Top Secret - 06...Editorial L es informations contenues dans le Magazine TOP SECRET sont à prendre...

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Transcript of Top Secret - 06...Editorial L es informations contenues dans le Magazine TOP SECRET sont à prendre...

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FEDERAFEDERATION FRANCAISE D'UFOLOGIETION FRANCAISE D'UFOLOGIEhttp://f.f.u.free.fr/http://f.f.u.free.fr/

La FédérLa Fédération Fration Française d'Ufançaise d'Ufologie poursuiologie poursuit les objectit les objecti ffs suivs suivants :ants :EfEfffectuer des rectuer des recherecherches sur le phénomène oches sur le phénomène ovni sur l'ensemble duvni sur l'ensemble duterriterritoirtoire fe frrançais. ançais. SSensibiensibilliser la population, les instiiser la population, les institutions sur le phénotutions sur le phéno--mène OVNI.mène OVNI. PublPubl ication d'une rication d'une revue trimestrielevue trimestriel le "OVNI Frle "OVNI France".ance".

CherChercher des fcher des fonds pour divonds pour divers trers traavvaux de raux de recherecherches dans le domaine de l'ufches dans le domaine de l'ufologie. Crologie. Création d'uneéation d'unebanque de données sur les observbanque de données sur les observations d'oations d'ovni en Frvni en France. Crance. Création de stages d'enquêteurs pour une harmonisation nationale de coléation de stages d'enquêteurs pour une harmonisation nationale de col lecte delecte dedonnées. Crdonnées. Création de divéation de divers grers groupes de troupes de traavvaiai l ll l iés au phénomène oiés au phénomène ovni (scientivni (scientifique, analyse, photos, vidéos etc.fique, analyse, photos, vidéos etc., etc., etc.). Dél). Dél ivrivrance de boursesance de boursesaux divaux diverses personnes ou associations aerses personnes ou associations ayyant un prant un projet important pour la rojet important pour la recherechercheche ufufologique.ologique.

R.R.Ohttp://rr0.free.fr/

“Il n'y a que deux erreurs que l'on puisse commettre sur le chemin de la Vérité : ne pas aller jusqu'au bout, et ne pas s'y engager” [Siddharta Gautama Shakyamuni (le Bouddha)]

ObjectifsCe site rassemble un maximum de données sur le phénomène ovni, dans les buts de :1/informer les néophytes sur le phénomène. Dissiper des idées reçues en montrant notamment que le phénomène est réel, mais non expliqué ; que l'hy-pothèse extraterrestre n'est pas la seule explication ; que le phénomène est de grande ampleur, mais peu connu du grand public. 2/centraliser les données pour les érudits, en leur évitant des recherches de données éparses. afin de : leur permettre d'avancer plus vite dans leursrecherches de fond et de rétablir la vérité/les faits sur certains points.

UUFFOOWWEEBB--FFRRAANNCCEEBanque française de données ufologiques

http://www.ufoweb-france.fr.st/“Le temps n'est plus à tenter de convaincre mais à chercher à rassembler. Ceux qui n'ayant toujours rien compris aujourd'hui, demeurent nos farouches adversaires, ne comprendront pas d'avantage demain. Laissons-les s'enliser dans leurs polémiques

et attaques stériles - bien dignes de leur médiocrité - et, fraternellement, travaillons !”Jimmy Guieu

EditorialLes informations contenues dans le Magazine TOP

SECRET sont à prendre avec des pincettes. Vous deveztoujours les mesurer à l'aune du bon sens, et aiguiser à

chaque instant votre esprit critique. Certains articles peuvent heurter les personnes sensibles. Ilne faut jamais perdre de vue que ces informations ne pro-viennent pas de documents officiels et avérés. Plus que desaffirmations, elles sont présentées ici comme des hypothè-ses, des pistes, et des sujets de réflexions, de questionne-ment, et de recherche. TOP SECRET relate des phénomènesqui sont à la lisière de la fiction. Mais ne dit-on pas que la réalité dépasse la fiction ?Certains lecteurs trouveront sans doute ce numéro empreintd’un pessimisme noir. Sans doute avons-nous été influencéspar cette époque de tension planétaire. La rédaction n'a paspour vocation d'effrayer la population mais propose aux lecteursque nous exercions ensemble notre indépendance de penséedans toutes les directions, et sans préjugé. C'est cette faculté dedouter de tout, et de réfléchir dans toutes les directions, parfoismême à la frontière du fantastique, qui fait encore de nous desêtres humains. Dans une société de plus en plus complexe où laliberté individuelle s'incline trop souvent devant le progrès tech-nologique et les intérêts financiers ; où la surinformation nousempêche trop souvent de prendre le temps de l’analyse, ledoute nous paraît un réflexe essentiel, voire salvateur. N'en déplaise à certains, non, le monde n'est pas un décor dontchaque élément peut se ranger dans des cases bien étiquetées.Si une information contenue dans le magazine vous paraît partrop déstabilisante, dites-vous simplement qu'elle n'est pasdémontrée. Notre ignorance est grande face au mystère de lacréation et chaque jour arrivent de nouvelles découvertes quiremettent en cause les dogmes d'hier. Restons ouverts à tousles possibles, mais doutons de tout, et n'acceptons aucunethéorie comme un fait établi ! Méfions-nous toujours des mira-cles, des "gourous", d'où qu'ils viennent, et de quelque domainequ'ils se revendiquent. D'aucuns de nos lecteurs voient TOP SECRET comme un voyageinitiatique, d'autres comme un brasseur de neurones, d'autresencore, comme une quête faisant écho à leur propre recherche.D'autres enfin percevront TOP SECRET comme une invitation àparcourir un monde imaginaire proche du rêve, comme un

feuilleton, un roman sans fin, etc. Qu'importe les raisons quivous ont poussé à vous procurer notre revue. Nous espéronsque les questions soulevées ici viendront remplir ce manquecréé par notre société matérialiste, et répondront au besoind'absolu que chaque être humain garde au fond de lui.Ne perdons pas le sens de l'humilité dans notre quête éperduede vérité. La vérité ne se vend pas. Si TOP SECRET est payant,c'est bien la preuve que nous ne prétendons pas la détenir.Nous ne présentons que des sujets de questionnement aux lec-teurs. Jamais de réponse.

Je dédie ce numéro de TOP SECRET à mon ami MichelRoch Saüquere

"Un anneau pour les gouverner tous, un anneau pour les trouver, un anneau pour les amenertous, et dans les ténèbres les lier, au Pays de Mordor ou s'étendent les Ombres."

J.R.R. Tolkien, Le seigneur des anneaux

De nombreuses photographies de ce magazine proviennent dessites Internet de la NASA, et plus spécifiquement du bureau d'histoi-re de la NASA, du centre de l'espace de Kennedy et du centre del'espace de Johnson ! Ces photographies ont été rassemblées dediverses sources publiques, et sont entrées dans le domaine publicsauf indication contraire. Toutes les photographies provenant del'appareil photo Mars Orbiter Camera sont utilisées parce que leMalin Space Science Systems le permet. En conformité avec lerèglement sur l'utilisation de ces images, l'intégralité du crédit de cesimages appartient au NASA/JPL/Malin Space Science Systems. Demême qu'appartiennent à la Nasa toutes les images astronomiquesprises par les différentes sondes et engins de l'exploration spatiale.Toutes ces images peuvent être téléchargées et employées dansn'importe quel but non interdit par loi. Elles ne peuvent, cependant,servir de label ou logo, ni laisser entendre qu'elles impliquent un par-tenariat commercial quelconque entre la Nasa et une autre société,dans le but d'inciter l'approbation de toute personne sur un produitou un service.

TOP SECRET. Magazine bimestriel - Directeur de la publication-Responsable Editorial Roch Saüquere. Ont participé à la rédaction :les webmasters et auteurs des sites référencés dans le cédérom.Corrections : Sophie Hartung. Imprimé par JOMAGAR. MadridEspagne -Distribution NMPP. ISSN : 1638-0142 -Dépôt légal à paru-tion. Top Secret est édité par EDEN EDITION SARL au capital de7622,45 euros - Principal actionnaire Roch Saüquere - Siège social :29 , rue St Fargeau. 75020 Par is - Te l : 06 61 42 34 16 .http://www.topsecret.fr L'éditeur décline toute responsabilité quant aux contenus et opinionsformulées par les articles contenus dans les sites Internet référencés,celles-ci n'engageant que leurs auteurs. Tous les textes ont été sou-mis à l'acceptation par l'auteur de leur libre publication dans le jour-nal. Toute reproduction, toute traduction pour tous pays et tout sup-port, intégral ou partiel, fait sans le consentement de l'auteur sont illi-cites. Toute copie autre que destinée à un usage personnel est stric-tement interdite. Tous droits réservés sur le matériel photo qui n'au-rait pas fait l'objet d'une convention antérieure à la parution en raisondes difficultés d'identification liées au réseau Internet.

Photo montage

HOMMAGE A LA NASALa rédaction de Top Secret tient a rendre homma-ge aux victimes de la tragédie de Columbia surve-nue le 01/02/03. Nous connaissons la compétenceet l’excellence de chaque membre de cette grandeadministration qui nous fait tant rêver par sesprouesses. Toute l’équipe s’associe à moi, etadresse une pensée particulière aux familles dessept membres d’équipage. Nous espérons que lespolitiques américains auront à coeur qu’un tel évé-nement ne se reproduise plus, et agiront en consé-quence, en ouvrant les crédits que la Nasa réclamedepuis longtemps.

MARS

AURORA

HERA

Les News del’Energie LibreMille remerciements àl’incontournable site Quant’hommequi œuvre brillamment dansl’intérêt de tous. http://quanthomme.com

Nous ne prétendons pas quetout ce qui est dans le sitee s t e x a c t , n o u s a v o n s

nous-mêmes relayé des informa-tions qui n’étaient pas complètes,pas assez précises, voire mêmequi sont démenties par d’autres.Nous n’avons pu que faire lesrecoupements d’usage, quandc’était possible.Nous n’avons pas la prétention dedire que tout va changer demaingrâce à nous car nous ne sommesqu’une petite pierre à l’édifice,m a i s s i d é j à d a n s l a t ê t ed’Humains de plus en plus nomb-reux ces “Possibles” deviennentvraiment possibles et crédibles,eh bien, les choses peuvent allertrès vite. Ne vous laissez pasimpressionner par les personnesincrédules. Essayez de vérifiertoujours par vous-même quandon vous rétorque le traditionnel :«Ce n’est pas possible, si c’étaitvrai ça se saurait, on l’aurait vu àla télé…»Par principe c’est l’attitude nor-male devant des nouveautés quivont à l’encontre des idées reçues

voire imposées. Il est vrai quec’est difficile, lorsqu’on est instal-lé confortablement dans une idée,d’avoir envie d’aller voir au-delà,s u r t o u t s i o n e s t b i e n p a y é(comme le dit le Pr Bibérian.)Voyez le cas des Lifters avecJean-Louis Naudin, le cas desPMC Pantone avec nos propresexpérimentations suivies mainte-nant par tant d’autres :- les Lifters décollent et bientôtvoleront autonomes- les PMC fonctionnent : des dizai-nes de tracteurs sur le modèle dudésormais célèbre n° 22 tra-vaillent .Voyez l’effet boule de neige de cequi n’était au départ qu’une infor-mation que nous avons tenu àpartager avec tous : tout cela vaaider à moins polluer et moinsconsommer.Est-ce vraiment répréhensible, devouloir ainsi aider son prochain ?ce n’est tout de même pas encoreclassé dans le terrorisme par lesEtats ?

1/PMC Pantone par Cyril etMaryse Gravey Pyrénées Orientales"J’ai réalisé à partir des plans un réac-teur GEET que j 'a i monté sur unmoteur Kawasaki 5 CH alimentant unegénératrice de 2KVA. Ca fonctionnetrès bien avec un mélange 2/3 d'eau et1/3 d'essence. Le plus important pournous est la pollution inexistante, c'est

magique... "Merci d’abord pour votre site grâce auquelnous avons découvert ce procédé, génialpar sa simplicité et son efficacité.Etant au départ mécanicien réparateur depetites machines (groupes électrogènes,pompes à eau, tondeuses…), mais aussitrès sensible aux problèmes d’environne-ment (développement des énergies renou-velables et maîtrise de l’énergie), j’ai tou-jours été gêné par l’importante pollutionengendrée par ces machines.C’est pourquoi, à la vue du plan du réacteurde Paul Pantone, ma décision fut très viteprise. En respectant le plan, je n’ai rencon-tré aucune difficulté particulière pour son

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La génératrice modifiée de Cyril et Maryse

Première mondiale réussie par Jean-Louis Naudin : le premier lifterayant à son bord le premier électronaute ! L’histoire s’en souvien-dra. Orvile est le nom de cette petite souris. Ci-dessous, elle est à

bord, prète au décollage. Découvrez vite le site de Jean-Louis :http://jnaudin.free.fr/

IMPORTANTLe forum PMC-France est faitpour ceux qui veulent poser desquestions, échanger leurs astuceset savoir-faire, n’hésitez pas à lerejoindre

[email protected]

montage sur un moteur Kawasaki de 5chaccouplé à une génératrice de 2KVA.Le moteur a très bien démarré avec un peud’essence par la vanne d’entrée d’air frais àl’admission et un mélange moitié eau, moi-tié essence dans le bulleur. Un deuxièmeessai à 2/3 d’eau et 1/3 d’essence a luiaussi très bien fonctionné ; le plus impres-sionnant étant l’absence d’odeur à l’échap-pement….Bravo Mr Pantone et merci…J’ai quand même rencontré un problèmequi n’est toujours pas résolu : pour que lagénératrice fournisse du 220V, le moteurdoit tourner à 3100tr/mn. Il faut donc arri-ver par le réglage des vannes à le maintenirà cette vitesse même en pleine charge ; ceque je n’ai pas réussi à faire car la régula-tion mécanique reliée au carburateurn’existant plus, quand on tire sur la généra-trice, le moteur s’assoie.Si quelqu’un a des idées ou des solutionspouvant résoudre ces problèmes, elles sontles bienvenues…Nous allons continuer les essais sur le grou-pe et monter un réacteur sur une pompe àeau.A bientôtPour nous joindre : [email protected]

Quanthomme : Bravo et merci pour cetémoignage ! Même si les expérimen-tateurs rencontrent quelques difficul-tés, le fait de les exposer et les parta-ger avec d'autres fait avancer les cho-ses. La meilleure solution est proche !

2/Expérimentation sur unevoitureExpress essence de 1986, 171132 km,avec PMC Pantone monté selon leprincipe du tracteur no 22 en dopage àeau sans toucher au moteur d’origine.Voici ce qu’un breton curieux de nature quin’a pas d’ordinateur et n’est pas relié àInternet a réussi à faire en partant desdocuments issus de notre site et qu’il a surécupérer. Il a adapté le système de PMC àson véhicule (Express essence de 1986,171132 km) en partant de l’idée du mon-tage n° 22 qui fonctionne en donnant toutesatisfaction depuis bientôt 2 ans sur le trac-teur de Mr. G.Rappelons que dans ce montage, le moteurdu tracteur (diesel) ne reçoit que la vapeurd ’eau venant du bu l leur t raversé etréchauffé par l’échappement. Le réacteurne fait donc que le cracking de l’eau, et lemoteur d’origine ne subit aucune transfor-mation. L’Express a vu sa consommationd’essence diminuer de 25 % sans perte de

puissance, au contraire, il a retrouvé unenouvelle jeunesse ! Ce qui a été constatépar un jeune ingénieur bien connu desexpérimentateurs de PMC Pantone qui l’aessayé. TEST DE CONTROLEQuelques indications sur le réacteur :Gros tube 33 cm de long - 37 x 43 mm(contenant le réacteur)Petit Tube 38 cm de long - 16 x 22 mmcontenant la tige)Tige pleine 33 cm diamètre 14 mmEspace entre la tige et le tube : 1mm

3/ PMC Pantone par M. Charles D. Touche à tout je suis tombé sur votre siteconce rnan t l e PMC de Mr Pan tone .M’intéressant aux énergies libres j'ai doncréalisé le montage sur ma tondeuse enrespectant les cotes en dimensions. Après quelques petits soucis, le démarrageétant le plus délicat, elle s'est mise a tous-ser est maintenant elle tousse très bien....!uniquement au super pour l'instant.Cela fonctionne et effectivement en sortiede l'échappement je ne vois pas de pollu-tion ni d'odeur la preuve avec un linge celuici est propre ! Satisfait de ma réalisation jecompte améliorer cette idée qui ma foi estgéniale. merci à Mr Pantone.J'attends un moteur de 10 CV pour conti-nuer car mon but est de le faire fonctionnerà l'hydrogène sans réservoir mais à lademande, donc à suivre.

4/Des étudiants ont mis aupoint un moteur à eauThomas Lacambre et Saad Chaairat sontâgés respectivement de 18 et 19 ans. Ayantintégré l'UTC (université de technologie deCompiègne) en septembre dernier, ilsdevaient sacrifier à l'UV (unité de valeur)technologique, en mettant au point et enexpliquer le fonctionnement d'une réalisa-tion concrète. Thomas et Saad ont décidéde construire un moteur à eau en utilisantla technique mise au point par l'AméricainPaul Pantone.« Nous avons récupéré le protocole à suivre

pour intégrer le processeur multi-carburantdont la technologie et les plans, accessiblesdésormais à tout un chacun, ont été publiéssur Internet, en octobre 1999, alors que lebrevet date de 1998. Comme support, nousavons utilisé le moteur d'une vieille tondeu-se à gazon, de récupération » L'un des grosavantages du système, selon les expéri-mentateurs, est que « l'on pourrait le rac-corder à pratiquement tous les moteurs encirculation, pour les transformer en véhicu-les à très faibles rejets». Par ailleurs, l'auto-nomie des moteurs est fortement multi-pliée, tout comme leur durée de vie. Lematériel utilisé pour mettre au point le sys-tème, essentiellement des pièces de plom-berie, est tout simplement accessible danstous les magasins de bricolage. Alors, pour-quoi cette avancée technologique et écolo-gique n'est pas exploitée par les construc-teurs automobiles ? Les deux étudiantsavancent une explication : «Le procédén'est pas dangereux, puisque l'hydrogènen'est pas stocké, mais consommé immédia-tement. Aux Etats-Unis, des expérimenta-tions ont été pratiquées sur des camions,des tracteurs et des générateurs. C'est cer-tainement les lobbies pétroliers qui empê-chent les constructeurs d'aller plus avant. »(Adapté d’une article paru dans le Parisien,18 janvier 2003)

Quanthomme : Compliments à cesdeux expérimentateurs. Nous som-mes tombés sur cette info par hasard,et cela illustre bien le fait que dansnotre page des Réalisations ne figureque le haut de l’iceberg des expéri-mentations de PMC en France.C’est bien de voir qu’un journal a toutde même « accroché » mais en lisantcet article nous nous devons de direque : « …un moteur à eau… techniquemise au point par l'Américain PaulPantone… » là c’est faux : plus d’unan après nos premières publications ilest encore difficile de faire entrerdans les têtes que le PMC de Pantonen’est pas un moteur à eau.

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Réacteur Pantone sur l’Express essence de l’expérimentateur breton

La tondeuse de M. Charles D.

Pour tout savoir sur le lifter et notam-ment pour ceux qui n’auraient pasencore trouvé où se trouve la «recette»de base pour alimenter un Lifter, uneadresse incontournable, celle du sitede Jean-Louis Naudin :http://jlnlabs.imars.com/lifters/

1/ Les médias français bou-gent enfinLaissons la parole à Jean-Louis : “vous trouverez dans la revue RCM (Radio-Commande Magazine) N°261 de Janvier2003, un reportage détaillé sur les journéesMicro-Drones organisées par l'Ensica etSupaéro et patronnées par la DGA et L'O-NERA qui ont eu lieu à Toulouse du 18 au20 Septembre 2002. J'ai présenté lors deces journées, une conférence de 1h15 surle projet Lifter dans le cadre du développe-ment et de la mise au point de DronesVTOL (VTOL-MAV/UAV ). Cette conférencea été suivie d'une démonstration en vol duLifter v2.0. Vous trouverez dans l'article deRCM, 14 photos de ma démonstration dontde nombreuses diapos de ma conférence.Le public (dont des membres de la DGA,ONERA, SUPAERO, ENSICA, EADS... ) a ététrès impressionné par les démonstrationsen vol du Lifter, comme le souligne l'auteurde l'article.

Quanthomme : il aura fallu près d’1 anpour que des revues françaises com-mencent à s’intéresser aux travaux deJean-Louis. Le vieux proverbe se véri-fie une fois de plus « Nul n’est prophè-te en son pays…»

2/Made in JapanDonnons encore la parole à Jean-Louis :“Janvier 2003 : un Lifter de 5 mètres de

large a été construit et testé par une équipejaponaise. Ce Lifter s'est maintenu en sta-tionnaire à une hauteur de 15 mètres audessus du sol.

Toutes mes félicitations à cette équipejaponaise pour ce superbe Lifter de 5 mèt-res. Ce Lifter impressionant démontre plei-nement une fois de plus, que la technologieLifter peut être agrandie et aussi qu'unengin de type Lifter est capable de se main-tenir à une altitude élevée au dessus du sol.Vous trouverez des photos de cette expé-rience sur le site :http://lifterproject.online.fr/5mjapan/index.htm

Quanthomme : cette expérimentationaurait tout à fait pu (et même dû si onest chauvin !) être faite par Jean-Louis si le proverbe cité précédem-ment ne fonctionnait pas à tous lescoups.

3/ Le Lifter-cell v1.0 de Jean-Louis Naudin :“Ce lifter introduit le concept de propulseursmodulaires. Tous les tests précédents que j'aiconduits sur les Lifters ont pleinementdémontré que le Lifter peut être facilementagrandi (par exemple, le Lifter "Maximus][ ").Ainsi, j'ai décidé de construire un nouveaudesign modulaire, le Lifter-Cell. Celui-ci doit :1) avoir une forme très simple (un carré ),2) être facilement et rapidement construit,3) être léger,4) être facilement assemblé dans de grandsmodules pour construire de grands propul-seurs qui pourront être utilisés pour laconstruction d'engins volants.Vous trouverez sur mon site web, le designdu Lifter-Cell v1.0 et ses évolutions (avecphotos et une vidéo) à la page :http://lifterproject.online.fr/liftercell/indexfr.htm

Le concept du Lifter-Panel ( 1m² ) construitavec 75 Lifter-Cells ( taille 1 m x 1 m ) don-nerait une poussée = 675 g, avec unecharge utile ~ 300 g et une puissancenécessaire = 825 Watts ( THT continu, nonpulsé ) ou 275 W ( THT continu pulsée -0.55 cheval/kg )...

Du côté des Lifters

Simulation d’un vol en plein air dulifter de l’équipe japonaise

Le concept du lifter-panel

Et pourquoi pas ?

4/ Le Smart-LifterCraftEt Jean-Louis pourra faire sauter le bou-chon du champagne le jour où cet OVIvolera.

Ecrire à J. et B. Soarès [email protected]

http://membres.lycos.fr/quanthomme/

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LES NNEWS DEL’UFOLOGIE

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DECES DE JEAN ANNE C'est avec beaucoup de tristesse que la rédaction de TopSecret vous fait part du décès de notre ami et collabora-teur JEAN ANNE. Chercheur sincère, il participa pendantde longues années aux travaux du CEREIC, de l'IMSA, etfut un des membres fondateurs de l'Institut Recherche etConnaissance. Jean Anne s'est éteint dans la nuit du 17janvier à la suite d'une grave défaillance cardiaque. Passionné par tous les phénomènes mystérieux, l'étudedu symbolisme et de la Tradition, il venait de terminer unouvrage qui paraîtra au mois de mai prochain aux EditionsRamuel.

Jean Anne avait collaboré à la nais-sance du magazine TOP SECRET.Nous avions un grand respect poursa longue expérience et sa grandeconnaissance du phénomène ovniet des civilisations disparues. Sa"Saga des civilisations" (rubriquede Top secret n°1, 2, et 3) resteraune référence pour beaucoup d'ent-re nous.Voici le dernier message qu’iladressa à la liste de TOP SECRET.C’était le 18 octobre 2002. Ce mes-sage, intitulé “PAR DELA LAVIE” prend au jourd’hu i unedimension que nous ne soupçon-nions pas alors.

“Le débat est loin d'être clos ! Ilsera en effet impossible de trouveru n e r é p o n s e a v e c n o t re é t a td'Esprit actuel basé sur un maté-rialisme forcené, hors tout équilib-re avec le Spirituel...depuis desmillénaires oublié, tant que nous -les humains (terriens)- ne sauront,ni ce qu'est la VIE, ni ce qu'estDIEU -Les religions sont les restes malconservés de Connaissancesoubliées, perdues, devenues super-stitions sur lesquelles les fermentsdes religions, au hasard des dispo-sitions d'Esprit des hommes, ontdonné naissance à divers concepts

philosophiques permettant à l'hom-me de se " raccrocher" à uneSpiri tuali té devenue au f i l dutemps, un brouillard inconsistant.Certaines religions, devenues dog-matisme par la volonté de "dicta-teurs échevelés" ont donné nais-sance à des formes d'intégrismeforcené, éloignant de plus en plusles hommes d'une Spiritualité dontils cherchent, tel le malheureux nesachant pas nager tombé à l'eau,une bouffée d'air pour survivre,d'où la prolifération des "sectes"où tentent de se réfugier les "déses-pérés spirituels"Ce message ne donne aucuneréponse, mais il a le mérite de fairecomprendre à l'homme qu'il doitfaire plus d'effort car il doit admet-tre que durant des dizaines dem i l l é n a i r e s , d i f f é r e n t e sCivilisations ont vécu, survécuavec les mêmes concepts basés surun parfait équilibre de l'Esprit et dela Matière, concepts que nous, pau-vres résidus de civilisations ayant"oublié" ces Sciences des LoisDivines, Universelles et de laNature, ne pouvons même pas ima-giner. Nous devons admettre quedes centaines de milliers de géné-rations humaines (nos ancêtres,que nous l'acceptions ou non) aientp u ê t r e c o n t e m p o r a i n e s d e

Civilisations ayant perduré durantdes Temps aussi longs (des dizainesde milliers d'années) et suivre enparallèle des préceptes dont nousne pouvons plus imaginer les quali-tés et les puissances spirituelles,s'équilibrant avec la Matière etayant même aussi le pouvoir de ladominer !Il ne sert à rien de tenter d'essorernos pauvres cervelles, pour y trou-ver des réponses. Mais pour trou-ver quelques-unes de ces réponses,il faut se plonger dans un passé trés-trés- lointain et, avec beaucoupd'humilité retrouver si possible lestraces de ces Sciences Divines,Universelles, Mathématiques cos-miques etc. de la Nature qui étaientla base d'un Equilibre et d'uneHarmonique Originelle... celle que"Dieu" a donné aux Etres intelli-gents peuplant sous des formesphysiquement visibles ou nonl'Univers tout entier ! N'oubl ions pas qu 'un jour unHomme (Fils de "Dieu") a déclaréaux autres hommes que son "Pére"avait de "nombreuses Demeuresdans les Cieux"...Bon Courage à Tous !!

Jean A n n e

Le journal de l’Ufologie

http://lejournaldelufologie.free.fr

P o u r r e c e v o i r t o u t e s l e s n e w s d el'Ufologie, en français, au jour le jour,inscrivez-vous sur la liste de diffusionUfoletter, en envoyant un mail vide à cetteadresse : [email protected]

RENCONTRERENCONTREETRANGEETRANGE

Le 27 avril 1961, autour demidi, Bruno Ghibaudi, jour-naliste scientifique, arrêtasa voiture suite à une cre-vaison alors qu'il se trouvaitf a c e à l a p l a g e d eMontesilvano (Pescara). Ilcommença à changer laroue, quand il remarqua lap r é s e n c e e n l ' a i r d ' u ndisque peu commun, métal-lique, plongeant en direc-tion de l'océan. La chosepassa au-dessus, ralentit,prit un angle aigu vers lenord et s'envola. Bruno euttout juste le temps de pren-dre une photo.

FICTIONEn avril 2003, la fédération intergalactique(Starfleet) va envoyer une équipe d'inspec-teurs extraterrestres dans la plus corrompuedes nations terriennes, les Etats Unisd'Amérique."Nous avons selectionné les USA commenotre première priorité selon les critèresfournis par l'administration Bush.En accord avec ces critères, les plus dange-reuses nations sont celles conduites par desleaders qui :1) possèdent d'importants stocks d'armeschimiques, biologiques, et nucléaires.2) Ignorent les résolutions des NationsUnies3) Refusent de signer les traités internatio-naux.3) Voient leurs dirigeants arriver au pouvoirde manière illégitime.L'administration américaine actuelle rem-plie tous ces critères. C'est pourquoi, etselon les critères de l'administration Bush,Starfleet demande que cette administrationpermette immediatement et sans entravel'accès à des inspecteurs extraterrestres pourvisiter les sites de cache d'armes chimiques,biologiques et nucléaires."

W.

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Observations marquantes en France en 2002Observation à Rennes dept 35 le12/01/02 à 20h40Je ne suis pas certain mais je pense qu'il s'a-gissait d'un OVNI en triangle avec des lumiè-res à chaque coin. Je circulais avec mon amiesur la voie express Nantes et Rennes.J'atteignais l'entrée de rennes, la nuit étaitnoire et nous avons cru apercevoir un triangle(pas du tout lumineux ! Mais je ne voyais quedes points bleus et rouges aux trois cotés ?)Je ne pense pas que cela pouvait être un héli-co, l'engin était en suspension immobile maisje suis certain que c'était un triangle ! . Je necomprends pas ce qu'aurait pu faire un ovni àl'entrée d'une grande agglomération ?

Observation à Villeneuve Loubetdept 06 le 04/02/02 vers 13h20D'autres personnes ont-elles été témoinscomme moi le 4 février aux alentours de13h20 à Villeneuve Loubet (06) au niveau dela corniche des Maurettes, de l'apparition d'unobjet de couleur foncé en forme de demi cer-cle allongé avec trois appendices dessouspositionnés verticalement et aux extrémitésde l'objet. J'ai également observé de façonfugitive deux formes circulaires d'un blanc lai-teux "comme le verre d'une ampoule" sur leflan de l'objet. L’engin est apparu soudaine-ment non de face mais de côté, puis est restéstationnaire un très court instant, avant demonter verticalement et de disparaître aussibrusquement qu'il était apparu.

Observation dans le département duVar (83) le 17/02/02 à 15h35.Nous étions en train de nous promener dansla forêt quand un bruit étrange nous interpel-la quand nous avons regardé dans la directionde ce bruit nous avons vu un objet volant en

forme de toupie avec deux lumières vertes,l'apparition n'a duré qu'un court instant puisl'objet a disparu dans le ciel nuageux.

Observation le 03/01/02 à St PierreMontlimart dans le département 41Je revenais du travail quand cela s'est produità la verticale de la carrière de St PierreMontlimart une seule boule puis elle s'estséparée et deux sont parties à l'opposé l'une

UFOWEB-FRANCEBANQUE FRANCAISE DE DONNEES

UFOLOGIQUEShttp://www.ufoweb-france.fr.st/

Le but de ce site est d'offrir aux ufologues etassociations une banque de données sur lescas en France pour des enquêtes et corréla-tions sur des d'observations anciennes etrécentes. Vous trouverez dans les banques dedonnées, la date de l'observation, l'heure, lelieu, le département, le type d'observation, lenombre de témoins, le nombre d'objets, ladurée de l'observation, la forme et la couleurde l'objet, la longitude et latitude du lieu del'observation et la source de l'information.Progressivement les récits d'observationanciens et nouveaux sont mis en ligne sur lesite dans la "Banque des récits d'observation".

Pour apporter votre témoignage :http://ufoweb.free.fr/observation.htm

Si vous possédez des témoignages anciens surdes cas d'observations français et inconnus dela banque de données du site ufoweb, si vousvoulez aider le site ufoweb dans la collecte deces informations, merci de les faire parveniren écrivant à : [email protected]

de l'autre. La troisième a plongé vers la car-rière et elles ont changé de couleur quandelle se sont séparées.

O b s e r v a t i o n l e 2 2 / 0 2 / 0 2 àToulouse dans le département 31."J'ai observé depuis ma fenêtre (donnantsur le sud-ouest) hier soir vers 21h 15 unobjet lumineux orangé qui semblait statiqueau-dessus de la ville de Toulouse. Je préci-se que le soleil se couche vers 20h45 etdonc cette couleur était peut-être celle dureflet du soleil. L'objet était plus gros qu'u-ne étoile ou que Vénus (1,5 fois à 2 fois lataille) et semblait à peu près sphérique.Tout d'abord j'ai cru qu'il s'agissait deVénus, mais la couleur tirait trop sur lerouge. J'ai ensuite pensé à un avion venantde face, mais il n'y avait aucun clignote-ment et la lumière n'était pas assez jauneou scintillante (plutôt mat en fait). On aurait dit un oeil de chat car il semblaity avoir deux parties oranges séparées parun trait noir. J'ai pensé à un ballon sondeéclairé par le soleil mais il semble que l'ob-jet" était visible également de Marseille. Jeconnais 2 autres personnes sur Toulousequi ont vu l'objet sans avoir pu l'identifier.Environ 20mn plus tard, l'objet s'est dépla-cé vers l'ouest ou le sud ou sud-est defaçon tout à fait régulière à une vitesseassez lente. L'objet est devenu "de plus enplus petit" ce qui me donne à penser que :1° il était moins éclairé au fur et à mesureque la nuit tombait ou 2° il s'éloignait. J'ai déjà vu des satellites dans le ciel sedéplaçant régulièrement et de façon assezrapide par rapport à cet "objet". Je seraisheureux de savoir ce que c'était. Si d'autresl'ont vu... Pour ma part, il s'agit certainement d'unsatellite mais j'ai du mal à comprendre lefait de ne pas avoir perçu de déplacementrégulier au début."

Observation le 03/04/02 àRiedisheim département 68Un truc vraiment bizarre, je promenais meschiens quand j'aperçois dans le ciel unelumière que je prends d'abord pour celled'un avion, bien que très puissante, saufqu'elle avait une jumelle, distante d'unindex, et je compris alors que les 2 lumièresétaient les extrémités d'un cylindre ou ciga-re volant. J'ai ensuite pensé à un dirigeable,mais un dirigeable avec ses deux extrémi-tés lumineuses c'est nouveau pour moi... etil y a la vitesse... Quand je l'aperçois il bouge plutôt lente-ment mais accélère doucement mais sûre-ment, il va disparaître de mon champ devision derrière un groupe d'arbre, je courspour le "rattraper" environ 100 mètres plusloin, mais plus rien, ciel vide, et 2 mn aprèsun bruit très léger style avion, mais jen’'habite pas très loin d'un aéroport, c'estdonc fréquent...C'est la deuxième fois que je vois quelquechose à peu près dans la même zone, lapremière fois remonte à environ 2/3 ans,en été, ciel nuageux, cette fois un faisceaulumineux partant de la base des nuages auloin, vertical pointant vers le ciel, environ30 sec, puis accélération vers le haut etplus rien...Je me fiche des ovnis, vraiment pas mapassion, même si après ma première"vision" j'ai eu des doutes, là ce soir je mepose vraiment un tas de questions....

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A NE SURTOUT PASMANQUER !

Des émissions de radio qui concernentle phénomène Ovni sont produites parDidier de Plaige, tous les mardis soir àpartir de 23h20.Ces émissions sont rediffusées le matinentre 7h et 14h sur le Net :"Radio Ici & Maintenant!" 95.2 FM Paris-Ile de FranceStreaming 24h/24 :http://icietmaintenant.com(Entrez : http://193.252.39.70:8000dans votre lecteur)

Easter, 1995

Suzanne Freeman (indiana) témoigne :

"Mon père a pris cette photo en 1971. Il n'en ajamais vraiment parlé et il n'aimait pas la mont-rer. Je n'ai jamais trop su ce qu'il faisait quand ilétait plus jeune.Je pense qu'il devait travaillerpour un département de la défense. Quoiqu'il ensoit j'ai retrouvé cette photo dans ses papiers"

UFO 1971UFO 1971

ENYGMATIQUEEntendu sur la 5 : "C dans l'air" spécialColumbia le 03 février 2003Un gars trouve dans les débris de Columbiacomme un tissu gris avec des écailles...la police est là. Le gars "oh ça ressemble à un pneu" dit le gars"je l'ai touché mais je ne voulais pas"Le flic : "eh bien n'y touchez pas et ça sera ensécurité"

T.

Rassemblement ufologiqueUne journée d'action pour le droit de

savoir et contre le black-out et la désin-formation sur les ovnis aura lieu le

Samedi 17 mai 2003 à 15h00 à MAR-SEILLE, place felix baret.

Sont invités tous les passionnés, ufologues.Venez nombreux !

O b s e r v a t i o n l e 1 1 / 0 4 / 0 2 àVesoul département 70C'est en rentrant tôt de chez mon amie quej'ai aperçu au loin au-dessus de la forêt dupetit village de Pusey deux petites boulesluminescentes. Mon attention a été retenuecar ces deux objets qui tournaient en cercletrès large et parallèlement. Un instantaprès ils sont descendus juste à la cime desarbres. Je me suis retrouvé à environ 500m d'elles et je pouvais les distinguer nette-ment et j'ai pris de nombreuses photos. Jen'ai pas été porté mon témoignage à lagendarmerie, car il ne me prendrait sûre-ment pas au sérieux.

O b s e r v a t i o n l e 1 7 / 0 4 / 0 2 àCourcelles sur Nied département 57

Je me permets de vous adresser quelquescaptures d'écran d'une vidéo que j'ai tour-né ce soir (17/04/02) à Courcelles sur Nied(Moselle). Je suis tout de même trèsimpressionné par ce que je viens de voir cesoir et surtout étonné d'avoir vu un phéno-mène comme celui ci. Pour vous donnerquelques informations : il était un peu plusde 21H00, j'étais devant chez moi, prêt àprendre ma voiture et c'est une lueur peuordinaire qui brillait assez loin ( peut être 2ou 3 kms) qui a attiré mon attention. Cettelumière qui changeait de couleur rapide-ment était totalement immobile. Elle étaitsituée sur une petite montagne (un pla-teau) et devait être à seulement quelquesdizaines de mètres du sol. Le phénomène aduré moins de 10 minutes. Durant cetemps j'ai pu filmer (mode normal maisaussi en Infrarouge) avec ma caméranumérique. J'ai ensuite décidé de prendrema voiture et de me rendre en direction duphénomène. Malheureusement je l'ai com-plètement perdu de vu. La lumière avaittotalement disparu. Précision, j'habite nonloin d'un couloir aérien qui joint l'aéroportde METZ NANCY. Il est très fréquent quedes avions, des hélicos passent le soir oumême la nuit. Pour les avoir observés fré-quemment, je n'ai pas pu confondre ce quej'ai vu ce soir avec un avion ou un hélico.D'autre part aucun bruit de moteur n'était

perceptible. Alors que d'habitude, même àtrès longue distance on peut entendre unvrombissement pour les avions notam-ment. Voilà, ce que je peux vous dire, jeserais curieux de savoir si ce que j'ai vupourrait être un phénomène normal ?

Observation le 18 juillet 2002"Je suis astronome amateur. Le jeudi 18juillet 2002, je reçois un mail du journal"'ciel et espace" me faisant part que 2éruptions solaires très fortes ont eu lieu.De ce fait, des tâches apparaissent sur lesoleil et nous avons un risque de 40%d'observer des aurores boréales le soir." "A 23 h, je me rends sur mon balcon afind'observer ces phénomènes magnifiques. Al'ouest, le ciel est encore clair, le soleil àcette saison ne descendant pas très bassous l'horizon." "Je regarde "le bouvier" au zénith et sou-dain près de l'étoile Nekkar, j'aperçois unelumière orangé fluo. Cette dernière sesépare en deux. Apparaissent alors 2disques de même diamètre orangé fluo. Lepremier s'éloigne, s'arrête, attend l'autrequi le rejoint rapidement et ainsi de suitependant 1 mn environ. Cela donnait l'im-pression de jeu. Je n'ai pu suivre ce phéno-mène que 1 mn environ. En effet, lesdisques se dirigeant vers la grande ourse,le ciel à cet endroit étant plus clair, je les aivite perdus de vue. A mon grand regret..." "Je scrute le ciel depuis des années trèsrégulièrement et j'avoue que ce phénomè-ne, je ne l'ai jamais vu." "Ce qui est sûr, c'est qu'il ne s'agissait pasd'étoiles filantes, de bolides, de satellitesou tout autre objet familier à notre regard.Toutes ces choses je les ai déjà observéesau moins un fois pour certaines. Je n'aipeut être pas vu d'aurores ce soir là, maisce que j'ai vu à la place est tout aussi beaude par son mystère." "Je vous apporte ce témoignage qui nevous donnera peut être pas de donnéessupplémentaires mais pour moi i l estimportant d'en parler." "Je sais qu'en général, les astronomes nemélangent pas astronomie et ufologie. Jecrois que si les astronomes pensent quenous ne sommes pas seuls dans l'univers,ils doivent assumer leurs pensées et accep-ter que quelqu'un d'autre connaît notreexistence. Les 2 choses sont complémen-taires. Personnellement, je suis aussi trèsintéressée par les phénomènes "insolites"ayant lu des livres à ce sujet et enregistrédes émissions télévisées."

Observation le 9 septembre 2002département 80"Département de la Somme, dans le terri-toire du Pays du Trait Vert lundi 9 septemb-re 2002 vers 21h15 passage d'un objetvolant circulaire d'une envergure environ3m de diamètre une épaisseur d'environ1m, cet objet se déplaçait à une vitessed'environ 70 à 80 km/h d'ouest en est dansle sens Roye / Ailly sur Noye. Cet objet se déplaçait sans aucun bruit etsans tournoyer sur lui-même dans une tra-jectoire parfaite et rectiligne et à seule-ment une douzaine de mètres du sol, seulela calotte supérieure était lumineuse maispas éblouissante, l'éclairage public situédans mon lotissement nous a permis à mafemme et moi de distinguer la face ventra-le de cet objet qui semble être en métalgris sur laquelle se dessinait une forme cir-culaire délimitée par ce qui pourrait res-sembler à des rivets."

Observation le 14 décembre 2002dans le département 31Je vous envoie ce message car samedi soir14/12/2002, à 20h30, alors que j'étais envoiture coté passager (un pote à moiconduisait), j'avais la tête tournée vers ladroite, regardant un champ avec desvaches, quand tout à-coup, apparaissantau-dessus des arbres à l'extrême droite duchamp, je vis un objet traverser tout lechamp en moins d'une seconde. Le conducteur à juste eu le temps de le voirpasser devant le pare-brise qu'il avaitdisparu !Nous n'avons pas eu le temps d'évaluer laforme exacte, mais une chose est sûre, çàémettait une lumière blanc/bleue très forteet localisée. Cà n'a pas eu l'air de passerspécialement haut dans le ciel... J'ai eul'impression que l'objet allait en accélérant.Direction approximative : sud-est versnord-ouest.

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Au dessus du volcan popocatepetl. Mexique. Juin 1999

Cherchez l'erreur ! Nous sommesde plus en plus nombreux ànous passionner pour ces ima-

ges qui font apparaître des anomaliesqui n'auraient jamais dû se trouver là !Que ce soit une tour sur la Lune, unvillage en ruine sur Mars, que cesphotographies proviennent de l'espa-ce ou du décor le plus banalementquotidien, elles possèdent toutes lamême force de fascination et nousprojettent dans un univers mystérieux

à la frontière du réel et de l'imaginai-re. Mais faut-il croire absolument enl'existence de ce qu'on voit ? On ditque rien n'est plus trompeur quel'oeil... Ces anomalies visibles sur cer-tains clichés sont-elles dues à une illu-sion d'optique, à un défaut de pellicu-le, à un jeu d'ombre et de lumière ? ousont-elles la preuve de l'existenced'une autre réalité inaccessible à l'œilhumain, et que nos appareils, plussensibles ou tout simplement mieux

placés par la Nasa, parviennent cepen-dant à saisir ?Les photographies suivantes ne voussont pas présentées ici comme despreuves, mais un comme un outil dequestionnements ou tout au moins,pour les plus sceptiques d'entre vous,comme une invitation au rêve.N'hésitez pas à nous adresser vosimages d'anomalies les plus folles etles plus insolites. Nous diffuserons lesmeilleures dans le prochain numéro.

CHASSEURS

Quand les satellites filment des ovnisLe 21 novembre 1999 un des satelli-tes la " National Oceanic and AtmosphericAdministration " (NOAA) a fait une photoétonnante d'un OVNI à cent miles environau-dessus de la Terre au large de la côtede l'état de Washington. Russel Kirchner atéléphoné pour informer qu'il avait obtenules photos satellites et les publiait afin que

tous puissent lesvoir. L'universitéd u C o l o r a d ogarde égalementces photos dansses dossiers pourréférence. Unephoto similairepr i se le 8 Ju in1995, au-dessusde l 'Amé r i queLatine a égale-

ment été largement di ffusée. Phi l ipImbrogno étudia le cas et conclu qu'il s'a-gissait de la lune. Cette explication ne tientpas pour les photos récentes. En effet cetOVNI na été présent que durant quelquesminutes. L'OVNI a une structure, deshublots ou ouvertures, et il rayonne de lachaleur dans le spectre infrarouge.

L’image ci-dessous date de Juillet 1992 etfut capturée par le Servicio Aereo Fotometrico Ltda.,une société de cartographie Santiago du Chili. "Les lignes qui peuvent êtres vues sur l'avant de l'ov-

ni résultent d'interférences électromagnétiques pro-venant de l'ovni" prétend l'ufologue Chilien LuisSanchez Perry.Au moment ou cette image fut prise, GOES-8 était enorbite géo-stationnaire à 36000 kilomètres au-dessusde la Terre. L'immense disque apparaît se déplaceravec la même vitesse orbitale que le satellite, à prèsde 10713 km à l'heure.

LES OVNIS VUS DE PREShttp://www.chez.com/lesovnis/[email protected]

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D'ANOMALIES

Nous avons retrouvéune structure particu-lièrement intéressante

dans la vallée Marineris, àCandor Chasma, non loin dela structure que nous vousprésentions dans le numéroprécédent. En fait, cette ano-malie se trouve sur le mêmecliché disponible sur le site dela Nasa :http://mars.jpl.nasa.gov/Tant d’anomalies dans unemême zone laisse perplexe,ne trouvez-vous pas ?Cette image référencée :na008405 est si riche de sur-prises qu’elle hisse la régionde Candor Chasma au niveaudes zones les plus énigma-tiques et les plus passionnan-tes de la planète Mars.Peut-on parler de hasard ?Un demi-cercle traversé pardeux rayons se rejoignant endirection de ce qui pourrait êtreune porte ?... Voilà une formequi n’a pas fini de faire travaillernotre imagination !Un seul regret une fois de plus :la médiocre qualité de l’image.

Anomalies martiennes

La Nasa découvrira-t-elle un jour de l'eau àla surface de Mars ?

Sans doute ce jour viendra-t-il, à en croire de nombreuxchercheurs qui scrutent lamoindre anomalie sur lessites de la Nasa. Pour eux, laprésence de l'eau à la surfa-ce de Mars ne fa i t p lusaucun doute…comme l'at-teste l ’ image ci-dessousdécouverte récemment sur:http://www.msss.com/moc_gallery/

...un lac sur la terre

Un lac sur mars ?

1 km

Comparons avec...

MONOLITHE SUR PHOBOS ?http://ida.wr.usgs.gov/fullres/divided/orb_0551/55103h.jpg

Phobos, célèbre satellite de Mars, reste mystérieux à bien

des égards. Certains chercheurs pensent y avoir décou-

vert la présence d’un MONOLITHE. Cette présence insolite

n’est pas sans rappeler le fameux chef-d’oeuvre de

Stanley Kubrick...

UNE NOUVELLE PYRAMIDE SUR MARS ?http://www.msss.com/moc_gallery/m07_m12/images/M11/M1100099.htmlCette image exceptionnelle requiert un certain temps d’adaptation pour l’oeil(d’aucun diront “une certaine imagination”) En dépit de la mauvaise qualité del’image, on peut deviner la présence d’une pyramide de type pré-colombien aucentre d’une vaste esplanade. Notez la voie d’accès au site sur la gauche.

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Le Hasard est-il bien raisonnable ?http://barsoom.msss.com/moc_gallery/ab1_m04/images/M0001661.htmlVoici ce qui ressemble à trois impacts de météorites.Particularité : leur présence dans une zone relativement épargnéepar les chutes de météore ; l’alignement presque parfait, et la dis-tance qui les sépare. Clin d’oeil à la constellation d’Orion ?

UNE TOUR SUR EROS...

RENDEZ-VOUSPP

lus de 30 ans ont passé depuis l’arrêt des missions Apollo. Aucunelus de 30 ans ont passé depuis l’arrêt des missions Apollo. Aucune

des explications officielles avancées à l’époque ne peut justifierdes explications officielles avancées à l’époque ne peut justifier

qu’un tel abandon se prolonge (voir Dossier TS n°2). On ne renonqu’un tel abandon se prolonge (voir Dossier TS n°2). On ne renon --

ce pas à un site stratégique militaire et scientifique de cette imporce pas à un site stratégique militaire et scientifique de cette impor tantan --

ce sans y être poussé par une raison impérieuse. Qu’elle est donc cettece sans y être poussé par une raison impérieuse. Qu’elle est donc cette

raison et pourquoi nous l’a-t-on cachée ? Je ne vois que deux possibiliraison et pourquoi nous l’a-t-on cachée ? Je ne vois que deux possibili --

tés à cet abandon apparent : soit la lune était déjà occupée ; soit lestés à cet abandon apparent : soit la lune était déjà occupée ; soit les

Le 12 février 2001 la sonde Near-Shoemakerse pose sur l'astéroïde 433 Eros. Eros, unastéroïde de 33 km x 13 km x 13 km...Une fois de plus la Nasa nous fait rêver avecun exploit extraordinaire que nous avons pusuivre presque en direct sur le web. Seul reg-ret : la médiocre qualité des images mise àdisposition des internautes. Mais revenonssur la petite histoire…La sonde Near-Shoemaker, ainsi baptisée en hom-mage à Eugène Shoemaker, célèbre scientifiquedont le nom demeure attaché à la comète qui s'é-crasa sur Jupiter en 1994 (Shoemaker-Levy 9. Voirdossier TS n°3) fut lancée le 17 février 1996. Le 20décembre 1998, après un voyage parfait, ponctuéd'une rencontre sans incident avec l'astéroïdeMathilde, la sonde manque son rendez-vous avecÉros, à la grande stupéfaction des techniciens de laNasa. La raison de cet échec ? Une perte momentanée decontact ! Le silence durera 27 heures. Finalement lecontact est rétabli. La sonde ne présentant aucundommage, on décide de reporter le rendez-vousd'un an. Une nouvelle date est fixée, ce sera le 14février 2000, jour de la Saint-Valentin. Décidément,la Nasa aime les symboles. Finalement le second rendez-vous est le bon.Pendant un an Near-Shoemaker va survoler l'asté-roïde prenant des milliers de clichés, puis ce seral'atterrissage, en douceur, à 256 millions de kilomèt-res de la Terre !Le décor étant planté, voici une sélection d'imagesprésentant ce qui nous apparaît comme des anoma-lies. Bien évidemment il ne s'agit pas de tirer desconclusions, car les clichés -rappelons-le- sont mal-heureusement d'une qualité bien médiocre.

...ET DES CHÂTEAUX D’EAU ?

TT OPOP SECRET - 14SECRET - 14

http://near.jhuapl.edu/iod/20000627/20000627.jpg

http://near.jhuapl.edu/iod/20010131/20010131full.jpg

20 juin 2000. Altitude 51 km.

27 janvier 2000. Photo prise depuis une altitude de13,5 km. Surface au sol : 500 m de large environ.

SUR EROSaméricains ont poursuivi la conquête lunaire dans le plus grand secaméricains ont poursuivi la conquête lunaire dans le plus grand sec --

r e t a f i n d e c o n s e rr e t a f i n d e c o n s e r v e r u n e s u p é r i o r i t é s t r a t é g i q u e s u r l e r e s t e d uv e r u n e s u p é r i o r i t é s t r a t é g i q u e s u r l e r e s t e d u

monde.monde. Quelle que soit l’option que vous choisirezQuelle que soit l’option que vous choisirez , vous vous rendrez, vous vous rendrez

compte qu’elle a des répercussions considérables...compte qu’elle a des répercussions considérables...

A présentA présent , sans perdre de vue nos considérations sur la lune, transpo, sans perdre de vue nos considérations sur la lune, transpo --

sons le problème, et posons-nous franchement la question : sons le problème, et posons-nous franchement la question :

Pourquoi les américains ont-ils envoyé une sonde sur EROS ?Pourquoi les américains ont-ils envoyé une sonde sur EROS ?

UN AUTRE TYPE DE CHÂTEAU D’EAU ?Cette image a été prise le 4 mai 2000 depuis une altitude de 50 km. Le"rocher" entouré mesure environ 30 mètres. Comparez-le encore une foisavec un autre type de château d'eau. L’idée qui vient à force de rencontrer cetype de structure, c’est qu’en effet, pour s’installer sur un “caillou” commeEros, il faudrait se constituer une grande réserve d’eau...

http://near.jhuapl.edu/iod/20000508/20000508.jpg

MAIS IL S’AGIT PEUT-ÊTRE TOUTAUSSI BIEN D’AUTRE CHOSE...

http://near.jhuapl.edu/iod/20000710/20000710.jpg29 juin 2000. Altitude : 51km

DES STRUCTURES ETRANGES27 décembre 2000. Altitude 37 km. On aperçoit ici encore une drôle destructure lumineuse. S'agit-il d'un reflet ? Mais alors comment expliquercette ombre tout à fait cohérente par rapport à la position du soleil, et quidonne l'impression que l'objet lumineux est en suspension ?On devine d'autres formes curieuses juste en face de l'objet et d'ailleursun peu partout dans cette zone...

http://near.jhuapl.edu/iod/20010104/20010104.jpg

TT OPOP SECRET - SECRET - 1515

D’autres anomalies

TT OPOP SECRET - 1SECRET - 166

http://near.jhuapl.edu/iod/20000503/index.html

SUR EROSSUR EROS

http://near.jhuapl.edu/iod/20000517/20000517.jpg

ETRANGE 15 mai 2000. 52 km d’altitude.http://near.jhuapl.edu/iod/20010212d/20010212d.jpg

RÊVONS UN PEU...Allons toujours plus loin dans les interprétationsaudacieuses et rapprochons-nous toujours plus près d'Eros.L'image ci-dessus montre 33mètres de la surface de l'astéroï-de. C'est une des toutes derniè-res photos prises avant que lasonde ne se pose. Le grandrocher entouré mesure 4 mètresenviron. En l'observant avec unpeu plus d'attention vous vousprendrez sans doute à rêver. Eneffet, ne dirait-on pas que cette"dalle" est flanquée d'un bas-relief ?…

PRESENCEPrise au tout début du mois de mai2000, cette image fut l'une des tou-tes premières photographies d’Eros àbasse altitude, 53 km. D'après laNasa, le "rocher" rectangulaire (grosplan) mesure 45 mètres. Les milliersd'autres photos prises ultérieurementne devaient plus jamais montrer un“rocher” aussi étrange que celui-là…

RITUEL SUR EROS ?Cette image à été prise le 12 février 2001 lors de la descente fina-le de la sonde Near-Shoemaker. Altitude : 250 mètres. Surface ausol : 12 mètres. On remarque en plein centre de l’image un étran-ge agencement de pierres rappelant (toutes proportions gardées)des sites de type Stonehedge. Une fois de plus nous avons enviede dire que le “hasard” est un grand architecte ! Etudions la confi-guration de plus près : un cercle composé de 13 pierres. Au cent-re de ce cercle, une autre pierre. On notera la présence d’un tri-angle parfait constitué par les trois plus grosses pierres. L’une de

ces 3 grosses pier-res est située à l’ex-térieur du cercle etsemble avoir ététravaillée...On se prend à rêver,n’est-ce pas ?

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EROPOLIS ?D’après la Nasa, le rocher aucentre de l’image mesurerait 60mètres. On découvre sur l’agran-dissement des détails qui fontpenser à des habitations ! Celle àl’extrême droite semble mêmesurplombée d’un dôme. Méfions-nous des mirages cependant...

RETROUVEZ TOUTES LES ANOMA-LIES DANS NOTRE CEDEROMS O U S F O R M E D E F I C H I E R SNUMERIQUES.

http://near.jhuapl.edu/iod/20000522/20000522.jpg

http://near.jhuapl.edu/iod/20000717/20000717.jpg

http://near.jhuapl.edu/iod/20010212e/20010212e.jpg

UNE ACCUMULATION D’ANOMALIESVoici de loin l’image la plus fantastique quenous pouvons vous présenter sur Eros.Prise le 8 juillet 2000 depuis une altitude de36 km, cette photo montre une surface ausol de 1,4 km. Illusion d’optique ou réalité ?la zone présente une concentration d’ano-malies impressionnante. A gauche, nous

avons agrandi le détail de ce qui ressemblebien aux ruines d’un rempart. L’image en-dessous à gauche met en exergue uneentrée de galerie, ou une structure d'habi-tation de surface. A titre de comparaison,voici (image tout en bas) le type de baseinstallée en Arctique par les chercheurs de

la Nasa pour simuler une expédition sur laplanète Mars… Troublante ressemblance,n'est-ce pas ? Notez le "mat" érigé à l'extré-mité de la structure…Enfin, nous avons repéré (image de droite)une structure étrange à demi enterrée, pré-sentant à son extrémité un arrondi bizarre.

http://www.arctic-mars.org

Si cette photo agrandie montre réellement un OVNI pilotépar des aliens, cela reste à voir. Mais, aux dires des gensqui l'ont publiée, cette photo et une centaine d'autrescomme celle-ci, sont les meilleures preuves à ce jour del'existence de vaisseaux spatiaux gigantesques venusd'un autre monde et qui gravitent aux abord de notresoleil.“Les images sont irréfutables, dans le sens qu'elles ontété prises par un satellite officiel appartenant à la NASA.Ces objets ressemblent au genre de vaisseaux spatiauxque nous avons vus dans les films de science-fiction telque Star Trek.” Graham Birdsall, éditeur de UFO Magazine

SOHO, satellite d'observation du soleil, aété lancé en décembre 1995. Exploitée encol laborat ion par l 'Agence Spat ia leEuropéenne et la NASA, la sonde est posi-tionnée à plus d'1,5 million de kilomètresde la terre. Cette mission est une réussitecomplète et c'est tout à l'honneur des tech-niciens qui ont travaillé à ce projet. Le butinitial de Soho était de nous révéler lesmystères du soleil. Or les photographiesqui nous sont parvenues, et nous parvien-nent encore, ont ouvert la voie à de nou-veaux mystères. Certains chercheurs par-lent d'ovnis, nombreux, qui croiseraientdans la périphérie de notre étoile. D'autresphotos plus étonnantes encore nous lais-sent perplexes. Une bataille cosmiqueserait-elle en train de se jouer là haut, dansl'indifférence générale des habitants de laterre ?

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AUTOROUTE ALIENDepuis son lancement, il est dit un peupartout sur le web que SOHO a pris descentaines de photos d'ovnis se déplaçantsur une sorte d'autoroute alien. Que faut-il en penser ? De nombreux sites se sontouverts et consacrent tous leurs efforts àétudier les images que la NASA met à ladisposition du public sur son site officiel :http://soho.nascom.nasa.gov/Quand la Nasa décrit une planète, quandla Nasa parle de comètes littéralementaspirées par l'attraction solaire, les cher-cheurs hurlent évidemment à la désinfor-mation. Qu'en est-il exactement ?Dans le doute, nous avons pensé qu'ilsera i t bon de vous fa i re découvr i rquelques unes de ces images litigieuses,de façon à ce que vous vous fassiez votrepropre opinion sur le phénomène. L’ennui,c’est qu’une fois de plus, la qualité de cesimages laissent vraiment à désirer.

L’usage des images de Soho desti-

né à l’information du public est

autorisé. Il est néanmoins demandé

que la source des images soit nom-

mée :

Courtesy of SOHO/[instrument]

consortium. Soho est un projet

international entre ESA et la Nasa.

GUERRE COSMIQUE ?Observez attentivement ces images ci-dessous.Soho photographie régulièrement ce type de phé-nomène depuis le commencement de sa mission.C’est presque toujours le même scénario : unpoint lumineux (d’une forme bien souvent spéci-fique) qui semble se déplacer rapidement, lais-sant apparaître un faisceau lumineux derrière lui.

Voici donc un évènement choisi parmi tant d’au-tres, et qui date de l’an 2000. Difficile d’affirmersur l’ image ci-dessous à gauche, si l’enginphotographié, engin en forme de croix trèsétrange, est la cible d’un puissant rayon “laser”,ou si c’est lui-même qui émet ce rayon.

Gros plan

Ces images ne sont-elles pas impressionnantes ?Naturellement nous ne pouvons pas donner deconclusions sur toutes ces anomalies. Mais lorsquela Nasa prétend qu'il s'agit uniquement ici de pla-nète, de comètes, voire de parasites, les cher-cheurs se permettent ouvertement d'en douter.De quoi s'agit-il ? Une guerre cosmique titanesqueest-elle en train de faire rage dans notre systèmesolaire, avec Soho pour seul témoin terrestre… ?Lorsque deux grandes armées s'affrontent elles nes'occupent pas des fourmis qui vivent sur le champde bataille…L'idée seule suffit à stimuler notre imaginaire…

D’AUTRES IMAGES SIMILAIRES

SOHO, le film historiqued’une grande bataille ?

Y a-t-il un moteur là-dessous ?

Quelques sites qui en parlent http://www.iwonderproductions.com/comet2.htmhttp://webpagesrruss.com/radar/SOHO_Anomalies/Bill_and_Ted/bill_and_ted.htmlhttp://sohogallery.50megs.com/

La météo avait été exceptionnellement froi-de durant tout ce mois de Février 1956, etcette nuit-là, il n'y avait aucun orage. Le cielétait clair et sans nuages. Alors que l'objet était toujours détecté surles radars, un Douglas Dakota DC-3 de AirFrance transportant les passagers d'un volrégulier en provenance de Londres estentré dans le champ du radar. L'objetinconnu, qui à ce moment était toujoursstationnaire, se met brusquement à accélé-rer à une vitesse foudroyante. Les contrô-leurs du ciel le voit alors foncer directementvers le DC-3. La tour d'Orly appelle alors le DC-3 pour luidemander s'il ne voit rien. Le pilote du DC-3 r é p o n d q u ' i l svoient en effet unelumière rouge cli-gnotante se dirigeant droit vers l'avion,apparemment à très grande vitesse. Ilindique que la position de la lumière est à laverticale des Mureaux, ce qui correspondaitbien à la position de l'objet sur le radar. Le pilote du DC 3 change alors de cap pouréviter une collision qui lui semble imminen-te. Puis l'objet disparaît à ses yeux. Pour latour de contrôle, l'objet semble maintenantêtre du côté du Bourget, position dont ilsinforment le pilote du DC-3. Le copilote, en se tournant dans cettedirection, aperçoit de nouveau la mysté-rieuse lumière clignotante, mais cette fois ildistingue l'objet lui-même. L'engin se dessi-ne parfaitement sur le fond du ciel ; il esténorme et noir. Dans le cockpit, l'équipage

observe l'ovni pendant une demi minuteavant qu'il ne disparaisse. Dans le rapport qu’il fera plus tard, leCapitaine déclarera que l 'objet qu'i lsavaient vu ne portait aucune des lumièresde navigation obligatoires. Pour la tour de contrôle d'Orly, le cauche-mar ne fait que commencer. Ce manègedurera en effet pendant trois heures. Audire des enquêteurs de l'aviation civile, lespilotes des divers appareils qui atterrirentou décollèrent cette nuit-là à Orly aprèsavoir vu la lumière clignotante, et parfoisl'objet lui-même, manœuvrant autour d'euxà des vitesses folles, étaient tous blêmes depeur.

Aimé Michel, qui a donné fort peu de détailssur les événements eux-mêmes a cepen-dant étudié ce cas avec attention. Il donnedes i n fo rmat i ons comp lémenta i resrecueillies auprès des personnels impli-qués: "a) l'objet "connaissait" l'existence et laposition des radio-balises. Il se déplaçaitfréquemment de l'une à l'autre à des vites-ses atteignant 3 600 kilomètres-heure. b) Il "connaissait" l'existence et les limitesdu radar. Quand aucun avion n'était envue, il sortait du champ du radar par la ver-ticale, et n'y rentrait que pour foncer versl'avion en train d'approcher. c) Et voic i le p lus fantast ique. A unmoment, pour en avoir le cœur net, les

opérateurs appelèrent le radar du Bourget:- Avez-vous la même réception que nous ?Aussitôt, le radar d'Orly fut brouillé par unepuissante interférence. Pour échapper aubrouillage, les opérateurs d'Orly changèrentde fréquence. Plus de brouillage pendantquelques secondes, au cours desquellesl'objet redevint parfaitement visible sur l'é-cran. Après quoi le brouillage reprit sur lanouvelle fréquence: tout se passait commesi l'objet, ayant intercepté et compris laconversation entre Orly et Le Bourget, avaitjugé importun le repérage radar et l'avaitbrouillé, et ceci de fréquence en fréquence,car radar et brouillage ne cessèrent à partirde ce moment de se poursuivre !

Cette interprétation, ilfaut le souligner, je latiens des techniciens

de l'aéronautique qui enquêtèrent ensuitesur l'incident. Détail: le radar du Bourget, en dérange-ment, ne fonctionnait pas cette nuit-là.Ainsi, dans ce cas particulier, l'observationradar fut doublée non seulement de l'obser-vation optique, visuelle, par les pilotes quiaperçurent l'objet en vol, mais par tout unmanège chat et souris évoquant irrésistible-ment une activité intelligente. Quelques années plus tard, je reçus à Parisla visite d'un des membres les plus émi-nents de la Commission d'Enquête de l'U.S.Air Force venu consulter mes dossiers etéchanger avec moi ses impressions.Interrogé sur ce qu'il pensait du cas d'Orly,il poussa un soupir désabusé :

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L'affa ireired'Orly Février 1956Février 1956Dans la nuit du 17 au 18 février 1956, à 22:50 heures, apparaissait sur le radar de

l'aéroport civil d'Orly, près de Paris, un écho correspondant à un objet d'une tailledeux fois supérieure à celle des plus grands avions alors en service. Aucun avion

n'étant supposé se trouver dans cette zone à ce moment-là, les techniciens radar sebornèrent d'abord à suivre les évolutions de l'objet supposé, évolutions qui étaienttotalement différentes de tout ce qu'ils avaient pu observer jusqu'ici. La vitesse de l'ob-jet variait de l'immobilité totale à une vitesse de 2500 kilomètres/heure. Dans la tour decontrôle, ces témoins privilégiés n'étaient pas au bout de leur surprise…

Le pilote du DC 3 change de cap pour éviter la collision

- Des cas de cette sorte, nous enavons tous les mois aux Etats-Unis. - Et vous les expliquez ? - Les expliquer ? Comment les expli-querions-nous ? C'est parfaitementinexplicable. - Mais alors, pourquoi diable publiez-vous périodiquement des communi-qués affirmant que 99,5 % des casqui vous ontété soumis ontreçu une expli-cation satisfaisante, et que les autresn'ont aucune importance ? Nouveausoupir désabusé : - Pourquoi ? Pour avoir la paix.N'oubliez pas que la commission amé-ricaine est une commission militaire.Ah! si l'U.S. Air Force confiait cettetâche à des hommes de science..."Tous les mois", disait cet honnête

homme. " Il serait faux de croire que les hom-mes de sciences n'auraient pas pusaisir cette occasion exceptionnellepour se confronter sérieusement audossier ovni. En effet, l’étrangeté del’évènement attira l’attention desmédias si bien que le cas fut large-ment diffusé dans la presse, y com-

pris aux Etats-Unis.L e s s c i e n t i -

fiques avaient tous les élémentsnécessaires pour mener une enquêteminutieuse sur ce cas. Au lieu de ça,l’enquêteur de l'Observatoire de Pariss’est probablement contenté de resterassis sur son fauteuil au lieu d’interro-ger les nombreux témoins crédiblesde l’évènement. D’un tour de main, ilrésolut toute l’affaire en avançant l’ar-gument que nous connaissons bien :le ballon sonde ! Les ballons météopeuvent-ils vraiment devenir plus dedeux fois supersoniques dans desvents de haute altitude...? Peuvent-ilssuivre et poursuivre plusieurs avions,lesquels ne semblent pas incommo-dés par ces "jet streams" superso-niques de basse altitude...?D é c i d é m e n t , i l s e t r o u v a i t à

l 'Observato i re de Par i s , à cemoment-là, un homme de sciencesqui aurait eu avantage à s'abstenird'intervenir sur la question desovnis. Il aurait ainsi évité de secouvrir de ridicule.

Patrick GrossEcrire à l'auteur : [email protected]

http://www.chez.com/lesovnis/

SOURCES"Oui, il y a un problème sou-coupes volantes !", article deAimé Michel , dans "P lanète",numéro 10, Mai-Juin, 1963. "Air mystery in Paris - uniden-tified object, on radar, flew at1 ,500 mph" , The New YorkTimes, 20 Février 1956. "Geisterschiff über Paris", arti-cle dans le magazine Quick-Texte,Münich, numéro 11, Mars 1956

MYSTERE DANS LE CIEL DE PARIS

Une exclusivité du New York Times

Un objet non identifié, sur lesradars a volé à 1,500 M.P.HPARIS, 19 Février - les milieuxd e l ' a v i a t i o n s p é c u l a i e n taujourd'hui sur l'identité d'unobjet étrange alternativementplanant et volant à des vitessesau-dessus de 1.500 miles àl'heure, détecté dans la nuit devendredi par les opérateurs deradar à l'aéroport internationald'Orly. L'objet a causé un "blip" surl'écran de radar approximative-ment deux fois plus grand quecelui des avions de lignes habi-tuels, selon les techniciens. Il asemblé être à une altitude de5.000 pieds et a été vu en trainde suivre les avions décollantou atterrissant à Orly. Une station de balise radio auSud-Ouest de Paris a égale-ment rapporté l'objet mais ni leradar de l'aéroport du Bourgetni l'observatoire de Paris n'arapporté le contact. Un porte-parole de l 'observatoi re adéclaré qu’il pouvait s’agird’un ballon américain lâché enAllemagne et qui aurait dérivévers l'Ouest emporté par le "jetstream."

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C'est dans un magazine allemand que noustrouvons un aperçu de l'ampleur des événe-ments survenus à Orly. Voici le compte rendudu magazine Quick-Texte, de Munich, dans sonnuméro 11 de Mars 1956Alarme à la station de radar du terrain d'aviationd'Orly; pendant trois heures un mystérieux objetvolant a menacé les appareils décollant et atterris-sant. Dix techniciens de radar du terrain d'aviationd'Orly ont été témoins d'un phénomène étrangeapparu sur leurs moniteurs radar, et ont immédia-tement alerté les avions de chasse français. "C'était stupéfiant !" a confirmé le technicienradar Baruc. Trois heures durant, il avait vu com-ment "l'objet mystérieux" avait pourchassé d'aut-res avions. Les témoins : Le chef des radars Deveaux a étéinterrogé avec ses collègues par le personnel géné-ral français au sujet du "vaisseau fantôme". Il aécrit dans son rapport que "l'objet volant" avait étéobservé au-dessus de Paris pendant trois heures.L'objet était deux fois plus grand que le plus grosavion. Il s'est parfois arrêté dans le ciel, pour s'em-baller alors un peu plus tard adoptant une vitessede 2400 kilomètres à l'heure.

La preuve : Soudainement un brouillard en forme debanane s'est formé autour d'un corps géant mystérieuxsur l'écran de visualisation du radar. "Il est resté immo-bile, et nous avons pu voir clairement comment unDC-3 qui décollait et un Constellation qui atterrissaitont plongé et disparu sous le corps géant. Il m'a sembléque c'était comme si l'objet inconnu voulait observer letrafic aérien de Paris," a dit une des personnes desradars. Puis l'ovni est reparti dans la direction du nord-est. Ils'est arrêté là, et il a finalement plongé vers un avion dela poste. "Nous redoutions déjà la collision quand l'ov-ni a brusquement fait demi tour. En fait, il venait dedécouvrir une nouvelle cible : le vol 103 de la Swissairen provenance de Londres. Il a croisé la trajectoire duDC-3 FBAXI qui venait juste de décoller. Leur pilotenous a parlé d'une boule de feu compacte rougeâtre." L'engin inconnu a suivi le vol 103 de la Swissair pen-dant 40 secondes. Puis il a disparu en un clin d'œil au-dessus d'Orly, pendant qu’arrivaient les avions dechasse que les techniciens radar avaient alertés troisheures auparavant. L'Etat Major Général Français exa-mine à présent pourquoi le temps de réaction desavions de chasse stationnés à Tours, à 200 kilomètresde là, a été si long.

“C’était un ballon sonde !”

OVNI au-dessus de Paris

LES EVENEMENTS DE 1977Les événements dont nous allons parler sesont principalement concentrés sur la villede Colares, une île d'environ 2000 habitantsqui se trouve dans l'Etat du Pará, dans ledelta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais les manifestations sesont étendues bien au-delà de l'île, et c'estla région toute entière qui fut confrontée auphénomène que les autochtones ne tardè-rent pas à nommer Chupa-chupa (traduirepar " sucer, sucer "). Tout commence en août 1977. Des objetslumineux apparaissent au-dessus desquelques villes de la région, projetant deminces rayons lumineux vers les habitants.Les personnes touchées s'évanouissent. Aleur réveil les victimes se plaignent d'une

anémie étrange, comme si une partie deleur sang avait été prélevée. Le pêcheur Manoel João de Oliveira Filho,

âgé de 44 ans, marié et résidant rueCarneiro de Mendonça, flânait tôt ce matin-là, avec quelques compagnons, en atten-dant de commencer sa journée de pêche enmer. Tout à coup les hommes voient au-dessus de la plage de Rio Novo, un objet enforme de parapluie qui est stationnaire àenviron 4 mètres du sol. Aucun bruit n'estaudible depuis l'endroit où se tiennent lespêcheurs. Le dessous de l'objet émet unelumière vive de couleur blanche. Puis lalumière s'éteint. L'objet s'éloigne en silencevers Machadinho.

D’autres témoignagesUn charpentier du nom de João Dias Costaâgé de 44 ans et un pêcheur nommé JoãoDa Cruz Silva, 54 ans, tous les deux rési-

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En 1977, l'île Brésilienne de Colares est visitée par

des objets volants inconnus. Cela dure des mois.

On voit tous les jours toutes sortes d'engins de

toutes tailles et de toutes formes, arrivant par le

Nord, depuis le ciel ou sortant des eaux. 35 habi-

tants de l'île sont blessés par des rayons dirigés

sur eux. Des rayons qui laissent des marques de

perforation sur la peau . Très vite, on parle d'ovnis

" suceur de sang " ; le mythe des " vampires de

l'espace” revient en mémoire et s'impose à la

population… On compte au moins deux décès dont

la cause est directement imputable au phénomè-

ne. L'armée intervient ; la presse s'empare de l’af-

faire... Finalement, devant la menace, les habi-

tants sont contraints d'évacuer l'île.

dants de la ville de Colares, voient des "sph-ères lumineuses". Ils sont très effrayés carcelles-ci passent si près de leur embarcationqu’elles manquent de les faire chavirer. Un autre homme de la ville de Colares,Zarcarias Dos Santos Barata, 74ans, a obser-vé des boules incandescentes à deux repri-ses. La première nuit, l'objet semblait venirdu comté de Marajó. Il disparaît rapidementvers l'intérieur de l'île. La deuxième nuit, uneboule de couleurs bleues vole au-dessus duterrain de football local. Elle éclaire tous lesarbres autour du terrain avant de filer vers lecentre ville. Le Senor Sebastião Vernek "Zizi" Mirandadécrit ainsi son expérience : "J'étais là avec mon épouse,devant l'église sur le front demer, quand vers 20:00, nousavons vu une lumière intense,orangée, arriver de la mervers la ville. Elle s'est appro-chée tout en s'élevant dans leciel. Puis, accélérant rapide-ment,elle a disparu vers lapartie intérieure de l'île." Le coiffeur Carlos Cardoso dePaula, âgé de 49 ans, a eu une rencontrerapprochée avec ces "lumières" : "Tout lemonde était endormi. J'étais en train defumer une dernière cigarette quand soudainune boule de feu est entrée dans notre mai-son. Elle a commencé à tourner en ronddans la salle et puis elle s'est approchée demon hamac. Elle est remontée le haut de majambe droite jusqu'à mon genou (sans tou-cher ma peau). J'ai observé avec beaucoupde cur ios i té pendantqu'elle se déplaçait versmon autre jambe. Alorsj'ai commencé à me sen-tir faible et somnolent.Ma cigarette est tombée de ma main et jesuis sorti en criant. La lumière a rapidementdisparu et tout le monde s'est réveillé. Jepense qu'elle avait recherché une veine dansmon corps mais n'est pas parvenue à la trou-ver. Pendant que son éclat croissait j'ai sentiune sorte de chaleur qui émanait d'elle."Connu pour sa compétence dans la répara-tion des filets de pêche, l'ouvrier RaimundoCosta Leite se souvient lui aussi :

"A environ quatre heures du matin, je suisa l lé pêcher avec mon ami "Baix inho"(Orivaldo Malaquias Pinheiro) au large de laplage de Cajueiro. Je me rappelle que"Baixinho" a crié "regarde ! Il est là !" et apris ses jambes à son cou, me laissant seulsur la plage. L'engin était de la taille et de laforme d'un hélicoptère.Il ne faisait aucunbruit, et il volait très haut. J'aurais pu tirerjusqu'à lui si j'avais eu un pistolet avec moi.J'ai été pris de peur à mon tour quand lamachine a projeté une sorte de rayon lumi-neux vers la plage. Cette lumière balayait lesol, illuminant tout ! C'était une lumièrebleuâtre (une sorte de "lumière froide").

C'était assez facile pour moide le voir parce que l'enginavait plusieurs petites lumiè-res rougeâtres sous sa cloi-son avant. L'engin semblaitchercher quelque chose ausol. J'avais peur qu'il puisseme toucher et, en dépit dema médiocre condition phy-sique, j'ai couru sur une trèsgrande distance. L'objetvenait de la mer et il se diri-

geait au loin dans la partie intérieure del'île."

Manifestations hostilesA Corales, de très nombreuses personnesdisent avoir été attaquées par des faisceauxde lumière projetés par des ovnis de tailleset de formes diverses. "Le 20 Octobre, rapporte le journal régional,trois femmes ont été frappées à la poitrine

par les faisceaux lumi-neux. Toutes trois ontété atteintes d'une ten-sion nerveuse énormeet d'une sorte inconnue

de lassitude. C'était comme si elles rece-vaient des décharges électriques constan-tes." Dans la soirée du 29 Octobre, BeneditoCampos et son épouse, Silvia Mara, ont vécuune aventure des plus traumatisante. Ilsétaient à leur domicile quand ils ont remar-qué un objet ovale et argenté émettant unfaisceau de lumière verdâtre dans la salle oùils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont

rapprochés de la fenêtre, et, au moment oùils faisaient cela, un rayon atteignit Silvia, lajetant dans une sorte d'état de transe. Silvia,qui était enceinte, s'est évanouie aussitôt.Deux entités sont alors apparues dans lamaison, portant une sorte de torche dorée.Le faisceau a de nouveau frappé Silvia, cettefois dans le bras gauche au niveau du poi-gnet. Ses veines ont semblé se soulevercomme gonflées par la lumière qui les frap-pait. Plus tard, alors qu'il se rendait encatastrophe chez un voisin, Benedito a été àson tour brièvement paralysé par un rayon

lumineux. Craignant la perte du bébé à naît-re, le couple a été transporté de nuit parbateau à la clinique médicale de Mosqueiro,suivi pendant tout le trajet par l'ovni. Ils sontrestés là-bas pendant trois jours. Le tempspour Silvia de récupérer. Benedito quant à luitraversa un état dépressif qui se prolongeaquelques mois.

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Précision des rayonsLes rayons de lumière des engins ont étédécrits comme étant si lumineux qu'ils res-semblaient à ceux employés pour éclairerles stades sportifs la nuit. Ils ont toujoursété nettement définis, et dirigés avec uneprécision parfaite vers leurs cibles que cesoient les maisons, les gens, bateaux, arb-res, et même les hélicoptères de la forceaérienne Brésilienne déployés au-dessus del'île pendant les investigations. En une occasion, on rapporta même qu'unde ces puissants faisceaux obligea un deshélicoptères à atterrir. La Senora AlbaCâmara Vilhena se souvient : "A l'époquedes “Chupa-chupa” tout le monde étaittrop effrayé pour dormir la nuit, et presquetous les soirs nous partions retrouver desparents. En une occasion nous avons obs-ervé un engin. Il était rond, et très lumi-neux. Juste à ce moment un hélicoptère del'armée volait presque vers notre maison.Alors nous avons vu que l'OVNI dirigeaitun rayon très puissant droit vers l'hélicop-tère, l'obligeant à atterrir sur le terraind'aviation de São Pedro. Cela s'est produità environ 20:00 un soir." Il est impossiblede confirmer ce témoignage, car la raisontechnique exacte de cet atterrissage forcéne fut pas communiquée.

A Colares, toute la population avu au moins une fois un ovni.Ici c’est un chauffeur de taxiqui témoigne.

Célèbres photographies d’ovnis prises en 1977 lors de la grande vague de Colares. Brésil

Un rayon atteignitSilvia, la jetant dans une

sorte d'état de transe

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L'activité des ovnis au-dessus de l'île deColares était si intense que les gens ontcommencé à croire que les "Chupa-chupas"essayaient d'établir un contact avec eux.Telle était l'opinion exprimée par RaimundoFerreira "Mimi" Monteiro. Ce dernier pensetoujours que les engins provenaient dufond de la mer, d'une sorte de base sous-

marine située dans le comté de Marajó oudans la région du Caldeirão. Alfredo Bastos Filho, un ancien maire de laville, a confirmé quant à lui ce sentiment dep a n i q u e d e l apopulation. "Jepu i s vous d i r equ'à l'époque, iln'y avait pas uninstant de tran-quillité. La population était terrorisée parcette affaire de "Chupa-chupa". Je suismême allé voir "Mirota", une des femmesvictimes des rayons. Elle était en traitementmédical à la clinique." Les habitants ont été tellement effrayésque plusieurs des femmes et des enfants sesont résignés à quitter la ville. Les hommesqui sont restés allumaient des feux la nuit.Ils faisaient éclater des feux d'artifice etfrappaient des bidons à chaque fois qu'ilsvoyaient approcher les “Chupa-chupas”.D'autres s'enfermaient dans leurs maisonspar crainte du phénomène. Plus tard, on adit que plus les gens faisaient du vacarmeet des feux d'artifice pour les éloigner, plusces engins s'approchaient d'eux.

Des blessés et des mortsEn Novembre 1977, le médecin en chargede la santé publique dans l'île, le docteurWellaide Cecim Carvalho, s'est occupéed'environ 35 personnes prétendant avoirété attaquées par l'étrange rayon. Elle pritdes échantillons de sang et procéda auxanalyses. Son dossier rapporte que les victi-mes ont souffert d'hyperémie généralisée,de maux de tête chroniques superficiels, debrûlures, de fièvres intenses, de nausées,tremblements dans le corps, raideurs,asthénie et qu'elles présentaient des trèspetits trous dans la peau, là où elles préten-daient avoir été frappées par les rayons. Le docteur a écrit : "Tous les patients ontsouffert de lésions au visage ou dans larégion thoracique. Les lésions, s'apparen-tant à des séquelles de radiations, ont com-mencé à se manifester par le rougissementintense de la peau. Plus tard les poils sonttombés et la peau a tourné au noir. Il n'yavait aucune douleur, seulement une légè-re chaleur. Des marques de petites piqûresdans la peau pouvaient également êtrenotées. Les victimes étaient des hommes etdes femmes d'âges variables, sans liensentre eux." En décrivant leurs expériences, la plupartdes victimes affirment avoir été subitementparalysées par un faisceau de couleur blan-che d'environ sept ou huit centimètres dediamètre. Le faisceau ne les traquait pasmais les frappaient soudainement. Les victi-mes s'immobilisaient alors, et leurs yeuxrestaient ouverts. Le faisceau était ressenti

comme chaud, presque aussi chaud qu'unebrûlure de cigarette, à peine tolérable.Ceux qui essayèrent de crier se sont viterendus compte qu'aucun son ne pourraits'échapper de leur bouche. Après quelquesminutes la colonne de lumière se rétractaitlentement et disparaissait. La plupart des symptômes disparaissaienten général au bout d'une semaine. A Agulhas Fincadas, Mme Maria Lopes,habitante de Vila Gorete, aux confins du RioTapajós, dans le voisinages de Santarém(Pará), n'hésite pas à témoigner : "J'ai vuun objet se poser tranquillement dans lesbuissons... Il avait attaqué deux hommes etune femme. D'autres gens avaient étéparalysés en observant la scène et des

hommes ont été tués. Au niveau du cœurde chacun des décédés, il y avaient desp e t i t s t r o u s c o m m e d e s d i z a i n e sd'aiguilles." Il faut préciser également que de nomb-reux habitants de l’ île se sont blessés enessayant d'échapper à ce mystérieux phé-nomène. Dans de nombreux cas, lesmarques laissées par les rayons sur la peaudes victimes pouvaient avoir jusqu'à huitpetits trous. Pour ces cas précis, l'appella-tion de "Chupa-Chupa" semble bien appro-prié, les victimes ayant perdu jusqu'à 300ml de sang par ces orifices. Ce fut le cas pour Claudomira, une habitan-te de l'île de Colares. "Une nuit, j'ai étéréveillée par un flash puissant, une sorte derayon lumineux vert clair qui est descenduedu haut du toit vers ma poitrine gauche.J'ai essayé de crier, mais ma voix n'a pasfonctionné. J'ai senti une agréable cha-leur... Plus tard, ce faisceau de lumière adiminué et j'ai vu que j'avais été brûlée." Claudomira a déclaré qu'elle avait aperçuun objet étrange, ressemblant à un para-pluie, duquel un être de peau claire, avecdes yeux "orientaux" et de grandes oreillesétait sorti. Selon elle, la créature étaithabillée d'un vêtement vert serré et portaitune sorte de pistolet dans la main. C'est cetobjet qui a émis le faisceau lumineux. A ce

moment, Claudomira s'est sentie commeperforée par des aiguilles à l'endroit dusein. "Après cela, j'ai ressenti une migraineet une grande faiblesse qui m'ont laisséeprostrée pendant plusieurs jours." Le len-demain de l'événement, elle a été dirigéevers l'unité sanitaire de la ville, où elle a étéprise en charge par le docteur WellaideCecim Carvalho. Le docteur l'envoya à l'ins-titut médical Renato Chaves, à Belém, pourdes examens complémentaires. Son malai-se et ses migraines constantes ont duré denombreux jours, suivis de fatigues et de fai-blesses. Des années après, Claudomira nese sent toujours pas complètement remise.

PHENOMENE ELECTRIQUEConcernant les effets possibles desOVNIS sur l'approvisionnement enélectricité, le Senor Geraldo Aranha deOliveira du C.E.I.P.A. (centrale élec-trique de Pará) a expliqué : "En 1977 la sous-station du C.E.I.P.A.se composait de trois moteurs Scania de125 kilowatts, assurant l'éclairage de laville à partir de 18 heures jusqu'àminuit. Je ne me rappelle pas avoir vu lemoindre OVNI au-dessus de l'usine. Jeme rappelle simplement que pendantcette période, un bon nombre de tiges deparatonnerres ont été brûlées et, par-fois, également des fusibles."

La nuit, les hommes faisaient éclaterdes feux d'artifice et frappaient desbidons à chaque fois qu'ils voyaient

approcher les “Chupa-chupas”Comme d’autres témoins, Claudomira a

vécu une rencontre bouleversante.

TT OPOP SECRET - 25SECRET - 25

Bien qu'elle ait été sceptique et qu'elle aitd'abord pensé à des croyances populaires ouà de la sorcellerie, le Dr Wellaide a fini parêtre convaincue de la véracité des cas qu'el-le a traités. "Avec l'augmentation du nombrede personnes blessées, j'ai commencé àaccorder plus d'attention aux dommagesexistants. J'ai vu des choses qui n'existentpas dans mes livres médicaux" dit-elle. Selonelle, les victimes de "Chupa-Chupa" présen-taient des brûlures curieuses qui n'avaientrien à voir avec celles provoquées par le feu

ou l'eau chaude. Cela faisait plutôt penser àdes brûlures produites par des irradiationsau cobalt. "Les dommages changeaientavec le temps. D'abord cela commençaitpar une raideur intense dans le secteur tou-ché, ce que l'on appelle une hyperémie.Plus tard, les poils de la région affectéecommençaient à tomber (alopécie) etquelques jours plus tard la peau pelait." Un jour, une dame est arrivée au cabinet trèsnerveuse. Elle a immédiatement montré sonsein gauche, sur lequel il y avait deux trousétranges. Elle se plaignait de nausée, desouffle court et de faiblesse, symptômescaractéristiques des victimes du phénomè-ne. Le docteur a calmé la patiente qui estretournée chez elle. Mais vers 15 heures, leDr. Wellaide a été appelée à son chevet. Ladame était tombée très malade. Soncorps entier était immobile et elle avaitdu mal à respirer. Devant le sérieux dela situation, le docteur l'a transportée àl'hôpital de Belém. Un peu plus tard,elle recevait un extrait d'acte de décèspar crise cardiaque expédié par l'institutmédico-légal Renato Chaves. “Lesmédecins de Belém n'ont même pasmentionné les marques sur le corps dema patiente, et ils n'ont pas même dits'ils avaient effectué des examens com-plémentaires”. Finalement le médecin a elle-même eu l’oc-casion d’observer un ovni. L’engin était àquarante mètres d’elle. Tandis que les genslui criaient de se mettre à l’abri, elle est res-t é e d e b o u t d a n s l a r u e , f a s c i n é e .L’observation dura plus de dix minutes.

Des milliers de victimesOn estime que des milliers de personnesont pu souffrir des attaques du "Chupa-Chupa" entre 1970 et 1980. Il faut préciserque ces incidents se produisent toujours denos jours, même si les témoignages sontbeaucoup moins fréquents qu'en 1977.Pendant la vague des "Chupa-chupa" les"sites d'observation" étaient nombreux.Pinheiro et São Bento dans l 'état duMaranhão ; Viseu et Bragança dans l'étatde Pará, étaient des zones régulièrementvisitées par les ovnis, et il ne se passait pasune nuit sans un nouveau témoignage. L'un des épicentres du phénomène était auNord du comté de Baía Do Sol (la Baie duSoleil).Selon l'opinion de certains membres duGUA (groupe ufologique d'Amazonie) baséà Belém, il existerait depuis une époquetrès lointaine, à un certain endroit sousBaía Do Sol, une base cachée utilisée pardes engins extraterrestres. Une telle hypo-thèse expliquerait la constance des objetsvolants non identifiés au-dessus de larégion.

Les forces aériennes alertéesLa COMAR (Comando Aéreo régional : lecommandement régional de l'Armée de l'AirBrésilienne) est arrivé à Belém, et a entre-pris une série de recherches dans la région,sous le nom d'opération "Prato" (assiette,ou soucoupe"). Le Capitaine UyrangêBolivar Soares Nogueira De Hollanda Lima adirigé toutes les opérations dans la région.Pendant les investigations, l'Armée de l'Air atourné quatre films et pris des centaines dephotographies des soucoupes volantesdans le bassin de Marajó. Ils ont également

été d'un grand secours pour la population,fournissant l'aide de psychologues pouratténuer la panique qui s'était emparée dela région. Selon une déclaration du Senor SebastiãoV. Miranda, ancien résidant de Colares,l'Armée de l'Air Brésilienne a passé plus de

35 jours dans la ville, et a installé diversdispositifs près de la plage de Bacurí.L'Armée a apporté des émetteurs radio, desappareils-photo, des téléobjectifs etc. Il yavait un groupe entier d'officiers et certainstémoins ont rapporté la présence d'unétranger parmi eux. Les hélicoptères appor-tant des matériaux et du personnel, ontessayé de chasser les ovnis, mais sans suc-cès. Au contraire, ce sont les ovnis qui lesont pris en chasse !

RENCONTRES MORTELLES

Le journal "Le libéral" de Belém, le 14 Juillet,a signalé que le 22 Juin 1977, les frèresApolinário Firmino et Jose Correia, ainsi queleur beau-frère Aureliano Alves, ont ancré leurbateau sur l'Ile des Crabes, dans la villed'Alcântara. La nuit venue, alors que Firmino,Jose et Aureliano étaient allés dormir dans lescouchettes, Apolinário décida de dormir sur lapartie supérieure du bateau. Peu de tempsaprès minuit, selon ce que rapportent Jose etAureliano, un grand objet a produit un flashpuissant qui les a tant terrifiés qu'ils n'ontmême pas pu crier. Finalement Firmino aenfin réussi à percer le silence en hurlant. A cemoment Apolinário s'est réveillé et est descen-du pour aider ses frères. Quand il est arrivé, ila trouvé Firmino mort et ses autres deuxparents en pleine crise de douleur. Tous pré-sentaient des marques de brûlure sur le thorax.La police a examiné les lieux et n'a rien trouvéd'anormal. Les médecins qui avaient traitéAureliano et Jose, à l'hôpital Socorrão à SaoLuiz, n'ont communiqué aucune conclusion.Les jurisconsultes qui avaient effectué l'autop-sie du corps de Firmino ont conclu leur rap-port en écrivant qu'il avait été brûlé par unedécharge électrique, sans autres explications. En 1986, à une période ou il y avait une autrevague d'observations de lumières dans le ciel,deux corps furent découverts en état dedécomposition sur l'Ile du Crabe. La cause deleur décès est demeurée inconnue. Dans lemême secteur, à un autre moment, une "boulede feu" a sérieusement brûlé trois hommes quicoupaient du bois. L'un d'entre eux succombades suites de ses blessures. En 1993, à Colares, une missionnaire de 32ans et une femme de maison de 40 ans habi-tant l'île trouvèrent la mort, à un mois d'inter-valle, à la suite de rencontres rapprochéesavec des ovnis. Selon l'US Air Force, il n'y a jamais eu depreuves de la réalité des ovnis ou de quel-conques indications de dangers liés aux ovnis.Selon les sceptiques…les sceptiques ne disentjamais rien de ce genre d'affaires. Quant au grand public, il n'en a aucunementconnaissance…

Ovni photographié à Colares. 1977

Une victime de “Chupa-Chupa”. Gros plan sur les piqûres

Deux journalistes attaquésLa nuit du 24 Mai 1978, plusieurs moisaprès le "gros" des évènements, un journa-liste et un photographe envoyés pour cou-vrir l 'affaire survenue dans la région,étaient dans leur voiture quand en dépit dela pluie lourde ils ont été réveillés "par unfaisceau de lumière puissant qui -aussiincroyable que cela puisse paraître- a tra-versé la structure métallique du toit duvéhicule." Ils ont sauté hors de la voiture etont aperçu un faisceau lumineux en formede tube, d'environ vingt-cinq centimètresde diamètre, qui descendait sur le toit de lavoiture et traversait le panneautage enmétal. En plusieurs occasions, ils ont réussià prendre des photographies dont ils affir-ment que leur journal a plus tard vendu lesnégatifs a un "groupe" de Nord-Américains.

L'implication des militairesDeux facteurs ont apparemment déterminéla présence de l'Armée de l'Air Brésilienne(FAB) dans l'enquête du phénomène des"Chupas-chupas" : l'invasion évidente del'espace aérien national par des enginsvolants étrangers, et la pression constantedont ont souffert de nombreux habitantsde la région, ce qui était un souci pour laplupart des maires des villes touchées. Lesm a i r e s o n t e n v o y é u n o f f i c i e l a uCommandant de la COMAR pour l'informerque les OVNIS tracassaient beaucoup lespêcheurs. Certains d'entre eux ne pou-vaient plus exercer cette activité parce queles objets passaient sous leurs bateaux etrisquaient de les faire chavirer.Ces deux raisons ont été suffisantes pourque le premier commandement aérien

régional de l'aéronautique (COMAR), instal-lé à Belém, se décide à enquêter sur lephénomène. Un groupe de militaires futconstitué sous le commandement duCapitaine Uyrangê Bolivar Soares Nogueirade Hollanda Lima. Ce groupe a rassembléles dépositions des témoins et des victi-mes, et s'est installé sur place pour enre-gistrer les manifestations du phénomène.Une troisième raison déterminante futavancée bien plus tard par le CapitaineHollanda. D'après lui, l'opération fut misesur pied grâce à l'intervention du généralde brigade Protásio Lopes De Oliveira, du1er COMAR. Cet officier portait un grandintérêt au phénomène ovni, et s'il y avaiteu un autre général de brigade, elle n'au-rait peut-être pas eu lieu.L ' e nquê t e a d u r é d e S ep t emb r e àDécembre 1977, et a eu pour résultat l'éla-boration d'un document de 1000 pages,accompagnées de centaines de photogra-phies des engins volants, des schémas, descartes et de copies des articles de jour-naux. L'équipe serait parvenue à prendreenviron cinq heures de films en format 8

millimètres démontrant la présence desengins extraterrestres en Amazonie. Cesfilms n'ont jamais été montrés au public.Revista UFO, le magazine d'ufologieBrézilien, a néanmoins édité en Septembre1991 un numéro contenant des descrip-tions et des commentaires rassemblés parces agents de l'Armée de l'Air Brésilienne.Quelques photos de cette époque ont étéégalement divulguées. La vraie nouveautéde l'affaire, résidait dans le fait que cesévénements de Colares étaient confirmésd'une façon plutôt transparente, pour lapremière fois dans l'histoire des FAB.

Patrick grossEcrire à l'auteur : [email protected]

http://www.chez.com/lesovnis/SOURCES"Extraterrestrial Vampires in theAmazon Region of Brazil: Part II",British Flying Saucer Review, GordonCreighton, editeur(1996). "Confrontations", ouvrage de J. Vallée. Untitled report, by an unnamed agen-cy of the French Ministry of Defense. Rapport d'enquêtes par D. Rebisso Gliese.

UN SUICIDE MYSTERIEUXNdlr : Le Colonel Hollanda avait témoigné enjuillet 97. En septembre paraissait son inter-view, et le 2 octobre, on le retrouvait mort à sondomicile. La police conclut à un suicide. Ensavait-il trop ? Il devait participer à de nom-breuses conférences ufologiques... Les circons-tances de sa mort posent encore bien des mys-tères aux ufologues.

Dans une interview accordée à un magazine Brésilien d'ufologie en1997, vingt ans après les faits, le Capitaine Hollanda, devenu Colonelà la retraite, a fait des déclarations étonnantes. Il a en effet affirmé queson équipe n'avait rien pu révéler en raison du risque de sanctionspersonnelles de la part les autorités de l'Armée de l'Air."…une fois nous sommes venus en hélicoptère depuis Belém justepour entendre une femme qui avait été attaquée par le "Chupa-chupa". Nous avons vu qu'elle avait vraiment une marque sur lesein gauche. C'était brun, comme si c'était une brûlure, et cela avaitune série de trous alignés. Quand nous avons parlé, elle m'a ditqu'elle essayait de faire dormir un enfant dans un hamac quand,soudain, l'environnement a commencé à changer de température.Elle a trouvé cela plutôt plaisant, mais elle ne pouvait pas imaginerce qui allait se produire ensuite. Depuis son hamac, elle a vu queles tuiles de toiture avaient pris des colorations, des couleurs debraise de charbon.

Après cela, les tuiles changèrent et devinrent transparentes et elleput voir le ciel à travers le toit. C'était comme si les tuiles de toi-ture s'étaient transformées en verre. Elle voyait le ciel et même lesétoiles.Il semble que la nature de cette lumière était celle d'une énergietrès forte qui laissait les gens paralysés. Je crois que les autoritésfédérales étaient au courant de ce type d'attaques sur les êtreshumains, mais j'ignore tout en ce qui concerne des tests éventuels.J'ai seulement reçu des ordres de mon commandant, rien de plus.Maintenant je me sens dans l'obligation de dire ce qui s'est passéen Amazonie. L'opération avait pour objectif initial de démystifierces phénomènes. J'étais sceptique moi-même au sujet de la natureextraterrestre de ces évènements. Mais après quelques semaines,quand les disques ont commencé à apparaître dans tous les sens, jen'ai plus eu aucun doute."

1997 : Extrait de L' INTERVIEW DU COLONEL HOLLANDA

tt opop secret - 26secret - 26

1997. Le Colonel Hollanda

TOPTOP SECRETSECRETSECONDE PARTIESECONDE PARTIE

TOP SECRET - Avec les évènementsactuels votre livre "OVNIS et ArmesSecrètes Américaines" paru en janvieraux Editions Albin Michel acquiertsoudain un étrange relief. C'est un fait.

Il y a dans cet ouvrage de larges pans quisemblent relever de la science-fiction.Mais qu'est-ce que la science-fiction sinonune façon d'anticiper ? Imaginez que noussoyons, vous et moi, dans un café en 1939et que je vous parle fission. Auriez-vous pucroire une seule seconde, comme le niait legrand Poincaré lui-même à cette époque"qu'on puisse détruire une ville avec unelivre de matière" ? Supposons ensuite quenous soyons au début de 1945 et que jevous dise que cette fameuse bombe "A" adéjà été testée et qu'elle sera bientôt lan-cée sur une ville japonaise. Vous ne mecroiriez pas non plus.

Je me poserais des questions.J'ai écrit un livre en 1983, intitulé "LesEnfants du Diable". J'y parlais pas mal de

ce qu'on allait appeler plus tard la Guerredes Etoiles. L'éditeur qui l'avait commandéet qui m'avait signé "un contrat d'écriture"me renvoya mon manuscrit, refusant decroire à ce que j'y avais consigné. Le livrene parut que douze ans plus tard, chezAlbin Michel.

Dans votre dernier livre on apprend,pêle-mêle que les Américains détien-nent depuis 13 ans un avion hyperso-nique nommé Aurora, volant à 60 kilo-

mètres d'altitude à 10.000 km/h. Cequi incite à vous croire c'est que vousrévélez tous les principes de fonction-nement de cet appareil, dans vosannexes techniques. L'appareil a deuxentrées d'air dont une, mettant enœuvre un "ralentisseur MHD" qui luipermet de vaincre le "mur de la cha-leur". Mais d'où vient l'énergie ? Quelest ce générateur électrique providen-tiel qui permet à cet appareil de s'en-tourer de plasma et de protéger sesbords d'attaque en créant de fantas-tiques décharges électriques ?C'est une astuce extraordinaire. L'énergiequi sert à faire fonctionner tout cela, c'esttout simplement celle de l'air incident quidéboule à 10.000 km/h. Car en MHD,quand on ralentit un gaz, il fournit de l’é-nergie électrique. Le ralentissement à l'aidede forces électromagnétiques permet d'a-bord de recomprimer l'air sans l'échaufferexcessivement et par delà de l'envoyer versl'entrée d'air d'un simple turboréacteurconventionnel. Aurora vole à Mach 12 avecun turboréacteur classique, sans

TT OPOP SECRET - 29SECRET - 29

DDe p u i s q u e l q u e se p u i s q u e l q u e sdécenn ies dé jà ,décenn ies dé jà ,c e r tc e r t a i n s c h e ra i n s c h e r --

cheurs américains ontcheurs américains ontdénoncé l’existence dedénoncé l’existence de“ B l a c k P r o j e c t“ B l a c k P r o j e c t s ”s ”m e n é s d a n s l e p l u sm e n é s d a n s l e p l u sg r a n d s e c r e t pg r a n d s e c r e t p a ra rl ’ U S A F e t d ’ a u t r e sl ’ U S A F e t d ’ a u t r e sg r o u p e s a u x g r o u p e s a u x motivamotiva --tions obscurestions obscures.. CertCertainsainsh o m m e s , p r é t e n d uh o m m e s , p r é t e n d u --ment impl iqués dansment impl iqués dansces programmes, avances programmes, avan--cèrent l ’ idée que l ’arcèrent l ’ idée que l ’ar --mée américaine avaitmée américaine avaithérité d’une technolohérité d’une technolo--gie extraterrestre à lagie extraterrestre à las u i t e d u c r a s h d es u i t e d u c r a s h d eRoswell.Roswell.

Aujourd’hui , face à laAujourd’hui , face à lam e n a c e q u e p o u r r a i tm e n a c e q u e p o u r r a i treprésenter cette techreprésenter cette tech--nologie entre les mainsnologie entre les mainsd’organismes douteux,d’organismes douteux,nous avons voulu vousnous avons voulu vousp r é s e n t e r u n r a p i d ep r é s e n t e r u n r a p i d ed o s s i e r s u r c e s u j e td o s s i e r s u r c e s u j e thautement controversé.hautement controversé.

En France, l’un des premiers chercheurs à avoir dénoncé ces programmes sec-rets est un physicien. Directeur de recherche au CNRS, après 30 ans de mise engarde en direction des autorités, Jean-Pierre Petit vient justement de sortir un

livre sur le sujet. Nous l’avons interviewé afin d’en savoir plus sur ces technologies.

Dessin d’un avion hypersonique. Possible Aurora ?

J-P Petit

post combustion. On donneraensuite, grâce à cette énergie électrique unsurcroît de vitesse aux gaz qui sortent desturboréacteurs. De plus, un phénomènetrop complexe pour être expliqué ici, l'effetHall, permet de générer de très fortes ten-sions. On envoie cette HT sur les bordsd'attaque de l'appareil, ce qui crée un cous-sin protecteur constitué de gaz ionisé.Tout ceci représente trente années de tra-vail pour un millier d'hommes et un budgetcomparable à celui qui a permis à l'hommede marcher sur la Lune.

Uniquement pour obtenir cet avionAurora ?Pour tout un ensemble qui découle de cettetechnique fantast ique appelée MHD,magnétohydrodynamique.

Dont vous étiez spécialiste dès lemilieu des années soixante. Technique qui donne des avions espionsorbitaux, mais aussi des bombardiershypersoniques aux performances compara-bles, capables de faire le tour de la Terresans être ravitaillés.

J'ai lu : ce qu'on nomme "B2" ne seraitqu'un leurre destiné à cacher cetappareil futuriste.Qui coûte bien, celui-là, deux milliards dedollars pièce, alors qu'il serait impossible detrouver dans ces appareils qu'on exhibeune telle justification. Je ne vous demandepas de me croire. Mais si vous êtes un tantsoit peu attentif vous verrez que notreépoque est celle où le mensonge masquebien souvent la vérité. Il y a une chose quim'amuse. Mon livre a obligé les militairesfrançais, la DGA a faire des révélations. Eneffet je me moque tellement du retard fran-çais en matière d'armements de pointe que

la DGA (délégation générale à l'armement)s 'est sent ie obl igée de fa i re état dequelques gadgets. Ainsi dans le numéro defévrier d'Air et Cosmos, page 24, on trouveune photo d'une arme à hyperfréquences,franco-allemande, opérationnelle, destinéeà équiper des drones de combat. Un millionde volts, deux méga-hertz. Un impulsionprojetée dans la gamme des ondes radarqui peut à distance griller l'électroniqued'un avion, d'un char, d'une station radar etliquéfier quelques cervelles au passage.Dans un numéro précédent la revue évo-quait "la course aux plasmoïdes".

C'est quoi ?Un nouveau projectile, comparable à unrond de fumée. Dans le vide spatial savitesse de propagation peut atteindre descentaines de kilomètres par seconde.Beaucoup plus si le canon tourne avec une"petite charge nucléaire". Ces "ronds defumées" sont en fait constitués de plasma"auto-confiné" par son champ magnétique.Ce que le public ignore c'est que ce disposi-tif "à compression de flux" a été testé parles Russes dès le début des années soixan-te. Mais revenez à notre arme à micro-ondefranco-allemande, mise au point à l'ISL, àl'Institut Saint Louis. Que lit-on ? Qu'il s'agitde l'aboutissement de onze années derecherche et que le concept avait été prisen considération par les Européens depuis25 ans, dès 1978.

Alors, nous ne sommes pas si mauvaisque ça, en fin de compte ?C'est l'arbalète comparée au canon demarine. Et les canons de marine, ce sontdes armes où la source primaire d'énergieest une bombe d'une kilotonne. Des armesque les Américains détiennent depuis trèslongtemps.

LeS REVELations du colonel corso Dans un livre paru en juin 1997, le ColonelCorso déclaraa v o i r v u u ncorps d'extrater-restre récupéréd u c r a s h d eR o s w e l l . I ldéclare égale-ment avoir tra-vaillé de 1961 à1 9 6 3 s u r l e sd é b r i s d e c ecrash, chargé par son supérieur le généralTrudeau de transmettre la technologie récupé-rée du crash à diverses compagnies américainestelles que IBM, Hughes Aircraft, les laboratoi-res Bell et Dow Corning, sans que ces compa-gnies soient au courant de la provenance deséléments technologiques qui leur étaient trans-mis. Le Colonel Corso considère que cetteaction a permis la "découverte" de technologiestelles que les microprocesseurs, les fibresoptiques, le laser, et les fibres à super-tenacité,le kevlar et les systèmes de vision nocturne. Ilparle également de l'influence qu'à eu la techno-logie extraterrestre dans les événements poli-tiques et géopolitiques, le programme spatialaméricain, le programme de "guerre des étoi-les", et la fin de la guerre froide.Corso a une crédibilité inhérente, et cela a unegrande importance dans cette affaire. D'aprèstoutes les sources, il a servi avec courage durantla 2ème guerre mondiale et la guerre de Corée.I l a é té membre du Consei l de Sécur i téNationale de la Maison Blanche sous lePrésident Eisenhower, et il a dirigé le Bureaudes Technologies Étrangères du Bureau deRecherche et de Développement de l'US Army. Quand cet homme dit qu'il sait quelque chosesur Roswell, il paraît sensé d'y prêter attention.Consultant auprès des présidents Truman etEisenhower. Il participa notamment à laCommission Warren (enquête sur l'assassinatdu président Kennedy). Au mois de juillet 1998, soit un an après la sor-tie de son livre, le Colonel Corso meurt des sui-tes d’une attaque cardiaque...

A gauche, le Colonel corso. A droite,le Lieutenant Général Trudeau.

Le livre du ColonelC o r s o n ' a s u b iaucun démenti offi-ciel. Il est supposéq u e l e r a p p o r tCometa s'en soitlargement inspiré,si les faits relatésdans ce livre s'avé-raient exacts, l'af-fa ire Roswel l nes e r a i t p l u s u nmythe, mais uneréalité.

Dessin d’un bombardiers hypersoniques

TT OPOP SECRET - 3SECRET - 311

Après l'avion espion orbital, le bom-bardier hypersonique, on trouve dansvotre livre la torpille MHD hypervélo-ce qui file à deux ou trois mille kilo-mètres à l'heure. Et les sous-marins ?Ils sont plus lents. Les torpilles MHD ont unpropulseur de base qui est une fusée àpoudre. Le système pariétal MHD annihilele frottement. Elles ont aussi des durées devie de cinq à dix secondes tout au plus, àforce de filer à ce train d'enfer.

Et les sous-marins MHD ?Mille kilomètres à l'heure, avec des réac-teurs nucléaires qui ali-mentent des accéléra-teurs MHD pariétaux.

C o m m e n t p e u t - o ncacher de telles choses ?Certains savent. Mais lesEuropéens sont restéshors du coup.

Dans votre livre, lesr é v é l a t i o n s s u rRoswell constituent lacerise sur le gâteau.Vous dites tout simple-ment que vos interlo-cuteurs américainsv o u s o n t c o n f i r m équ'une ou même plu-sieurs épaves d’ovniauraient été récupé-rées. C'est ce que j'ai entendude mes oreilles. Cet évé-nement leur a fait gagnerun temps précieux. Ils ont été les premiersà savoir de manière irréfutable que lesovnis étaient d'origine extraterrestre. Ilsont alors mis en œuvre une politique dedésinformation de grande qualité, dévelop-pant la dérision, exploitant les angoissesdes scientifiques face à un savoir venud'ailleurs qu'ils n'auraient pas maîtrisé.

Alors, ce scepticisme généralisé àpropos des ovnis a été fabriqué detoutes pièces ?Tout à fait. La France a relayé tout cela. En1977 quand j'ai fait mine de sortir l'ovnicomme un chat d'un sac, on s'est empresséde créer le GEPAN, devenu par la suite leSEPRA. Une simple officine de captation dedonnées et de savoir-faire, au profit de l'ar-mée. Vous voulez dire qu'on nous a caché

des choses...Dès 1979 la société Jobin et Yvon a équipédes milliers d'appareils équipant les gen-darmeries de bonnettes à réseaux, gadgettrès simple permettant de convertir unephoto d'ovni en spectre, donc de retirer desinformations très intéressantes.

Et qu'est-ce que cela a donné ?Des milliers de gendarmes, équipés de telsgadgets, opérant dans nos campagnespendant 25 ans n'auraient produit quedeux films "avec des images trop faiblespour être analysées".

Donc, choux blancs….Ou dissimulation. Je vous laisse le soin dedécider. Personnellement je pense quel'ETCA, l'Etablissement Technique centralde l'Armement, qui fait toutes les analysesen aval du SEPRA détient une douzaine despectres de qualités, de même que nombred'autres études, dont plusieurs analysessimilaires au célèbre cas de Trans-en-Provence. Ces éléments constituaient unepartie des "pièces" qui accompagnaient lerapport COMETA lorsque celui-ci fut remisau Président de la Républ ique et auPremier Ministre, en 1999.

Ces affirmations n’engagent quevous. Comment pouvez-vous être sûrque ces pièces existent ? Réfléchissez, mon cher Watson. Si vous

parcourez le rapport COMETA vous verrezqu'on y répète à longueur de page quel'hypothèse de visites d'extraterrestres estla plus plausible. Or ce rapport a été cosi-gné ou préfacé par le général Norlain,ancien directeur de l'Institut des HautesEtudes de la défense Nationale (IHEDN),par le général Letty, par l'ingénieur généralOrszag, par l'amiral Merleau, par le profes-seur Lebeau, ancien président du Cnes, etj'en passe. Sans des pièces à l'appui, enproduisant un rapport développant deshypothèses aussi avancées ces gensseraient passés pour de doux rêveurs, des

mythomanes.

Le but de l'opéra-tion COMETA, en1999, selon vous,c'était quoi ?Dan s n o t r e p a y scomme dans tous lespays du monde sansexception le premieret l'unique client del'ovni c'est l'armée.L i sez l a de rn i è religne de la dernièrep a g e d u r a p p o r tfrançais : "Est-on enprésence d'enginsnon - t e r r e s t r e s ?Cette hypothèse nepeut être écartée. Sielle se révélait exac-te, elle serait grossede conséquencespour la Défense". Jen ' a i p a s i n v e n t é

cette phrase. Elle signe la démarche. Le problème, c’est que COMETA c'est leniveau du GEPAN en 1977. C'est fabuleuse-ment en retard sur le niveau atteint par lesAméricains.

Revenons-en aux Américains. Voussupposez donc que l'étude attentived'épaves et du dossier ovni a beau-coup stimulé leurs recherches.Les débuts ont été difficiles, mais à partirdes années soixante ils ont accéléré demanière spectaculaire, découvrant acciden-tellement comment synthétiser de l'antima-tière par compression.

Mais les scientifiques disent que cettesynthèse est laborieuse. Il y a deux technologies sur cette planète.Tant que vous ne parviendrez pas à

Un B2 franchissant le mur du son dans de l'air saturé en humidité. Le système MHD n’est pas activé

Ici le système MHD secret duB2 est activé. Notez bien lereflet de la lueur sur l'extra-d o s d e l a v o i l u r e . U n edécharge électrique envahitla région transonique où lavapeur d'eau se condense.Moralité : même quand onprend grand soin de cacherles choses des indices sub-sistent toujours.

envisager qu'il existeune crypto-technologie trèsavancée vous n'aurez pas unebonne perception des choses.Comprenez que pour lesAméricains, il a été essentielde cacher leur avance techni-co-scientifique, de manière àpouvoir continuer leur pro-gression sans réveiller la Belleau Bois Dormant.

La Belle au Bois Dormant ? L'Europe, si vous voulez. Actuellement nousapprenons qu'il existe des crypto-mathé-matiques.

Des mathématiques secrètes ? Mais àquoi peuvent-elles servir ?C'est dans le domaine de la logique et del'intelligence artificielle que les Américainsont fait des percées. Cela donne ce qu'onappelle la "robotique adaptative" et le"social engineering".

La première consiste, je suppose, àdoter des robots d'une intelligence. Lesecond truc, c'est quoi ? Une avancée dans les sciences sociales,mais pas à des fins très sympathiques.C'est la modélisation des techniques demanipulation des groupes humains. Enfin ily aurait un troisième plan, beaucoup plusinquiétant. Les militaires yankees se lance-raient très activement dans les manipula-tions génétiques.

Ça n'est pas nouveau.Ce que ces gens ignorent ; ce que les biolo-gistes ignorent, c'est qu'ils ne comprennenten fait rien au génome. Ils sont en train depréparer des catastrophes plus inquiétantesencore que la guerre nucléaire et la pollution.

Qu'est-ce qui peut être pire qu'uneguerre nucléaire ?De mettre en circulation des OGM en igno-rant qu'ils sont porteurs de tares insoup-çonnées qui sont "contaminantes" etimpossibles à réparer. Au bout d'un certaintemps ce petit jeu pourrait endommager legénome terrestre de manière irrémédiable.

J'ai déjà entendu des biologistes dire cela.Là, ce sont les Ummites qui le disent.

Tiens, les revoilà, ceux-là ? Ils vousécrivent toujours ? Le courrier, c'est dépassé. Maintenant ilexiste les e-mails et Internet.

Et où est-ce qu'on trouve cela ?Les extraterrestres se baladent sur les sitesspécialisés.

Et on arrive à identifier leurs messages ?En général cette incursion est très malvécue par ceux qui gèrent ces sites. Celacrée du désordre dans les forums de dis-cussion.

Eclairez ma lanterne.Un être humain est un système (plus oumoins) organisé de croyances. Tout ce quiest un peu exotique est déstabilisant. J'ai

vu passer un message d'un gestionnaire dece genre de site qui écrivait "eh bien, si lesextraterrestres sont comme ça, ils n'ontqu'à rester chez eux !"

C'est plutôt marrant !J'en conviens. Je vais même aller plus loin.Les gens disent souvent "mais pourquoi lesextraterrestres n'entrent-ils pas directe-ment en contact avec nous ?". J'aurais ten-dance à répondre : mais ils n'arrêtent pasde tenter de le faire et ce sont les terriensqui s'enfuient aussitôt, terrorisés. Je viensde donner une interview à un journalistebelge qui a été témoin du phénomène, àune distance de quelques dizaines de mèt-res, pendant la célèbre vague du début desannées quatre-vingt-dix. Il m'a dit que çalui avait fichu la trouille.

Mais, quand même, sur Internet.Peut-être les gens ont-ils peur de voir sou-dain un extraterrestre émerger de leur cla-vier en leur tirant la langue mais je peuxvous assurer que cette pétoche est bienréelle. Ca complique pas mal les choses.Vous savez, contacter un représentantd'une ethnie vivant dans un état de déve-loppement très arriéré ça n'est pas facile. Ilfaut passer par-dessus les barr ièrespsycho-socio-immulogiques.

Et vous-même, si vous rencontriez desextraterrestres, quelle serait votreréaction ?J'espère que j'arriverais à contrôler messphincters, mais je n'en ai pas une certitu-de absolue.

Pour contacter Jean-Pierre [email protected]

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D e s s i n 3 D d ’ u n“Black project”. Unengin hypersonique

LE CD DE TOP SECRET n°6Le CDrom de TOP SECRET n°6 est une formule intermédiaire.Vous y retrouverez des dossiers sous forme de répertoires numériques comme ceux contenus dansvotre disque dur. Pas de fioritures donc, pas d’interface. Nous privilégions l’outil numérique brut pourceux qui veulent utiliser la matière à des fins de recherches personnelles.

Les dossiers porteront des noms correspondant aux articles du magazine et se présenteront avec lenuméro de page correspondant. Chaque dossier contiendra ce que le magazine papier ne pouvaitaccueillir : des photos supplémentaires que vous pourrez visionner, agrandir...etc. des vidéos et desfichiers audios lorsqu’il existera de tels documents en relation avec l’article.Rubriques supplémentaires permanentes du CDrom : des vidéos d’ovnis dénichées sur le web.Rubriques supplémentaires conditionnées par les opportunités du moments : des interviewsaudio ou vidéo de personnalités n’ayant pas de rapport direct avec les sujets traités dans le magazine.

LE CEDEROM “TOP SECRET” EVOLUERA PROGRESSIVEMENT VERS PLUS DE DONNEESVIDEO ET AUDIO EXCLUSIVES. POUR CERTAINES ENQUÊTES, NOUS REALISERONS UN CD

VIDEO (lisible sur DVD) PRESENTANT UN REPORTAGE COMPLET.NOUS DEMANDONS AUX LECTEURS UN PEU DE PATIENCE.

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Opération Don QuichotteOpération Don QuichotteLa vérité, maintenantLa vérité, maintenant

" Les principes de Justice et d'égalité ne s'appliquent pas aux ignorants "

Opération Don-Quichotte est un mouvement de citoyens qui décident de se regrouper et d'agir pourgarantir au public l'accès aux informations confidentielles, et pour lesquelles un secret ne saurait êtrejustifié. Don-Quichotte souhaite agir contre le maintien de pouvoirs ou de connaissances entre les mains desources non reconnues, (organisations ou personnes soit-disant "autorisées"), décidant pour l'ensemblede la population, et à son insu, ce qui doit être "juste" ou "bon" de savoir.Il s'agit d'obtenir un "droit de savoir" sur des questions qui touchent à la place du citoyen dans sa socié-té, et sur sa planète. Nous cherchons à éclairer les zones d'ombre, (entretenues ou non), qui, parméconnaissance, nous empêchent d'user pleinement de notre libre arbitre.

CELA COMPREND :- les informations concernant la sûreté nationale, peu ou mal connues par les citoyens, (le nuage de Tchernobyl n'est jamais passé par la France...),- les armes de destruction, les programmes de recherche secrets,- les réseaux de désinformation et de manipulation,- les Phénomènes Rares Aérospatiaux et Objets Volants Non Identifiés, - plus généralement, tous les éléments subversifs conduisant à faire des citoyens de véritables"moutons pacifiés".

Don-Quichotte s'adresse à tous ceux qui sont passionnés par la recherche de la Vérité et son partage.

Association Opération Don Quichotte, 66 Champs Elysées, Immeuble M, 75 Paris

ADHESION

25 euros comme simple membre100 euros minimum comme membre bienfaiteur

Les chèques seront à Libeller à l'ordre de :Association Opération Don Quichotte

L’accident de la navette spatiale Columbia n'interrompra pas les vols spatiauxaméricains. Non pas pour des raisons scientifiques, mais bien pour des raisonsmilitaires. Cette hypothèse est confirmée par un étonnant article, tiré de "Pravda

on line", et qui parle également d'un sujet controversé, l'avion secret Aurora... Nousvous livrons des “morceaux choisis” de cet article, émanant de l'équipe "IA"(Investigations Administratives) de l'UFOCOM. Il ne s'agit pas pour nous de "caution-ner" ou non ce genre de texte. Simplement la présence de ce sujet dans les colonnesde la Pravda est intrigant pour de multiples raisons (motivations, géopolitique, tech-nologie, sciences, etc.)

“Au début des années 1990, les servicesRusses ont révélé le fait que les USA onttesté sur l'une de leur base aérienne unavion prototype "Top secret". Les agentsRusses ont réussi à se procurer des infor-mations sur ce nouvel avion, que les USAappelle "Aurora", en honneur de la déessede l'aube. Ce mystérieux avion est capable de voler àtrès haute altitude. Il possède aussi la capa-cité de voler à des vitesses supersoniquesfantastiques, comme Mach 6.0, Aurora peutdonc voler à 2 km par seconde, et ceci nesemble pas constituer une limite. Une photod'Aurora est encore plus rare qu'une photod'ovni. Jusqu'à présent, les Russes nedétiennent qu'une seule photo de l'avion

américain. Cette photo fut prise par un offi-cier de renseignement russe lors d'une opé-ration de ravitaillement en vol. Les intercepteurs -même les plus perfor-mants- ne volent qu'en atmosphère terrest-re, et donc la zone comprise entre l'at-mosphère et l'espace est toujours "libre"pour ainsi dire. C'est pour cette raison quele développement des avions spatiaux estparticulièrement pertinent en termes dedéfense. Celui qui y arrive le premier agagné... Les américains ont développé toute unesérie d'avions de ce type, qu'il s'agisse d'a-v ions esp ions , de chasseurs , ou detransports de troupes. Ceux-ci pourrontvoler de l'atmosphère dans l'espace, puis

r e v e n i r s u rTerre. Les améri-cains travaillentsur de tels proto-types depuis desannées déjà, etdéveloppent plu-sieurs projets detype "guerre desétoiles". Depuislongtemps, lesaméricains ontproduit le X-33,le X-34, le X-37et le X-38L e s s u p e r s o -niques de la clas-se X ont bien évi-

demment des appli-cations mil itairespratiques, commela mise en orbite desatellites. Ils peu-vent être équipésde télescopes, etd 'autres équ ipe-ments tels que desmissiles, des armeslaser, etc. En d'autres termes,l'Amérique est enpasse de posséder la première flotte spatia-le, ce qui pourrait lui donner une domina-tion complète sur les orbites basses de laTerre. Il n'est pas possible pour les disposi-tifs antimissiles actuels d'atteindre de telsavions de l'espace qui restent hors de por-tée. Mais l'armée de l'espace américainepourrait frapper n'importe quelle cible surTerre à tout moment... Les ingénieurs soviétiques ont tenté derelever le défi américain et ont développéun projet particulier nommé "Buran".Malheureusement, cet appareil ne s'est pasmontré à la hauteur, et la compétition avecles Etats-Unis a tourné à l'avantage de cesderniers.”

Avions secrets Avions secrets américainsaméricains

&&Domination planétaireDomination planétaire

Par Thierry WPar Thierry Watheletathelet

Les USA ont travaillé en secret sur une nouvelle génération d'avions spatiauxPassages extraits, traduits et adaptés de l’article de la Pravda on line, 05/11/ 2002 : http://english.pravda.ru/main/2002/11/05/39145.html

Les supersoniques de la classe “X”

Buran, la navette soviétique

Aurora, rumeurs et renseignementsDans l'article de la Pravda, il est fait allusionà une photo de l'Aurora, ravitaillé par un KC-135,qui aurait été prise par un agent de ren-seignement russe. Cependant, il est de mondevoir de préciser certaines choses...D'autres sources indiquent une autre originepour ce fameux cliché. En effet, Chris Gibson, un écossais, ingé-nieur en prospection pétrolière (mais aussimembre du British Royal Observer Corps ou"ROC") aurait photographié la scène aumois d’août 1989. Alors que Chris travaillaitsur une plate-forme en Mer du Nord, laGalveston Key, son attention fut attirée par

cet "avion" auxformes étranges,en train d'êtreravitaillé par unKC-135 et escor-té par deux F-111... Mais d'unautre côté, uncertain Bill Rose

revendique la paternité de ce cliché quiserait, en fait, un photomontage qu'il a réali-sé pour l'édition 1995 du magazine anglais"Astronomy Now" avec, pour légende : "Unesimulation de ravitaillement du (prototype)top secret Aurora".

Un document intéressantFin 1995, un enquêteur de l'UFOCOM s'estprocuré une représentation "artistique" en3D d'un avion présenté comme étantl'Aurora (photo d’ouverture). Cette acquisi-tion de document est assez "intéressante"car elle eut lieu après de longues discus-sions (qui durèrent plusieurs mois) avec unadolescent américain dont le père travaillaitpour une société très connue dont le princi-pal client est l'USAF. Nous connaissons cettesociété et avons pu vérifier, dans une certai-ne mesure, les faits énoncés par cet adoles-cent. Toutefois, nous avons décidé de nepas diffuser ces informations pour des rai-sons évidentes d'actualité et de sécurité. Sinotre enquêteur avait été abusé, risque quenous n'excluons pas, ce fut de très bellemanière et avec grand professionnalisme.Mais évidemment, cela introduirait d'autresquestions dans le débat et cela ne serait pasmoins intéressant... Depuis 1996, cettephoto a largement circulé sur Internet... L’Aurora dans un jeu vidéoIl est assez surprenant de voir que le mêmemodèle d'avion est visible dans "GhostRecon - Desert Siege", un jeu informatique

édité pour la plupart des plateformes dejeux actuelles ainsi que pour PC, apparaitl'Aurora. Certes en 3 morceaux car, dans lescénario du jeu, l'avion désormais mythiques'est crashé... Certes, vous ne le verrez pasen couleur car cette mission se déroule lanuit et pour le voir, il faut vous équiperd'une "vision-nocturne"... Les connaiseursme comprendront... Toutefois, les élementsmontrés sont en de nombreux aspects simi-laires à l'image d’ouverture (en haut pagegauche).

"Petit détail" supplémentaireL'auteur de ce jeu n'est autre que le trèscélèbre écrivain de thrillers technologiqueset spécialiste de géopolitique Tom Clancy...Lors de l'attentat du 11 septembre 2001 àNew-York, Tom Clancy fut assiégé par lesjournalistes tellement des événementsdécrits dans l'un de ses romans "Sur Ordre"étaient semblables à la réalité. Tom Clancypasse pour être un expert en sécurité natio-nale, internationale, géo-stratégie, etc. Sesrelations amicales, bien que discrètes, auPentagone ne font aucun doute. Il est consi-déré comme une star et un visionnaire dansson pays. En 1995, Tom publia l'excellent"Fighter Wing" ou "Avions de Combat, visiteguidée au coeur de l'US Air Force". Livretechnique sur les armes de l'USAF des plusanciennes aux plus modernes. Il a passéquelques temps avec le 366th squadron et,à la fin du livre, il explique, en s'aidant d'unscénario fictif, à quoi il pourrait être confron-té dans le futur.

Tom Clancy mérite vraiment le titre du maît-re du thriller technologique. D'aucun pen-sent qu'il est la voix "culturelle" de la sécuri-té nationale et internationale. Il est bon d’a-jouter que l'Aurora apparait aussi dans unautre jeu produit pour différentes platefor-mes : "Ace Combat III". Mais dans ce jeu,l'Aurora est la cible à abattre, l'ennemi...

L’aurora à la télévision etau cinémaLes allusions sur l'Aurora sontaussi présentes au cinéma et à latélévision. Pour ne citer qu'unexemple, l'incontournable sériea m é r i c a i n e " X- F i l e s " ( Au xFrontières du Réel). Dans un épi-sode, les deux agents du FBI sontappelés par l'épouse d'un piloted'essai de l'Air Force. Le mari decelle-ci a disparu, et l'armée necommunique pas sur cette affai-re. Peu de temps après, le piloterentre chez lui mais son compor-tement a complètement changé,ce n'est plus le même homme...Mulder (l'un des deux agents)craint que cet homme ne soit lepilote d'essai d'un engin basé etarchitecturé sur une technologieextraterrestre... Scully, sa co-équipière, elle,envisage l'hypothèse de l'Aurora, cet "avionorbital" secret qui fait couler tant d'encreaujourd'hui.

Et dans la presse...Le très fameux et très sérieux "Jane'sDefence" ainsi que l'excellent "Aviation'sWeek" ont également publié des informa-tions relatives au supposé avion "espion"qui pourrait aussi être, pour certains, unengin multi-fonctions.

ConclusionRien d'établi ne nous permet d'affirmer avecforce que cet avion "spatial" existe, mais ilexiste des pièces à convictions, des indicesadministratifs allant en ce sens. Toutefois,ces indices proviennent quasi-exclusivementde sources américaines et comme cetAurora serait "made in USA", cela pose unproblème au niveau de la fiabilité de l'infor-mation. Il existe, selon le moteur de recher-ches "Google", près de 45.000 pages conte-nant les mots clés "Aurora plane"... Le sujet est donc vastement traité et diffu-sé... "Que celui qui a des oreilles entende."

Thierry Wathelet UFOCOM : http://www.ufocom.org

Ecrire à l'auteur : [email protected] de Pravda on line traduit de l'anglais par

Yves, équipes "Sciences" et "InvestigationsAdministratives"

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La fameuse photo de l’Aurora

Commentaire de l'équipe "IA" de l'UFOCOM

Captures d'écran du jeu "Ghost Recon - Desert

Siege"

image 3D

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Le 29 décembre 1980, après un dînerdans un restaurant de New Caney(Texas), Betty Cash, 60 ans, Vickie

Landrum, 50 ans, et son petit-fils Colbyprennent leur voiture pour rentrer chezelles. Elles empruntent la nationale FM1485qui traverse une forêt de chênes et de pinsprès de Huffman, une route isolée en direc-t i o n d e s f a u b o u r g s d e H o u s t o n .Brusquement, au détour d'un virage, ilsaperçoivent un point lumineux qui se rap-proche pour finalement prendre l'apparen-ce d'un appareil en forme de losange.L'engin descend à mi-hauteur des arbres, àla verticale de la route. Un cône de feuémerge du bas du vaisseau et empê-che tout passage. La lumière émanant du mystérieuxobjet -qui n'est plus qu'à 60 m environ- estsi intense qu'elle éclaire la forêt aux alen-tours. Betty Cash arrête la voiture ; les 3occupants descendent. Une fois à l'exté-rieur, ils éprouvent une incroyable sensa-tion de chaleur. Effrayée, Vickie Landrumremonte en voiture avec Colby, tandis queBetty continue à fixer l'objet.Il faudra que l'objet s'éloigne pour queBetty obéisse à Vickie et remonte en voitu-re. Mais en ouvrant la portière, elle se brûlela main sur la poignée chauffée à blanc.Soudainement, une vingtaine d'hélicoptè-res noirs pénètrent dans leur champ devision. Il sera indiqué plus tard qu'il s'agis-sait de 23 hélicoptères Chinook CH-45 à 2rotors. Les hélicoptères suivent l'étrangeobjet. Cash et Landrum suivent encore laroute sur environ 2 km. Mais lorsqu'elles

croisent la route nationale, elles décidentde suivre cette direction ; c'est celle qu'ontempruntée l'appareil et la flotte d'hélicop-tères noirs. Soudain, l'un d'entre eux passejuste au-dessus du capot de la voiture dansun bruit assourdissant. Elles bifurquentfinalement en direction de Dayton, leur lieude résidence, laissant l'étrange escorte der-rière elles.Ces faits sont corroborés par d'autrestémoins qui indiquent avoir aperçu deslumières et un ballet d'hélicoptères.Au cours des 3 jours qui suivent l'incident,l'état de Betty Cash se détériore si vite

qu'elle est admise aux urgences. Betty neconfie à personne sa rencontre avec l'ovni,et le personnel médical la considèrecomme une victime de brûlures classiques.Betty souffre aussi de vomissements, dediarrhées, de graves troubles de la vue, etelle perd ses cheveux.Vickie Landrum et son petit-fils sont sujetsà des symptômes similaires, mais à undegré moindre. Tous les deux ont les yeuxenflés et la peau couverte de "coups desoleil". Ils souffrent, comme Betty, devomissements et de diarrhées.

Le procèsAu bout de quelques mois, Betty Cash etVickie Landrum font appel à Peter Gersten,un avocat s'étant déjà illustré dans plu-sieurs affaires d'ovnis. La thèse avancée

par l'accusation est la suivante : le vaisseauaperçu par les 2 femmes n'est pas d'origineextraterrestre, mais appartient à l'USAF.Gersten exige pour ses clientes des dom-mages et intérêts d'élevant à 20 millions $,au titre des préjudices subis (soins hospita-liers, notamment pour le traitement decancers issus des radiations reçues lors del'incident).Cependant cette action en justice s'avèrelongue, exténuante, et finalement vaine.Les représentants de tous les organes offi-ciels démontrent à la justice l'absence d'im-plication de l'armée américaine, quel que

soit le scénario envisagé. En dépit de laplainte de Cash et Landrum, aucuneenquête officielle n'aura jamais lieu.Le procès se tient en 1986, où les repré-

sentants de l'USAF et de la NASA indiquentne posséder aucun appareil susceptible decauser ce genre d'empoisonnement auxradiations (exposition aux ultraviolets,micro-ondes et rayons X), auquel on attri-bue la responsabilité de cancer déclaréchez les victimes. Aucune des personnesayant pu observer l'appareil, y compris lesvictimes, ne sont autorisées à témoigner.Les plaignants sont déboutés, parce quen'apportant pas la preuve de l'appartenan-ce de "l'ovni" au gouvernement américain.Depuis, l'affaire s'est perdue dans lesméandres des administrations de l'arméeet de la justice.

Jérôme BeauEcrire à l'auteur : [email protected]

http://rr0.free.fr

L'AffaireL'Affaire

CC AA SS HH // LL AA NN DD RR UU MML'historiqueAAvant d'aborder le dernier voletvant d'aborder le dernier volet

de ce dossier consacré auxde ce dossier consacré auxtechnologies secrètes améritechnologies secrètes améri --

caines, il nous fallait rappelercaines, il nous fallait rappelersuccinctement l'historique desuccinctement l'historique de

l'afl'affaire Cash/Landrum. faire Cash/Landrum. Notez bien que l'auteur qui aNotez bien que l'auteur qui asigné cet historique, Jérômesigné cet historique, Jérôme

Beau, n'adhère pBeau, n'adhère pas forcémentas forcémentà la thèse défendue pà la thèse défendue par Pierrear Pierre

Dumaine, que vous découvrirezDumaine, que vous découvrirezà la pà la page suivante.age suivante.

La flotte d’hélicoptères noirs suivait l'étrange objet

Vickie Landrum

Betty Cash Le petit Colby

ressemblances

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L'affaire Cash/Landrum a pris une tournure nouvelle avec l’annonce du gouvernementaméricain au sujet du projet “Lightcraft” ou vaisseau de lumière. Les chercheurs de laNASA et les responsables de l'armée de l'Air américaine travaillent en effet depuis plu-sieurs années sur la propulsion de vaisseaux par laser. En octobre 2000, sur le WhiteSands Missile Range situé dans le Nouveau Mexique, l'entreprise LightcraftTechnologies réussissait le premier lancement d'un micro-vaisseau prototype (12,2 cmde diamètre pour 50g) s’élevant jusqu'à 71m d'altitude, basé sur cette technologie.Nous allons voir les étranges similitudes qui existent entre l'objet décrit par les témoinsen 1980 et ce projet “lightcraft”. Faut-il en conclure qu’il s’agit en réalité d’un seul etmême phénomène, preuve que les américains maîtrisent effectivement une technologiesecrète révolutionnaire ?

Lightcraft ou pas ?Lightcraft ou pas ?indice d’une tecindice d’une tec hnolhnol ogie secrète americogie secrète americ aine directement aine directement

inspirée, ou cinspirée, ou c onfonf ondue aondue avec le phénomène ovec le phénomène o vni ?vni ?

L’ovni :Un vaisseau en forme de losange,accompagné par des hélicoptères,décrit comme un "diamant de feu",dégageant une chaleur incroyable etémettant des bips réguliers...

L'affaire survient en 1980 et se finiten 1987 lorsque le tribunal donne rai-son à l'armée, niant son implication.

Les 3 témoins ont souffert de brûluressérieuses. L'un d'entre eux contractaun cancer suite a cette rencontre rap-prochée avec l’ovni.

Le lightcraft :Losange arrondis. Propulsion situéedans la partie inférieure.Rainures sur la partie la plus large del'engin.Bips réguliers émanant du prototype.

Le professeur Myrabo invente offi-ciellement le lightcraft en 1987, dontil eu l'idée au début des années 1980.

Pour faire décoller un lightcraft gran-deur nature, il faut utiliser un lasersurpuissant qui pourrait entraîner desbrûlures et même des cancers en casd’imprudence.

Chronologie

symptomes

Ovni ou engin militaire ?Le cas Cash/Landrum est un événement uniqueen son genre puisque ce fut la première fois quedes personnes civiles furent en mesure d'atta-quer le gouvernement américain pour ce qu’el-les considéraient comme des expériences mili-taires faites sans tenir compte de la vie des per-sonnes se trouvant sur le passage de l'engin. Les trois témoins ont intenté ce procès contrel'armée car cette rencontre a failli leur coûter lavie. Or des hélicoptères semblaient escorter l'é-norme engin, et il paraissait normal d’obtenir del’état fédéral qu’il reconnaisse ses responsabili-tés dans l’affaire. Un procès s'est donc ouvert,mais la batterie d'avocats qui défendaient l'ar-mée l’a finalement emporté.Il ne fait aucun doute que les gouvernementscachent leurs travaux sensibles aux yeux dugrand public. Ils le reconnaissent eux-même. Cequ'ils ne nous disent pas en revanche, c'est quesous le prétexte de l’intérêt et de la sécuriténationale, la vie de chacun d’entre nous peutêtre sacrifiée en toute impunité. Ils nieront toujours, car la priorité consiste àprotéger le secret de leurs travaux.S i c e t t e c o m p a r a i s o n e n t r e l ' a f f a i r eCash/Landrum et le projet Lightcraft s'avèreêtre plausible, alors nous avons là une desmeilleure preuve du mensonge américain sur lesmoyens technologiques dont ils disposent. Ils’en déduirait donc une avance d’au moins cin-quante ans sur le planning des programmesscientifiques officiels. En effet, le premierLightcraft opérationnel grandeur nature n’estpas attendu avant 2025.Curieux lorsque l'on imagine qu’en 1980, l'ar-mée américaine était peut-être déjà en posses-sion d’un de ces engins. Mais cela, c’est à vousd’en juger.

Pierre Dumaine Pour contacter l’auteur, écrire à la rédaction

[email protected]

Les récits d'enlèvements supposés à bord d'ovnis ont pris de l'ampleur dans les années 80. Jusqu'à lafin des années 70, il n'y avait encore que quelques cas connus d'enlèvements, et l'on ne pensait pasqu'il puisse y en avoir beaucoup d'autres. L'un des tout premiers cas, celui d'Antonio Villas Boas, avait

eu lieu au Brésil en 1957, les autres apparaissant surtout aux Etats-Unis. Il y avait eu les cas de Betty etBarney Hill en 1961, divulgués seulement en 1966 ; celui du policier Schirmer en 1967 ; Hickson et Parkeren 1973 ; Carl Higdon en 1974 ; le jeune bûcheron Travis Walton en 1975 ; et enfin la remarquable histoi-re de Betty Andreasson, s'étalant sur de nombreuses années.

Au tournant des années 80, les choses chan-gent. Un premier livre de Budd Hopkins,Missing Time ("le temps manquant") paraît en1981, sur des cas d'enlèvements supposés,révélés en grande partie sous hypnose, alorsque le témoin se rappelait seulement d'un trouinexpliqué dans son emploi du temps. Hopkinsest un artiste New Yorkais qui s'est intéresséaux ovnis après en avoir observé un lui même.Ce premier livre fut suivi en 1987 d'un autreouvrage p lus impress ionnant encore ,Intruders. Presque en même temps, paraissaitle premier livre de l'écrivain à succès WhitleyStr ieber sur le même sujet ,Communion , un bes t se l l e rimmédiat avec plus d'un milliond'exemplaires vendus. Sa couverture popularisait lafigure de l'extraterrestre à grands yeux noirs,à la peau grise et au menton pointu, qui estdevenu célèbre sous l'appellation de "Gris" ou"Petit Gris". Les Français ne se sont pas rendus comptetout de suite de ce choc culturel américain car,sur la version française du livre, publiée à lasauvette, cette tête inquiétante, ressemblantà un diable, avait été remplacée par un dessininsignifiant. Le livre de Strieber est donc passéinaperçu dans notre pays, de même que lepremier livre de Budd Hopkins, traduit qua-torze ans après l'édition originale, sous le titreEnlèvements extraterrestres. Les témoins par-lent (Editions du Rocher, 1995). Le deuxième livre de Hopkins, Intruders, nontraduit en français osait parler pour la premièrefois de manipulations génétiques et de "fabrica-tion" d'enfants hybrides. Un thème inquiétantau possible qui ne manqua pas de susciter uneviolente controverse aux Etats-Unis. De nombreux autres cas ont fait surfacedepuis, au point que le phénomène a com-

mencé à ressembler à une épidémie au coursdes années 90. Ces récits, souvent révéléssous hypnose, ont suscité des critiques detoutes sortes, certains accusant les hypnothé-rapeutes d'influencer les témoins, et ces der-niers d'être des déséquilibrés avides de publi-cité. Pourtant, un examen objectif du dossier nousoblige à prendre très au sérieux cet aspectinquiétant du "phénomène ovni". Inquiétant,certes, mais aussi fascinant car il a ouvert desperspectives qui rapprochent ces récits desexpériences de "sortie du corps" et "proches

de la mort", les fameuses "NDE".Les preuves irréfutables du phénomène desenlèvements n'ont pas encore pu être réunies.Cependant, il y a de nombreux indices decette réalité, tels que des traces au sol, desmarques sur le corps, et surtout, à présentdes implants qui ont été extraits du corps desenlevés. C'est le Dr Roger Leir, qui est devenudepuis 1995 le spécialiste de ce type d'opéra-tions aux Etats-Unis.

Les implants du Dr LeirJusqu'en 1995, peu de tentatives avaient étéfaites, et aucun résultat décisif n'avait étéobtenu pour " prouver " l'origine alien d'unimplant extrait. Le cas le plus connu est l'his-toire bizarre de l'implant supposé de RichardPrice, étudié pendant près de cinq ans par lephysicien réputé David Pritchard professeurau M IT (Ma s s a chu s s e t s I n s t i t u t e o fTechnology), lequel, après avoir mentionné sanature métallique, avait finalement diagnosti-qué…une fibre de coton.

La question des implants rebondit en 1995quand un podologue californien, le Dr RogerK. Leir, accepta d'extraire un implant repérépar radiographie dans le pied d'un enlevé sup-posé. De 1995 à 2001, dix opérations furentréalisées, soit par le Dr Leir lui-même, soit pard'autres chirurgiens lorsque l'implant se trou-vait dans d'autres endroits du corps. Plusieursanalyses de laboratoire ont été accomplies,dont les résultats ont été rendus publics enpartie. Certaines opérations et analyses d'im-plants ont été patronnées et subventionnéespar le National Institute for Discovery Science

(NIDS), un groupe de rechercheprivé créé par Robert Bigelow àLas Vegas, doté d'un groupe deconseillers scientifiques réputés.Aucun résultat décisif n'a été

encore publié, mais les données rassembléespar le Dr Leir sont déjà assez impressionnantspour mériter l'attention de tous les chercheurs.

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EE nlèvemenlèveme ntsntset implanet implan tsts

Par Gildas Bourdais

PHENOMENE EXTRATERRESTRE

Le Dr Roger Leir

Un examen objectif du dossier nous oblige à prendre très au sérieux cet aspect inquiétant

du "phénomène ovni

Le Dr Roger Leir a été assailli de critiques dèsqu'il a commencé à parler publiquement deses opérations d'implants. J'ai eu la chance dele rencontrer en septembre 1999, à la confé-rence internationale de Leeds (Grande-Bretagne) à laquelle j'avais été invité. J'étaisjustement en train de lire son livre, et nousavons dîné ensemble. Je peux témoigner quej'ai rencontré un homme crédible. La critique qui revient le plus souvent à pro-pos de ces travaux, est que ni lui ni ses collè-gues n'ont encore écrit d'article scientifiquedans une revue reconnue. Il apparaît néan-moins qu'un volume significatif d'informationsest disponible sur ces opérations, sur lesobjets extraits, sur les abductés supposés etleur histoire personnelle.

Les implantsDeux séries de tests ont étéréalisées en 1998 sous ladirection de NIDS, plus pré-cisément du colonel JohnA lexander qu i é ta i t unmembre important de sonéquipe de conseillers scien-t i f i q u e s ( l e c o l o n e lAlexander a fait une longuecarrière dans des domainesde recherches secrètes,notamment au LaboratoireNational de Los Alamos).Les tests ont été exécutésd 'abord au Laborato i reNational de Los Alamos etau New Mexico Tech. Les résultats des analyses faites à NewMexico Tech en 1996, payées pas NIDS sontpubliées sur son site web : http://www.nidssci.orgCette analyse montre une composition métal-lique remarquable et inusitée des fragmentsétudiés. En plus de ce document, nous avonsla "lettre d'opinion" de l'ingénieur métallurgis-te qui fit les tests, M Paul A. Fuierer. Elle n'estpas sur le site de NIDS, mais elle est reprodui-te dans le livre du Dr Leir, avec ses commen-taires. Il paraît important de signaler ici que le métal-lurgiste a donné en fait deux opinions succes-sives. Quand il a donné la première, il n'avaitpas été informé de l'origine des fragments. Ilexprima l'opinion que leurs composantsmétalliques étaient analogues à ceux que l'ontrouve dans les météorites. Lorsqu'il reçutcette première lettre d'opinion, le Dr Leir fut sisurpris qu'il appela le métallurgiste et lui révé-la que les échantillons avaient été extraits decorps humains. M Fuierer, qui n'a pas caché

son scepticisme sur les ovnis, donna alors uneopinion complémentaire. Il dit qu'un mélangede fer et d'argent enfoui dans le corps pouvaitprovoquer une réaction de calcification, d'où ilrésulterait un matériau comparable aux céra-miques utilisées en médecine et en dentiste-rie. Mais le Dr Leir note dans son livre que detels matériaux ne sont plus utilisés car ils pro-duisent une "énorme réaction d'inflamma-tion". Cependant, aucun implant n'avait pro-duit une telle réaction. Le métallurgiste nesavait pas cela et il ne savait pas non plusque, comme dit le Dr Leir : "une membranebiologique étrange, d'aspect grisâtre etdense, recouvrait les spécimens. De plus, iln'y avait pas de trace d'une cicatrice d'entrée".

Le lien avec les ovnisEve Frances Lorgen (ufologue américaineconnue, spécialiste des enlèvements) a inter-viewé cinq des personnes ayant subi une opé-ration, et elle a trouvé que "toutes les person-nes, un homme et quatre femmes, avaient unpoint en commun des rencontres avec desovnis et des contacts avec des êtres non-humains" ( Mufon UFO Journal, nov. 1998). Les deux cas les plus récents entrent euxaussi dans cette catégorie. Tim Cullen a euune rencontre rapprochée en 1978, alors qu'ilvoyageait en voiture avec sa femme.

Attaques contre le Dr LeirLe Dr Roger Leir a subi des attaques person-nelles très dures, notamment sur internet,depuis qu'il a commencé ses opérations, en1995. Sa compétence médicale a été mise endoute, ainsi que son honnêteté. Pourtant, saformation médicale est incontestable. Aprèsavoir obtenu une licence de science (B.S.) àl'Université de Californie du Sud en 1961, il a

reçu en 1964 un diplôme de docteur en méde-cine "podiatrique" (spécialité américaine) auco l lège de médec ine "podiatr ique" deCalifornie. Quant à son honnêteté, il suffit designaler que plusieurs opérations ont été fai-tes gratuitement, et qu'il n'a pas fait fortune,au contraire. Le Dr Leir s'est en effet trouvéen grande difficulté en 1999. Je rappelle sim-plement le scénario :- Publication de son livre en 1998- Une opération filmée par la chaîne NBC enaoût 1998, et diffusée en février 1999 (émis-sion spéciale de la NBC " Confirmation ").C'est alors que le ciel lui est tombé sur la tête.Dans la deuxième édition de son livre, en édi-tion de poche parue en 2000, Leir a raconté lasuite de l'histoire :

Le 23 avril 1999, il reçoit unavis de l'Ordre des méde-cins de Californie (MedicalBoard) qu i ressor t uneplainte contre lui, ancienneet enterrée, faite dix ansa u p a r a v a n t , e t q u i l esuspend de pratique médi-cale pour trois ans. Pourtantle pat ient é ta i t décédédepuis cinq ans ; l'hôpitaloù avait eu lieu l'opérationava i t fe rmé ses por tesdepuis sept ans, et sesarchives étaient indisponi-bles ! Peu après, son parte-naire, Derrel Sims, met fin àleur accord de collaboration.En mai 1999, Leir a une

crise cardiaque, pour cause de stress selon lesmédecins. Il se trouve en grand danger, nepouvant être opéré car il avait déjà subi plu-sieurs pontages cardiaques. En juin, DerrelSims fait un appel public sur internet pour l'ai-der, notamment financièrement, car Leir n'aplus de revenu. Au cours des mois suivants,Leir s'est rétabli. Il a pu venir à la conférencede Leeds en septembre 1999 , où je l'ai ren-contré. Il m'a confirmé qu'il s'était bien rétabliet que sa suspension avait été annulée. Cette attaque n'a pas été la seule. Il a dû faireface à des attaques mordantes et répétées dela part d'un certain nombre de personnes,dont certaines étaient sans doute mal infor-mées sur lui et sa recherche.

Gildas Bourdais, (consultant pour l'UFOCOM)Ecrire à l'auteur : [email protected]

Pour entrer plus en profondeur dans les détailstechniques de l'analyse : visitez le site d'ufocom :

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Opération d'implant (Dr Leir à gauche)

Une équipe compétenteLear a réuni une équipe de bénévoles com-prenant un chirurgien général, un hypnoanesthésiste (Derell Sims), un avocat, uneinfirmière, un cinéaste, un coordinateur et unécrivain rapporteur. L'opérateur est le Dr Leirlorsque l'implant est situé en dessous de lacheville. Au-dessus de celle-ci, l'opérateur estun chirurgien général assisté de Leir. Auparavant les affaires de ce type s'étaienttoujours soldées par un échec cuisant. Soit lefragment disparaissait, été pulvérisé, subliméou se révélait être un banal échantillon terres-tre. Leir a eu l'idée, pour préserver l'objetaprès extraction, de le conserver dans lesérum de l'hôte recueilli par ponction sangui-ne avant l'intervention. Ce procédé a permisl'étude des implants ainsi récupérés.

Premier cas : Patricia, 52 ansEn 1969, alors que Patricia fait du campingavec son mari et ses enfants, des lumières etdes bruits suspects autour de la tente les ontfait fuir en voiture suivis de près par un granddisque. Soudain, la voiture s'est retrouvéedans l'autre sens de la marche et à un autreendroit sur la route, cette mésaventure cor-respondant à un "temps-manquant". Puis en1970, dans leur chambre pendant la nuit,Patricia et son mari ont connu un épisode deterreur avec sidération des mouvementsvolontaires et observation d'une lumière vertebaladeuse. Les implants sont supposés avoirété posés au cours de l'un de ces deux épiso-des, ou même au cours des deux.Le 19 août 1995, l'équipe du Dr Leir pratiquesur Patricia l'ablation de 2 corps étrangersmétalliques. Le premier implant en forme deT, est découvert sur la face externe du grosorteil gauche. Malgré l'anesthésie, lorsque lescalpel touche l'objet (taille 0,5 x 0,25 cm),Patricia ressent une douleur aiguë qui pro-voque un mouvement brutal de sa jambe. Laradio montre le petit T à l'extrémité distale dela 1ère phalange du gros orteil sous l'épiphy-se. Le T apparaît fin et net ce qui démontre

qu'il n'est pas enrobé de fibrose calcifiant.Après extériorisation, il apparaît engainé dansune membrane sombre, grise et brillante,résistante au scalpel, physiquement attachéeau métal, ce qui n'était pas visible à la radio.Le deuxième implant de Patricia, découvertsur la face latérale interne du 2e orteil gau-che, a la forme d'un pépin de cantaloup. Unchamp magnétique est émis par l'objet. Gainéd'une membrane identique, il est néanmoins5 fois plus petit que l'implant en T. Aucunecicatrice d'entrée n'est visible pour les deuximplants.

Deuxième cas : Paul, 47 ans Une nuit de 1954, alors qu'il avait 6 ans, Paulsemble avoir été attiré hors de chez lui. Il aalors vu des lumières brillantes, un quasiatterrissage d'ovni et au moment où il s'en-fuyait, il a ressenti une douleur dans la maingauche. A 17 ans puis à 23 ans, avec sa fian-cée et un ami, il a eu deux autres rencontresrapprochées avec un disque situé en lévitation

au-dessus d'eux. Le corps étranger a étédécouvert par hasard en 1971 au cours d'uneradio pour traumatisme. Aucune “porte” d'en-trée n'est visible. L'implant de Paul a la formed'un pépin de cantaloup. Situé sur la face dor-sale de la main gauche, il est identique ausecond implant de Patricia. Sur la radio, ilapparaît près des têtes des 1er et 2e métacar-piens.

Troisième cas : Babs, 33 ansL'extraction de l'implant a lieu le 1er février1996. Le corps étranger est un petit sphéroïdeblanc solide situé à la jonction du cou et del'épaule gauche. Il mesure 2 x 9 mm. On obs-erve une marque v io lacée en surface.Diagnostic du dermatologue : épithélioma cal-cifiant. Babs ressent une "douleur exquise" aucontact. La marque cutanée est enlevée enbloc avec le corps étranger et son environne-ment tissulaire immédiat. On note la présencede neurones aberrants. L'implant est gainéd'une membrane grisâtre reliant la déforma-tion cutanée à l'objet. Il n'y a pas de réactioninflammatoire.

Quatrième cas : Annie, 61 ansAnnie présente des souvenirs typiques d'ab-duction avec observation d'un ovni circulaireau-dessus de sa maison. Le lendemain, elleremarque une rougeur et une grosseur qui estponctionnée par le médecin. Celui-ci recueilleun exsudat violacé qui n'a pas été analysé.Le 18 mai 1996, l'équipe du Dr Leir procède àl'extractions de deux billes solides et d'un tri-angle métallique. La radio montre un corpsétranger sous la marque cutanée résiduelle.L'excision emporte en bloc la marque cuta-née, le tissu sous-jacent et le corps étranger.L'objet est dur et sans membrane.

Cinquième cas : Doris, 40 ansDor i s a vu un ovn i au -dessus de SanFernando Valley. Le corps étranger qu'on adécouvert sur elle est situé sur la face anté-rieure de la jambe gauche, près du tibia. Il estpetit, rond, blanc-grisâtre, brillant, avec uneélastose solaire localisée à quelque mm3 detissu, formant un pédicule fibreux rattachantl'objet à la peau, ce qui signe une expositiondu derme à un rayonnement ultra-violetintense et localisé, et explique la dépressioncutanée. Pas de membrane, la réactioninflammatoire est discrète. L'implant estopaque aux Rayons X.

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Les implants du Dr LeirAnAn alal yy ses scientifiquesses scientifiques

Par le Dr Jacques Costagliola

Roger Leir est docteur en podiatrie médicale,spécialité américaine hybride du chirurgienet du podologue qui n'autorise que les

soins et les interventions chirurgicales sur le pied.Membre local et national du MUFON, il a étéconduit à s'intéresser au phénomène implant et aélaboré un protocole chirurgical scientifique d'ex-traction et d'étude de ces objets.

Les différents cas traités par l'équipe du Docteur Leir.

Radio d’un implant en forme de T

Sixième cas : Don L'implant découvert sur Don est métallique.La radio montre un minuscule trapèze pro-che de l'angle du maxillaire inférieur gauche.Don entend des voix qu'il met sur le comptede l'implant. Le fluoroscanneur permet unelocalisation précise de l'objet sur écran. Uneaiguille est enfoncée au contact de l'objet, lecontact est perçu à l'oreille et sur l'écran.L'objet est métallique et triangulaire, couvertd'une membrane gris foncé, sombre, dure,insécable. Après l'intervention Don dit neplus entendre les voix. Ces voix reviendrontplus tard. Dans les mois qui suivent Leir est invité àexaminer des cas d 'en lèvements enAmérique du Sud. Des cas qui comprennentmême des dissections humaines...

Septième cas : Pablo, 45 ans Pablo aurait été témoin de plusieurs obser-vations d'ovnis, en 1990. A la suite d'un acci-dent de ski, un corps étranger a été décou-vert à la main gauche, sans porte d'entrée

visible.L'extraction a lieule 17 août 1998.Il s'agit d'un objete n f o r m e d epépin de canta-loup métallique,identique à celuide Patricia.

Résultats des analysesExamens biologiquesNous ne reviendrons pas ici sur tous lesrésultats des examens biologiques quifurent adressés à trois laboratoires tra-vaillant à l'insu ou à double insu, sur laseule mention : "parties molles dans l'envi-ronnement d'un corps étranger". Prenonspour exemple le cas de Patricia et Paul.L'examen fera ressortir trois anomaliesdans les tissus adjacents aux implants.Tout d'abord, l'équipe relève l'absence deréaction tissulaire. En temps normal, l'in-troduction d'un corps étranger dans lecorps est normalement suivie d'une réac-tion inflammatoire suscitée par le systèmeréticuloendothélial. Cette réaction aboutit àun rejet ou à un enkystement chroniquedans une coque de sclérose (fibrose calci-fiante) qui isole le corps étranger de l'orga-nisme. Ici il n'y a eu ni l'un ni l'autre. Leirattribue ce fait à la présence de la mem-

brane protéïnique engainant l'objet.La seconde anomalie tient à la présenced'éléments nerveux responsables de ladouleur au contact. Ces éléments semblentconnectés à l'objet et aux troncs nerveux. Troisième anomalie : la membrane dure estformée de constituants normaux du corps.Cependant leur présence dans le tissu cel-lulaire sous-cutané est anormale.

Examens métallurgiquesLes implants se rangent en deux catégories :métalliques et amétalliques.Les six objets métalliques prélevés ont unestructure interne complexe. Le revêtementmétallique est un complexe de onze élé-ments assemblés d'une façon défiant touteprocédure métallurgique. Le cœur est constitué de fer magnétique, dephosphore ou de carbone magnétoconduc-teur. Soulignons le fait qu'In vivo deux desobjets émettaient un champ magnétique de3 milligauss. Après extraction leur émissioncessa.Les implants en forme de T découvert surPatricia ont un cœur en carbone doux et encarbure de fer dur, enveloppé dans un revê-tement minéral de onze éléments métal-liques et métalloïdes. Le laboratoire New-Mexico Tech, qui ne connaît pas l'origine desfragments, évoque une météorite puis unecéramique dentaire.Les objets métalliques en forme de pépin,analysés par spectroscopie laser relative-

ment non destructrice, possèdent une tigecentrale de 10x2 mm avec un cœur en car-bure de fer magnétique et un revêtementminéral complexe.Il semble s'agir d'objets manufacturés pos-sédant une fonction définie.Chacun de ces segments est constitué d'unecombinaison de 6 à 11 éléments : Al, Ba, Ca,Cu, Fe, Mg, Mn, Na, Ni, Pb, Si, Ti, Zn.

Implant en forme de pépin de cantaloup

LES OPERATIONSVoici la liste des opérations d'extraction d'implantssupposés, réalisées soit par le Dr Leir (pour lesimplants situés dans le pied) ou par d'autres chirur-giens avec son assistance. Pour toute personneintéressée par le sujet, la première chose à faire estde lire son livre. Il peut être commandé sur son siteweb dont l'adresse est : http://www.alienscalpel.com

Selon le tableau 1 du livre, huit opérations ont eulieu de 1995 à 1998. (la liste résumée qui suitindique la date, le prénom de l'opéré(e), l'emplace-ment et la forme de l'implant). La plupart desnoms sont des pseudonymes donnés par le Dr Leir.

Première série de trois opérations, avant l'en-trée en scène de NIDS1) 19-8-95, Patricia. Deux implants dans l'orteilgauche, tous deux métalliques2) 19-8-95, Paul. Main gauche, métallique3) 2-1-96, Babs. Epaule gauche, petite boule

Deuxième série, patronnée et payée par NIDS4) 18-5-96, Annie, jambe gauche, petite boule 5) 18-5-96, Doris. Jambe gauche, petite boule 6) 18-5-96, Don. Mâchoire gauche, triangle métallique7) 17-8-98, Pablo. Main gauche, métallique (fil-mée par NBC et diffusée en février 1999)

Opérations, après publication du livre

Opération de Tim Cullen, en février 20008) 5-2-2000, Tim Cullen (vrai nom). Poignet gau-

che, métallique, " graine de cantaloup" (cas présenté au Congrès OVNI deLaughlin en mars 2000 avec la pré-sence de Tim Cullen. Présenté dans leMufon UFO Journal de mai 2000, etau symposium du Mufon de juillet2000, à Irvine en Californie (voir lesactes du symposium, disponibles auMufon). J'ai pu rencontrer Tim, et ilm'a semblé être une personne crédi-ble. Patron d'une petite entreprise debâtiment, et il n'a pas besoin de cegenre de publicité pour son métier.

9) 29-10-2001, hôtesse dans unimportante compagnie aérienne. Petit fragmentdans le bras droit, de la taille d'un pois. Cas pré-senté au congrès OVNI de Laughlin, en mars2002. Rapporté dans le UFO Magazine britan-nique de mai 2002. Présenté également à la confé-rence internationale de Leeds, 20-22 septembre2002.

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L'opération de Tim Cullen

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Les trois objets "amétalliques", sphéroïdesblancs, rattachés à une petite dépressioncutanée, ont été peu étudiés par manque definancement. Ces billes sont constituées denombreux éléments atomiques. Extraites ducorps et placées dans du sérum de l'hôte,elles passent à l'état gélatineux ; remises àl'air libre elles retrouvent l'aspect de bouledure.

L'opération de Tim CullenLe 5 février 2000, l'équipe du Dr Leir procédaà l'ablation d'un objet inconnu sur Tim Cullen.Cet implant fut découvert dans le poignetgauche du sujet au cours d'une radio effec-tuée à la suite d'un traumatisme. Aucune cica-trice d'entrée là encore. L'objet a la formed'un pépin de cantaloup. C'est le quatrièmeimplant de ce type. Il est entouré de la mêmemembrane, et il émet un champ de 3-6 milli-gauss détecté au magnétomètre. Cet implantaurait pu être posé le 30 mai 1978 au coursd'une rencontre rapprochée retrouvée soushypnose. Ce fragment a fourni plus d'informa-tions que les huit autres. L'objet métallique etsa membrane biotique, placés dans de l'eau

distillée stérile, perdent leurs couleurs etdeviennent transparents. Sous le microscope,on voit dans la partie solide une zone porteu-se de vacuoles pleines d'une substance hui-leuse. Le laboratoire New Mexico Tech décou-vrit le principal composant métallique : du feramorphe, hautement magnétique.

Mystère de la membraneSelon le Dr Leir, la membrane est amarrée àl'objet par des prolongements pénétrant dansles ouvertures microscopiques de celui-ci. Ellepeut devenir transparente et permettre l'exa-men du corps étranger sous-jacent. Il sembleque cette membrane fasse corps avec l'objetet ne soit pas une réaction spontanée des tis-sus de l'hôte. Cette gaine protéique est-elleconstituée in vivo par l'objet lui-même ? Est-elle artificiellement fabriquée in vitro et com-binée à l'objet préalablement son introduction ?Dans ce cas, les protéines ont-elles été extrai-tes du corps de l'hôte ? Ou, ont-elles été syn-thétisées à l'identique ? L'autre mystère de la membrane tient à laprésence des néoneurones. Ces neuronessont normalement au contact des os et destendons musculaires, et leur migration vers lecorps étranger est incompréhensible. On nevoit pas comment elle pourrait être provoquée"normalement" par l'objet. Il n'y a plus dereproduction neuronique après la naissance.

ConclusionSi tout ce qui est rapporté ici est véridique,force est de reconnaître qu'on est en faced'arguments convaincants apportés à un dos-

sier déjà très impressionnant sur cette ques-tion des implants. Ces objets sont étranges. Plusieurs faits précissont inexplicables mais les examens sontincomplets et leur étude doit se poursuivre.Le dossier des implants reste donc ouvert etnous réserve sans doute encore bien des sur-prises.S'il subsiste beaucoup d'interrogations à pro-pos de ces objets, et notamment sur le but deleur présence, cette étude fait apparaître aumoins une évidence. On sait en effet que cesobjets sont manufacturés en vue d'être tolé-rés dans un organisme mammifère et d'y res-ter des années, invisibles au système immuni-taire de l'hôte, sans susciter de réaction derejet ni d'enkystement.

Dr Jacques CostagliolaEcrire à l’auteur : [email protected]

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REFERENCESRoger K. Leir, Alien implants, A 1998 update,Mufon ufo j. 362:06.98, 3-8Roger K. Leir, DPM, The aliens and the scal-pel, Granite Press, Colombus, EU, 1998.Eve Frances Lorgen, The effect of implantremoval discussed by five individuals, Mufonufo J. 366,11.98:3-5Roger K. Leir, Implant removals yeld interest-ing results, Mufon ufo J, 385, 05.2000:3-8Roger Leir, Alien abduction, alien implants,why ? 2001, Mufon sympos. proc. 192-199

Deux sortes principales d'im-plants ont été trouvées, métal-liques (de diverses formes), etnon-métalliques (petites boules).

1) Données biologiquesSur les objets métalliques"Quatre objets métalliques produitsétaient recouverts par une membraned'aspect gris sombre et brillant, qui nepouvait être ouverte avec une lame chirur-gicale. Cette membrane s'est avérée êtrecomposée d'un coagulat protéinique, d'hé-mosidérine et de kératine. Ces trois sub-stances existent naturellement dans lecorps, mais notre investigation n'a permisde trouver aucune combinaison de cettesorte dans la littérature médicale.

"Les tissus mous adjacents aux objetsmétalliques ont été aussi analysés, et il aété trouvé qu'ils comportaient des conglo-mérats de cellules nerveuses, et qu'il n'yavait aucune réaction d'inflammation".

Sur les objets non-métalliques"Trois opérations ont consisté à enleverune lésion cutanée avec la présence d'unepetite boule ronde, d'aspect gris blanc,dans le tissu mou sous-jacent. Nous avonstrouvé une élastose solaire, des amas decellules nerveuses, et peu ou pas du toutd'inflammation ". Les lésions cutanées avaient l'aspect decuvette ronde : cet aspect est assez clas-sique dans le dossier des enlèvements.Le Dr Leir indique ensuite une série deconstatations de nature biologique :Presque tous les objets ont été trouvésdans le côté gauche du corps ; Presquetous les spécimens sont devenus fluores-cents sous lumière noire ultraviolette.

éléments atomiques identifiésAl (Aluminium), Ba (Baryum), Ca(Calcium), Cl (Chlore), Cu (Cuivre),Fe (Fer), Mg (Magnésium), Mn(Manganèse), Na (Sodium), Ni(Nickel), P (Phosphore), Pb(Plomb), Si (Silicium), Ti (Titane),Zn (Zinc).

Résumé des données scientifiques

Microphotographied’un implant en

forme de T

La vie vient d'une intelligence supérieure. L'hypothèse extraterrestreJean SiderPour Jean Sider, l'homme ne descend pas du singe ! Il n'y a pas eu mutations d'espèces en d'au-tres espèces chez tous les êtres vivants. Il démontre que l'évolutionnisme n'est qu'un mythe.Des preuves scientifiques irréfutables indiquent que ce dogme relève de pure et simple utopie.La vie sur Terre a été importée ou créée par une intelligence supérieure, en d'autres termes, pardes extraterrestres. Selon lui, il existe une forme de conscience qui s'active dans notre environ-nement planétaire depuis l'aube des civilisations. Des Dieux d'antan aux extraterrestres denotre ère spatiale, en passant par les fées, les démons, et les "Esprits", ce ne sont que des stra-tagèmes qu'elle a utilisés pour tromper les êtres humains.Prix du livre : 18,50 EURÉditions JMG - 8 rue de la mare, 80290 AGNIERES - Tél : 03 22 90 11 03

OVNIS : la levée progressive du secretGildas BourdaisGildas Bourdais présente dans ce nouveau livre les témoignages et documents les plus convain-cants sur les secrets américains, comme la récupération d'Ovnis accidentés, les études qui enont été faites, et même les contacts ultra-secrets qui s'en sont suivis. C'est ainsi l'histoireincroyable du phénomène Ovni qui est peu à peu dévoilée, par des témoins " de l'intérieur "dont le nombre ne cesse de croître.ISBN 2-912507-38-3 Prix du livre : 21,34 EUREditions JMG - 8, rue de la Mare, 80290 Agnieres - Tél : 03 22 90 11 03

"OVNIS et Armes Secrètes Américaines"Jean-Pierre PetitL'auteur, astrophysicien et directeur de recherche au CNRS, participe en Angleterre à un congrèsconsacré à la "propulsion avancée". Il y fait des rencontres étranges. Des collègues américains luiapprennent que les États-Unis, loin d'avoir abandonné les recherches en " MHD " (magnétohydro-dynamique), les auraient au contraire poursuivies dans le secret le plus absolu. Un engin nomméAurora volerait à 10 000 km/h et à 60 km d'altitude depuis 1990. Les Américains posséderaientégalement des torpilles "hypervéloces" filant à 2 000 km/h. Les Russes avaient engagé des recher-ches sur des projets analogues qu'ils n'ont pu achever faute de moyens financiers. Les Européens,quant à eux, ont vingt-cinq ans de retard : rigoureusement irrattrapables, estime Jean-Pierre Petit.Au-delà de cet arsenal secret dont disposerait la première puissance mondiale, Jean-Pierre Petit arecueilli aussi, au cours de ce colloque, des confidences plus stupéfiantes encore, liées aux Ovnis. ISBN : 2226136169Prix du livre : 19 EUR - 300 pages - Editeur : Albin Michel

L'ORIGINE DU MONDE Auteurs anonymesL'origine de l'esprit ? L'origine de l'atome ? L'origine de la matière ? L'origine de l'univers ? D'oùvenons-nous ? Où allons-nous ? Voici les clés de la quatrième dimension.Aujourd'hui encore, aucun journaliste ne se risquerait à parler de ce que l'homme cherchedepuis la nuit des temps, l'événement le plus important de l'histoire de l'humanité, la compré-hension simple, totale, accessible à tous, de "pourquoi nous sommes là, d'où nous venons et oùnous allons." Si cela se savait, si le grand public était mis au courant, aucun pouvoir fondé surl'erreur ou le mensonge n'y résisterait. Tout homme serait mis d'un coup face à sa foncièreliberté.ISBN: 99903-75-10-0Prix du livre : 24,50 EUR - 256 pages- Editeur : FELIX - http://www.leseditionsfelix.com/

L'Apocalypse qu'on nous prépareTeddy BurnsLes aliens ont-ils installé des bases sur terre ?Quel est le but véritable du Majestic 12 ? Que cachent les gouvernements ?Quel rôle jouent les sectes, la mafia, et les sociétés secrètes dans la conspiration du silence ?Autant de questions auxquelles il est proposé des réponses, qui à leur tour, susciteront de nou-velles questions.ISBN : 2-9518017-0-XPrix du livre : 16 EUR - 288 pagesPour commander ce livre, contacter : Teddy burns productions -74 rue de Montreuil - 94300Vincennes. 01 43 74 37 43

Les informations livrées ici sont facilementvérifiables. Nous avons reçu des documentsaudios, des photographies et un dossier depresse complet au sujet de la Micro-ChipBiologique d'Identification Internationale,provenant de publications produites depuisles années 89-90 dans des journaux offi-ciels aux Etats-Unis. Vous parler de la Micro-Chip Biologiqued'Identification Internationale revient àsoulever la question du ContrôleElectronique Direct des individussur la planète. Derrière cettetechnologie se cache un enjeuterrible, celui de la possible disparition detoutes les l ibertés indiv iduel les queconnaissent les sociétés actuelles. En effet, le moment venu, toute personnen'adhérant pas à ce nouveau système d'i-dentification ne pourra plus ni acheter, nivendre quoi que ce soit. On pourrait croire à de la science fiction,cependant lorsqu'on se retrouve face auxdocuments provenant des compagnies quifabriquent ce dispositif électronique, on peutdifficilement douter de la réalité de cet ave-nir qu'on nous prépare.

La Micro-Chip Biologique d'IdentificationInternationale est une puce électroniquepas plus grosse qu'un grain de riz et quipeut être facilement injectée sous la peau àl'aide d'une seringue à air comprimé. Plusieurs compagnies sont impliquées danssa fabrication. Il y a la compagnie DES-TRON IDI, il y a aussi, pour relier ces com-posants, la compagnie TEXAS INSTRU-MENTS ; la compagnie TAROVAN, qui s'oc-

cupe du système d'identification électro-nique aux Etats-Unis ; ensuite il y a la com-pagnie AVID qui travaille pour l'AMERICANVETERINARY IDENTIFICATION DEVICE.S e l o n Te r r y L . C o o k , j o u r n a l i s t ed'Investigation sur la côte ouest américai-ne, la technologie cachée derrière le nou-veau Micro-Chip humain pourrait être utili-sée pour une large variété d'applications.Un numéro pourrait être assigné à chacundès la naissance, et faire partie intégrantede la vie de celui-ci jusqu'à sa mort.Aujourd'hui, le Numéro de sécurité sociale

se compose d'une série de 9 ou 13 chiffresselon les pays. Ce système devrait êtrebientôt remplacé, avec l'aide des nouveauxordinateurs par une série internationale de"18 Chiffres Numériques" contenue dans lapuce. Cette nouvelle série de 18 chiffressera divisée en trois parties, c'est-à-dire,trois séries de 6 chiffres chacun, soit 6-6-6 !Voici comment fonctionne cette puce. Elleémet un signal digital analogique, créé àdes intervalles spécifiques. C'est un signalde localisation. La technologie pour cetappareil est hautement sophistiquée. C’estune technologie High-Tech classifiée qui-n'est pas soumise aux transmissions digita-les normales. Cet appareil fournit des infor-mations vitales, de même qu'il sert demécanisme de localisation. Qu'est-ce quecela veut dire ? Cela veut dire que l'appareilpeut être codé, programmé, pour fournirdes informations complètes sur la personnequi le porte. La puce est donc un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour latransmission. Cette activation se fait par laréception d'un signal prédéterminé qui peutprovenir de plusieurs sources : d'un lecteurlaser, d'un équipement sophistiqué émet-

Ce texte est tiré d'une conférence qui eut lieu le 15 décembre 1993 àMontréal. Elle fut donnée par Serge MONAST de l'Agence Internationale dela Presse Libre, dont les activités sont uniquement axées sur le journalisme

d'enquête internationale au niveau économique, politique, militaire et médical.Certains passages réactualisés et replacés dans le contexte actuel nous ont paruvisionnaires pour l'époque et c'est pourquoi nous avons décidé de publier l'article.

La Micro-Chip Biologique d'Identification Internationale (ndlr : Nous ne pouvons pas certi-fier la validité des affirmationssuivantes, et nous ne les approu-vons pas forcément. Cependants’il existe ne serait-ce qu’une seulechance sur un million pour quecette projection se vérifie, alorsnous ne nous sentons pas en droitde la passer sous silence.)

“On pourrait croire à de la sciencefiction. Erreur fatale.”

THEORIE FANTASTIQUE

Micro-CChipMicro-CChipBIENVENUE EN ENFER

Par Serge MONASTPar Serge MONAST

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teur-ordinateur, ou même d'un satellite. La puce, autrement appelée transponder,peut fournir le nom et la photo de son por-teur, son numéro de sécurité sociale inter-national, les données relat ives à sesempreintes digitales, et génétiques, sa des-cription physique, son adresse, sa situationfamiliale. Elle peut donner un profil completde l'individu, permettant ainsi de cernerprécisément son milieu social. Des informa-tions concernant son travail et ses revenusseront disponibles. En fonction des spécifi-cités des lecteurs informatiques utilisés,certains services accéderont à des informa-tions aussi confidentielles que le taux d'im-position, l'historique du dossier médical, oules détails du casier judiciaire. Les caractéristiques dela puce ne s'arrêterontpas là. La puce servirade balise, permettantde localiser un individu vingt-quatre heuressur vingt quatre. Avec une telle technologiequi -rappelons-le- est déjà au point, le véri-table danger, c'est la tentation totalitaire.Des personnes travaillent à l'heure actuellesur une puce fabriquée à partir de protéi-nes vivantes, et il semblerait que cettetechnologie puisse agir sur la mémoire oula pensée d'un individu.Imaginez ce pouvoir entre les mains d'unGouvernement Mondial qui voudrait s'assu-rer du contrôle de tous les individus afinque le pouvoir ne puisse plus jamais luiéchapper. Tout individu qui refuserait defaire partie du Nouvel Ordre Mondial seraitautomatiquement considéré par les autori-tés comme un terroriste, un individu dan-gereux, mettant la paix, la sécurité de lasociété en danger. Cet individu n'auraitaucun endroit où se cacher sur toute l'éten-due de la planète ! Vraisemblablement cette puce électroniquepourrait être implantée sur le revers de lamain. Elle pourrait servir non seulement de"Carte d'Identification Universelle”, maisaussi elle pourrait remplacer les cartes decrédit, les passeports, les permis de condui-re, etc... Au supermarché, il suffirait depasser le poignet au-dessus d'un " Scanner" pour effectuer ainsi un débit direct survotre compte bancaire. (N.B. vu dans unfilm de la société AT&T)Cela paraît peut-être invraisemblable, maisavec les informations que nous avonsreçues, et les dossiers de presse, noussommes bien obligés d'admettre que nousavons affaire à quelque chose d'excessive-ment sérieux.

Premier temps : l'expérimentationEn 1993, la compagnie américaine, DES-TRON IDI annonçait la distribution globalede ses “Puces Electroniques d'Identification”(I.D.I. CHIPS), via INFOPET et d'autres dis-tributeurs nationaux et internationaux.Dans les années 1990 les puces furentmassivement utilisées pour repérer, contrô-ler et identifier les animaux de ferme, lesanimaux domestiques, les oiseaux, les pois-sons. Présentant des avantages non négli-geables pour la traçabilité des bêtes, cesystème s'est répandu à la vitesse de l'é-clair sur toute la planète.

De nos jours, les ordinateurs peuvent suiv-re un milliard d'animaux domestiques à la

fois. L'expérimentation à grande échelle nepose donc plus de problème. La prochaine étape sera la mise en place dusystème sur l'être humain. Cet appareil,d'après ce qu'on nous a rapporté, a déjàété expérimenté et implanté dans des orga-nismes de militaires, de messagers du gou-vernement et sur du personnel constituétravaillant à la Maison Blanche dans dessections de haute sécurité. On nous rappor-te aussi qu'il fut utilisé pendant la Guerredu Golfe et il fut publiquement montré à l'é-mission, très connue aux Etats-Unis,TWANY & TWANY, d'août 1991.

Second temps : le conditionnementL'industrie automobile peut servir de vastechamp d'expérimentation. Certains enquê-teurs ont en effet dénoncé une nouvellesurveillance automobile touchant les der-niers véhicules sortis d'usine. Ces modèlesrenfermeraient des systèmes de repérageélectronique, de détection, sans que lesacheteurs en soient conscients. Cela per-mettrait à terme de repérer toute voiture

où qu'elle se trouve ! Ce système devraitbientôt sortir de la confidentialité. La recru-descence des vols de véhicules, et la cam-pagne de presse stigmatisant les chauffardsà travers toutes sortes de tragédies de laroute, devrait aider à éliminer les dernièresréticences. Déjà l'idée du "conducteur, cri-minel-potentiel" fait son chemin auprès dela population conditionnée, et ce systèmede surveil lance apparaîtra comme unmoyen salutaire que tout le monde exigeraafin de se prémunir contre le vol et les"fous du volant".

L’injection de la puce sur un boxer

Schéma d’une puce raccordée à l’ADN

Une veritable premiereG. Zeck et P. Fromherz, biochimis-tes au Max Planck Institute deMunich, ont réussi à construire unneurocircuit électrique complet,alliant une micropuce électroniqueà d e u x n e u r o n e s d ' e s c a rg o t(Lymnaea stagnalis). Le tour deforce consiste à avoir obtenu unréseau hybride véritablementbouclé : un signal électrique par-tant de la puce a été transmis aupremier neurone, qui l'a transmisau second neurone, ce dernier lerenvoyant à la puce, qui a pu ellemême l'enregistrer.

Vue de la fixation

d'un des neurones

aux différents

contacts, après trois

jours de culture.

Etapes de la mise en place du système

Ils accepteront la puce, considérantqu’ils n’ont rien à cacher !

Aujourd'hui, n'importe quelle personne àqui l'on soumettrait l'idée de s'implanterune balise identificatrice dans le corps, yréfléchirait à deux fois avant d’accepter laproposition. Mais pour combien de tempsencore les choses en resteront-elles là ?Ceux qui comptent implanter cette puced'une manière obligatoire au niveau despopulations sont en train de structurer lesn o u v e a u xparamètresi n t e r n a t i o -naux, la nou-velle télémétrie économique, de manière àce que les mentalités évoluent à leur avan-tage. L'opération est si rondement menéeque bientôt, tout individu qui n'aura pas cetimplant électronique ira le réclamer de lui-même auprès des autorités compétentes.Cette politique est bien rodée : amener lefutur esclave à réclamer et payer ses chaî-nes, pensant assurer sa sécurité et celle deses proches.Lorsque 40% de la population aura étéimplantée, l'implantation deviendra alorsobligatoire. C'est un principe bien connu.On se souvient que lorsque les compagniesd'assurance se sont lancées dans la ventede systèmes d'alarmes, elles ont d'abordproposé ce service en l’accompagnant dede po l ice d ’assurance à pr ix rédui t .

Posséder un système d’alarme chez soiétait alors facultatif. Une fois atteint le seuilpsychologique des 40% d'assurés équipés,les compagnies imposèrent alors à tous lesassurés de s'équiper en système de sécuri-té, sans quoi elles majoraient les contratsen conséquence ! On observera peut-être le même phénomè-ne avec l'arrivée du porte-monnaie électro-nique. Lorsque le procédé sera adopté parla majorité des citoyens, les réfractèresseront à leur tour contraints de s'y soumet-tre. L'objectif visé : la disparition en dou-ceur de l'argent liquide. Vous êtes-vousdéjà plaints des petites pièces de 1 ou 2centimes d'Euro qui s'accumulent dans vospoches ? Dites-vous bien qu'en la matièrerien n'est innocent.Une fois le Micro-Chip d'Identification

Internationale adopté par l'ensemble de lapopulation, il sera possible d'imposer unNouvel Ordre Mondial, à l'intérieur duqueltous ceux qui n'auront pas reçu, ou quiauront refusé cette marque d'identité, n'au-ront aucun droit, ni d'acheter, ni de vendre.Ils n’auront aucune possibilité de travailler,de recevoir un salaire, de louer un apparte-ment, d'acquérir un moyen de transport,d'obtenir un passeport pour sortir du pays,d'acheter des médicaments, de la nourritu-re, de faire des transactions financièressans cet implant. Comment voulez-vous aider un ami, unparent, ou même acheter les objets person-nels de quelqu'un qui aurait des difficultésfinancières, si l'argent n'existait plus ? Quiva accepter, avec un régime de peur impo-

sé au niveau international, de se risquer àéchanger des biens ? Il est clair que nous nous dirigeons vers unfutur à la "1984" décrit dans le célèbreroman de Georges Orwell. On peut penseraussi au "Meilleur des Mondes", et à d'aut-res romans semblables qui paraissaientimpensables lorsqu'ils ont été publiés. Avec la technologie actuelle, on arrive vrai-ment à la possibilité du contrôle completdes individus sur la planète, ce qui permet-tra l ' instauration d'un GouvernementMondial sous l'égide des Nations-Unies. Les hommes politiques sont évidemmentau courant de ce qui se trame. La plupartsont financés par ces grandes compagnies.Cependant, s'il se rendent complices desévènements, c'est qu'ils considèrent que cenouveau système qu'on va imposer auxpopulations au niveau mondial le sera pourle bien de ces populations.

Survivre à tout prix ?REServez votre puce

Applied Digital Solutions, une petitesociété basée en Floride, est persua-dée de détenir la clé de la fortune : ily a deux ans, ses responsables ont eneffet obtenu le droit decommercialiser la puce. Cette puce destinée auxêtres humains est reliée àdes satellites espions. Utilisant la technologieGPS, elle permet de locali-ser, en n'importe quel pointdu globe, l'être humain quila porte.Conçue pour envoyer desdonnées, elle est aussi capable d'enrecevoir.Aucun risque qu'elle ne tombe enpanne : elle fonctionne à l'énergiehumaine ! Chaque mouvement mus-culaire recharge ses batteries et luipermet de fonctionner ainsi pendantde longues années…

On peut d'ores et déjà réserver sapuce sur le site Applied DigitalSolutions :

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C'est dans une ambiance deconditionnement sécuritai-re poussée à l'extrême, sur

fond de terrorisme international,que l'idée de l'implant cutanépourrait se frayer peu à peu sonchemin.

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“Le futur esclave réclamera ses chaînes, pensantassurer sa sécurité et celle de ses proches”

“BIG BROTHER vous regarde”

On se souvient des parolesd'Henry Kisinger, lors de laconférence annuelle des

Bilderberg, en 1992, à EVIAN enFrance : "si on dit aux popula-tions: écoutez, il y a un dangerextérieur énorme qui existe etqu'on déclare des lois en fonctiond'un danger semblable, que cedanger soit réel ou non, on va êtrecapable à ce moment-là de fairepasser n'importe quoi, et les gensvont être prêts à l'accepter pourleur bien-être et leur sécurité."

A l'instar d'Henry Kisinger, d'autres person-nes ont imaginé qu'un scandale financier,ou une crise économique sans précédent(crise qui serait provoquée de toute pièce),pourrait être envisagée pour remplacer

définitivement le système monétaire actuelpar la puce électronique d'identification,sous prétexte que cette puce empêcheraitqu'un tel chaos puisse se reproduire. En effet, l'argent ne serait plus nécessaireavec ce système. Plus besoin de faire dechèque, plus besoin d'avoir de carte d'iden-tité, plus besoin d'avoir de carte de cré-dit…tout fonctionnerait à partir de cetimplant électronique, ce qui réduirait consi-dérablement les frais bancaires et lesdépenses de l'Etat, donc les impôts. Cerisesur le gâteau, cette technologie serait pré-sentée comme étant le rempart ultimecontre le marché de la mafia, le marchénoir, le marché de la drogue, et toutes lesautres formes de transferts de fonds illé-gaux. Dans de telles conditions, commentne pas suspecter d’être un trafiquant celuiqui s'oppose à l'implant !Un autre moyen de faire adopter la puceélectronique dans l'esprit des gens consisteà mettre sur le devant de la scène le phé-nomène des disparitions, et notamment ledouloureux dossier des enfants disparus.

Déjà, une variété de puce appelée "KIDS-SCAN" est présentée comme la solutionultime à ce problème. Il s'agit d'implanterun appareil capable de localiser les enfantsperdus ou enlevés. Il suffirait, comme le rapporte la brochure,d'introduire cette puce biologique électro-nique, à l'intérieur de la peau de l'enfant,de façon à ce que cette puce transmette unsignal qui est capté par des satellites etretransmis sur un écran, en cartographieassistée par ordinateur, aux quartiers géné-raux des différents corps de police. Lesparents ayant un enfant perdu doté decette puce pourraient appeler la police,n'importe quand, et donner leur numéro desécurité sociale. De cette façon, l'enfantpourrait être retrouvé facilement. Si ce procédé se généralise, il est fort pro-bable que les parents refusant la puce pourleur enfant seraient rapidement montrés dudoigt et considérés aux yeux de touscomme des parents irresponsables et indi-gnes.Il existe un secteur où la liste d'attente deceux qui souhaitent recevoir la puce estdéjà longue. C'est le domaine médical.Beaucoup de malades à qui l'on a fait miroi-té la perspective de soins plus rapides etplus efficaces se sont laissés séduire par leconcept.

La famille Jacobs est fière devous annoNcer...Le père est dentiste, la mère, compta-ble et le fils âgé de 14 ans, joue de lamusique.Depuis le mois de mai2002, la famille Jacobsest la première famille aum o n d e à s ’ ê t r e f a i timplanter une micro-pucedans le corps. Les Jacobsattendaient l'autorisationde l'Administration amé-ricaine : la FDA (Food andDrug Administration), et cette autori-sation a été donnée avec une rapiditéencore inégalée.Similaire aux puces biologiques utili-sées pour identifier le bétail, cettemicro-puce renferme les informationsde chaque membre de la famille. C'est après la diffusion d'un reportageque les Jacobs se sont décidés. Le fils, Derek s'était levé et avait dit :"Je veux être le premier garçon à sefaire implanter une puce". Séduite également, la mère aurait priscontact avec la société ADS. Ses moti-vations sont liées aux attentats du 11septembre. Leslie suggère même queles pilotes dans les avions soient“micropucés” et passent au scanneravant d'entrer dans le cockpit. Et sonmari, Jeffrey, de suggérer “d'étendre leprocédé aux grands criminels et terro-ristes connus”.Pour Leslie, “Le monde serait plus sûrsi les autorités avait un moyen aussiefficace pour identifier les gens”. “Jen'ai rien à cacher... J'ai déjà une carted'identité, alors pourquoi ne pas avoirune puce”.Le père, Jeffrey, lui, est motivé pourdes raisons médicales. A 48 ans, il adéjà été atteint d'un cancer. "Cette pucepeut me sauver la vie s'il m'arrivequelque chose de grave. En scannantla puce, les médecins peuvent avoiraccès directement à mon historique entant que patient. Sans cela personne nepeut connaître mes antécédents médi-caux."

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La taille de la micro-chip ; élément de comparaison

Changer les mentalités pour faire accepter la puce

Publicité vantant la miniaturisation des micro-puces.Ici une fourmie tenant une micro-puce entre

ses mandibules. 1/10 000e de mm.

La famille Jacobs

Des collègues journalistes de la revueMONETARY & ECONOMIC, de mars 1993,m'ont fait parvenir le document suivant : "Un Gouvernement Mondia l parassentiment ou asservissement". L'homme qui a écrit ce document est undénommé Norman N. Franz, économistesénior chez FAMC. Auteur d'un Manuel dePlanification Financière, il fut conseillerd'affaires au Colorado Office of EconomicDevelopment, responsable des prêts, etdirecteur des Opérations dans une compa-gnie d'investissements. C'est donc unexpert notable dans le domaine de la finan-ce et des invest issements. Ceux quiauraient tendance à mépriser le contenu dutexte qui va suivre -par sentiment de peurperson-n e l l e( p a r c eque c'esttoujours un sentiment de peur qui fait reje-ter quelque chose de tellement différentqu'on n'ose même pas y croire)- devraient yrepenser à deux fois. Lorsque des spécialis-tes de différents domaines, de différentesorigines, travaillant dans différentes sphè-res d'activité au niveau national et interna-tional, rapportent la même chose, c'est qu'ildoit y avoir une part de vérité derrière toutça. Comme dit le proverbe, "il n'y a pas defumée sans feu". Ainsi, Monsieur Franz nous rapporte ceci :"Les pressions pour un gouvernement mon-dial se poursuivent depuis des siècles, mais

jamais encore nous n'avons atteint le degrédans lequel nous sommes aujourd'hui. Destermes de l'ONU tels que autorité de loi, loimondiale, sécurité collective, ordre mondialet nouvel ordre mondial (ce sont des ter-mes souvent répétés par le Président Bushpère aux Etats-Unis), sont des noms decode qu'emploie l'establishment en référen-ce à leurs plans pour un gouvernementmondial unique". Ces termes qu'on entend et auxquels biensouvent on n'accorde guère importance,comme Monsieur Franz le souligne, sont enréalité des codes. “Dès 1945, devant le Sous-Comité desRelations Etrangères du Sénat U.S., JamesP. Warburg, financier et partisan d'un gou-

vernement mondialunique, proclamait :Nous aurons un gou-vernement mondial,

que vous le vouliez ou non. La question estde savoir si le gouvernement mondial seraatteint par la raison ou par la force”.Franz ajoute : "Il y a ceux qui privilégiaientune approche "étape par étape". HenryMorgenthau, un ancien Secrétaire Trésorierpour FDR, faisait partie de ceux-là. C'est aunom des tenants du consentement qu'il dis-ait notamment : Nous pouvons difficilementnous attendre à ce que l'Etat-Nation (c'est-à-dire les différents pays) devienne super-flu de lui-même (Les nations sont assezbien structurées. Il n'y a pas de raisonspour que les populations les balancent du

jour au lendemain par-dessusbord). Le but que nous devonsplutôt viser est l'acceptationdans l'esprit de tous les élus (leshommes politiques), qu'ils nesont que les concierges d'unemachine internationale en ban-queroute qui devra lentementêtre réformée en une nouvellemachine".Ce qui est rapporté ici est trèsimportant. C'est en mars 93 queces propos ont été tenus. Or endécembre 93, ces gens de la

haute finance internationale, mettaient surpied la mécanique économique qui devraitleur permettre d'atteindre leurs objectifs auniveau planétaire : l' instauration d'unNouvel Ordre Economique mondial. Monsieur FRANZ de continuer : "l'ingré-dient-clé dans cette formule est de mettreen banqueroute financière la machine inter-nationale". En d'autres mots, de créer detoute pièce une crise économique gravissi-me, non pas dans les faits, mais d'unefaçon factice, et de faire croire aux popula-tions que l'économie va mal, que les payssont endettés, et que pour rembourser ladette, ils va falloir couper dans le budgetdes programmes sociaux et des program-mes d'éducation, mais jamais au niveaudes budgets militaires, ou d'autres budgetde ce genre. On touche donc directement àla qualité de vie des populations. Vous allezvoir pourquoi.

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EXPERIENcesDes chercheurs améri-cains ont inventé unsystème qui permet detélécommander desrats à distance. C'est cequ'annonce la revueN a t u r e d u 2 m a i .S a n j i v Ta l w a r d el'Université d'état deNew York, a activé lesrécepteurs sensoriels,situés dans le cerveau

de rats, avec des signaux externes puis aanalysé l'effet produit sur leur compor-tement. Les rongeurs ont réagi, parexemple, à certains signaux sonoresquand ils savaient qu'il y avait unerécompense à la clé. Forts de ce constat,les chercheurs ont branché un micropro-cesseur et des électrodes qui envoyaientdes stimulations électriques à certainesparties du cerveau des animaux. Ils ontremarqué qu'une impulsion représentaitsoit un signal soit une récompense,dépendant de la région du cerveau où setrouvaient les électrodes. A l'aide d'unetélécommande qui envoyait des stimulijusqu'à une distance de 500 mètres, lesscientifiques ont entraîné les rats afinque ceux-ci sachent interpréter lessignaux. Selon le stimulus, les animauxdevaient tourner, sauter ou grimper. Cedispositif de rats téléguidés pourrait êtretrès utile lors d'opérations de sauvetageou de déminage.

Acceptation de la puce au niveau des nationsLa théorie d'un Gouvernement Mondial contrôlant tous les individusde la planète grâce à l'utilisation d'un Micro-Chip Biologiqued'Identification Internationale, c'est une chose ; mais en pratique ?…Comment ces personnes à la tête de la finance internationale (car toutpart de là en fin de compte) comptent-ils s'y prendre pour amener lesnat ions à abandonner leur pouvoi rs entre les mains d 'unGouvernement Mondial instauré par les Nations-Unies ?

L’objectif : instaurer par tous lesmoyens un Nouvel Ordre Mondial

"Ceci obligera les états-nations à se tournervers le Fonds Monétaire International et laBanque Mondiale pour sortir du pétrin. Maisles prêts seront acceptés à la condition queles emprunteurs (c'est-à-dire les nations)abandonnent peu à peu leur souverainetéaux mains des banques". N'est-ce pas ce que nous connaissons déjàà l'heure actuelle avec le libre échange ?L'abandon, lentement, étape par étape,sans que cela paraisse, de la souveraineténationale. Un exemple parmi d'autres : le14 décembre 1993, une entente internatio-nale a été obtenue au niveau économique,et le Canada a été forcé de dire à sa popu-lation : "écoutez, ce n'est pas de notrefaute ce qui arrive aux agriculteurs, maisnous étions tout seul…"Dites-vous bien que tout cela n'est que duthéâtre, un scénario écrit à l'avance.Ce que vous venez de lire là n'est pas de lascience-fiction. C'est extrait d'une revuemonétaire, économique, de mars 1993, etc'est écrit par un financier, ce n'est pas uneespèce d'illuminé quelque part, qui a décidéqu'il y avait des problèmes.

Ce qu'il faut bien comprendre dans cemécanisme, c'est que ce qui est recherchéfondamentalement par les partisans de l'é-tablissement du Gouvernement Mondial,c'est de faire en sorte, que non seulementles Nations, mais les populations à l'inté-

rieur de ces Nations se retrouvent sans res-source du jour au lendemain. C'est de cette

manière qu'il sera possible d'imposer unnouveau système. Et naturellement, pouraccéder à ce nouveau système internatio-nal, les gens devront accepter l'implanta-t i o n d u M i c r o - C h i p B i o l o g i q u ed'Identification Internationale. Dans le cascontraire, ils ne seront plus en mesure nid'acheter, ni de vendre quoi que ce soit, auniveau national comme au niveau interna-tional. Comment causer une faillite économiquecomplète ? C'est ce qui est révélé ici :"L'écroulement économique planifié a étéutilisé maintes et maintes fois à une pluspetite échelle pour prendre le contrôle d'unpays". En d'autres mots, ce mécanisme, adéjà été testé au niveau de quelques petitspays, à la fois pour voir quelles étaient lesréactions de la population et comment celapourrait fonctionner à l'échelle mondiale. On va tenter de vous faire croire aux infor-mations que les plus grandes multinationa-les se sont effondrées d'un seul coup, à lasurprise de tous. Ce sera complètementfaux. En réalité, on aura laissé ces grandsgroupes s'endetter pour s'agrandir. On lesaura même incités à le faire, contre toute

São PauloLe marché de la peur

En 2001, dans l’état le plus riche duBrésil, on comptait 307 enlèvements cont-re 63 en 2000 et 19 en 1999 (sur une popu-lation de 37 millions d'habitants). Aucours des six premiers mois de l'année2002, 199 cas y ont été enregistrés : plusdu double que l'année précédente à lamême période. Ce ne sont là que les casconnus. Parfois, la police n'est pas alertéecar les ravisseurs menacent de liquiderleur victime.

A pied ou en bus"L'enlèvement connaît une démocratisa-

tion perverse, note le sociologue LuizAntonio de Souza. Désormais, n'importequi peut en être victime." Signe de cette "popularisation", les ran-çons ont dégringolé et tombent parfois à5 0 0 r e a l s ( e n v i r o n 1 7 3 e u r o s ) .Généralement, la victime est repérée à savoiture. D'autres ont même été capturésalors qu'ils étaient à pied ou dans un auto-bus.

Une offre ciblée contre les rapts a égale-ment vu le jour. Ainsi, l'homme d'affairesAntonio de Cunha Lima s'apprête à lancerle VeriChip, une puce qui se greffe sous lapeau et permet de localiser son porteur parsatellite. "C'est un garde du corps électro-nique, explique Lima, qui refuse d'enrévéler le prix. Il est ce qu'il y a de plus sûrcontre l'enlèvement. Il aura un grand suc-cès au Brésil. J'ai déjà une liste d'attente :des hommes d'affaires, des professionslibérales..."

Un garde du corps électronique ?

Mini...mais il fait le maximum

Inscription sur un composant ?

IMPLANTATION

IDENTIFICATION

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prudence, car tout le système fonctionnera surce principe. Puis un jour, on tirera la sonnetted'alarme, et il sera trop tard. On dira que cesgroupes ont tout perdu, alors qu'en réalité tou-tes les activités continueront d'être bénéficiai-res, mais pas suffisamment au regard de ladette accumulée. Certains hommes prendrontmême la direction de ces grands groupes pri-vés ou nationaux avec pour consigne et objec-tif, conscient ouinconscient, decréer cette dettejusqu'au point dunon retour."De même les économies de tous les payscontinuent de s'effriter à cause de l'endette-ment, (prenez le temps de calculer, par exem-ple, la dette du Canada. Juste au niveau desintérêts, vous constaterez qu'il est impossiblede r embou r se r une de t t e s emb l ab l e .Souvenez-vous alors que cette dette a étéencouragée et fabriquée par ceux qui possè-dent l'économie mondiale.) Les élus de tousces pays se verront incapables de régler le pro-blème, et ils seront alors perçus comme étantle problème".Incapables de régler un problème qui ne peutpas l'être, les élus, les hommes politiques encharge perdront peu à peu de leur prestige etde leur pouvoir. Franz de conclure : "Le résultat sera une chutedes gouvernements suivi d'un appel de détres-se des populations en direction de l'ONU". Autrement dit la multiplication des crises socia-les dans les différents pays provoquera unetelle flambée de violence à l'échelle mondiale,que les populations elles-mêmes se tournerontvers l'ONU et supplieront l'institution pourqu'elle fasse quelque chose au niveau interna-tional. Les populations seront alors prêtes àaccepter n'importe quoi pour retrouver la paixet la sécurité.

Pour ceux qui ne savent pas ce qu'est l'Agencede Presse Internationale (AIPL) : notre but estla libre circulation de l'information surtout celle

passée sous silence par les milieuxd'information officiels. En tant quejournalistes d'enquête, nous fonc-tionnons à l'Agence uniquement àpartir de documents officiels et aut-res, recueillis dans différents paysavec l'aide d'autres journalistes.Ainsi nos rapports, nos volumes,nos cassettes et les conclusions de

ce s rap -ports, nes o n tj a m a i sbasés sur

des théories, ou des révélations dequelles sources que ce soit. Nosméthodes d'enquête et nos métho-des de vérification de l'informationsont rigoureuses et nos découvertessont toujours vérifiées dans leurexactitude avant toute publication.

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CANADA

CITATIONS EXTRAITES DEL’Apocalypse

Apocalypse 13, 16-17 :Et elle (la bête, le système antichrist) fit quetous, petits et grands, riches et pauvres, libres etesclaves, reçussent une marque sur leur maindroite ou sur leur front, et que personne ne pûtacheter ni vendre, sans avoir la marque, le nomde la bête ou le nombre de son nom.

Apocalypse 14:9 et suivants : Et un autre, un troisième ange les suivit, en dis-ant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête etson image, et reçoit une marque sur son front ousur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureurde Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sacolère, et il sera tourmenté dans le feu et le sou-fre, devant les saints anges et devant l'agneau. Etla fumée de leur tourment monte aux siècles dessiècles; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceuxqui adorent la bête et son image, et quiconquereçoit la marque de son nom. C'est ici la persé-vérance des saints, qui gardent les commande-ments de Dieu et la foi de Jésus.

Apocalypse 16:2 Le premier alla, et il versa sa coupe sur la terre.Et un ulcère malin et douloureux frappa leshommes qui avaient la marque de la bête et quiadoraient son image.

Apocalypse 19:20Et la bête fut prise, et avec elle le faux prophè-te, qui avait fait devant elle les prodiges par les-quels il avait séduit ceux qui avaient pris lamarque de la bête et adoré son image. Ils furenttous les deux jetés vivants dans l'étang ardentde feu et de soufre.

Apocalypse 20 : 4-6Et je vis des trônes ; et à ceux qui s'y assirent futdonné le pouvoir de juger. Et je vis les âmes deceux qui avaient été décapités à cause du témoi-gnage de Jésus et à cause de la parole de Dieu, etde ceux qui n'avaient pas adoré la bête ni sonimage, et qui n'avaient pas reçu la marque surleur front et sur leur main. Ils revinrent à la vie,et ils régnèrent avec Christ pendant mille ans.Les autres morts ne revinrent point à la vie jus-qu'à ce que les mille ans fussent accomplis. C'estla première résurrection. Heureux et saints ceuxqui ont part à la première résurrection ! Laseconde mort n'a point de pouvoir sur eux ; maisils seront sacrificateurs de Dieu et de Christ, etils règneront avec Lui pendant mille ans.

Les populations seront prêtes àaccepter n'importe quoi pourretrouver la paix et la sécurité

TT OPOP SECRET - 51SECRET - 51

VIDEOSVIDEOSUn japonais invente le fameux vêtement ou manteau des contes de fée ;celui qui rend invisible.Voici quelques clips sur l’invisibilité. Ils valent le détour.

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Pour en savoir plus, visitez les sites :http://www.ananova.com/news/story/sm_747591.htmlhttp://www.star.t.u-tokyo.ac.jp/projects/MEDIA/xv/oc.html

ENEN VRAC...VRAC...QuelquesQuelques vidéosvidéos d’ovnisd’ovnis

Pas grand chose de nouveau à se mettre sous la dent ses temps-ci voiciquelques clips relativement classiques et qu’il serait trop fastidieux de commen-ter. Comme on dit, quand on en a vu 1, on en a vu 1000 !

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http://www.ufocom.org/Vous venez d'observer un ovni ? Vous n'avez pas accès à l'Internet, gardezet diffusez ce numéro de téléphone mis à disposition par le groupe Ufocom

32 (0)2 612 13 2532 (0)2 612 13 25Vous pouvez appeler ce numéro de téléphone situé en Belgique (appel international normal) afin de nous laisser votre témoignage ouobservation. Les appels anonymes, canulars et blagues seront effacés automatiquement. La ligne est disponible 24 h sur 24 et 7 jourssur 7. Il s'agit d'une boîte vocale. N'hésitez pas à copier ce numéro et à le garder dans votre portefeuille et dans votre voiture. Passezle mot. La diffusion de ce numéro est vivement encouragée. En cas d'observation, appelez également le bureau local de la police. Decette manière, vous laisserez une trace officielle de votre observation. Nous avons une radio sur le web. Notre Call Center pourra nousaider à vous donner l'opportunité de réagir et de vous exprimer en ligne. Thierry Wathelet - UFOCOM

GEPRAhttp://www.ovni.info

"Ils sont là, ils sont hostiles et des gens puissant"Ils sont là, ils sont hostiles et des gens puissants nous cachent leur exiss nous cachent leur exis--tence, l'histoire telle que nous la connaissons n'est qu'un mensonge."tence, l'histoire telle que nous la connaissons n'est qu'un mensonge."

Dark Skies : L'impossible vérité

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AIDEAIDE AUXAUX ENLEVESENLEVESCeci s'adresse à ceux qui ont été enlevés, ou qui ont vécu un ”temps manquant”.Ceci n'est pas une offre commerciale. Il s'agit de participer à une expérience que je sou-haite le plus scientifique possible. Voulez vous essayer de savoir ce qui s'est vraimentpassé ? Voulez vous essayer de trouver un remède aux séquelles psychologiques que celapeut vous avoir laissé ? Une régression hypnotique peut vous y aider. Prenez contact avec Jean Jacques Walter, tel 06 10 37 77 68, ou envoyez un mail à : [email protected]