Benghozi. P.J._analyse de groupe et thérapie familiale psycanalytique

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PASSAGE. ANALYSE DE GROUPE ET THÉRAPIE FAMILIALE PSYCHANALYTIQUE Discussion de l'article de Jacqueline Falguière Pierre-Jean Benghozi ERES | Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 2001/2 - no 37 pages 75 à 79 ISSN 0297-1194 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- http://www.cairn.info/revue-de-psychotherapie-psychanalytique-de-groupe-2001-2-page-75.htm -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Pour citer cet article : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Benghozi Pierre-Jean, « Passage. Analyse de groupe et thérapie familiale psychanalytique » Discussion de l'article de Jacqueline Falguière, Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, 2001/2 no 37, p. 75-79. DOI : 10.3917/rppg.037.0075 -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Distribution électronique Cairn.info pour ERES. © ERES. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. 1 / 1 Document téléchargé depuis www.cairn.info - Université d'Orléans - - 194.167.30.120 - 08/02/2013 16h46. © ERES Document téléchargé depuis www.cairn.info - Université d'Orléans - - 194.167.30.120 - 08/02/2013 16h46. © ERES

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PASSAGE. ANALYSE DE GROUPE ET THÉRAPIE FAMILIALEPSYCHANALYTIQUEDiscussion de l'article de Jacqueline FalguièrePierre-Jean Benghozi ERES | Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe 2001/2 - no 37pages 75 à 79

ISSN 0297-1194

Article disponible en ligne à l'adresse:

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Pour citer cet article :

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Benghozi Pierre-Jean, « Passage. Analyse de groupe et thérapie familiale psychanalytique » Discussion de l'article de

Jacqueline Falguière,

Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, 2001/2 no 37, p. 75-79. DOI : 10.3917/rppg.037.0075

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PASSAGE. ANALYSE DE GROUPE ET THÉRAPIEFAMILIALE PSYCHANALYTIQUEDiscussion de l’article de Jacqueline Falguière

PIERRE BENGHOZI

Jacqueline Falguière nous apparaît là bien présente en tant qu’ana-lyste dans ces situations. Il y a une harmonie entre la forme et le fond.On perçoit sensiblement en écho les concepts formulés. On imagine, àpartir des vignettes proposées comment cela peut se construire.

PASSAGE DE L’IMAGINAIRE GROUPALAU CADRE GROUPAL THÉRAPEUTIQUE

J’ai été particulièrement intéressé par le fil rouge que tu nous asdonné de ton intervention à travers cette idée de « passage ». PhilippeRobert a repris cette notion à travers l’ouverture d’un processus de pas-sage à une « autre scène». Cela nous questionne d’emblée sur l’idéeque l’arrivée, l’entrée dans un groupe de thérapie psychanalytique estdéjà une construction. Effectivement, il n’y a pas de groupe au départdans une psychanalyse de groupe. Il y a des démarches individuellesqui vont se rencontrer dans un dispositif groupal. Cela me semble trèsimportant d’autant que ce passage-là n’est pas du même type, mesemble-t-il, dans la thérapie familiale psychanalytique mais pourtant ila à voir avec ; il y a effectivement dans ce temps de début, cette pre-mière séance, ce premier temps que tu as évoqué, quelque chose qui seconstruit à travers ton silence, ton regard, ton type d’intervention, lamanière dont tu es interpellée par ces participants que tu nous dis avoir

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Pierre Benghozi, psychiatre psychanalyste chef du service de psychiatrie de l’enfant, de l’ado-lescent et de la famille à Hyères, CHI Pierrefeu du Var, 3 villa Croix-Nivert, 75015 Paris.

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rencontrés en entretien préliminaire. Avec eux, tu as déjà engagé uncheminement. Et à présent, ils sont là, à la fois avec toi et dans unesituation nouvelle. Les événements psychiques émergeant lors de cettepremière séance renvoient à des mouvements psychotiques. Il se mani-feste des inquiétudes, des éléments de morcellement ou des angoissespsychotiques de début de groupe. La formation même du groupe entant qu’objet psychique est déjà un aménagement de ces angoisses psy-chotiques. On voit bien là comment ton positionnement est dans lacontinuité de ton propre précontretransfert, du prétransfert des partici-pants au groupe, des constructions des préreprésentations de ce quepourrait être, pour les uns et pour les autres, ce groupe à advenir. C’estune dynamique un peu chaotique au niveau psychique. Les mouve-ments constitutifs d’un groupe traduisent l’organisation de réaménage-ments défensifs contre ces angoisses. Dans sa cure, « Le groupe et l’in-conscient », Didier Anzieu a décrit avec « l’illusion groupale », lefantasme d’un bon groupe qui se structure autour des dénis des diffé-rences.

Dès cette première rencontre « en » groupe et non encore « du »groupe, il y a d’une part l’intervention de l’analyste avec sa manière deposer le cadre, et en même temps ce qui se joue entre l’ensemble desparticipants. Cela m’évoque ce que Cortesao a appelé « le pattern dugroupe ». En effet, il se crée du nouveau et du singulier entre lesaspects implicites et explicites des règles, entre les consignes et ce queles uns et les autres mettent ensemble dans des effets de coprésence.Tout cela fait partie de la mise en place d’une nouvelle scène groupaledisponible à un nouvel espace psychique. La dimension du précontre-transfert me semble là très importante, avec la mise en scène du cadrethérapeutique.

LES ENTRETIENS PRÉLIMINAIRESÀ L’ÉCOUTE DE LA CAPACITÉ À TRAVAILLER LES PASSAGES

Dans la continuité de cette notion de « passage », j’ai trouvé trèsintéressant que tu évoques la manière dont tu élabores tes entretiensindividuels préliminaires. Tu dis que tu ne t’intéresses pas tant à l’his-toire qu’à finalement à ce qui correspondrait à la biographie des tra-jectoires des lieux de soin ou de lieux de demande. Je trouve cela trèsintéressant parce que c’est aussi cohérent avec le projet clinique. C’estdire que tu t’intéresses d’emblée non pas tant à l’histoire en tant quetelle mais à leurs capacités de mobiliser leurs mécanismes de défensedans une espèce de plasticité à jouer ces différents passages. En fait, ceque tu écoutes c’est la capacité à travailler ces passages. Finalement,on a bien l’impression que c’est cela que tu vas participer à accompa-gner par ton écoute.

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ÉMERGENCES PSYCHIQUES GROUPALES

Ceci nous amène à poser plusieurs questions. On a le sentimentque l’analyste individuel continue à impressionner ton écoute d’ana-lyste de groupe et que l’analyste individuel reste en même temps là,dans le groupe. Cela semble t’amener à presque considérer les aspectsgroupaux comme relevant d’une forme de résistance par rapport à cequi pourrait être aussi élaboré de processus régressifs et de remanie-ments psychiques plus individuels. Le groupe a la possibilité pour lesuns et les autres de mobiliser un espace de résonance. À ce moment-là,une des questions qu’évidemment je ne peux pas ne pas te poser c’est :quelle idée as-tu de la notion d’objet groupe en tant qu’objet psychiquegroupal et de tout ce qui fait écho à ce champ-là, en particulier lanotion même de construction groupale ? Est-ce que tu penses qu’il y ades constructions psychiques groupales ? Comment entendre parexemple la notion de « rêve de groupe » qu’évoque Jean Bertrand Pon-talis, portée par l’un des participants, mais qui relèverait d’une émer-gence groupale. Que dire aussi de ce que l’on a décrit du côté de lamythopoïèse groupale, et d’une façon générale, de tout ce qui corres-pond à une production singulière d’un objet spécifique groupal, diffé-rent de l’espace intrapsychique mais qui relèverait d’une dimensionconcernant vraiment l’intersubjectivité, à la fois de l’inter et du trans-subjectif ?

DU GROUPE À LA THÉRAPIE FAMILIALE PSYCHANALYTIQUE

Tu nous as interpellés en tant que thérapeutes familiaux psychana-lytiques. En ce qui me concerne, je partage tout à fait les notions quiont été développées hier par Evelyn Granjon et, en particulier, cettenotion de néo-groupe qu’elle reprend dans la cadre de la thérapie fami-liale, et qui est globalement repérable dans toute approche psychana-lytique groupale. Elle renvoie d’ailleurs au niveau groupal à la notionde « métasystème » qui implique comme le soutient Maurizio Andolfi,que l’ensemble clinique constitué par la rencontre entre thérapeutes etparticipants à la thérapie, constitue un tout nouveau, une émergencesingulière, différente de la somme des entités qui le constituent.L’émergence de cet espace psychique groupal nouveau me semble toutà fait fondamental. Je vais en même temps faire écho à ta question surles identifications, rendre possible un certain type de travail psychiquequi ne pourrait pas se faire précisément par la famille dans sa réalité.Car justement c’est d’autre chose qu’il s’agit, y compris du fonction-nement psychique de la famille. Il y a aussi une vie psychique familialeévidemment en dehors de la situation thérapeutique. La famille n’estpas qu’un groupe social au sens sociologique de ce terme, c’est déjàune entité psychique groupale qui préexiste et se poursuit après la

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démarche thérapeutique. Mais là, dans le cadre de la thérapie familialepsychanalytique, il y a une possibilité grâce à la construction de cenouvel espace psychique associant également les thérapeutes, d’ouvrird’autres perspectives comme celle de remailler une nouvelle conte-nance groupale. Précisément, on peut être amené à recevoir desfamilles « décontenancées », c’est-à-dire effectivement concernées pardes problématiques essentiellement de non-élaboration du côté dumatériel psychique transgénérationnel. On se retrouve dans des pro-blématiques essentiellement du côté de l’organisation de ce maillagedes liens. Des démaillages, des accrocs, des trous, des contenantsgénéalogiques groupaux familiaux, traduisent des ruptures de liens. Lepassage n’est ce pas encore l’expression d’un remaillage affiliatif thé-rapeutique ? Alors c’est vrai qu’à partir de là, la question, puisqu’onparle de passage, qui me semble aussi intéressante, est celle de la finen thérapie. On a un peu parlé du début, de la constitution psychiquedu groupe, on a évoqué ce qui se passe dans le processus et dans latemporalité. Mais comment la fin est-elle préparée ? Comment ungroupe se termine-t-il ? Tu as fait référence à un groupe qui se pro-longe sur vingt ans – c’est bien sûr une image. Mais en même temps,c’est intéressant parce que ce groupe c’est toi qui en est la charpente,et la garantie de son maintien, de son cadre. Les individualités partici-pantes ne s’engagent pas pour une durée définie à l’avance. Elles quit-tent le groupe en des temps variables pour chacun. Pour un thérapeutefamilial psychanalytique, à la différence de ce type de groupe que tu asévoqué, il va y avoir un groupe qui va s’arrêter en tant que groupefamilial thérapeutique à un moment donné mais le groupe familial danssa réalité se poursuit bien entendu, même si, au niveau psychique, pourles uns et pour les autres, ça fonctionne autrement. Comment celapeut-il se passer ? Qu’en est-il de ce passage-là en thérapie familialepsychanalytique ? Des nouvelles potentialités, des qualités psychiquessingulières vont être mobilisées à l’intérieur de ce groupe qui autori-sent au niveau des membres concernés par ce groupe familial, un tra-vail d’individuation/séparation, un travail psychique qui permet alors,à ce moment-là cette mobilité. La séparation/individuation se réaliseavec cette identité d’appartenance à un groupe suffisamment conte-nant, suffisamment étayant. Il est alors possible pour chacun, d’avoirune vie subjective, de continuer à penser, d’être sujet de son désir.

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