The Hobbit - Battle of the 5 Armies

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The Hobbi t - Battle of the Five Armies Attendu comme le chapitre qui devait nitivement unier les éléments épars d'un récit que sa structure dessert, et en dépit de ses qualités, la conclusion grandiose et opératique du Hobbit ne tient, hélas, que les promesses qu'il lui était possible de tenir !'absolution n'est hélas pas arrivée NB : l'article qui suit peut être considéré comme une conclusion de la réfexion entamée dans les papiers concerna nt le premier et le second lm de la trilogie,  publiés en leur temps dans ces pages. L'info tombe cette semaine : Peter Jackson (mais aussi Fran Walsh, Philippa Boyens et Richard aylor, et l'arm!e enti"re le#!e pour un des plus ambitieu$ et incroyables pro%ets de l'histoire du cin!ma& ne pourra pas adapter d'autres !crits li!s la erre du ilieu, faute (pour le moment& du soutien des ayants)droits de   olkien pour d'obscures, #oire sordides, a*aires de sous : la +ourmandise oublieuse de Warner semble a#oir fait uelues d!+-ts. La nou#elle est)elle si mau#aise / Pour les spectateurs, mais aussi pour le cin!aste / La uestion se pose. 0 la #ue de cette conclusion du roman fondateur de#enu 1pr!lo+ie1 de fa2on discutable, Jackson lui)m3me semble ambitionner de partir e$plore r d'autres contr !es cin!mato+raphiue s. 4on ue le c5ur n'y soit plus, mais les circonstances de la mise en chantier de ce pro%et l'ont peut)3tre trop color! pour ue le cin!aste puisse en 3tre pleinement satisfait, comme l'indiuerait un certain rel-chement dans la facture, et m3me l'!criture, de ce u'on a trop #ite pr!sent! comme un Opus Magnum de#ant surpasser de trente coud!es au moins la sa+a d'il y a di$ ans. 6n en attendait beaucoup suite au$ !mer#eillements , et encore plus suite au$ r!ser#es ue suscitaient les deu$ premiers m!tra+es. out est donc sens! se nouer puis se r!soudre dans ces presue trois heures : les destins de 7mau+, 8andalf, et des orcs 09o+ et Bol+, le bannissemen t pro#isoire de 7auron, la folie de horin et son sursaut, la sal#ation des +ens de Laketon et l'!mancipation de Le+olas de son p"re $!nophobe, sans oublier l'histoire naissante de ;ili et auriel. Le tout au sein d'une d!bauche belliciste du meilleur aloi pour l'appropriation strat!+iue d'<rebor. Bien entendu, ce p!riple bien rempli est arpent! de bout en bout, d'a#enues noires de trolls en chemins de tra#erse intimistes d'une retenue tonale bien#enue. out est sa place, tout est tr"s beau, le rythme est enle#! et #ari!, les id!es de mise en sc"ne les plus folles fusent, les setpieces sont ma+ni=ues et le propos est ser#i comme il se doit, dans un uni#ers tou%ours blu*ant de coh!rence esth!tiue. Bref, on ne peut sa #aleur faciale rien reprocher cette Bataille des "inq Armées . 0u point u'on d!plore #ite la uasi)absence de surprises ue m!na+e le =lm, sa pr!#isibilit! ui le fait parfois passer pour une checklist a#ec des s!uences d'un e$p!ditif surprenant, toutes cruciales ue soient certaines : di>cile par e$emple de ne pas croire entendre l'!cho lointain d'un bon, !a, c'est "ait   la =n de l'a*rontement de ?ol 8uldur... ais encore une fois tout est l. <t pourtant le %ob n'est pas fait. Le spectateur n'est %amais mis en position de s'impliuer !motionnellement a#ec les situations et les personna+e s, uand bien m3me les tra%ectoires de chacun sui#ent la lo+iue amorc!e dans les deu$ chapitres pr!c!dents. @e sont des pans entiers de cataclysmes u'on re+arde ainsi come une #ache le fait a#ec un train : on

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The Hobbit - Battle of the Five Armies

Attendu comme le chapitre qui devait dénitivement unier leséléments épars d'un récit que sa structure dessert, et en dépit de sesqualités, la conclusion grandiose et opératique du Hobbit ne tient,hélas, que les promesses qu'il lui était possible de tenir !'absolutionn'est hélas pas arrivée

NB : l'article qui suit peut être considéré comme une conclusion de la réfexionentamée dans les papiers concernant le premier et le second lm de la trilogie,

 publiés en leur temps dans ces pages.

L'info tombe cette semaine : Peter Jackson (mais aussi Fran Walsh, PhilippaBoyens et Richard aylor, et l'arm!e enti"re le#!e pour un des plus ambitieu$ etincroyables pro%ets de l'histoire du cin!ma& ne pourra pas adapter d'autres !critsli!s la erre du ilieu, faute (pour le moment& du soutien des ayants)droits de

 olkien pour d'obscures, #oire sordides, a*aires de sous : la +ourmandise

oublieuse de Warner semble a#oir fait uelues d!+-ts. La nou#elle est)elle simau#aise / Pour les spectateurs, mais aussi pour le cin!aste / La uestion sepose. 0 la #ue de cette conclusion du roman fondateur de#enu 1pr!lo+ie1 defa2on discutable, Jackson lui)m3me semble ambitionner de partir e$plorerd'autres contr!es cin!mato+raphiues. 4on ue le c5ur n'y soit plus, mais lescirconstances de la mise en chantier de ce pro%et l'ont peut)3tre trop color! pourue le cin!aste puisse en 3tre pleinement satisfait, comme l'indiuerait uncertain rel-chement dans la facture, et m3me l'!criture, de ce u'on a trop #itepr!sent! comme un Opus Magnum de#ant surpasser de trente coud!es au moinsla sa+a d'il y a di$ ans.

6n en attendait beaucoup suite au$ !mer#eillements, et encore plus suite au$

r!ser#es ue suscitaient les deu$ premiers m!tra+es. out est donc sens! senouer puis se r!soudre dans ces presue trois heures : les destins de 7mau+,8andalf, et des orcs 09o+ et Bol+, le bannissement pro#isoire de 7auron, la foliede horin et son sursaut, la sal#ation des +ens de Laketon et l'!mancipation deLe+olas de son p"re $!nophobe, sans oublier l'histoire naissante de ;ili et auriel.Le tout au sein d'une d!bauche belliciste du meilleur aloi pour l'appropriationstrat!+iue d'<rebor.

Bien entendu, ce p!riple bien rempli est arpent! de bout en bout, d'a#enuesnoires de trolls en chemins de tra#erse intimistes d'une retenue tonalebien#enue. out est sa place, tout est tr"s beau, le rythme est enle#! et #ari!,

les id!es de mise en sc"ne les plus folles fusent, les setpieces sont ma+ni=ueset le propos est ser#i comme il se doit, dans un uni#ers tou%ours blu*ant decoh!rence esth!tiue. Bref, on ne peut sa #aleur faciale rien reprocher cetteBataille des "inq Armées. 0u point u'on d!plore #ite la uasi)absence desurprises ue m!na+e le =lm, sa pr!#isibilit! ui le fait parfois passer pour unechecklist a#ec des s!uences d'un e$p!ditif surprenant, toutes cruciales uesoient certaines : di>cile par e$emple de ne pas croire entendre l'!cho lointaind'un bon, !a, c'est "ait  la =n de l'a*rontement de ?ol 8uldur... ais encoreune fois tout est l. <t pourtant le %ob n'est pas fait. Le spectateur n'est %amaismis en position de s'impliuer !motionnellement a#ec les situations et lespersonna+es, uand bien m3me les tra%ectoires de chacun sui#ent la lo+iueamorc!e dans les deu$ chapitres pr!c!dents. @e sont des pans entiers de

cataclysmes u'on re+arde ainsi come une #ache le fait a#ec un train : on

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feuillette un ima+ier somptueu$, on compulse une sa+a fantastiue d'une beaut!sou#ent !crasante, mais d'un 5il d!tach! d'entomolo+iste.

@'est l'!criture, et principalement sa structure, ui cr!e ce hiatus. @ar si tous lesin+r!dients sont bel et bien r!unis (et redisons)le, uestion in+r!dients on estplutAt en pr!sence de tru*e blanche ue de ketchup&, c'est le liant ui fait d!faut.Le liant, ici, 2'aurait !t! une narration au rythme dos! correctement au sein del'ensemble de ses chapitres. !las, la faute est aller chercher du cAt! de lafrilosit! crasse de la production de +ros pro%ets, uant au$ formes u'ils ont prendre pour 3tre #endus selon des calibra+es d!sesp!r!ment uniformes. Parmices calibra+es (s!uelles, remakes, franchises, morcellement des march!s...&,l'un des plus pernicieu$ est l'incapacit! des studios in#estir un r!cit ambitieu$sur un autre mode ue celui de la trilo+ie. @'est d'ailleurs un format ui s'estimpos! dans les derni"res ann!es en partie cause de la sa+a !ord of the#ings, ui a#ait l'!poue arrach! 4e Line cette dur!e plutAt ue celle d'un=lm uniue... @ependant c'est un format ui n'est pas adapt! toutes leshistoires, et certainement pas celle ue nous a#ons sous les yeu$. Redisons)le

une bonne fois : le format id!al !tait celui en#isa+! d"s le d!part, soit undyptiue de =lms de trois bonnes heures, a#ec une coupure a#ant ou apr"s lepassa+e du +roupe de nains Laketon. 6n aurait eu deu$ r!citsinterd!pendants, m!na+eant chacun sa mont!e dramatiue de mani"recoh!rente, et !la+uant au passa+e les tira+es la li+ne du premier tiers endonnant un peu d'air au$ p!rip!ties du troisi"me, ici bien l'!troit.

L'a#anie ui ach"#e de prou#er cet !tat de fait est la d!cision aberrante de cr!erarti=ciellement un cli*han+er entre la $ésolation et !a Bataille , ui coupesans aucune raison tan+ible le chapitre des combats contre 7mau+, en s!parantla confrontation d'<rebor de l'attaue de Laketon. Le =lm d!marre donc bille ent3te et a#ant même d'a$c%er son titre sur le d!#eloppement < la r!solution de

cette attaue, ui m"ne bien entendu un 7mau+ terrass! par Bard l'aide de laderni"re C"che noire. La s!uence est ma+ni=ue, de la destruction de la #ille la +estion de l'espace et du rythme, dans un Camboiement pictural di+ne du%andemonium de John artin. @ertes. ais la #oil r!duite un simple a#ant)propos, et de fait d!connect!e !motionnellement non seulement des!#"nements ui #ont sui#re, mais aussi de ceu$ ui y ont men!. 0ccessoirement,on pourra dire adieu l'id!e (pourtant e$prim!e aupara#ant& de 7auroncon#oitant une !#entuelle alliance a#ec le dra+on... Pire, cette s!uence plac!eentre les deu$ m!tra+es %oue le rAle d'un barra+e narratif et dramatiue!tanche : adieu alors toutes les amorces patiemment mises en place en termesde caract!risation. ?i>cile, sinon impossible pour le spectateur, de se raccrocher

des tra%ectoires de personna+es u'on a si soi+neusement sectionn!es net...?'oD l'indi*!rence ui le +a+ne la #ue de ce ui suit, pourtant tr"s proprement!crit. El faut #oir ce titre comment la mort d'un personna+e pourtant important(et r!ceptacle d'une +rande sympathie dans le reste du r!cit& laisse nous laissefroids au coeur d'un troisi"me acte pourtant bourr! %usu' la +ueule de momentsma+ni=ues. 0utrement dit, les moti#ations des personna+es et des situationssont par ce +este rendues strictement th!oriues, pri#!es de toute leur chair!motionnelle, et apparaissent, en partie tort, comme arti=cielles #oirefallacieuses (notamment en ce ui concerne hranduil&.

Ema+inons The &mpire tri(es Bac(  posant son +!n!riue de =n %uste aumoment oD an solo est pr!cipit! dans la carbonite, laissant le soin au =lm

sui#ant d'accrocher le clima$ embl!matiue (1E am your Father1, tout 2a&, la #a)comme)%e)te)pousse, sa propre trame narrati#e, %etant au passa+e ses ellipses

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et !#olutions de personna+es en #rac la face du spectateur en lui laissant lesoin de faire le tri. Le r!sultat parait r!#oltant / @'est ce ui arri#e au%ourd'hui auHobbit.

?ramatiuement, c'est L0 +rande erreur, r!#!latrice d'un rel-chement del'!criture u'on a bien du mal comprendre, surtout en re+ard de la ri+ueursc!naristiue ui a#ait pr!sid! la trilo+ie !)T#. L'impression d'une !criturem!caniue, #oire m3me fastidieuse, noie de fait la +rande %ustesse des th"mesabord!s, et met en !#idence le manue de pertinence de certains a%outs : siRada+ast ne d!passe d!=niti#ement pas le stade de l'anecdote, auriel estirr!m!diablement une pi"ce rapport!e lar+ement su%ette caution, et disonsinutile, tant l'int!+ralit! des en%eu$ th!matiues ui lui sont rattach!s pourraient3tre plac!s dans les mains d'autres personna+es. 6n ne peut plus nier ue sonimposition se soit faite sous un pr!te$te aussi frileu$ u'e$t!rieur au r!cit (en+ros, on a#ait peur ue des m!cont(e&s crient la miso+ynie si on ne mettait pasun 1+rand rAle f!minin1 ) et 8aladriel, c'est du poulet/&. <t ue dire d'0lfrid, 8rimaau$ petits pieds de Laketon, embarrassante caricature ui sert un discours

moraliste sur l'!+osme aussi pachydermiue dans la forme u'inutile au seind'un r!cit ui re+or+e de =+ures au$ prises a#ec la tentation de la cupidit! / @ediscours, louable et au c5ur du propos de olkien (l'altruisme et lacommunication comme seul espoir face l'accaparement ui m"ne ladestruction mutuelle&, se trou#e autrement mieu$ ser#i dans la d!piction de lafolie de horin, ui #a %usu' renier des serments et prendre l'occasion lesaccents de 7mau+ : une e$cellente id!e parmi une foule d'autres, noy!es souscette indi*!rence +!n!rale d'une dramatur+ie mal pens!e, ui castre toute!motion par son choi$ structurel d!plorable, a#ec pour e*et de %eter une lumi"rebien peu Catteuse sur tous les autres aspects du =lm, en particulier la +randetenue de sa mise en sc"ne, de sa techniue et de son esth!tiue.

Gue de belles choses, de fait, se trou#ent tristement tri#ialis!es par cet !tat defait, cet aspect m!caniue ue prennent mal+r! eu$ narration et personna+es H@ar la bataille elle)m3me re+or+e de trou#ailles soit #isuelles, soit strat!+iuesui auraient tour tour !mer#eill!, terri=!, !mu ou amus! dans un m!tra+e plustenu : Bol+ et 09o+ eu$)m3mes ui ont en=n leur pleine stature, les s!maphores,les chau#es)souris +!antes u'on %urerait sorties de 7kull Esland et leur forteresse!#ouant Beksinski, les trolls de combat, les man+e)terre (cli+ne9 des yeu$ et#ous ne les #erre9 pas&, le porc ue che#auche ?ain ui r!pond parfaitement aucerf de hranduil, et la citadelle ennei+!e ui sert d'!crin au d!nouement del'a*rontement funeste entre nains et orcs, dans une ambiance d'un +othiueirr!prochable... Pouruoi alors se mouer de ses propres acuis par des plans

parodiues ui arri#ent comme des che#eu$ sur la soupe, tel ce troll ui forceune muraille en s'assommant dessus, une pi"ce de ma2onnerie attach!e la t3te(citation ri+olarde et mal#enue du huruk ha ui cr!e une br"che dans elm's?eep, dans The T*o To*ers& / <ncore une fois, Jackson est maitre dansl'e$ercice de faire passer des s!uences autrement casse)+ueule a#ec l'!#idencedu +!nie, pour peu ue sa dramatur+ie le permette : on pensera la sc"ne de@entral Park dans son +ing +ong, ui aurait !t! ridicule entre les mains den'importe ui d'autre. @et aspect strictement m!caniue, d'enchaInement sansr!elle app!tence, pose cette bataille pourtant tous points de #ue +randiosecomme une escarmouche sans +rande cons!uence, chacun se uittant sonissue comme la =n d'une soir!e arros!e (rappelons uand m3me ue nombrede personna+es important sont 6R7 le %our m3me, dont un roi&. 6n est loin du

sommet d'!pisme cin!mato+raphiue, pour le moment %amais surpass!, de la

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bataille des champs du Pelenor et du si"+e de inas irith, non pas en termes defaits de +uerre, mais d'implication pure et simple.

Eci, parce ue la dramatur+ie r!duit l'histoire un catalo+ue d'id!es et dep!rip!ties sans r!el propos dramatiue +lobal, le tout se #it au mieu$ comme unride u'on a du mal ne pas comme un 1&uc t%is, ( quit 1 de la part d'un +randcin!aste blanchi sous le harnois. ?eu$ !l!ments, ce propos, ne laissentd'embarrasser : d'abord la =n de la s!uence de ?ol 8uldur, se closant sans autreforme proc"s sur 7aroumane d!clarant 1laisse)*moi m'occuper de +auron1, enl'absence totale de commentaire de la part du reste du @onseil Blanc, laiss!e$san+ue par ce ui de#rait 3tre un moment de basculement boule#ersant, maisaussi de commentaire a posteriori des !#"nements : un cut au noir, et #o+ue la+al"re on s'en fout, on n'a %amais #u ue le retour du principe mal!=ueprimordial et de l'ensemble de ses lieutenants, alors u'une arm!e ui lui estinf!od!e menace un point strat!+iue de toute la r!+ion... 7econde s!uencebien plus probl!matiue, la r!p!tition, la lisi"re de la @omt!, d'une tr"s belles!uence muette entre Bilbo et 8andalf ayant eu lieu une bobine plus tAt sur le

champ de bataille de ?ale, et ui se su>sait elle)m3me les deu$ amisde#isent +aiement et 8andalf l-che comme une plaisanterie u'il sait ue Bilbod!tient un anneau de pou#oir, a#ant de partir sans plus de pr!occupation cesu%et... Gue penser de cette conclusion, comment ne pas y #oir, encore, unetri#ialisation cette fois #olontaire de l'ensemble de la sa+a / 6n repart a#ec lesentiment d'un rende9)#ous moiti! rat!, en esp!rant, tout de m3me, ue la#ision de l'ensemble des trois =lms dos))dos nous permettra de retrou#er unsouKe dramatiue intact, ui nous con=rmerait ue le =lm u'on a sous les yeu$est encore un acte de foi de la part de son auteur. ais c'est un #5u$ pieu$. 0lle9Peter, tu as bien m!rit! de nous emmener ailleurs, et on est impatients. Pour lemoment, en esp!rant sinc"rement a#oir eu la dent trop dure (eh les #ersionslon+ues r!parent peut)3tre toutH&, on ne peut dire ue : domma+e, il s'en fallait

de peu, mais uoi ser#ent des =nitions somptueuses sur des fondationsbancales /