Stupéfaction !, Infor FEB n° 36, 17 novembre 2011

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    >INFORFEBWWW.FEB.BE

    La newsletter pour dcideurs

    [ 17 NOVEMBRE 2011 N 36 ]

    C'est avec une stupeur grandissante que les

    entreprises de Belgique assistent au combat

    men tte baisse par le formateur. Pourtant,

    l'approche maladroite de l'Italie, dont les

    doutes et tergiversations ont t lourdement

    sanctionns par les marchs jusqu' la mise

    en place d'une curatelle internationale, devrait

    inciter la gauche un certain sens du ralis-

    me. Or il n'en est rien. Tandis que nos spreads

    menacent de prcipiter notre pays vers les

    P.I.G.S., la gauche persiste proposer deux

    fois plus de nouvelles taxes que d'conomies

    et lon se dit toujours profondment choqu

    lorsque nos partenaires de la zone euro dcla-

    rent officiellement que notre systme d'in-

    dexation ncessite comme lors de toutes les

    crises prcdentes une rvision.

    Karl-Heinz Lambertz, ministre-prsident de la

    Communaut germanophone, est un homme

    de sagesse lorsqu'il dit qu'on ne peut se per-

    mettre de choisir dans la to-do list europen-

    ne les mesures qui conviennent tel ou tel

    parti politique. Cette poque est en effet rvo-

    lue. Le plus grand danger d'une telle attitude,

    ce ne sont pas tant les sanctions europennes

    que le scnario pas si improbable de voir

    notre pays rtrograd du stade de borderline

    country un statut infamant pour lequel une

    gnration entire de travailleurs devra payer

    pendant au moins une dcennie. Mais K.-H.

    Lambertz est aussi un homme de mmoire.

    Dans presque toutes les crises graves, la

    Belgique a men une opration l'obligeant

    dpasser quelques rsistances et tabous avec

    un sens certain des responsabilits. Y compris

    sur le terrain de notre mcanisme d'indexation

    automatique. Maintenant que nous ne dispo-

    sons plus de l'arme de la dvaluation, ce sera

    finalement cela, ou la curatelle. Les entre-

    prises savent d'exprience qu'acclrer l'invi-

    table s'est souvent rvl salutaire pour rendre

    le processus moins douloureux. Ce n'est pas

    moins vrai aujourd'hui.

    Les accords conclus voici plusieurs annes par

    les syndicats et les employeurs avec le monde

    politique en Allemagne doivent aussi servir de

    fil rouge la dclaration de gouvernement chez

    nous. Actuellement, l'Allemagne enregistre tou-

    jours une augmentation de ses exportations

    hauteur de 8 9%, soit un taux suprieur la

    croissance du commerce mondial, qui s'tablit

    7%. Nous devons avoir la mme ambition. Et

    croire en nos capacits. Mais cela ne sera pos-

    sible que si la gauche contribue galement

    une stratgie de croissance. Les recettes sont

    connues. Une rcente tude de l'Universit de

    Gand, se fondant sur une quarantaine dassai-

    nissements budgtaires dans 21 pays, confirme

    les recommandations rptes maintes

    reprises par le FMI, l'OCDE et l'Europe : veillez

    assurer la croissance, en mettant fortement

    l'accent sur les conomies, mais pas dans les

    investissements publics. Misez sur des gains

    d'efficacit au niveau des pouvoirs publics. Les

    augmentations d'impts, en revanche, sapent

    quatre fois plus la croissance que les cono-

    mies. Et augmenter limpt des socits est le

    meilleur moyen de tuer la croissance dans l'uf.

    Tous ces avis, manant d'autorits minentes

    finances par l'argent du contribuable ,

    n'ont, si l'on se fie au contenu de la dernire

    mouture de la note du formateur, pas mme

    bnfici du statut de source d'inspiration.

    Cela nest pas acceptable !

    RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DLGU

    Stupfaction !

    > FISCALIT > Commissions secrtes :il convient de garder raison

    PENSION DANS LAVIATION CIVILE > Il faut revoir lergime favorable !

    BUDGET > Directives pour une politiquedassainissement performante

    HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER

    Baisse du chmage de longue dure chez les -50 ans

    De 2004 2011, le nombre de chmeurs delongue dure de moins de 50 ans a enregis-tr une baisse structurelle de 194.000 122.000 units. Le suivi plus strict du com-

    portement de recherche porte donc ses fruits. Parmi les plus de 50 ans, ondnombre en revanche 48.000 chmeurs de longue dure de plus.

    www.feb.be > publications > chiffres et faits

    -72.000

    Les augmentations d'imptssapent quatre fois plus lacroissance que les cono-mies. Et augmenter limptdes socits est le meilleurmoyen de tuer la croissan-ce dans l'uf.

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    Le Comit de gestion de lOffice national des

    pensions a men une rflexion sur la rforme

    du rgime spcial de laviation civile. Il vient

    denvoyer ses conclusions la Commission

    paritaire de laviation civile. La balle est dans

    son camp, mais aussi dans celui des pouvoirs

    publics, qui ne peuvent plus se permettre de

    laisser traner ce dossier. Le personnel de

    laviation civile bnficie dun rgime favorable

    de pensions : il peut prendre sa retraite 55ans aprs 30 ans de carrire (34 ans pour le

    personnel de cabine) et recevoir un montant de

    pension suprieur grce des plafonds de

    rmunration pour le calcul de la pension net-

    tement plus levs que ceux applicables aux

    travailleurs salaris. Ce rgime cote de plus

    en plus cher avec laugmentation de lesp-

    rance de vie et la monte en flche du nombre

    de pensionns par rapport lemploi dans le

    secteur. Une cotisation spciale pour financer

    cet avantage est prvue, mais elle ne couvre

    pas tous les cots. Il serait dailleurs impos-

    sible de fixer une cotisation qui quilibrerait

    ce rgime spcial, car cela asphyxierait com-

    pltement les compagnies ariennes belges.

    Les cotisations actuelles sont dj beaucoup

    trop lourdes pour concurrencer les compagnies

    tablies sur le sol belge mais qui parviennent

    chapper ces cotisations ou celles de nos

    pays voisins, qui ne connaissent pas pour les

    pilotes pareils rgimes de pensions et, en

    outre, versent des cotisations plafonnes.

    Le rgime favorable des pensions de

    laviation civile nest financirement pas

    tenable. Il devra, d'urgence, tre rform dans

    le sens dun relvement progressif de lge de

    la retraite et de la carrire. En outre, il convient

    de remettre, le plus rapidement possible, les

    compagnies ariennes belges dans les mmesconditions de concurrence que les autres com-

    pagnies, en allgeant et en supprimant les coti-

    sations spciales pour le rgime favorable de

    pensions.

    Bernadette Adnet [email protected]

    BUDGET

    Directives pour unepolitique dassainissementperformanteL'Universit de Gand a analys une quarantai-

    ne dassainissements budgtaires raliss par

    le pass dans 21 pays industrialiss, afin de

    dterminer ceux qui permettent de rduire le

    taux dendettement de manire durable. Un

    premier constat est que la croissance cono-

    mique joue un rle crucial. En effet, sans crois-

    sance, il est extrmement difficile de rduire

    la dette, mme avec une politique budgtaire

    restrictive. La situation que connat actuelle-

    ment la Grce le montre souhait. En vue de

    maintenir la croissance, il faut principalement

    conomiser du ct des dpenses plutt que

    daugmenter encore les impts. Il importe

    cependant de sauvegarder les investissements

    publics, car ils ont un impact positif consid-

    rable sur la croissance conomique future.

    Selon les chercheurs, il faut surtout se concen-

    trer sur lnorme potentiel de gains defficaci-

    t au niveau des pouvoirs publics, desdpenses sociales et des subventions. De plus,

    >

    Rmunrations desdirigeants des entreprises :Rudi Thomaes laChambre des reprsentants

    Lors dune audition la Commission de droit

    commercial de la Chambre des reprsentants,

    Rudi Thomaes, administrateur dlgu, a expo-

    s le point de vue de la FEB sur les proposi-

    tions de loi visant encadrer la rmunration

    des dirigeants des socits. Il a soulign que

    les rmunrations des dirigeants des socits

    cotes belges doivent tre replaces dans le

    cadre de la globalisation de lconomie et des

    socits. Or, on constate que les rmunra-

    tions des CEO belges sont, dans lensemble,

    infrieures celles des CEO trangers. R.

    Thomaes a galement mis en exergue le rle

    crucial du comit de rmunration, qui doit

    compter en ses rangs des personnes denver-

    gure. Enfin, cest surtout lchelon interna-

    tional que la question doit tre traite.

    Christine Darville [email protected]

    La VNO-NCW la FEBDans le cadre de la concertation accrue entre

    les trois fdrations d'employeurs du Benelux

    (FEB, VNO-NCW et Fedil), le prsident et l'ad-

    ministrateur dlgu de la FEB Pierre Alain

    De Smedt et Rudi Thomaes ont reu le pr-sident du VNO-NCW, Bernard Wientjes.

    L'change de vues a notamment port sur la

    situation conomique en Belgique, aux Pays-

    Bas et au sein de la zone euro, ainsi que sur le

    rle du Benelux dans les dbats europens.

    Olivier Joris [email protected]

    L'Ambassadeur grecrencontre les chefsd'entreprise

    Vu l'ampleur de la crise de la dette en Grce,

    les chefs d'entreprise runis au sein du Comit

    de direction de la FEB ont rencontr l'ambas-

    sadeur grec en Belgique, SE M. Platon Alexis

    Hadjimichalis. Celui-ci a soulign l'importan-

    ce des mesures d'assainissement et de relan-

    ce dj inities dans son pays. Il a galement

    soulign le programme de privatisations en

    cours. La ncessit de lutter activement contre

    l'vasion fiscale fut galement souligne lors

    de ce contact.

    Olivier Joris [email protected]

    >

    >>

    ACTION FEB

    >

    De g. dr. Olivier Joris, responsable duDpartement europen de la FEB ; BernardWientjes, prsident du VNO-NCW ; Rudi Thomaes,administrateur dlgu de la FEB, et Joke van denBandt, dlgue permanente du VNO-NCW Bruxelles.

    PENSION DANS LAVIATION CIVILE

    Il faut revoir le rgime favorable !

    >

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    Depuis cet t, ladministration fiscale a radicalement modifi son

    comportement face lapplication de la cotisation spciale de 309%

    destine sanctionner les manquements administratifs lis la pro-

    duction de fiches et de relevs. Une instruction interne non publie du

    27 juillet 2011, qui complte une circulaire du 1er dcembre 2010,

    enjoint en effet aux contrleurs de faire preuve de la plus extrme sv-

    rit. Ces changements ont rapidement t suivis deffets dans les entre-

    prises, confrontes des sanctions souvent totalement dispro-

    portionnes par rapport aux manquements constats, en particulier

    lorsquil ny a eu aucune perte pour le Trsor. Cette situation a mu les

    dputs Clarinval et Wouters, qui ont demand des explications au

    ministre des Finances. Celui-ci a reconnu quune application sans dis-

    cernement de la cotisation distincte () peut avoir des consquences

    excessives, voire inquitables dans certains cas, et provoquer un accrois-

    sement non dsir du contentieux administratif et judiciaire (*). En

    consquence, un addendum sera publi avec effet rtroactif la cir-

    culaire du 1er dcembre 2010, pour quil y soit prcis quil faut tenir

    compte de la bonne foi de la socit, du caractre exceptionnel du

    dfaut de dclaration, de limportance relative du manquement, etc..

    Le ministre entend galement que soit revue la position de ladminis-

    tration, qui considre que la cotisation de 309% na pas de caractre

    pnal. Ceci est manifestement incorrect lorsque le Trsor na pas subi

    de pertes ou que les revenus peuvent encore tre taxs, cas dans les-

    quels le montant de la sanction peut tre adapt.

    La FEB se rjouit de ce retour au bon sens. Sil est indispen-

    sable que les rmunrations et autres avantages soient correctement

    dclars, il nest par contre pas rai-

    sonnable que nimporte quel man-

    quement quels que soient sagravit, son impact et son contexte

    soit systmatiquement sanctionn

    dune peine de 309% du montant

    de la dpense.

    Jean Baeten [email protected]

    (*) CRIV 53, Commission desFinances et du Budget, Com 333,9 novembre 2011

    il est prfrable dopter pour une solution dras-

    tique mais brve plutt que dtaler lassainis-

    sement budgtaire sur une trs longue priode.

    Cette tude de lUniversit de Gand

    confirme les conclusions dtudes antrieures

    du FMI, de lOCDE et de la Commission euro-

    penne. Si lon ne se conforme pas ces direc-

    tives, la croissance conomique et la cration

    demplois en seront fortement affectes, avec

    de lourdes consquences au niveau de notre

    prosprit, de la cohsion sociale et de lassi-se de notre modle social. Il est grand temps

    que les ngociateurs pour la formation dun

    gouvernement fdral suivent ces conseils.

    Geert Vancronenburg [email protected]

    SALAIRESHOMMES FEMMES

    Lartillerie la plus lour-de pour lcart le plusfaible dEurope

    Le thme de lcart salarial entre hommes et

    femmes est nouveau lordre du jour du

    Comit davis pour lmancipation sociale de la

    Chambre. Neuf propositions ont t dposes

    ce jour, dont quatre propositions de rsolu-

    tion et cinq propositions de loi. Une proposi-

    tion de loi du 12 juillet, avance en guise de

    compromis, mais fortement inspire par les

    syndicats, dploie une artillerie de mesures.

    Toutes sont absorbantes et onreuses pour les

    entreprises et leur efficacit est plus que dou-

    teuse puisquelles ne sen prennent pas la

    rpartition traditionnelle des rles male bread-

    winner-female carer. Les propositions

    prvoient lanalyse de la structure de rmun-

    ration dans les entreprises de 50 travailleurs et

    plus, la discussion du rapport (et donc du salai-

    re des collgues) au sein du conseil dentre-

    prise ou du comit pour la prvention et la

    protection au travail, la dsignation dun conci-

    liateur protg prsent par le conseil den-

    treprise ou le comit et charg dexaminer les

    plaintes individuelles en matire dcart sala-

    rial. Les auteurs prvoient aussi une concerta-

    tion obligatoire sur une rmunration

    sexuellement neutre, au niveau interprofes-

    sionnel et sectoriel. De plus, le Service public

    fdral Emploi serait charg de vrifier la neu-

    tralit de genre des systmes sectoriels de clas-

    sification des fonctions. Enfin, plusieurs

    rubriques du bilan social seraient scindes en

    fonction du sexe.

    La Belgique connait le plus faible cart

    salarial entre hommes et femmes dEurope,

    savoir 9%, dont la moiti sexplique par des

    facteurs connus comme le travail temps par-

    >

    FISCALIT

    [INF

    OR

    FEB

    36

    17NOVEMBRE2011

    ]>

    Commissions secrtes : il convient de garder raison

    >

    Il nest pas raisonnableque nimporte quelmanquement soit syst-matiquement sanctionndune peine de 309% dumontant de la dpense.

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    Grap

    hismee

    tpro

    duc

    tion:

    The

    Ma

    ils

    hop

    tl.037711230

    ma

    il@thema

    ils

    hop

    .be

    tiel. Au lieu de proposer des mesures qui

    accroissent les obligations (administratives)

    et la complexit pour les employeurs, leur lais-

    sant encore moins de temps pour entreprendre

    et crer de lemploi, il convient de se concen-

    trer sur des initiatives socitales propres rompre la rpartition traditionnelle des rles.

    Michle Claus [email protected]

    DROIT DE LA CONCURRENCE

    La Commission euro-penne publie desbest practices en mati-re dententes et dabus

    de position dominante travers ce document, la Commission sou-

    haite amliorer la transparence, la compr-

    hension et lefficacit du droulement des

    enqutes en matire de concurrence. Ainsi, on

    relve des prcisions apportes concernant

    les inspections et les documents protgs par

    la confidentialit entre avocats et clients.

    Selon la Commission, un simple examen de la

    prsentation gnrale du document par ses

    agents permettra de vrifier sil sagit bien de

    correspondance change aux fins de lexer-cice des droits de la dfense et manant

    d'avocats indpendants. La Commission ajou-

    te quune entreprise est cependant en droit de

    refuser la consultation du document, mme

    sommaire, la condition quun tel examen en

    dvoilerait le contenu. Dans ce cas, si les

    agents de la Commission ne peuvent exclure

    la possibilit que le document soit effective-

    ment confidentiel, ils placent alors une copie

    du document litigieux dans une enveloppe

    scelle en vue dune rsolution ultrieure dudiffrend.

    Par contre, les agents de la Commission pren-

    dront malgr tout connaissance du contenu du

    document, sans recourir la procdure de l'en-

    veloppe, sils estiment notamment que les jus-

    tifications de lentreprise sont insuffisantes.

    La FEB estime que la poursuite de

    lobjectif de transparence est louable dans

    un domaine o les parties manquent souvent

    dindications prcises. Cependant, la

    recherche de lefficacit dans les procdures

    ne doit certainement pas passer par lesacrifice des droits des parties mais tendre

    vers un juste quilibre.

    Pierre Sabbadini [email protected]

    TVA SUR LES VOITURES DESOCIT

    Suspension de ladcision

    Dans un communiqu de presse publi sur lesite web du SPF Finances, ladministration

    de la TVA signale que la dcision du 20

    octobre 2011 relative la dductibilit de la

    TVA sur les biens dinvestissement est sus-

    pendue jusqu nouvel ordre. Lorsque lusage

    priv des biens dinvestissement pour lanne

    2011 doit tre dtermin avec effet rtroac-

    tif, il se peut que des difficults pratiques

    apparaissent dans certains cas. Cest pour-

    quoi un addendum cette dcision, prcisant

    ses modalits pratiques dexcution, est encours dlaboration.

    Alain Lecocq [email protected]

    >

    >

    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15

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    COPYRIGHT : Reproduction autorise moyennant mention de la source

    LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-

    me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est

    responsable d'un point de vue conomique.

    >

    DATE AND THEME :

    25 NOVEMBER,

    2, 9 DECEMBER

    DATE :

    7 DCEMBRE DE 13H30

    17H00

    DATE ET THEME :

    8 DCEMBRE - DE 10H00

    17H00 : STRATGIE

    SOCIALE

    DATE :

    9 DCEMBRE DE 09H15

    12H30

    Brussels School of CompetitionThe law and Economics of Horizontal Cooperation Agreements and Joint Ventures

    Information exchange, cooperation with other companies, R&D agreements, jointventures, ... All these topics are very important for companies. The Brussels Schoolof Competition offers you to get familiar with these topics during a 15 hours coursespread on three Friday afternoons.

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    Student@work: nouveau rgime pour le travailtudiant partir de 2012

    La rforme tant attendue sur la rglementation du travail tudiant entre en vigueurle 1er janvier 2012. L'employeur et l'tudiant pourront dsormais consulter en ligne lenombre de jours disponibles durant lesquels ltudiant peut travailler.

    Plus dinfos > www.feb.be > Manifestations

    VENUE : FEB, Brussels

    INFORMATION :

    www.brusselsschoolofcompetition.eu

    REGISTRATION :

    T + 32 0(2) 515 07 78

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