Rapport de Stage audit 2

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Rechercher sur le site: Recherche Home | Publier un mémoire | Une page au hasard Transposition des normes isa sur le cabinet pwc ( Télécharger le fichier original ) par Jihane BENNAMI ESCA, Casablanca - M2 en audit et controle de gestion 2009 Dans la categorie: Commerce et Marketing Disponible en mode multipage Jihane BENNANI 4ème année Management Financier 13/07/2009 Rapport de stage « Transposition des normes ISA par le cabinet international Price Waterhouse/ Coopers & Lybrand » SOMMAIRE Introduction Partie I : Présentation du cabinet PriceWaterhouseCoopers Chapitre I : PriceWaterhouse Coopers & Lybrands (PWC) : Un cabinet de renom Section I : Historique et fiche signalétique Section II : Environnement global du cabinet PWC Chapitre II : Théorie d'agence et l'audit Section I : Relation auditeur -audité Section II : L'audit comme résolution des problèmes d'agence Partie II : Audit entre positif et normatif Chapitre I : Présentation des normes ISA Section I : Normes de planification des missions Section II : Normes de déroulement des missions d'audit Section III : Normes de finalisation des travaux d'audit Chapitre II. Transposition des normes ISA à la méthodologie PWC Section I : La planification des missions par PWC Section II : Le déroulement des missions par PWC Section III : La finalisation des travaux par PWC Conclusion Introduction Le terme audit a connu une large diffusion durant ces dernières années. Il est devenu un terme courant dans le monde moderne des affaires. En effet, le développement d'activités, le recours sans cesse à des financements extérieurs et le développement des marchés boursiers ont fait de l'entreprise une entité complexe dont le suivi nécessite un contrôle continu. L'audit a pour objectif d'effectuer des travaux rigoureux et systématiques afin d'étudier, de vérifier et d'évaluer les différentes côtés de l'activité de l'entreprise. Ces exigences peuvent être appréhendées par différents niveaux d'audit s'attachant chacun à une dimension de l'entreprise : l'audit comptable et financier, l'audit interne... L'un des aspects majeurs de l'audit concerne aussi bien la vérification des données financières, que la régularité et la sincérité des converted by Web2PDFConvert.com

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Rapport de Stage audit 2

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    Transposition des normes isa sur le cabinet pwc ( Tlcharger le fichier original )par Jihane BENNAMI ESCA, Casablanca - M2 en audit et controle de gestion 2009Dans la categorie: Commerce et Marketing

    Disponible en mode multipage

    Jihane BENNANI

    4me anne Management Financier

    13/07/2009

    Rapport de stage

    Transposition des normes ISA par le cabinet international

    Price Waterhouse/ Coopers & Lybrand

    SOMMAIRE

    IntroductionPartie I : Prsentation du cabinet PriceWaterhouseCoopers

    Chapitre I : PriceWaterhouse Coopers & Lybrands (PWC) : Un cabinet de renom

    Section I : Historique et fiche signaltiqueSection II : Environnement global du cabinet PWC

    Chapitre II : Thorie d'agence et l'auditSection I : Relation auditeur -audit

    Section II : L'audit comme rsolution des problmes d'agence

    Partie II : Audit entre positif et normatif

    Chapitre I : Prsentation des normes ISASection I : Normes de planification des missions

    Section II : Normes de droulement des missions d'audit

    Section III : Normes de finalisation des travaux d'audit

    Chapitre II. Transposition des normes ISA la mthodologie PWC

    Section I : La planification des missions par PWC

    Section II : Le droulement des missions par PWC

    Section III : La finalisation des travaux par PWC

    Conclusion

    IntroductionLe terme audit a connu une large diffusion durant ces dernires annes. Il est devenu un terme courant dans le monde moderne desaffaires. En effet, le dveloppement d'activits, le recours sans cesse des financements extrieurs et le dveloppement des marchsboursiers ont fait de l'entreprise une entit complexe dont le suivi ncessite un contrle continu.

    L'audit a pour objectif d'effectuer des travaux rigoureux et systmatiques afin d'tudier, de vrifier et d'valuer les diffrentes cts del'activit de l'entreprise. Ces exigences peuvent tre apprhendes par diffrents niveaux d'audit s'attachant chacun une dimension del'entreprise : l'audit comptable et financier, l'audit interne...

    L'un des aspects majeurs de l'audit concerne aussi bien la vrification des donnes financires, que la rgularit et la sincrit des

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  • comptes prsents par les dirigeants de l'entreprise.

    Les cabinets d'audit connaissent un dveloppement vu les multitudes des services proposs ainsi que leur effectif. Ce dveloppementrpond des obligations lgales accrues, exiges par l'Etat marocain et des obligations manifestes par les entreprises pour rpondre des besoins spcifiques.

    Lors de ma participation aux missions d'audit du cabinet Coopers & Lybrand j'ai pu mettre d'une part en pratique mes connaissancesthoriques acquises et d'autre part me familiariser avec le monde de travail pour pouvoir l'affronter un jour.

    Durant mon stage, j'ai particip diffrentes missions d'audit et j'ai ralis diffrentes travaux que ce rapport reflte. Il sera rparti endeux parties : dans la premire partie intitule prsentation du cabinet PriceWaterhouseCoopers ; il convient d'abord de prsenter lecabinet ainsi que son environnement global pour ensuite dfinir par la suite la thorie d'agence et les diffrents missions ralises lorsdu stage. Dans une deuxime partie intitule l'audit entre le positif et normatif ,je prsenterai les diffrents normes ISA pour enchaineravec la transposition de ces dernires la mthodologie du cabinet PWC.

    Partie I : Prsentation du cabinetPriceWaterhouseCoopers

    Pricewaterhouse Coopers appartient au groupe dit des Bigs Four, il a une exprience inestimable en audit et conseil auprs desentreprises les plus prestigieuses du monde. Dans ce premier chapitre je prsenterai le cabinet en numrant ses services et saclientle, galement la mission que j'ai effectue durant cette priode de stage.

    Chapitre I : Prsentation du cabinet Coopers & LybrandPricewaterhouseCoopers au Maroc, est une socit de droit marocain, faisant partie du rseau mondial de Pricewaterhouse Coopers.L'ensemble de son personnel a acquis une longue exprience dans le domaine de l'audit et du conseil. C'est l'un des premiers cabinetsd'audit et conseil au Maroc.

    Section: Historique et fiche signaltique1. Histoire de cration du cabinet

    Anne Evnement1849 Fondation Londres du cabinet Price par Samuel Lowell Price1854 Fondation Londres du cabinet Cooper Brother1865 Edwin Waterhouse rejoint le cabinet Price qui devient Price Waterhouse1929 Ouverture du bureau de Coopers & Lybrand Paris1961 La naissance de Pricewaterhouse Maroc1994 La naissance de Coopers & Lybrand Maroc

    1997(Septembre) Coopers & Lybrand et Price Waterhouse annoncent leur projet de rapprochement

    1997 (Novembre) Les associs des diffrentes activits membres de Coopers & Lybrand et de Price Waterhouse votent leprincipe de rapprochement dans les diffrents pays

    1998 Lancement de PricewaterhouseCoopers aprs autorisation du rapprochement par la Commissioneuropenne

    2002 Rapprochement de Pricewaterhouse Maroc et Coopers & Lybrand Maroc2007 Divorce de Pricewaterhouse Maroc et Coopers & Lybrand Maroc

    2. Fiche signaltique

    Raison sociale Coopers & Lybrand MarocForme juridique SACapital 500 000 DHSActivits Audit et ConseilSige social 83, avenue Hassan II- 20000 Casablanca, MarocN RC 75 745N Patente 34 108 719Id.Fisclae 01 020 042CNSS 354185Tlphone 052298 40 40/ 77 90 00Site internet www.pwcglobal.com

    Section II : L'environnement global du cabinet PWC1. La clientle

    Le cabinet de Casablanca fait partie du rseau international qui audit les grandes structures internationales dans diverses secteursd'activit (industries, banques, assurances...) ex : le cabinet audite plus de 20 banques parmi les 100 plus importantes dans le monde,on cite : Banque Mondiale, Banque Nationale de Paris, Chemical New York Corporation....

    Au Maroc, le portefeuille comprend des socits marocaines tel que les assurances, des cimenteries, des socits touristiques et

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  • htelires, des socits de textiles et confection, des socits de BTP ; des produits chimiques et pharmaceutiques ; des entreprisespubliques, on cite titre d'exemple : Volkswagen, IBM, Caterpillar, Sony, Shell, Fiat...

    2. Prestations fournies par le cabinet :

    Le cabinet propose en gnral sa clientle une gamme largie de services :

    L'audit et certification des comptes : o on procde l'identification des risques, sectoriels ou spcifiques pouvant avoir un impactsur les tats financiers, la comprhension de la manire dont les activits sont produites (systmes d'information, processus deconsolidation,...) et contrles (outils de pilotage, organisation du contrle interne, activits de l'Audit Interne,...), l'valuation de lapertinence de ces contrles, leur validation sur base de tests. 1(*)

    La convention/retraitement des tats financiers pour les adapter aux normes spcifiques du pays : Le cabinet aide certainesstructures mettre en pratique les retraitements IFRS pour le besoin de publications des tats financiers en IFRS ou pour le besoin dereporting groupe.

    L'assistance comptable : Un dpartement s'occupe de la saisie comptable.

    Le conseil juridique : tout ce qui est relatif la constitution de socits allant mme au dpt de marques, cession de marques, lesactes de la vie juridique savoir les protocoles, transactions, contrats, les baux commerciaux et civils. S'ajoute galement le choix dustatut du dirigeant et de son mode de rmunration ; et la transmission d'entreprise : cessions, acquisitions de socits et de fonds decommerce

    Le conseil fiscal : savoir l'tablissement ou contrle des diverses dclarations fiscales (IR, IS, TVA, droits d'enregistrement et detimbre, Patente,...), l'assistance l'occasion de vrifications de l'administration fiscale et l'optimisation fiscale.

    Le conseil en gestion : et ceci par la conception et l'tablissement :des outils de gestion adquats , tableaux de bord / reporting ;lesbudgets d'exploitation et de trsorerie , les bilans prvisionnels et plans de financement et enfin l'tudes de cot de revient, de rentabilit

    Le conseil en ressources humaines et assistance pour le recrutement : Le cabinet revoie le profil des personnes embaucheret dcide de leur efficacit et la valeur ajout apporter pour l'entreprise.

    3. Organigramme hirarchique de Coopers & Lybrand

    Tous les dpartements, mme s'ils aient chacun un dirigeant, sont tous sous la direction de Mr.AL MECHATT, Directeur Gnral deCoopers & Lybrand.

    4. Le contrle de qualit adopt :

    Un cabinet a l'obligation de mettre en place un systme de contrle de qualit dont le but d'obtenir l'assurance raisonnable que lecabinet et son personnel se conforment aux normes professionnelles et aux obligations lgales et rglementaires , et que les rapportsd'audit mis par le cabinet ou les associs responsables des missions sont appropris en la circonstance.2(*)

    La qualit exige et le respect des standards de PriceWaterhouseCoopers conduient la firme prendre des mesures trs strictesd'autocontrle. La firme reoit rgulirement la visite d'une quipe venant d'autres cabinets du rseau PWC. Cette quipe slectionnecertains dossiers et value le processus du travail, la validit des conclusions avances et la conformit des travaux effectues avec lesnormes de travail indiques par la communaut financire internationale (ISA et les standards PWC).

    Egalement, un contrle est ralis par l'ordre des experts comptables pour s'assurer que le commissaire aux comptes c'est conform la rglementation locale.

    5. Effectif du cabinet :

    L'effectif total du cabinet au Maroc est compos aujourd'hui de 40 personnes.

    Les collaborateurs nationaux et trangers sont de formation universitaire ou diplms de grandes coles soit au Maroc ou de l'tranger.

    Grace la volont des responsables du cabinet marocain de maintenir un niveau lev, les collaborateurs dbutant suivent chaqueanne des cycles de formation, au Maroc et l'tranger, pour la mise jour de leurs connaissances.

    Chaque collaborateur est muni d'un micro-ordinateur pour faciliter la ralisation des missions, et rester en contact avec le bureau.

    Un personnel motiv peut travailler mieux et se traduira par un respect total des normes et absence de problmes suite la revue qualitdes travaux raliss par l'auditeur.

    (En annexe : une tude labore pour mesurer la satisfaction du personnel).

    Ce personnel en question constitue le noeud du succs du cabinet, il essai de prserver une bonne image du cabinet chez l'audit. C'estpour cela que je propose dans le chapitre suivant un aperu sur la relation tablie entre l'auditeur et l'audit.

    Chapitre II : Thorie d'agence et auditLe point de dpart de la relation auditeur - audit s'inscrit dans la divergence d'intrt mise en avant par la thorie de l'agence. Cettethorie d'agence stipule que les propritaires de l'entreprise (principaux) confient la gestion de celle-ci des dirigeants (agents ).Les agents sont donc supposs agir pour le compte des actionnaires, conformment aux intrts de ceux-ci.

    Section I : Relation auditeur -audit

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  • 1. Problme d'agence entre dirigeant et actionnaires

    Les dirigeants, en tant qu'acteurs rationnels peuvent avoir un comportement opportuniste. Ils peuvent en effet chercher servir leursintrts propres aux dpens de ceux de l'entreprise. Et ceci est d'autant plus grave que les actionnaires sont en asymtrie d'informationpar rapport aux dirigeants puisqu'en confiant la gestion aux principaux , ils s'en loignent.

    Pour remdier ces problmes, les actionnaires ont recours une tierce personne pour surveiller les dirigeants. Il s'agit de l'auditeur quia une mission de contrle de la reddition des comptes et de protection des intrts des actionnaires. Les auditeurs sont donc lesmandataires des actionnaires et reprsentent la garantie d'une information comptable fiable et sincre.

    Cette thorie, souvent utilise dans la modlisation de la relation auditeur audit repose sur l'ide que l'auditeur est le contrleur desdirigeants et suggre de ce fait un conflit potentiel entre ces deux acteurs.

    2. Problmes d'agence entre actionnaires et cranciers

    Dans le cadre de la relation dirigeants-cranciers, on considre que les actionnaires agissent travers les dirigeants. Il est facile danscette condition de montrer que les cranciers et les actionnaires sont galement engags dans une relation contractuelle, puisque lespremiers confient aux seconds des ressources en change d'une promesse de rmunration et de remboursement l'chance.

    En tant que gestionnaires des fonds emprunts, les actionnaires peuvent tre considrs comme mandataires des cranciers. De cefait, des relations conflictuelles peuvent exister si les dirigeants et les actionnaires, dont les intrts sont supposs confondus, dtournentune partie de la richesse de la firme au dtriment des cranciers.3(*)

    Section II : L'audit comme solution aux problmes d'agence1. Entre dirigeant et actionnaires

    Dans ce contexte, l'audit apparat comme une solution aux problmes d'agence permettant de rduire les comportements opportunistesdes dirigeants et de donner plus de crdibilit quant aux tats financiers tablis par ces derniers.

    Ainsi, on voit que l'audit est d'une part utilis par les dirigeants en tant que signal leur

    permettant de montrer leurs performances de gestion et leur respect des principes et mthodes comptables gnralement admis lors deleur prparation des tats financiers et d'autre part constitue pour les actionnaires un moyen pour contrler les dirigeants et palier l'imparfaite observation de ses actions par les actionnaires.

    Or, comme les contrats d'intressement (pratiques amricaines) utiliss pour rsoudre les conflits d'agence entre actionnaires etdirigeants sont souvent bass sur les rsultats comptables et comme ces rsultats sont tablis par les dirigeants eux-mmes, il y aura unrisque que ces derniers utilisent des mthodes comptables qui maximisent le rsultat comptable et par suite leur rmunration.

    D'o la ncessit de contrler les dirigeants travers un audit effectu par un expert indpendant afin d'viter d'ventuelles manoeuvreset manipulations qui peuvent affecter la valeur de la firme.

    Cet audit attestera la sincrit et la fiabilit des comptes et le respect des principes et mthodes comptables gnralement admis.

    2. Entre actionnaires et cranciers

    Cherchant obtenir des crdits auprs des cranciers (dont notamment les banquiers), les dirigeants et actionnaires dont les intrtssont supposs convergents, vont utiliser l'audit et notamment le rapport de l'auditeur pour maximiser la valeur de ses actions etaugmenter la crdibilit des tats financiers qu'ils ont tablis. Vu la prparation par le dirigeant de ces informations pour d'autresutilisations, la socit aura tout intrt prparer les tats financiers et les faire certifier par un auditeur indpendant.

    Quant aux cranciers dont notamment les banquiers, l'audit constitue un parfait moyen leur permettant de s'assurer d'une part que lestats financiers tablis par les dirigeants sont fiables et sincres et d'autre part du respect par les dirigeants des clauses contractuellesrestrictives qui ont t tablies.

    La mission de l'auditeur externe a un triple but :

    ?? La protection des actionnaires et la minimisation des cots d'agence dus l'existence des actionnaires extrieurs ;

    ?? La protection des cranciers et la minimisation des cots d'agence dus l'existence des cranciers ;

    ?? Et l'aide du dirigeant dans la matrise de la gestion de son entreprise et la minimisation des cots d'agence internes.

    Avant de nous lancer quipe PWC dans les missions, notre senior nous prsente des informations sur l'entreprise auditer, et c'estl'une des spcificits lors des missions d'audit au cabinet PWC, que je prsenterai en dtail dans la partie suivante.

    Partie II : Audit entre positif et normatiftant donn que le cabinet PWC est un cabinet international, il est soumis au respect des normes internationales. Une comparaison del'approche d'audit et des normes ISA serait pertinente. Pour cela en premier chapitre je prsenterai les normes ISA relatives audroulement d'une mission d'audit, pour traiter en deuxime chapitre la transposition de ces normes par le cabinet.

    Chapitre I : Prsentation des normes ISAL'objet de la prsente Norme Internationale d'Audit (International Standard on Auditing, ISA) est de dfinir des procdures et desprincipes fondamentaux et de prciser leurs modalits d'application concernant l'objectif et les principes gnraux en matire d'auditd'tats financiers. Elle apporte galement des prcisions sur la responsabilit de la direction dans l'tablissement et la prsentation destats financiers ainsi que dans le choix du rfrentiel comptable utilis dans leur prparation, vis dans les Normes ISA sous le vocablede rfrentiel comptable applicable . 4(*)

    Section I : Normes ISA 300 : la planification des missions Planifier signifie laborer une stratgie gnrale et une approche dtaille relative la nature, au calendrier et l'tendue des

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  • travaux d'audit. Cette planification a pour objectif de raliser ces travaux de manire efficace et en temps voulu.

    4. Une planification adquate permet d'accorder une attention suffisante aux aspects essentiels de l'audit, d'identifier les problmespotentiels et d'accomplir rapidement les travaux. Par ailleurs, elle facilite la rpartition des tches entre collaborateurs en fonction de leurexprience et en coordination, le cas chant, avec les travaux effectus par d'autres auditeurs ou experts.

    5. L'tendue de la planification est variable et dpend de la taille de l'entit, de la complexit et de la connaissance qu'a l'expert-comptable de celle-ci et de ses activits.

    6. La connaissance gnrale de l'entit est un lment important de la planification. Grce cette connaissance, l'expert-comptable estplus mme d'identifier les faits, oprations et pratiques susceptibles d'avoir une incidence significative sur les comptes.

    7. L'expert-comptable peut souhaiter s'entretenir de certains lments du plan de mission et de certaines procdures d'audit avec leconseil d'administration (le cas chant, le comit d'audit), les dirigeants et les cadres de l'entit, afin d'amliorer l'efficacit des travauxet de coordonner les procdures d'audit avec les contrles dj effectus par le personnel de l'entit. Toutefois, l'expert-comptable resteseul matre de son plan de mission et de son programme de travail.

    8. L'expert-comptable labore un plan de mission dcrivant l'approche gnrale des travaux d'audit et leur tendue. Il consigne dans sesdossiers de travail la justification des choix oprs lors de la prparation de ce plan. Le plan de mission est suffisamment dtaill pourguider la prparation du programme de travail. Cependant, la forme et le fond varient selon la taille de l'entit, la complexit de lamission, la mthodologie et les technologies spcifiques utilises par l'expert-comptable.

    9. Les aspects que l'expert-comptable prend en compte pour laborer son plan de mission concernent notamment :

    La connaissance gnrale de l'entit

    les facteurs conomiques et les caractristiques du secteur ayant une incidence sur l'activit de l'entit ;

    les principales caractristiques de l'entit : son secteur d'activit, ses rsultats financiers et ses obligations de communicationd'informations financires, ainsi que les changements intervenus depuis la dernire mission ;

    10. L'expert-comptable labore un programme de travail dfinissant la nature, le calendrier et l'tendue des procdures d'auditncessaires pour mettre en oeuvre son plan de mission. Il consigne dans ses dossiers de travail la justification des choix oprs lors deson tablissement. Le programme de travail est un ensemble d'instructions l'attention des collaborateurs participant la mission,servant contrler la bonne excution des travaux. Ce programme peut galement prciser pour chaque rubrique, les objectifs de l'auditet un budget d'heures fixant les temps prvus pour les diffrents contrles ou procdures d'audit.

    11. Pour laborer son programme de travail, l'expert-comptable prend en compte l'valuation spcifique du risque inhrent et du risqueli au contrle, ainsi que le niveau d'assurance qu'il entend obtenir des contrles substantifs. Il prend galement en compte le calendrierprvu pour les tests de procdures et les contrles substantifs, la ncessit de coordonner toute aide que l'entit a prvu d'apporter, ladisponibilit des collaborateurs et la participation d'autres auditeurs ou d'experts. Il peut s'avrer ncessaire d'analyser de faon plusdtaille les autres aspects mentionns au paragraphe 9 pour laborer le programme de travail.

    12. Le plan de mission et le programme de travail sont modifis si ncessaire au cours de la mission. La planification constitue unprocessus qui se poursuit, en effet, tout au long de la mission du fait de l'volution des circonstances ou de rsultats inattendus desprocdures d'audit. Les motifs des modifications importantes apportes sont consigns dans les dossiers de travail.

    Section II : Normes ISA 310 : Le droulement des missions d'auditAvant d'accepter la mission, l'expert-comptable rassemble des informations prliminaires sur le secteur d'activit, les dtenteurs ducapital, les dirigeants et les oprations de l'entit et dtermine s'il lui est possible d'acqurir un niveau de connaissance suffisant de cetteentit et de son secteur d'activit pour effectuer cette mission.

    5. Aprs acceptation de la mission, l'expert-comptable runit des informations complmentaires et plus dtailles. Dans la mesure dupossible, il est prfrable qu'il dispose des connaissances ncessaires au dbut de sa mission. Tout au long du droulement de celle-ci,ces informations sont reconsidres et actualises et de nouveaux lments sont obtenus.

    6. L'obtention d'informations sur l'entit et son secteur d'activit est un processus continu et cumulatif. Il consiste runir et valuer desinformations et corroborer les connaissances ainsi acquises avec les lments probants et les autres informations obtenues auxdiffrents stades de la mission. Par exemple, bien que des informations soient runies lors de la planification, elles seront en gnralapprofondies et compltes aux stades suivants de la mission, mesure que l'expert-comptable et ses collaborateurs se familiarisentavec l'entit.

    7. Au cours des exercices suivants, l'expert-comptable actualise et reconsidre les informations runies prcdemment, notammentcelles contenues dans les dossiers de travail de l'exercice prcdent. Il met galement en oeuvre des procdures visant dtecter leschangements importants survenus depuis le dernier exercice.

    8. L'expert-comptable a le choix entre plusieurs sources d'informations pour acqurir la connaissance gnrale de l'entit et de sonsecteur d'activit, notamment :

    son exprience antrieure de l'entit ;

    des entretiens avec les dirigeants ;

    des entretiens avec le personnel d'audit interne et l'examen de leurs rapports ;

    des entretiens avec les conseils de l'entit ou autres experts qui ont travaill pour le compte de celle-ci ou dans son secteur d'activit ;

    des renseignements obtenus de personnes informes et extrieures l'entit (exemple : conomistes spcialistes du secteur, autoritsde tutelle, clients,fournisseurs, concurrents) ;

    les publications relatives au secteur d'activit (exemple : statistiques, tudes, textes,

    magazines professionnels, rapports labors par des banques et des courtiers, journaux financiers) ;

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  • les textes lgaux et rglementaires ayant une incidence significative sur l'entit ;

    la visite des locaux et des sites de production ;

    les documents tablis par l'entit (exemple : procs-verbaux de runions, documents adresss aux actionnaires ou aux autorits detutelle, documents promotionnels, rapports annuels et financiers des exercices prcdents, budgets, rapports internes de gestion,rapports financiers intercalaires, manuel de politique de gestion, manuel de procdures, plan comptable, organigramme et dfinitions defonctions, plans de marketing et de ventes, etc.).

    9. La connaissance gnrale de l'entit et de son secteur d'activit constitue un cadre de rfrence permettant l'expert-comptabled'exercer son jugement professionnel. La comprhension des activits de l'entit et son utilisation adquate aident celui-ci :

    valuer les risques et identifier les problmes ;

    planifier et conduire efficacement sa mission ;

    valuer la validit des lments probants collects ;

    permettre, le cas chant, de formuler des avis, recommandations et conseils.

    10. Pendant le droulement de sa mission, l'expert-comptable est amen porter de nombreux jugements pour lesquels la connaissancegnrale de l'entit et de son secteur d'activit est importante, notamment pour :

    valuer le risque inhrent et le risque li au contrle ;

    analyser les risques lis au secteur d'activit et la validit des rponses donnes par la direction ;

    dfinir le plan de mission et le programme de travail ;

    dterminer un seuil de signification et apprcier s'il reste toujours adapt ;

    valuer les lments probants obtenus afin d'tablir le bien fond et la validit des critres retenus par la direction sous-tendantl'tablissement des comptes ;

    apprcier les estimations comptables et les dclarations faites par la direction ;

    identifier les domaines dans lesquels des comptences et une attention particulires peuvent tre ncessaires ;

    identifier les entreprises ou parties lies et les oprations avec celles-ci ;

    mettre en vidence des informations contradictoires (par exemple, des dclarations de la direction non concordantes) ;

    dceler des circonstances inhabituelles (par exemple, fraude ou non-respect de textes lgaux et rglementaires, donnes de gestioninternes ne concordant pas avec les rsultats financiers publis) ;

    pouvoir formuler des demandes prcises et valuer la crdibilit des rponses ;

    examiner le bien fond des politiques comptables suivies et de la description qui en est donne dans l'annexe.

    11. L'expert-comptable s'assure que les collaborateurs intervenant sur la mission ont une connaissance gnrale de l'entit et de sonsecteur d'activit suffisante pour accomplir correctement le travail qui leur est confi. L'expert-comptable les sensibilise galement lancessit de recueillir des informations supplmentaires et de les faire connatre aux autres membres de l'quipe.

    12. L'expert-comptable apprcie si sa connaissance gnrale de l'entit et de son secteur d'activit lui permet de conforter son jugementsur les comptes pris dans leur ensemble et si les critres retenus sous-tendant l'tablissement de ceux-ci sont cohrents avec cetteconnaissance.

    Section III : Normes ISA 510 de finalisation des travaux d'audit2. Afin d'tre en mesure d'exprimer une opinion sur les comptes du premier exercice de sa mission, l'expert-comptable runit deslments probants suffisants et appropris lui permettant d'obtenir l'assurance que :

    (a) les soldes d'ouverture ne contiennent pas d'anomalies ayant une incidence significative sur les comptes de l'exercice en cours,

    (b) les soldes de clture de l'exercice prcdent ont t correctement repris ou, le cas chant, que le compte de rsultat enregistredans la rubrique approprie les critures de redressement ventuelles sur exercices antrieurs et que l'annexe donne une informationpertinente,

    (c) les politiques d'arrt des comptes et les mthodes d'valuation et de prsentation sont appropries et ont t appliques demanire constante ou que les modifications de ces politiques et mthodes ont t rgulirement traites.

    3. Les soldes d'ouverture dsignent les soldes des comptes au dbut de l'exercice. Les soldes d'ouverture correspondent aux soldesde clture de l'exercice prcdent et refltent les incidences :

    (a) des oprations des exercices antrieurs, et

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  • (b) des politiques d'arrt des comptes de l'exercice prcdent.

    4. Lors de la premire mission d'audit effectuer sur les comptes de l'entreprise l'expert-comptable ne dispose pas au pralable deslments probants corroborant les soldes d'ouverture.

    5. Les lments probants suffisants et appropris que l'expert-comptable runit sur les soldes d'ouverture dpendent notamment :

    des politiques d'arrt des comptes et des mthodes d'valuation et de prsentation appliques par l'entit ;

    des comptes de l'exercice prcdent, audits ou non, et, dans l'affirmative, de l'opinion exprime dans le rapport ;

    de la nature des postes apparaissant au bilan et du risque d'anomalies susceptibles d'affecter les comptes de l'exercice en cours ;

    du caractre significatif des soldes d'ouverture au regard des comptes de l'exercice en cours.

    6. L'expert-comptable examine si les soldes d'ouverture refltent l'application de politiques d'arrt des comptes et de mthodesd'valuation et de prsentation rgulires, et si ces politiques et mthodes ont t appliques de manire constante aux comptes del'exercice en cours. Si ces politiques et mthodes ou leur application ont subi des changements, il examine si ces derniers sont justifiset rgulirement traits.

    7. Lorsque les comptes de l'exercice prcdent ont fait l'objet d'un audit par un autre expert-comptable, l'opinion sans rserve mise surles comptes par ce dernier constitue une prsomption de rgularit et de sincrit du bilan d'ouverture. Le nouvel expert-comptables'enquiert auprs de son prdcesseur des diligences mises en oeuvre par celui-ci et, avec son accord, procde, lorsque celui-ci luiparat ncessaire, une prise de connaissance de ses dossiers de travail.

    8. Lorsque les comptes de l'exercice prcdent ont fait l'objet d'un audit de la part d'un autre professionnel indpendant charg ducontrle des comptes, l'expert-comptable s'informe de la nature, de l'tendue et des conclusions de la mission de celui-ci. Il s'enquiertgalement de la comptence professionnelle et de l'indpendance vis--vis de l'entit contrle de cet autre professionnel.

    Sur la base de cette prise de connaissance, l'expert-comptable dtermine les diligences qu'il estime ncessaire l'effet de s'assurerque le bilan d'ouverture ne comporte pas d'anomalies significatives.

    9. Dans des cas exceptionnels, et notamment lorsque le nouvel expert-comptable n'a pas obtenu de son prdcesseur ou de l'autreprofessionnel indpendant les informations estimes ncessaires sur les travaux effectus par celui-ci sur les comptes de l'exerciceprcdent, il effectue les travaux complmentaires appropris pour fonder son propre jugement.

    10. Si le rapport sur les comptes de l'exercice prcdent comporte une rserve, une opinion dfavorable, un refus d'exprimer une opinionpour cause d'impossibilit, ou un paragraphe d'observation, l'expert-comptable est particulirement attentif au cours de sa mission ausuivi des questions qui ont engendr cette rserve, cette opinion dfavorable ou ce refus d'exprimer une opinion ou l'observationformule.

    11 Dans la communication et ses relations avec son prdcesseur ou l'autre professionnel indpendant charg du contrle des comptesqu'il est amen remplacer, l'expert-comptable applique les rgles fixes par le Code de Dontologie du Conseil Suprieur de l'Ordredes experts-comptables.

    12. Lorsque les comptes de l'exercice prcdent n'ont pas t audits ou si l'expert-comptable n'a pas t en mesure de se satisfaire dursultat de l'application des procdures dcrites aux paragraphes 7 9, il met en oeuvre d'autres procdures telles que celles dcritesaux paragraphes 13 et 14 ci-aprs, pour s'assurer de l'absence d'anomalies provenant du bilan d'ouverture et susceptibles d'affecter defaon significative le rsultat de l'exercice en cours, de la permanence des politiques d'arrt des comptes et des mthodes d'valuationet de prsentation, ainsi que du rattachement correct des produits et des charges chaque exercice.

    13. Pour les actifs circulants et les dettes d'exploitation, il est gnralement possible de runir certains lments probants par la mise enoeuvre des procdures d'audit de l'exercice en cours. Par exemple, le recouvrement des crances clients ou le paiement des dettesfournisseurs l'ouverture pendant l'exercice en cours fournit des lments probants sur leur existence, les droits et obligations qui s'yrattachent, leur exhaustivit et leur valuation en dbut d'exercice. Dans le cas des stocks, il est cependant plus difficile d'obtenir deslments probants satisfaisants sur leur existence physique en dbut d'exercice. Des procdures complmentaires sont donc souventncessaires ; par exemple, l'observation d'une prise d'inventaire physique en cours d'exercice et son rapprochement avec les quantitsen stock l'ouverture, le contrle de la valorisation des lments en stock l'ouverture, l'examen de la marge brute et des procdures decsure. En associant plusieurs de ces procdures, il est souvent possible d'obtenir des lments probants suffisants et appropris.

    14. Pour les actifs immobiliss et les passifs autres que les dettes d'exploitation, tels que les immobilisations corporelles et financires,les emprunts, les provisions pour risques et charges, etc., l'expert-comptable examine en gnral les documents justifiant les soldesd'ouverture. Dans certains cas, il peut obtenir confirmation de ces soldes auprs de tiers, par exemple pour les emprunts et lesimmobilisations financires. Dans d'autres cas, il peut avoir mettre en oeuvre des procdures d'audit complmentaires.

    15. Lorsqu'il se rvle impossible de mettre en oeuvre a posteriori les procdures mentionnes ci-dessus, permettant l'expert-comptable de runir des lments probants suffisants et appropris sur les soldes d'ouverture, il apprcie, compte tenu de sonvaluation du risque d'anomalies et de son incidence ventuelle sur les comptes, s'il convient de formuler une rserve pour limitation del'tendue des travaux d'audit ou le refus d'exprimer une opinion pour cause d'impossibilit rsultant de la limitation.

    Aprs avoir numr dans un premier temps les diffrentes normes d'ISA relatives l'accomplissement des missions d'audit, par lasuite le droulement de la mission tel qu'il est effectu par le cabinet sera dcrit, pour s'assurer de l'application de ces normes par lecabinet.

    Chapitre II. Transposition des normes ISA lamthodologie PWC

    Avant de procder la planification de la mission il faut d'abord identifier les besoins du client dans son cadre environnemental.

    Comprendre le client et son activit

    La norme ISA 315 exige que l'auditeur comprenne l'entit et son environnement, ce qui est trac par le cabinet PWC dans ce schmasuivant :

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  • Section I : La planification des missions par PWC

    L'auditeur doit planifier sa mission afin qu'elle soit ralise de manire efficace et doit tablir un programme de travail. 5(*)

    La mission est gre par un manager qui prend contact avec le directeur financier pour la planification de la mission afin de dterminersa dure, la date de lancement.

    Une lettre de mission est tablie, contenant tous les traits sur lesquels les deux parties se sont mises en accord (honoraires et lesmodalits de paiement -acompte, chque, les intervenants, les devoirs et obligations des deux parties). Cette lettre est signe par lesdeux parties.

    Le manager envoie un mail au responsable planning pour planifier la date d'intervention et les personnes qui vont intervenir sur cettemission. Suite ce mail le responsable planning met jour le planning.

    Au cas o une personne serait planifie sur plusieurs missions la fois, le conflit de planification est discut et rsolu lors des runionsqui s'effectuent entre managers. Ces runions sont tenues en fonctions des besoins.

    Normalement, le choix de l'auditeur est effectu en fonction de ses comptences, de ses connaissances du secteur d'activit auquelvolue la socit.

    Section II : Le droulement des missions par PWCLe chef de mission runit l'ensemble de l'quipe avise, pour une sance de briefing. Cette sance est sense cadrer et expliquer lestravaux effectuer, les attentes du client, les dlais et les livrables finales.

    Une liste pralable de document est envoye au client pour anticiper le dmarrage de la mission.

    Lors de la mission, le chef de mission effectue une runion avec le DG de la socit pour les faits marquants de l'anne, passer en revuel'activit de l'anne (les ralisations, les ventuels litiges, le risque de fraude...).

    Lors de la planification et de la ralisation de l'audit et afin de rduire le risque d'audit un niveau acceptable faible, l'auditeur doitprendre en compte le risque que les tats de synthse contiennent des anomalies significatives provenant des fraudes. Les deuxcatgories d'anomalies : la prsentation d'tats de synthse mensongres ou le dtournement d'actifs 6(*).

    Cette runion permet de mieux orienter nos travaux d'audit en identifiant les cycles risques.

    A cet effet une rpartition de section est ralise en fonction des comptences de chaque intervenant, le chef de mission prend encharge les sections risque identifies prcdemment.

    Pour chaque mission, il existe des risques soit relatifs l'entit, ou ceux d'audit, ou des risques cls.

    Risque de l'entit Risque d'audit Risque clTout lment qui empche le client d'atteindre ses objectifs, quece soit dans le domaine oprationnel ou concernant le respectdes contraintes lgales et rglementaires.

    Correspond au risque d'uneopinion inapproprie soit misesur les tats financiers

    Un risque requiert une attentionparticulire lors de l'audit du faitde la nature du risque.

    A titre d'exemple, dans la socit audite au cours de la priode de stage, surtout celle du secteur immobilier, les risques de l'entitprlevs sont les suivants :

    Risque inhrent la dprciation des stocks

    Gnralement la vente des lots de terrains amnags s'tale sur une longue dure ce qui gnre des stocks considrables de produitsfinis puisqu'on peut rencontrer des difficults srieuses dans la commercialisation et la liquidation des produits.

    Donc, il faut porter une attention particulire aux provisions comptabilises afin de distinguer les provisions pour risques et charges decelles pour dprciation.

    Risque li la comptabilisation des provisions pour travaux post-achvement

    La ralisation d'un projet se fait par tranches ce qui mne l'entreprise rclamer des rceptions provisoires des travaux afin de pouvoircder des lots finis. Ce faisant, le prix de revient devant servir de base au dstockage doit inclure tous les cots relatifs cette trancheen tenant compte des dpenses venir dont la ralisation est dcale dans le temps.

    Ces provisions correspondent donc au cot des travaux effectuer postrieurement la constatation de l'achvement des oprations.

    Les travaux post-achvement doivent faire l'objet de notes dtaills permettant d'apprcier la ralit et le montant de la provisionconstitue, d'o l'importance pour le commissaire aux comptes de passer en revue ces estimations post-achvement afin de valider lessoldes comptables y affrent.

    Le travail de l'auditeur est essentiellement un travail de terrain. Lors de mon stage au sein du cabinet, j'ai particip diffrentes missionso j'ai pu raliser divers travaux varis permettant de mettre en pratique mes connaissances thoriques. Ces travaux consistent en laralisation des tests de validation des comptes et des revues analytiques. La procdure du test se fait par la slection des comptesrelevant de l'activit de la socit et comportant certains risques.

    Durant ces missions divers travaux ont t raliss. Ces derniers sont dtaills comme suit : (Voir tests raliss sur ANNEXE 2)

    Test de ralit d'exhaustivit et de cut-off du chiffre d'affaires et des avances clients : Pour s'assurer que le dtail des ventes

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  • est exhaustif, on rapproche le total du dtail avec le solde figurant au niveau de la balance gnrale. Pour la validation des montantscomptabiliss, nous avons test certains montants en le validant par rapport au contrat de vente et des versements raliss la banquepour une vente. Et enfin pour le cut-off, nous avons rcupr le chrono des contrats conclus en 2009 pour s'assurer qu'ils doivent treeffectivement comptabilises en 2009.

    Test de ralit et d'exhaustivit des charges et des produits : Pour certains comptes de produits et charges dont la variationsentre N-1 et N n'est pas cohrente avec l'volution de l'activit, nous avons droul un test de ralit consistant valider les montantscomptabiliss sur la base de pices justificatives (factures...) et un test d'exhaustivit pour s'assurer que l'ensemble des charges etproduits de l'exercice sont comptabiliss de manire exhaustive.

    Test sur les immobilisations : Pour s'assurer de la ralit et l'exactitude des immobilisations inscrites dans l'actif de la socit, nousavons droul les tests suivants :

    Nous avons tablit un tableau de mouvement des immobilisations et des amortissements pour justifier les mouvements en l'exercice N etN-1 (acquisitions, cessions, retraits, reprise, dotations ...)

    Nous nous sommes assurer de la ralit des lments comptabiliss en examinant les pices justificatives des critures passes enimmobilisation et les documents juridiques justifiant les acquisitions d'immobilisations en spcifiant la date d'acquisition et la date dedbut d'amortissement, la nature des frais immobilis, le nom du fournisseur, le montant comptabilis, la conformit du tauxd'amortissement aux usages et la rglementation comptable.

    Nous nous sommes assurs de la ralit des lments sortis ou cds en :

    - examinant les documents juridiques ayant justifis cette opration (Contrat de cession de fonds de commerce...)

    - vrifiant que la dotation de l'immobilisation cde a t comptabilise,

    - vrifiant que l'immobilisation a t solde avec le compte d'amortissement et la valeur nette d'amortissement,

    - vrifiant que le produit de cession a t encaiss et correctement comptabilis,

    Nous nous sommes assurs de l'exactitude des dotations aux amortissements travers une revue rapide des tableaux de calcul de ladotation.

    Elaboration des LEADS, se sont des feuilles maitresses des comptes ; c'est un clatement des comptes de la balance gnraleselon les rubriques.

    Test de pertes de change nous nous sommes assur que les pertes de changes comptabilises par la socit respectent lesassertions d'audit suivantes :

    o Exactitude ; Pertes de change correctement calcules comptabiliss que la base du taux de change du jourmme de la transaction

    o Cut-off : Elles ont t ralises au cours de l'exercice 2008 et concernent celui-ci.

    o Ralit : Pertes de changes relles et concernent des oprations ralises par l'entreprise

    Test clients et comptes rattachs : nous nous sommes assurs de la ralit, exactitude des crances clients comptabilises au 31dcembre 2008 en circularisant les clients les plus importants en cas de non rceptions des rponses nous avons rcuprer lesanalyses de comptes clients les plus importants et vrifier les encaissements postrieurs des clients slectionns,

    Afin de nous assurer de l'exhaustivit de la provision comptabilise, nous avons effectus les oprations suivantes :

    o Demander la balance ge des crances clients. Vrifier que toutes les crances dates de plus d'une annene prsentent pas de risque provisionner.

    o Obtenir les documents justificatifs ou le bien fond des provisions constates au cours de l'exercice.

    o Vrifier que le montant de la provision a t calcul sur la base du montant hors taxes de la crance.

    o Demander l'tat d'avancement des crances provisionnes au cours des exercices prcdents. Vrifier queces crances sont toujours impayes (rapprochement avec le montant des crances douteuses)

    o Vrifier le bien fond des reprises sur provision constates au cours de l'exercice.

    o Vrifier que les dotations et les reprises sont correctement comptabilises.

    Nous nous sommes assurs de l'exhaustivit des crances clients comptabilises en rcuprant les 10 derniers PV de rception signpar les clients au 31 dcembre 2008 et les 10 premiers relatives Janvier 2009 et nous nous sommes assurs du respect du principede sparation des exercices.

    Identification et validation des variations entre la balance gnrale dfinitive et la balance audite suite aux ajustements : la rception de la balance gnrale dfinitive nous nous sommes assur que les variations entre la balance dfinitive et la balanceaudits sont justifis et correspondent des oprations relles.

    Section III : La finalisation des travaux par PWCDes sances de revues des travaux effectus par les autres intervenants de la mission sont ralises par le chef de mission afind'identifier d'ventuel point d'audit et de voir l'tat d'avancement des travaux

    Aprs la ralisation des travaux d'audit et le suivi des documents restant en suspens, un rapport est discut avec le management de lasocit dans le but de rajuster les comptes de cette dernire sur la base de constats faits l'issue des travaux et avant l'mission desrapports du commissaire aux comptes.

    Les normes prescrites par le manuel des normes sont entirement respectes par le cabinet PWC, puisque leurs dossiers de travailcomprennent des tapes devant obligatoirement tre compltes par l'auditeur ces tapes rpondent des obligations prvues dans lesnormes ISA.

    ConclusionLa conclusion tire de ce rapport est que le cabinet PWC applique parfaitement les normes ISA, mais il garde toujours des spcificits

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  • concernant leur application.

    Ainsi selon les normes ISA, l'auditeur doit tre chang d'un exercice l'autre, mais pour le cabinet, le mme auditeur s'occupe du mmedossier. Ceci pour des raisons de capitalisation de l'exprience acquise sur les spcificits du dossier et aussi la demande desclients qui souhaitent avoir traiter avec les mmes quipes.

    Ceci pour viter l'audit de se faire justifier chaque fois de gagner sa confiance pour avoir facilement accs aux informationsncessaires, et de faciliter l'accomplissement de la mission de l'auditeur.

    Cette dmarche cherche crer une souplesse et une harmonie dans la relation auditeur et audit, pour qu'il ne soit pas peru autantqu'un inspecteur.

    Table de matires

    BibliographieLe manuel des normes `Audit lgal et contractuel' Norme ISA

    Relation auditeur - audit de Genevive Krebs, dition AFNOR (cyberlibris)

    Webographie

    http://www.pwc.com

    http://www.procomptable.com

    Annexes

    ANNEXE 1 : Etude de la structure du personnelJ'ai labor et distribu un questionnaire au personnel du cabinet en vue de mesurer leur satisfaction concernant le salaire, l'volution ausein du cabinet...

    Puis j'ai procd un tri par des tableaux croiss dont les rsultats sont les suivants :

    Questionnaire : Satisfaction du personnel du cabinet

    Pour identifier votre niveau de satisfaction salariale, nous avons labor ce questionnaire anonyme.

    Vous tes pri de le remplir

    Merci pour votre collaboration.

    1. Votre sexe : homme femme

    2. Age : 21-24ans 25-28ans 29 ans et plus

    3. Votre situation familiale : clibataire mari (e)

    4. Veuillez indiquer votre niveau d'tude gnral : ........................................................................

    Vos diplmes (veuillez indiquer l'cole) : .....................................................................................

    .............................................................................................................................................................

    5. Vous tes : salari permanent salari saisonnier

    6. Quel est votre poste de travail : Manager Senior Junior

    7. Le nombre d'anne d'exprience : 1-4ans 4-8ans 8 ans et plus

    8. Avez-vous suivi des formations relatives votre poste ? oui non

    9. Si oui, taient elles assures ? au sein du cabinet l'externe

    10. Le nombre de missions effectues par an : - 12 missions + 12 missions

    11. Quels sont les secteurs d'activits sur lequel vous vous spcialisez ?

    Banque Assurance Industrie BTP Service

    12. Quel type de socits vous auditez principalement ?

    SA SARL SNC Personne physique

    13. A quel type de socit appartiennent -elles ?

    Socit familiale Multinationale

    14. Par quel moyen vous vous dplacez lors des missions ? ...............................................

    15. Les dplacements sont ils rmunrs ? oui non

    16. Dterminez votre rmunration mensuelle nette :

    7000-9000dhs 9000-12000 plus de 12000

    17. tes-vous satisfait de votre salaire ? oui non

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  • 18. Sinon, o rside le problme ? ................................................................................................

    19. tes-vous satisfait des formations ralises ? oui non

    20. tes-vous satisfait de votre volution au sein du cabinet ? oui non

    21. tes-vous satisfait de votre encadrement ? oui non

    22. Comment trouvez-vous la charge de travail au cabinet ? ............................................................

    Merci

    Tri par sexe et poste

    Malgr une certaine quit entre les deux sexes, on peut constater que la majorit des managers sont des hommes. Cette situationserait d au fait la majorit des managers sont non maris et peuvent toujours suivre le rythme soutenu de la charge de travail au cabinet.Alors que les femmes qui se marient au bout de 2 3 ans d'expriences en audit n'arrivent plus suivre la cadence de travail surtoutavec les nouvelles obligations familiales.

    Tri par situation familiale et sexe

    La majorit du personnel est clibataire. Quant aux personnes maries, ils signalent tre amenes faire des sacrifices au dpourvu deleur vie prive.

    Tri par ge et poste

    La pyramide des ges est trs jeune ; principalement entre 21 24 ans. Cette situation est explique par le nombre d'auditeurs juniorsreprsentant 18 personnes sur 33 personnes au total soit 55%.

    Tri par niveau d'tude et salaire

    La plupart du personnel possde un niveau de bac +4, certains prparent leur cycle d'expertise comptable en parallle.

    La rmunration se fait sur la base du type du diplme (diplme marocain et diplme tranger) et du niveau d'tude (Bac+4, Bac+5...)

    Tri par poste de travail et secteur d'activit

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  • Le cabinet s'organise autour de diffrents secteurs d'activits de manire proportionnelle. Un auditeur doit aborder les problmatiquesdes diffrents secteurs, et ne se spcialise pas dans un seul secteur.

    Type de socit audit- type de socit

    La majorit des entreprises audites par le cabinet sont soit des socits familiales soit des multinationales, quelques soit leurs formesjuridiques.

    Satisfaction salariale

    Certains salaris ne sont pas satisfaits du salaire qu'ils touchent. Ces derniers estiment qu'il n'est pas proportionnel la charge de travailralise

    Satisfaction de la formation au sein du cabinet

    La majorit du personnel du cabinet est satisfait des formations ralises au sein de ce dernier.

    Satisfaction de l'volution au sein du cabinet

    Plus de la moiti du personnel du cabinet est satisfait de son volution au sein du cabinet.

    Satisfaction de l'encadrement au sein du cabinet

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  • Une grande partie du personnel du cabinet est satisfaite de l'encadrement de son suprieur hirarchique.

    ANNEXE 2 : Tests raliss lors des travaux d'audit Rcapitulatif des factures

    Mois Projet fournisseurs NFacture Datefacture

    objet MHT TVA MTTC

    JANVIERAGADIR B3-10

    INJAZSAKANE 061/2008 30/01/2008

    SITUATION N3DES TRAVAUXEXECUTES 385421 770834 4625058,

    FVRIERAGADIR B3-11

    INJAZSAKANE 057/2008 02/02/2008

    SITUATION N3DES TRAVAUXEXECUTES 1541666 308333 1850000

    MARSAGADIR B3-12

    ACTDevelopment 57 01/03/2008

    Mise dispositionpersonnel 4208,60 841,72 5050,32

    AVRILAGADIR B3-13

    ACTDevelopment 58 02/04/2008

    Mise dispositionpersonnel 4208,60 841,72 5050,32

    MAIAGADIR B3-14

    ACTDevelopment 59 03/05/2008

    Mise dispositionpersonnel Bureaude vente 30135,92 6027,18 36163,10

    JUINAGADIR B3-15 IBS 0019/2008 04/06/2008

    STABILITE,SEISME...... 300000,0 12000,0 72000,00

    JUILLETAGADIR B3-16

    LEADERRESEAUX 200806022 05/07/2008

    Electrificationextrieure 325634,6 65126,9 390761,6

    AOTAGADIR B3-17

    LEADERRESEAUX 200806023 06/08/2008

    Electrificationextrieure 166464,3 33 292 199757,2

    SEPTEMBREMARRAKECH"ILOT6"

    LEADERRESEAUX 200806024 07/09/2008

    Electrificationextrieure 159387,6 31877,5 191265,20

    OCTOBREAGADIR B3-10

    SCOTECMAROC 8240141/SOMAA 08/010/2008 HONORAIRES 18000,00 3600,00 21600,00

    NOVEMBREAGADIR B3-10 BESTIMO 34/08 09/11/2008

    PRESTATIONSCOMMERCIALES 22500,00 4500,00 27000,00

    Test de ralit et exhaustivit des ventes

    Test de vente de prestation au 31.12 .2008

    NFacture

    Nomclient Objet de la facture

    Date dela facture

    MontantTTC surfacture

    MontantHT surfacture

    Montantcomptabilis Ecart Commentaire

    1 XFRAIS DE GESTIONprojet 31/03/2008 500000 416666 416 666,66 -

    2 XFRAIS DE GESTIONprojet 31/03/2008 100000 833333 833 333,33 -

    Total tester 1249 999 Total des Ventes de prestation Scope

    Test sur les immobilisations

    Test des acquisitions des immobilisations

    Compte Montant Date facture Fournisseur Libell Facture N Facture HT Ecart N BC2355000 10 000 04/12/2008 MICRO STAR ACHAT PC HP 8019749 10 000 - NON2355000 4 500 12/09/2008 STS ACHAT UNITE CENTRALE FA00090 4 500 - NON2355000 1 990 17/07/2008 STS ACHAT RESEAU+USB HP FA00070 1 990 - NON2355000 7 200 11/06/2008 STS ACHAT PC HP FA00063 7 200 - NON NON

    Total Tester 23690 Total des Acquisition 23690 Scope 100%

    Elaboration des LEADS

    LEAD PROOF BILAN

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  • En KDHS

    Actif 2008 2007 2006 Var Passif 2008 2007 2006 VarImmobilisations 367 369 202 - 2 Capitaux 38755 90526 51194 - 51771

    Stocks314560 224 872 48995 89688

    Ecart deconversion - 8571 1154 - 8571

    Frs 6 403 16 731 10000-

    10328 Frs 11424 21055 - - 9631

    Etat29485 9 036 20 20449 Etat 6939 631 - 6308

    Dbiteurs 3 107 10 - 104 Client 89790 62780 - 27010 Crditeurs 5 Comptes dergul Actif 75 55 55 20

    Comptes dergul Passif 12 6 - 6

    Trsorerie18279 42 835 397

    -24556 Trsorerie 194309 110466 7331 83843

    Total369172 294 004 59679 75168 Total 341234 294034 59679 47200

    Rsultat Bilan 27 938 - 30 -

    Rsultat CPC 27 936 - 30 -

    Ecart 2 0 - LEAD PROOF CPCEn KDHS

    Charges 31/12/2008 2007 2006 Var Produits 31/12/2008 31/12/2007 31/12/2006 VarAchatsConsomms 98 841

    164262 46567 - 65421

    Produitsd'exploitations 157542 175646 48 783 126 864

    ChargesExternes 9 793

    8725 125 1068 TCE 455 230 86

    Impots & Taxes 4 8472021 2177 2826 -

    D.E.A 6 4 - 3 Chargesd'exploitation 113488

    175012 48869 - 61524

    Produitsd'exploitations 157997 175877 48 869

    ChargesFinancires 10116 895 126 9221

    ProduitsFinanciers 16 - -

    Charges noncourantes 477 - - 477

    Produits Noncourants 40 - -

    IS 6027

    Total Charges 130108175907 48995 - 45799 Total Produits 158053 175877 48 869 127007,6902

    Rsultat CPC 27945 - 30 - 126 Rsultat Bilan 27936 - 30 - Ecart 9 - 0

    Tableau sur les immobilisations:

    Tableau d'immobilisations brutes

    Compte Intitul Solde 2007 Acquisition CessionSolde2008

    Immobilisationscorporelles

    235200 MATERIEL DE BUREAU 11 11235500 MATERIEL INFORMATIQUE 10 10

    Immobilisationsfinancires

    258100ACTIONS BANQUEPOPULAIRE 353 353

    TOTAL 373

    TOTAL BG2008 367

    ECART 6 Tableau d'amortissement

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  • compte intitul Solde 2007 Dotation Reprise Solde 2008283500 AMORT MOB, MATERIEL - 2 6 4

    283550AMORT DU MATERIEL

    INFORMATIQUE - 2 - 2 Total 3 TOTAL BG 2008 -9 ECART 12 Validation Dotation

    compte intitulSolde2007 Acquisition Cession

    Base decalculdotation

    tauxd'amortissement

    Dotationcalcule

    Dotationcomptabilise Ecart

    619350DEA DES IMMOB,MAT DE BUREAU 4 4 25% 1 6 -5

    Test de chque

    Date Pice Fournisseurs Montant09/04/2008 FACTURE N098916 Municipalit Tanger 2252013/03/2008 BULLETIN DE VERSEMENT N090408 Direction de la protection civile 16270018/08/2008 BON N 35601620 WIRAKAT ALMAARIFA 8000 total test 193220 total rel 194529,75 Ecart -1309,75 Scope 99%

    Test de validation des clients et comptes rattachs

    Client Montant del'avance ObjetN reuJOUD

    INVESTreu de labanque Date

    SignatureJoudinvest

    Signaturedu client

    STE IMOBILIEREOMARIATE 145 000,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 48 OK 18/01/2008 OK NON

    MOHAMMEDBENNANI 525 000,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 19 OK 30/09/2008 OK OK

    MOHAMMEDLOUDIYI 525 000,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 17 OK 30/09/2008 OK OK

    ABDELOUAHEDDEROUICHE 284 850,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 9 OK 30/09/2008 OK OK

    ABDELATIFRASSIANE

    200000272500

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 20 OK 30/09/2008 OK OK

    MOHAMMEDBERRADA 472 500,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 24 OK 04/11/2008 OK OK

    MOUIMI 420 000,00 acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 39 OK 03/11/2008 OK OK

    HASSANEATLAS 330 750,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 45 OK 03/11/2008 OK OK

    LOUDIYI ATOUFIK 525 000,00 acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 37 OK 03/11/2008 OK OK

    KHALIDELBOURY 275 000,00

    acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 33 OK 03/11/2008 OK OK

    LOUDIYI ATOUFIK 525 000,00 acquisition d'un lot de terrainprogramme Sakane assilah 40 OK 08/11/2008 OK OK

    total 2208 total 2007 var

    total 2 833100,00 42903000 38964900 3938100 scope 72%

    Test de ralit, d'exhaustivit et de cut-off du chiffre d'affaires

    N date facture N BL N donneur d'ordre Nom du donneur d'ordre Montant HT validationFV0801082 31/12/2008 805057 CLT0598 TELECOM PARTNERS 2 700 000,00 OKFV0805127 28/05/2008 805004 CLT0598 TELECOM PARTNERS 1 607 685,00 OKFV0803134 31/03/2008 803149 CLT0489 MEGATEL 1 407 928,50 okFV0804161 CC00010 SIGMATEL 1 104 714,00 FV0802071 25/02/2008 802046 CLT0176 NEURONES TECHNOLOGIE 972 477,00 OKFV0811131 27/11/2008 811157 CLT0098 SCHNEIDER ELECTRIC MAROC 749 107,00 OKAV0802006 18/02/2008 711085 CLT0227 INTELCOM 972 477,00 OKAV0801009 31/01/2008 801063 CLT10226 ATELIERS HAMMA 576 000,00 OK

    AV0810014 13/10/2008 810072 CLT0300 ELECTRO TECHNIQUE 360 000,00 OK

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  • Identification et validation des variations entre la balance gnrale dfinitive et la balance audite suite aux ajustements

    Nom

    Balance rcapitulatif balance dfinitiveSolde au -Dbit

    Solde au -Crdit Diffrence

    Solde au -Dbit

    Solde au -Crdit Diffrence Ecart

    CAPITAL SOCIAL 3 650000 3 650,00 3650 000 3 650,00 -RESERVE LEGALE 365000 365,00 365 000 365,00 -REPORT A NOUVEAU (SOLDECREDIT) 2 855399 2 855,40 2855 399 2 855,40 -RESULTAT (BENEFICE) - - -RESULTAT NET (SOLDEDEBITEUR) - - -PROV POUR GARANTIESDONNEES CL 81000 81,00 81 000,00 81,00 -PROV POUR GARANTIES OPS - - -PROV POUR MAINTE CONTART 1 700 000 1 700,00 1700 000 1 700,00 -PROV POUR CONGES PAYESSIMIL 152 515 152,52 152 515,58 152,52 -PROV POUR CONGES OPS - - -CHARGE A REPARTIR/PLUSEXERCIC 369400 - 369,40 369400 - 369,40 -CHARGE A REPARTIR/CITEINTERNE 28000 - 28,00 28000 - 28,00 -IMM RECH & DEV. : LOGICIELS 255881 - 255,88 255881 - 255,88 -

    * 1 http://www.pwc.com/extweb/service.nsf/docid/4edb21f7c02c008d8525718f0024f9e6

    * 2 Paragraphe 4, du Manuel des normes, Audit lgal et contractuel, Norme ISA 1220

    * 3 http://www.procomptable.com

    * 4 Le manuel des normes ` Audit lgal et contractuel'

    * 5 Le manuel des normes ` Audit lgal et contractuel' Norme ISA 2300

    * 6 Le manuel des normes ` Audit lgal et contractuel' Norme ISA 1240

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