RAPPORT ANNUEL 1985/1986 - afdb.org
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GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT
RAPPORT ANNUEL 1985/1986
DEPARTEMENT DE L’EVALUATION DES OPERATIONS (OPEV)
27 mars 1987
TABLE DES ilÀTIERES
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A .
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P r e u i è r e p a r t i envâft r itl ô" 4 *, p_fg_jgt g__9j_1gtl 39--_-.---
^ " !S__ff o_g'eggSde travai l - de 1985
B. Le programne de traval l de 1986___. , - ,4 . - - - - : - - -
l ' )euxièue part ie ;Examen des études d' évaluat ion r-$l:esqeclllgSs!g$-"9
Rap por t s I I i"glggllgl_{ " *I919t g:1i*99--e5 lglg9 ll"-"=îtgt;E-I{{-q_9!pl:%iF-?-q-".99f-1ig*rSS*io-u-q-eq.EI.Hgs-f EIvrF--iesÉ-tèL'expérlence cunulée du Groupê ' ié fa BAD en m'-t lère
Ë-Ëç';mim-a-* p' ôjôr ", -{q{*{p-gE
Agricul tureIndustr leTransportsEqulpements col lect l fsEducat ion et santé
Svnthèse des questtons et des reconnanâat lons-__----
E tudes d 'éva lua t ion ré t rospec t ive en l -985Etudes dtévaluat lon rétrospect lve en 1986Etudes d'évaluat ion rétrospect lve eoumiges aux eonsel ls
énunérées par année l-962-1986 lnclusRapports d'évaluat ion rétrospect ive soumls au Coasel l
par Ëecteur : l -982*1986itésumé des l-eçons et recomandations eoncêfnant 1têvaluatlon
des proJets : et r0esures de suivi pr isee ou à ptendre
c .
Ànnexeg
1 .2 .3 ,
4849
51
5 6
58
4 ,
5 .
( 1 )
PREFACE
j-, Le ïapport annue-L sur les act lv l- tés d'évaluat lon et l fexanen des
étur i les d'éval-uatJ-nn 1-98511986 a pour but 11'exposet et de passer en tevue 1es
u"t t .y1ç5e rte la niv: is ion de l tEvaluat i j -on, Département de la Pl-anif lcat lon et
de la Recherehe < lu Groupe de la BAD, pour les années 1985 e t 1986 ' Le rappor t
fourni t aussi dans une certaine nesure, un rnoyeû pour la Banque rendre conpte
de ses opôra t l .nns aux ac t ionna i res du Groupe de la BAD e t aux donateurs .
2. f ,e r :apport sui t l .a mêne présentat lon que celui de l -984 qui retraçait
l révol 'ut fon de l"a fonct lon d'évaluat ion rétrospect ive au eein du Groupe de 1a
BÀD Jusqu'à ses débuts en LïBT et exanlnaJ,t les fonct ions et reeponsabl l i tég
r le la D lv is i .on f le 1 . 'éva l .ua t lon e t tous ies rappor ts d 'éva- luaÈion r6 t rospec t lve
prrbl iés jusqu,à la f in de L984, secteur par secteur, conforménent âux
prlnclpaux star les du cycle des projets. Ies progrès accomplls dans 1e doma-tne
des études spéclales ont 6galenent fai t l robjet d 'un examen.
3. La preml.ère part ie du rapport annuel de L985/L986 présente les
programmes de traval l - de la Divis lon de l 'Evaluat lon pour ces deux années là.
La deuxième part le examine les r ."rpports d'évaluat lon rétrospect lve de projet
dont le Consel l a été. salsl en 1985 et 1.986. Les rapports sont analysés un par
ulr , aectêur paf secteur. Les réal isat lons et les problènes rencontrés dans
ltexécut ion , : le chaque proJet sont examinés et des conclusions sont t i rées. I l "
e.gt fai t état <!es progrès accomplis à ce Jour: sur I e plan des 6tudee
spée la les . Pu i .s on examlne, sec teur par sec teur , 1 'expér lence accu lou lée par 1e
Groupe de 1,a BAD en matière d'évaluat lon rétrospect ive au 4ours des clnq
années LgBz. -1.986, chaque secteur étant étudté en fonctlon des princlpaux
aspeets du cycle des proJeta. L 'analyse sert de base à 1a formulat ion des
pol i - t {ques, procédures et prat lques concernant l -es prêts sector iels et of fre
un polnt r le dépar: t pour 1e dtalogue entre 1a direct lon du Groupe de la BAD et
1es Gouvern€ments des pays membres. Le rapport de 1985/1986 se termine pâr une
synthèse des quest lons et des recomroarrdat l"ons à sulvre, à 1ntégrer dans la
concept lon et 1 'exécut lon des ûOuveaux proJeta ; y conpris un apport au
eontenu des sémtnaires de fornat lon technlques.
( 1 1 )
RISUME
1- . Le r :appor t annue l couvre les ac t lv i tés de la D iv is ion de l rEva lua t lon
pour 1es ann6Ês 198-5 et 1986" Ârr eours de ces deux années, le personnel de la
D jv ig lon a f r i t des é tudee d 'éva lua t lon ré t rospec t lve des pro je ts ' pub l ié des
étu . ies spéc ia tes e t des rappor ts pér iod lques e t exécuté des tâeheg spéc la les
pc t t r le codpte de la D l rec t i ion .
2 . Fn I -985, sur v ing t hu i t p roJe ts à 1 ré tuc le , hu i t on t é t6 p résenté au
Conse l l . En 1986, des v l .ng t hu j t p roJe ts t ra l tés , hu l t on t é té p résentés au
Conse l | . S l 1 'on cons ldère . le nombre <re prô je ts dont le Conee l l a é té sa is l ,
11. s 'agl t là d'un succès modeste. Ceci s 'expLLque par l taJournenent des études
t lp cerLa lns r r r :o le ts dans l ta t ten te rJes râppor : ts c l 'achèvement rJe pro ie t (RAP)
et les retards enreglstrés parfols au nJ.veau de la trar luct lon et de 1a
reproduc t ion . te personne l responsab le de 1réva lua t lon s res t v t l con f le r , de
temps â autre, des tâches autreg que ce1les d'évaluat ion; et i l a parfols étfr
di f f tct le de réunlr en temps voulu le Comlté de Programatlon. Des problèmes
ont éga lemênt surg i lo rsqu '11 a fa l lu fa l re inscr l re l .es é tudes d 'éva lua t lon à
- ' l 'ordre clu Jour du Comtté dee Opérat lons en deg périodes où d'autres trâvaux
étalent Jrrgés plus pressants. En raison de 1' lnsuff isance des fonds Provenant
de Èources i-nterrres et bl latéra- les, et de leur mlse à dlsposit lon à un nonent
lnopportun, des retarde ont été accusés au nlveau du recrutement de
consul. tants pour de* nissions d'évaluat ion ex-post.
3 . Cinq projets agrleoles ont été présentés au Consel l au cours des deux
années 1985 e t 1986, dont ,âeux l lgnes i le c réd i t à des Eanquee na t lona les de
dével-oppexnent, un projet de développement rural lntégré, oo proJet de
pro, luct ion de thé et un proJet de productton de r iz l r r lgé. Sur cette pérlode
de clerrx ans, t rols proJets ln<lustr lel-s ont été présentés au Conael l , tous des
f- ignes de crédLt ouvertes pour 1'élaborat ion de sous*projets de falble et
moyenne dimenslon. Le Consel l a été salsl de sept projets de transporta, dont
elnq êtalent des proJets rout iers et deux dee proJets dtaménagenent
aéroportualre, Dans le secteur des équlpements col1-ect l fs ' deux proJets ont
été éval-uésr s 'aglssant dans Les deux caé d'une amêl lorat ion de
1 ' a p p r o v l g i o n n e m e n t e n e a u p o t a b l e . E n 1 9 8 5 / l - 9 8 6 , 1 e C o n s e l l n 1 a é t é a a l s l
d 'a,rcun rapport d ' évaluat i on rétrospeet l ve de proJets mls en oeuvr:e t lans Le
aecteur t le 1 '6 r luca t lon e t de .La santé .
( 1 r i )
4. L 'é tude spéc la Ie des prob lènes de f inancement des co t ts récur ren ts
<lans les pâys membres r:égi .onaux a 6té présentée au Consel l en 1986. Dtautres
études spéeïal .es sont en eours. tJne nouvel le étude concernant les l lgnes de
crédlt âux Organl-smes nât iorraux de f inancement du d6veloppement sera
ent r :epr i r ;e en 1987,
5 , Sur la. pér iode cle cl-nq âïrs l -982-1986, le Consel l a été saisl de
t ten te neuf rappor ts d '6va lua t lon ré t rospeet lve représentan t so ixante
p16ts - -p r6 je ts e t p r :ê ts s t rpJ :1 .émenta i res . Les so j ,xan te p rê ts se répar t i ssent par
sec teur coome su i t : agr icu l tu re (16) ; lndusr r le ( .J2) ; t ranspor ts (L7) i
6qu- {pements co l lec t i f s ( L2) e t édu<.aE ion e t sar r té (3 ) . 0n no tera que toue 1es
prêts au secteur de l - ' indr istr ie 6va1ués à ce Jour ont é-t ,é des l lgnes de
crédit . Les aet iv l tés d'évaluat ion peuvent être placées dans 1e contexte de
-l 'ensemhle r les prêts octroyés par 1e Groupe de la BAD au cours de Ia pérlode
1"967/1986 (vo i r l -e tab lear r 4 .1 ) . Le sys tème de déc la ra t lon par sec teur adopté
dans le rapport annuel -1.98/r de la Divis lon de " l 'Eval-uat ion a été naintenu. La
couvertrrae des données par secteur devlendra progresslvement plus exhaust ive,
f , :urnissant alnsl La base de la formulat ion des pol i t lques réglssant les prêts
sec tor le ls , A l -a f ln c le chaque rappor t sec tor le l f igure une l l s te de
recomoandatton concernânt les nouvel les meaures à prendre.
6. 0n présente alors une synthèse des pr inclpales quest i lons et
recommandatlons découlant des travaux d'évaluat ion des proJets, dont les
prlrrc lparrx poLnts vlsés sont 1es suivants :
Nécessité dtanél iorer les études économlques et eector iel . les sur
le.squeJ-les s 'appuleront 1es décislons coneernant les projets et
les progrânmes qui seront adoptée par la Dlrect lon du Groupe de
La BAD. Les projets et lee Programnes dolvent aussl falre
1-r objet d 'études concernant une mel l- leure préparat iou, plus
détal l . l -ée, notaoment en ce qul concerne la gest lon, Ia pol i . t ique
à su iv re e t les ins t i tu t ions .
Besoin de sinpl l f ler davantage la procédure de tral tenent des
documents de proJet depuls le etade de 1a nlsslon d'évaluat ion
Jusqu 'à la p résenta t : ion du rapporE au Conse l l .
a )
b )
c )
d )
e )
s)
h )
( l v )
Néeess i fé d 'amél io rer le su lv i par la Banque des conc- lus i -ons qu i
se clégagent des râpports t l 'évaluat l 'on ex-post des projets '
N6r :ess i t6 de reconnaî t re que le succès des proJets dépend
run iq r rpmunt r le 1 'ex i -s tence d 'un env i ronnement écongmique e t
I n,r t . I t ' r r l l l .onne I favorable "
Le per*onnel- spéclal lsé et expérinenté du Groupe de l"a BAD dott
âs.qur: Ê1' une supervision technique plus fréquente des proJets.
f ) La srrporv: i -s lon techni,que et l . 'évaluat ion ex-post dee proJets
seraient 'davantage facl l - . , tées gl 1 'on amél lorai t le système de
classement des dossiere du Groupe de la BAD et étendait le
pr . \ f l rammê r l ' i n fo r rna t lsa t lOn au dêca issement deS prê tS.
Le problème des retarcls qul se produisent parfois entre 1e
m()ment où 1e consell approuve 1ee Projets et le moment où ils
sont mls en vlgueur est un sujet de préoccupat ion'
Les projets et les orgânes drexécut lon dee proJet6 devralent
être fortement soutênus par 1r emprunteur, durant la pérlode
ln i t ia le d ' l .nves t issement ' en ce qu l concerne les obJec t t fs du
proJet, à l -a fourni ture dr lntrants, à la fourni ture' en tempg
vouln, du f lnancement local convenu et aux prestat ions
comp 1-énentaires.
r ) Le problèrne
ternlnée l-a
1 ' l mpor tance
et clu cott
réal- isat ion
d e s p r o j e t s '
On note que
na ig qu ' 11 s
lnst l tutJ.ons
r lu fonct ionnenent goutenu des projetst une foLs
période ini t ia le d' lnvest issement, revêt aussi de
tlu polnt de vue du financenent des cotte rêettl.rents
cle renouvell-enent du capital, alnei que de la
des avantage6 et du taux de rentabllité économlque
prévus au noment de 1'évaluat ion'
eertalns proJeEs sont technlquement bl en pourvus
connâissent parfols des problèmes au niveau des
et de . la ges t ion .
j )
( v )
k) Les pro je ts do j ven t ê t re so igneusement conçus , ê t des
dtspos l t lons adéqr ra tes do lvent ê t re p r ises pour la c réa t lon
d ' lns t i tu t ions , no tâmment sur le pLan de l -a fo rmat lon .
1.) 11- convl-endral t , le cas échéant, dt lnpl lquer le plus vl te
posslble Les bénéf ic laires des proJets et leurs dir lgeants
locaux dans le cYc le de Pro je t
' ' ' r . ' : . , i + ! È i ê ; . . t r e : l
'-.*{ "fËÉËËP'
'
* l -
Premi èr:e uar t je : Eva luaL j .on dea.-- . - -- ' -
en 1985-1986
A . * If ?llfiraqq9- {e !-'eYg-l
Etu t les d ' éva lua t io r r ré t rospec t ive
l n l I o n rôç r r4mmÉ ânn1ê l r Jec 6 t r r r l ps d t6va l . ua t , l on 16 t r r l spee t l ve e8 t un
programme g1 i .ssant eomposé r. le pr:o jets reportés de 1'année préc6dente auxquel 's
vlenuent s! ajr : ruter, 1e ca,s échéant, de nouveaux proJets. Le programle de
travai l ânnuei r te 1985 conprenatt 28 projets : 1-6 projets reportés de 1984, I
p ro je ts a jou tés a t r c l6but de l -985 e t 4 au t res pro je ts adoptés en cours d 'année
(Annexe t ) . De ees 28 pro je fs , I ava len t é tê p résentés au Conse i l dès la f in
t le 1985, 2 aua len t é té suppr imés < lu p rogramme de t rava i l (Egvpte : p ro je t de
f ormation prof esslonnel. l ,e , et Maurl tani e : pro jet r lz de Boghé et I avaient
a t te in t d lvers s tades de t ra i tenent e t deva len t ê t re repor tée en 1986 '
1 . . 0 2 On peut âvancer cl lverses ralsons pnur exp-l lquer le fai t que
re la t i vement pe t t d 'ô tudes d 'éva lua t ion ré t rospec t ive de pra je ts on t é té
présentées ,au Cor rse" i l en f985. Les t ravaux r :e la t ï - fs à cer ta j .ns p ro je ts o r r t
é tê a jo r : rnés eû a t tendant que 1e rappor t d 'achèvement de pro je t so i t pub l ié '
Des contrâlntes étalent apparues au niveau de la traduct ion, arrxquel l -es on a
pu remérl ier c lans t tne certaine mesure, vers 1a f in de ] tannée, en faisant appel
à des serv ices r le t laduc t j .on ex ternes . Le personne l de la D iv is i -on s 'es t vu
conf ié de temps à au t re des tâches au t res que ce l les d 'éva lua t ion ' 11 a 6 té
d i f f i c l le à La f r : j s r l f t r rgan iser en tan t que de beso in 1es réun lons du Coml té
de programmat lon e t de fa i re inscr i re les é tudes achevées à l io rd re du jour du
Cornité des. 6pérât ions clu Consei l d 'Admlnlstrat lon. Les fonds provenant à la
fo-ts du groupe de la BAD. et de sources b1lat6ra1es ayant été lnsuff isants et
n 'ayant pas é té fourn ls €n temps vou lu , Ie recru tement de consu l - tan ts pour les
é t u d e s d ' é v a l u a t l o n r é t r o s p e c t i v e a ê - t é r e t a r d ê .
pro" ie ts e t âu t res ae t iv l tésa - _ _ : _ _ . - - ^
de 1985
" 2 *
Btudes sp6r : i a l es e1. r ' . ' : r I ' 'po i : ts pér : iod iques
t " 03 Le, pr:ogr:amrne <le tr :aval l t1e 19[t5r conprenalt 4 études sp6ci ales et 4
r a p p o r t s p é r ' i r : d i q u e s , I , e s é t r . r r l e s s p é c . î a l e s é t a i e n t l e s s u i v a n t e s :
1 'é I r r rJç r i r r t i t r r . l . r i r : "Prob l -èmes de f inancement des co t ts récur ren ts
,1ans Les pâys membres réglnnaux, et le r$le posslble du groupe
dc 1 . ,1 g . r r r r ; r re " ' , n é té e f fec tuée en 1982 pour examiner l .e p rob lème
r J r r f i n a r r c . : e n e n t d e s c o t t s d ' e x p l o l t a t i o n e t r l r e n t r e t i e n d e s
pr , ' - iÉ r t s impJ-ant6s qr r i ava ien t dépassé Ieur pér i r :de in i t ia l e
r l ' i nves t . i ssement , L ' i . : tu r le a é té e f fec tuée à Maur ice , au
[ l )Lsw.lrr ; r en Tarrzanie et âu K6nya ; on s 'appui erâ sul :
I 'expér l .ence de ce t r . , xerc ice pour fo rmuler des d i rec t i ves
concer l r . / rn t Le f inaneement t leg eo t ts réeur ren ts par :1e groupe
r ' l* ' I a n^l)
i î . ) l ,a p ropos i t ion re la t j . ve à une é tude d 'éva lua t ion aur l * rs
re ta r r l s encourus dans I 'exéCut ion des pro je ts ava i t pcJur
objeet I f une anal-yse approf ondte des câuses et des
réper :e r :ss ions des r :e ta rds sur la mise en oeuvre des pro je ts
f i r r i rncês pa r 1e groupe c le la BAD ; i I s 'ag lssa i t de fa i r :e des
recommanrla.t j ons at l r ;u jet des mesures à prendre pot lr y remédier
de façon à amél io re r J -a cadence d 'exéeut ion des proJets (e t de
n ln lmlser a . [ns i les dépassements de 1 'enve loppe budgéta . t re e t
les r l : ta r r l s r lans 1a réaJ- isa t lon des âvântages d t t p roJe t ) .
L 'é t -u r lc . s re r v i ra i t de base à 1a nod i f i ca t ion poss i l i l e des
pn'Li . t - iq$Ès" procédutes et prat lques opérat lonnel les du groupe de
-ta BAD.
t jne étr .rc le sur lee dlrect ives de la BAD sur le contrôl-e sulvl et
"L 'é ' ra j -ua t ion r les p ro je ts a ê tê in t t iée en janv le r 1985 ' Ia
qrrest ion centrale étant de déterniner . le me j . l leur moyen
d', i .ner:r :pr.rrer les besoins et les paramètres de contr6]-e suivl et
d 'év i l l -ua t ion aux nouveaux rappor ts d 'éva lua t ion des pro je ts .
L 'é l -abora t lon de ce t te é tude n tes t pas encore achevée
i , i L )
j )
i v ) [ , ' é t r r r l e
Les
t r i )
opdr :a tLonne l . les du grouPe de
d'érra l . r-rat i orr t lu grouPe de
c0n-cer :nânt -Les asPects du
r e n f o r c e r e t / o u s i m P l i f t e r .
fonc t ionr i e t resPonsab i l i tés
a . i ns i q t te c lee d ivers tYPes de
- ta l l t r . ' Ls ion .
r l r ra t re râppor t .s pér iod iques pub l iés é ta len t les su ivants : '
l ,e progï^amrne de traval l de l -a Divis ion de 1révaluat ion a été \
p rbsenté âu Conse l l en Janv le r 1985. Out re qu ' l l exposa i [ dans j
leurs g r :anr les l lgnes les p ro je ts e t les é tudes prévr rs en 1985 '
le Dr r ) ! ) r ,âmlne examinaJ , t auss i - les Cr i tè res de sé- l -oe t ion des
pr() jets d e v a n t f a i r e l ' o b j e t d ' é t u d e s d ' 6 v a ' l u a t j , o n
ré t rospec t ive . Vers la f tn de 1985, l -es t ravaux reLat i f s au
progrâmme de travai l - et au budget de 1986 ont comnenc6'
Le rapport annuel de I9B4 sur l -es act lv l- tés d'évaltrat ion et
l_,examen r les études d'évaluat lon étatt le prenier en son Senre
et non seu lement t ra i ta l t des ac t iv i tés de La D iv is ion de
' . l réva lua t ion en 1984 na is encore remonta l t à 1 'année 1977 où ces
trâvaux ont commencé. Le rapport anrruel a fai t l robjet de divers
projet durant 1 'année 1985 et a êté présenté au consel l au
début de 1986
ta prenière sér ie 1es extrai ts anaiyt iques cles raPports c)nt étê
publ iés pour 1a prenlère fois en novembre 1984' Les travaux
relat i fs à une deuxlème sérle ont comne'ncé en 1985' 1e premier
proJet ayant été achevé au quatr lène tr lnestre de 1'année'
Le vo lume I de ' Ia
Concordance des rapports d' évaluat ion
rétrospecLtve a êté approuvé pâr le Consei l en novembre 1985.
Pour 20 proJers, 11 y a 92 "quest lons" renvoyant à L2 grands
t i t r :es de travârlx, conprenant notamment leg phases.du cycle de
p j -an i f l ca t ion des proJets ; les aspec ts ins t l tu t lonne ls ,
économiques e t f inanc ie rs I les p rê ts e t 1es accords de prê t !
et las secteurs. Un deuxième volume est en préparat lon'
- 3 -
i n t i t u l é e s Y s t è m e d 'éva lua t ion des ac t i v i t6s
1a BAD renseigne sur le sYstème
1a BAD et fa i t des suggest lons
t r a v a i l d ' é v a l u a t i o n q u ' i l . f a u t
On y t rouve une descr lP t ion des
de La D lv is ion de 1 ' / : va l r ta t ion ,
t rava i l 11 'éva lua t lon e f -1ec tués par '
L . 0 4
i )
i t
i v )
- 4 -
Autr+:g travaux
1 . 0 5 Drr ran t .1 . 'année 1985, J .es membres de 1a D lv ls lon de l rEva lua t jon on t
a s s l s t é o u p a r t l c i p é à d i v e r s + r s r é u n j o n s , c o n f é r e n c e s e t c o l . l o q u e s . C i t o n s
e n t ' r e a u t r e s l - a r é t t n i o u d r t 0 A 0 t i e I r O C D E ( P a r i s ) ; l a c o n f é r e n c e s u r î 1 e s
p o - l i t i q u e ç " m é t h o d e s e t p r o e é r l u r e . e d e p r i v a t i s a t i o n ( M a n i 1 l e ) ; l a n é a n c e
ç r â ; i n l n a i r s ' i L ; , , : a , - ' - : i ' ; e l i - - r - : : : i - e e t i - c I l f i e r g * n 1 s é c o n j . j . : r t e e e r t P â : L e
FMj - r h La I 'A ( jB nakar ) ; 1a c r . 'n fé rence Êur les po l i t lques e t perspec t ives
c l ' i .nves t i ssements é t ra r rgers en Af r ique (Londres) ; 1es Journées d 'é tudes sur
l -a né t t ro r lo log i e r le 1 'éva l .ua t ion (Rorne) i La réunLon du groupe c l 'exper ts de
I ' t tCDE (par ls ) , 1 .a conf6r :ence sur Les po l l t iques e t perspec t lves
d ' inves t issements é f rangers en Af r lq r re (Accra) ; e t l -a conférence sur l -es
r isques de f tnancement pâr les banques e t les iu te rméd ia i res spéc la1- i -sés dans
l e s p a y s e n d é v e l o p p e m e n t ( P a r : 1 s ) '
1 . 0 6 Dtverses notes et r l i vets memoranda ont été rédigés par le personne-L
de la D lv is ion de 1 'Eva- lua t lon en f 9B-5 . C i tons en t re au t res "une propos i t ion
d 'améI io ra t {on t le I Iéva ]ua t lon des per fo rmances par le personne l " I une no te
J n t l t u [ é e " c o l l e c t e d e d o n n é e s p o u r ] - ' 6 v a 1 u a t l o n e t l " e c o n t r ô 1 e s u l v i " ; e t
une analyse concernanl les ' "pr ises de part lc ipat ion" (rédlgée pour le groupe
de t rava l . 1 du progra lnûne opéra t ï -onne1) " '
L . o t Au noubre des travaux i .mpréws effectués e/r 1985, on peut cl ter La
par t l c lpa t lon à l 'éva lua t lon du proJet d 'un sys tème panaf r l ca ln de
document -a t ion e t d t in fo rmat ion ( 'PADIS" ) . La D lv ls lon a égaLernent cont r ibué à
la dé f . ln i t ion dns a t t r ibu t lons du pro je t de subvent ion au Sahe l f inanc6 par
1,USAID. El le a également âppclr tÉ son concoura à une équipe du Generai-
Account ing Qf f tce (E ta ts Unte) . Cet te coopéra t lon a abnut l à la rédac t lon t l ' un
rapport intitut{- "ADB : The Neerl For a rrore Independent Evaluatlon System "
(BAD : l -a nécessité d'un. système dréval-uat lon plus indépendant). Le rapPort
faisal t t rois recommandatl .ons importantes : 1e groupe de la BAD gagnerai t à se
doter d 'un sys tème p lus indépendant pour : 1 'éva lua t ion des pro je ts , des
programmes, t les proe.édures et des opérat ions, le petsonnel de 1'éva. luat lon
rendant compte , pâ f J - ' in te r ruêd la i re du Chef de D iv ls ion ou d 'Un i té r âu
Préslt lent du groupe de Ia BAD ; 11- conviendral t d ' inst i tuer un système de
- 5 ;
srr iv i t les reeommandatlons f ormrr l"ées dane
s 'ass t t re r : que les mesure6 appropr l6es sont
posent et {1! . !e des recommandâtlons sont
J ' 6 v a l . u a t i o n d e v r a i e n t s e r v i r d e p o i n t d e
économique ent"re l -a Direct ion clu groupe de
pays ur :mbres .
l -es rapports d'évaluat ion Pour
pr lses lo rsque des ques t lons ae
fa i tes ; 1es conc lus lons de
dépar t au r l la logue de po l l t lque
la BAD et les gouvernements rles
l .0B t ln meubre de la D iv fs ion de l 'éva lua t ion a 6 té a f fec té , pendant une
pâr t i e d , t l , ' rnnée 1 .985, à Ia tâche d 'é labora t lon des Ternes de té fé rence
d'une éturte sur Ie secteur pr: ivé menée par 1'unl té de dével-oppement et de
recherche du Département de la Planlf lcat lon et de 1a Recherche du grorrpe de
la BAD.
t i . !.g*Pl9e.,-qrsg
6 -
de t rava l l de 1986
Itllsq-4-lé,"-4-ul!ltl--tç-!le-sPtl!i-v.g
I "n9 Le programme do. trsvai l annnel de f986 comprenait 28 pro- iets. Dlx
hu i t p roJe ts on t é té repor : tés à nouveau de 1985. A cea proJets snnt venus
r?a io r r te r g au t res pro je ts au début de 1986. Un d lx lène proJet a égé aJouté en
co l r l s rJ ' , , lnn6e (annexe D. l ) *s 28 pro je ts , 9 ava ien t é té p résentén nu Conee l l
à la f ln r le lgg6 e t 1g se Lrouva len t à d ivers s tades de rédac t ion r lu rappor t
et dcva, i .ent être repri .s clans le programne de travait de 1987.
J .1 -0 La DJv{si ,on cle I 'Eval.uat lon a connu divers problènes duratt t l - 'année
1986. Plrrsieurs mlssj .ons ont été anntt lées en ralson de di f f I ' r ' :u]- tés de
f inancement e t de recru tement des Cnr rsu l tan ts . 0n a p ropoSé or r tâ - 1 . 'aVen l r le
f tn , î i ; . r r , f l !1^ . i l . t r ln r ^ lps r r I f r r f l l . i . : rÈnr r r t6s pôr r r <1eg miss{ .ong de cour t { ' - d t r rée gn l t
apprOuv{ au mo|ns six mo:is avant 1a mlse en oet lvre du Progranme de traval l
annue. l . I l r dl f f lcul- té d'orgarr lser régul lèrement des réunlone ' 'du conité de
Programmatlon a abor-r t i à une accuûulat lon des proJets présentéa. Des probènes
de trar juct lon se sont posds cle temps â autre, notanment lorsquç les rapports
trrr Études d,évaluatlon ex-post soût soumis à la tfaduction au nême moment que
4'autr:es documents lmportants prodults à la Banque'
,t{ri{rË
Etudea epéclal-es e t rappor ts pér iod lques-_.-.-_-----: -. -
Les tra.varx relat l fs à l 'étude du f lnancef ient des cotta récurrents, à1 . " 1 1
, l a propos. l t1.on cJ'ét- .ur iea sur les retards enregistrés dans la mlse en oeuvre des
pro je ts e t a r r sys tème d 'éva lua t ion des sc t l v j . tés op6ra t lonne l les du groupe de
Ja BAD ae sont poursulvls. Une nouvel le décislon devalt être pr ise du sujet
des dlrect lves de la BAD concernant 1e contrô1e sulvl et 1 'évaluat lon dee
pr:ojets. En f?86 11 a été proposé de conaâcret une nouvel le étude spéciale à
un exame.n des llgnes de crédlt aux banques natlonales de développement'
1 . . t 2 Ies l lgnes de crédit sont à décalssenent rapide, notamrnent Iorsque
lerrr ut l l lsat ion s 'accompagne t le nesures de nature à amél lorer la performance
opér:at lonnel. le des banques nat l .onales de développement ' A cet égard' I 'appui
apporté par le- grortpe de la BAD en rapport avec 1févaluat lon ét la supervialon
.Jes aous- 'projets par les banques de développement est d 'une l"mportance
par t i cu1{ère ' On a donc propoeé, ê r 1986 ' de procéder à une é tude qr r i
rassomblera
crédit r larrs
P e r m e t t r o n t ,
néthorjes sui
nerâ m.i rie ên
- 7 -
lr . f i oxp6rienees aeql i see r larrs 1a mi se en vi ,gt tetr i : r les 1-tgnes r le
p . l . r rsT t l r r rs pâys a f r i caJns . Des leçons en Éeront t l réee qu l
lc cas éclr6arrt n d I amé [ i r . rrer ' le6 pol- l t iques , les procédures et les
\ , ie f i pâ1 . 1e gro t lPe t le la BAD dans ce domal -ne d 'ac tJ -v i té ' Loét r rde
1 - n r r t < . e n l 9 B 7 "
tâche lmprérrue effectuée en 1986 a été l-a mlse en forme
de réfererrce et du projet de contrât de subvent lon
' U S A I D .
1 .13 Les r : r , r l rpor t6 pér lo r l i .ques su .Lvants on t é té fa l ts en l986: mlse au
polnt , l r r î )rog1;+rnne f le travai l de . l 986 et préparat lon du programne de traval ' [
de lgBT I p r r l . r l lea t ion d lun , i le r rx j .ème vo lume de la Concordance e t ee l le d 'une
deuxtème sf}r ïe r le résunés anal-yt . i .qtres de projets ' Le "râpport annuel ' le 1984
Eur 1es ac t lv i tôs d réva lua t ion e t l - 'examen dee é tudes d 'éva lua t lon" a 6 té
remis au Secr:i: [a.J.re Général en janvler 1986 . l.a rédaction du rapport annuel
1985/86 (en un .vo : lume couvrânt 1es t reux annéee) es t éga lement fa l t '
 u t r e s 3 ç t ' r " ' l |  n
L . 1 4 Durant .L 'année 1986 les menbres de la Di-vls lon de 1- | E'va luat lon ont
a s s i s t é o u p a r t . l . c l p é à c l i v e r s e s r é u n l o n s , d i v e r g c o l l o q u e s e t d l v e r s e s
Journée.s d 'é tudes au nombre desque l l "es on peut c i te r : la réun lon du groupe
d,exper t cAD de t rocDE (Par is ) : le co l logue sur le déve l0ppement r les narchés
de capitaux (Marr. i l le); L-a réunlon interorganlsrnes des Nat ions Unies sur
I , éval uat lon (Genève ) ; La pr:enièr:e réunlon annuel le du Consei I ' des
gouverneurs cle la Société d' invest issement lnteraméricalne (Caracas) ; le
sémLnalre de la BAD (Progrâme al lnentalre nondlal^ (Abfajan) , la conférence
sur 1'environmrmp[t (Nai:robi) i les Journées d'étudee sur le développement du
sec teu î p r j . vé (Ab i ,1 jan ) ; le sémina i - re aur -L 'éva lua t lon ré t rospec f i ve des
proJetg (Abtd jan) ; e t La réun ion A. lsace e t 1e T le rs -Monde (S t rasbourg) -
1,1.5 Au nombre des notes et memoranda rédigég en 1986r 11 faut Dent lonner:
"La BAD et 1e développement économlque et soclal de l rAfr ique" ; une
eont r lbu t lon à 1 ,exerc lee du FAD V concernant 1 ' "éva lua t lon des opéra tLons" ;
e t une no te ln t l tu lée " l ,e rô1e poss ib le de la D iv ls ion de l 'Eva lua t lon dans le
processus dr r d la logue de po l i t lque éconon lque" '
1 . 16 I ,a p r {nc lpa le
déf lnl" t ive i les Ter:rnes
accor ' iée au Sahel par I
l . 1 t
- 8 -
Au 3L décem|r 'e 1"9S6, 1a D iv is ion de 1 'Eva lua t ion compta i t
p ro fess lonne ls : 2 Lngén leurs du gén ie c lv i l (1 'un deur é tan t le Chef
D iv is lon) , I économls te r les t ranspor ts , 3 économis tes e t 2 agro-éconon is tes .
I . l . B Le progr-,arnm€ de rr :aval l du Btrreau d'Evaluat lon a été préparé at l
dern le r t r lmest r :e r le l .9B{ i . En 7987, on env lsage de s imp l i f le r e t d 'accé1érer
les p roces6 ln qg i . . i .n te rv iennent depu ls Ie s tade de l 'éva lua t lon ré t rosper " - t i ve
t l ' r rn pro jet ^ jr . rsqu'â I .n présentat lon dtr rapport au Conse1l. Dlx neuf rapportg
de pro je t f ta ien t en c ( )u r€ de rédac t ion à 1a f tn de 1986 e t seron t repor t i : s à
L987. Un certrr in rrnmt' , r 'e de nouvearrx projets y seront aJoutés' conne cela est
préc ls6 dans 1e programme de t rava l - l de L987 '
B
<1e
- 9 -
Iteuxl è-me part j"e : lixamen des études t]' éva Lua t ion re st ro_p_ecllfa-qglTyi.99
A . Ra1;ç111q !* d ' é l ' a l u a t i o n d e P r : a j e t Pi-Ég9"Lt-q-9au Consel l en 1985
, . t t Q l i r r , .91 " t.tgg-I È Llg"çi-q-r LiÉ .- è î9-.i99L.a-yxYiel_qg 1 n étur je
n p é c { n | +
InL-rotl !r.qt inn
1vêeârqi*q4.,
2"01. T , . . r ; . l i . x sep t p roJe ts t lon t le ( ionse l l . a é té sa is l - en 1985 e t 1986 sont
énrrmér:6.q r . i -apràs", Ctraque projet e.st examiné du polnt de vue des object l fs et
de l -a r lesc t ip f . ion" de l tex f i cu t lo r r e t des t6a . l . t sâ t ions e t des leçons appr ises ' * -
S:lgv-llu'-t:
Z.OZ Dans . l ,e sec teur agr i co l e t ro ls p ro Je ts on t é té soun ls au Conse ' I en
1985 e t deux en 1986 ( .Annexes 1 e t 2 ) .
Burkina Faso : Projer de ddvel-oppenent :9J31 lltÉgré-ie-le Vol-ta Noire
2 . 0 3 Le prr: jet 6tatt c.entré sur Bobo'-Dl-oul-asso et Dedougou' Le projet
v isa i t en t î te âu t reÉ à amél to rer 1 'au tosu f f i sance a l imenta l re , à accro t t re les
exportât lons de eoton à amé.l{orer les condlt lons de vle et 1e développenent
soc1al (notamment au prof i t de l"a femne). Les obJect l fs du proJet devalent
ê t re réa1 jsés grâce à une produc t lon de co ton accrue e t à I ' imp lan ta t ion d 'une
us lne d ,6gr :enage d ' r rne capac i té de 22 000 tonnes ; à une produc t lon accrue de
nl l , de sor:gho, de i : l r - et de mais ; à - ta fournl ture de quarante clnq entrepôts
c 6 r é a l l e r s v i 1 L a g e o l s ; e t à d e m e l - L l e u r s s y s t è n e s d e d i s t r l b u t l o n d e s
intrants, i tux service's de vulgarleat lon, aux Lnfrastructures rurales et à La
mlse en p lace de sys tèmes d t i r r i .ga t lon ( f 200 ha) ; e t au ren forcement dee
lns tJ . tu t i ons ru ra les '
2.04 Le proJet stest tévé1é être un succès du polnt de vue des rendements
des récoltes et de la product ion. Les services de rnr lgar isaÈion, de fornat ion
et l -a t l tstr ibrr t lon drrs lntrants ont été exécutée come prévu. Les deux off lces
t le <léveloppernent régJ-onaux ont étê renforcés et une unlté f inanclère
adrnlnietrat ive a été mtse en place, Dans Le Prograrme concernant 1â femme'
se lze c t in iquesr sept maÊas i .ns , v ing t e t un pu l ts e t v lng t -deux n lno ter les on t
* 1 0 *
6 t é l m p l a r r t ô s . 5 r - r i x a n t e - - q r r l n z e s i . l o s v i i l ' r g e o l s à g r a i n o n t ê t é t : o r l n t r t r i L s " 0 n
peut- torr tefois t l . rer quelques ense5"gnements de 1'expérlence du pro je t : le
râpport " .7 '6.vatuat ion ne courprenai- t at leune analyse de gest lon agricole
(rnain-d'nartvre et: f j naneièr:c) , pas p,Lus qu! i1 ne présentai t une analyee
f inaneièr.o corrcernant le forret: ionnement de 1'usine dfégrenage du coton
(projectJ-, :ns r le eash f 1ow, compte^q déf in i fs et bl lans). Cerairres part ies du
prolet n 'rx l t pas été achev6es : le renforcement du Mlnistère r l r t DéveloPpement
rur-a- l , lec travaux d' l r r igat l . r :n (50 ha seul-ement ont été achev6s)" les travaux
de cons t r r rc t ion des rou tes r r r ra les (80 pour cent du programme ser r lement ) ; e t "J r 'Ë* " '
peu de prçgrôr: ont éÈé accnnpl is r lans le cadre du programme d'alphabét ieat ion
d e s f e m m e s . I , a n o q r { l n a t i o n d e . t a g e s t l o n d u p r o j e t I ' e 6 t a v é r 6 e d i f f l c l l e e t
on a con.st até un cer: taln double emploi de l - 'ef fort de vulgarisat lon t lépJ-oyé
par les bure'jrux de clêve.Loppenent l rrrattx et SOFITEX (pour La produe tion
cotonn jère) , ' t ,a
capac i té de 1 'uç lne d 'égrenage, rédu i te de 22 000 à 15 000
trrr ln"o , r{ec!rr : j . r i t l :ou inr i ra un dêp,qgsenent cle eoûts r le 652. La supervision
teehnlque du FAD a été très peu fréquente : deux nisslons seulement ' toutes
deux effectuées à une pér: iode proche de 1a date d'achèvement du proJet. Les
travaux d' t rr lgat ion et les travaux de Construct ion de routes rurales
devraient €tre- aehevé.e par I 'emprunteur.
2.n5 L,e projet fal t apparaftre d' inportantes falblesses sur le plan t les
ob jec t i f s e t c les bu ts ma is à cer ta ins égards 11 a é té va lab le '
Edse-e-es?,1i-L1ssç*9ç-s-ç941t-3sr-Ls]g-ale--Lesssistt$ek-quq qy_q1_orrgpe__q E ry-La]. -!ll!P}J
2 . 0 6 Le projet englobal t touteÊ 1es régi.ons rurales de Madagascar ' I l
avait pour obJeet l fs une nef l- leure autosuff isance al imentaire et une
améli .orat ign de la bal-ance des paienents grâce à des exportat lons accrtres et à
1a subst l tut ion des inportat lons. I ,ee crédits du FAD seraient ut i l isés pour
accorder des prêtg à rnoyen et long terme degt lnés à l 'achat de boeufs et de
rnrrLérlel porrr err l ture attelée. Les prêts à noyen terme d'une durée de 5 à 7
ans supporteraient r . rn intérêt <te 5 pour cent. Les prêts seral"ent consent is aux
agr : l cu l teurs exp lo l tan t 3 à 4 ha de te r re . En ou t re , les ac t iv i tés de l 'O f f i ce
du eafê seraient examj.nées et on lnst l tueral t un pr lx plus avantageux pour le
café I et un Fonds ,Je secourÉ seral t créé pour atténuer l -es effets des dêgâts
causés par le cycJ ,one.
2 . . n 7
' 1 1 -
Le rappo i t ' r l t éYa l r t a t i on ne contenait aucune dr:nnée sur la
planl f lcat i c,n de -ta gest lorr agr icole . Dlx-sept nols se sont- 6cou16s entre le
monent nù le p r6 t a é té approuv6 e t la da te de mlse en v lgueur ' La euperv is lon
technlque du FAD a êtê très perr f réquente et 1a BNDA a ut i - l lsé à sa guise les
er6d l ts du FAD. Aucune mes l r ïe n 'â é té p r ise en ce qu l eoneerne 1 t0 f f l ce du
eafé, ] -es pr lx drr café ou la cr:6at ion du Fonds de secours" Les crédits ont êté
r. l t i l isés pour accorder des pr:êts à court , à noyen et ] -ong terme' Les prêts à
court terme of lL snppor: t-6 Lln tâux d' lntérêt de 19 pour cent et deg prêts à
moyen e t . long te r rne r le 20 pr : r : r cen t . I l n 'a pas é té tenu conpte des e f fe ts de
c.eB tatrx el 'Jntêrêt sur l -es budgete des ménages agricr: les' Les crédite accorés
par le FAD, I ' IDA e t la su lsse on t é té mls ensemble , e t i l n 'a pas é té tenu < le
conptes <l ist lncts. Ies crédits du FAD ont êté affectés à divers object l f ,s '
ou t re 1 'achat de boeufs e t de rn r té r le l pour cu l tu re a t te l .ée ' S 'ag issant de
l,aclr inistrat lon du prêt par l ,a BNDA, les résultats oût êté médlocres'
2 .08 Le pro je t n 'a pas répr rn r lu à tous ces obJec t i f s , e t à cer ta lns égards
i l a é té mal géré , ma lso dans l 'ensemble , i l - a donné des résu l ta ts u t i les e t â
proe.uré des 4vantages aux agrlcul teurs. Le Groupe de la BAD n'a pas réussi à
app l - iquer d t lu rpor tanLes c lauses du cont ra t de prê t '
Rsanda : ProJet de Ehé de Ramba-Gaseke
Le pro5et étai t local1sé dans les distr icts de Ramba et de Geseke de
,j
2 . A 9
2 . 1 0
1-a régton t le Glsenyi dans le nord-ouest de Rwanda' 11 visai t à dlversi f ler 1a
prot luc t |on agrlcoJ-e pour la renr lre moins dépendante du café af ln d'amél l orer
les receLtes 11'exportaEion et de réal iser le développement socio-6conomique de
la rég ion . Les ob jec t i f s du pro je t sera len t a t te in ts en p lan tan t 700 ha de thË
(rrne pl"antat ion lnclustr l .el le de 100 ha et une superf lc ie de 600 tra explol tée
paï 3 000 pe t i t s p lan teurs ) . Le pro je t p révoya l t auss l des rou tes de desser te
(gO km), des cerrtres de ramassage du thé et une usine (une capacité anuuel le
de l- 200 tonnes de thé sec devant etre aménagée en deux phases de 600 tonnes) '
I .es proiect ions de rendement du thé ont été trop opt lmlstes" Lors de
1 'éva1-uat ion , l ' énerg ie nécessa i . re au séchage du thé n 'a pas é té p révue: 11 a
fa. l - l -u planter des arbree pour l -e bois de chauf fe (150 ha d'eucalyptus ) ' La
gest lon agrlcole n' �a pâs êté suff isamment blen planif lée eu moment 'de
1réva lua t ion . Ies p lan ta t ions on t é té c réées dans 1ee dé la is -p révue ' L 'us ine a
été con.strui te en une seule fo- is alors que deux phases avaient 'etê prévues ,
^ L 2 -
pour réa l l ser c les "éeôn+m: l .es" aur . [a hausse progress ive des co t te qu l sesera{t produite si \a phase 2 avalt été exécutée à une date u1tér leure.Cer ta lns t - ravâux c le cons t r :uc t ion n ma1 exécutés , on t d0 ê t re re f a j t s . Desdif f lcu1tés d'a.ppr:ovl ,qi .onnement sont appârues par sui te des troub1es qujsévlssaient en Ougant1. i r . I ln d 'epasÊeuerrt de cotts a été eonstaté et, en l9ZB, . teFAJI a aecordé un pr$t suppl6r,nentalre. La produet lon de thé n'a jamais été trôseaf- isfalsante et certalnes plantat{ �ons vi- l - lageolses ont été abandonnées. Aun(,mhre cles raisons avarrcées, 1l faut ûent lonner r les pr lx insuf f isants aun lveau de 1 'exp lo ' ta t ion pour J .e thé ver t , une r l i s t r ibu t ion lnsu f f lean te ducréd l t , des serv i r :es de vu lgar lsa t ion na1 adapt6s e t le fa i t que leeagr icu l teur :s sont p1r rn hab j tués à cu l t l ver la ponme de te r re , leÉ bananes e t1ee harlcots. IJ- n 'y a pâs eu de supervlslon technique par 1e FAD eauf lors de-ta nlsslon de ré6va lu 'r t lon r te "1978. Le taux de rentabl l l té économlque e.stn é g a t i f .
2 . t L
I,t avenlr
Le
du
pro je t n 'a pas é té un succès , pêu d 'ob jee t i f s ayant é té a t te in ts .
p r o j e t e s t t r è s i n c e r t a l n ,
Ghana : première l lgne r le crédlt à la F$9s_sg3É:glo_epegg!*esrrs:&
2 . 1 . 2 L e p r o j e t v l s a i t â a e c r o î t r e l - t a u t o - s u f f i s a n c e ' a l L m e n t a i r e àa n é l i o r e r : 1 a b a l a n c e d e s p a i e m e n t s p a r l a s u b s t i t u t i o n d e s i m p o r t a t i o n s , àcréer de nouve l les poss i b i - l i tés d 'enp lo l e t à é tendre les avantages dudéveloppenent économique aux eouches l-es pLus défavorisées de la. société. La
l lg r re de c réd l t sera lb u t i l i sée pour le déve loppement des pe t i tes p lan ta t ions
de pa lmi .e r â t ru i le (3 .200 ha répar t l . s en t re 800 agr icu l - teurs ) , des cu l tu res
v lv r lè res (4 .500 ha) e t de la pêche grâce à la fourn i tu re de moteurs mar ins ,de moteurs e t d 'équ ipement de pêche.
2 . L 3 Quinze mol-g se sont écoul-és entre 1a date de la slgnature du prêt et
sa r t l se en v igueur . Dès le p remier déca lssement , le pouvo i r d rachat du pr€ t deB n � l l i l o n s d ' U C F s ' é t a i t d é p r é c i é d e . 1 , 6 6 n l l L i o n s d e d o l l a r s n U e t 1 a p l u p a r t
des art lel-es étalent faetur6s en dol lars ELt. Les cotts ayant été surest lnés aumoment de l 'évaluat lon, La BDA a pu se procurer avec les fonds dlsponlbles
dif férentes quantt tés de ctraque art ic le et 1a dlmenslon des sous-proJetsin té ressant les pêches e t 1es cu l tu res v lv r lè res a ê té é la rg ie . Le pro je t de
palmler à hul le a 6té modif ié pour en faire ql latre plantat ions Ln<lustr lel les
eôuvrant âu t rûa . l ^ u r le s t rper f i c ie c le 800 ha , 2 .400 ha é tan t a f fec tés aux
- 1 3 -
plantat ionr vi 1,1ageoises. Le nous'-pro jet a accusé du retard et les
exp lo l ta t i .ons on t a t te in t l -es tou t p remlers s tades de c réa t lon ' La super f l c ie
du sous*p t "o je t de cu l tu res v iv r iè ree a é té doub lée ' S 'ag lssant du
déve. loppemen-t des pêches, 100 mot€urs marins et 2,500 moteurs hors bord ont
é t ê a c h e t 6 s ( e t n o n p a s l " e s 4 5 m o t e r - r r s e t l e s l . 5 0 0 m o t e u r s h o r s b o r d p r é v u s
au momeût de l 'évaluat lon). Tous lee produtts de 1-a pêche se sont blen vendus'
2,I4 T'a prcmlère l igne de crédlt a blen fonct lonné nls à part 1e lent
développem+:rrt . lu sous-proJet de palmler à hul1e. 11 n'y a pas eu de
supervlsl t rn feehnique par le FAD et une deuxlène l1gne de créd' l t a êtê
approuvée avant l . 'éva1-uat lon de la prennlère 1lgne de crédit ' Des problèmes ont
surgl en ce qu{ concerne la perte de pouvoir drachat du dol lar EU par rapport
à l - 'ucF.
Z.1s T .c . p roJo t a â tâ r rne ré r rss l te e t d r lmpor tan ts résu l ta ts on t ê tâ
obtenus su1 tous les plans. Le proJet est v lable et a été suivl d 'une deuxlème
Llgne de crédit du GrouPe de la BÀD.
llal-l : FroJet r iz lcole de MoPti
2.L6 Le pro "iet est
et du Banl . Le Pro jetal lmentalre en rlz.
local lsé sur une surface lrr lgable
avalt pour obJect l f l -a réal-Lsat lon
en
d e
bordure du Nlger
l- ' auto-suff isance
2 . L 7 La premlère phase du proJet r lzicole de Mopti (1970 et 1978),
f lnancée par la BIPJ et d 'autres organlsnes, avalt rendu posslble la
conatruct lon de hult poldets pour la product ion de r lz sur 13.000 ha de terre'
Un aystènne d' l r r igat lon avec naitr ise des nl-veaux d'eau a été adopté' Le
personnel, 1es bât{ments et Lee natér le1s ont été fournls ' Le proJet a êtê
sulvl de La deuxième phase du proJet r iztcole de Moptl f lnancée par 1e FAD, la
BIRD et drautres organismes. Le projet a pernls la construct ion de 4 nouveaux
po lders (8 .800 ha) e t la réhab l l l ta t lon de deux po ldere ex is tan ts ' Les po lders
ont êté répart is entre Les p].anteurs sur la base du groupe fami Llal ' Les
composantes du projet couprenaient lee t Ïavaux de génle civ l l , 1e labourage en
profondeuro les bât{ments, Les équipements, 1e personnel et les servlceg de
vulgarisat ion, de crédit et de recherche
- 1 4 " '
Le 11écai$$ement du prêt a comnencé 20 mois après 1 'approbat ion du
prê t , câ t I 'emprunrer r r e t 1 'o rgane d texécut lon nré ta ien t pas t rès au courânt
r les p rocé< lures à s r r ïv r :e pour rempl l r 1es cond l , t lons du prê t . Ma lgré ce la , . les
travaux de construct ion ont conmerrc6 à La date prévue' Les travaux de génle
c ïv i I e t le labnr r rage en pro fondeur f . ' rnaneés par le FAD ont é té exécutés par
clnq entreprises {otr t rrne a été écartée pour ineff lcacl té ; aussi les travaux
ont été achevés pau 1'une des quatre autres qul se trouvaLent à pied d'oeuvre'
11 en a ré-sul té rrn dépassement de coûts. 0n a constaté que le défr lchement de
l-a brousse devrai t précéder le labourage en profondeur, et dane certalns
pér lmèt res , ce la s 'es t t radu i t par un re ta rd de 1-0 mols par rappor t au
ca lendr le r d ,exécu l - ton . L ' lnexac t l tuc le des t ravaux topograph lques a condu l t au
labourage t le certaines parcel les que les eaux d' i r r igat lon ne pouvalent pas
attelndre convenablemênt. QUel-que 3.00û ha couverts par les contratB n'ont pas
été labourés par sui te f le dépassements de cotts auxquels le Gouvernenent nra
Ft fn l ra fa r r . " î .p n rn- ie t a conn l r des uer tes t le pouvo i r d 'achat en dev lses dues
à 1a chrrte rJr: c lol lar EU par rapport au franc français ' Sur le plan techniquel
1es travaux .Je génl"e civ i l et de labourage effect ivement réal isés ont été bien
e x é c u t 6 s '
2 . 1 9 Le périmètre du proJet souffral t d ' t tne sécheresse aiguë depuls 1973.
Dans 1a région cle Moptl , le rLz a besoln de I 'eau de pluie au début de la
pér to t le de pousse e t de 1 'eau d ' i r : r lga t lon par 1a su i te ' Pendant la p lupar t
des années, 1 'a l lnen ta t lon en eau a fa l t dé fau t ' Les é tudes avant -p roJet n 'on t
Prédit une sécheresse que Pour cinq ans sur 100 ans. Cette hypothèse étai t peu
réal lste. Parei l lement aucun rapport de préparat lon n'a êtê rédigé pour le
ProJet f inancé par le FAD : 1a part ic lpat ion du FAD a eu l leu sur la base des
assurances données en ce qui concerne la première phase du projet ' Ces
assufanceÊ se sont tâvéLê3s peu réa]- l -stes. L ' i r r igat lon avec maîtr ise des
n iveaux d 'eau e t la ma l t : : l se de 1 'eau au moyen d 'Un bar rage ou d tun déverso l r
r 'on t fa l t I ' ob je t d 'aucune éva lua t lon conparée.
ï , , Inst l tut de reeherche agronoml,que troplcal-e a quit té le pérfunètre
2 . 1 8
2 . 2 0en 1g72. Les recomnandations concernant 1'enploi des engrais se fondent sur
den donées recueil-lles avânt tg72. Le xlz sauvage pose un lnportant problème
de r léshetbage et 1a var iétê d.e xlz cul t lvé ut i l lsée se décort lque faci lement '
ce qui donne dea pefteÉ de rendenent. te natériel agrlcole et Les servlces de
_ 1 5 -
crér l i t Re $ont révÉ lés lnsu f f l san ts . ces dern lè res années, e lnq po t l rcen t
seu lemerr t de Ta s t rper f i c ie agr i r :o1e a é té c r r l - t i vée ' Le taux de ren tab l l i té
éconorn lque es t n6gat i f . Les exp lo l tan ts qu i t ten t Le pér imèt re ' Aueune m1ss lon
rle supervi ,s1on l-e*trnique n'a 6t6 ef fectuée par le FAD' 11 est reconnandé que
les mlsn i *ns , le superv i .s i r ln te r l rn l que a len t 11eu deux fo ls par an . Le
Gouvernement n 'a pa1 ré r rsg l à f lnancer 1es dépassements de co t ts '
2 . 2 1 Lar pr:o Jet n t a
d 'une s6c ' l ,e resse a tguë
I t éva luat i 'rn r:lrr pro Jet.
ce qui est r fu long terme
Iudustr l e
? , 1 ) 4 l l a r r c l ê ' s ê C t e ! ! r J r l d r r q t r l p ' l
1985, en to ta l i té des f - ignes de
présentê au Consel. l en 1986 (Ànnexes
Maurlce :
2 . 2 3
pâs été un succès en part lê à eause de f ineldence
quJ. n 'avait pas êté ent lèrement prévue lors de
Que lques obJec t i f s ou bu ts on t é té a t te ln ts ' ma ls Pour
l .es résu l ta ts du proJet son t lncer ta lns '
t rn ls p rn ie f n on t É t6 sor lm l s a r t Cnnsp l1 ên
créd t t . Aucun pro je t lndus t r le l n 'a é té
1 e t 2 ) .
4æe-{si:é{Lf e-Leisrsgs-{s-qa:s1spp-"gesl3:-UrqÉsellP!!)
La l- tgne <le crédit avalt Pour but d 'encourager 1e développenent de
sous*proJets lndustr lel-s qui about lraient à une amél iofât ion des exportat ions
et à La srrbst i tut Ion des inportat lons, créeraient de nouvel les posslbt l - l tés
drernp lo i e t d ivers i f ie ra ien t 1a produc t lon pour La rendre molns t r ibu ta i re du
Élous-sec feur du sucre .
2 . 2 4 Dlx mois se sont écou1és entre la date de 1a slgnature du Prêt et sa
mLse err v lgueur. Le prêt a été exécuté pour ce qul touche à la pet l te et
moyenne lndustrie seulement (ouls non la grande lndustrie corme prévtr lors de
1,évaluat ion). Des quinze sous-Projets f lnancés, douze ont donné des résul- tats
pleinement sat lsfalsants. Quelque f .700 nouveaux emplols ont été créés et les
recettes en devises se sont anél lorées. Le personnel de la BAD a effectué une
visi . te de supervision Eeehnlque du projet. La structure de l-a gest lon de la
BDM pourral t êtr :e simpl i f iée et on pourrai t nettre sur pied une sect lon de
recr.Juvre&ent des atr . iêrés.
- l 6 - -
2 .25 I - ,e p ro je t es t eons idÉr ré enmue r rn s r rceès , 1a p lupar t des ohJec t i f , s de
développemenl Rynnt été attelnts.
Slerra Leone : I - , lgne de crédit à l -a Si, : rra-Leone Natlonal Developlnent
Bank (SNDH)
2 . 2 6 La rr l rport" d 'évaluat ion a eranrlné deux l ignes de crédi- t accordêes
Sierra Leotte Nat ional Developnent Bank, 0n notera que la BAD est actJ.onnai
de ce t te J - r ' ' s i t r r t ion où e11e es t représentée au Conse i l d 'admln l , s t râ t lon .
l igne de cr: i l t ' l ! . t a 'val t pour object i f d 'amél lorer l -a balance r les pai.ements,
c réer de nouve l les poss ib i l i tés d 'emplo i e t des lndus t r les basées sur
Prod uet lon ag r i t :oJ-e.
2 . 2 7
au
re
La
de
1 a
Qulnze cles 25 sous-pro. ie-ts f lnancés ntont pas about i . t 6 autres ont
eônnr t des pr ( rh làmes, Ces ér : t rcee s tcxÉ l . l c r ren t par une manva ise ges f io l r âu
n iveau r ies s r - . rus*pro je ts , un manque de ressources ord ina i res , des d t f f i cu l tés
de change et r lne pénurie de pi èces de rechange. De façon générale'
1 ' lnvironnement économique a été favorab"le à cea soue-proJete. Pour trols
au t res sous*proJets , des c r6d l ts on t é té engagés en novembre 1985, na is le
Slerra l ,errne éta j t alors sous le coup d I une sanct ion de Ia BAD et aucun
déca icsement n 'a é té e f fee tué . T ,â deux ième l lgne de c réd i t é ta i t assor t ie
d'une cr:ndl t ion selon laque i le 1a SNDB devait nomner un consei l . ler en
lnvest lssement et un lngénieur. Condit lon qul n 'a pae été renpl ie. En novembre
1985' La SNDB avalt accumqlé d' lnportants arr iérés et connalssalt de gravee
prob làmes r le r recouvrement de prê ts . f980 es t 1a dern iè re année où e l le a
accusé un héné f i -ce " La SNDB a souf fert d 'une gest l on l .nsuf f lsante et l -es
soue*proJets n 'on t pas fa i t I ' ob je t d 'une bonne superv ls ion . La superv is ion
par la BAD a été très l rrégrr l ère. La deuxième l igne de crédlt a été approuvée
avant que l-a premlère n'ai t été eomplètement ut l l isée.
2 .28 Le proJet n 'a pas 6 tê une réuss l te . Que lques ob jec t l f s on t é t6
a t te in ts e t 1a ges t lon de 1a f - igne de c réd l t a ê tê néd iocre . Une lmpor tan te
cond i t ion r lu p r€ t a é té nég l lgée par I 'o rgane d 'exécut ion du proJet . .1
3c.sL1gi*L1gge-{r:rç{1!*è*Lr!svsl-geeçslr""L-oJ-Lr'-!È-lPi?
2 . 2 9
be so ins
Zanbla.
ï,a
eû
(;eJ a
l l gne de c réd i t ava . l t pour obJec t t f d rassurer une par t je des
devj-ses des snus-pr:o. iets f inancés pâr ' Ia Deve lopment Bânk of
permet t ra { . t de d i . ver :s l f ie r les ac t iv i tés économiques en Zambi .e ,
- 1 7 - '
d,am6-[ i , : rer 1a ba]-ance des paiementn grâce à l .a subst i tut ior l ç les i rnpor: tat j .ons
et de c r6er de nor rve l les poss ib iJ " t tés d 'enp lo l - . Des inves t - i ssements sera ien t
n le en p1-ace dans I es sous- .p ro je ts lndus t r ie ls eû u t l .L lsan t .Les mat là res
p r e m i è r e s l o c a i e s '
La premlère Llgne de crêt l i t qul aural t dt être mLse en service en2 . 3 0
1973 ne -1 ,a 6 t6 qu 'en L976 par su l te de ua len tendus au su je t des procéduree.
Les r I . : l r x rappor : fs d 'éva1.ua t Icn spéc l f la ien t l ru t l . l i saL ion de mat lè res
premlàres l r : ca les , Ce qu i d6nota i t un excàs d 'op t lm isme (no tamnent dans le cas
de la deux{ène 1 lgne r le c . réd i t ) . ta p lupar t des équ ipenents , e t des quant i téa
de matlàreE premières, ont dû être l rnportés. Chose dtf f ic i l -e dans un cl lmat
économlque caractér isé pax dee pénurles de deviseer urr régine de l l 'cences
d ' impor ta t ion e t des prob lèmes de rou tes comerc la les . ta deux lène l lgne a é té
ouver te sanÊ qu '11 so i t p roeédÉ à une éva lua t ion de r t1 p ren lè re . A ce
A::r*nnt. . ! i . t tÊît t 3?1rç-pïô lEtu 4rr:r l eqf âf â approl tvÉe âl t f I t rp r le ' l -a Otenière
l igne : deux on t â té sa t ls fa lsan ts r u t r n 'é ta i t pas ren tab le e t quat re
n'aval-ent pas encore démarré. La pr lncipale contralnte provenait al-ors d'une
pénurle de devlses dane l 'ensenble du pays. En l 'occurrêncer l 'approbat lon de
la deuxlème l lgne étatt prématurée. I l - exlste toutefois des lndlcee de
cr6at ion d 'emplo is e t d 'ané l lo ra t ion dee compétences . La BÀD û 'a e f fec tué
aucune ulssion de supervislon technique dans l-e cadre de 1'une ou 1'autre
l igne de crédlt . Au Doment de J. 'évaluat lon rétrospect lve, t rols chargés de
prêt de la DBZ assuralent 1-a aupervlslon de 150 sous-projets. Le problème des
arr lérés de 1a DBZ, mérl te d'être exanlné. Ûn notera que les sous-projets
pourralent faire apparaître de bonnes perspect ivee malntenant que le cl lmat
écononique s'amél iore en Zambie. 0 'n pourrai t envisager d'af fecter les deux
lLgnes de crédlt à des projets de réhabi l i tat ion'
2 .31 A ce Jou r ,
on ne peut donc Pae
Transports
1e
1e
proJet n 'a pas encore etteint . l ,es obJect i fs spéclf lés ;
considérer cotme un guccès'
2.32 Dans le secteur des trausports, deux projets ont été eoumis au
Consel l en 1985 et c inq en 1986 (Annexes 1 et 2) '
- i . B -
&9_gg9 lu Juqt g {.q -li'{t_eg}l1get route du Lae Mutambara-NYanzan-grul9l, :
2 . . 3 3 l ,es proJets r :nneernrr i .ent 1 'amél lorat l"on de la route nat lonale trols
1e 1ong du Lac Tangar r ts ika ; i1e ava ien t por - l r ob jec t i f s de gr r :omouvo l r le
c16ve loppement r1e [ 'ô r .nnorn i e nâ t i ona le (no tamment du po ln t de .vue de
L 'agr lcu l tu re , de pêche e t r l t r tour lsne) en fourn lssant un accès âux rou tes e t
en amél . io ran t l -e f la r rspot t rou t ic r dans 1a par t ie oues t du pays .
2 . 3 4 En ce qu{ coneatne - la route BuJumbura-l ' lutambara (76 km) : t ln retard
de v lng t -deux nn ls a é fé enreg is t ré en t re la r la te de s ignature du prê t e t sa
n lse en v lgueur , e t à ee momenL- là - l -es soumiss ions on t dépassé le dev is é tab1 l
au moment de 1 'év i r , [ r l r r t inn . Des prob lèmes d 'ap l l rov ls lonnemenf se sont a lo rs
proc lu l ts du f .a l t de I 'ag i ta t lon qu i lôgna i t en 0uganda. On s 'es t éga-Lement
heurté â des fornat j ons géologiques qul ont présenté des di f f lcul tés
. i rnpr6wrtps - T1 \ ' A (r t t r l6nnssement de eotts et 1e. FAD a accordé un pr:€t
supp l -énenta i re . Le eo t t to ta l du proJet es t passé de 7r1 mi l l ions d 'UCF à 18 '6
ml l l lons d 'UCF, e t le p r :o je t a é té achevé 43 mots après la da te p révue. La
{ual. t t6 du travâJ L a 6t6 bonne. Le FAD a organlsé cinq mlsslons de supervision
teehn lque. Ies p ropos i t lons de déve loppement conp lémenta i re pour 1 'agr icu l tu re
e t .1e tour isme n f on t për .s encore é té réa l i sées .
3.35 f i ,agissânt de la route du Lac Mutambara-Nyanza G5 kn)r des retarcls
sont intervenus dans la réal isat ion des condit lons du prêt et les travaux ont
conmeneé avec une année r le retard. Le FAD a aidé le Gouvernement a négocié une
r:éduct lon de -[a soumj.ssion pour les travaux de construct lon pour 1'al lgner aur
le montant indiqué dans l .e rapporÈ ql tévaluat ion. Le proJet a connt l un
dépassement de cotts qrr l a ét6 f inancé par le Fonds du Kowelt ( t l en a r :ésulté
, ,une éconcnle " au t i t re du prÊt du fA-D) . Lt entrepreneur, le
consultant-srrr:velllant et le FAD se soflt tous blen acquittés de leur tâche.
2 . 3 6 Ies développements complémentalres dans 1'agr ieul ture et Le tour lsne
(argrrments uLi. , l . isés pour Just i f ter 1es projets) ne se sont pas encore
produ- i ts . La c l rcu la t ion rou t iè re ne s res t guère déve ' loppée ' S i ce t te
si tuat. ion se maLntient, le taux de rendement économlque des deux routes sera
nul. I l faur lr :at t remp.1-acer les panneaux de slgnal ieat lon quL ont été volés. Le
FAD a, Joué un rôle lmportant et appréclable en aldant 1e Gouvernement à
rér luJ-re le monfant d 'une soumlsslon au montant spéelf ié dans' 1e raPp0rt
d ' é v a l u a t i o n '
2 . 3 7
_ 1 9 _
Les proJets ont été une réussite du polnt de vue techn,i-que, mal-s les
pour Just i f ler l -es routest
peut pas encore consldérerévolut lons économlqrres complémentalres, ut i1lsées
nront pas eûcore eu 1leu. De façon gênétaLe, on ne
leo projets conme une r6rrssi te."*rffi ,
Gannble : AéroPort {ç,Igl{us- :JEse JI
2 " 3 8 L'aêroport c le yunrium est s l tué en dehors de Banjul . Le proJet visai t
pt lnclpalemênt à amé1irer les instal- lat lons de rnanlère à mettre 1a Garnble dans
une pos l t ion de concur rence sur -1e narché du tour lsne l -n te r r la t iona l ; e t à
é l lu lner les res t r i c t lons â l tLn t roduc t lon e t à L 'expans ion dee vo ls
régutr lers, tant pour La cl ientèle des honmee d'affalres qt le pour le fret
aér ien . Dans le cadre r lu p ro je t , 1a p is te sera l t ren forcée e t a11ongée ' l ' a i re
de Btat lonf lement agrandie et 1r éclairage et les aldes à la navigat lon
no61{or in Des sp l r r l4es ç la cone l l l tan ts Eefnn t fo r t rn is pour la p rêpara t ion de
la phase I I I du pr :o jeË.
Le prêt eet entré en vlgueur avec 18 moJs de retard, les condlt lons2 . 3 9
du prê t n rayant pas é té sa t ls fa l tes dane 1es dé la is requ ls ' L 'exécut ion nra
pâs posé de grands problèmee sauf qur l l â été nécessaire de remplacer la
1atért te locale par I 'agrégat* de basalte eénégalals. Les travaux ont été blen
effectués. La supervtslon technlque du Groupe de la BAD a été fréquente'
loutefols, le niveau de développement du tour lsme attelnt a été infér ieur aux
prévlslgns établ ies lors de 1'évaluat lon. Le tour lsne est vulnérable êux
condit ions écgnomlques changeantes en Europe. les l lens entre le tour lsme et
le rs en t repr ises agr ico les e t a r t i sanaLes eomplémenta l ree n ton t Pas é té b len
développés. Depuls 1ore, le proJet est entré dans i-es phases I I I et IV'
2 . 4 0 L'exécut lon technlque du proJet a êtê bonne, nals du point de we du
les réa l lea t ionstour isne (e t , dans une cer ta ine mesure , de 1 'agr lcu l tu re) r
couplénentaires n'ont pas plelnenent répondu aux espérances.
-Çess ss. :-A*:sere-iJ-ry-q:13
2 . 4 L Le proJet prévoyalt La constructlon d'une nouvelle. âérogare à
1 'aéropor t de Doua la . Le proJet ava l t pour ob jec t i f de do ter Doua la d rune
aérogare moderne qui pernettral t de séparer 1e traf lc intér i eur i lu traf ic
lnternat lonal, d 'amél i-orer la manutent lon des passagers, . le fournir <leg
- ;tQ -"
I , n s t . a l i a t J o n s c l ' e x p l o i t € r L j o n a r l 6 q t r a t e s e t d e m o d e r n i s e r J e s i n ç t a l l a t l . o n s
dtaccuei1 des passagers pr:ur ' 1-es rendre conformes aux normee lnternat iônales.
L 'aérogare répondra l t aux heso lns jusqu 'à L 'an L992 (2 mi l l ions de passagers
par an ou 1.000 passagers pâr treu.re). t ,es travaux durer:aj .ent deux a'ns.
ffi
2. t+ ). A u c r r n e é t u < l e d e f a i s a h i J j t é n ' a é t é e f f e c t u é e e L l e r â p p o r u
d 'éva lua t lon n 'a accordé âucçne a t ten t ion âux ques t lons lns t l tu t lonne l les t
notsmment la gest i '1n t le -1a nr-ruvel,- [e aérogare. Le prêt a été approuvé en
noverobre 1972 et mi.s en vlgueur: 15 mols plus tard en févr ler 1-974. Les travaux
ont é ré e f fec tués de janv ie r 1g ' t / - à ma i L977 (so i t une pér iode de 41 mois ) .
D ivers p rob lèmes se sont pos6s ; 1 'é tanché i té du bâÈinent a d t € t re réa l i sée
pendant 1a pérlgde des p-tu-tes et certâines part ies drr bât lment lalssent entrer
la plule ; dans une certalnel meaure les travaux de pei.nture nront pas été
ent l .èrement sat lsfai .çants ; 1e système de cl lmat isat lon est défeetueux' et les
nânneâux l .um1.ne1x n 'ava- len t F .1 .$ encore é té nontés en décembre 1985 ' I l ' y a eu
dépassement de cotts et ,Jeux prêts supplémentai res de -1.a BAD ont étê
approuvés . Lors de l - 'éva l t r .a t ion , peu d 'a t ten t ion ava l t é té accordée à 1a
gest lon de I 'aêrogare . Lâ D l rec t ion ac tue l le a du ura l à fa l re face à
1 'acero lseement du t ra f i c du fa i t d 'une s t ruc tu re de ges t lon lnadéquate e t
d run manque d 'au tonomie dans la condu l te de ses a f fa l . res . La da te d tachèvenent
t lu proJet a été très retardée et le projet a enregistré un dépassement de
coots globa. l de g07". Toutef ois, i l exlste rnaintenant une aérogare
internat lgnale. Lee est imati .ons fal tes au moment de 1'évaluat ion pour lee
mouvements d t aéronef s, -1-e traf lc passagers e t 1e traf lc f ret ae sont
concrét leéee. Le taux de rentabl l l té écononlque se si tuerai t , selon de
nouvel l -es est lmatiçns, entre 1I et L67(. Le traf lc passagers est passé de
1150.000 peraonn€s en 1 .977 à 750.Û00 personnes en l -982 ' La superv ls ion
teehnlque par: t .a BAD a êtê bonne : quatre mlsslons technlques de srrpervlsion
et deux ml,sslons de réévaluat lon pour les deux prêts supplémentaires ont été
effectuées. On peut toutefois reprocher à Ia eupervislon technlque son nanque
d e r é g u l a r l t é '
2 . r$ , 11 es t fa i t é ta t de la mauva ise prépara t lon des proJets - Le proJet
eBt u t i le ma is cer ta lnes fa lb i -esseS subs ls ten t en eê qu l concerne la
réal. l -at1on des object i fs énoncés. l ,es dlsposit ions inst l tut lonnel les pr lses
pour la gest lon cle I 'aéroport ne sont pas tout à fai t sat isfalsantes
- 2 L -
s"J!LLiJIe Centrafr lcaine ! Route l iangrr l -Boussenbélé
2 "44 L,e pro Jet eoncernal t I 'arnél lorat lon de la route Bangu, i . -Boussembé1é
(146 kl lorni ïr r :e) af in d'amé11orer le comnerce extér leur et 1e r léveloppenent
agr ieo le . g1 pont sera i t cons t ru l t s { l r le f leuve M'Ba l i e t un pont -baseu le
serâ l t n te en P lae .e .
2 . t + 5 L,ots de l"a sélect ion des entrepreIteurs l -ocaux pour le8 travaux de
const ruc t l . , :n de l -a rou te , 11 faudra i t s f assurer qu ' l1s sont v ra iment capab les
d'exécuter -Les travaux conme prévu. Les travaux à effectuei ont fai t 1!objet
de trole cor l , : râts la route, -1-e pont et 1e pont basctr le. La route a été
cons t ru i te dans les dé1ats p rencr i t s . D 'au t res é tudes géo log iques on t é té
effectuées â pled dloeuvre et le r)ort el êté. értgê gur des semel les plutôt que
sur des pi1.es. Le projet a été achevé avec un dépassenent de cotts de 132.
Cer ta lns segnents . le la fou te p rêe de Bossembele se sont e f fondrés e t do ivent
ê t re réparés . l ,a s r r r face du pont n 'a pas é té revê tue d 'une couche de b l tume.
euatre ans après 1'achèveuent du proJetr le pont bascule ne fonct lonne
touJours pas en ralson de problèmes tar i falres et autres problènes
adnlnlstrat l fs. Le FAD a effectué 4 mlsslons de supervlsion technlque. On
notera que la clrculat lon sur la route â fortement augnenté depuls
l taehèvement des travaux'
2 .46 Le pro je t a â t te in t lee ob jec t i f s qu 'on lu i ava l t ass ignés e t peut
être consldéré corme un succès. 11 reste à achever certalns élémente des
travaux physiqrree "
1--.:!g,.3s-g!rls:iLï"!e4tlslbç:Jggl.''s--!rlf :
2 . 4 7 La route est située dans le Nord-0ueet du Lesotho et s'étend sur 42
ki lonètres. Une hretel le O kl lomètres) devrei t être égalenent construi te
Jusqu 'à Ca ledon 's poor te . Le proJet ava l t pour obJec t i f p r inc i 'pa l
l tané l lo ra t ion des ins ta l la t ions de t ranepor t au Leeotho , Le proJet v lsa l t en
out re à accro î t re 1 'au tosu f f i sance a l lnenta i re e t à assurer Le déve l .oppenent
soci-économlque général de la réglon grâce à 1'expansion de 1'agr icul tu: :e et
du tour isme et à un mei l l -eur accès à une mine de cl ianants.
2,48 Neuf mols sê sont écoul-és entre l -a signature du prêt et sa nlse en
vl-gueur. Certai"nes modlf leat ions ont êtê apportées à la concept lon de la
chaussée. I-æs app{ovisionnenents en bl tume de Maputo ont été également
- 2 2 -
re tar dés . l ,es tra 'ra r- tx cl , - t .err€ ssement et excavat l -on requls ont dépa ssé l .es
est imatlons. I .1 en u l6su1té un dépassemerrt de cotts de 12"4. Toutef c.r- is ,
J- 'entreprenelrr a bi cr l t rxécuté les travi lux et 1a route egt bonne. La
supervlsion techr I r lue r l t rAD a 6tê f réquente. La clrculat lon st l r le troncon
Lerl-be*Btrtha-Buthe rJÉl 'assé l-es est imatir :n$ fai tes au moment de 1'éval-uat lon.
La c i reu la t lon de Rut l ia -Buthe à Joe l ' s Dr l . f t " n 'â pas répondu aux espérances du
fa l t de 1 'absenr :e d r r r l6ve loppement tour is t tque, du mauva ls é ta f de la rou te
rel . iant Khanane à Oxl,nw et de la fermeture de La mlne de dlanants en l-982. La
plupart des object l . ts r : r : tenus dans 1-e projet ont été attelnts et le projet est
consldéré colmle un succès"
Lesotho : RouEe Joe1's l )r l f t -Khamane
2.49 Les object l : fs énoncés du proJet étaient l ramél. lorat lon dee
communl"cat lons au L,esotho-. deS reCettes de change accrues grâce au
déve loppenent < le I 'aÈr icu l tu re e t du tour isne e t à un mei l leur accès à une
mlne de dlarnants. Une route bi tumôe à cleux voles serai t construi te de Joelrs
Drl f t à Khamane (2-5 tc i lomètres).
2 . 5 0 Certai f ls problènes ont surgi à L'or igine en rapport avec le personnel
fournl par 1'entrepr:eneur. Tr:ols problèmes techniques se sont égalenent
poséa : des sols aquât iques p1-us nombreux que prévu ; modlf leat ions des
sp6clf lcat lons des natér iaux de base ; et dégâts causés Par La gelée et 1a
carbonatat lon de l .a base de chaux stabi l isée. Ces dl f f tcui tés ont about i à des
modlf lcat ions <le l -a eonceptLon, à un dérapage r le l -4 mols et à un dépassenent
de cotts de 252. Le tour i .sme ne s I est pâs encore déve1oppé et la nlne de
dlamants a ferné en f982. De façon générale, ' Ia
croj 'ssance prévue de la
c l rcu la t ion rou t iè râ ne s res t pas concré t isée . 0n no tera l -a bonne qua l i té du
t r a v a i l e f f e c t u 6 '
2.5L f ,es avantâgeg attendus des act lv l tés complémentalres ne se sont pag
eneore concrét l .sés et" à ce Jour le projet ne peut être consldéré conme unê
réuss l te complè te . Toute fo is , l -Jaménagement de la rou te se jus t i f j -a i t '
Maurl-ce i Prêt 4-l -" t g.ç.tss.- gaql lg-rs jglltJil des rou tes e t des Ponts
2 .52 . f ,ê p ro je t v lsaJ . t à réparer les
cyclones de. décernbr:e 1q69 et de janvler
fo r r rn ia pour les répara t lons : b l tume,
ponte endomnagés par les
produits suivants ont été
ac ie r , p le r re concassée,
route6 et
f980. Les
c lment ,
- 2 3 -
essenee et diesel, englns et pièces de rechange" Lea travaux ont été effectués
par le Minl .stère des Travaux Frrbl fce, les munlclpal l tés et les commlsslons de
d is t r i c t sur une pér iode de der tx anr r . 11 nra pas é té nécessa l re de fa l re appe l
à des consultants ou à des , tngéni.ertrs survei l - lante.
Z .S3 Le premler dêca lssement a eu l leu un an après l 'approbat lon du prê t
car à 1'or iglne les autor l tég n'ont pu renpLlr 1ee condlt lons dont le prêt
étatt assort i . Le projet a 6t6 achevé trois âns aprèe lee dégâts lnl t laux.
l la lg ré les conr l l t ions d 'u rgence, la mise à exécut lon n 'a pas eu 1 leu tan t que
les conr l : i t ions du prê t n 'é ta ien t pas rempl les . La tâche a é té b len exécutée
par les au tor i tés maur lc len tes .
2.54 0n notera que
l-a mJ.se en vlgueur du
pr inn {pa r t x nb , ' i en t i f s r i r r
1es retards qul se sônt produits étalent lnputabl-es à
prêt et non à des probJ-ènes d'exéctrt lon du proJet ' Lee
pro ie f nn t é t6 a t te i .n ts e t l .e p ro je t a é té un suceès"
egglPg's-*g-99llgrqije
2 . 5 5 .
sounis
Lesotho
Dans le secteur des équipeoents col lect l fa aucun proJet nra été
au Conse i l - en 1985 e t deux l 'on t é té en 1986 (Annexe 1 e 2 ) .
2 . 5 6
: 4g{seJ1gtl3*gt" Ae-gees:g:3jele I
Le proJet avait pour obJect l f une anél iorat lon de 1'hygiène prbl ique à
Maseru et dans l-es envlrons grâce à ule expanslon de 1a capaclté du système
d'a. l imentat ion en eau potable. Le projet représentai . t la premiàre de deux
phase dtun programne <le mise en valeur des ressources en eau dans le cadre
duque l l radduc t ion d 'eau sera l t amé11orée e t garân tLe tou t d 'abord juaqu 'à
1984 pu ls jusqu 'à 1990. De:ce t te façon, le réservo i r de Sebabo leng (cons t ru lÈ
pour desservlr Ia stat ion de recherche agrononlque) pourral t être ret l ré du
el.rcul t de Ia consommation urbalne et renls dans 1e circul- t agr lcole. Les
composantes du projet conprenalent une conduite dtamenée dee eaux brutes et
,une cana i lsa t lon pr lnc lpa- le , un réservo i r e t des s ta t lons de ponpage ' une
extenslon des travaux de traitement des eaux et une extenslon du réseau de
dl-str ibut ion de l . 'eau. Dlverses modlf lcat ione lnst l . tut ionnel les et
d'explol tat lon ont été égalenent envisagées pour 1a sect lon de I 'a l lnentat ion
en eau du Min ls tè re de 1 'Eau, de l 'Energ le e t des Minesr lu l - -con féran t un p lus
haut clegré d'autonomie et le dotant d 'un systèue couptab.Le plus indépendant.
2 - \ 7
. - 2 4 _
Onze mo{s se sont écoulés entre la date de I 'approbat ion du prêt e t
sa date de misr: en vigueur. Des retards étaient alors interverrug au niveau du
recrutement d' t rrr consLl l - tai l t pour les 6tu<les techniques détai l1ées. Lrextenslon
du réseau de d in t r i .b r r t jon ava i t é té ma l dé f in le au moment de 1 'éva lua t lon , e t
la eomposante a Ë tô agrand ie e t n ror l1 . f jée par les pouvo l rs pub l i cs en cours
d 'exécut lon du pro je t . Les t ravaux deva j ,en t ê t re couver ts par s lx cont ra ts . Un
ent reprene l r r i . . : sponsab le de deux des cont ra ts a fa i t fa i l l i te e t d 'au t res
dispost ions of l t dû être pr ises pourl assurer l tachèvement dee travaux. La
eonst ruc t i ,6n du réservo i r a sub l un cer tâ in re ta r r l car on c ra igna i t la
po l lu t ion de .1 . 'eâr t . Cra inÈe q t l l a f in i par ê t re d iss lpée.
2 . s 8 Le pr ,o jeË a é tê achevé avec t ro is aunées de re ta rd à un coût
représentant 1r75 fpls le devis ét.abl t au moment , dp 1'évaluat lon. te
dépassement de coûts a 6 té p r is en charge par le Gouvernement " S 'ag lssant de
1a sec t i n r t r le 1 ' r r r : lduc t ion d 'êau, 1es moc l i f lea t ions ins t l tu t ionne l les
coneernant 1a do ta t ion en persone l . , la fo rmat ion , 1â comptab i l i té e t l -e
sys tème de fac tu r :a t lon e t 1e recouvrement des rece t tes n 'on t pas eu 1 ieu . La
supervisl .on tectrn, ique du FAD a été l rrégul lère et lnsuff lsante. Lorsque des
prob lèmes on t surg i , r ien ou presque n ' lnd tque I 'ampleur r le cas échéant , de
1 'ac t lon de su iv i adoptée par le FAD.
2 . 5 9 te p ro jeË a a t te n t ses Pr l r rc iPux
réuss i te . Des prob l èmes lns t i tu t lonne ls
fonc t lonnement de la seet ion d 'adduc t ion
1 ' E n e r g i e e t d e s M i n e s .
object l fs et en ce sens a ét6 une
exlstent en ce qui concêrne 1e
d 'eau du Min ls tè re de 1 'Eau, de
Llberla I Adduct ion d'eau de Monrovia-Phase I I
2 .60 , Le proJet ava i t pour obJec t l f r les amél io r :a t i ,ons de 1 'hyg iène pub l lc
êt l radoptton t le mesures de prévent lon des naladies à Monrovia et dans les
envlrons en mettant en place un mel l leur systèi le d'al lmentat lon en eau
por -ab le . 11 es t éga lement p révu d 'appor te r c les amél lo ra t i .ons ins t i tu t lonne-1 , les
à l , ' intér ierrr c le l_a l , iber la } later and l , lewer Corporat lon (LI.JSC). Sur un total
de 15 composantes que comportai t le projet de La BAD, clnq ont été f inancéea
pâr p lus leurs donateurs . La par t i c lpâ t lon de la BAD cons is ta i t en La
fournl ture 11 'une cont lul te <1 ' eau de 15. 000 pieds, d 'un col lecteur de
re f - 'ou lement , d 'un sys tème de d ia t r lbu t lon de 1 'eau po t r r - l a v i l le de Bento ,
1 ' a l i n e n t a t l o n e n e a u d u v i f i a g e t l e . l ' 0 l l A e t u n e é t u d e d ' a d d u c t i o n d t e a u p o u r
Careysdurg .
- 2 5 -
2..61 ,1. , , î ni 11, ' . a ' t ! Ô{:1t |Vl 'e r l r t pr:o jet , ' 6tâ ro l 'a l :dée 11 'un a'n er1 rn' i -strn de: ." | .a
Lenteur. , . . i?La{r ' l , rolrre l . . l r . : Le,.q condlt l r rnS ont 6té rempJ-leS. A l-a SUite des reta::dS
errregi"st r ,ô* I1i r ' - i r r l+:merrt " i -a pose 'Je l .a conrlui Lr: pr incipal-e des eaux brt t tes a
6té exôn,r Lr in - l ln rr leux er: l leeter lr i le ref ort lement a été r6par6 et les
. , !sç1 ,1mi e r * ; " réa I cÉen âu t i . t re de I a composante annu lée on t 6 tâ mj ses en
r6serve. Ir ] rr t ravir l tx de concept i-nn , . rnt commenc6 pour 1e nystème de
11 l-str : j -br: t i . , . r r . r r l t , t .a r , ' iL. [r de Bento]. mals l . l -s ont étê lnterrompus avec le
c langonenf , .1e Ç, r t rvq i rnement en 1980. l ,a conf6rence de 1rOUA a eu l leu en
j r r i l l e t 1q7q. PuI r r q r re les t ravâux so len t accornp l i s à temps, le Gouvernenent a
f Inaneé | r- l j - 'pf lne la ma"jeule par t ie t le eette composante ; l -a BÀD a f inancé 1a
condu i -Le pr : l . r rc - i pa l -e de t ra r rspor t . I ,es é t t t r les c ( )ncernant l tadduc t i -on dreau de
Careyehe i :F ; n ' r )n t : pae 6 té t r ien e f fee t r rôns d t t po ln t de vue teehn lq t le r nn tamment
en ce qlr l { : :Gn-nÉri le .1.es ' f
or:a.ges. t . i . r consuitant technlque et i . t entr :epreneur ont
tous clpux fa{t r l r r hon traval l" l ,a srrperv, is lon technlque t le la BAD n'a ps été
'Fr6clarr-r i r . . . f ' ! r .r ' t i , i r l r i frrnrls ( ' rnt i : . t i ' ç i I é.s dtrrt te composente à une âlrtre sang
1rapp:ro6at: icn préal.able de 1-a BAD. La performance de la LI ' ISC a 6té
insu f f l$ ,s î t r :e , y compr ls le re l -a r :d mJs à reurp ,L i r les cond i t l "ons du prê t r 1e
noïr-respect f le,q eonri l t lons du pr:ê8, leg prob.Lèmes de facturat lon et t le
recouvr.ernent r{es r :er:et tes, 1a faib. tesse dee gervlces de réparat l t )n et de
mai*terrance à t(-)p.q L'es niveaux êt . l "a ncln-révislon du système des tar i f s de
1. 'e.qu " Ln I . I ISC doit être re.qt.rur: f r . rrée et renf orcée à tou$ les nlveaux
opé rat lonnels et f lnancier:s, I1" existe des anomal. ies en ce qul concerne 1a
dlmensl-on et 1a lougueur des tuyaux spéclf iées au noment de l - 'évaluat ion" les
tuyaux effee.t l .venenL achetés et eeux effect ivement ut l l isés dans l-e proJet.
Deux de clnq r :r lmprenantes ont été achevées, deux ont été abandonrtées et une a
6té f1nancée par I , ' IDA au l leu cle la BAD. Les trâvaux ont été effect ivement
aehevés trentr ' r ât un rhois après l -a date prévue.
2,62. Le pr:oJet étai t val-abl-e, nals tL a été nls eû oeuvre dans un
envLronnement i . lst i t r r t ionnel et éconornique défavorable. On a relevé les
p1ob1ènes de gest lon que connaît 1a Llberta Water and Sewer Corporat ion'
ÉdrrcatJ"on et $anté
2.63 Aueun rappor t
l ' é r l uca t i on e t , de 7a san té
d'éva.luation ' rétrospe"di.r" pour le secteur
n 'a été sot tmLs au Cr :nsel l n i en l -985 nt en 1986'
de
2-5
Ilt$.::l rultlli:''..
2.$tt \ ' L 'étude sf,écia le er:rrrce rrra.nt , i . .e f tnanceûent deg coûts récttrrents dans
- les Fays 169 ion : r r rx a é tô p r6ser r t6e au Conse l l d 'Admln is t ra t . i on dans la
r l e r n { è r e r n n i f l é d e i 9 8 6 .
2" (1 , : I ,a p rç ; rçs i . t ion t l r : r . . ' i :hor : r :he c ( )ncernant l lne é tude t l ' éva l r ra t lon des
r:et-a i : rJ s , jans 1a mJ se en r i , : \ { rvr* ' r . le s pr: 'o jets a été prêparée en - l c,86. I ,e pr:o jet
d r : p r r r p o s j t i o ï n . l e r e e l r e r c h r : n 6 t 6 r : é d i g é e t d t s t r : i b u é â t l x n e r u b r e s d e 1 a
Div is jon r le J . t f l va l r . ra t ion . 0n pr -opr . rse q i le le t rava j . l so i t e f foe tué sec teur pâr
aeef :eur à par : t . i r r1 r : 1987.
2 . 6 6 Les direct ives clp la. BAD aur 1e contr6le eulvi et l 'éval-rrat lon des
projets ont ét6 prfsentées soua forme de proJet pour J-a prenière fols en avr i l
. ! c )85 r .p . t r :a r ra - { l - n tâ f ra$ r , r 'og l tpsr j6 , ' i eç ru is . I l y aura i t l - ieu d 'examlner avec
les Dé; ra r te . rme l ts opéra t ionnc l -s e t I ' t l n i té cent ra le des pro je ts ce que l !on
eçmpte falre de ce trava' i l af in de préparer un volume de cl l rect ives pour
l . !éva lua t lon ré t rospec t ive r les p ro je ts (senb lab le aux d l rec t l ves concernant la
pr. .éparat ion des rapports d'évaluat ion pour l -ee proJets de développement
agr l -en le e t ru ra l qu l on t 6 té puht iées en novembre l -983) .
2 . 6 7 Le document, l r r t i tu lé J ,e Sys tème d 'éva lua t ion des ac t iv i tés
de la BAD, est ma-intenant pr$t à être examiné par -1.e+pérat ionnel les <lu Gr:oupe
Cornl- té de Programnatlon.
2 , 6 8 Les travalrx re iat- t f s à 1'étude spéc. iale concernant les l ignes de
crédlt aux Organ: i .sat lons lat i .onal-es de f inancement du développement vont
conmencer en 1987. Le car jre de 1'étude sur 1e secteur pr ivé (préparé en
col laborat i -on avec I 'Unité de LrÉveloppement et de Recherche) a été élaboré et
on n'at tend plus nalntenant qrre les moyens de f inancenent.
- 2 7 -
B . U"g:!llçlç: eg{.'4Éejs9re-qPsde l-a BAD en nat lère dtévaluat lon
s"_"_rlgiels:-_lp?_à_l_?!9
Introductlon
2,69 Au eours de la p6rl oi le nl.Lant de ).982 à L986 lnclue, trente neuf
rappor t r dréval .uat lon rét rospect lve ont é té sounla âux ConeelLB, représentant
53 prêrâ-proJeta n un prêt pour éturle et slx pr€ts auppLérentalrea. La
r6par t l t lon seetor le l le de ce6 rappor ts et prête f lgure au tab leau 4.1 ; e l le
se rapporte au nonbr€ total de ptêta eccordés par le Groupe de la BAD au courade la p6rlode al" lant de 1"967 à 1985 lnclus. Les détal ls des 39 rapports aont
donnés au:K annexes 3 et 4. 0n att ire éga1-ement l 'attention sur 1ee concluelone
du Rapport annuel- sur les actlvltée d'éval-uation et I 'exanen dee études
d'évaluatlon de L984, sur les résumés analyt iques des rapports dfévaluatlon(novembre l-984 et Janvier f986) et sur la Concordance dee rapportg
d!évaluat lon (Janvler 1985)
Tableau 4.1Rapporje d'évaluâtiffi-@
exa6'fi66- pâr -iæ-c
onselTs,*@S6,-'"frri:eeqt-es*.li4E!Jf,:J: Ll_!2
Evaluatlon Evaluatlon lotal Prêts duprêts- prêts sup- évaluatton Groupe
Secteur
Agrlculture L2Industr ie 7tranaports 12Equipements/co l lec t l f s 5Educat. /Sattê 3
Totaux 3q
Rapports projets plénentaires dee prêts BAD (4) en1982/86 L982/86 L982/86 19S2/86 L967 /85 Z (s)
L 2 3 4 5
16L2L 7
L23
6T
2
3
1_
6
L4L2I4
1l_3
54
245 6 ,5L02 11 ,82r3 9,0
2L4 5 ,69 9 3 r 0
w5 -il'
Notes : Annexes 314 et Rapport annuel du Groupe de la BAD, 1985, page 44
Notes : a) Iæs L4 prÉts aurout ière.
b) Un rapport surConsell a étéélect r lque.
le secteur deesaisi en L982,
secteur des transportB conprennent une étude
c) Dans le séc têur de l t lndus t r le ,c réd t t .
équlpenents col lectl fs, dont 1eenglobalt 7 proJets d'énergle
les LZ prêts eont des l lgnes de
d) les prêts au gecteur agrlcole conprennent 5 l lgnes de crédlt.
- 2 8 -
:2.7O Pour ce qul concerne les aecteurs couverta par les raPports
d 'éval -uat lon rét rospectLve, re la t lvement aux act lv l tés de prêts du Groupe de
1a BAD, l 'accent a étê mls sur tout sur 1e secteur industr ie l , tous lee prêts
en quest loû étnt des l lgnes de crédl t lndust r le l lee aux Banques de
développement nat ionales. Cela e 'expl tque par le fa i t gurune étude spécla le
sur lea l lgnee de crédlt est prévue pour 1987. Vlent ensulte per ordre
d ' lmpor tance le secteur dee t ranspor ts où 14 prete:pro jets (et 3 prêtg
eupplémentalres) ont été èxamlnés. En trolslène po6lt lon, relatl ,venent eu
total dee prêts du Gtoupe de la BADo on trouve lfagrlculture âvec 14
prêts-pro jets et deux prêts supplémenta l res. Vu I ' lnpor tance que l roa at tache
au développement agrlcole en Afrlque, davantage dtattentlon aera coneacréet
dane les années à venlr, à 1tévaluatlon des proJets. Une attentlon molndre
aval t é té accordée Jusqu' lc l à 1 'évaluet lon rét rospect lve des proJets dans 1ee
Becteurs des équlpements colLectlfe et de l 'éducatlon et de la santé.
2.7L L 'expér tence acqulse en mât lère dtévaluat lon rét rospect lve des
pro je rs est arraJ"yuée par." uccLeut ; chaque secteur étant exanlné du polnt de
vue dee prlncipaur stadeÊ du cycle deg projets. 0n f lnlra alnst par obtenlr
ui le couverture compLète et détal l lée dee traveux de proJet dans chaque eecteur
; c€ qul fourn1ra une base pour J-a formulatton deg Poli t lquesr procédures et
prattques relattvds âun prtts sectorlêls i et un polnt de d€part pour Le
dlalogue entre la Dlrectlon du Groupe de la BAD et lea Gouvefirenent8 neûbres.
I,e nonbre d'études terûlnéêa dana chaque s€cteur egt relatlveDent falbLe, nal8
1'on peut dr oreg et dêJà t lrer quelquee concluslons et falre des
recoooandatlong.
AGRICULTURE
introductlon
2.72 Le Congei1 a Été Balsl de L2 rapporta 6ur les projets rt 'e en oeuvre
dans 1e secteur de lfagrlculture côuvrant 14 prêts-projet6 et 2 ptêta
suppléEentalres. Dea L4 projets, 5 conceff ialent lee cultures i 5 étatent des
llgnea de crédtt accordées prtnclpalemenÈ au secteur agrlcole i et 4
tntéresgaf.ent regpectlveilent I,e bétai1 en quarentainel la ptoductlon de cotont
La productlon de thé et le déveLoppenent rurel lntêgré. Deux dee pfoJet8
étalent axée sur l 'eppul âux actLvltée agrlcoles I Le projet de quarantalne au
Soudan et le projet drappu{ à I ' l rr lgatlon au Mell. Deux projets concernelent
unlquenent lea productiors non vlvrlères deatlnéee à 1'exportatlon.
- 2 9 -
Iden t , l f i ca t i .on
? . 7 3 l ,es pro jets concernant l . 'agr: ieul ture et . [e développemerrt rura I sont
- l -derrtJ f i ês paï les ( ]or.rve r :nement.ç en conelusion des exercl"ces de planl f lcat iun
thr. r lêve l , , rppemerrt . I ,es pr- ' r -r , !+ ' t s prr)p(- 'sé8 peuve(l t être communi qués rJirec ! :ement atr
i l r r :uçre , le J n BÂD Pa]: l e Gouvernernent ou êtr :e présentés âux ml-sslons
,t l ' i r l , rnt i f l r :nf J orr r lepr l rr+-!ef n dtt Groupe r le la BAD' Parf oi .q les pl ' t rposl lnns
puroiJ enrrent tndl-rer: t qment. â 1a Dlreet lon du Groupe de la BAD pât:
! ' l n te rmôr l ïa i re ,J r r ( len l r . ' r : d ' l ,nves t issement r le l .a FA0" Le eho ix ' o t ! le
r- t ler$r, iânen!. pr. i .or: I t , - l j r r : r , lÉ,s pro.Jets est habituel l enent ef f eettr i : par le
Gouvernç:mr:nt !iâlns la co1 J. a.borat iort <ltr personne-[ du Groupe de la BAD : un
pr io j6 t p ro ; rgsé r1o1. t F t r :e sn l t accepté so l t re je té par la D i rec t ion du Groupe
f le la BATr. êt t l e$t rare que le personnei r lu Grortpe de la BAD solt appe-t6 à
s61eet i onner un pro jq1 p;rrmi plusleurs. Ies di-rect lves généra- les de la BAD
prlr11 i . , r : ,1 , t i rsef l texr, t pr. . ' ! qr;r i ta i-re den pr:ojetn de développenent agr"fr : .1 e l , t r - : t rral .
san t * ï t { :d } t :e Ên v r : ie d 'ô labora t ion" De façon gén6ra leo le pT:oee.es l l s
r l ' J - r l11 t i l i ea f lo r r des pro j t l t s f nnc ' t ï t r r t r re b len , ma is La puh l i r :a t ion des
rJJ . re r - ' . t l ves du Gr :o r rpe r j+ ' . l .a BAD { rn mat lè re de po l . t t ique agr leo le I 'am61 l .o reraT t .
{.ronc*'pt.i on. Prépara.t i nn e t pv3-h1qt j91
'? .7 ts I ,es r :nuepptn et crrrrr :ept- ï .ons t le trase des projets sont formul6s pnr les
( - i r : r ; v t : rnemr ln t .$ . La p l upgr : ' t q les p ro je ts agr icoJes qu t do ivent Ê t re f l "nancés par
l^e Gr:nupe de 1a BÀD Ënrl f i r lore préparés par <les organisme$ externt)s, t .e- l .s que
l.e Centr:e r l 'L i lvest is.qenent r le La FAO. I l lmporte quê 1e per*onnc1. du Cr:oupe r le
Ia f lÂIr vËr:{ . f ie 1 'exar: tJt 'ue de ces êtudes et râpForts. 11.s sont Pour la pr. l - rrpart
* * l :a t le fa r l . san ts , me ls i ' Jaus lc c .aB du Ha l ,1 , 1e pro je t de r i z l r r ig t ré de Mopt i - ,
d* js p i :cb lFrne ,s s re sonL pr is6s au s t r . j e t du b len ' - fo r rc lé des prêv is lons , fa i tes par
! l1 r 4 r r l . re r : r :gau lsme, cnncer - .nânt . les répere t rss ions ç le l -a g6c t re resse qu l a sôv i
p l 115 fo r tement qu 'on ne l tava i t p r :évu . I l sera i . t t t f t l .e q l re le personne l
teehnl qrre t l r r ( i r r :upo ' |e .Ln BAD par: t ic l .pe à eertalns exerctces de pr:éparatton
r lqs p1'4' ia, ts eomme celrx org. ln: ï .sés pâr le Centre cl ' Investï-ssement cle ta FA0.
2"75 . f ,ns proJetB son{: 6va"lr-16s par l -e per:sonnel tectrnlqe spéc. i"a t i sÉ ql i t
Çror rpB rJ r ' -1 a ] ' tAD qr r t u t - i l i . se , c -omnle Po in t de dépar : t , le rappor f de p tÉpar , l ' tL ion
r lr . r $ pr:o_iets. L,ù11,$ que les prnJetc sont co-f lnanc6s par 1e Groupe de . l -a BAD et
J-;r l lanr lrre m{- 'nr l la] e, l , 'éva. luatf-r ' rn r l r : 1a Banque mndJaJe précèt le parfoi .s e"e1l-e du
i l rnupe ( j ' ; . | . , .1 IJÀf l , T t seral , t p16f 6rab. l e que t-otthçls ce6 âval.rr i : t . i .ons nol.enl
pf f r .nl r t i , l f , f i c(r11 iûInte" 'merrt p; ]r rrno 6qr-r ipe eOmposde r.1 t t per:8onne.L den deltx
Lu gl- i t r t l . : : i tns "
_. 1n
l , , p g i : i n q 1 r 1 , r i , ' i ! r q l ' . i r ' . i g a t - i i . o r r e t . l . e s c ' i n q l i g n e s d è r : r 6 d i t i l g r i c l l . i . e
âvf l i er r t <: o{Ul tq i l r i l^ : i p : r I r :h ie . r ' t i . f r le < léveloppemr:nt - l , tamé.[ i or f l t [ ( ]n r le
, | . ' a .u tosuJ , f i r , 1 .q r r , . : r . 1 , r l i . n l r ' r u tn . i . r ' ê d t t pays r : o t ce r r t é , J ' amé l . i . o ra t i on de l a l : i r . i ance
des pal emefrr -s €r l . lc r . r ; i . . : . tJ t r r r de nor tve, l les possib l l - i tés c l 'empJ.o i . Darr .q t ler t -a i ,nn
r 4 ! r . l es r . r h i * : r : t - i f - r ; 1 . . , l 6yp l . o l r pene r r t n ' o t r t p ras é té p le t r t r :men t ên t rncés â .u Tnomen t -
, l e " l ' éva - l l a t l on r r ra l # 6 t : a i en f i . r r r i i r ; ués imp1 1c i t emen t pa r -1 e c< ln t , r r x te e t , Le
,1eç r . r l p t l I i f < r r ! ! . ] r . , , i i , t , r p rop r :emen t : d . i t s (Rwanda : p r : o j e t t t l é Fanba 'Gar rcka c l
| f a r i l y r : : o j r : ! r i z i r : r ' i gué r l e Mop l - l ) L ' obJec t t f de e réa t i on r1+ - r nouve l l . es
p o s s i h J - l i t 6 s r i ' e n p l r ' ! c l e v r : a i t ê t r e t r ; l - [ l é a v e c c L t : e o n s p e r : t i , o n ; e n e f f e t , d a n s
! .e ( : aÊ t l ' u r r 1 , r1 r ' ! r , l i 1 y ava l t p . l . 6 t t r o r : e d ' adm- in j s t - râ teu rË ma is pé r t r t r . i c r j e
p r r sonne l - de [ : r : r ' : r : : l i n e t 'C ' i r r I g i r t i - o t t (So rna l j e : p ro j e t r f i r r i ga t l o r r
r l 'A{go; , . -T ' tcr rd l -1. r . * ) . . l ) ' :Jr . t t r :Ês ob. iect ' i fs < le d6velôppement, Qut a. t t t . 'a j - r :n t pr l
. : tpFârel t re d?tr r?1 l es rappor l :s <1 'évaI t ' , r t i .on mai .s qu1. ne. sont {L le râre$ent
merr t1oni lés " sor : r t J ae bes6ins de réa1lser un développement régl ona t équt l lbr6
r i . r r l !1ô , d :Fal t . i . l . lor i âqr : i tab1 e , : l r . r r : r ivêr lu réeL et mcrrréfa{re entr r : l r :s r i ivere
g l ro { l pes f i r : . Ln soc ié té . A r r momen t e le l a p répa ra t i an du p ro je t , on poun ra i t
16 f l éeh : i . r " r j avap t -âge aux au t re r * noyens poss ib les d ' a t t e i . n r l r : e l es oh jec t i f s du
p ro je t : exp lo i [ a t i , r r n é ta t l que pa r rappo r t a r . t x p r :o je t s c te r : r ' - Lon i sa t i on
a , g r ! . c , r I e ( l i o r n a l J e : P r o j e t c l ' 1 r : r : l g a t i o n t l ' À f g o i - M o r d j - I e ) : o u - l ' i . n r i g a t l o n P s r
1;r mal t r j -ae des r \aux d ' l nonclat ion en rapport avec l -a conservat lon des
ï+ rss {Ju r f ( : e ,e en eau i i u moyeo d t r rne d ig t t c - ' ou d tun déve rso i r (Ma l i : p roJe t r l e r i z
l r r i g u 6 d e M o p t l ) "
2.77 De façon gônéra l * , le p rocessus de concept i -on , r le p répara t ion e t
rJ têvaluaf- lon cles pr:nlets f ,onct innne hien. La qal i té des râpport$ d tévaluat ion
. . j ' r rmé l l -o rê , e t on t i . re les ense ignements des expér l .eneeg aequ iseS.
' : . 7 h
Mlse
2 . . 78 De
lr.rnbre de
pr:o iet e ;
l . ' r tervenug
f;':nse I l. rlrr
de cotts
i n t 6 r e s s é s .
en oettvre des !r919-!e
par s^ nature même , 1. ' agr i .cul ture est t lne clpérat j -on r : i squée ;
var lable,s extstent- qrr i échappent au cont rô1e de l .a gest ion des
1 ' lncidelcr, : de 1 a séeheresge , par exemp-Le. Des retards sont
dans - l - 'exécut ion < le eer ta lns p r :o je ts après app i :obat inn pa1 I 'e
Grorrpe de la BAD. Ces retarr ls peuvent occasi.onner des dépassements
qui sont habitrrel lement pr l s en charge pâr l .es Gotrvernements
- 3 1 -
L,expérience eû matière de nlse en oeuvre fait apparaître la
nécessité de procéder, au noment de l 'évaluat lon du projet, à une anaryse plus
approfondie de la gest ion des fernes. ceia comprend nef lmment I 'exanen de
l ,adéquat ion à l - 'env l ronnement des cu l tu res e t du $a tér ie l sé lec t lonnées
( S o m a 1 l e : p r o j e t d ' i r r i g a t i o n r l ' A f g o l - M o r d i l e ) , l e s é t u d e s d e l t o f f r e e t d e s
besolns nensuels de main-d'oeuvre pour les cul tures vlvr lères et les cul tures
de rappor t a f in de s rassurer , Pât exempler {u€ les exp lo i tan ts d lsposent de
suf f i samment de temps pour s 'engager à la fo is dans les cu l tu res v iv r iè res 'e t
dans les cu l tu res de rappor t nouve l lenent ln t rodu i tes . (Rwanda: p roJe t thé de
Ranba-Gaseka) et des études sur les narges bénéf ic iaires brutes des
entreprises agricoles pouf dêterminer, par exemple si les cul tures de faible
valeur peuvent supporter les cotts des machines agrlcoles et des services
d, i r r iga t ion (Somal - ie : p ro je t d f i r r iga t lon d 'A fgo i -Mord ï le ) '
I ,es d6passcme{i t ,$ de e.otts errregistrés onf âté dus en par: t le au fai t
2 . 7 9
2 . B o
2 . 8 2
que les étut les technlques détai l lées et une analyse des cotts des usines de
tral tement des récoltee n'avaient paE été effectuées avant l f6valuat ion du
projet. L 'analyse f inanclère des proJect io 'ns de "cash f low", des cooptes de
résultat et du bi lan est également très ut l le pour cea uslnes, nale 11 arr l -ve
par fo ls qu ,e l le ne f igure pas dans 1es rappor ts d 'éva lua t ion ' (Burk ina Faso:
p r o j e t d e d é v e l o p p e n e n t r u r a l l n t é g r é d e l a V o l - t a N o i r e ) .
2 . 8 L Les condit ions de prêt dolvent être raisonnables, appl icables et
vér l f lables. 11 arr lve que Ie personnel-clé des projets n'ai t pas été nommé
(Somal ie : p roJe t d ' l r r iga t ion d 'A fgo i -Mord t le ) ; que les tâux d ' ln té rê t
appl- iqués aux agricul teurs soient supérieurs à ceux convenus par le Groupe de
La BAD, et que les comptes des projets des donateurs nraient pas êtê
convenablement tenus (Madagascar : ligne de crédit agricole à la Banque
nat ionale de Développement rura]-) . Dans un cas, le Gouvernenent nta pas pr ls
en charge les dépassements de cotts, la issant inachevés certains travaux du
proJet (Ma l l : Pro je t de t i z i r r lgué de Mopt i ) '
Ies disposit lons teehnlques ou physlques contenues dans 1es rapports
drévaluat ion de proJet sont habttuelLement bonnes (bât inents' canaux
d ' i r r iga t ionn rou tes d 'accès , mach lnes e t équ ipenents agr ico les ' ma is des
problènes "'éurgissent
parfois en ce qul cotcerne Le disposltif lnstltutionnel
et La pol i t ique générale j non recruterûent du personnel-clé (Somalle : proJet
drLr . iga t ion d 'A fgo i -Mord i le ) , rég ime fonc ie r na l dê f in i (Tun is ie : p ro je t
- 3 2 -
d ' l r r iga t ion de la Va i l -ée de Med jerda) , doub l -e emplo i des e f fo r ts t lép loyés par
ur Min is tè re e t une organ isa t ion para-é ta t lque (Burk ina Faso: p roJe t de
développement rural lntégré de la Volta noire), pr ix prat iqués au nlveau de
l rexp lo l ta t ion , e t fourn i tu re de serv ices de c réd i t e t de vu lgar lsa t lon
(Rwanda : proJet thé de Ramba*Gaseka). Au Ma1i, 1es dlsposlt lons
inst l tut lonnel les régissant le fonct lonnexnent de 1'Organlsme d'Etat chargé des
travaux pubj ice ruraux 1'ont empêché de part ic lper aur appels d'of fres pour
dréventuels narchés (Résunés analyt lques : Mal i
I ' l r r i g a t i o n ) .
: p roJe t d 'appu l à
2 . 8 3 Lrenprunteur a subi des pertes de change (par rapport au pouvoir
d'achat des devises) dans 1e cas du Ghana : premlère l lgne de crédlt à la
Banque de développedent 'agr icole.
Dans ce cas, le prêt du FAD a été aecordé
dlrectenent à la Banque de déve]-oppenent agricoLe. Cela pourral t mettre la
Banque de t léve loppement agr ieo le dans une s i tua t ion dé l l ca te lo rsque 1e prê t
du FAD do l t ê t re remboursé b len que la EDA bénéf ic le de l rappu l de I 'B ta t .
Pour ' évi ter ce problène, la deuxlème l igne de crédit a été accordée au
Gouvernement qul devalt La rétrocéder à la BDA. Dans ce cas, tous les r lsques
de change sont supportés par l rEtat.
2 . 8 4 Les proJets agricoles ne peuvent être nls en oeuvre avec auceês que
dans un environnenent où les dlsposit ions de pol l t lque générale et
l -nst l tut ionneles aont rat lonnel les et où 1-es servlces d'appul conplénentalre
sont fourn ls de façon adéquate . Deux.au t res po ln ts do ivent ê t re sou l lgnés : le
coOt des instal lat ions agro- lndustr iel les devral t être ent lèrement calculé
avant que les projets ne soient soumis à 1'approbat lon du Consei l ; et i I
faui l ral t accorder davaltage d'at tent lon, au monent de 1'éval.uat ion du projet '
aux études de gest lon des fernes et aux études soclo-écononiques.
Petfornance des proJets
2 . 8 5 Les proJets agrleoles consldérés nr ont pas tous Ét6 exécutés
confornénent au pl-an eoumis au noDent de l révaluat ion. Dans un cas' 5OZ
seulement des ter es de cul ture prévues ont êtê cul t ivées (Somalie : projet
d ' l r r l -ga t lon d 'A fgo l -Mord i le ) . Dans un-aut re , le labourage en pro fondeur n 'a
pas été termlné car 1e Gouvernement n'a pas assumé les dépassenents de cotts
( t ta t t : p ro3et de t Iz L t r lgué de Mopt i ) . Dans un t ro is lène cas , les ob jec t i f s
- 3 3 -
ar rÊtés pour les super f i c ies i r r lguées e t les rou tes ru ra les n 'on t pas é té
atteints (Burkina Faso : proJet de développement rural lntégré de I 'a Volta
no l re ) , par fo is , les rendements des réco l tes n 'on t pas a t te in t 1es obJec t i - f s
f lxés âu moment de 1révaluat ion. La perfornnance agrlcole peut se révél-er
insa t is fa isan te du fa i t de .s bas pr ix payés au n lveau de 1- 'exp lo i ta t ion ou de
I_' lnsuff isance des services de vulgarisat ion et de crédlt . 11 se peut que les
projets souffrent de la sécheresse. Des problènes de réglne foncier peuvent
surgir . L 'aménagement des périrnètres ayant étê nal ef fectués en Sonal ie
(pro je t d ' i r r iga t lon d 'A fgo i -Mord i le ) , cer ta ines super f l c les n 'on t pu ê t re
convenableuent l rr iguées. La nauvaise planlf icat lon des récoltes a égalenent
const i tué un problène : Les arachides ma1 adaptées alx sols argi leux et
suscept ibl-es d'être affectéee par le "rust" r 1e sésame et 1e problène
d,"éclatement" ; le t lz encl ln aux ravagea causés pâr les olseaur. Come on
1fa signalé en 1984, 1e projet coton en Gamble n'a pas répordu aux espérances.
2 . 8 6 11 ne srest pas encore écoulé suff isamment de temps pour guton puisse
effectuer des études d' lnpact détat l lées ; en fai t , t1 sera di f f lc i le de
procéder à ces étudee pour des proJets qul ont été éva1ués 11 y a quelques
années en raison de l ' lnsuff isance des données de base et de l rabsence de
groupes ténolns permettant de coûparer les lncldences dans des sl tuat ions
"sans et avec projet" . Les futurs rapports dtévaluat ion pourralent être
rédigés en tenant conpte de cette quest ion.
2.87 les projets agricoles ont donné des résut-tate ni t lgée et t l y a
possibl l l té d'amél lorat lon. Des études de gest ion des fernes, 1es études
maln-droeuvre et l .es études f inanclères au, noment de 1'évaluat lon
contr ibueraient quelque peu à amél iorer l -a sl tuat ion.
sqp5tr!9l9lt
2 . 8 8 Un nombre reLativement fatble des projets évaLués ont bénéflé d'une
.mlseion de lancement pour aider les fonct ionnalres et l -es responsables du
pro je t à respec ter 1es cond i t lons deg prê ts e t s 'assurer que 1es procédures de
passat lon de narchés et d 'appe1 droffres étalent plelnement comprises. Dans
certâlus cas, 1a supervlslon technlque des projets par le personnel du Groupe
de 1a BAD a été l rrégu1ière ou n'a pas eu l ieu. Idéaleuentr 11 faudral t que
tous les projets agrlcoles fassent I 'objet d 'une supervislon technlque au
nolns une fois tous les slx mois '
- 3 4 -
2.89 I1 se peut que les projets entrent dans une deuxième phase ou une
phase ui tér ieure avant une évaluat ion des réal isat ions et dee problèrnes
rencontrés dans une phase précédente. 11 s 'agi t 1à d'une prat ique
contr indlqu6e nefdlmment lorsqu'on sai t que ces proJets ont connu des
probJ-ènes, cornme ce fut l -e cas en Somalle et au Mal i . f l arr lve parfois gue
1es études d'évaluat ion soient retardées en attendant la publ- icat ion du
rapport d 'achèvement de projet. Ces rapports devraient être rédigés
systénat lquement pour tous les projets du Groupe de la BAD.
2.gO Âueun des proJets agricoles examinés ne semble avol-r été t loté à ce
Jour d 'une un i té de cont rô le su l -v i e t d 'éva lua t ion en tan t qu 'a ide à La
gest ion des projets. Un autre aspect de la eupervislon du Groupe de la BAD est
1'absence' d 'un mécanlsme de suivi bien déf ini pour vel l ler à ce que lee
recommandatiorrs f lgurant dans les rapports dtachèvenent et drévaluat lon
rétrospect ive cles pro' iets sol-ent appl iquées convenablement.
Quest ions inst i tut ionnel les sj-9g rgl1!isge-e9:,ire 1 e
2 . 9 t Pour ce qul eoneerne Les proJets de développenent agricole et rura1,
l-es quest ions inst i tut ionnel 'es comprennent 1a fournl ture en tenps voulu de
personnel*clé, le renforcement des inst i tut ions rurales (Burklna Faeo : proJet
de déveLoppenent rural l .ntêgré de la Volta Noire), et la prévent ion du double
enploi des efforts dép1oy6s par 1es minlstères et les organisat lons
para-état iques. Au nombre des quest ions de pol i t ique générale qui ont été
soulevées, il faut mentionner les problènes llés au réglne foncLer, dee prlx
peu lntéressants au nlve.au de I 'exploi tat ion et 1 'Lnsuff isance des services de
cr6dlt et de wlgarlsat ion. La fourni ture de gervices de recherche
d'adaptat ion et de services de contrôl t , suivi et d 'évaluat ion est égalenent
lnd ispensab le .
!glos: et recomnandatlons
2.92 0n peut faire plusleurs recomrnandat ions dont 1es p1-us importantes
sont les suivantes :
a) certainé types de projets exigent un r legré d'analyse de gest ion
des fe rmes, en ce qu i concerne à la fo ls l ' o f f re e t 1es beso ins
de main*d'oettvr:e n êt aussl 1 'analyse des narges bénéf la ' res
bru tes des en t repr ises )
b )
c )
- 3 5 -
les rappor ts d 'éva lua t i on devra ien t fa i r :e appara î t re p lus
clalrenent que drautres solut ions posslbles ont été envlsagéee
pour a t te lndre les ob jec t i f s du pro je t e t qu 'on a cho ls l ce l1e
qul conven-ai t 1e miettx I
des études de concept ion et de cotts détai j lées pour les uslnes
de trai tement des réeoltes devraient être effectuées dans 1a
[esure du possible avant 1'évaluat ion du proje. 11 faudral t
é tab l l r des pro jec t ions f inanc lè res pour ces us lnes , y conpr is
l-e "cash-f low", 1es conptes de résultâts et 1-es bl lans ;
t1 faudra l t s 'assurer que les cond i t lons de prê t a t tachées aux
projetS sont respecuées en effectuant surtout dee visl teg de
supervision technique. Le cas échéant, les proJets devralent
i .ne lu re une composante de cont r6 l -e su iv i e t d téva lua t ion en tan t
qu 'a lde à 1 -a ges t ion des Pro je ts ;
l -es quest lons de pol i t ique générale et lnst i tut ionnel les
pour ra len t fa i re l rob je t d 'un d ia logue en t re la d i rec t lon du
Groupe de la BAD et les Gouvernenents' Ces quest ions pourraient
recouvrir la pol i t lque des pr: lx au nlveau de lrexploi tat l -on, le
régime foncler et la fournl ture des servlces de vulgarisat ion,
de recherche et de crédit ;
les rapports d'achèvement de proJet devralent être comunlqués
en temps voulu et systématiquement pour tous les projets achevés
du Grorrpe de la BAD ;
11 faulrai t évaluer 1es phases antér leures des projets avant que
les fonds ne solent engagés dans de nouvell-es phases. Au Mall'
1-e projet de r iz l r r lgué de Mopti est un cas d'espèce i
d )
e )
f )
s)
h ) t l faudral t élaborer un nécanisne de suivi des couclusions et
reconmandations découlant des rapports drévaluat ion t
i ) des ml.sslons de supervlsl .on technlque devraient se rendre deux
fois par: an sur le el te des projets
On notera -que la plupart des reeommandatlôns énoncées cl-dessus ontdé jà é té mlses en oeuvre ou sont sur le po ln t de 1 'ê t re (Annexe 5) .
NB.
- 3 6 - -
INDUSTRIE
Introduct ion
2 . 9 3 Le Couse i l d 'admin is t ra t ion a 6 té sa is i de sept rappor ts concernant
<les projets dans le secteur industr lel ; ces projets englobaient douze
prêts-projers, qui étaient tous des l ignes de crédit dest inéee pr incipal-ement
au développement des pet i tes et moyennes entreprlses. Les l lgnes de crédit ont
é tê accordées à sept pays (sept p remiers p rê ts e t c inq prê ts - re la i ) e t e l1es
ont toutes été exécutées selon 1es condit ions f ixées par la BAD.
Ident i f tcat ion
2.94 11 ressor t d fun exâmen des rappor ts d 'éva lua t ion e f fec tué pour les
1.tg1nas 11+' eré. l i t q l lc cês pr:o iets émanent presque tort- iours dtune demande
formulée par La banque nat ionale concernée et t ransmise au Groupe de la BAD
par I ' lntermédlaire du Gouvernement.
Concept ionn préparat lon et évaluat ion
Z.gS Les propos l t i . ,ns de l igne de c réd i t son t é laborées e t éva luées par le
personnel technique du Groupe de BAD. Les ml-ssions de ce genre ae conposent
habltrrel ,ernent d'un analyste f inancier qui examine 1a si tuat ion et les
résultats antér ieurs de I 'organisat lon de f inancement concernée et les
pro jec t ions é tabr ies pour 1 'aven i r .
2 ,96 Les l ignes de c réd i t indus t r ie l on t hab i tue l lement pour obJec t t f
1 'amél iorat lon des balances des paiements des pays membres par le bials de la
subst i tut lon des lmportat ions et de sous-projets axés sur les exportat ions i
de La d ivere t f l ca t ion des ac t iv l tés économlques ; e t de la c réa t ion de
norrvâaux emplois. objectt fs qui sont habituel leneût attelnËs en encourageant
les indus t r ies de fa ib le e t moyenne d imens ion '
2 . 9 7 Dans le cas des l ignes de crédlt examlnées, oû ne sr est guère
efforcé, au moment de La prêparat lon et de l 'évaluat ion des projets, d 'énoncer
de façon détai l r ée la manlère dont les fonds seraient ut i l isés pour f lnancer
les sor rs -proJets . Une l i s te de pro je ts en r fserve es t soumlse-par I 'enprunteur
ou 1 'o rgane d texécut lon ; e t à des da tes u1 tér ieures des propos i t ions
- 3 7 -
i nd iv ldue l - - les de sous-pro je ts sont soumlses à
BAD. Se. lon la p ra t ique ac tue l le , une ana lyse
proposés es t ex igée au moment de 1 téva lua t ion .
qu 'on devra l t fa t re app l lquer .
2 . 9 9
l rapprobat ion du Groupe de 1a
p lus dé ta i i lée des sous-pro je ts
I l - s ' a g i t 1 à d ' u n e p r e s c r i p t i o n
Ulee_Sgl{guegrl
2 " 9 8 Des retards Bont lntervenus dans la nlse en vlgueur de certalnes
l lgnes de crédtt , notamment la premlère l lgne de crédit ladustr lel- â 1a Banque
de développement de la Zanble. Cela a été dt à des nalentendus au euJet des
condlt lons de prêt et des tâux de change. Le succès des l lgnes de crédit
lndustr iel dépend dans une large mesure de l"a si tuat ion écononlque généra1e du
paya concerné. I l arr lve parfols que 1es condlt ions de prét ne soLent pas
resp€ctées ' cotme cel-a s 'est produit au Slerra Leone où deux agents du
personnel-clé ntont pas êtê nomoés conne convenu au noment de l 'évaluat lon.
CeLa pourral t être êvLté si Le Groupe de 7a BAD procédait è une supervlsion
techn lque p lus r lgoureuse.
!g"l::ggg:_9g_f:gJgt:
la perfornance des l lgnes de crédit lndugtrlel a été mtttgée ; ce
qur l1 - fau t a t t r lbuer aux cond l t ions économlques don lnantes a lns l qu tà des
facteurs lnst l tut ionnels tels que l-a dotat ion en personnel-r 1a fornat lon et
les dl f f tcul tés de supervlslon des sous-proJets découlant de problènes
loglst iques (des pénurles de véhlcules ou de conbust lble, par exemple). La
1lgne de crédtt â Maurlce a connu un succès relat i f , maie cel les accordéee au
Sier ra Leone n 'on t pa6 a t te ln t Les résu l ta ts eecomptés .
lqP:rylslrg
2.100 La supervislon technlque des J- lgnes de crédit lndustr ieL a été
Lrrégul lère, et des prêts-relai ont été effectués san6 procéder à une
évaluat lon approfondie de la perfornance des 1- lgnee de crédit antér leurea. Les
lLgnes de crédit devralent fai te 1'objet dfune supervleion technlque au mol.ns
deux fois par an ; et 1es l lgnes de crédlt ul tér leures ne devralent être
approuvées qu 'après Lréva lua t lon des l lgnes an tér leureg .
gy:gllot:-LL"glstr1l13sL1il-gt-is-gqlilqg"-SÉgfele
2. f01 Les ques t ions ins t i tu t ionne l les se rappor tan t aux 1- lgnes de c réd i t
lndus t r le l concernent la fo rna t lon e t La fourn i tu re de spéc ia l i s tes e t de
technleiens ; les problèmes loglst iques, y conpris La fournl ture de natér iel
d e b u r e a u e t d e v é l l c u L e s p o u r l a s u p e r v i e l o n d e s s o u e - p r o J e t s ; e t l a
nécess l té , dans cer ta ine easr d tune réorgan lea t ion ln te rne Par t le l le de
l r lns t i tu t lon de f lnancement de déve loppement concernée (sur 1e p lan des
néthodes conptables et du recouvrement des arr lérés eur l -es prêts) '
iecons et recommandations
2.L02 On Peut t i re r les enselgnements sulvânts :
a )
b )
1es l ignes de
re lat lvement
aux pe t i tes
lndus t r l e l les .
développement
crédlt peuvent €tre une néthode de décalssenent
raplde permettant d 'accorder une alde f inancière
et moyentrea eûtrePf 18es comerciales eL
On peut alnel falre beaucoup pour encourager le
du secteur Prlvé t
1 'expérience montre que cert ines l lgnes de crédlt devraient
e,accompagner d'un appul technlque (au polnt de vue des apports
en personnel-clê, dtune fornat lon, d 'un sout ien loglst ique
(véhicules et matér lel de bureau), de 1'encouragenent du
développeurent lnst i tut ionnel (réorganisât ion lnterne, méthodes
comptables et systèmes de recouvrement des arr lérés) ; et
bénéf leler d 'une supervislon technlque régul lère par le Groupe
de 1a BAD ;
c ) 1e GrouPe de la BAD devralt
ne so ien t ré t rocédés qu 'à
gérés, Qui sont viables et
au déveloPPetr€nt économlque
ve i l le r à ce que
des sous-pro je ts
qui aPportent une
;
l-es fonds de La BAD
qul vont être blen
contribution utile
d) des nlsslons de supervlslon technique devraient vLelter l -e sl te
des ProJets deux fols Pat an'
- 3 9 -
TRANSPORTS
Introduct lorr
2 .1 ,03 Douze rappor ts d 'éva lua t i ln ré t rospec t ive concernant des pro je te n is
en oeuvre dans 1e sec teur des t ranspor ts on t é té p résentés au Conse l l : ces
pro1ets comprenaient quatorze prêts, dont un octroyé pour une étude de route,
onze pour la construct lon de routes et deux pour des amél iorat ions
aéropor tua l res . Ctnq des quatorze pro je ts on t é té f inancés par la BAD' hu l t
par 1e FAD et un seulement par 1e FSN. Trols prêts supplénentaLres ont été
également octroyés.
Ident l f lcat ion
2.L04 Les pro je ts ln té ressant l -e sec teur
ldentt f lés par les Gouvernements dans leurs
d6narches peuvent être al-ors effectuées
obtenlr le f inancement.
des transports sont habltrrel lenent
plans nat lonaux ou sector lels. Des
auprès du Croupe de La BAD Pour
Concept ion, préprat lon et évaluat lon
2.105 L 'éva lua t ion des pro je ts es t p récédée d 'é tudes techn iques
économiqueg approprlées ; 1- 'une d'el les, relat lve à l -a route Yegue-Iangabou
Togo, a étê f inancée par le FAD.
2 .L06 Les pro je ts rou t le rs tendent d to rd ina l re pour 1 'essent le l à réa l i ser
d e s é c o n o m l e s d e t e n p s d e d é p l a c e m e n t ; à a b a l s s e r 1 e s f r a i s d ' e x p l o i t a t i o n
des véh lcu ies ; e t à réa l l ser des économles de co t ts résu l tan t d 'une réduc t ion
des dépenses dren t re t len 1 iées à I 'exp lo i ta t lon des nouve l les rou tes . I l s se
just i f ient aceessoirement par le désir d 'encourager le développenent
complémenta i re c le 1 'agr icu l tu re , de 1a pêche, du tour isEe ou drau t res
opéra l - ions commerc la !ês . Les inves t issements aéropor t t r ra i res ae jus t i f len t en
ce s r ln s qu ' i J -s permet ten t des économies de temps Pour - les passagers e t
errc{)urîâgent . t .e traf j .c.-af faJ res et torrr i sme et les opérat ions de fret aér len-
Dr r fa i . t de f i .ns , j f f t sance c les r . lonnées s r r r 1e t ra f i c - , ' l es p ro je ts rou t le rs on t
c r \n r l r r r les p r : r rh lô rnes a t t l r tn r tp ,Je 1- té1 .abor :a t lon .
e t
au
- 4 0 -
Mlse en v igueur
2 .107 Un des prob lèmes no t6s dans la mlse en oeuvre de p lus leurs p ro je ts de
t , ranspor t es t 1e re ta rd p r : i s pour a t te indre le s tade de n ise en v igueur du
prê t . Dans 1e cas de quat re p ro je ts réa l i séa au Burund i r € t r Ganb le , âu
Cameroun et au Lesotho, ce r :etard s 'échel-onne sur des pérlodes de neuf à vingt
deux mols . Ce la pour ra î t ê t re d t en par t ie à 1 'é labora t ion d 'un ca lendr le r
trop opt lniste au ronent de 1'évaluat ion, à une connaissance inparfal te des
procédures à su lv re de l -a par t des pâys nembresr ou à 1 'absence e t
l , tnsu f f i sance d 'é tu t les techn iques dé ta i l lées . Dans cer ta ins endro i ts , i l es t
a lo rs d j - f f i c j le d 'ob ten i r des soumiss l r ins des en t repr ises de cons t ruc t ion
Lnterna t lona les . Une fo is que - [ texécut ion es t en rou te , des prob lèmes
d'approvisl-onnement peuvent se prtrduire comrne ce fut le cas au Burundl et au
Lesotho'
2 .108 Les cond i t i6ns de prê t on t é té resser rées au cours dee ans Pour
s'assurer que les consultants et les entrepreneurs dlsposent à tout moment sur
le chant ier du personnel c lé expérinenté. La coordinat ion entre les
Ingén leurs -Conee i ls , Les en t repreneure e t 1 'admin is t ra t lon a posé dans
cer ta ins ca6 des prob lèmes sans impor tance. S 'ag lssant de que lques pro je ts
tous les t ravaux sonf achevés ; i1 fau t tou te fo is re lever des carences , te ls
un pont bascu ie qu i n res t pas enEré en serv ice , l ' absence de b i tune aur la
surface de roulement d'un pont et Ia slgnal lsat ion lncomplète des routes et
des aéroports. Le co{lt d'ensenencenent eÈ de gazonnage des tranchées et des
renb la is devra l t ê t r :e lnc lus dans 1es co t ts d 'équ lpenent dee Pro je ts t
no tamment 1à où 1 'é ros ion du so1 présente un danger .
r glf_": *e ryS*9 e ll .g iftS _
2.IOg pour Ia pl .upart dee projets, 1e6 trâvaux ont été bien exécutés et
eonformément aux spéc. l f teat ions. Une except lon concernalt les tronçons de l-a
r:oute Hergel sa-Berbera en Somali .e où des problèues ont 'eté attr ibués aux
cârences c le 1 'é tude de fa tsab l l l té . l ,es p lans on t é té légèrement modt f iés de
temps à autre pour te 'nir eornpte de formatlons g6ologiques lnprévues ou des
e o n d i t i o n s d u s o l .
,iI _
2 . 1 1 0 C o m m e o n 1 ' a s i . g n a l é à 1 a f i n d e 1 9 8 4 , l e s p r o j e t s r e l a t i f s a u x
t ranspor ts on t fa i t appara î t re , , les résu i ta ts mi tLgés . Au Kenya, les t ro is
pro je ts rouEiers on t eu des e f fe ts mu l t ina t ionaux u t l les , anê l io ran t 1 'accès à
la Tanzanle, à l rOuganda, au Burundl- , au Rwanda et à certaines pârt ies du
Zafte. Parel l l -ernent, la l la lson rout ière entre le Togo et 1e Ghana a été
amél lo rée . Ces inves t lssements favor isen t 1a poss lb l l l té des échanges
lnter-pays. Au nlveau nat i onar certalns des argunentg concernant 1e
déve loppement complémenta i re de l fagr lcu l tu re , de 1a pêche e t du tourLsme,
avancés pour Jus t t f ie r en par t ie 1es pro je ts concernés , n ron t ê tê réa l leés
que part lel lement ou pâs du tout. Cela est vrai des deux routes construj . tes auBurund i où 1 'augmenta t ion de la c i rcu la t lon a é té fa lb le à ce Jour . L 'absence
de ces invest lssements complémentaires entrave 1a plelne réal isat ion des
avantages décou lan t des pro je ts .
lqPsrrlsfgl
2.111 La f réquence de la superv ls lon techn ique des pro je ts rou t ie rs par lepersonneJ- du groupe de l-a Banque à été généralenent bonne, nais el le a éténolns bonne dans l-e cas de deux projets dramél iorat i -ons aéroportuaires. Au
Burundl, la Dlrect lon de la BAD a atdé Ie gouvernenent à négocler une
réduct lon d'une soumlsslon pour un projet rout ier af in que 1e cott total soi t
dans I 'enve l -oppe f inanc iè re p réwe dans le rappor t d réva lua t ion . Lorsque lesgouvernenents so l l i c i te .n t ce genre d 'a ider le g roupe de la BAD peut Jouer un
r ô l e u t i 1 e .
Questlons lnstl tut lonnelles et {grplllt-qge-seÉsgle
2. ILz Ies po in ts lns t l tu t lonne ls re levés on t por té Eur la nécess l tê deren forcer cer ta ines admln ls t ra t lons na t iona ies responsab les de 1ap lan i f i ca t lon e t de 1 'admln is t ra t ion des rou tes e t des aéropor ts . . Lesquest ions re ra t l ves à la ges t lon des aéropor ts on t é té passées sous s i lencedans l-e cas du Cameroun : proJet de 1'aérogare de Douala. La pr incipaleques t ion de po l i t ique généra le es t 1a nécess l té d 'assurer La réa l i sa t ion
ef fec t i ve des pro je ts conp lénenta i res de déve loppenent u t i l i sés pour Jus t l f ie r1a cons t ruc t ion ou la réhab i l - i ta t ion des rou tes .
* 4 2 -
Leçons et recomman<lat-i-ons
2.113 Sur le pJ-an techn ique, les t ravaux de gén ie c iv i l on t é té de façon
générale bien exécutés. Les recommandations les plus lmportantes que l ton
pulsse falre sont les sulvantes :
amél{orec la col" l-ec te. dee doanées sur 1e traf le : cela a d6Jà
été fa l t sur I 'ensemble du ter r l to l re du Lesotho.
b) Pour les fu tu rs p roJets , examiner Lee Jus t i f l ca t ions seconda i res
concernant l -es évolut ions économiques complénentalres proposées
en ayant so jn d réva luer dans que1 le mest t re ces évo lu t ions on t
ders chances de se produ i re .
\r . ,
Lorsque l-es instal lat iorts ont été mises en place et que les
6r 'olut ions complémentaires niont pas été amorcées 7a Direet ion
du groupe de la BAD pourrai t entaner le dlalogue avec l-es
gouvernements concernéa.
Les projets de transport devralent être convenablenent et
entièrenent achevés pour ce qui touche au revêtement dee routes
e t à la s igna l i sa t ion des rou teo e t des aéropor te .
Dans 1es s l tua t lons d 'u rgence, les pays concernés devra ien t
prendre des d lspos i t lons lns t l tu t ionne l les de na ture â accé lé rer
l-a nise en oeuvre des Projets.
3agrtErFrrl_c*ollggTIrg
Introduct lon
2.L14 Les conse i ls on t ê tê sa is is de 5 rappor ts d 'éva l -ua t ion ré t rospec t ive
concernant l l prêts-proJets et un prêt supplémentalre dans le secteur des
équlpements col iect i fs. Un des 5 rapports concernait un exârnen de 7
prê t -p roJe ts d 'énerg le é lec t r lque oc t royés à l 'Egypte (3 ) , au Maroc (3 ) e t au
Malawl ' (1). Les 4 autres rapports concernaient respect ivement une centrale
a )
c )
d )
e )
- 4 3 -
é lec t r ique au Sénéga l . e t 3 p ro je ts d 'addt rc t ion d 'eau au Zaï te , au L lbér ia e t
au Lesotho. Tous les proJets, à l 'except ion de cel-ul mis en oeuvre au Lesotho
(fAD), ont êtâ f inancés par l -a BAD, Jusqu'à présent âucun projet de
téléconmunicat lons n'a 6tê êvaIuâ. Aucun projet de centrale électr lque n'a été
éva1ué depu is 1983, de sor te qu 'à ce t égard l -es conc lus ions du rappor t annue l
des act iv l tés d'évaluat ion de 1984 demeurent toujours inchangées (pages -29-24
lnc luses) . Les observa t ions supp lénenta i res qu i su ivent se l in l ten t à un
exâmen des 3 p r :o je ts d 'adduc t ion d 'eau.
Ident i f i ca t ion
2.IL5 Les projets ont été ldent i f iés par l -ee gouvernements, puls sounLe à
I 'examen du groupe de l-a BAD.
conceptlcr : _Plépg:-?t t_g.I.r g! iyq l,I|-l�t I g!
2.116 Des é tudes appropr iées c le concept lon e t de fa isab i l i té on t é té a lo rs
effectuées à l .a sul te d'une évaluat ion fai te par 1e personnel- technlque du
gr:oupe de la BAD.
Mlse en vlgueur
2 .1 ,L7 Les 3 p roJets d 'a l imenta t ion en eau po tab le on t sou f fe r t des re ta rds
et t1s ont tous trols été achevés 2 à 3 ans après la date prévue. Au Libérla
l-e pro jet n 'a été que part iel lement aehevé et certaine é1énents qul auralent
dû ê t re f lnaneés pâr ' la BAD - [ 'on t é té par 1e gouvernenent ou par IDA. Au
I-, lbér ia, - tes dêca issements ont 6gal.ement donné l leu à une certalne eonfusj-on
et f les dlvergences sont apparues entre les quant l tée de marchandises
spéc i f iées au monent de 1 'éva lua t ion , ce l1es achetées e t ce lLea e f fec t l vement
ut i l , lsées dane Le cadre du projet. Au Lesotho 1e projet a connu des retards et
un t lépassement de cotts. Au Libérla comme au Lesotho les ctrangenents de
d l rec t ion prévus au moment de 1 'éva lua t ion nron t pas é tê opérés . La so lu t lon à
ce probr ème réside dans une mei l leure supervision technlque par le groupe de
1a BAD.
- 4 4 -
Per fo rmance des pro je tn
2,LIB Les trâv,.rux ef fec.trrés 6e sont révél-és technl quement sat isfaisants , à
. [ 'except to r r r les é tudns r le Car :eysburg au L ibér ia . D : rn -s ce paysr le p ro je t n 'a
ê tê que par t ie l lemÊnt ac i revé e t au Lesotho i l I ' a é té en t lè rement . En ra ison
d ' u n a l o u r d i s s e m e n t c l e s c o t t s e t d e c o n t r a i n t â s f l n a n c i è r e s ; a u Z a \ r e , 1 e
proJet a été r{ jv lsé en deux phases dont la première à été achevée. Un prêt
supplémentalre a ,4té égalenent accorclé pour le projet mis en oeuvre au Zaire.
T o u t e f o i s , g r â e e à c e s t r o i s p r o j e t s , 1 ' a d d u c t i o n d ' e a u d a n s l e s 3 v i l l e s
concernées a êtâ amé11or:ée et les populat lons urbaines ont maintenant un
m e i l l e u r a c c è s à d e s s o u r c e s d ' e a u p r o p r e e t p o t a b i e .
Supervlslon
2 . " 1 1 9 P o u r I n r r s l o q 3 n r o i e t s d ' a d d u c t i o n d r e a u l - a s u p e r v l s l o n t e e h n l q t t e d t t
groupe de la BAD a été l rrégul ière. Lorsque des problènes ont surgl , r ien
n ' lnd ique qu 'une ac t lon de su lv i a é té p r ise par le g roupe de la BAD.
_8u-çg!lorci n st I t ut I onne lle s_gLjS_P91.!19q. eÉeifglg
2.720 Des prob i .èmes lns t l tu t lonr re i s se sont pos6s en ee qu l coneerne les
Bys tènes c le fac tu ra t ion e t i le co l lec te des rece t tes , la do ta t ion en personne l
e t la fo rna t lon e t 1a fourn i tu re de serv ices d 'en t re t ien des sys tèmes
d 'adduct lon dreau. La pr lnc lpa le ques t ion de po l i t ique généra le touche à la
nécess i té , dans eer ta ins cas , d 'é l -aborer un sys tène ta r i fa i - re v iab le Pour
1 t e a u .
lgc:g: et reconmandations
2. lZL Les reeommandatlons concernant 1es projets drélectr ic i té ont été
fai tes dans 1e rapport annuel des aet lv l tés d'évaluat ion de L984. Les
recomnaru la t ions prov lso l res pour les p ro je ts d 'adduc t ion d teau, basées sur une
expérlence l imtt6e à ce Jour, sont les suivantes : t
a )
b )
c )
d )
- 4 5 -
1 es aspec ts techn i ques des pro je ts snnt assurés
sat ls fa isan te ; to r r te fo is , à I 'aven l r , i l conv lendra l t
d e p l u s p r è s I ' u t i , i s a t i o n f a i t e d e s a r t i c l e s a c h e t é s .
d e
d e
façon
sulvre
. t e s q u e s t i o n s i n s t i t r r t l o n n e l l e s e t d e g e s t l o n n é r i t e n t d ' ê t r e
examinéeg : eomptab i l t té , fac tu ra t lon e t co l .ec te des rece t tes ,
f ormation, d6tat. , ion en personnel , services de maintenance et
r J i . s p o s i t l o n s t a r i f a i r e s p o u r 1 ' e a u .
1e caa échéant r l l f i per :sonne l d 'ass is tance techn lque pOur ra i t
ê t re dé taché ar , rp rès des admln ls t raÈ ions na t iona les de I 'eau .
le groupe de l .a BAL devraLt entreprendre, une fois tous lès 6
mols , des mlss lons de superv is ion techn lque.
EDUCATION ET SANTE
2.L22 Dans ce sec teur , les conee lLs on t é té sa is ls de 3 rappor ts de proJets
2 2 pour l 'édueat ion et 1 pour la santé. Le dernier rapport en date de ce
proJet remonte à f984. 11 n 'y a pour le monent r len à aJouter aux
rense lgnements donnés dans Ie rappor t annue l des ac t lv i tés d 'éva lua t lon de
1 9 8 4 ( p a g e - 3 4 - 4 0 ) .
c . gylq!ÊF-9--{.q-gtegi!9L*s!*.1-"s-rqc-oggggqq!f glg
2,L23 Les prtncipales quest lons et recommandatlons qut ee dégagent du
travai l d 'éval.uat ion des projets sont présentées aux peragraphes suivants.
2.L24 pour être mené à bien, le travaLl relat l f aux projets doit se fonder
sur de spl i f les études économiques sector iel les effectuéee dans les pays
menbres . Dans cer ta ins cas , les s ta t l s t lques requ i -ses sont lnsu f f l san tes Du
lnex ls tan tes . I l fau t auss l que 1es pro je ts so len t so igneusement p réparée en
accordant l ra t ten t lon vou lue aux ques t ions de ges t ion , de po l t t lque généra le
et l .nst i tut ionnei es .
2 .125 IJ conv lendra i t : :de s lmp l l f ie r , d 'accé l -é rer La procédure de
t ra i tement , eU d 'en f l xer le ca lendr ie r , depu is le noment de la n ise lon
d 'éva lua t ion ré t r :ospec t lve jusqu 'à la p résenta t l -on du rappor t au Conse i l . Les
rapports qui sont soumis avec retard alr Consel l perdent un peu de l-eur
- 4 6 -
lmpact. [ ,es conclusion.s val-abLes devraient être examinées rapidement et leur
app l ica t ion ne devra ien t pas ê t re f re rnée par su i te de re ta rds admin ls t ra t l . f s .
Les rappor : ts d 'aehèvernent r le p ro je t devra len t ê t re réd i96s sys ténat iquement
pour to r - l s . i
es p roJets .
2 .126 I l i .mpor te c le met t re en p tace un nécan lsme de su iv l - ins t i tu t i onne l
pour 1es r er: , rmmanrJat ions fal tes dans les Rapports d'Achèvement de ProJet. et
dans 1es rapp{ r r ts d 'éva lua t ion ré t rospec t ive , en préc isant les responsab i l - l tés
e t fonc t jons c le tous 1es dépar tements e t d iv is ions du Sroupe de la BAD
concernés .
2.1.27 Les proJets ont molns r le chance de réusslr dans rtn contexte mar:qué
per l - ' l nsu f f l sance des po l l t lques éconon iques e t dee d iepos l t lons
ins t i tu t ionne l . les . L ,o rsque ces prob lèmes se produ isent , 1a D i rec t ion de la BAI )
pourral t entamer un r l taloque evec l .es gouvernements af i .n d'amél- lorer cette
s i t u a t i o n .
2.L28 I t est c lair que dans nombre de cas La supervision technlque des
pfojets par - [e personnel du groupe de la BAD est t rop l rrégul lère. Une
superv l -s lon f réquente pâr des exper ts techn lques s ' lmpose pour s 'aÊsurer que
les emprunteurs e t l -es o rgan ismes d 'exécut ion des pro je ts respec ten t les
cond i t lons du prê t e t ve i l e r à ce qL le les p ro je ts so len t exécutés se lon les
plans ar:rêtés âu moment de l tévaluat ion" I l est recornmandé en part icul ler que
des mlsslons de supervislon technlque vlsi tent, au moins 2 fols Par atrr les
pro je ts agr lco les en cours e t les l lgnes de c réd t t lndus t r le l . 11 es t
éga-l ,enent reconmandé que les phases précédentes des projete en cours soient
évaluées avant que Le groupe de la BA-D ne f lnance les phases nouvel les ou
success ives de ces proJets .
2.I29 La supervislon technl.que et 1 'évaluat ion des projets seraient
davantage facl-Li tées sl l .e système de elassement des dosslers du groupe de la
BAD é ta i t amél lo ré e t s l 1 ' ln fo rmat isa t i .on é ta i t é tendue au déca lssement dee
prê ts ;
2.1-30 Des retârds sont constatés entre le moment où l-e Consei l approuve les
projets et la date de nise en vlgueur du prêt I retards qui posent parfois
des prob lèmes au n iveau dee appe ls d 'o f f res e t de 1 .a passat ion des narchés .
Cela pourrai . t tenir au fai t que eertaj .ns des rapports d'éval-uat ion précérients
- 4 r -
ont 6té trop opt imlstes lors de 1 'échelonnement .1çi{ dl"verses phases
d, ex6cut ion du pro je t . I1 es t tou te fo is c la i r c1 i l ' on pour ra i t accorder
davantage d'aj .<ie technique âux emprunteuts et âux org,sr. l r r$ d'exécut lon dans le
eadre de miss j ,ons de l-ancement de pro jets bien oT:galt i r :ées. Dans cet ordr:e
d 'Ldée, on pour a i t auss i revo l , r 1a s t ruc tu ra t ion des con< l i t ions de prê t des
proJets . Ce domalne d 'ac t i v i té pour ra l t fa i re l - tobJet d 'un sémina i re o rgan isé
à f inçent j .on des d i r igeants po l i t iques de cer ta ins pays menbree. A ce t égard '
on ;rourrai t publ i .er: un manuel à l t at tent lon des Gouvernements nembres et du
personnel du groupe de 1a BAD.
2. l -3f Dural t la pér i o<le d' invest isseuent tnl t la l , 1 'e$pri lnteur doit
fo r tement souten i r l -es .p roJe ts . La réa l l sa t lon des obJec t i f s des pro je ts
devra I t être encouragée , 1es intra nts doivent être f ournis cotTme convenu au
moment f le I révaluat lon et le f inancement Local devral t être assuré en temps
v6r r . ! , r . T l . ran ' , " ! . f . ' J r r l t r r rsR i d '4a .a-o ' r , ln r ' J . t r t te t t i o ' r '11111,1n . ! 1 - t fo ' t ra l f ry re 4+
s e r v l c e s d e s o u t l e n d e s p r o j e t s : d a n s l e s p r o j e t s a g r l c o l e s , p a r e x e n p l e ,
pour Ia d is t r ibu t ton du c réd i t , la comnerc la l i sa t ion , la recherche e t les
serv lces consu l ta t1 f ,s '
2 .132 La ques tJ .on de La v iabJ l - i té des pro je ts , une fo is te rn lnée l -a pér tode
in l t ia le d ' lnyes t issement , es t éga-Lement un mot i f de préoecupat ion , no tarnment
pour ce qul est du f inancement des cotts de remplacement du capital et des
cotts récurrents, de la rêal lsat ion des avantages dee proJets et du taux de
rentabl l i té économl-qrre f ixé au noment de 1tévaluat ion. 11 convlendrai t de
revoir les conc, l-uçi-on.s de . l 'éÈude lnt l tulée "Problèmes de f inancement d.es
eotts r6cr:rrerr ts dans -tes pays nembres réglonaux et l -e r61e posslble du
groupe de l-a Banque", et de prendre les mesures voulues pour minLmlser ces
prob lèmes.
2 .L33 La p1upar t des pro je ts sont assor t l s de d ispos l t ions adéquates du
pr r ln t de vue de l .a v iab i l i té techn lque. 11 conv lendra i t tou te fo is d 'aecorder
d a v a l t a g e d r a t t e n t i o n â u x q u e s t i o n s i n s t i t u t i o n n e t i e s e t d e g e s t i o n ; c ' e s t
tou t par t i cu l iè r :ement 1e cas de 1 'exp lo i ta t lon de compagn ie d 'eau e t des
or:ganlsat lons nat lonales de f lnancement du développement ' Ic i , les composantes
du pro je t pour : ra len t comprendre , le cas échéant , La fourn l tu re (pour des
pér iodes res t re in tes) de personnet -c l6 consu l ta t i f au t i t re de 1 'ass ls tanee
techn lque e t un sout len log is t lque eu ce qu i concerne 1a fourn l tu re de
- 4 8 -
véhlcules et de natér lel de bureau. 11 conviendrai t d 'énoncer cl .alrement
condlt lons de prêt se rapportant à I 'explo-tat ion de ces organlsat ions et
fa i re app l iquer par un personne l expér lnenté e t spéc ia l i sé du Groupe de la
qu l e f fec tue i :a l t régu1 lèrenent des mlss lons de superv ie lon techn ique-
2.L34 11 faudral t accorder de l rat tent lon à une concept ion rat ionnel- le des
proJets basée sur des études écononlquee et eector iel les exhaust lvea. I l - y a
l ieu r le prévolr l -e renforcenent cles lnst l lut ions, notamment dans 1es domaines
de l 'éducat lon et de la formatlon. Ce qul est valable pour I 'explol tat ion
dforganlsat ions conme les banques nat ionales de développenent et les
compagn les de d is t r lbu t lon de 1 'eau. Le cas échéant , s rag l -ssant de cer ta lns
projete agricoles, i l faudrai t eûcouragêr 1a part j .c ipat lon des bénéf ic lalres
et des dlr lgeants locaux à tous les stades du proJet.
: , 1 3 5 O n f n i - t o b s e ? : r ' e r : q u t r r n p e t l t n o n b r : p , s ' i l e n c x l s t e , d e c r â p p o r l i :
d 'évaluat lon exanlnés Jusqu' lc i ont t rai té tout part ieul ièrenent des questtons
de lrenvlronnenent ou les ont prévues. On se penche natntenant sur cet aapect
du t rava l l d 'éva lua t lon des proJets .
1ee
les
BAD
* 4 9 -
ANNEXE 1
ETUDES DI EVA-LUATION RETROSPECI'IVE 1985
eggLr"_gg_crgf$f_9L_1:j!Iels-!e.a) Pge,!€_LlX (16 tapports)
ï ra i$EIor i lde 1a val i6e de t 'ouéné (Bénin)Déve loppenent rura. l de Ia Volta nolre (Burklna Faso) *ProJet de routes BuJrrmbura-Mutanbara-Lake Nyanza (Burundt) *
Aéropor t in tê rnâ t ionar de Doua la (Caneroun)ProJet de rou te Bangu l - Bossenbé lé (Cent ra f r tque)Aéropot ' t de Yurrndrrm I I (Gamble) *
Ligne de crér iJ. t à La Banque agrlcole de Développeuent (Ghana)Adduct i r , rn d 'eau de Maseru (Lesotho)Adductton d'eau r le Monrovia I I ( f , fUérta)
' ProJet éducat lon t lu Sud-Est (L iber ia )T , igne 4p nr î ' r l i l à l * Benqr lo t lp D6va ' ! ôPPoment do l {adag ' rqer r *Pro je t r1 .z de Mopt i (Ma l l )Llgne de crér l i t à 1a Banque Maurlclenne de Développenent(Haurlce) *Pro jet t l ré clo Ramba-Gaseke (Rwanda) (1984) *Llgne de cr6dlt à la Banque Natlonal-e de Développenent duSlerra Leoae *
Ligne de crédlt à la Banque zanblenne de Déve1-oppenent (Zambte) *
b) Lancêa en janvier 1985 (8 rapports)î;;naïîon [r oFàl sT ofr-n6r r e ( Eeypt e )ProJet de route Ler ibe*Butha-Buthe-Joë1's Dr l f t (Lesotho)ProJet de rou te Joë l ' s Dr l f t -Khanane (Lesotho)Serv ices de santé (Lesotho)Projet hydroélectr lque des chutes de Nkula (Ualawi)ProJet de r i z à Boghe (Maur l tan ie )Réparat ion de routes et ponbs - dégâts causés par cyclone (t taur lce)Développement rural de Swazi land
c) AJoutés en 1985 (4 rappor ts )ïiltÊË-ôô-frt-rË*Îâ brtnarzlose (Egypte )Barrage de Sel lngué (Mati)Dévelàppement rural de Sel lngué (Mal1)A d d u c t l o n d ' e a u d e N r D J i l i ( Z a i r e )
l-
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€ s t , € B 1 3 a o e i c i o Ë i q j " ! $ . g l Ë ç Ë # ; 5 f ; # Ë j | f ;; "EEË | i i : ,s :#€: i i 'gHË ; l 8 'Ë 3 'Ë g- " , f r 'Ë I ; i sE q E I o o É : É : . i 8 . | o l # Ë . e 3 1 " " 8 o i o " o . 3 1 ,s t E 5 * : Ï Ë s f ; : i : : ; : i , q ; i 8 € s s * i : * t Ë t 'o p É q r a , q E b a r . . s o r o o o ô - i t Ë Ë : g l t r t ; g f Ë ; g B l Ë' i
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J É t | = O É - F { E €t d r o r o o t l I I ' d q ' q l; . { i 6 0 É
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r r ê . 6 0 H - d o r û - { É + J F . o. r t À \ t D O O u è o . t t l O ' . ' ! + t . {d 5 F E F ) o É ) < r r q l 9A i t ) ' + , ' n t Ë + , d ( D q
o o o o o o E o o . . . . I+r +r +r €'.r *.1 +.t l.r _td +J â +J | !tô < o r = É o = a ù 2 5 É < l t < a r q; n ô + r r . r ô o o € r { F Eô j i l d I ; { o r c i p 4 ê . t û < A Ê { H
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RappolFs d_'évaluatlon rétroepectlve qouqle au Cmeellpa
AGRICttLTtRE (12 Rapporte)
Sona l le : ProJet d ' l r r lga t loo Afgo t -Mord l le
Tunte le : p roJe t d r i r r lga t lon
de la Val1ée lbdJerda
l{aurl tante : ProJet <l r lrrl gatlon
Boghe P la lne
I ' la l t : p ro je t d rappu l à l t l r r lga t loo
LLberla : Llne de crédlt â IEDI
Soudan ! Quarantalne bétal l
Gamble : ProJet eotor
Rwanda ! thé Ranba-Gaseke
Madagaacar I Llgne de crédlt â IDRI)
Burklna Faeo : Volta nolre IRDP
Grana : Llgne de crédtt a' AG[8
t{all : Rla lrrlgué de Moptt
Totâl Agrlculture
IltDtltB,IE (7 Rapporte)
&nya : Llgne de crédlt ô IID
Tanaanle ! L1Bûe de créôlt â TIE
Sénégal : Llgûe de crédlt â UIB
llaroc : Llgne ile crédtt â ENDE
Zenble : Llgoe de crédlt â XBZ
Slerra Leone : Llgne de crédlt a' SNIE
Maurlee : Llgne de crédlt ô I8M
BADol l1 lona
d r u c
FADnlLl- lonad r u c
7 , 0 75 , 0 0
2 , 0 0
6 r50
5 r005,ooI , 0 05 r50
FSNnl l l lone
d f u c
1 , 5 0
2 , 7 5
4 , 2 00 , 8 0
9 r25 44,07
3 , 0 04 ,501 ' 5 0
1 2 , 0 0g,90
4 , 0 0
2 r 0 0
lotal Induetrle 36,80
IF"AIISPCRTS (12 rapPorts)frs ""te Yegte-LangabouSomalie : Rorrte l largeiea-Berberel|alawl : Route .Ioho l'tzunara-EkwendenlIGnya : ProJet de deux routeaIGnya : Route Yala'BuelaGanble : A6roport de BanJul-Yunduu
Burun<li : Deux routeaCAR : Route Bangul-BossembeleIæsotho : Route LerlbeSutha Buthe-JoelrsLesotho I Route Joel 's Drl f t -Rhamane
Cameroun : Aérogare de bualaMaurlce : Routes et Ponts
Total TransPorts
N.INEÆ 4æ-
EAD FAD FSNni i i lous nLl l ions n l l1 lons
d ' � u c d r u c d ' u c
8 , 2 5
8 r00
2 ,00
5 , 2 06 , 7 06 , 1 0 . i
ij
3 ,70 . - : '
- 5 7 -
!e lpor t s d'Éva luatlon r étJlos Pei-El vg Jg-ogml s au C od se t 1par- secteur, rggz-t98e
1 , 0 0
2 , 3 03 r00
16,40
4 , 7 6
EQIJIPts'IINTS COLLECIIFS (5 Rapporta)
f f i d ié lect r tc t téSénéga1 : Centrale tle St. Loule
Zaite : Adductton d'eau de knaugaLlberla : Adductlon d'eau de Monrovla
Lasotho : Adduet lon dteau de l ' laseru
lotal Equlpements col leet l fs
En CATION ET SANTE (3 raPPorts)#
Sevchelles : Enselgnetænt prlnalre
Botsvrana :Formatlon personnel sanltalre
Sonal le : InPresslon l lvres
Total Educatirn et Santé
28,9O2 , 9 O9 , 0 02 , 1 5
5 , 7 5
2 , 5 04 , 5 01 , 5 0
*
- 5 8 -
ANNEXE 5Page I
Résumé des 1eçons et reeomnandatlons eoncernant
lle-yelgqLie!-{.EpLFJe-L}IEe€vrEe.-&:-eÉË-t{tdqgÀrry-Ldre
Recomrnandat ionsÀsAc;ftur; Suivi
l - . Davantage d'analyses de la Besoin reconnu nais i l faudral t peut-êtreges t ion agr ico le (na in - a l longer 1a durée des miss ions d 'éva-d'oeuvre et f inancières) l -uat ion
2. Le cas échéant , p rendre Po in t no tédavantage en cons idéra t iond ' a u t r e s m o y e n s d ' a t t e i n d r el e s o b j e c t i f s d u p r o j e t
3. Faire les plans techniques ] .a nécesslté d'études de pré-évaluat ion' d e s u s i n e s e t 1 e s é t u d e s p 1 u s n o m b r e u s e s e s t r e c o n n u e �
de co t ts avant 1 'éva lua t iond e s P r o j e t s
4 , Respect p lus f idè le des In tens i f le r la f réquence de 1a superv i -p r inc ipa les cond i t ions s ion techn lquedu Ptê t
5. Questions de politique Dialoguer davantage avec les Gouvernementsgénéra le e t ins t i tu t lonne l les des pays menbres
6. Etabl lssenûent en tenps voulu En fonct lon des disponibl l i téode RAP pour tous les projets en personnelachevés
7. Falre une éval-uat ion rétros- Instaurer une l la lson plus étrol te entrepect ive des phases antér ieures 1es départements opérat ionnels et lades pro je ts avant de passer d iv is ion de l 'éva lua t ionaux Ptrases suivantes
8. Créer un méeanlsme de suivl Point toté et quest lon à l rétudepour 1'étude des recomman-dat ions fa i tes dans les RAPet les RER
9. Supervlslon technlque de tous D'accofd sous rêserve des dlsponlbi l i tésles proJets au rnolns deux en personnelfo ls par an
1 .
2 ,
3 .
4 .
Industr le ( t , tgne de crédl t )
Iee l lgnes de crédlt sontconsldérées eonrnê un Eoyenutl le de sttmulerJ" 'expanaloû du secteurprlvé
11 exlete un besoln de ren-forcer Lea lnstl tut lons ycoûpr{s recrutenent deperâonnel pour pérlodes decour te durée
Les fonde ne devralent êtrerétrocédés que pour des pro-Jeta vlabl"es qul contrlbuentau développenent écononlque
Supervielon technlque detoutëB les l lgnee de crédltau molns deux fois par en
lrltso:jg1. Begoln dfanÉl lorer 1e6
donnéee sur 1e recenseuentde la clrculatJ"on
2, Exanen nlnutleux dee pro-Jets compl.ênentaires dedéveJ.oppeuent éconoûlqueut l l lgés pour Just l f lerLe proJet
3. Loreque 2) cl-deesus neBe prodult pas, aborderla queetion avec Legautor l tés
4, Vel l ler â ce que toutes leapar t lea d 'un proJet eo lententlèrement exécutéee
5. Encourager .[eg GouvernenentËnenbree à nettre en plece undlspost t l f lnst l tu t lounelpour parer aux eltuatl.ongd'urgence
- 5 9 -
ANNEXE 5Ëse 2*
Polnt noté et reconnu
A exanlner par 1ee futureÉ oleslong dféva-luatlon, à lncorporer eux condlt lons deprêt et à gulvre par 1â supervlelontechnlque
Potnt noté, Bâls pour ce falre, exanlnÊrattentlvement Les Bous-projete préaentéeet effectuer régullèrement la eupervlslontechnique
rr:,En fonct lon des d lsponlb l l l tés enpersonnel
Le pereonnel techrlque en a pl-elnementconsclence êt le falt savolr aux Gouverne-DentB dee paye nenbres
Polnt noté. Loreque le développenentêgrlcole est Lnvoqué à t l trê de Justtftce-tLon, on pourrelt lncl.ure un agronone danela nlsslon pour approfondlr la questlonavec 1e Gouverneuent du pays Eeobreconcerné
I1 eet prls note du beeoln dfun dlaloguede poltt tque 6cononlque
Polnt noté et actlon engagée
Action consu.ltat ive à prendre par leschargée de prêts
- 6 0 ' -
ANNEXE 5=-__=-rage J
Equ lpenents co1 lec t l f sCfous -Jeiîtil f e-1' ea; potable * )
1 . Cont r6 le su iv i ser ré de Beso in na in tenant reconnu I ce cont rô1e1 'achat e t de 1 'u t i l i sa t ion 6era en pâr t ie assuré par une superv is londes natér iâux, notamment technique fréquentedes condu l tes d 'eau
2. Problèrnes de gest ion: systèmes Pour amél iorer la si tuat lon, 11 faut quecomptables, systèmes de factu- 1es condit ions de prêt eoient plus préci-rat lon et de recouvrenent, ses, que la supervlsion technlque soltstructure du personnel et plus fréquente et que 1e renforcenent desformation ; prestat ions de lnst l tut ions soi . t lntégré à la concept lonnaintenance, tar i f lcat ion du proJetd e 1 ' e a u
3. Dans certalns cag, so11l- Besoln qul sera examiné selon les casc l te r une ass i -s tance techn i - d 'espèceque à court terme
4. .supervislon technlque de En fonct lon des dlsponlbl l i tés entous les p ro je ts au no ins persoune ideux fo is par an
Educat lon et santé
(c f . râppor t annue l 1984 de la d lv ls lon .
* Pour Les proJets d 'é lec t r i c i té , c f . rappor t annue l 1984 de la d lv ls lon
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