Brochure Nvision 2011

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TEN YEARS

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WHOWHOWEWEWE ARE ARE

What aboutWhat aboutintroducingintroducingintroducingintroducingintroducingintroducingourselves?ourselves?

Et si on se présentait?présentait?

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NVISION, il y a 10 ans, c’était une petite entreprise, lancée par quatre jeunes, à une époque où les modems étaient analogiques, où l’on devait expliquer ce qu’était Internet, le web, les e-mails. NVISION aujourd’hui, ce sont deux entreprises, trente personnes, des clients natio-naux et internationaux.

Dix ans de NVISION en chiffres, c’est 1 équipe pluridisciplinaire, constituée de 21 spécia-listes du web, claviers et souris, 1.645.892 lignes de code, 50.251 tas-ses de café bues, heures de réunion, 69.744 messages ICQ, 2 mariages, Christophe, 10 Schueberfouer, employés Mpulse, 4 stagiaires, mètres de câble réseau...

Internet change vite et sans arrêt. Les innovations se succèdent les unes aux autres, à un rythme qui ne semble pas vouloir s’essouffl er. Alors que pour certains le web est offi ciellement rentré dans l’âge du «2.0», NVISION s’est déjà réinventée plusieurs fois, en proposant à chaque fois de nouveaux services à ses clients.

NVISION? Il n’y a pas de réponse simple. C’est une his-toire de personnes, de clients, de technologies, d’usages, d’audace, de prises de ris-ques. C’est tout simplement l’histoire d’une société, comme il en existe peut-être d’autres... Mais comme c’est la nôtre, et que nous en sommes heureux, nous vous proposons ici de découvrir une partie de l’envers du décor.

En effet, certains de ceux qui liront ces lignes nous connaissent depuis le début. D’autres, peut-être la plupart, ne nous connaissent pas encore, ou que très par-tiellement. Les pages qui suivent vous permettront de faire notre connaissance. Nous fêtons notre première décennie en vous racontant notre histoire, en vous présentant notre présent et en partageant un peu de ce que ces années nous ont enseigné.

Dix ans, c’est assez pour avoir de l’expérience, ce n’est pas assez pour ne plus avoir de rêves ou d’envies. Nous comptons bien vous étonner souvent dans les 10 prochaines années! RENDEZ-VOUS EN 2020... OU AVANT!

équipe pluridisciplinaire, constituée de 21 spécia- lignes de code, 48 nuits blanches, 50.251

69.744 messages ICQ, 2 mariages, 5 Christophe, stagiaires, 1.987 mètres de câble réseau...

Internet change vite et sans arrêt. Les innovations se succèdent les unes aux autres, à un rythme qui ne semble pas vouloir s’essouffl er. Alors que pour certains le web est

NVISION s’est déjà réinventée plusieurs fois, en proposant à chaque fois de nouveaux services à ses clients.

? Il n’y a pas de réponse simple. C’est une his-toire de personnes, de clients, de technologies, d’usages, d’audace, de prises de ris-ques. C’est tout simplement l’histoire d’une société, comme il en existe peut-être d’autres... Mais comme c’est la nôtre, et que nous en sommes heureux, nous vous proposons ici de découvrir une partie de l’envers du décor.

NVISION en chiffres, c’estlistes du web, 89 claviers et souris,ses de café bues, 5.268 heures de réunion,

Schueberfouer, 7 employés Mpulse,

Internet change vite et sans arrêt. Les innovations se succèdent les unes aux autres, à un rythme qui ne semble pas vouloir s’essouffl er. Alors que pour certains le web est offi ciellement rentré dans l’âge du «2.0», en proposant à chaque fois de nouveaux services à ses clients.

Comment expliquer ce qu’est NVISIONtoire de personnes, de clients, de technologies, d’usages, d’audace, de prises de ris-ques. C’est tout simplement l’histoire d’une société, comme il en existe peut-être d’autres... Mais comme c’est la nôtre, et que nous en sommes heureux, nous vous proposons ici de découvrir une partie de l’envers du décor.

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Commençons par le commencement… Comment tout cela a-t-il débuté?

L’origine de l’aventure, c’est luxusbuerg.lu. Nous avi-ons créé une ASBL pour animer le site, qui était un réseau de «chat» en ligne. Il avait été lancé en 1996. Au bout de deux ans, nous avons organisé un évé-nement «dans la vraie vie» pour rencontrer en face à face les utilisateurs que nous ne connaissions que via clavier et écran… Et là, grosse surprise! 350 person-nes qui viennent au Scott’s! En 1998, c’était énorme, incroyable.

Le passage de l’ASBL à la société s’est effectué en 1999. Nous avions l’impression d’avoir quelque chose entre les mains qu’il fallait valoriser… et qu’une asso-ciation n’était pas adaptée. Nous rencontrions sou-vent à l’époque l’Entreprise des Postes et Télécommu-nications qui regardait luxusbuerg.lu d’un œil assez «positif». En 1999, le site est devenu le channel de dis-cussion offi ciel du site des P&T, qui à l’époque était le site le plus visité du Luxembourg.

L’association a confi é à Nvision la gestion technique et le développement commercial du site. Nous voulions proposer des publicités ciblées, en profi lant les per-sonnes selon leur âge, les canaux de discussion qu’ils fréquentaient… L’idée était, d’une certaine manière, de construire un réseau social. C’est cette approche qui a rendu le partenariat avec les P&T possible.

APPRENDRE ET GRANDIR EN AVANÇANT...

APPRENDRE ET APPRENDRE ET APPRENDRE ET APPRENDRE ET GRANDIR GRANDIR GRANDIR GRANDIR EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...

RAOUL MULHEIMSL’origine de l’aventure, c’est RAOUL MULHEIMSL’origine de l’aventure, c’est luxusbuerg.luRAOUL MULHEIMSluxusbuerg.luRAOUL MULHEIMSL’origine de l’aventure, c’est RAOUL MULHEIMSL’origine de l’aventure, c’est

R.M.L’association a confi é à Nvision la gestion technique R.M.L’association a confi é à Nvision la gestion technique

MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en

Nvision, petite entreprise créée il y a 10 ans par trois étudiants et un jeune diplômé, est aujourd’hui devenue un groupe employant plus de 30 personnes... Regards croisés de Raoul Mulheims et Mike Sergonne, Managing Partners.

EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...EN AVANÇANT...

Commençons par le commencement… Comment

L’origine de l’aventure, c’est ons créé une ASBL pour animer le site, qui était un réseau de «chat» en ligne. Il avait été lancé en 1996. Au bout de deux ans, nous avons organisé un évé-nement «dans la vraie vie» pour rencontrer en face à face les utilisateurs que nous ne connaissions que via clavier et écran… Et là, grosse surprise! 350 person-nes qui viennent au Scott’s! En 1998, c’était énorme,

Le passage de l’ASBL à la société s’est effectué en 1999. Nous avions l’impression d’avoir quelque chose entre les mains qu’il fallait valoriser… et qu’une asso-ciation n’était pas adaptée. Nous rencontrions sou-vent à l’époque l’Entreprise des Postes et Télécommu-

luxusbuerg.lu«positif». En 1999, le site est devenu le channel de dis-cussion offi ciel du site des P&T, qui à l’époque était le site le plus visité du Luxembourg.

L’association a confi é à Nvision la gestion technique et le développement commercial du site. Nous voulions proposer des publicités ciblées, en profi lant les per-sonnes selon leur âge, les canaux de discussion qu’ils fréquentaient… L’idée était, d’une certaine manière, de construire un réseau social. C’est cette approche qui a rendu le partenariat avec les P&T possible.

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MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en MIKE SERGONNELe passage de l’ASBL à la société s’est effectué en

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21spécialistes du web

16458921645892 lignes de code 500011645892500011645892

tasses de café bues

4848nuits blanches

198716458921987164589250001198750001164589250001164589219871645892500011645892mètres de câble réseau526850001526850001

tasses de café bues5268tasses de café bues

4852684819875268198750001198750001526850001198750001

heures de réunion48heures de réunion48

891987claviers et souris1987

6974469744216974421spécialistes du web69744spécialistes du web

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Nvision aujourd’hui, ce sont : aujourd’hui, ce sont :

19871987198719871987

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Après le comment, le quand…

Pour être très précis, la société a été constituée le 17 décembre 1999. Mais le vrai début date de jan-vier 2000. Nous avons commencé dans des locaux sous-loués au père d’un des quatre actionnaires de l’époque... Le bureau faisait 12 m2, sans fenêtre... Je tra-vaillais avec trois fumeurs…

Mike était le seul employé à ce moment-là. Tous les autres fi nissaient leurs études…

Puis le quoi… Que vouliez-vous faire?

Le business plan initial prévoyait plusieurs activités. En premier lieu, la vente d’espaces publicitaires sur luxusbuerg.lu, comme nous l’avons dit plus tôt. Il y avait également un projet de plateforme de diffusion d’appels d’offres, publics, privés puis européens, selon un profi lage pointu. Nous avons rencontré différents acteurs du marché pour leur parler de cette idée. Cer-tains ont été plutôt agressifs: «Mais non, vous n’y arri-verez pas», «Ne vous lancez pas là-dedans, nous avons prévu de le faire.»

Il ne faut pas oublier qu’à l’époque, nous avions entre 23 et 25 ans… Alors, fatalement, ce genre de remarques, nous les prenions en pleine face… Nous n’avions aucune crédibilité vis-à-vis de nos interlo-cuteurs.

Une des questions ou des objections que l’on nous faisait souvent, c’était celle de la solidité de l’entre-prise: «Mais votre société, est-ce qu’elle sera encore là dans deux ans?» En sortant de ces rendez-vous, quel-quefois nous en rigolions presque entre nous: «Si ça se trouve, c’est dans six mois qu’on aura fermé… Il a été gentil de nous donner deux ans de perspective…»

« Les années 2000, c’était le temps des cow-boys et des indiens!»

« « « « Les années 2000, Les années 2000, Les années 2000, Les années 2000, c’était le temps c’était le temps c’était le temps c’était le temps des cow-boys et c’était le temps des cow-boys et c’était le temps des cow-boys et des cow-boys et des cow-boys et des indiens!des cow-boys et des indiens!des cow-boys et des indiens!des indiens!des indiens!»»»»

Quelles étaient vos autres «ambitions initiales»?

Nous voulions également créer une base de données de la jurisprudence luxembourgeoise, avec des critères de recherche détaillés. Une autre de nos envies était de proposer des produits pour la création de sites Internet pour les communes, avec un espace pour les citoyens, leur proposer des pages d’accueil, des outils pour créer des liens entre les administrations et les citoyens...

Les idées étaient peut-être un peu compliquées pour une technologie qui était encore mal connue à l’époque?

Il y a plusieurs choses. Tout d’abord, entre les ambi-tions que l’on avait et ce que la technologie permettait de faire à l’époque, il y avait effectivement un écart… sans compter, avouons-le, notre expertise ou notre expérience de l’époque. D’une certaine manière, nous étions naïfs: nous pensions qu’une bonne idée allait suffi re pour convaincre nos interlocuteurs de signer un bon de commande.

Et puis en plus, à l’époque, il fallait expliquer l’inté-rêt d’aller sur Internet… Qu’est-ce que c’est? Pour-quoi? A quoi ça sert? Qu’est-ce que ça va m’apporter? Aujourd’hui, 10 ans après, il n’y a plus besoin d’ex-pliquer ce qu’est un site Internet. On n’a même plus besoin d’expliquer qu’il faut régulièrement le faire évoluer.

Les années 2000, c’était le temps des cow-boys et des indiens! Certains facturaient l’équivalent de 25.000 euros pour trois pages HTML... Nous, nous arrivions derrière et demandions 2 à 3.000 euros pour 10 fois plus de pages. Comment leur expliquer qu’ils s’étaient fait avoir? Une personne rencontrée avait même dit qu’elle arrêtait Internet... «Trop cher, trop compliqué!»

M.S.»M.S.»»M.S.»»»»M.S.»»»

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M.S.Il y a plusieurs choses. Tout d’abord, entre les ambi-M.S.Il y a plusieurs choses. Tout d’abord, entre les ambi-

M.S.Les années 2000, c’était le temps des cow-boys et des M.S.Les années 2000, c’était le temps des cow-boys et des

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R.M.Mike était le seul employé à ce moment-là. Tous les R.M.Mike était le seul employé à ce moment-là. Tous les

R.M.Le business plan initial prévoyait plusieurs activités. R.M.Le business plan initial prévoyait plusieurs activités.

R.M.Et puis en plus, à l’époque, il fallait expliquer l’inté-R.M.Et puis en plus, à l’époque, il fallait expliquer l’inté-

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R.M.Une des questions ou des objections que l’on nous R.M.Une des questions ou des objections que l’on nous

Après le comment, le quand…

Pour être très précis, la société a été constituée le 17 décembre 1999. Mais le vrai début date de jan-vier 2000. Nous avons commencé dans des locaux sous-loués au père d’un des quatre actionnaires de l’époque... Le bureau faisait 12 mvaillais avec trois fumeurs…

Mike était le seul employé à ce moment-là. Tous les autres fi nissaient leurs études…

Puis le quoi… Que vouliez-vous faire?

Le business plan initial prévoyait plusieurs activités. En premier lieu, la vente d’espaces publicitaires sur

, comme nous l’avons dit plus tôt. Il y avait également un projet de plateforme de diffusion d’appels d’offres, publics, privés puis européens, selon un profi lage pointu. Nous avons rencontré différents acteurs du marché pour leur parler de cette idée. Cer-tains ont été plutôt agressifs:verez pas», «Ne vous lancez pas là-dedans, nous avons

Il ne faut pas oublier qu’à l’époque, nous avions entre 23 et 25 ans… Alors, fatalement, ce genre de remarques, nous les prenions en pleine face… Nous n’avions aucune crédibilité vis-à-vis de nos interlo-

Une des questions ou des objections que l’on nous faisait souvent, c’était celle de la solidité de l’entre-

: «Mais votre société, est-ce qu’elle sera encore là En sortant de ces rendez-vous, quel-

quefois nous en rigolions presque entre nous: se trouve, c’est dans six mois qu’on aura fermé… Il a été gentil de nous donner deux ans de perspective…»

Quelles étaient vos autres «ambitions initiales»?

Nous voulions également créer une base de données de la jurisprudence luxembourgeoise, avec des critères de recherche détaillés. Une autre de nos envies était de proposer des produits pour la création de sites Internet pour les communes, avec un espace pour les citoyens, leur proposer des pages d’accueil, des outils pour créer des liens entre les administrations et les citoyens...

Les idées étaient peut-être un peu compliquées pour une technologie qui était encore mal connue

Il y a plusieurs choses. Tout d’abord, entre les ambi-tions que l’on avait et ce que la technologie permettait de faire à l’époque, il y avait effectivement un écart… sans compter, avouons-le, notre expertise ou notre expérience de l’époque. D’une certaine manière, nous étions naïfs: nous pensions qu’une bonne idée allait suffi re pour convaincre nos interlocuteurs de signer

Et puis en plus, à l’époque, il fallait expliquer l’inté-rêt d’aller sur Internet… Qu’est-ce que c’est? Pour-quoi? A quoi ça sert? Qu’est-ce que ça va m’apporter? Aujourd’hui, 10 ans après, il n’y a plus besoin d’ex-pliquer ce qu’est un site Internet. On n’a même plus besoin d’expliquer qu’il faut régulièrement le faire

Les années 2000, c’était le temps des cow-boys et des indiens! Certains facturaient l’équivalent de 25.000 euros pour trois pages HTML... Nous, nous arrivions derrière et demandions 2 à 3.000 euros pour 10 fois plus de pages. Comment leur expliquer qu’ils s’étaient fait avoir? Une personne rencontrée avait même dit

«Trop cher, trop compliqué!»

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T E N Y E A R S

Avec le recul, avez-vous eu l’impression de prendre de grands risques en vous lançant si jeunes?

Mais concrètement, nous n’avons pas pris de grands risques…

Pas de risques, pas vraiment, mais bon, on a quand même pris le risque de ne presque rien toucher comme salaire pendant deux ans.

Oui, je suis d’accord… Mais en même temps, c’était le temps du hype, de la bulle. Netscape levait des milliards. Nous n’avions pas de liens familiaux particuliers, pas de charges, tout le monde habitait chez ses parents...

La première année, nous avons fait 1.250.000 LUF de chiffre d’affaires. La deuxième, environ 3,7 millions de LUF, soit moins de 100.000 euros. Un beau pourcen-tage d’augmentation, mais une valeur absolue encore trop faible.

La troisième année, on s’est dit qu’il fallait que ça bouge, qu’il n’était pas question de continuer comme ça. Au début, nous pensions ne faire que des produits, pas de prestation de services sur mesure. Nous avons fi nalement changé d’avis… Et nos clients nous ont aidés à changer d’avis.

Comment ce virage de 2002 s’est-il passé?

Il ne s’est pas passé en une fois. Nous avons continué à essayer de lancer des produits. Par exemple, nous avons proposé iConstruct. L’idée était de publier et gérer les réponses aux appels d’offres du secteur de la construction, comme des plateformes d’interfaçage, des programmes de calcul des réponses. Bref, rendre tout le processus électronique. Ce qui a fonctionné, c’est la partie relative à la gestion de projet. On s’oc-

appelons notre «zone de confort», sur des sujets tech-nologiques que nous maîtrisons, où l’important est de bien connaître le sujet et de pouvoir être carré, struc-turé dans les offres. Ce que nous sommes! Ces contrats nous ont permis d’évoluer, de nous développer. On fait du service, on «assume».

La dynamique est lancée, et nous avons conservé notre style commercial: aujourd’hui encore, nous ne mettons jamais le pied dans la porte. Nous essayons de démarcher de manière intelligente, d’une manière qui va avec le sérieux et la prestation que nous vou-lons proposer.

Quels étaient les effectifs à ce moment-là?

Nous étions quatre en 2002. Mike et moi travaillions à plein temps et nous avions deux employés.

Entre 2002 et 2005, nous sommes devenus une véri-table web agency, et nous avons grandi… Nous som-mes arrivés à un effectif d’une dizaine de personnes. Entre les agences et l’Etat, nous avons réussi à gérer une montée en charge régulière.

La croissance s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui…

En 2004, nous avons développé un produit pour l’EPT. C’était une plateforme d’envoi et d’échange de messages mobiles. C’était destiné à leurs clients, avec une interface de gestion web. Au bout d’un moment,

M.S.Pas de risques, pas vraiment, mais bon, on a quand M.S.Pas de risques, pas vraiment, mais bon, on a quand

M.S.La première année, nous avons fait 1.250.000 LUF de M.S.La première année, nous avons fait 1.250.000 LUF de

M.S.Il ne s’est pas passé en une fois. Nous avons continué M.S.Il ne s’est pas passé en une fois. Nous avons continué

M.S.Entre 2002 et 2005, nous sommes devenus une véri-M.S.Entre 2002 et 2005, nous sommes devenus une véri-

R.M.Mais concrètement, nous n’avons pas pris de grands R.M.Mais concrètement, nous n’avons pas pris de grands

R.M.Oui, je suis d’accord… Mais en même temps, c’était le R.M.Oui, je suis d’accord… Mais en même temps, c’était le

R.M.La dynamique est lancée, et nous avons conservé R.M.La dynamique est lancée, et nous avons conservé

R.M.Nous étions quatre en 2002. Mike et moi travaillions R.M.Nous étions quatre en 2002. Mike et moi travaillions

R.M.En 2004, nous avons développé un produit pour R.M.En 2004, nous avons développé un produit pour

R.M.La troisième année, on s’est dit qu’il fallait que ça R.M.La troisième année, on s’est dit qu’il fallait que ça

appelons notre «zone de confort», sur des sujets tech-nologiques que nous maîtrisons, où l’important est de bien connaître le sujet et de pouvoir être carré, struc-turé dans les offres. Ce que nous sommes! Ces contrats nous ont permis d’évoluer, de nous développer. On fait

La dynamique est lancée, et nous avons conservé notre style commercial: aujourd’hui encore, nous ne mettons jamais le pied dans la porte. Nous essayons de démarcher de manière intelligente, d’une manière qui va avec le sérieux et la prestation que nous vou-

Quels étaient les effectifs à ce moment-là?

Nous étions quatre en 2002. Mike et moi travaillions à plein temps et nous avions deux employés.

Entre 2002 et 2005, nous sommes devenus une véri-, et nous avons grandi… Nous som-

mes arrivés à un effectif d’une dizaine de personnes. Entre les agences et l’Etat, nous avons réussi à gérer une montée en charge régulière.

La croissance s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui…

En 2004, nous avons développé un produit pour l’EPT. C’était une plateforme d’envoi et d’échange de messages mobiles. C’était destiné à leurs clients, avec une interface de gestion web. Au bout d’un moment,

Avec le recul, avez-vous eu l’impression de prendre de grands risques en vous lançant si jeunes?

Mais concrètement, nous n’avons pas pris de grands

Pas de risques, pas vraiment, mais bon, on a quand même pris le risque de ne presque rien toucher comme

Oui, je suis d’accord… Mais en même temps, c’était le , de la bulle. Netscape levait des milliards.

Nous n’avions pas de liens familiaux particuliers, pas de charges, tout le monde habitait chez ses parents...

La première année, nous avons fait 1.250.000 LUF de chiffre d’affaires. La deuxième, environ 3,7 millions de LUF, soit moins de 100.000 euros. Un beau pourcen-tage d’augmentation, mais une valeur absolue encore

La troisième année, on s’est dit qu’il fallait que ça bouge, qu’il n’était pas question de continuer comme ça. Au début, nous pensions ne faire que des produits, pas de prestation de services sur mesure. Nous avons fi nalement changé d’avis… Et nos clients nous ont

Comment ce virage de 2002 s’est-il passé?

Il ne s’est pas passé en une fois. Nous avons continué à essayer de lancer des produits. Par exemple, nous avons proposé iConstruct. L’idée était de publier et gérer les réponses aux appels d’offres du secteur de la construction, comme des plateformes d’interfaçage, des programmes de calcul des réponses. Bref, rendre tout le processus électronique. Ce qui a fonctionné, c’est la partie relative à la gestion de projet. On s’oc-

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cupait de l’échange de données entre architectes et bureaux d’études. En 2003, nous nous sommes occu-pés du Lycée de Pétange. Nous étions purement tech-niques dans notre intervention, tout en fournissant un avantage client évident: nous servions de preuve de la remise en temps et en heure des documents.

Le passage à la société de prestation de services s’est fait par différentes collaborations avec des agen-ces de communication, qui nous ont utilisés comme sous-traitants. Notre choix, ça a été de se positionner comme prestataire de qualité et fl exible. Nous vou-lions dès le début faire nos preuves, montrer que nous pouvions apporter de la valeur ajoutée à nos clients. Concrètement, le premier «grand» à nous avoir fait confi ance, c’est l’agence Binsfeld. Nous étions leur prestataire dans différents projets. Ils avaient eu pen-dant un moment une cellule Internet qu’ils ont fer-mée avec la crise et la disparition de la bulle. Ils nous ont permis de gagner en notoriété avec des clients comme Rosport ou Bram, autrement dit parmi les plus grandes marques du Luxembourg!

La deuxième grande opportunité a été les appels d’of-fres du secteur public. L’Etat avait décidé de favoriser la concurrence entre les acteurs. Ils avaient choisi le CMS Infopark pour tous les sites Internet des ministères et des administrations. Obligation était faite à Infopark de proposer des formations gratuites aux sociétés qui souhaitaient participer aux appels d’offres. Cela met-tait tout le monde à égalité: personne n’avait d’expé-rience ou de «track record» sur ce logiciel.

Nous nous sommes tout d’un coup retrouvés à éga-lité avec les autres acteurs. Les trois premiers marchés nous étaient passés sous le nez. Nous avons tout parié sur le quatrième... et un peu cassé les prix. Bien nous a pris: nous avons gagné le marché, celui du site de la Protection civile. Encore une belle référence, un «cachet» qui pouvait rassurer d’autres clients.

Et donc la dynamique était lancée…

Oui. Après, par le bouche-à-oreille, les choses se sont améliorées. Nous avons pu rentrer dans ce que nous

ils nous ont permis de reprendre le produit et de le développer à notre propre profi t. Je dois avouer qu’ils ont été de très bonne volonté sur ce sujet.

En fait, l’intérêt de tous les opérateurs, c’est d’avoir sur le marché une plateforme neutre, qui n’appartient à aucun de leurs concurrents et qui est capable de les interconnecter les uns avec les autres. Le service a commencé par s’appeler Nvision Mobile… Et comme il s’est bien développé, nous avons fi ni par en faire une spin-off en 2006. Mpulse a aujourd’hui un troisième actionnaire, Georges Berscheid, qui est l’architecte et le responsable technique de la plateforme.

Il s’est bien développé… il est parti en fl èche, oui! C’est d’ailleurs assez surprenant: c’est au moment où nous avons fi ni par admettre que nous savions mieux faire du service que du produit, que nous avons réussi à créer un produit qui soit adopté par le marché!

Mpulse a donc une «philosophie» très différente des prestations de Nvision?

Et comment! Alors que Nvision est clairement sur des projets sur mesure pour des clients nationaux, Mpulse est l’exact contraire: du produit et des clients internationaux.

« Notre choix, ça a été de se positionner comme prestataire de qualité et fl exible. »

« « « « Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été de se positionner de se positionner de se positionner de se positionner comme prestataire comme prestataire comme prestataire comme prestataire de qualité et fl exible. de qualité et fl exible. de qualité et fl exible. de qualité et fl exible. »»»»

ils nous ont permis de reprendre le produit et de le développer à notre propre profi t. Je dois avouer qu’ils ont été de très bonne volonté sur ce sujet.

En fait, l’intérêt de tous les opérateurs, c’est d’avoir sur le marché une plateforme neutre, qui n’appartient à aucun de leurs concurrents et qui est capable de les interconnecter les uns avec les autres. Le service a commencé par s’appeler Nvision Mobile… Et comme il s’est bien développé, nous avons fi ni par en faire une spin-off en 2006. Mpulse a aujourd’hui un troisième actionnaire, Georges Berscheid, qui est l’architecte et le responsable technique de la plateforme.

Il s’est bien développé… il est parti en fl èche, oui! C’est d’ailleurs assez surprenant: c’est au moment où nous avons fi ni par admettre que nous savions mieux faire du service que du produit, que nous avons réussi à créer un produit qui soit adopté par le marché!

Mpulse a donc une «philosophie» très différente des prestations de Nvision?

Et comment! Alors que Nvision est clairement sur des projets sur mesure pour des clients nationaux, Mpulse est l’exact contraire: du produit et des clients

Notre choix, ça a été de se positionner comme prestataire de qualité et fl exible.

Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été Notre choix, ça a été de se positionner de se positionner de se positionner de se positionner comme prestataire comme prestataire comme prestataire comme prestataire de qualité et fl exible. de qualité et fl exible. de qualité et fl exible. de qualité et fl exible.

R.M.»R.M.»

M.S.La deuxième grande opportunité a été les appels d’of-M.S.La deuxième grande opportunité a été les appels d’of- M.S.Et comment! Alors que Nvision est clairement sur M.S.Et comment! Alors que Nvision est clairement sur

M.S.En fait, l’intérêt de tous les opérateurs, c’est d’avoir M.S.En fait, l’intérêt de tous les opérateurs, c’est d’avoir

M.S.Oui. Après, par le bouche-à-oreille, les choses se sont M.S.Oui. Après, par le bouche-à-oreille, les choses se sont

R.M.Le passage à la société de prestation de services R.M.Le passage à la société de prestation de services

R.M.Il s’est bien développé… il est parti en fl èche, oui! R.M.Il s’est bien développé… il est parti en fl èche, oui!

R.M.Nous nous sommes tout d’un coup retrouvés à éga-R.M.Nous nous sommes tout d’un coup retrouvés à éga-

10 ans à travailler, ce sont quelques millions de 1 et de 0…

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10 TEN YEARS

T E N Y E A R S

« Nous ne mettons jamais le pied dans la porte. Nous essayons de démarcher de manière intelligente, d’une manière qui va avec le sérieux et la prestation que nous voulons proposer.»

« « « « Nous ne mettons jamais Nous ne mettons jamais Nous ne mettons jamais Nous ne mettons jamais le pied dans la porte. le pied dans la porte. le pied dans la porte. le pied dans la porte. Nous essayons de démarcher Nous essayons de démarcher Nous essayons de démarcher Nous essayons de démarcher de manière intelligente, de manière intelligente, de manière intelligente, de manière intelligente, d’une manière qui va avec d’une manière qui va avec d’une manière qui va avec d’une manière qui va avec le sérieux et la prestation le sérieux et la prestation le sérieux et la prestation le sérieux et la prestation que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.»»»»R.M.

que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.que nous voulons proposer.

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11 TEN YEARS

T E N Y E A R S

et d’en faire profi ter nos clients. Le marché français est pour le moment partagé entre les grands acteurs internationaux et les petits acteurs locaux. Nous inau-gurons une nouvelle taille de prestataires.

Nous avons également eu la chance de gagner un budget de R&D attribué par le ministère de l’Econo-mie, qui va nous permettre de travailler sur le paie-ment par mobile. Le but est de voir comment effectuer un paiement par mobile sans passer par l’opérateur télécom, mais en passant par le système bancaire tra-ditionnel. Il y a beaucoup de travail à fournir, à la fois légal et technique.

Pour Nvision, nous allons développer nos presta-tions vers toutes les phases «post-projet», comme les questions de marketing en ligne. Nous nous sommes construits sur des bases technologiques, et c’est ce que nous allons essayer d’apporter à nos clients. Autre-ment dit, on peut faire des choses dans le domaine du SEO, par exemple, sans prendre la place des agences de marketing ou de communication, mais en propo-sant des outils informatiques pour améliorer les posi-tionnements.

Cela veut dire changer, d’une certaine manière, la façon dont nous travaillons avec le client. Il va falloir être plus proches, mieux comprendre ce qu’ils font et devenir de véritables accompagnateurs et assistants. Mais ici comme pour tout le reste, nous allons le faire à notre rythme, en nous organisant, en choisissant un niveau de qualité de service élevé, en gagnant au fur et à mesure nos galons...

Il y a une évolution sur Internet, même si j’ai toujours voulu éviter le terme de «web 2.0». Concrètement, Internet devient plus actif, plus interactif, même s’il n’est pas toujours plus intelligent ou subtil. Pour le moment, on se contente de dire «j’aime/j’aime pas». Mais en attendant, les gens deviennent actifs sur Inter-net. Ils étaient actifs en cherchant de l’information, ils deviennent actifs en proposant de l’information. L’en-jeu pour les entreprises, ici comme ailleurs, c’est de le comprendre, de le «contrôler», au sens de le prendre correctement en compte, et surtout d’en profi ter.

Et que devenait Nvision, alors que Mpulse décollait?

Nous pensions devoir concentrer nos efforts sur Mpulse, et un peu délaisser Nvision… Et du coup, de 2006 à 2009, Nvision a également connu un vérita-ble boom. Entre 2006 et 2008, les effectifs ont doublé, pour atteindre les 20 personnes. C’est une situation qui nous a obligés à structurer et organiser la société de manière différente: nous avons mis en place des workfl ows, installé un middle management… Bref, nous nous sommes adaptés, nous avons appris à mar-cher en avançant.

La taille des clients a également changé en 2006. Tout a commencé avec Arcelor, qui a lancé un appel d’of-fres… que nous avons gagné. J’ai un petit sentiment de nostalgie en pensant à ce site: nous avons reçu la confi rmation de commande en décembre 2005, et le 27 janvier 2006, Mittal lançait son OPA… Le site est bien allé en ligne, mais il n’y est resté qu’un an.

Comment aviez-vous gagné ce marché?

Nous avons gagné grâce au pitch initial. Nous avions consacré du temps et investi dans la création du concept par des pré-études, sans oublier la construc-tion du dossier. Pour réutiliser une expression déjà citée, nous étions dans notre zone de confort.

C’est-à-dire?

Nous sommes en fait à la liaison entre les SSII et les agences de communication. Nous sommes à la fois capa-bles de faire une partie de leur travail et de savoir où nous arrêter. On maîtrise les deux, en venant de la technolo-gie vers la communication. Nous avons en fait réussi à apprendre de chaque projet, pour nous améliorer.

Quelles sont les prochaines étapes de Nvision/Mpulse?

Nous allons travailler à développer Mpulse sur le marché français. La fi liale française a été créée en novembre 2009. Nos offres vont nous permettre de rentabiliser les infrastructures sur les deux marchés

M.S.Nous pensions devoir concentrer nos efforts sur M.S.Nous pensions devoir concentrer nos efforts sur

M.S.Nous avons également eu la chance de gagner un M.S.Nous avons également eu la chance de gagner un

M.S.Cela veut dire changer, d’une certaine manière, la M.S.Cela veut dire changer, d’une certaine manière, la

M.S.Nous sommes en fait à la liaison entre les SSII et les M.S.Nous sommes en fait à la liaison entre les SSII et les

R.M.La taille des clients a également changé en 2006. Tout R.M.La taille des clients a également changé en 2006. Tout

R.M.Nous avons gagné grâce au R.M.Nous avons gagné grâce au

R.M.Pour Nvision, nous allons développer nos presta-R.M.Pour Nvision, nous allons développer nos presta-

R.M.Il y a une évolution sur Internet, même si j’ai toujours R.M.Il y a une évolution sur Internet, même si j’ai toujours

R.M.Nous allons travailler à développer Mpulse sur le R.M.Nous allons travailler à développer Mpulse sur le

Et que devenait Nvision, alors que Mpulse décollait?

Nous pensions devoir concentrer nos efforts sur Mpulse, et un peu délaisser Nvision… Et du coup, de 2006 à 2009, Nvision a également connu un vérita-ble boom. Entre 2006 et 2008, les effectifs ont doublé, pour atteindre les 20 personnes. C’est une situation qui nous a obligés à structurer et organiser la société de manière différente: nous avons mis en place des

middle managementnous nous sommes adaptés, nous avons appris à mar-

La taille des clients a également changé en 2006. Tout a commencé avec Arcelor, qui a lancé un appel d’of-fres… que nous avons gagné. J’ai un petit sentiment de nostalgie en pensant à ce site: nous avons reçu la confi rmation de commande en décembre 2005, et le 27 janvier 2006, Mittal lançait son OPA… Le site est bien allé en ligne, mais il n’y est resté qu’un an.

Comment aviez-vous gagné ce marché?

Nous avons gagné grâce au consacré du temps et investi dans la création du concept par des pré-études, sans oublier la construc-tion du dossier. Pour réutiliser une expression déjà

et d’en faire profi ter nos clients. Le marché français est pour le moment partagé entre les grands acteurs internationaux et les petits acteurs locaux. Nous inau-gurons une nouvelle taille de prestataires.

Nous avons également eu la chance de gagner un budget de R&D attribué par le ministère de l’Econo-mie, qui va nous permettre de travailler sur le paie-ment par mobile. Le but est de voir comment effectuer un paiement par mobile sans passer par l’opérateur télécom, mais en passant par le système bancaire tra-ditionnel. Il y a beaucoup de travail à fournir, à la fois

Pour Nvision, nous allons développer nos presta-tions vers toutes les phases «post-projet», comme les questions de marketing en ligne. Nous nous sommes construits sur des bases technologiques, et c’est ce que nous allons essayer d’apporter à nos clients. Autre-ment dit, on peut faire des choses dans le domaine du SEO, par exemple, sans prendre la place des agences de marketing ou de communication, mais en propo-sant des outils informatiques pour améliorer les posi-

Cela veut dire changer, d’une certaine manière, la façon dont nous travaillons avec le client. Il va falloir être plus proches, mieux comprendre ce qu’ils font et devenir de véritables accompagnateurs et assistants. Mais ici comme pour tout le reste, nous allons le faire à notre rythme, en nous organisant, en choisissant un niveau de qualité de service élevé, en gagnant au fur

Il y a une évolution sur Internet, même si j’ai toujours voulu éviter le terme de «web 2.0». Concrètement, Internet devient plus actif, plus interactif, même s’il n’est pas toujours plus intelligent ou subtil. Pour le moment, on se contente de dire Mais en attendant, les gens deviennent actifs sur Inter-net. Ils étaient actifs en cherchant de l’information, ils deviennent actifs en proposant de l’information. L’en-jeu pour les entreprises, ici comme ailleurs, c’est de le comprendre, de le «contrôler», au sens de le prendre correctement en compte, et surtout d’en profi ter.

citée, nous étions dans notre zone de confort.

Nous sommes en fait à la liaison entre les SSII et les agences de communication. Nous sommes à la fois capa-bles de faire une partie de leur travail et de savoir où nous arrêter. On maîtrise les deux, en venant de la technolo-gie vers la communication. Nous avons en fait réussi à apprendre de chaque projet, pour nous améliorer.

Quelles sont les prochaines étapes de Nvision/

Nous allons travailler à développer Mpulse sur le marché français. La fi liale française a été créée en novembre 2009. Nos offres vont nous permettre de rentabiliser les infrastructures sur les deux marchés

M.S.

M.S.

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12 TEN YEARS

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BESTCASESBESTCASES

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13 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Travailler dans le domaine d’Internet, c’est notamment construire des sites web.

Tous les projets sont importants, et certains sont plus marquants que d’autres.

Parce qu’ils sont plus beaux, plus inventifs, plus technologiques, plus gros,

ou tout simplement atypiques…

Les pages qui suivent vous présentent quelques-uns des sites réalisés par Nvision

au cours de ces 10 dernières années. Ils sont importants pour différentes raisons.

Parce qu’ils sont caractéristiques d’une étape, d’une époque de la société?

Parce que le défi était de taille, et que nous sommes fi ers de l’avoir relevé?

Un peu des deux, probablement. Quoi qu’il en soit, ce sont des souvenirs,

plus ou moins récents, que nous voulions partager avec vous.

Sur Internet, tout change très vite, dans tous les sens, à toute vitesse. Ce qui est

constant? L’enthousiasme et la passion. Dans chaque projet, nous essayons d’amener

le maximum de notre expérience, de nos compétences et de notre énergie.

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«Ces deux années ont été celles de l’apprentissage et des projets issus de notre business plan initial. Nous avons également appris, pendant ces deux ans, ce que c’est que de s'occuper d'une entreprise et de vouloir transformer ses idées en réalité.»

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T E N Y E A R S

2001

iConstruct avait comme vocation de permettre de gérer de A à Z les projets de construction, en y hébergeant les appels d’offres en ligne et en y intégrant l’affi chage des avis, le remplis-sage des bordereaux de réponse, la gestion des échanges de fi chiers entre les différents interve-nants et la coordination des plannings. Autre-ment dit, il permettait la coordination complète des chantiers!

iconstruct

NVISION 1.0: EN SUIVANT LE BUSINESS PLAN...2000 2001

NVISION 1.0: EN SUIVANT LE BUSINESS PLAN...

Luxusbuerg, c’est l’origine de Nvision: c’est le site qui nous a donné l’envie d’aller plus loin, de se lancer dans l’aventure de l’entreprise... En effet, trois des quatre actionnaires initiaux étaient impliqués dans ce projet, depuis 1996.

2000Luxusbuergwww.luxusbuerg.lu

Année: 2000, refonte en 2005

URL: www.luxusbuerg.lu

Client: produit de Nvision

Technologies: CMS sur mesure en PHP/MySQL, XHTML/CSS, Flash (Interface chat)

Particularité:2e site le plus populaire du Luxembourg en 2001 avec plus de 4.000 visiteurs journaliers

Année: 2001

URL: www.iconstruct.lu(offl ine)

Client: produit de Nvision

Technologies: PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité: gestion et échange de fi chiers en ligne, gestion des droits avancée

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Page 15: Brochure Nvision 2011

15 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Bram a été notre premier projet d’envergure, en collaboration avec Binsfeld Communication. Ils ont signé le concept et le design, nous nous sommes occupés de la partie technique.

Games.pt.lu, c’est la gestion conceptuelle, éditoriale et technique d’un portail de jeux, qui est arrivée dans le prolongement d’une collaboration générale avec l’Entreprise des P&T qui durait depuis l’année 2000...

Bramwww.bram.lu Games.pt.lu

2002 2003

NVISION 2.0: ET SI L’ON FAISAIT DES SITES WEB?2002 2005

NVISION 2.0: ET SI L’ON FAISAIT DES SITES WEB?

Année: 2002

URL: www.bram.lu (nouvelle version en ligne)

Client: Binsfeld Communication

Technologies: PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:premier site pour une enseigne de renom

Année: 2003

URL: games.pt.lu (offl ine)

Client: Entreprise des P&T

Technologies: PostNuke CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:reprise de la gestion éditoriale et technique du portail de jeux

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16 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Le portail de l’Administration des services de secours, 112.lu, a été le premier appel d’offres public que nous avons remporté dans le cadre du programme eLuxembourg et le premier avec le système de gestion de contenu Infopark.

2003 2005

Le portail de l’Unicef, c’est un projet également basé sur Infopark... Il a été réalisé et hebergé par nos soins, enrichi d’un site de vente en ligne.

Portail 112www.112.lu

Unicefwww.unicef.lu

NVISION 2.0: ET SI L’ON FAISAIT DES SITES WEB?2002 2005

NVISION 2.0: ET SI L’ON FAISAIT DES SITES WEB?

Année: 2003

URL: www.112.lu

Client: Administration des services de secours

Technologies: Infopark CMS, XHTML/CSS

Particularité:première soumission publique eLuxembourg remportée par Nvision

Année: 2005

URL: www.unicef.lu (nouvelle version en ligne)

Client: Unicef Luxembourg

Technologies: Infopark CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:premier projet Infopark développé et hébergé au moyen de la plateforme d'hébergement de Nvision

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17 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Le portail Arcelor.com, c’est un appel d’offres international que nous avons remporté devant des grands concurrents étrangers. Nous avons signé l’étude conceptuelle, le design et l’intégration XHTML/CSS.

Avec Diekirch, nous avons eu la chance de travailler avec une entreprise qui mettait le web et la téléphonie mobile au centre de sa stratégie de communication.

Arcelorwww.arcelor.com

Brasserie Mousel-Diekirch www.diekirchsurf.lu

20062006

NVISION 3.0: ENFIN ADULTES!2006 2008

NVISION 3.0: ENFIN ADULTES!

Année: 2006

URL: www.arcelor.com (offl ine)

Client: Arcelor

Technologies: XHTML/CSS

Particularité:appel d'offres international, prestation de concept, architecture, design, XHTML/CSS sans développement de CMS ou en PHP.

Année: 2006

URL: www.diekirchsurf.lu

Client: Brasserie de Luxembourg

Technologies: PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:full service web et élaboration d’une stratégie de web marketing

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18 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Avec les sites de Mike Koedinger Editions, nous avons eu l’occasion de prendre en charge tout le cycle du projet: études et concepts, design et réalisation technique.

20072008

Le site de Raiffeisen a été l’occasion de faire adopter par un acteur important de la place fi nancière une solution open-source: le système de gestion de contenu Drupal... Nous nous sommes également occupés du design.

Mike Koedinger Editionswww.paperjam.lu

Raiffeisenwww.raiffeisen.lu

2006 2008

NVISION 3.0: ENFIN ADULTES!NVISION 3.0: ENFIN ADULTES!

Année: 2007

URL: www.paperjam.lu

Client: Mike Koedinger Editions

Technologies: Infopark PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:mise en ligne de plus de 15.000 articles au moyen du CMS Infopark

Année: 2008

URL: www.raiffeisen.lu

Client: Banque Raiffeisen

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:premier site réalisé au moyen d'un CMS open-source (Drupal) pour un acteur majeur du secteur fi nancier luxembourgeois

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19 TEN YEARS

T E N Y E A R S

SES ASTRA, c’est un vrai partenariat visant à élaborer la stratégie et la mise en œuvre de la présence web de l’entreprise. Nous avons assuré la consultance, la gestion et la réalisation de sites, tout comme le déploiement d’applications et la gestion de projets de web marketing.

Le Centre Hospitalier de Luxembourg, c’était aborder le secteur de la santé en travaillant direct-ement avec le plus grand groupe hospitalier luxembourgeois. En plus de la présence web, nous nous sommes également occupés de l’Intranet. Les deux volets ont été réalisés dans Drupal, et nous avons assuré tout le cycle, de l’étude initiale à la maintenance, en passant par le design et, bien entendu, la réalisation.

SES ASTRA www.astra2connect.com

Centre Hospitalierde Luxembourgwww.chl.lu

20092009

NVISION 4.0: VERS DE NOUVEAUX HORIZONS...2009 2010

NVISION 4.0: VERS DE NOUVEAUX HORIZONS...

Année: 2009

URL: www.astra2connect.lu

Client: SES ASTRA

Technologies: Infopark CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:réalisation du site web et coordination d'une vaste action de Search Engine Marketing (SEM)

Année: 2009

URL: www.chl.lu

Client: Centre Hospitalier de Luxembourg

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:site en Drupal pour le plus grand groupe hospitalier au Luxembourg

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20 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Le portail web de l’ABBL a été porté vers Drupal, en assurant la réalisation technique mais égale-ment en apportant des conseils et des prestations de maintenance. Cerise sur le gâteau: nous avons travaillé sur le développement d’interfaces spéci-fi ques permettant des échanges de données.

Association des Banques et Banquierswww.abbl.lu

2009

Avec MyEnergy, nous avons encore eu l’occasion de faire plus que du développement sur Drupal. Nous avons apporté du conseil sur la stratégie et la structuration des contenus, tout en continuant à assurer le design.

MyEnergywww.myenergy.lu

2009

NVISION 4.0: VERS DE NOUVEAUX HORIZONS...2009 2010

NVISION 4.0: VERS DE NOUVEAUX HORIZONS...

Année: 2009

URL: www.myenergy.lu

Client: MyEnergy G.I.E.

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:étude de l'architecture de l'information, du concept et réalisation au moyen de Drupal avec un design au goût du jour

Année: 2009

URL: www.abbl.lu

Client: Association des Banques et Banquiers, Luxembourg

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:interfaçage de Drupal avec des sources de données externes

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21 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Nous avons mis au point le design du site web du pavillon luxembourgeois à l’exposition universelle de Shanghai, sur Drupal... Nous nous sommes exportés en Chine!

Luxembourg Expo 2010 Shanghaiwww.luxembourgexposhanghai.lu

2010

Luxembourg for Business, c’est une structure qui allie le public et le privé pour la promotion du commerce luxembourgeois. Nous avons assuré la conceptualisation, le conseil, le design et la réalisation technique

Luxembourg for Business www.luxembourgforbusiness.lu

2010

Année: 2010

URL: www.luxembourg-exposhanghai.lu

Client: Luxembourg@ExpoShanghai2010 G.I.E.

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSS

Particularité:site illustrant la fl exibilité de Drupal pour l'intégration d'un design web contemporain

Année: 2010

URL: www.luxembourg-forbusiness.lu

Client: Luxembourg for Business G.I.E.

Technologies: Drupal CMS, PHP/MySQL, XHTML/CSSS

Particularité:implémentation d'un design innovant et de plusieurs modules spécifi ques sous Drupal

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Page 22: Brochure Nvision 2011

22 TEN YEARS

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Page 23: Brochure Nvision 2011

23 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Au début de n’importe quel projet web, il faut répondre à différentes questions. En tête de la liste: quelle est la place du web dans votre stratégie marketing? Comment se positionne-t-il par rapport aux autres médias? Quelle est son importance? Que vous vendiez des produits ou proposiez vos services, le marketing, la communication et la vente se font via différents canaux et différents médias. Visez le meilleur, en intégrant et en rendant complémentaires les différents outils qui sont à votre disposition. Soyez proactif, pensez avant d’agir et mettez au point un véritable «plan de bataille» avant de vous plonger dans la réalisation, dans le concret. Internet est spécial, c’est un média interactif... Profi tez des perspectives qu’il vous offre: vous pouvez articuler les messages des autres médias autour du web, pour recueillir les réactions de vos cibles... Et n’oubliez pas qu’Internet, ça peut également servir à vendre...

EN RÉSUMÉ: La stratégie Internet fait partie intégrante de votre stratégie marketing globale. Ce n’est ni un projet à part ni un aspect mineur.

FIXEZ DES OBJECTIFS ET UN CADRE CLAIRS ET PRÉCIS

EN RÉSUMÉ: Faites un cahier des charges et répartissez les méthodes, rôles et responsabilités de manière claire.

Vous avez positionné Internet dans votre stratégie globale. Devenez plus précis: fi xez des objectifs précis à votre site web. Prenez du temps pour construire un cahier des charges... vous le récupérerez rapidement pendant le projet. Sans lui, vous vous épuiserez à rattraper des changements de cap en cours de projet. Et en plus, fi xer des objectifs réalistes a priori est le seul moyen de dire si le projet a réussi ou non! Sans compter que vous rendrez la vie plus facile à vos équipes comme à vos prestataires. Et une fois lancé, continuez sur l’élan. Préparez les règles de gestion de projet: comment va-t-on travailler? Qui seront les interlocuteurs? Quelles seront leurs responsabilités? Comment allez-vous échanger avec votre prestataire? N’oubliez pas qu’un projet web, c’est à la fois de la communication et de l’informatique... Ce qui pose un défi de taille – faire se comprendre des gens qui ne sont pas habitués à parler le même langage – et justifi e encore plus tout le travail accompli avant de se lancer dans la phase de production.

INTÉGREZ VÉRITABLEMENT LE WEB DANS VOTRE MARKETING-MIX

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24 TEN YEARS

T E N Y E A R S

Tous les goûts sont dans la nature... surtout dans les domaines du design, de l’ergonomie et de la technologie. On pense souvent que son avis est le bon et l’on rechigne à faire des concessions. En théorie, la création d’un petit site web est à la portée de presque tout le monde... Mais si vous souhaitez faire plus et mieux, écoutez les professionnels avec qui vous êtes en relation: ils peuvent vous apporter des choses. Par exemple, une meilleure qualité, une plus grande adéquation entre votre stratégie, votre image, vos besoins et vos ambitions pour votre site. Les «petits plus» sont souvent déterminants pour le succès d’un projet Internet. Ils peuvent pérenniser vos choix, faciliter l’utilisation au quotidien ou encore améliorer la sécurité. Ayez un avis, mais ne basez pas vos choix uniquement sur vos propres goûts: c’est en échangeant avec un maximum de personnes et en synthétisant les points de vue que l’on améliore son approche.

EN RÉSUMÉ: Faites confi ance à votre équipe et aux spécialistes, surtout si leurs recommandations sont argumentées.

ADAPTEZ LES CONTENUS ET LES FONCTIONNALITÉS À VOTRE CONTEXTE

EN RÉSUMÉ: Dimensionnez votre projet à l’échelle de vos besoins et de vos moyens, fi nanciers et humains. Un site Internet exige de l’argent, du temps et de l’implication.

Un internaute décide en un clin d’œil s’il va rester ou quitter votre site Internet, surtout s’il arrive chez vous par un moteur de recherche. Son jugement est rapide et sévère. Les actualités de votre site ne sont plus mises à jour depuis des mois? Mauvais. Le design date des années 90? Mauvais. Trop d’options et de fonctionnalités parasites, qui n’ont rien à voir avec votre stratégie? Mauvais. Vous attirerez peut-être des visiteurs, mais sont-ils les bons? Par exemple: ne proposez pas des rubriques sans lien avec votre objectif. Leur entretien coûtera des efforts et les effets, directs ou indirects, ne seront certainement pas à la hauteur des espérances. Autre exemple: ne proposez la création d’un profi l personnalisé que si vous proposez également un contenu ou un service associé qui apporte une réelle valeur ajoutée, en contrepartie de l’effort que vous demandez. Autrement dit: ne mettez rien en production que vous ne puissiez entretenir. Assumez, réduisez la dimension de votre projet au profi t de sa pertinence et de son effi cacité.

ÉCOUTEZ ET FAITES CONFIANCE

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Vous voulez un site Internet qui génère des rentrées fi nancières, que ce soit par la vente en ligne, la vente d’espaces publicitaires ou toute autre technologie? Réfl échissez bien à votre modèle économique... Il doit être réaliste et viable. Une vraie bonne idée est une idée qui rapporte, directement ou indirectement. Votre projet de commerce électronique devra être détaillé. Faites de la veille concurrentielle, étudiez les tarifs pratiqués, mettez des chiffres sur votre projet. Prenez le temps de faire un plan d’affaires, avec des hypothèses basse, moyenne et haute. Soyez honnêtes avec vous-même. Mieux vaut abandonner une idée parce que vous avez réfl échi et découvert que la concurrence est rude, la demande restreinte ou les perspectives de revenus limitées, que d’aller trop vite et perdre de l’argent. Cette remarque est particulièrement valable si vous visez uniquement le marché luxembourgeois et ses 500.000 habitants. Les efforts à faire sont souvent comparables à ceux qu’il faudrait déployer pour un marché plus grand, pour une population cible plus réduite et des coûts de promotion proportionnellement plus élevés.

EN RÉSUMÉ: Le web n’est pas différent du monde réel. Un projet doit être viable économiquement parlant.

CHOISISSEZ LA BONNE SOLUTION TECHNIQUE

EN RÉSUMÉ: Pensez stratégie et besoins, avant de choisir la technologie... Encore mieux: laissez votre partenaire choisir la technologie qui vous correspond le mieux.

La solution technique ne doit pas infl uer sur votre stratégie et vos objectifs. Les environnements technologiques doivent satisfaire vos besoins et être des points d’appui pour votre ambition. Vous devez vous assurer que les outils que vous choisirez pourront vous accompagner plus que le temps d’un seul projet. Ils doivent être performants et faciles à utiliser: n’oubliez pas que des humains vont l’utiliser! Sans oublier la sécurité... Privilégiez une solution souple et fl exible plutôt qu’une grande usine à gaz, qui ne répondra que partiellement à vos besoins et créera plus de problèmes qu’elle n’en résout.

CHOISISSEZ UN MODÈLE ÉCONOMIQUE VIABLE

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Ce qui n’a pas de prix n’a pas de valeur. Si vous voulez de la qualité, vous devrez payer. Certains travaux peuvent paraître simples, d’autres demandent de la compréhension de votre secteur, de l’intelligence, du savoir-faire. De bons professionnels mettent ces qualités et connaissances à votre service. Ils investissent constamment dans la formation des équipes, la gestion de projet et la généralisation des meilleures pratiques. Tout ne doit pas être négocié. Si vous pouvez bien entendu demander un «geste commercial» ou renégocier certains points, souvenez-vous que réduire le coût d’un projet signifi e quasiment à coup sûr que le temps passé sur le projet par le prestataire, et donc la qualité fi nale, vont être inférieurs. Prendre le prestataire le moins cher n’est pas non plus toujours la bonne solution. C’est le rapport qualité/prix qui doit guider votre choix. Comment l’évaluer? Regardez les références du prestataire, sa méthodologie et ses processus, la qualifi cation de l’équipe projet, ainsi que sa capacité d’analyse des besoins... Il vous l’a montré dans l’établissement d’une proposition de services. C’est la somme de tous ces facteurs qui permet de trouver l’équilibre entre le prix et la qualité.

EN RÉSUMÉ: Rappelez-vous que le prix n’est qu’un facteur parmi d’autres pour évaluer la qualité d’une proposition et donc les chances d’atteindre vos objectifs.

RÉFLÉCHISSEZ AUX ÉTAPES ET À L’ORGANISATION DE VOTRE PROJET

EN RÉSUMÉ: Etablissez un planning pour le projet que vous pourrez respecter.

Un projet web est complexe. Il doit mettre en adéquation une stratégie marketing, des impératifs de communication, des aspects techniques... Vous n’avez pas le choix: vous devez établir de manière préalable une organisation et un planning rigoureux. Les projets web sont majoritairement séquentiels: une phase succède à l’autre. Conséquence directe: un retard dans une phase se répercute sur les suivantes, et n’est que rarement rattrapable. Vouloir imposer un planning très serré est bien souvent illusoire: ni vous ni votre prestataire ne serez capables de le respecter. Et si vous l’imposez, vous allez créer des mécontentements et de la frustration bien inutiles et contre-productifs. Autre point important: vous devez être disponible pour votre prestataire. Il va nécessairement vous poser des questions ou attendra des validations pour pouvoir avancer. Pour accélérer le rythme, désignez deux interlocuteurs référents: un dans votre structure et un autre chez votre prestataire. Précisez également leurs rôles, leurs responsabilités, les tâches qu’ils devront assumer. Si votre projet est très ambitieux, pourquoi ne pas le rendre plus gérable en le structurant en phases successives? Vous faciliterez ainsi à la fois la gestion de projet et la prise de risques.

ENGAGEZ UN BUDGET JUSTIFIÉ ET JUSTIFIABLE

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Si le web fonctionnait comme les médias papier, vous pourriez changer beaucoup de choses au dernier moment, sans trop de diffi cultés. Avec la technologie, c’est malheu-reusement impossible: déplacer un élément a souvent des conséquences en matière de programmation. L’ajout d’une fonctionnalité nécessite souvent l’écriture du code de programmation, associée aux tests de bon fonctionnement, sans compter les vérifi cations pour éviter que le changement ne perturbe le fonctionnement d’autres composants. Pour éviter ces problèmes, procédez à des validations au début du projet et aux étapes intermédiaires importantes. Prenez bien le temps de vérifi er régulièrement que le projet ne s’éloigne pas de votre cahier des charges, et validez de manière ferme et défi nitive les différents livrables, à chaque étape du projet.

EXPLOITEZ ET COMMUNIQUEZ AUTOUR DU PROJET

Un projet Internet s’arrête rarement à sa mise en ligne. S’il comporte des éléments interactifs, nécessite des mises à jour régulières ou relève du commerce électronique, il faut nécessairement prévoir les ressources, les moyens et le temps requis pour le gérer. Ces efforts ne doivent pas se limiter au site même. Le search engine marketing, l’optimisation de son référencement dans les moteurs de recherche, l’utilisation des réseaux sociaux, la promotion du site ou enfi n la gestion de la relation client sont autant de chantiers qui durent au-delà de la mise en ligne. Par exemple, la création et la rédaction de lettres d’information sont des éléments qui contribuent au succès d’un projet et qui sont devenus, avec le temps, des métiers à part entière. Les approches sont aussi diverses que les projets: il n’y a pas de recette miracle universelle. C’est l’aspect d’Internet qui a le plus changé avec l’avènement du web 2.0: les internautes sont de moins en moins passifs, mais préfèrent les entreprises et institutions qui profi tent des possibilités offertes par le média.

FAITES VALIDER

EN RÉSUMÉ: Validez régulièrement l’avancement du projet et ne revenez pas sur ces validations. Vous risqueriez de déséquilibrer l’ensemble des développements.

EN RÉSUMÉ: Faites de «l’après-mise en ligne» un nouveau projet. Défi nissez une stratégie, des indicateurs de succès et attribuez-lui les ressources nécessaires.

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Nvision, c’est une équipe de spécialistes dans le domaine du web, avec une structure divisée en plusieurs métiers et rôles.YEARS

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