0 © Copyright New Ecologic Oil 2008 Confidentiel Continental Airlines teste un biocarburant «...
-
Upload
dione-cros -
Category
Documents
-
view
107 -
download
0
Transcript of 0 © Copyright New Ecologic Oil 2008 Confidentiel Continental Airlines teste un biocarburant «...
1
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Continental Airlines teste un biocarburant « seconde génération » à partir d’algues et de Jatropha
http://www.lechotouristique.com/continental-airlines-teste-un-biocarburant-seconde-generation.15355
Le jatropha, un nouveau biocarburant bientôt à l'essai sur un Boeing
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1
Air New Zealand teste le biofuel à base de Jatrophahttp://www.businesstravel.fr/en-voyage/compagnies-aeriennes/air-new-zealand-teste-le-biofuel-a-base-de-jatropha-1551.html
Japan Airlines teste à son tour le biocarburant à l’huile de Jatrophahttp://www.aerocontact.com/actualite_aeronautique_spatiale/ac-japan-airlines-teste-a-son-tour-le-biocarburant~07577.html
2
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Acteur intégré de la production d’huile de Jatropha curcas : plantation, trituration et commercialisation
sur le marché du biodiesel
3
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
NEO SA capital 210 000 € a été créée en novembre 2007.
La première filiale a été créée à Madagascar en 2008.
Le modèle sera répliqué dans d’autres pays africains.
Une équipe déjà constituée et prête à partir.
Un projet dûment réfléchi et étudié
depuis plus de 6 ans
4
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Travail accompli et étapes futures
Plus de 5 ans d’analyses et d’études…
2007 2008
Analyse du marché des biocarburants et des huiles végétales
2009
Analyse des potentialités de la
région de Bongolava pour la culture du
Jatropha
Elaboration du business plan
Première rencontre avec les institutions
Malgaches
Premier lot de parcelles d’essai à
Bongolava
Deuxième lot de parcelles d’essai à
Bongolava
Etude d’impacts environnementaux et socio-économiques
Devis pour les matières premières et
l’équipement
A MADAGASCAR
EN EUROPE
Recrutement des chefs d’exploitation
Rédaction du bail emphytéotique
2005Reconnaissances et rencontres avec les Paysans et Maires de la région
5
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Mahabe (septembre 2008) :
Pieds de Jatropha curcasà l’état naturel, aucun soin particulier.
Ambatomainty (décembre 2005)
6
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Tsararano (décembre 2005) :
Concertation avec les Maires et les populations
Ambatomainty Sud (septembre 2005)
7
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Concertation et Coopération bilatérale totale avec le Chef de région
Tsiroanomandidy (décembre 2008)
8
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Repérages et identification des terrains
9
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Essais et observations de terrain riches d’enseignements et très encourageants
10
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Essais et observations de terrain riches d’enseignements et très encourageants
Décembre 2008
11
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Inflorescence sur bouture en terre depuis 2 mois (octobre 2008)Fruit vert et fruit jaune sur bouture en terre depuis 3 mois (novembre 2008)
Plant en terre depuis un mois (septembre 2008)
12
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
…pour une montée en puissance progressive et réfléchie.
Signature du bail
1ère levée de fonds pour 15.000 ha
de plantation + trituration
Mise en place de 7.500 ha de plantation
N N+1 N+2 N+3 N+4
Mise en place de 7.500 ha de plantation
2ème levée de fonds pour 15.000
ha supplémentaires
Mise en place de 7.500 ha de plantation
1ères récoltes
Création de l’unité de
trituration pour 15.000 ha
Mise en place de 7.500 ha de plantation
Recherches de contacts dans d’autres pays
africains
Création de l’unité de
trituration pour 15.000 ha
Duplication du modèle dans d’autres pays
africains
13
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Taille de la plantation (ha)
Nombre de plants par hectares
1666
49.980.000
Nombre total de plants
x
Quantité de graines par plant
30.000
Quantité totale de graines (x 1000 T)
100 150 200
Teneur en huile
35 %
Quantité d'huile produite (x 1000 T)
30,8 46,2 61,62 kg 3kg 4kg
3 scénarios
88 %
x
x
Taux d'extraction
d'huile
Quantité de tourteaux produits (x 1000 T)
69,2 103,8 138,4
+
Vente sur les marchés locaux et internationaux
Biométhanisation et compostage pour
usage interne
…de façon industrielle…
Première filiale NEO Madagascar : projet de 30.000 ha de plantation -
Objectifs en pleine production
14
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
NEO France S.A.
NEO
Madagascar
(en stand by)
Commerce International
Marchés locaux
Ventes d'huile brute, de graines et de boutures
Vente d'huile brute
NEO
Afrique
NEO
Asie
Flux commerciaux
15
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Un projet de taille industrielle en adéquation avec les volumes des pétroliers
Un projet ambitieux
Un projet éthique et durable
Un projet écologique
16
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Sources de revenus additionnels possibles
A. Marché du carbone - Mécanismes de Développement Propre
Tourteaux
CO2
O2
H2OCO2
Graines
Plantation
Marché du carboneMarché du carbone
Source: Point Carbon
17
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Le projet NEO entre dans le contexte des MDP
1 ha Jatropha
30 T de matière sèche2
54 T CO2-eq économisés – 8 T CO2-eq produits
= 46 T de réduction d’émissions
30 t CO2 séquestrés
Production
Substitution aux énergies
fossiles
Croissance
Séquestration du carbone
1. Project activity emissions: including full production chain, fertilizer N2O-emissions and C-content of fossil methanol input for biodiesel 2. Potentially higher, but limited by pruning requirements Source : JatroSolutions
Emissions - Réductions de CO2 pour 1 ha de plantation pendant 21 ans
18
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
PalmePalme SojaSoja ColzaColza TournesolTournesol JatrophaJatropha AlgueAlgue
25.0 3.0 3.5 2.5 5 60–240Rendement
(T/ha)
Teneur en huile (%)
20 20 42 43 33 50
Rendement en huile (T/ha)
5.0 0.4 1 - 1.5 1.1 1.6 30–120
2007 production mondiale (MT) 39.0 37.5 18.9 10.7 <1 0
Un rendement nettement supérieur aux autres cultures énergétiques
Source: BCG Team Discussion - BCG Analyses
La culture de l’algue est actuellement expérimentale et extrêmement coûteuse
19
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Les 30.000 ha de plantations seront installés sur des terrains domaniaux, situés dans la région des Hauts -Plateaux centraux de Madagascar, à environ 150 km au Nord-Ouest d’Antananarivo.
Province d’Antananarivo > Région de Bongolava > District de Fenoarivobe > 5 communes rurales> environ 18,00°-18,30°S et 46,00°- 46,30 °E
Côte Est :
port de Tamatave (RN2 depuis Antananarivo)
Côte Ouest :
port de Maintirano (RN en construction)
port de Mahajanga (RN4 depuis Antananarivo)
Zone d’implantation
20
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Zone d'implantation de NEO à Madagascar
21
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Zone d'implantation de NEO à Madagascar
22
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Zone d'implantation de NEO à Madagascar
23
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Exemple Madagascar
•Zone entièrement déboisée et très largement érodée ;
•Zone pauvre en biodiversité, aucune réserve naturelle et aucune espèce menacée ou protégée dans la zone d’implantation ;
•Peu de couverture végétale, régulièrement détruite par le feu ;
•Sols acides et très peu fertiles qui ne conviennent pas pour les cultures vivrières à large échelle ;
•Densité de population très faible : environ 15 habitants au kilomètre carré ;
•Activité agricole restreinte aux alentours des villages et dans les bas-fonds (agriculture de subsistance), élevage extensif de zébus ;
•Activité économique très restreinte ; voire inexistante...
•Pas d’accès à l’éducation, aux soins de santé et aux soins vétérinaires ;
•Problèmes de potabilisation de l’eau et d’assainissement des eaux usées à beaucoup de maladies diarrhéiques et mortalité infantile ;
•Zone enclavée
Conditions socio-économiques et environnementales locales
24
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
RSE EResponsabilité Sociale Economique et
Environnementale du projet
L’investisseur doit s’engager dans une démarche responsable répondant aux cadres généraux internationaux ainsi qu’aux normes internationales de responsabilité sociale. Il doit réaliser des études d’impact ex ante relatives aux conditions environnementales, économiques, sociales et de sécurité alimentaire (production, accès à la nourriture, …) de son projet.
Ces évaluations, certifiées par un organisme indépendant, montreront notamment l’intérêt pour le pays hôte du projet : cet intérêt réside dans les retombées d’une production de valeur ajoutée vis a vis du secteur rural local et/ou dans une amélioration de sa sécurité alimentaire, soit directement par l’augmentation de la production, soit indirectement par l’accroissement de l’emploi et du revenu des populations locales. Une démarche « responsable » devrait conduire l’investisseur à mener un triple dialogue, aussi transparent que possible, avec les autorités nationales, les collectivités territoriales et la population locale.
25
© C
op
yrig
ht
New
Eco
log
ic O
il 2
008
Confidentiel
Le bailleur signataire des Principes Equateur doit assurer que les projets qu’il finance dans un PED se conforment à la version à jour des Critères de Performance, des Directives Environnement, Santé et Sécurité de la SFI, et ce dès la conduite préalable d’une évaluation environnementale et sociale.
1-Evaluation sociale et environnementale et gestion des impacts du projet
2- Respect des principes et droits fondamentaux au travail
3-Prévention et réduction des émissions polluantes
4- Respect de la santé et de la sécurité publique
5- Réparations et compensations dans le cas d’acquisition des terres et de déplacements forcés
6- Préservation de la biodiversité et des ressources naturelles
7- Protection des communautés autochtones les plus vulnérables
8- Préservation du patrimoine culturel
Les 8 critères de performance de la SFISociété Financière d’Investissement de la Banque Mondiale
Source : synthèse CAS, d’après http://www.ifc.org/ifcext/sustainability.nsf/Content/EnvSocStandards