pendant l’enquête)

12 – jeunes fraîchement envolés (espèces nidicoles) ou poussins (espèces nidifuges)

13 – adulte entrant ou quittant un site de nid laissant supposer un nid occupé

(incluant les nids situés trop haut ou les cavités et nichoirs, le contenu du nid

n’ayant pas pu être examiné) ou adulte en train de couver

14 – adulte transportant des sacs fécaux ou de la nourriture pour les jeunes

15 – nid avec œuf(s)

16 – nid avec jeune(s) (vu ou entendu)


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1.3. Évaluation des populations à la maille par classe d’abondance

1.3.1. Estimations semi‐quantitatives

A la différence des atlas précédents, le nouvel AONFM prend en compte l’évaluation semi‐

quantitative, c’est‐à‐dire l’évaluation dans chaque maille de l’abondance de toutes les espèces par

classe (Tableau 2). Ces estimations permettent d’obtenir des informations d’un grand intérêt à

l’échelle d’une région ou d’un pays : premiers signes de colonisation ou de régression, visualisation

de l’effritement des effectifs en limites d’aire, obtention de « fourchettes » d’effectifs nationaux

moins fantaisistes pour les espèces communes, etc. La détermination de la classe d’abondance pour

chaque espèce d’une maille est basée sur une connaissance précise de l’effectif nicheur présent

(enquête espèce, suivi spécifique) ou, en l’absence de ces connaissances, sur des estimations par le

responsable de la maille, à partir d’extrapolations des données collectées sur le terrain rapporté à la

superficie de l’habitat propice. Ces classes d’abondance sont utilisées dans la plupart des atlas

nationaux modernes (Espagne, Belgique, Suisse, etc.).

Tableau 2 : Classes d’abondance pour l’évaluation semi‐quantitative des populations d’oiseaux nicheurs

Classe d’abondance Estimation Caractéristique générale des espèces concernées

I 1‐9 couples Espèces à grand territoire (rapaces), très peu abondantes (milieu

favorable très réduit par exemple) ou rares dans la région

concernée (espèces en limite d’aire par exemple).

II 10‐99 couples Espèces abondantes mais pas très largement abondantes du fait de

leur écologie (occupation de territoires étendus) ou de la surface

d’habitat disponible dans la maille inventoriée, ne permettant pas

l’accueil de fortes densités sur le carré.

III 100‐999 couples Certaines colonies d’espèces coloniales (corvidés par exemple) et

espèces communes, présentes en très fortes densités, dont le

territoire est restreint et l’habitat très fortement représenté au sein

de la maille inventoriée.

IV > 1 000 couples Espèces grégaires implantées sur de grandes colonies comme

certains oiseaux marins, des ardéidés, des laro‐limicoles…

1.3.2. Evaluations quantitatives

Des efforts particuliers sont également souhaités pour recueillir des données exhaustives sur la

présence d’espèces d’oiseaux patrimoniales, rares (dont la population française est inférieure à 2000

couples en fourchette basse) ou coloniales. Des données localisées (ou géo‐référencées) et

quantifiées sont demandées aux contributeurs pour ce lot d’espèces (listes détaillées de ces espèces

sur le site de l’AONFM : http://www.atlas‐ornitho.fr)

1.4. Durée et répartition des efforts de prospection par maille

La comptabilisation du nombre total d’heures/homme consacré à l’inventaire ornithologique de

chaque maille permet d’évaluer le niveau de prospection. Un total de 60 heures/homme par maille

est recommandé et estimé nécessaire pour obtenir une couverture géographique et des évaluations

semi‐quantitatives représentatives. L’évaluation du niveau de prospection est déterminée par 4

classes catégorisant le temps passé sur chacune des mailles (Tableau 3).


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Tableau 3 : Classes d’évaluation du niveau de prospection par maille utilisé dans le cadre de l’atlas des oiseaux

nicheurs en Bourgogne

Classes Total nb d’heures/personne Evaluation

A <20 Insuffisante

B 20 < <40 Correcte

C 40< <60 Correcte

D >60 Très satisfaisante

Afin d’identifier les mailles pour lesquelles la prospection mérite d’être complétée, il faut se référer

au nombre d’espèces répertoriées et le nombre d’heures qui leur a été consacré. Le nombre

d’espèces se reproduisant dans une maille variera selon la richesse et l’étendue des habitats

présents. En général, la plupart des mailles abritent au moins 70‐80 espèces nicheuses, jusqu’à 100‐

120 pour celles les plus riches.

Les efforts de prospection sont répartis, par maille, selon les habitats, les saisons et les espèces

diurnes et nocturnes.

2. RÉSULTATS

2.1. Synthèse régionale

Au total, 282 mailles ont été prospectées en Bourgogne en 2009 et 2010 et 172 espèces nicheuses

recensées. La Figure 1 présente le nombre d’espèces par maille dans la base de données régionale

EPOB à ce jour (février 2011). Cette carte est incomplète par rapport aux prospections qui ont été

réellement effectuées durant ces deux années (données non informatisées ou non transmises au

moment de la rédaction de ce rapport). Au cours des années à venir, l’ensemble des données seront

centralisées par l’EPOB pour transmission à la coordination nationale et pour la rédaction de l’atlas

final.

2.2. Exemples cartographiques pour quelques espèces

La Figure 2 présente les cartes pour dix espèces, donnant ainsi un aperçu des restitutions

cartographiques qui apparaitront dans le futur atlas régional (Nota Bene : les fonds cartographiques

et les représentations graphiques ne sont pas encore définitives). Ces exemples couvrent une large

gamme d’espèces : de différents statuts (communes, rares…), de groupes variés (oiseaux d’eau,

passereaux, rapaces…) et occupant divers habitats (bocage, forêt milieu ouvert, zone humide…).

Ces premières cartes semblent confirmer pour certaines espèces nos connaissances : la distribution

des Sternes pierregarin correspond au tracé des grands fleuves et rivières, et aux les plans d’eau

artificiels (Yonne, Figure 2j) ; on pressent que la Bourgogne est en limite d’aire pour la Huppe fasciée

(Figure 2g) la Pie‐grièche à tête rousse (Figure 2i). Au contraire d’autres cartes soulèvent des

questions : pourquoi a‐t‐on plus d’indice « certain » pour la Mésange charbonnière que la Fauvette


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grisette alors que ce sont deux espèces de passereaux ? La Chevêche d’Athéna n’est‐elle pas

révélatrice de la difficulté de prospection de certaines espèces (nocturnes notamment) ? Tous ces

sujets seront discutés de manière plus approfondie dans l’atlas final.

Figure 1 : Nombre d’espèces nicheuses recensée par maille en Bourgogne (en vert : nb < 10 espèces ; en jaune :

nb < 60 espèces ; en rouge : nb ≥ 60 espèces) en février 2011


10

a.

b.

c. d.


11

e.

f.

g. h.


12

i. j.

Figure 2 : Compilation à la manière d’un atlas des données de nidification de 2009 à 2010 pour (a) le Blongios

nain, (b) le Busard Saint Martin, (c) la Buse variable, (d) la Chevêche d’Athéna, (e) le Cygne tuberculé, (f) la

Fauvette grisette, (g) la Huppe fasciée, (h) la Mésange charbonnière, (i) la Pie‐grièche à tête rousse et (j) la

Sterne pierregarin,

CONCLUSION

Depuis la publication des deux premiers atlas nationaux (1970‐75 et 1985‐89), la répartition des

espèces s’est sensiblement modifiée. Les récentes études s’accordent collégialement sur le constat

que des changements importants s’opèrent chez de nombreuses espèces. La mesure de cette

évolution dans une époque marquée par des changements globaux s’avère aujourd’hui indispensable

à leur conservation. Les atlas représentent dans ce contexte de formidables outils pour la protection

des espèces et de la biodiversité.

L’EPOB contribue à cette démarche nationale et profite de la mobilisation de son réseau

d’observateurs, bénévoles ou salariés, pour dresser un état des lieux des populations nicheuses

d’oiseaux à l’échelle régionale, via la publication d’un atlas dans les années à venir.

BIBLIOGRAPHIE

Hagemeijer, W.J.M. & Blair, M.J. 1997. The EBCC Atlas of European Breeding Birds: Their Distribution

and Abundance. T. & A.D. Poyser, London.

ISSA, N. 2009. Guide méthodologique du participant. SEOF, MNHN, LPO, 18 p.

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