Invest in turkey Newsletter mars 2012

POUR TOUT CONTACT : DR FRANCOIS BERNARD SENIOR ADV MR UTKU BAYRAMOGLU ADVISOR bayr

A

TURKEY

Business &

Investment

Newsletter n°35 Mars 2012

INVEST IN TURKEY

LA TURQUIE CONSACRERA 3 POUR CENT DU

R&D EN 2023

Sabah – Les dépenses de recherche et développement (R&D) en

Turquie devraient atteindre 3 pour cent du PIB national en 2023,

date du centenaire de la République, d’après une déclaration du

ministre de la Science, de l’Industrie et de la Technologie, Nihat

Ergun.

Prenant la parole lors d’une réunion sur l’avenir du secteur de la

robotique en Turquie, M. Ergun a annoncé une hausse progressive

de la part du PIB national allouée à la R&D scientifique, qui devrait

atteindre 3 pour cent l’année du centenaire de la République. « Le

pourcentage du PIB de la Turquie consacré aux dépenses de

augmente de façon constante et atteint aujourd’hui près de 1 pour

cent », a indiqué le ministre, soulignant que le pays envisageait

pour 2023 un PIB de 2 billions de dollars US. « La Turquie compte

consacrer 60 milliards de dollars US aux efforts de R

10 années qui viennent. Les deux tiers de ces dépenses, environ

40 milliards de dollars US, seront réalisées par le secteur privé, le

reste par le secteur public », a précisé M. Ergun.

PARTENARIAT ENTRE L’EXPLOITANT AEROPORTU

TURC TAV AIRPORTS ET AEROPORT DE P

Dunya – L’exploitant aéroportuaire turc TAV Airport

vendu 38 % de sa participation au Français Aéroports de Paris

(ADP) au prix de 874 millions de dollars US.

L’exploitant des aéroports de la capitale française a racheté 18 %

de TAV Airports à la société mère Akfen Holding pour 414 millions

de dollars US. Tepe Insaat, un autre actionnaire de TAV Airports, a

également vendu 18 % de ses parts pour le même prix.

Enfin, Aéroports de Paris a racheté 2 pour cent des parts de TAV à

Sera Yapi pour 46 millions de dollars US

TAV exploite l’aéroport Ataturk d’Istanbul, l’un des plus actifs

d’Europe, ainsi que des terminaux en Lettonie, en Macédoine et en

Arabie saoudite.

NIOR ADVISOR [email protected] DR SELCUK ÖNDER SENIOR [email protected]

NEWSLETTER NO.35 MARS 2012

URKEY

FOR MORE

POWER

TO YOUR GLOBAL

BUSINESS

PUSH THE PUSH THE PUSH THE PUSH THE

« INVEST IN TURKIJE

OFFICIËLE INSTANTIE VAN DE STEUN EN VAN BEVORDERING VAN DE INTERNATIONALE INVES

WE KUNNEN JULLIE HELPEN TER WERELD, MET FRANKRIJK, IN BELGIË EN IN HET LUXEMBURGSINFORMEREN. ALS JULLIE WILLEN ONS KENNIJULLIE ONS BEREIKEN MET VERSCHILLENDE WIPERSOONLIJK EN VERTROUWELIJK BIJEENKOMSTBEREIKEN DE PERMANENTE VERTEGENWOORDIGERFRANKRIJK, BELGIË,LUXEMBURG.

CHIFFRE DU MOIS

L’économie turque est l’une des plus dynamiques au monde, avec un taux de croissance Turkstat.La croissance annuelle moyenne du pays était de 5,4 pour cent sur les dix dernières années.

8,5 %

SECRETAIRE GENERAL DE LA

INTERNATIONALE : LA TURQUIE

Hurriyet – La Turquie devrait devenir une nation leader à l’échelon

mondial étant donné la croissance rapide de son économie,

affirme le secrétaire général de la

internationale (CCI), Jean

Prenant la parole lors d’une réunion de consultation régionale

organisée par le groupe consultatif du G

l’Union des Chambres et Bourses de commerce de Turquie

(TOBB), M. Carrier a déclaré que l’économie de la Turquie était un

brillant exemple de succès et que les idées et conseils émanant

des cercles d’affaires turcs étaient extrêmement importants pour le

G-20.

« Il faudrait vraiment tenir compte de la Turquie. C’est l’un d

leaders potentiels du futur », le secrétaire général a

« Les gouvernements devraient s’efforcer d’instiller la confiance au

sein du secteur privée de façon à favoriser la croissance et

l’emploi », a déclaré Rifat Hisarciklioglu, président

attirant l’attention sur les difficultés générées par la crise financière

mondiale. « La Turquie y est parvenue et, d’après les résultats, 3,5

millions d’emplois ont été créés pendant la période de reprise », a

t-il souligné.

POUR CENT DU PIB A LA

Les dépenses de recherche et développement (R&D) en

atteindre 3 pour cent du PIB national en 2023,

date du centenaire de la République, d’après une déclaration du

ministre de la Science, de l’Industrie et de la Technologie, Nihat

Prenant la parole lors d’une réunion sur l’avenir du secteur de la

botique en Turquie, M. Ergun a annoncé une hausse progressive

de la part du PIB national allouée à la R&D scientifique, qui devrait

atteindre 3 pour cent l’année du centenaire de la République. « Le

pourcentage du PIB de la Turquie consacré aux dépenses de R&D

augmente de façon constante et atteint aujourd’hui près de 1 pour

cent », a indiqué le ministre, soulignant que le pays envisageait

pour 2023 un PIB de 2 billions de dollars US. « La Turquie compte

consacrer 60 milliards de dollars US aux efforts de R&D dans les

10 années qui viennent. Les deux tiers de ces dépenses, environ

40 milliards de dollars US, seront réalisées par le secteur privé, le

reste par le secteur public », a précisé M. Ergun.

EXPLOITANT AEROPORTUAIRE

PARIS (ADP)

L’exploitant aéroportuaire turc TAV Airports Holding a

vendu 38 % de sa participation au Français Aéroports de Paris

(ADP) au prix de 874 millions de dollars US.

L’exploitant des aéroports de la capitale française a racheté 18 %

ciété mère Akfen Holding pour 414 millions

de dollars US. Tepe Insaat, un autre actionnaire de TAV Airports, a

également vendu 18 % de ses parts pour le même prix.

a racheté 2 pour cent des parts de TAV à

Sera Yapi pour 46 millions de dollars US.

TAV exploite l’aéroport Ataturk d’Istanbul, l’un des plus actifs

d’Europe, ainsi que des terminaux en Lettonie, en Macédoine et en

ADVISOR [email protected]

Agence nationale turque

pour le soutien et la

promotion des

investissements (ISPAT)

� � � � 55, Avenue Marceau FR- 75016 PARIS � � � � +33 146 946 725 Fax +33 170 248 761

INVEST IN TURKIJE » IS DE TURKSE OFFICIËLE INSTANTIE DIE DE LEIDING VAN DE STEUN EN VAN DE BEVORDERING VAN DE INTERNATIONALE INVESTERINGEN

PEN TER WERELD, MET NAME IN EN IN HET LUXEMBURGSE OM TE

LIE WILLEN ONS KENNISMAKEN, KUNNEN MET VERSCHILLENDE WIJZE. VOOR EEN OUWELIJK BIJEENKOMST, KUNNEN JULLIE

TE VERTEGENWOORDIGER VOOR

CHIFFRE DU MOIS L’économie turque est l’une des plus dynamiques au monde, avec un taux de croissance de 8,5% pour 2011 selon Turkstat.

croissance annuelle moyenne du pays était de 5,4 pour cent sur les dix dernières années.

LA CHAMBRE DE COMMERCE

URQUIE, UN FUTUR LEADER !

La Turquie devrait devenir une nation leader à l’échelon

mondial étant donné la croissance rapide de son économie,

affirme le secrétaire général de la Chambre de commerce

internationale (CCI), Jean-Guy Carrier.

Prenant la parole lors d’une réunion de consultation régionale

organisée par le groupe consultatif du G-20 auprès de la CCI et

l’Union des Chambres et Bourses de commerce de Turquie

arrier a déclaré que l’économie de la Turquie était un

brillant exemple de succès et que les idées et conseils émanant

des cercles d’affaires turcs étaient extrêmement importants pour le

« Il faudrait vraiment tenir compte de la Turquie. C’est l’un des

leaders potentiels du futur », le secrétaire général a ajouté.

« Les gouvernements devraient s’efforcer d’instiller la confiance au

sein du secteur privée de façon à favoriser la croissance et

l’emploi », a déclaré Rifat Hisarciklioglu, président de la TOBB,

attirant l’attention sur les difficultés générées par la crise financière

mondiale. « La Turquie y est parvenue et, d’après les résultats, 3,5

millions d’emplois ont été créés pendant la période de reprise », a-

POUR TOUT CONTACT DR FRANCOIS BERNARD SENIOR ADVISOR [email protected] DR SELCUK ÖNDER SENIOR ADVISOR [email protected] MR UTKU BAYRAMOGLU ADVISOR [email protected]


LES CONSTRUCTEURS AUTOMOBILES ASIATIQUES PREFERENT PRODUIRE EN TURQUIE

Milliyet – Les sociétés automobiles asiatiques considèrent la Turquie comme un tremplin d’entrée sur les marchés développés,

révèle une étude menée par KPMG. L’étude annuelle 2012 réalisée auprès des dirigeants automobiles mondiaux par la société

internationale d’audit et de conseil souligne que la Turquie constitue une plate-forme privilégiée pour la production automobile des

constructeurs asiatiques.

Les dirigeants des sociétés automobiles mondiales ont pronostiqué une expansion dans ce secteur jusqu’en 2016, les producteurs

européens et asiatiques étant considérés comme les principaux moteurs de cette croissance. Les constructeurs automobiles

asiatiques ont indiqué que leurs principaux objectifs étaient la croissance sur les marchés européens et la mise en place d’activités

de production à proximité de leurs marchés cible. La Turquie se distingue ainsi grâce à des atouts de choix, notamment la

modernité de son secteur automobile et sa proximité avec l’Europe.

81 pour cent des personnes interrogées ont choisi la Turquie comme plate-forme de production afin d’entrer sur les marchés

développés de l’Ouest de l’Europe, tandis que l’Égypte, l’Iran et le Maroc restent loin derrière, avec respectivement 11 pour cent, 4

pour cent et 2 pour cent des répondants. Dans sa conclusion, l’étude mentionne le statut de la Turquie en tant que premier pays

fabricant et exportateur de véhicules motorisés. Elle indique également que les constructeurs automobiles chinois et indiens sont

attirés par l’accord d’union douanière entre la Turquie et l’UE et par ses avantages logistiques. L’année dernière, la Turquie a

exporté 80 pour cent du total de sa production annuelle de 1,1 millions de véhicules. Toyota, Honda et Hyundai mènent des

activités de production dans le pays.

FORD ENTAME LA CONSTRUCTION DE SA 3E USINE EN TURQUIE

Hürriyet - Ford Otosan, coentreprise entre la société américaine Ford Motor Company et le groupe turc Koc Holding, a entamé les

travaux de construction de sa troisième usine automobile en Turquie, dans la province de Kocaeli, au Nord-Ouest du pays. L’usine

de Yenikoy, qui fait partie d’une série d’investissements sur trois ans d’une valeur totale de 1 milliard de dollars US, se consacrera

exclusivement à la production d’un nouveau véhicule commercial léger (VCL) dont le lancement est prévu en 2013.

Rahmi Koc, président d’honneur de Koc Holding, a déclaré que Ford Otosan détenait le titre de premier exportateur de produits

automobile de Turquie vers le pays d’origine de Ford, les États-Unis, et qu’il était fier de donner le coup d’envoi pour la construction

de la troisième usine de l’entreprise en Turquie. « Le modèle de VCL Connect de Ford, aussi appelé " Transit de Golcuk ", est

utilisé comme taxi dans des villes comme New York, Boston, Chicago, Las Vegas, Los Angeles, Orlando et San Francisco », a

indiqué M. Koc lors de la cérémonie de lancement des travaux.

L’usine de Yenikoy pourra produire 110 000 véhicules par an, ce qui portera à 400 000 véhicules la capacité de production

annuelle de Ford en Turquie.

LE CONSTRUCTEUR TURC KARSAN EXPOSE SON MODELE V1 AU SALON DE L’AUTOMOBILE DE GENEVE 2012

Hurriyet – Une gamme de véhicules motorisés de différentes marques fabriqués en Turquie sont exposés cette année au Salon de

l’automobile de Genève, en Suisse. Les projecteurs sont dirigés sur le modèle Karsan V1, l’un des finalistes de l’appel d’offres pour

les taxis de New York.

La 82e édition du Salon automobile de Genève exhibera le modèle de production du concept V1, entièrement conçu en Turquie

par des ingénieurs turcs. Seule marque véritablement turque du salon, Karsan a participé avec son modèle V1 à l’appel d’offres

lancé par la ville de New York pour le « taxi de demain », perdant en finale contre Nissan l’an dernier.

Automotive

POUR TOUT CONTACT : DR FRANCOIS BERNARD SENIOR ADVISOR [email protected] DR SELCUK ÖNDER SENIOR ADVISOR [email protected] MR UTKU BAYRAMOGLU ADVISOR [email protected]


Félicitant les représentants de Karsan d’avoir fabriqué un véhicule qui mérite de figurer dans le peloton de tête du plus gros salon

de l’industrie automobile de l’année, le ministre turc de l’Économie, Zafer Caglayan, a déclaré que le modèle Karsan V1 constituait

un coup de pouce important pour le projet d’une voiture nationale turque et que le moment était venu de fabriquer ce modèle en

série. La production du Karsan V1 devrait être lancée en 2014 grâce à un investissement de 200 millions d’euros, d’après le

directeur exécutif de Karsan, Jan Nahum.

Karsan a déjà produit une gamme de véhicules commerciaux pour des sociétés européennes telles que Renault, Citroën et

Peugeot, ainsi que des véhicules utilitaires légers pour Hyundai dans son usine de Bursa.

D’autres véhicules fabriqués en Turquie à partir des concepts et modèles de production de constructeurs automobiles

internationaux ont aussi été exposés au Salon de l’automobile de Genève 2012, notamment le modèle Transit de Ford-Otosan, le

nouveaux i20 de Hyundai-Assan et la nouvelle version de la Mégane HB d’Oyak-Renault.

TPI COMPOSITES PRODUIRA DES PALES D’EOLIENNES AVEC UN PARTENAIRE TURC

Sabah – L’entreprise américaine TPI Composites a annoncé la création d’une coentreprise avec l’entreprise turque de construction

et d’ingénierie Alke Insaat pour fabriquer des pales destinées à des applications éoliennes.

La nouvelle entreprise, TPI Kompozit Kanat Sanayi, située à Izmir sur la côte égéenne turque, fabriquera des pièces d’éoliennes

pour le marché intérieur et pour les marchés d’Europe de l’Est et d’Afrique du Nord. La coentreprise turco-américaine, qui créera

initialement 350 emplois, compte augmenter ses effectifs et atteindre 600 employés en 2014. L’usine de production de pales

d’éoliennes, d’une superficie de 33 000 mètres carrés, sera la première du genre en Turquie.

La Turquie, qui cherche à réduire sa dépendance vis-à-vis des importations de pétrole et de gaz, se tourne de plus en plus vers les

sources d’énergies renouvelables pour la production d’électricité. Bénéficiant déjà d’un tarif de subventionnement attractif, la

production d’énergie éolienne à partir d’équipements fabriqués localement fait l’objet de mesures incitatives spéciales dans le pays.

La Turquie dispose actuellement d’une capacité éolienne installée de 1 750 MW. En 2023, date du centenaire de la république, le

pays compte disposer d’une capacité installée d’origine éolienne de 20 000 MW.

LE PROJET FATIH PRESENTE DE BELLES OPPORTUNITES EN TERMES DE TAILLE ET DE PORTEE, DECLARE LE

MINISTRE

Hurriyet – L'initiative turque d’éducation aux hautes technologies, le projet Fatih, regorge d’opportunités pour les sociétés

technologiques grâce à son envergure grande échelle et sa forte valeur en termes de marché, a déclaré le ministre turc de la

Science, de l’industrie et de la technologie Nihat Ergun. Sur une durée de quatre ans, le projet Fatih prévoit d’utiliser des appareils

de haute technologie pour améliorer la qualité de l’enseignement public en équipant des élèves d’école élémentaire de tablet PC et

les salles de classe d’affichages électroniques. Ce projet devrait créer un marché d’environ 7 milliards de dollars US sur les quatre

premières années.

« Le projet Fatih présente des opportunités à une telle échelle qu’une société technologique peut y trouver le potentiel de distancer

ses concurrents. Ce projet est porteur d’une énorme valeur en termes de marché », a déclaré M. Ergun lors d’une réunion avec les

représentants officiels de Nokia, la société finlandaise de technologie mobile, avant d’ajouter que l’augmentation progressive de la

production locale et la création d’un centre de recherche et développement (R&D) pour le projet figureraient dans le cahier des

charges de l‘appel d’offres. Au moins 15 millions de tablet PC seraient distribués aux étudiants dans tous le pays au cours des

quatre premières années, plus 1,5 millions d’appareils par an les années à suivre.

Le ministre a rencontré dans son bureau Esko Tapani Aho, vice-président directeur de la société de téléphonie Nokia, ainsi que

d’autres représentants de la société, et a invité la société à investir en Turquie. « La hausse du niveau de revenus en Turquie se

reflète de manière positive sur la croissance des produits électroniques grand public. Avec le projet Fatih, le gouvernement prendra

les mesures nécessaires pour soutenir les investissements dans ce secteur », a déclaré M. Ergun.

High Tech / R&D



LE REVENU DU SECTEUR DES TELECOMMUNICATIONS EN TURQUIE DEPASSE LES 15 MILLIARDS DE DOLLARS US

Hurriyet – Le secteur turc des télécommunications a publié pour l’an dernier un revenu des services de 28 milliards de lires turques

(environ 15,7 milliards de dollars US), d’après l’Autorité turque des technologies de l’information et de la communication (BTK). Le

secteur a reçu l’an dernier 5,5 milliards de lires turques (environ 3 milliards de dollars US) d’investissements de la part

d’entreprises de télécommunications, indique le rapport de la BTK pour le 4e trimestre.

La téléphonie mobile sur réseau 3G en Turquie a atteint 31,4 millions d’abonnés au 4e trimestre 2011, sur un total de 65,3 millions

d’utilisateurs mobiles. Bien que la technologie 3G n’ait été introduite qu’en 2009, la Turquie, qui affiche un ratio d’utilisateurs 3G sur

utilisateurs 2G de 48 %, a dépassé la moyenne de l’UE, de 30,1 pour cent. Évalué à 261 minutes, le temps de conversation

mensuel moyen sur les réseaux mobiles du pays est aussi l’un des plus élevés d’Europe.

Les quatre premiers fournisseurs de services de télécommunication en Turquie sont Turk Telekom, Turkcell, Vodafone et Avea. Le

secteur emploie quelque 35 000 personnes.

HAUSSE DES EXPORTATIONS TURQUES DE HAUTE TECHNOLOGIE VERS L’ALLEMAGNE

Deutsche Welle – Les exportations turques de haute technologie vers l’Allemagne affichent une hausse fulgurante : le volume total

des échanges entre les deux pays a atteint le record historique de 37 milliards de dollars US en 2011.

Le ministère turc de l’Économie a enregistré une augmentation du volume et de la qualité des marchandises turques envoyées en

Allemagne, certains groupes de produits de haute technologie comme les pièces détachées automobiles et l’électroménager

s’emparant des deux premières places. Les exportations de pièces de moteur destinées à l’industrie automobile ont augmenté de

56 pour cent par rapport à l’année précédente, tandis que les exportations de pièces mécaniques pour véhicules motorisés ont

augmenté de 40 pour cent.

Les exportations de produits électroménagers fabriqués en Turquie vers l’une des nations les plus industrialisées du monde

affichent aussi une forte hausse de 50 pour cent, d’après le rapport du Ministère concernant l’Allemagne.

SAXO BANQUE ENVISAGE DES ACQUISITIONS EN TURQUIE

Sabah – Saxo Banque, trader sur le Forex, a annoncé son intention d’entrer sur le marché turc. La société danoise envisage

d’établir sa présence physique en Turquie via l’acquisition d’une société locale de courtage.

« Saxo Banque a récemment ouvert des agences dans les centres d’affaires de pays émergents tels que Moscou, Panama,

Johannesburg, Sydney et Hong Kong au cours des 12 derniers mois. Istanbul est le prochain nom sur la liste », a déclaré le PDG

de Saxo Banque Lars Seier Christensen. « L’impressionnant taux de croissance du pays laisse présager d’un marché turc très

attractif pour les années à venir », a-t-il ajouté.

L’ITALIEN INTESA SANPAOLO SOLLICITE UNE LICENCE BANCAIRE EN TURQUIE

Sabah – La société de services financiers italienne Intesa Sanpaolo a sollicité une licence d’exploitation pour le marché bancaire

turc, d’après des informations provenant du Conseil d’administration de l’Agence turque de régulation et de supervision des

banques (BDDK). Intesa Sanpaolo, l’une des plus grandes banques italiennes, avait déjà essayé d’entrer dans le secteur bancaire

turc, très lucratif, en soumettant des offres pour le rachat des parts de Garanti Bank et Finansbank mises en vente il y a quelques

années.

Selon les sources de la BDDK, la banque s’est dite prête à ouvrir des agences sous son propre nom en Turquie et à les doter d’un

capital social de 300 millions de dollars US. Intesa Sanpaolo possède 12 succursales dans 11 pays, qui emploient plus de 100 000

Banques & finances



personnes.

La BDDK a octroyé sa première nouvelle licence d’exploitation depuis plus de dix ans à la banque libanaise Audi l’an dernier

LA BANQUE AUDI FAIT DES EMULES : D’AUTRES BANQUES ARABES VEULENT S’INSTALLER EN TURQUIE

Hurriyet Daily News – Le groupe bancaire Audi, prêteur basé au Liban et première institution du genre à avoir obtenu une licence

turque depuis 11 ans, sera suivi d’autres banques arabes qui cherchent à entrer sur le marché local, d’après le président de l’Union

des banques arabes.

« Je suppose que d’autres banques tenteront leur chance sur le marché turc », a déclaré hier le secrétaire général de l’Union des

banques arabes (UAB), Wissam H. Fattouh, interrogé par Hurriyet Daily News en marge du Forum bancaire et financier turco-

arabe à Istanbul.

« Certaines banques arabes se sont montrées très intéressées par le secteur bancaire turc », a indiqué M. Fattouh, soulignant que

les bailleurs de fonds ont été encouragés par la licence octroyée l’an dernier à la banque Audi. Selon lui, le gouvernement turc

souhaite aussi accorder des licences à d’autres banques arabes. « La Turquie est l’un des meilleurs endroits pour monter une

activité, surtout depuis la crise aux États-Unis et en Europe », a-t-il ajouté.

En coopération avec les banques turques, les prêteurs arabes peuvent aussi investir dans les pays tiers, en particulier en Afrique,

d’après Elhadi Chaibainou, membre du comité exécutif de l’UAB représentant les banques marocaines. Ces dernières sont prêtes

à conclure des partenariats avec des bailleurs de fonds turcs, a-t-il annoncé aux auditeurs lors de l’événement.

Selon Hüseyin Aydın, président de l’Union nationale des banques turques, le volume des échanges entre la Turquie et les pays

arabes a augmenté de façon fulgurante en cinq ans, passant de 5 milliards à 34 milliards de dollars US. Il a signalé que sept

banques arabes opéraient déjà en Turquie, totalisant un volume d’actifs de 24 milliards de dollars US.

UNILEVER VA CONSTRUIRE UNE USINE DE 100 MILLIONS DE DOLLARS US EN TURQUIE

Hurriyet – La marque de crème glacée Algida d’Unilever va investir 100 millions de dollars US dans une usine de production à

Aksaray en Anatolie centrale. L’usine, qui deviendra le site de production modèle pour Unilever, va dynamiser la part du marché

intérieur d’Algida et augmenter ses exportations.

Grâce à cet investissement, une deuxième usine Algida verra le jour en Turquie et une 35ème dans le monde, avec à la clé 295

emplois. L’usine devrait débuter la production en mai 2013.

LES GEANTS PHARMACEUTIQUES S’INTERESSENT A UN PARTENARIAT AVEC LE FABRICANT DE GENERIQUES TURC

Sabah – Le fabricant turc de médicaments Mustafa Nevzat Ilac Sanayi est très bien placé sur la liste des cibles d’investissement

des sociétés pharmaceutiques mondiales. Sept géants de Pfizer à GlaxoSmithKline ont soumis des offres pour l’acquisition de

parts minoritaires de la société. Selon Reuters, Merck&Co, Mylan, Amgen, Abbott Laboratories et Fresenius seraient également

intéressées par la société.

À 89 ans, Mustafa Nevzat représente l’une des plus anciennes sociétés pharmaceutiques en Turquie. Elle fabrique des

médicaments génériques et les exporte vers 33 pays dans le monde, dont les États-Unis. Selon des sources participant aux

négociations, la société pourrait bénéficier de 800 millions de dollars US dans le cadre de l’accord.

Industries



FERRERO VA CONSTRUIRE UNE USINE DE PRODUCTION EN TURQUIE

Zaman – Le producteur italien de chocolat Ferrero a lancé un investissement de 95 millions d’euros pour construire une usine dans

la province égéenne turque de Manisa. Le vice-Premier ministre turc Bulent Arinc, le président de l’Agence turque pour la

promotion et le soutien à l’investissement (ISPAT) Ilker Ayci, le président de la zone industrielle organisée de Manisa Sait Turek et

le porte-parole de Ferrero et ancien ambassadeur d’Italie en Turquie Carlo Marsili étaient présents lors de la cérémonie

d’inauguration de l’usine, qui devrait occuper une superficie de plus de 146 000 mètres carrés.

Cette usine, qui sera la 19ème usine de production mondiale de Ferrero dès sa mise en activité en 2013, permettra de créer 200

emplois directs. L’usine produira initialement la gamme de produits renommés de la société, Nutella et Kinder, pour le marché

national turc. Ferrero envisage ultérieurement d’élargir la production aux marchés du Moyen-Orient.

Dans son allocution lors de la cérémonie, le président de l’ISPAT Ilker Ayci a indiqué que la Turquie, grâce à cet investissement,

pourrait désormais exporter ces produits au lieu de les importer. Le porte-parole de Ferrero M. Carlisi, a déclaré pour sa part que

Manisa constituait un site idéal pour Ferrero en raison de sa proximité avec le port d’Izmir, ainsi que du niveau de développement

de ses réseaux de transport et de ses infrastructures.

LES EXPATRIES PREFERENT LES REGIONS MEDITERRANEENNE ET EGEENNE POUR L’IMMOBILIER

Sabah – Les étrangers à la recherche de biens immobiliers à acheter en Turquie ont tendance à choisir les régions côtières

réputées pour la douceur de leur climat et leurs plages de sable, révèlent des données issues de la Direction du cadastre de

Turquie. Antalya, l’une des destinations de vacances les plus prisées en Méditerranée, a confirmé sa popularité auprès des

Allemands, tandis que la majorité des Britanniques a choisi Mugla, un autre haut-lieu du tourisme, pour s’y installer ou y faire un

investissement intéressant.

Plus de 125 000 étrangers provenant de 92 pays possèdent près de 90 millions de mètres carrés de biens immobiliers et de

terrains en Turquie. La province de Konya, située au centre de l’Anatolie, est la plus investie en termes de terrains vendus aux

étrangers (6,4 millions de mètres carrés). A Antalya, environ 6,3 millions de mètres carrés de terrains et de biens immobiliers

appartiennent à des étrangers, tandis que Mugla leur a vendu environ 5,9 millions de mètres carrés de terrains.

La province favorite des particuliers qui investissent dans l’immobilier est Antalya, plus de 42 000 étrangers y ayant fait l’acquisition

de leur propriété ou de leur terrain. Mugla arrive en deuxième position avec 20 657 propriétaires étrangers, suivie d’Istanbul (13

007), Bursa (5575) et Izmir (5432).

Le Parlement turc devrait prochainement adopter une nouvelle loi pour alléger les restrictions applicables aux achats immobiliers

réalisés par des étrangers, ouvrant ainsi le marché turc de l’immobilier aux investisseurs du monde entier, et en particulier des

pays du Golfe et de Russie. Le pays applique actuellement le principe de réciprocité pour les achats immobiliers effectués en

Turquie par des étrangers : le droit d’acheter des biens immobiliers n’est octroyé qu’aux ressortissants des pays qui octroient le

même droit aux ressortissants turcs.

COMPTE A REBOURS POUR LES GIGANTESQUES PROJETS D’INFRASTRUCTURE ET DE PRIVATISATION EN TURQUIE

Dünya – Les appels d’offres pour deux des plus grands projets d’infrastructure et de privatisation en Turquie (la construction d’un

troisième pont sur le détroit d’Istanbul et le transfert des droits d’exploitation des autoroutes d’une longueur de 2236 km), devraient

commencer dans les mois à venir.

La date finale de candidature pour la qualification préliminaire au projet de privatisation des autoroutes et des ponts et les offres

finales pour la construction du troisième pont sur le Bosphore doivent avoir lieu le même jour, à savoir le 5 avril.

Real estate-infrastructure



Les ponts et les autoroutes seront privatisés en une seule opération : les deux ponts sur le Bosphore et les périphériques associés,

les autoroutes Edirne-İstanbul-Ankara, Pozantı-Tarsus-Mersin, Tarsus-Adana-Gaziantep, Toprakkale-İskenderun, Gaziantep-

Şanlıurfa, İzmir-Çeşme, İzmir-Aydın ainsi que les périphériques d’İzmir et Ankara. La date de clôture des offres est fixée au 17 mai.

La privatisation des autoroutes représente jusqu’à présent l’une des ventes les plus importantes des actifs publics en Turquie, au

moins 20 sociétés ayant manifesté leur intérêt pour ce projet. Selon un rapport publié par l’hebdomadaire Bloomberg

Businessweek, l’accord de transfert des droits d’exploitation des ponts et routes à péage les plus fréquentés de Turquie depuis 25

ans pourrait atteindre jusqu’à 6 milliards de dollars US. La société de construction Vinci SA, première d’Europe, le spécialiste des

péages Autostrade per l’Italia SpA et le groupe d’ingénierie malaysien UEM Berhad figurent parmi les candidats attendus.

La construction d’un troisième pont sur le Bosphore dans le cadre du projet d’autoroute Nord-Marmara devrait faire l’objet d’un

nouvel appel d’offres après que le montant initial du projet a été réduit à environ 2,5 milliards de dollars US (initialement 6

milliards).

TURKISH AIRLINES POURSUIT SA POLITIQUE D’EXPANSION RAPIDE

The New York Times – Quelle compagnie aérienne en Europe ou au Moyen-Orient dessert sans escale le plus grand nombre de

destinations depuis un seul aéroport ? La réponse est Turkish Airlines (THY), qui propose des vols directs vers 189 destinations

depuis Istanbul, soit 15 de plus que Lufthansa depuis son énorme base de Francfort.

Selon anna.aero, un site Web d’analyse des lignes aériennes, THY ne se contente pas de développer à vitesse grand V les

destinations proposées, elle augmente également le nombre de ses passagers. De 2000 à 2010, elle a triplé le nombre de

voyageurs, avec un trafic nettement accru vers l’Amérique du Nord et l’Asie. La croissance de Turkish Airlines constitue un nouvel

exemple de ce que certains spécialistes appellent le tremblement de terre du secteur aérien.

« Sur le monde dans son ensemble, il y a toujours des pays ou des économies qui sont en croissance », a déclaré Horst Findeisen,

vice-président du développement commercial de Star Alliance, réseau auquel appartient THY. « La Turquie se trouve dans une

zone où la croissance est de mise et le pays crée des lignes pour répondre à la demande existante », a-t-il expliqué dans un

entretien téléphonique.

Avec une superficie d’environ 775 000 kilomètres carrés et une population de 72 millions de personnes, près de la moitié des

clients de THY voyagent dans le pays via 43 aéroports nationaux.

En 2012, THY va ouvrir un nouveau complexe de services aériens d’une superficie de 372 000 mètres carrés dans l’aéroport

Sabiha Gokcen, à 30 kilomètres de l’aéroport Ataturk. Sur ce nouveau site, elle va exploiter une station de maintenance et de

réparation et souhaite également entrer sur le marché de la fabrication de sièges d’avion. D’après Temel Kotil, PDG de THY, la

croissance de la société et celle des entreprises connexes a conduit à augmenter annuellement ses effectifs de 10 % et

d’embaucher 250 pilotes.

TURQUIE : BELEK COURONNEE « MEILLEUR SITE DE GOLF »

Hurriyet – La ville turque de Belek (Antalya), lieu de villégiature méditerranéen célèbre dans le monde entier, a été récompensée

par deux magazines de golf à grand tirage publiés en Europe. Étoile montante dans le monde du tourisme golfique, Belek a

Services & Distribution

Tourisme



remporté le titre de « Meilleur site de golf » décerné par Golf Magazine et Golf Journal pour ses terrains de premier ordre et ses

excellentes structures d’hébergement.

Belek a déjà été couronnée en 2008 « Meilleur site de golf d’Europe » et a accueilli en 2011 le salon International Golf Travel

Market, plus grand salon du secteur touristique du golf.

NOVARTIS COMPTE ATTEINDRE LES MARCHES REGIONAUX VIA LA TURQUIE

Hürriyet – La société pharmaceutique suisse Novartis compte sur la Turquie pour accéder facilement aux marchés du Moyen-

Orient, d’Asie centrale et d’Afrique. La Turquie sera la base régionale du fabricant de médicaments, qui envisage d’implanter une

usine de production dans le pays. C’est ce qu’ont annoncé les représentants de l’entreprise en visite à Ankara.

Une délégation suisse, composée du ministre de l’Économie du pays, Johann Schneider-Ammann, et de représentants de grandes

entreprises suisses, s’est rendue dans la capitale turque pour rencontrer le ministre turc des Sciences, de l’Industrie et de la

Technologie, Nihat Ergun. À l’occasion de cette réunion, Alexandre F. Jetzer Chung, membre du Conseil d’administration de

Novartis, a affirmé que la Turquie avait le potentiel de devenir un pôle des services de santé pour l’Afrique du Nord, remplaçant

l’Égypte. Signalant que Novartis avait le projet d’investir dans une usine de production en Turquie, M. Chung a ajouté que le pays

était considéré comme une passerelle vers le Moyen-Orient, l’Asie centrale et l’Afrique.

Le ministre en visite, M. Schneider-Ammann, a aussi fait l’éloge du statut de passerelle de la Turquie vers d’autres marchés,

indiquant que plus de 600 entreprises suisses étaient présentes dans le pays.

LES DERNIERES ENTREES CONFIRMENT LE STATUT DE « HAVRE DE•SECURITE » DE LA TURQUIE

Sabah – Un taux de croissance économique record, un chômage en baisse et des investissements étrangers en hausse indiquent

que la Turquie devient un « havre de sécurité » pour les investisseurs étrangers. Concernant les investissements étrangers en

Turquie, leur origine à changé dans les premiers mois de 2012, puisqu’ils proviennent désormais des pays d’Asie et du Moyen-

Orient. Jusqu’à 2011, les Européens étaient les premiers investisseurs étrangers du pays.

Plus de 30 entreprises étrangères ont investi en Turquie dans les trois derniers mois, les dernières en date étant le producteur

indien de tracteurs Sonalika, qui compte monter une usine d’assemblage en Turquie, et l’organisateur de salons et d’expositions

britannique REED, qui a racheté des parts de la société turque Tuyap Fuarcilik.

De même, le groupe aéroportuaire français Aéroports de Paris (ADP) a racheté la semaine dernière 38 pour cent des parts de

l’exploitant aéroportuaire turc TAV au prix de 874 millions de dollars US. L’acquisition de 20 pour cent des parts du port

d’Iskenderun sur la côte méditerranéenne turque est en négociation entre l’exploitant actuel du port, Limak Holding, et le

Luxembourgeois Inframinervois. Des sociétés allemandes d’énergie solaire, Phoenix Solar, Gehrlicher Solar et Soventix, ont fait

leur entrée sur le marché turc via des partenariats avec des entreprises locales.

Des investisseurs du Moyen-Orient comme la banque saoudienne National Commercial Bank ont conclu un partenariat avec

l’entreprise de prêt-à-porter Silk & Cashmere, tandis qu’Agthia des EAU a racheté la marque d’eau de source turque Pelit Su. Des

investisseurs d’extrême orient comme le producteur d’acier japonais Toyo Kohan ont signé un accord de partenariat avec Tosyali

Holding pour créer une coentreprise et produire de l’acier plat. Une autre entreprise du Moyen-Orient, le Malaysien Khazanah, a

racheté 75 pour cent des parts du groupe hospitalier Acibadem au travers de sa filiale Integrated Healthcare Holdings. Le dirigeant

du sultanat de Brunei a investi 100 millions de dollars US dans l’entreprise d’huiles végétales Marsa du géant alimentaire turc

Ulker.

À propos de la hausse des investissements dans les premiers mois de l’année, Ilker Ayci, président de l'Agence turque pour la

Stratégie



promotion et le soutien à l'investissement (ISPAT), a déclaré que rien qu’en janvier, les investissements étrangers avaient atteint

930 millions de dollars US, contre 460 millions en janvier 2010. « Nous observons une diversification régionale et sectorielle dans

les investissements reçus cette année. Nous comptons dépasser le total de 15,7 milliards de dollars US de l’an dernier et atteindre

20 milliards de dollars US », a-t-il ajouté.

DIRIGEANT DE MICROSOFT : LA TURQUIE, MOTEUR D’INNOVATION, PRESENTE UN GRAND POTENTIEL

Sabah – La Turquie présente un énorme potentiel car elle est ouverte à l’innovation et sait s’adapter rapidement aux dernières

technologies, affirme Kevin Turner, directeur de l’exploitation chez Microsoft. De passage en Turquie dans le cadre d’un voyage

dans quatre pays européens suite à l’ouverture du salon technologique CeBIT en Allemagne, M. Turner a rencontré des

partenaires et dirigeants clés de Microsoft à Istanbul en vue de promouvoir les produits et services infonuagiques de Microsoft.

« Le potentiel de la Turquie, l’une des économies affichant la plus forte croissance, est mondialement reconnu. Microsoft Turquie

fait du bon travail en contribuant à la croissance de la Turquie à l’échelon de l’entreprise, des PME et des utilisateurs finaux », a

déclaré M. Turner, qui qualifie la croissance de la Turquie de « stimulante ». Le bureau de Microsoft pour le Moyen-Orient et

l’Afrique à Istanbul est le centre opérationnel depuis lequel le fournisseur de logiciels gère ses activités dans 79 pays.

Dans les derniers mois, les responsables de grandes entreprises technologiques comme Google et Blackberry ont fait une halte en

Turquie. Le pays a lancé un projet d’éducation nationale, baptisé Fatih, en vue d’équiper les classes et les élèves d’outils

technologiques. Ce projet de 7 milliards de dollars US prévoit la production de tablettes et de tableaux blancs électroniques

ISTANBUL ACCUEILLERA LE SOMMET MONDIAL DES DIRIGEANTS DU SECTEUR DE L’ENERGIE

Businessneweurope - Istanbul est devenue une ville de conférences. Chaque semaine, la ville organise de nombreuses

conférences et sommets de tous types. Il n’est donc pas surprenant que la ville la plus dynamique de Turquie accueille en avril le

quatrième sommet mondial des dirigeants du secteur de l’énergie organisé par le Conseil mondial de l’énergie.

Le secteur turc de l’énergie a suscité beaucoup d’intérêt de la part des investisseurs étrangers au cours des dernières années. En

effet, le pays a fait d’énormes progrès en termes d’efficacité énergétique. En avril dernier, une étude réalisée par l’ARI (Advanced

Resources International) pour le compte du gouvernement américain sur les perspectives mondiales du gaz de schiste a identifié la

Turquie (ainsi que la Pologne, la France, l’Ukraine, l’Afrique du Sud, le Chili et le Maroc), comme appartenant aux pays pour

lesquels le schiste pourrait jouer un rôle significatif dans l’approvisionnement futur, rapporte Reuters.

Après la publication du rapport, plusieurs sociétés étrangères, dont Exxon et Shell, ont exprimé leur volonté d’investir sur le marché

turc de l’énergie.

La Turquie cherche également à développer ses sources d’énergie verte. Le gouvernement prépare actuellement plusieurs projets

visant à dynamiser la production d’énergie renouvelable. Même si les sources d’énergie renouvelable ne sont pas en mesure de

répondre à l’énorme demande énergétique de la Turquie, le pays possède un vaste potentiel en termes de biomasse, d’énergie

hydroélectrique, géothermique, solaire et éolienne, indique le rapport intitulé « Sources d’énergie renouvelable et politiques en

Turquie », publié en 2011 par l’Université technique de Yildiz à Istanbul.

Le quatrième Sommet mondial des dirigeants du secteur de l’énergie débutera le 20 avril. Quelque 100 dirigeants de 33 pays sont

invités à l’événement, qui aura pour thème « fournir l’énergie de demain dans un contexte d’incertitude élevée », selon le Conseil

mondial de l’énergie.

« La Turquie joue un rôle clé sur les marchés de l’énergie grâce à sa position géopolitique stratégique de passerelle entre les pays

producteurs et les marchés consommateurs », a déclaré Christoph Frei, secrétaire général du Conseil mondial de l’énergie, lors de

Energie



l’annonce du sommet. « La croissance rapide de son économie et de sa demande en font un marché énergétique attractif et l’un

des pays qui détient le futur du développement énergétique. »

DES INVESTISSEURS SAOUDIENS ET CHINOIS EN LICE POUR LA DISTRIBUTION DE GAZ EN TURQUIE

Milliyet – La privatisation du deuxième réseau turc de distribution de gaz attire des investisseurs de Chine et d’Arabie Saoudite,

tandis que s’approche la date de clôture de l’appel d’offres fixée au 16 avril. La procédure d’appel d’offres pour 80 pour cent des

parts de Baskent Dogalgaz A.S., la société qui approvisionne en gaz naturel la capitale turque Ankara, se terminera à la fin du

mois à venir, a annoncé le président adjoint de l’Agence de privatisation (OIB).

L’offre de privatisation a attiré le groupe chinois ENN, qui contrôle la distribution de gaz dans plus d’une centaine de villes en

Chine, ainsi qu’une société d’investissement saoudienne qui devrait faire une offre avec un partenaire turc. Akfen, Aksa, Kolin -

Cengiz - Limak, Aygaz, STFA, Torunlar et Global Yatırım figurent parmi les sociétés locales intéressées, a déclaré le président de

l’OIB.

Avec plus de 1,3 millions d’utilisateurs, Baskent Gaz est la deuxième société de distribution de gaz en Turquie après IGDAS, qui

dessert Istanbul et sa zone périphérique.

NEGOCIATIONS EN COURS ENTRE LA TURQUIE ET LA COREE DU SUD AUTOUR D’UNE CENTRALE NUCLEAIRE ET

D’UNE CENTRALE AU CHARBON

Sabah - La Turquie et la Corée du Sud, qui cherchent des moyens de renforcer leurs relations commerciales bilatérales, souhaitent

étendre leur coopération dans différents domaines, notamment les industries de l’énergie et de la défense. Le Premier ministre turc

Recep Tayyip Erdogan s’est rendu récemment en Corée du Sud pour assister à un sommet sur la sécurité nucléaire et les deux

pays ont signé le cadre d’un accord de libre échange qui sera finalisé en juin prochain.

Le Premier ministre Erdogan était accompagné du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles Taner Yildiz, qui a affirmé

qu’en dépit des difficultés des représentants turcs et sud-coréens à parvenir à un accord concernant la construction d’une

deuxième centrale nucléaire en Turquie, le projet était encore en négociation. Après avoir rencontré les représentants de grandes

entreprises sud-coréennes, M. Yildiz a indiqué que les Sud-coréens étaient aussi intéressés par la construction en Turquie d’une

centrale thermique au charbon d’une capacité de 5 000 à 6 000 MW.

La Turquie et la Corée du Sud ont été sur le point de signer un accord en 2010 pour la construction d’une deuxième centrale

nucléaire en Turquie, sur la côte de la mer Noire. Cependant, ce projet n’a pas abouti en raison d’un désaccord vis-à-vis des

exigences de garanties du Trésor public formulées par les Sud-Coréens.

Les deux pays coopèrent aussi dans le secteur de la défense. La Corée du Sud figure dans la liste des acheteurs étrangers

éventuellement intéressés par le projet d’hélicoptère de combat turco-italien T-129 Atak.

POUR TOUT CONTACT : DR FRANCOIS BERNARD SENIOR ADV MR UTKU BAYRAMOGLU ADVISOR bayr

CONTACTS Pour toute information et demande d´entretien en France, en Belgique, au Luxembourg ou si vous êtes en charge d'un projet d'investissement en Turquie, n´hésitez pas à contacter : Dr Francois BERNARD SENIOR ADVISOR [email protected] +33 631 272 572 Dr Selçuk ÖNDER SENIOR ADVISOR [email protected] +33 632 372 048

Mr Utku BAYRAMOGLU ADVISOR [email protected] +33 607 057 024

NIOR ADVISOR [email protected] DR SELCUK ÖNDER SENIOR [email protected]


Pour toute information et demande d´entretien en France, en Belgique, au Luxembourg ou si vous êtes en charge d'un

en Turquie, n´hésitez pas à nous

Bureau France, Belgique,

�� 55, Avenue Marceau 75016 PARIS

�� +33 146 946 725

INVEST IN TURKEY©

ADVISOR [email protected]

Belgique, Luxembourg et Monaco

55, Avenue Marceau 75016 PARIS

725 Fax : +33 170 248 761

INVEST IN TURKEY© sur Facebook

CITATION DU MOIS

Invest in turkey Newsletter mars 2012

Documents

Transcript of Invest in turkey Newsletter mars 2012