POLITIQUE ET LITTÉRAIREimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...DI. soirée a ,'Flat,...

4
680, Ail91d`.e. No top BUREAUX : Rue Saint-Rome, &L POLITIQUE ET LITTÉRAIRE LBORBBYBRTS: TOULOUSE On se, 40 f. 6 mais, 211. S mois, 44 fi DMPARTRMENTS - 50 26 - 14 RTIL9NQtR Les fruit supplémentaires de poste en au. os e.eau ara AMONtn6nENTS es a.. ANnomcre . T'OULOUSIL : Aux B.reane do Journal, voie Saint-Rame, 444, Chas M. Havas, ruse J. J. Rouiller., S ; et A 2 A B 15 : bas MM. LafOtn.Bullier et pl.. de L Bourse, 8; M. Fontaine, rue de ¶reévise, 22, Sanie Correspondants pour les Anvonaea. R5URES DES DEPAITS Et DES ARRIVAIS DES TRAINS DES CORMJNS DE TER DU MIDI ET D'ORISBANS (8arriei d'RM). La. La ornasex, Dspnets r Air; ,folie, bruit 15 mati. Mafia, (Bsyr.) Il se fiole, 4 35 Soie, Aise, 6 20 Latifist. 4Ill 8 Soir (Sapa) 4 45 &rt, 0 35 Soir, (0 40 ana, aa larra. Matie. Matin, 3 40 Matie,(Cara) a 55 e 00 Matin Sxp) i0la30 Départit Areivlm: Matie, t0 06 soir, 1 45 soir, (Expira) 2 00 soir, 4 Si soir, 4 te soir, 10 00 sort, Sueras, 6 fi soir. Ii 55 s- n mxosss. Matin, 6 t1 . Mut. M..ej 9 20 Mutin, 10 41 soir, Pas, 1 05 Enta' Pau, 2 tu si,, 3 50 soir Movu.j. 6 30 loir. 9 t5 TOULOUSE, ! INovembre, ualionale doit êtes entourée. DI. soirée a ,'Flat, a conjuré la oriel étal- pays bouleversé par les révolutions et ligue en fabricant 100 millions de peti- ' BOURSE DE PARIS d.13 novembre, Au CumeranT. Ialeura div, Coins du joue, Conta pré'. par la guerre, que resterait-il debout tescoupures eu demonnaie divrsionnmre, st la seurvraioeté nationale, représentée et sil s'est rancunier quelque gène, ce aussi légitioiemest qu'elle le fût jamais, t pas chez nous , c'est à l'étranger. n'était l'autorité suprême partout res- Les émissions des billets de la Banque peclée, et, quand elle a parlé, partout qui peuvent s'élever légalement jusgn9 obéis? 3 milliards 200 millions, ami de 650 En même temps que l'ordre était millions LU dessous de e chiffre, et g Ulu 52 50 52 AO maintenu, le foueernement n'a cessé de c'est à peine si, o satisfaisant large. 41/2010 76 25 75 75 veiller n a ours réguler des affaires, à meut .uz besoins du commerce, la Ban. 5 0,U emp. 1871 83 90 84 15 la stricte observation des lois, su lève- que a dd prélever 150 millions sur l'aug. 5 01p corps: 4874 85 50 85 70 loppement de la grande opimtinn final. mentutldp qui lui était permise. Son A Tae.s: cirre qui doit aboutir à la lihéntian du portefeuille qui,dms les meilleurs temps, 3010 52 80 52 80 territoire, à l'ivacuatien dru départe- renfermait de 60i1 à 650 millions 3 010 de cours 52 62 52 85 monts qui devaient Pire les premiers d'effet, , en a aujourd'hui pour 950, llée des ...veaux preuve u plus gnud mouvement d'af- 5110 emp. 71 1'e coure 84 45 84 45 affranchi.,, à la reu d s auislioo de notre sa e tairas u' il jamais eu noire a à I ôt i . n eiog g q p l s, mp 501pemp. 71 d cours 84 50 84 50 r he des né- ill é 9 I to an arm e, n ma c 5010 emp. 721 clora 85 72 85 67 et vn s 01p emp. 72 cours 85 00 A5 75 gociatio.s commerciales, enfin 1. la pa- s U1p lta1. 67 00 G7 SU ci6quc rat amical. direction de os re- Foncier EIiS +. 8'10 >+ latiovs avec les deux moules. Mobilier 023 75 421, 25 pendant ce temps, le pays trarilluit Mob. lisp. 490 25 496 25 avec cette activité qui cet la poissante c-- os Fun. réparatrirc de n H la Frv- é à l rat Oeléaoe 505 '. 957 50 Nord s.. > Lyon 815 . el, ,' Midi 580 Autrichiens 777 50 782 50 Lombards . 4650 Banque 4,640 >+ BOURSE III, TOULOUSE du 13 novembre AU coiseran-. 5010 5 010 Empruntretant au payé Pn n Mol iii er fiant Mo Cil tel 17 afoognol 0 uaaeicrt Diverses, Midi Nord Espagne priorité, Saeugosse 55 83 50 85115 432 7!1 457 50 275 50 204 2111 TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE ASSEMBLÉE NATIONALE exvnsur vu mrossis Du Préaide.nl de la 716publ que. Versailles, 13 ...embre,3 Ill. sait. Après une séparation de truie mois, lu Président de la fille. gas vient remplir le devoir annuel que lui smpo- r,l les inatttuliunx l'éF.bticaseea et es- et p er à l'Assemblée sali,.'uuls la vérita- le situation drs pats, le b,,?n et le mal ni rzugé r ui déguiféli. t iflou' dcr i nte.. e es, Le calme a 0l a ur' Ics paiements de l'amlée prochaine. ' é p el qu il fil nettoiement ni a pas uuffe lé atteinte au respect dent l'Assemblée i La Rauque de France, puai ...8 dé- FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE du 44 Novembre 1872. I SIEEII IiIlE XXII (Suite). 28 - Noua espérons que tel. de Se.u- champs ne sait rte. encore, reprit Ju- les IJraaLard; mais, que ce soit ce nlntiu u'r, anjnard'bai .u demain, par. ilote u, lut échappera pas. haut le pre- mier mouesmr.t de sa colère, il voudra te battre avec f ÿneutcur. Or, à a u prix, ce duel ne doit avoir lieu; ceu q i serait à souhaiter, c'est que relie né marche du jeune menue lut prévenue... l'ai un aulne, acheva le vieillard en redressjantvou glu ode taille; omieur, e sas et je "il m a'un pprouve..,, l'uffnn.è est partie de mu maison : , abominable q'u'elle sait, je la prends à m.. couple. C e serait à moi d'accepter le cartel de M. de Beau- champs; mais je me battrai "'bord avec M. Verdier, et j'espère bien ia mettre dans Chiffre, sibilili de répondra à l'hon- neur immérité que voudrait lus faire le jeune comte l , =en se mesurant avec loi. - Ce c'est pas là ce que nous voulïm[a dire, pré[ l'avoué le mal serait dans , le duel môme, bien plus que dans le I snppeiisuet, de céder à un intérêt de choix des adeeesafres; soyez a r que pria, de concorde. 0 quels qugls fussent, la mabeillance son - parfait i dit l'avoué, ramassant au ,t eu l'aire remonter la causa à Mme de bumd cette balle élastique ;voilà un Irait Beauehampe.,. foute lie, pour d teen oe ^énse, à lu vérité, cher monsieur; are, a besoin qu'un ne la remue pins; les ciigrt' nous 5u,t dit, l'arllole eut bien un d'immeu,e nsamilt'es ,yleu plus belles ré- coltes que nous ayons eues depuis un quart de siérle. En ceci, il n'y a qu'à remercier Dieu, auteur de foutus chouan, qui lonreà r torr i.struil, soutient, ruléve quand il lui plait les nations ou i ont la il et qui n ont désespéré ni ui ni d'el mômes. Api èa ces cens étalions générales, il faut enmer dans quelques détails sur os aU'aires les plus essentielles. n Mans l'emprunt des 3 milliards et demi, an mois de juillet dernier, ee qui -t 1.1 us zignili'11ifi que cette olfro pro- digieuse de 45 milliards, c'est lo verae- evd. Le Trésor a déjà crie en voleur réelle 1750 millions, c'est-à-dire la moi tiéde cet emprunt c tossa,; et dans ante npératiuu finuiciére, In plus Cet- aidéroble qui ait jamais été lourée, il n'y a pas eu d'aceidmds, ai méme de crise monôtaire, geSoc à tcutes les mesures de prudence qui ont été pi Les d'après l'expérience du premier emprunt de 1871. I1'abord notre administration Ilman- ciére s' st pearnré à un tuuà modéce 4t à 1;500 miiliaus de papie de change mi troues de mus les piy' sur l'allema- gne.; Paie elle s'est l'ait garuel,e la la ax du change ,lin qû il ne monilt pua dé- mesvrémttter au dehors dés sommes lune- nms sans produire de perturbation pro- fonde. Nous muas déjà payé a l'Allema- gne BOU millions; en décembre, nous Irai pigeras, corner 2011 autres millions eu un mi,liaid e. 4 mois; et il noues rans restera 5 à 600 millions de Iruima pour deux aeui,% mesures à prendre; efficaces, pratiques, e Brait : lu première, d'ae- rparer , de u,'iruire, au plus grand ombre possible, l'édition du journal der; la seconde, de chasser cotre ré- acteur. -o sen fait aujourd'hui meure. CA combien se tire l'Orgonr? de' manda Jules. -A lieus mille seulement, car mes ell'oel. pare le reslever ne datent e que de quelques emaine,; mais, si hies trelol que s o i t. chiffre , j'ai peur..A de-loi, le ciel t'aidera I inter. nrontpil l'avoué; cheque numéro enlevé oppose dix lenteurs de moins... il y a, d'abioei(, le restant de l'édition et les ouid ,ove puas à incites u pilon; il y a le cliché à détruire, 1 y ce a un; il y ales dipdte à reprendre chez les li- bratres... Pe.n d'ahonnés, sans doute ? - Irait peu... je fais adresser gralni- temem le journal à quelques cafetiers... - Auxquels ou peut le redemander ; àno plus facile... Nous jusque.là, r e, de n'avons, d. trente, us préoccuper quo de l'arrondissement : ..,delà, l'h,s- luire n'a aucune perlée. Toutefois, reprit Jules, fi fau drait trouver à cette razzia ne motu- plausible. - 11 est tout trouvé, reprit M. de la Commanderie, - en qu!'ni vnait de surgir lidée de l'are d'une pi double coup, et de commencer tout de suite sa-a- version politique, - non étude sur mancipafinnrfes Peuples étuitpeut-être 2F nle... reniai vair, an la oavt Le dépôt métallique, eu y -PLI l'encaisse, les lingots du commerce, l'or et l'argent de 1'Etat, atteint la somme de900 millions e ieférie.,. à ce isiait avant la gras e. bloc 800es d millions d i0'ets, ajournés par suite derniers événcanent,, il n'en reste plus aujour- d'hui ride 7, sur lesquels 2 m S millions titrent ont encore. Aussi le billet de 1. Banque de France est-il accueilli dan, le mmtde entier à l'égal de l'or et de l'argent. Mien ne peut mieux prouver l'étmdoe de la solidité do commerce français, fondement de crédit de la France et nerf dosa puissance. J. calculant, d'après Ics 9 mais déjà écmnfés de la présente allée, on est as. curé que les impoItaliens seront tout ras de 3 milliards 457 millions et en lori les exportations de 3 milliards 557, en- mble 7 milliards 14 millions, ce qui d o n . . st l'année 1869 un accroisse ont de 787 mil lien,, accroissement qai- est presque wns uxem pic dans les riudea précédemes, les exportations l'empnrtaot cor le, importations de 100 million, et la différenne serait méme de 217 millions ; si l'on lient compte des inlroductions accidentelles de céréales, causées par le mauvaise récolte de 1871, au cnmmeucement de 1872. De tels pr grès dans des circonstances i difficiles doivent nous rassurer sur l'avenir de nos industries, si la politi- que., cause toujours peép.udéeanle dans l'activé lé de la production, ne l'ait pas merder dos don nouvelles à deus années un repos presque com- plel. La situation économique du pays na donc pas eouff<ry\sut..ti il., es su. hers de la rait pu le craindre, des mal u guerre ; mais les fluancesade ,'Enta[ au- mot pus'en ressentir gravomoet. Elles a rsamdr,nl cu e0'em: mais il ' eimas s, le rr,'rl e cotions b d'rent coeealudgot on !:ours d'esécU lion c e s t'aci- mort soldé et cap budgets se trouve- ront en plein équilibre. ,es inssfOsan- ees prévues pour le rendement des nop- peu de nature à donner eus vitriers une assez rude I--go . - Vous l'avez lu ? demanda le viel- lard en se rengorgeant. - S, le l'ui lu I... c'est-à.dire que je lui deveré, bien que, politiquement, il ne soit pas dnna mes eeedrs. rire fois seul, hl. de 1. ch: ragea le coslome et donna l'ordre d'atlen'. Il allait an chefvlieu fuire mai- .,fie à i'01gane "' peuple. so0nelyuea domnstlqucs Yxrert dispersés dans Neuvy eL lo haalirue à la citasse do journal. Si, n'en trouva guère gru'au' vingtaine de nuuilros ; n'était à peu prés mu[ ce qui avait été li,lribuf, de ce pro jeclile, si peu ,Pulmieaut que la plupart des destin.[aires, l'art inaounienx de po- liuq.e, n'en avaient pas ;,mémo dét,nhé la Lande. XXIII AI onze heures du malle, Paul sortit de cez la vieille Mariolle. Ce qu'avait n la, apreudre l'ancienne se venir de pDnnald, nms gnorons; maillé, est tris . te IL abattu; ce serait à croire qu'il cc- gretle de ne pua avoir écouté la voix de la raisoor ,qui loi déconseillait cette dé- m reje.. et Le jeune homme vient d'arriver à Nerf. à lu ... cheval d Mina Ii Lché,, a. dehors i ce vuoiuul'a,reede bruit ennientrent , dans l'espoir de ne pas attirer l'attention de et de se trouver aet veu d a sa enfinmarraine t 1 ; Il e. Mas ue précaution est iaie C, les persiennes do Mmn de Lignié\ son[ encore fermées sa cohe su. I% limbe gémit ,acore sous sa mlépais. pa, un:' cunhd,n e dép siée... Mais eur, et les tirxtllemens de son e,somce, fia, yu'e eau il Iôi mpme. I puer le ce lui ont pua cacore itnspiré le hesoin de moment u il la lai faut, il a besoin substituer aux douceurs de l'alcôve les d'elle. jouissances de 1. table. - Cor Paul, dit Valentine de sa vois ... muera Déporta r Aerh/a Mad,, 9 os Matint 9 36 soir, 7 20 moi,, 5 65 soirs 5 40 Bort, 9 38 Lraaa Psautaa. aaxov-aLY Matin, 6 4o Mat. Villeh. 9 53 Soir, IL 55 sou, 3 47 soir, (V8lefra.l 5 l0 Soie Teston. 8 51 fion. 51 26 Jeullli, 1é Novembre 18V2 MMMSAOI . in. alaleIWe. I. n. pa 1.e. Annonces, la ligne, Réclames, la ligne, Faits divers, la ligne, OAMI ]an A151Onmu : 0 Ir. i0 6, B 50 1 00 Toulon". = Typographie Ph. Manraoua, petite tue saint-Bon vaux impôts disparaissent de jour ce ration complète du principe. E. atlen- jour et les perceptions x. sonEraece sel dent, noua parles rons immédiatement rétablissent à rue d':eil. L'améliontio. nos taxes fiscales et l'on maintiendra est très-sensible, de trimestre en tri- mestre, sur toutes les branches des r p., exemple, les sucres ezoti- ques,>qui perdraient 9 millions sur le premier trimestre, ne perdent plus que 4 millions dans le second et 770,000 le. dan, le troisième ; même progression pour les boissons et pour les tabac ; l'im- pôt sur le papier et le droit sur les che- mina de fer produiront plus que le Bud- get ne lent demandait. L'enregislermeul et le timbre dan- tient une augmentation de 19 rnillioas ; et les impôts directs se recouvrent si aisémevl qu'ils sont en .vase de plus de YG millions sur les 8 premiers dou- ail°' née Il y aura néanmoins sur s'a 1872 n déficit, mais ce déficit it a rien ai l'osièlunt ai même alias, de ccédt, d si l'on songe aux annulations de crédit prévues pour cet azeretce et déjà réesparlesexercices précédents. Ué- ei58 sera largement atteint à la fin dion 1873 75, parce qu'alors les uoUVeauz ipôtle uolumment celui des m a Hères premières qui fonctionnera dés le 15 décembre de la présente allée, par loi- do traité signé avec l'Angleterre, se- snl d'avs la plénitude. de Icrer produits. E. 1874 l'équilibre set certainement dépassé et tout cela avec Un sursu se- mant da 200 millions, par sa, amortisse- ment bien réel, puisque le montant en est versé dans les causses de lu banque de Franra. Eosn le compte de ligaidu- lion, couséquenoe iuév,lable de tous nos désastres, se solder eu dépenses et eu ces qui lui sont propres: G59 mil- lions d'actif contre 700 de pa,srf, à quel quel millions près qui pourront accveilre anupeu la dette actuellement pe élevée, mais qui néxigerom pas que legrand livre s it eéouverl. Ainsi 1. situation ofi n.nciére comme 1. siluatos économique est aussi satisfai. lente qu'un petit le désirer après les in. nées que nous venons de traverser. Le traité signé once l'Angleterre roi y ai- der encore, en rendant certaine et imme- date la perception de nos impôts sur les mattèrea premières. Cers tmpôlaseront perçus à partir do décembre prochain sur toutes les provenances de la fends\Itretagne, cou- foemémeut aux tarifs volés le 26 juillet dernier par l'Assemblée nationale. A l'o- r et ,prés l'abol,lton des traités de 1860, au ter mars 1873, le régime 81,- b11 cotre les deux peuples sera celui qu'an qualités partout de trailemeul de la nation la plus favorisée; mais comme la luujesqu'au5ldércmbre187G, oa a dù ajouruerjus.lti à celle époque l'appli- ll yy a longtemps que Valentine, fral- ehe et matinale, en peignoir volant de jaconas bleu, les cheveux relevés par ne simple ruban, arrose ses fleurs , et fait la rooisnn pour ses jardinières. ai, prose à Paul, qui le néglige bean- colp depuis quelque temps, rat qri elle espère voir 6 la fêle des comices, à m.las que quelque vent favorable pe le lui ;,mène plutôt. Tout à coup, elle laisse échapper tin léger ci' d ... Paul vient d'apparailre à l'entrée a jardin; il la cherche des yeux, il 7tentà ,lie. Son premier moevement, dot primé, est de raser au-devaet nt lai; ui; mais ellepiéline sur place, ev.attendant le aux lèvres et la m o tendue. Le jeune renom, prend cette pente maiu...conlre son habitude, il la pressa dondement et la garda dans les siennes. 1'curgaoi Paul est. ul ainsi vine, tout il ' d'abord à Mlle de 1:igri i!éres, alors qu'il amuit dûléhm plus empressé d'aller Irou ver Moelssel pour l'eapfdier, de su par: an journaliste Verdier , en qualité rle témoin ? Ah : cnet que, à l'lge du jeune pointe, à cul lge eh l'on n'a pas Honore appris la le rmnr en détresse a be- pas au: mais plus quo m souffranm t v y uge, d'un autre rmur alOos, s quo vousfi aimes d'un ref soie il puisse s'épancher. Or, Paul ne se seuil sincèr-ementj.e . ssih 1 ma Valentine , je aimé que de teins prsonnes, et de lins suis bien à plaindre , et bien malt le0- manuèera différentes :par Ifloe, par M, lest 1 de Lign gères et par Valentine. Si sans - bien à plaindre et bien malheu- dente a-t il jugé que dans la situation, titis I épHa Mlle de Liguières avec tin l'atrac l.on de celle-ct In, serrait plus par. grand battement de errer, et m enve- ticul,èremert salnlaire .. Non Pas qu'il loppuot son ami d'in, long regard d'an veuille mente à dit ana Mesura, ni pent -fêté. Pourquoi Y I gnollo ne a on 9 Di- Alrenlfrnsr la pureté da la jeune tille tes.m ci tout 1, le puis foot entendre... provisoirement le régime exustant pour les produits français en Angleterre, pour les produits anglais en France. Le traité sera d'ailleurs soumis à la rader tien de l'Assemblée eatienale. Ainsi donc, après le guerre la plus alheureuae, après la guerre civile la plus terrible, après l'écroulement d'un trône, la France a vu toutes les nations emprea5ées à lui offrir ses capitaux, so. crédit plus solide quejamais, 8 milliards .tiraillés en 2 ans, la plus grande par- tie de ces sommes Transportées eu de- hors sans trouble duos la circulation, le billet de buuque accepté comme argent, les impô0, quoique accrus d'un tiers, vc- quittés sacs cuire par les contribuables et l'industrie, le commerce, a'ail re ont de plus de 700 millions en une seule ait une. Ces résullals, quoi les lievo.v oergi se . à u e ule cause, au maintien erg l quedel'ordre.Oui, c'est Perdrer nerg,- quement maintenu qui a pu per te lire que la Fnoce don.ût autant de l rudolts et fût entourée d'autant de crédit qu'aux époques les plus prospères de son exis- tence. Avec l'ordre, sua ateliers se saut rems, les bras ont repris leur activi- lé,nles capilauz sont 't-Il vils nous, le rime a reparu avec le travail, et déjà la France relève la tète, supporte saur les oublier d'inconsolables douleurs et, chose ssepreuanle encore, une l'orme de gouvernement qui d'ordinaire la trou- blait profondément, commence à entrer pan à pan dans ses habitudes, ne l'em- h pas au moins de reven ir à la vie, péce à l'espérance, à la coulisnce, et puisque j'bp procb0 inésitublement des snjels brû- lanls de la politique du jour, jo dirai à uz qui depuis lontempe ont donné leur l'oi à la Ifipublique comme à l'idéal de gouvernement le plus conforme à bills pensées et le plus approprié à la col - che dea sociétés modernes, je lrur dirai 'est par vous surtout que l'ordrn doit bure passionnément désiré, car st la Ré' pxbligno d=ji essayée à deuz reprises et s.as stars peut réussir cette fois, cst à'l'ord0 que vous le devez. Fanes-en doncvotre roavec, votre souci de tous l'a jours. Messieurs, continue hl, le Président de la République, les l'Inmenls ml donné la République ci remon- 1er à sra c s pour les discuter et les jugeran Se rait aujourd'hui une dangreusa yti inu- eatrerri e aussi tile, I.a Itépablique exista , alla est le gouverueme.l légal du pays; v . loir autre chose srait ut uvelle ré. volulion et la plus redoutable de mutes. Ne perdues pas antre temps à lu procla- mer et employons-le à lqi imprimer les A9M _N MIMMN, fendre comme nse caresse , vos mais sont b,Alantes, et pourtant elle, tem- bleu comme si -as aviez la fièvre; 1m. liez vous malade? - Nos, répondit le jeune homme ; plût au ciel ! - Qu'est-ce alors t serait\il i discret de voue le demander ? Une premiéer con- fidence aa appelle une coude.., Es[-ce encore ce vilain argent 1 - .1. n, ma boni ne Valentine. - En c cas, 00,1 antre chose : dites. moi cela bien vite ! Mais, venez vous le berceau : nous y serons plus à l'aise. M. de Beaucasi h s e lais ma echina- lement -naître, et ioragirala furent as- ,prés un inslaul de mlence '. une, - Eh sen ! c est tout ce que vous avez à me confier ? demanda Mlle de Li- gniérea. - l:hère amie d'enfance, dit Puni, je suis un ingrat; je n'ai pas Ionjnnrs ré- pondu,à votre fraternelle tendresse, coin. me d 1110,1 de mon devoir de le fuira.. Uu, quand j- cherche, autour de moi, uo rixe rogne de toute ma eu- Oance, c'est a v us que je vices. e -. le l'eioér lace, met, pauvre lier Paul 1 Qui doter. la mérimrall, jr et dirai S agnart-il dune nouvelle allercahoq avec votre mère ? Paul Ire,sailli: caractères désirables et nécessaires ; use commission nommée par vous, il N. quelques mois, lui donnait le titre de République consernetric, Emparons-fous de ce titre et t2chos aneleut qu'il soit mérité. I.a République sera on,uesstei ce, ou elle ne sen pas. La France ne peut pas vivre duos de co.fi...lieu clac. mes ; quelque soit le repos duel elle et i.dispe.sablemest besoin, elle nn le souffrira pas longtemps. P. peut croire que geler su seffragc ..iversel, et appuyé ainsi sur la pou- ... ce du .ombre, on pourrait établi, .e Ilepublique, qui serait Dalle d'un parti, ce serait là ... rouvre d'eu jeu,. Le nombre lui-méme a besoin de repos, de sécurité, de travail. Après avoir fait peur aux autres, il prend peur de Iai- méme, il se jette dans les bras d'un malle, d'uvrnlure et paye de vingt vus d'esclavage quelques jours d'une décas. tenon, licence. Il recommencera parfois c triste et humiliant voyage de l'anar- chie, semé de ronces et de calamités, .ù la France a trouvé la perle de deux pro- ' es, one dette triplée, l'incendie de sacopiste, la ruine de ses monuments et sacre des otsges qu'un .,..,ait jamais cru revoir. Messieurs, je vous en conjure, calaisons a lieu d'agilen, faisons à la sécurité gé- aérle les sacrifies néceaaairee, fuisona ème ceux qui .sembleraient ezrssifs. Si la République, au bers d'élre le gon- mmd d, tous, est représenléa com- me le triomphe d'une classe sur une au fie, à l'iasnut oe éloigne d'elle une par- tie du ays, une partie d'abord, et le tout enpsmle. I.0 Ilévol.lion de 1789 a été fana pour qu'il n'y ait plus de clus- es, pour qil d û y cil dans la nation que la nation ell.-méme, la nation une, vr. vaut toute sellée, sons u seule loi, suppornnl les mêmes eh anges et Jouis- sant des mômes armtnges. Qu..tà moi, je ne comprends, je n'admets la Ilépa blique qu'en 1. prenant comme elle doit èlre, comme le gouvernement de la na- tion, qui ayant voulu longtemps et de bleue foi faille, à ou pouvoir hécédi. lare la direction parugée de sis desti- nées, mais .,y ayant pas ré osai, par des fautes impossibles à juger, prend entée le parti de et régir elle-même, elle seule, par ses élus, librement et sagement dé- signés, sns acception de parti , de classe, d'origine; ne Ira cherchant ni en hua, ni en bas, ai h droite, ni à gauche, s,, don. celte teintées de l'estima pu- blique, oh !es caractères, les qualités, les défauts an é dessinent entre elloa, impeusi blee à mco.naitre, Deux année, écoulées, Mesaieum, sous vos yens, sous volte tuf uence, sons nntec contrôle, dans un calme presque coin. plet, peuvent voua donner l'assurance de La jeune fille était trop attentive à toutes les impressions do jeune homme pour que ee mouvement lui échapp 5t. - Mon Dieu, pensa-t-elle, comme si le souvenir d'un secret fatal, concernant Paul, l'eut elle môme ,Clarté., ..a Dieu 1 est -«il aurait sppei quelque chose ? Mais, quoi qu'al rôt appels, gue lés crotales de Valentine fussent ou joli justifiées, quelles le fassent complète- mer t ou partiellement, il ne convenait pash M. de Ileauchamps de se latsse aller eue celte pente, qui paumait l'en. Irsiner trop ,néon.. Le jeune comte était résolu h oie bat- Il Augustin Verdies ', le motif réel de lu 000005let était l'article intitulé Plmmrnadea d'.. rouriate ; la rsiaon ep. parente sarail le pleurite prétexte venu, et, au besoin, la diatribe grimace M. le maire. !il Tant le monde, au , vore., devait orer ce projet de duel, soirs le duel méme, pour le cas où il ee se trahirait pas, par sers soues fdcheusea. Toute fPet n se mi.. d'nu malheur, ue fat laité, pos se couder e quelqu'un, chu- gerce quelqu'un des adieux pour tous ? Qui, mieux que Valentine, roeltraft toute n dore dans l'xrumplisseroenl de cette triste biche ! Il irai avait, d'ailleurs, im- prudemmoot peut élre, avoué u eba- 9li n, lo- t an crififidencDunlop e Donc, il trente, se Iaornset à énoncer le démêlé de l'avant-veille, avec un journaliste 1 l.pinal, et ses suites probables. - Avec ma mère ! nul pa il n'es . , n ( .,, Pas question de ma mère, (La suite à demain). tllevon PERCEVAL. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Transcript of POLITIQUE ET LITTÉRAIREimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101...DI. soirée a ,'Flat,...

680, Ail91d`.e. No top BUREAUX : Rue Saint-Rome, &L

POLITIQUE ET LITTÉRAIRE

LBORBBYBRTS:TOULOUSE On se, 40 f. 6 mais, 211. S mois, 44 fiDMPARTRMENTS - 50 26 - 14RTIL9NQtR Les fruit supplémentaires de poste en au.

os e.eau ara AMONtn6nENTS es a.. ANnomcre .T'OULOUSIL : Aux B.reane do Journal, voie Saint-Rame, 444,

Chas M. Havas, ruse J. J. Rouiller., S ; etA 2 A B 15 : bas MM. LafOtn.Bullier et pl.. de L

Bourse, 8; M. Fontaine, rue de ¶reévise, 22,Sanie Correspondants pour les Anvonaea.

R5URES DES DEPAITS Et DES ARRIVAIS DES TRAINS DES CORMJNS DE TER DU MIDI ET D'ORISBANS (8arriei d'RM).

La. La ornasex,

Dspnets r Air;

,folie, bruit 15

mati.Mafia, (Bsyr.) Il

se

fiole, 4 35Soie, Aise, 6 20

Latifist.4Ill8

Soir (Sapa) 4 45&rt, 0 35Soir, (0 40

ana, aa larra.

Matie.Matin,

3 40 Matie,(Cara) a 55e 00 Matin Sxp) i0la30

Départit Areivlm:

Matie, t0 06 soir, 1 45

soir, (Expira) 2 00 soir, 4 Sisoir, 4 te soir, 10 00

sort, Sueras, 6 fi soir. Ii 55

s- n mxosss.Matin, 6 t1 . Mut. M..ej 9 20

Mutin, 10 41 soir, Pas, 1 05

Enta' Pau, 2 tu si,, 3 50

soir Movu.j. 6 30 loir. 9 t5

TOULOUSE, ! INovembre, ualionale doit êtes entourée. DI. soirée a ,'Flat, a conjuré la oriel étal-pays bouleversé par les révolutions et ligue en fabricant 100 millions de peti-

'

BOURSE DE PARISd.13 novembre,Au CumeranT.

Ialeura div, Coins du joue, Conta pré'.

par la guerre, que resterait-il debout tescoupures eu demonnaie divrsionnmre,st la seurvraioeté nationale, représentée et sil s'est rancunier quelque gène, ceaussi légitioiemest qu'elle le fût jamais, t pas chez nous

,

c'est à l'étranger.n'était l'autorité suprême partout res- Les émissions des billets de la Banquepeclée, et, quand elle a parlé, partout qui peuvent s'élever légalement jusgn9obéis? 3 milliards 200 millions, ami de 650

En même temps que l'ordre était millions LU dessous de e chiffre, etg Ulu 52 50 52 AO maintenu, le foueernement n'a cessé de c'est à peine si, o satisfaisant large.41/2010 76 25 75 75 veiller na ours réguler des affaires, à meut .uz besoins du commerce, la Ban.5 0,U emp. 1871 83 90 84 15

lastricte observation des lois, su lève- que a dd prélever 150 millions sur l'aug.

5 01p corps: 4874 85 50 85 70 loppement de la grande opimtinn final. mentutldp qui lui était permise. SonA Tae.s: cirre qui doit aboutir à la lihéntian du portefeuille qui,dms les meilleurs temps,

3010 52 80 52 80 territoire, à l'ivacuatien dru départe- renfermait de 60i1 à 650 millions

3 010 de cours 52 62 52 85 monts qui devaient Pire les premiers d'effet, , en a aujourd'hui pour 950,llée des ...veaux preuve u plus gnud mouvement d'af-5110 emp. 71 1'e coure 84 45 84 45 affranchi.,, à la reu d

sauislioo de notre sa e tairas u' il jamais eu noire aà Iôti .n eiog g q p ls,mp501pemp. 71 d cours 84 50 84 50r he des né-ill é 9 Itoan arm e, n ma c5010 emp. 721 clora 85 72 85 67 et vn

s 01p emp. 72 cours 85 00 A5 75 gociatio.s commerciales, enfin1.

la pa-s U1p lta1. 67 00 G7 SU ci6quc rat amical. direction de os re-Foncier EIiS +. 8'10 >+ latiovs avec les deux moules.Mobilier 023 75 421, 25 pendant ce temps, le pays trarilluitMob. lisp. 490 25 496 25 avec cette activité qui cet la poissante

c-- os Fun. réparatrirc de n H la Frv-é à l rat

Oeléaoe 505 '.957 50Nord s.. >

Lyon 815 . el, ,'

Midi 580

Autrichiens 777 50 782 50

Lombards .4650Banque 4,640 >+

BOURSE III, TOULOUSE

du 13 novembreAU coiseran-.

5010

5 010Empruntretant

aupayé

Pn nMol iii er fiantMo Cil tel 17

afoognol

0 uaaeicrt Diverses,MidiNord Espagne priorité,

Saeugosse

5583 5085115

432 7!1

457 50

275 502042111

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE

ASSEMBLÉE NATIONALEexvnsur vu mrossis

Du Préaide.nl de la 716publ que.

Versailles, 13 ...embre,3 Ill. sait.

Après une séparation de truie mois,lu Président de la fille. gas vientremplir le devoir annuel que lui smpo-

r,l les inatttuliunx l'éF.bticaseea et es-etp er à l'Assemblée sali,.'uuls la vérita-

le situation drs pats, le b,,?n et le malni rzugé

rui déguiféli.t iflou'dcr inte.. ees, Le calme a 0l a

ur' Ics paiements de l'amlée prochaine.' é pel qu il filnettoiement ni a pas uuffelé atteinte au respect dent l'Assemblée i La Rauque de France, puai ...8 dé-

FEUILLETON du JOURNAL de TOULOUSE

du 44 Novembre 1872.

I SIEEII IiIlEXXII (Suite). 28

- Noua espérons que tel. de Se.u-champs ne sait rte. encore, reprit Ju-les IJraaLard; mais, que ce soit ce nlntiu

u'r, anjnard'bai .u demain, par.ilote u, lut échappera pas. haut le pre-mier mouesmr.t de sa colère, il voudrate battre avec f ÿneutcur. Or, à a uprix, ce duel ne doit avoir lieu; ceu q iserait à souhaiter, c'est que relie némarche du jeune menue lut prévenue...

l'ai un aulne, acheva le vieillarden redressjantvou glu ode taille;

omieur, e

saset je "ilma'unpprouve..,, l'uffnn.è est partie de mu

maison : , abominable q'u'elle sait, jela prends à m.. couple. C e serait à moid'accepter le cartel de M. de Beau-champs; mais je me battrai

"'bordavec

M. Verdier, et j'espère bien ia mettredans Chiffre, sibilili de répondra à l'hon-neur immérité que voudrait lus fairele jeune comtel

, =en se mesurant avecloi.

- Ce c'est pas là ce que nous voulïm[adire, pré[ l'avoué le mal serait dans,le duel môme, bien plus que dans le I snppeiisuet, de céder à un intérêt dechoix des adeeesafres; soyez a r que pria, de concorde.0quels qugls fussent, la mabeillance son - parfait i dit l'avoué, ramassant au

,t eu l'aire remonter la causa à Mme de bumd cette balle élastique ;voilà un IraitBeauehampe.,. foute lie, pour d teen oe ^énse, à lu vérité, cher monsieur;are, a besoin qu'un ne la remue pins; les ciigrt' nous 5u,t dit, l'arllole eut bien un

d'immeu,e nsamilt'es ,yleu plus belles ré-coltes que nous ayons eues depuis unquart de siérle.

En ceci, il n'y a qu'à remercier Dieu,auteur de foutus chouan, qui

lonreà r torr i.struil, soutient, rulévequand il lui

plaitles nations

oui ont

lail

et qui n ont désespéré ni ui nid'el mômes.Api èa

ces cens étalions générales, ilfaut enmer dans quelques détails suros aU'aires les plus essentielles.nMans l'emprunt des 3 milliards et

demi, an mois de juillet dernier, ee qui-t 1.1 us zignili'11ifi que cette olfro pro-

digieuse de 45 milliards, c'est lo verae-evd. Le Trésor a déjà crie en voleur

réelle 1750 millions, c'est-à-dire la moitiéde cet emprunt c tossa,; et dansante npératiuu finuiciére, In plus Cet-aidéroble qui ait jamais été lourée, il n'ya pas eu d'aceidmds, ai méme de crisemonôtaire, geSoc à tcutes les mesuresde prudence qui ont été pi Les d'aprèsl'expérience du premier emprunt de1871.

I1'abord notre administration Ilman-ciére s' st pearnré à un tuuà

modéce

4t à 1;500 miiliaus de papie de changemi troues de mus les piy' sur l'allema-gne.; Paie elle s'est l'ait garuel,e la la axdu change ,lin qû il ne monilt pua dé-mesvrémttter

au dehors dés sommes lune-nms sans produire de perturbation pro-fonde. Nous muas déjà payé a l'Allema-gne BOU millions; en décembre, nous Iraipigeras, corner 2011 autres millions eu

un mi,liaid e. 4 mois; et il nouesransrestera 5 à 600 millions de Iruima pour

deux aeui,% mesures à prendre; efficaces,pratiques, e Brait : lu première, d'ae-rparer , de u,'iruire, au plus grand

ombre possible, l'édition du journalder; la seconde, de chasser cotre ré-acteur.

-o sen fait aujourd'hui meure.CAcombien se tire l'Orgonr? de'

manda Jules.-A lieus mille seulement, car mes

ell'oel. pare le reslever ne datent eque de quelques emaine,; mais, si hiestrelol que s o i t. chiffre , j'aipeur..A

de-loi, le ciel t'aidera I inter.nrontpil l'avoué; cheque numéro enlevéoppose dix lenteurs de moins... il y a,

d'abioei(, le restant de l'édition et lesouid ,ove puas à incites u pilon; il ya le cliché à détruire, 1 y ce a un; ily ales dipdte à reprendre chez les li-bratres... Pe.n d'ahonnés, sans doute ?

- Irait peu... je fais adresser gralni-temem le journal à quelques cafetiers...

- Auxquels ou peut le redemander ;

ànoplus facile... Nousjusque.là, r e, de

n'avons, d. trente, us préoccuperquo de l'arrondissement : ..,delà, l'h,s-luire n'a aucune perlée.

Toutefois, reprit Jules, fi faudrait trouver à cette razzia ne

motu-

plausible.- 11 est tout trouvé, reprit M. de la

Commanderie, - en qu!'ni vnait de surgirlidée de l'are d'une pi double coup,et de commencer tout de suite sa-a-version politique, - non étude sur

mancipafinnrfes Peuples étuitpeut-être2F nle... reniai vair, an la

oavtLe dépôt métallique, eu y -PLIl'encaisse, les lingots du commerce, l'oret l'argent de 1'Etat, atteint la sommede900 millions e ieférie.,. à ce

isiait avant la gras e. bloc 800es

dmillions

d i0'ets, ajournés par suite derniersévéncanent,, il n'en reste plus aujour-

d'hui ride 7, sur lesquels 2 m S millionstitrent ont encore. Aussi le billet de 1.

Banque de France est-il accueilli dan,le mmtde entier à l'égal de l'or et del'argent. Mien ne peut mieux prouverl'étmdoe de la solidité do commercefrançais, fondement de crédit de laFrance et nerf dosa puissance.

J. calculant, d'après Ics 9 mais déjàécmnfés de la présente allée, on est as.curé que les impoItaliens seront tout

ras de 3 milliards 457 millions eten loriles exportations de 3 milliards 557, en-

mble 7 milliards 14 millions, ce quid o n . . st l'année 1869 un accroisse

ont de 787 mil lien,, accroissement qai-est presque wns uxem pic dans lesriudea précédemes, les exportationsl'empnrtaot cor le, importations de 100million, et la différenne serait

méme

de217 millions ; si l'on lient compte desinlroductions accidentelles de céréales,causées par le mauvaise récolte de 1871,au cnmmeucement de 1872.

De tels pr grès dans des circonstancesi difficiles doivent nous rassurer surl'avenir de nos industries, si la politi-

que., cause toujours peép.udéeanle dans

l'activé lé de la production, ne l'ait pasmerder dos

donnouvelles à

deus années un repos presque com-plel. La situation économique du paysna donc pas eouff<ry\sut..ti il., es su.

hers de larait pu le craindre, des mal u

guerre ; mais les fluancesade ,'Enta[ au-mot pus'en ressentir gravomoet. Ellesa

rsamdr,nl cu e0'em: maisil '

eimass, lerr,'rl e cotions

b

d'rent coeealudgoton !:ours d'esécU lion

ce s t'aci-

mort soldé et cap budgets se trouve-ront en plein équilibre. ,es inssfOsan-ees prévues pour le rendement des nop-

peu de nature à donner eus vitriers uneassez rude I--go .

- Vous l'avez lu ? demanda le viel-lard en se rengorgeant.

- S, le l'ui lu I... c'est-à.dire queje lui deveré, bien que, politiquement,il ne soit pas dnna mes eeedrs.

rire fois seul, hl. de 1.ch: ragea le coslome et donna l'ordred'atlen'. Il allait an chefvlieu fuire mai-

.,fie à i'01gane "' peuple.so0nelyueadomnstlqucs Yxrert dispersés

dans Neuvy eL lo haalirue à la citasse dojournal. Si, n'en trouva guère gru'au'vingtaine

de nuuilros ; n'était à peu présmu[ ce qui avait été li,lribuf, de ce projeclile, si peu ,Pulmieaut que la plupartdes destin.[aires, l'art inaounienx de po-liuq.e, n'en avaient pas ;,mémo dét,nhéla Lande.

XXIII

AI onze heures du malle, Paul sortit

de cez la vieille Mariolle. Ce qu'avaitn la, apreudre l'ancienne se venir depDnnald,

nms gnorons; maillé, est tris.te IL abattu; ce serait à croire qu'il

cc-

gretle de ne pua avoir écouté la voix dela raisoor ,qui loi déconseillait cette dé-m reje..

etLe jeune homme vient d'arriver à Nerf.

à lu... cheval

d MinaIi

Lché,,a.

dehors

i cevuoiuul'a,reede

bruit ennientrent , dansl'espoir de ne pas attirer l'attention de

et de se trouver aet veud asa enfinmarraine t

1 ; Il e. Mas ue précaution est iaieC,

les persiennes do Mmn de Lignié\son[ encore fermées sa cohe su.I%

limbe gémit ,acore sous sa mlépais. pa, un:' cunhd,n e dép siée... Maiseur, et les tirxtllemens de son e,somce, fia, yu'e eau il Iôi mpme. I puer le

ce lui ont pua cacoreitnspiré

le hesoin de momentu

il la lai faut, il a besoin

substituer aux douceurs de l'alcôve les d'elle.jouissances de 1. table. - Cor Paul, dit Valentine de sa vois

... mueraDéporta r Aerh/a

Mad,, 9 os Matint 9 36soir, 7 20 moi,, 5 65soirs 5 40 Bort, 9 38

Lraaa Psautaa. aaxov-aLY

Matin, 6 4o Mat. Villeh. 9 53Soir, IL 55 sou, 3 47soir, (V8lefra.l 5 l0 Soie Teston. 8 51

fion. 51 26

Jeullli, 1é Novembre 18V2

MMMSAOI . in. alaleIWe. I. n. pa 1.e.

Annonces, la ligne,Réclames, la ligne,Faits divers, la ligne,

OAMI ]an A151Onmu :

0 Ir. i0 6,B 501 00

Toulon". = Typographie Ph. Manraoua, petite tue saint-Bon

vaux impôts disparaissent de jour ce ration complète du principe. E. atlen-jour et les perceptions x. sonEraece sel dent, noua parles rons immédiatementrétablissent à rue d':eil. L'améliontio. nos taxes fiscales et l'on maintiendraest très-sensible, de trimestre en tri-

mestre, sur toutes les branches des r

p., exemple, les sucres ezoti-ques,>qui perdraient 9 millions sur lepremier trimestre, ne perdent plus que4 millions dans le second et 770,000 le.dan, le troisième ; même progression pourles boissons et pour les tabac ; l'im-pôt sur le papier et le droit sur les che-mina de fer produiront plus que le Bud-get ne lent demandait.

L'enregislermeul et le timbre dan-tient une augmentation de 19 rnillioas ;et les impôts directs se recouvrent siaisémevl qu'ils sont en .vase de plusde YG millions sur les 8 premiers dou-ail°'

néeIl y aura néanmoins sur s'a 1872n déficit, mais ce

déficit

it a rienai l'osièlunt ai même alias, de ccédt,dsi l'on songe aux annulations de crédit

prévues pour cet azeretce et déjà

réesparlesexercices précédents. Ué-ei58 sera largement atteint à la findion 1873

75, parce qu'alors les uoUVeauzipôtle uolumment celui des m a Hèrespremières qui fonctionnera dés le 15décembre de la présente allée, par loi-

do traité signé avec l'Angleterre, se-snl d'avs la plénitude. de Icrer produits.

E. 1874 l'équilibre set certainementdépassé et tout cela avec Un sursu se-mant da 200 millions, par sa, amortisse-ment bien réel, puisque le montant enest versé dans les causses de lu banquede Franra. Eosn le compte de ligaidu-lion, couséquenoe iuév,lable de tous nosdésastres, se solder eu dépenses et eu

ces qui lui sont propres: G59 mil-lions d'actif contre 700 de pa,srf, à quelquel millions près qui pourront accveilreanupeu la dette actuellementpe élevée, mais qui néxigerom pasque legrand livre s it eéouverl.

Ainsi 1. situation ofi n.nciére comme 1.siluatos économique est aussi satisfai.lente qu'un petit le désirer après les in.nées que nous venons de traverser. Letraité signé once l'Angleterre roi y ai-der encore, en rendant certaine et imme-date la perception de nos impôts surles mattèrea premières.

Cers tmpôlaseront perçus à partir dodécembre prochain sur toutes les

provenances de la fends\Itretagne, cou-foemémeut aux tarifs volés le 26 juilletdernier par l'Assemblée nationale. A l'o-

r et ,prés l'abol,lton des traités de1860, au ter mars 1873, le régime 81,-b11 cotre les deux peuples sera celuiqu'an qualités partout de trailemeul dela nation la plus favorisée; mais commela

luujesqu'au5ldércmbre187G, oa adù ajouruerjus.lti à celle époque l'appli-

ll yy a longtemps que Valentine, fral-ehe et matinale, en peignoir volant dejaconas bleu, les cheveux relevés parne

simple ruban, arrose ses fleurs , etfait la rooisnn pour ses jardinières.ai, prose à Paul, qui le néglige bean-

colp depuis quelque temps, rat qri elleespère voir 6 la fêle des comices, àm.las que quelque vent favorable pe lelui ;,mène plutôt.

Tout à coup, elle laisse échapper tinléger ci' d

... Paul vient d'apparailre àl'entrée a jardin; il la cherche desyeux, il 7tentà ,lie.

Son premier moevement, dotprimé, est de raser

au-devaet

nt

lai;ui;

mais ellepiéline sur place, ev.attendantle aux lèvres et la m o tendue.Le jeune renom, prend cette pentemaiu...conlre son habitude, il la pressadondement et la garda dans les siennes.

1'curgaoi Paul est. ul ainsi vine, toutil 'd'abord à Mlle de 1:igri i!éres, alors qu'il

amuit dûléhm plus empressé d'aller Irouver Moelssel pour l'eapfdier, de su par:an journaliste Verdier , en qualité rle

témoin ?Ah : cnet que, à l'lge du jeune pointe,

à cul lge eh l'on n'a pas Honore appris lale rmnr en détresse a be- pas au: mais plus quo msouffranm t v

yuge, d'un autre rmur alOos, s quo vousfi aimesd'un refsoie

ilpuisse s'épancher. Or, Paul ne se seuil

sincèr-ementj.e. ssih 1 ma Valentine , je

aimé que de teins prsonnes, et de lins suis bien à plaindre , et bien malt le0-manuèera différentes :par Ifloe, par M, lest 1de Lign gères et par Valentine. Si sans - bien à plaindre et bien malheu-dente a-t il jugé que dans la situation, titis I épHa Mlle de Liguières avec tinl'atrac

l.on de celle-ct In, serrait plus par. grand battement de errer, et m enve-ticul,èremert salnlaire .. Non Pas qu'il loppuot son ami d'in, long regard d'anveuille mente à dit ana Mesura, ni pent -fêté. Pourquoi Y I gnollo ne a on 9 Di-Alrenlfrnsr la pureté da la jeune tille tes.m ci tout 1, le puis foot entendre...

provisoirement le régime exustant pourles produits français en Angleterre, pourles produits anglais en France. Le traitésera d'ailleurs soumis à la rader tien del'Assemblée eatienale.

Ainsi donc, après le guerre la plusalheureuae, après la guerre civile la

plus terrible, après l'écroulement d'untrône, la France a vu toutes les nations

emprea5ées à lui offrir ses capitaux, so.

crédit plus solide quejamais, 8 milliards.tiraillés en 2 ans, la plus grande par-

tie de ces sommes Transportées eu de-hors sans trouble duos la circulation, lebillet de buuque accepté comme argent,les impô0, quoique accrus d'un tiers, vc-quittés sacs cuire par les contribuableset l'industrie, le commerce, a'ail re ontde plus de 700 millions en une seule aitune.

Ces résullals, quoi les lievo.v oergise

.à u e ule cause, au maintien erg lquedel'ordre.Oui, c'est Perdrer nerg,-quement maintenu qui a pu per te lireque la Fnoce don.ût autant de l rudoltset fût entourée d'autant de crédit qu'auxépoques les plus prospères de son exis-tence. Avec l'ordre, sua ateliers se saut

rems, les bras ont repris leur activi-lé,nles capilauz sont 't-Il vils nous,le rime a reparu avec le travail, et déjàla France relève la tète, supporte saurles oublier d'inconsolables douleurs et,chose ssepreuanle encore, une l'orme degouvernement qui d'ordinaire la trou-blait profondément, commence à entrerpan à pan dans ses habitudes, ne l'em-

h pas au moins de reven ir à la vie,péceà l'espérance, à la coulisnce, et puisquej'bp procb0 inésitublement des snjels brû-lanls de la politique du jour, jo dirai à

uz qui depuis lontempe ont donné leurl'oi à la Ifipublique comme à l'idéal degouvernement le plus conforme à billspensées et le plus approprié à la col -che dea sociétés modernes, je lrur dirai'est par vous surtout que l'ordrn doit

bure passionnément désiré, car st la Ré'pxbligno d=ji essayée à deuz reprises ets.as stars peut réussir cette fois, cstà'l'ord0 que vous le devez. Fanes-endoncvotre roavec, votre souci de tousl'a jours.

Messieurs, continue hl, le Présidentde la République, les l'Inmenlsml donné la République ci remon-1er à sra c s pour les discuter

et les jugeranSe

rait aujourd'hui unedangreusa yti inu-eatrerri e aussi

tile, I.a Itépablique exista , alla estle gouverueme.l légal du pays; v .

loir autre chose srait ut uvelle ré.volulion et la plus redoutable de mutes.Ne perdues pas antre temps à lu procla-mer et employons-le à lqi imprimer les

A9M_N MIMMN,

fendre comme nse caresse , vos maissont b,Alantes, et pourtant elle, tem-bleu comme si -as aviez la fièvre; 1m.liez vous malade?

- Nos, répondit le jeune homme ;plût au ciel !

- Qu'est-ce alors t serait\il i discretde voue le demander ? Une premiéer con-fidence aa appelle une coude.., Es[-ceencore ce vilain argent 1- .1. n, ma boni ne Valentine.

- En c cas, 00,1 antre chose : dites.moi cela bien vite ! Mais, venez vousle berceau : nous y serons plus à l'aise.

M. de Beaucasih s e lais maechina-lement -naître, et ioragirala furent as-

,prés un inslaul de mlence '.une,- Eh sen ! c est tout ce que vous

avez à me confier ? demanda Mlle de Li-gniérea.

- l:hère amie d'enfance, dit Puni, jesuis un ingrat; je n'ai pas Ionjnnrs ré-pondu,à votre fraternelle tendresse, coin.me d 1110,1 de mon devoir de le fuira..Uu, quand j- cherche, autourde moi, uo rixe rogne de toute ma eu-Oance, c'est a v us que je vices.

e-. le l'eioér lace, met, pauvre lierPaul 1 Qui doter. la mérimrall, jr et dirai

S agnart-il dune nouvelle allercahoqavec votre mère ?

Paul Ire,sailli:

caractères désirables et nécessaires ; usecommission nommée par vous, il

N.quelques mois, lui donnait le titre deRépublique consernetric, Emparons-fous

de ce titre et t2chos aneleut qu'il soitmérité. I.a République sera on,uessteice, ou elle ne sen pas. La France nepeut pas vivre duos de co.fi...lieu clac.mes ; quelque soit le repos duel elle eti.dispe.sablemest besoin, elle nn lesouffrira pas longtemps.

P. peut croire que geler su seffragc..iversel, et appuyé ainsi sur la pou-... ce du .ombre, on pourrait établi,.e Ilepublique, qui serait Dalle d'un

parti, ce serait là ... rouvre d'eu jeu,.Le nombre lui-méme a besoin de repos,de sécurité, de travail. Après avoir faitpeur aux autres, il prend peur de Iai-méme, il se jette dans les bras d'unmalle, d'uvrnlure et paye de vingt vusd'esclavage quelques jours d'une décas.tenon, licence. Il recommencera parfoisc triste et humiliant voyage de l'anar-chie, semé de ronces et de calamités, .ùla France a trouvé la perle de deux pro-' es, one dette triplée, l'incendie de

sacopiste, la ruine de ses monuments etsacre des otsges qu'un .,..,ait

jamais cru revoir.Messieurs, je vous en conjure, calaisons

a lieu d'agilen, faisons à la sécurité gé-

aérle les sacrifies néceaaairee, fuisona

ème ceux qui .sembleraient ezrssifs.Si la République, au bers d'élre le gon-

mmd d, tous, est représenléa com-me le triomphe d'une classe sur une aufie, à l'iasnut oe éloigne d'elle une par-tie du ays, une partie d'abord, et letout enpsmle. I.0 Ilévol.lion de 1789 aété fana pour qu'il n'y ait plus de clus-es, pour

qil

d û y cil dans la nation quela nation ell.-méme, la nation une,

vr.

vaut toute sellée, sons u seule loi,suppornnl les mêmes eh anges et Jouis-sant des mômes armtnges. Qu..tà moi,je ne comprends, je n'admets la Ilépablique qu'en 1. prenant comme elle doitèlre, comme le gouvernement de la na-tion, qui ayant voulu longtemps et debleue foi faille, à ou pouvoir hécédi.lare la direction parugée de sis desti-nées, mais .,y ayant pas ré osai, par desfautes impossibles à juger, prend entéele parti de et régir elle-même, elle seule,par ses élus, librement et sagement dé-signés, sns acception de parti , declasse, d'origine; ne Ira cherchant ni enhua, ni en bas, ai h droite, ni à gauche,

s,, don. celte teintées de l'estima pu-blique, oh !es caractères, les qualités, lesdéfauts an

édessinent entre elloa, impeusi

blee à mco.naitre,Deux année, écoulées, Mesaieum, sous

vos yens, sous volte tuf uence, sons nnteccontrôle, dans un calme presque coin.plet, peuvent voua donner l'assurance de

La jeune fille était trop attentive àtoutes les impressions do jeune hommepour que ee mouvement lui échapp 5t.

- Mon Dieu, pensa-t-elle, comme sile souvenir d'un secret fatal, concernantPaul, l'eut elle môme ,Clarté., ..a Dieu 1est -«il aurait sppei quelque chose ?

Mais, quoi qu'al rôt appels, guelés crotales de Valentine fussent ou jolijustifiées, quelles le fassent complète-mer t ou partiellement, il ne convenaitpash M. de Ileauchamps de se latssealler eue celte pente, qui paumait l'en.Irsiner trop ,néon..

Le jeune comte était résolu h oie bat-Il Augustin Verdies ', le motif réel

de lu 000005let était l'article intituléPlmmrnadea d'.. rouriate ; la rsiaon ep.parente sarail le pleurite prétexte venu,et, au besoin, la diatribe grimace M. lemaire.!il Tant le monde, au , vore., devait

orer ce projet de duel,soirs

le duelméme, pour le cas où il ee se trahiraitpas, par sers soues fdcheusea. ToutefPet n se mi.. d'nu malheur, ue fatlaité, pos se couder e quelqu'un, chu-gerce quelqu'un des adieux pour tous ?Qui, mieux que Valentine, roeltraft toute

n dore dans l'xrumplisseroenl de cettetriste biche ! Il irai avait, d'ailleurs, im-prudemmoot peut élre, avoué u eba-

9li n, lo- tan crififidencDunlope Donc, il

trente, se Iaornset à énoncer le démêléde l'avant-veille, avec un journaliste1 l.pinal, et ses suites probables.

- Avec ma mère ! nul pa il n'es. , n (.,,Pas question de ma mère, (La suite à demain).

tllevon PERCEVAL.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

L cu L f! de M. CO U P0 ASSISES M base art b,teelanté u po'F I q jm ' l " . . 1, o p 1 h 1 1 é : p I t 1{ tl { L 11 1 q g t d q d l o d b I et je P4 -1 va 1 L. m J .,,,.ai de

avaitet Gte à la elle de1 ,il

f t t f I l e c 0 1 t r.:'. d 1 d t I . ! I t P d p l l g 1 1 11 qoi; I"1 l d 1869 au C,urp le stout.

''..p p

éruy t p t 1J, t pués cas 5 nu s trrm:at 1872. L p é perdu en 1' ms!c L "p I I I, t. le 28 IIt 1s"16, q I n t P a V

t dJ-v t a v. q d

r

1« uni t 11 I tirage L I I 1 2l V

t lL1 c. c du d b t rep is Jevant t Caar d'Agn 1

qPa P . dence du M. Um ncs c I,i. pé les audunces de mmd et dI a,,

I ..I 0 1 I ç,

, rIt Lit b 1 . pu. r de,ni,r, l 1 p ! t l : h d, po d cul r, je vous r, a et él it p t {

-.501 100 t t ses ,t p r!er { d d p d t I j t fous On a men dit q t états pat

parce Assesseurs, MIL Auzu.s t e, nn i, d d bi Bare a pI tiJéd a Pro.

n s ét r t a d ail rait ep 1 1 o . t . . u t . Pr , t . z ! l7 '.ODU t qn' 1 i- 'é l, t 11 L s II. ; p L Journal a olé délsu, a Par

des allai Fats a Toulouse, au Çapisole, le 8 no Po ex t' let I des Centaines lino. AI B e cal die]bueau d Auch, a.h t à a mêlerq " p dons le n ter du t,h5i. on Liuginia rr a mméd t te mt Audisoo, d 'd bre 1878. celle, téton

aartle 'l t de 1+ i

LL

a t - ores des page vnimnt éclatés par ver bre 1872, s, tétait p j'étaisgemen

Jourde cruelles xpeuruces, ls n'y songente La Mitre, nos, patfaitemeut m bl mais à son déjà é lauze., né le diremeur dol'

pte,, a(j'nsre. nul a pt e a M. Itaze une somme dePour e I t nec hase à la rhscus- le allais qu il me t 1 cr 1 rem

lus, osais ils Bout e peint de leur est Ilenri Em:i.vr. lnl y ai p y avmr . - y r

me, et personne ne peut se passer ae lion, montres nous votre projet, murs duos les ^e

teiaL.J AI. blaire Faueé Jenn ,cultivateur, domicilié à

2,000 bancs à titre de dommages et iu-N. 1. - Je n'avais pas rédigé m âvait donné, à cet égard, des milan

Ai ( r anton de Cisable.stetll'

llune e cemo a

Ellecutrui.

onviae

Pranee set e --°-- de projet Je n'avais qu'on avant-pro- ni de bon sons plus cone

oror-

- Projet.donnée Yd

nai et ni o"o'bette, et a ccusé d'avoir, le 13 sontgconviant tous ; e

dojin

seulement ordonnée, mais farte Y jet.que

us les calculs et M. Moynet m':i1X72 à Ai

é tbie es'à ceux qui désirent un juste atour .u Toccouse, M. la Alaire, - Unr tous

avant.projet, ee t montré le détail du travail de - fines, commis un attentat à la

voit. r entre les puissances de l'unisoit

M!Lu nom importe peu. Pour arriver ret'isgé fait par lui. i pudeur consommé au tenté sans Jgé-

à offrir d'exécuter un travail pour un I ingénieur, ea arrivant, lourait non ce aur la personne de Marie B., âgée

devoirle déclare, pane que j'ai pa

rr de moins de treize ans.

devoir les yeux sans'esss lises sur 1 Eu- C O N S E I L M 0 NI C I P A L mn're de ,000 tra acs, vans a- démonstration plus

'L'ingénieur

mmorn,Les débats ont eu lieu à bals clos.

Tope, la P te d'd ést pas isolée et il - fait des études, des plans, des appré- 11 y avait ée écart de 0 70 c, entreLe verdict est né tf

dépend Belle 'élre au contrats' Qu'on. Séance extraordinaire de 4 novembre dations. de C'est ce travail que je E.les deux appréciations. r mon.E. cossé Fuuee est acquitté et

rée d'amis confiants et utiles. Qu'elle 4872, mets en demeure de fournir. tes que le gbassin élre de M. Salles, queute,

sot sable noua laet

blé rds M. Maure l, - Je .,ai pas à barrai, de situé da as le bassin de la Daurade, avait mis es liberté,pal pu que, Tenue en verni de 'autorimtion projet puisqueje vous offrais ua trailéà été placée à dessein, 0 m. 5U c. plue bas Ministère patte, M. Breuil substitut.

r Pluignera peronne; qn élis set agitée de al, le préfet, en date du 31 oxt Las 1872, fm.jet que l'étiage, à cause du régime excep- Défenseur, - Noté avocat.sous ne monarchie chancelante, elle M. le Maire. - le vous demande la tiunnri de bassin de la Daurade, ices-ve le vide se faire autour bans

pend'etio' de votre travail au Point de somment vidé parles canaux IL variesDeuxième af!aur¢.culte

lte tonne ils gouvernement, aussi bien Présents: M. té user maire, président; vue de la discnsion, pou ai point de du Baznele,Pereue (Paul), dit Paulin, bûcheron,que saur l'autre. MM. Muté, Reeséguier, Tourné,i,' te iii' l'ezèculmn. par conséquent 1. 1a diàèrence se trouvait ainsi réduiteà

n s didi i

Nous umis trouvon 11 ue s. à Coastans Barbé, Uarrie BeValiil

omcilié a It . -d Lnchoa, gy-

I Lmn do orfnut est ,diilerentc- 0 211 . d j g lé, p l'mSénieur le.

M diuee once 59 ans, né à S c P I J (lard, L il,l I "i t d lM aure u aq pNI P it M I projet de ,le t t ! d t q pou, Iy, eaojp I t Dur. P t t, Canton, Ley 1

P. t a n ara e, il IL'. pas de rtacllem t t i a Ions repères eulpé d'avoir, le 17 tout 1871 àdû

g éIii ,lue f tme vo s rh es re , pour don- gui, Gl p y, Maurel, Lalmettes, Crr à f tir acore ci,usé.

e i

et taux te 11. li Butantne

re le-laacben, comme%un attentat a la

r.ter à la liègele cette fore.' ton a 'fort Cousin Lacaze, Calvel; Pa t da.s son ni pudote consommé ou tenté sans vtolen

iTjet AL B d loL , n e -le te tee,.,fia

oeeMaurel Sans dmuemue Promon pus .es sur la personne de la nommée P. F.. Le tee, secrétaire.dont elle ue peut se uIlr d ans mou métant-ive llement éral a i dt ét dci er

t tls ,e :iest exos Il dgée le moins de treize mol.i, e isie,

Jepo.ts

le faireà l'étiagnormma

Pays, eu vous confient ses pouvons, ans P:xcusés MAL 6squié, IlumLer[, patl

mais bienl'ius;art sur cette 'ti age le b

nuaé la mission évidente de 1e ove, 13.... IlY i,le dé pas , la G.+ronne eut aUeant zie- Le hors nias a été ordonn é le verdict

lui p I. d b 1 allé,il' p: x M. Ie5ecrétatre do Conseil, dune. t le M'a p. `I demande p don plu' drle. Cette dénia tr t n dont est timenraUf.

1 1 e, 1 1 Il- I t l .I et I rtei du procès d. la séance do 2et

l

éq D. ,

Paie IIl.l r c t t -.t t

Les circonstances atténuantes saut aeavec1 '1', Il il IJt

h

s

ie 1 i Jé

nie efm il d p p le f' dal "I bâtiments. M e

I 1 t él - e i éscett

let e M Cal t d i té-ese -ylitre ou un ,n q S alles eepemdant persistait a drr au ter L ur condamne l'accusé à 18 mes

r 1 1 y -l q I neuf Je la Pi jet, res cU[rs, les w abaissement de 0 m 90 c dans la de pet e-i t p %u a

Piété,à r vi'en

'la d't d

,rue t i 1 un projet cu tut o t t. te II voûtaitma t I O.t, Min stère public, M. Itrenit, "substitut.Il i c p !: rue

tertre, appartient àde h1f n. dz .ep r Détenteur, M' de Bonne, avocat

ue a v i s , e i v u I d s Canton.utoi un

p 1 t .Ce podIl,

J 1 1 anse n'exislor plus. Le C :. 'l1 z, 1 ns quai ne

tle i 1 tabnieur de

la

a ville IL JI salin 1 1 4 1 t L ode Le nntnss fat part adopté.

past minuta sit poura t aceept b se C'est aujourd'hui que cu t 1

rz It t I. cou- M.ieprojet

dCoe stans

fait

part au qConseil,voudrait

drit M Mur J

présentémon peu ment de la cenrjuate, 11 ép.ndit qu'il débats de t'importante

proaloi l u t h ,

le n' t I non coticeou an t de chan à ause,q t è;I 1. se ménager

tele couenne d . i de j r et I d et pour pouvait accepte, , s ée t , u Paul

I',

Eagen

bis detant ange et banque-'La Pé celui 1 ! t t Il bt usé 0 m. 40 c. à 0 50 aa t f t 1 a vt pour a

frauduleuse., cite U v ll b C I e rote de commerce de Mulhouse , [pacte e t es vain,' z baisement

ordoenn

né le t. s 1 mes roulef 't t 1 lI q nomma éminent lut a Iodé t

s eltél d pourUm 50c+à partir derzér, en que don-le,

! puis le + fui ` prospérer elle érulo,Pranee

la, premièreM, le AI Cet entendu t ne un abaissement moyen de 0 A. 25 I.

m ne.anienl de ce siècle. q ate été, ç ats . il est librehl. l'eut. Le t de Portal a été hl. Mrel.Cest une erreur t Le cou se earan.rne me cxasszuas w eesr.

mainer.et mais peut ne pas d'être d'an Prnjemande

oà ieuse

ep.

L'aaininiseation au- fait s des étiages errovis, pendant s'ildesau

mi. 7 a ordonné un baie. programme d<s morceaux qui seront ''bene'stlTSe eéeacus. ezpériences, ngénieur de semant

du

e0U m. 70 c., la prouve estmande ffieieosrment an Conseil, la 2, .. Guau-novembre, de 3 heons 1l2 A4

La ville accusait U.fS e. à 0,70 c, au dans le rahier des marges, dont leet

4 j s 2, au randRon,J.Paris, 16 novembre, 9 b, sri,. 'yricadio de lai écrire pour s'entendre

la

dess

dousrée

de

dl' es

élis

tendisquel'I,

à Piusa- de l'aticle aditi...et est ainsi conii. Se., çn

Le goutte a beaucoup applaudi pen- M. Valette demande si la création de goal et an Garmiométre du Faut, ilM. , Le plaf'oiid de la godai' sera établi / Air de Coasse (Ideslisger).

da et ta seau ee du St'alag', 'n Bruite cette école a été déjà votée et, dues te avait 1 m, 4U a C'est pour cela que M, à la ciels 138 et. 30 c. à l'apical de la 2 Fsalaisie aur la \'erma (Oellini).

Ienous silencieuse. M. 1. Gambetta donnait nus centrales, il insistepavequ'ut' Cum- Salles. t'ait des réserves dans le sein Mie aval et sa pente longitudinale sera 3 Rua da P,rare de C0500vr (Uonizelti).

pre%que constamment le slgual des ale- mission soit nommée pour étudier cette de fa sous.Commission des eaux et n a réglée en cours d'exécution des tra- 4 La Fée sus ailes d'or, valse (Ues-

pl,ufùsemanta. estion, touron qu'une aignaluee conditionnelle. vaut. , blinsM. le Maire. M. Salles n'a pas fait M, le Maire. Je ou pois vous expli. 5 Quadrille (Musard).r i à eue des

Apel's L: lecture du mesage, des nui.quM,

Laujoulet appui le n réserves; je sais qu'on la dit, mues c'est que, net article en ce moment' mais celoques u,limés s'établissent. Après quel. Commission proposé par AI Valette. etque; iusbents, M.fhieeu a reçu de sem- approuve vivement Irn viens de l'admi- mita et. al. Salles a appenneé sans candi. lue je peul tons garantest que t'a-

'-

brenseaté"icitallons

de la he, et du istration. Il a étudié l'or lion de alun le nappai, comme le proure sa con- Laissement de lu conduite d'amenée est, z:uan ese obscrvanom ueéaretegisurs falgauc ganisa Junte pu'teeieure dans la Commission d'après la décision dn conee.il des bd- e+ r"' dt °avvm. sceeiuoa Ibilsen la sua us a

liiit., gauche e[ de membres du ceulre école commerciale de Mnlhonse àne, de

u e Lr.,ewe nui'.,.encan u. orants, de 0 m. 5U c. à la tété amont

droit, sen par t il désirait y faire entrer iu sr h1. Dame. Personne mien: que moi pour abouti rà zéro à In tète aval, ce qui D. 13 novembre.3.4préa la lecture du message, N, de es

parennts,

Le programme des éludes Therm, cent- rosir dehed'hnuierit:: ++la Il use q'uucauld, de l'eztrime d'ait" est cor tel, l'enseignement bien en- ne peut dire Cl' qui sent passé dans le donne un abaissement moyen de 0 mid,p

dé,:lare qu'il proteste avec ses culiégues tendu, et le Uirec[eur éminent. Caserait sein de laalCammisaian car nous nie 25 e.aur

or le message. ana bonne ereae nia de. pouvoir sui-loue, noit

nccompris l'Ingénieur e la M. Maurel, Je pri Me , le blaira de nnoasa, e,7a1a- s wz, Iar.

Directeur chez nous. M. Laujce. ville, que truie : M. S.Ilns,M.

Madee

et nous dire si l'administration a I'inten- 9 h, m, 0-,744 6-r couv - 0 as.v fort.cuM. de Eerdre1 propose de nommer une ver ce

c

',pour ez ce le Message let demande que la Commission présente moi. tien d'abaisser la conduite d'amenée Midi, u ,7451- couv.- id.

(Applaudim,eta à dict e.) un support le plus tôt possible, pour 11, petit. Je n en rapporte d'avance à comme le conseil des bâtiments l'a or- Le bsremétee rempote nn peu.

pne à er. sujet une dé- ce que dira M. Barbe, de la parole du- donné. Le temps est sombre et ",mile, l'airsl. 'l'hiers dit qu'il est tmjeurs prêt à que le Camaitren

a. eau mettre au contrôle de la major',. dsion qa il croit favorable aux intérêts quel ou an peut douter; M. Il Maire, Il m'est impossible de froid IL brumeux. A midi le Ihermnmî:-

Eo allaoduat, il croit avoir exprimé loczüs. Ni. barbe, M. Salles n'a pas fait de répondre à votre qurstipn. On fera ce tee .est qu'a 3-2. Il e,L tombé pendant

l'opinion rje la majorité de la Chumbee M. eunatans répond quels commission réserves. Commect peut ma supposer, qu'il faudra faire. la nuit 2,5 oudlimi:tres de pluie,

le la j t- du pays. (.Appt_uJt uest

sque

t C m te qu'unI

10 1 - t de M. M. AI mi t J'insiste ma question. .__-

ris, g 1 ) Frasla

igr r q II ' dé! S t 'i IJ .ép 't. nt Si yens ce . ép d. p t j n Cadlac, 11 uarembrn.tious le Gené.lice de cette observation, pée de la gacsuon

Ily

L

I g . at t ! %e é d.h l 1 à la veut pa é t . I 1 t On11 a de salai t dans

Si. 'l'ni ocre à lu eu usuion de de l'étole do enmleerze figure de 9 Go e ss n, nu rapport qu 7 n suret muta /met pnz, aujou ra hm barre d s Y pen J guai

Al. de bau Brai.P P

protes te hnrlget le 1873 tarit ,I I té tue édition P Qui t écuaumie% dice drr t. Io v 1 g d G .1 p I c tvtoa de Ga I-

o, pourrai au prévu praje t, tr t é d . t milleraAl. de Rerdrel, sure conseil de n'y ail pas de retard dans I f UOn s re. que M. Bulbe et moi, cous s- M le Maire, Je %ignale au Ceuseil vus quea

hl.Al

Grée m'bnielnt tien, de- ment, se le Conseil cette créa. sut il.

s ce éte endonsnr

ant procédés, Ni. biserai ;nus nez attaque unte r bleu rare et bien bel exaneê'

Lion.

d';,tua heme.tà la profession desp, sa pruposi approuvee défini kir', and les ts et Ics fait:: accem plis sioas

,soda yue l'Assemblée uumme nue ça m- . son open mo cas md

quand praje ires.lion pour ne n jet da- Les sentiments exprimés par le, aise l el'e ntùt eté queet pan Nll,? culai'les comprendre. Apsés avide

à4 Boude" était ledresse er répuuse au

Message.pro

l'autorisant, d'ores et déjà, à écrire a. Voici ce qui s'estpassé 1

Nous avions échoué dans vos attaques vous sotsen

tanière des nombres de na famillebit Gri,v taux voix l'or ente de la Directeur. u pl, snes réunion::, dans lesgnallLe prenez nus intentions fatras et cas ea- qua

proposition lire dr La cade, ro é r re A1. Lacaze demande à M. le Maire, s'il élious e ir e s itent d accord. Le [.euees

1 pen qui, depuis le régir de luis XII , sé-

est doutcuae; àl

la seconde, l'or ne pourrait pan donner au Conseil u jour yue la Lppnct,ieane

.les eaux devait 11 n'y a pus ua homme ccmpéte s en seul succédés dons'la mêmetonétude de

genre 1 tien L de laest adoIdée. quel ex pbntious, propres le

essomerer,

r, entende, le èce t nous roue boni. faut de frnvaux publics q Flnota i1 re. 1l

I

fallaitm

queeele goIrI t.

1 h tudesin, lis

la p y 'loterie qui L et mea mu,teerap

tais avant la séance Ion dire àp 1 c qu'on fera, h I et tee respet d s p

licités tut pro fonds

ana nn n8secnu ibIe

n,

e t Da cette Il f pt d Pé J il pat usagee eu t ment 1eslé daas l'espnt de ces géué-sur les il,aols I,,

i. ubu'u Jt

Il 191 Iir

II tué. eu,' e 1 .i a SF D J 1 ie t f a i ',aéce- cul 'am ,,le. tParis, 14 rrovenbte, 5 h. matLes t , Irazuc s =e la di cule t t1 o q t vie t bI I. d trois il exprima des Le qi ou eut et c q e il faut cet s n..mbreeuasrst

ponr que des humrn t Ilecluelle tu.

tatou séancebill

suer pou' e;.anun'r I Il on, yas

t i, gnelyu h d I r é 'cordes as- g ur la dilfren ut trouver 1009 ponces d'eau. Oa ne mes, dont 1an quesou al fée des di-

Aleesage. des ce, te llégztioo de M. Maurel dv% lotes .I,vé s par l Legémeur de la fera que lorsqu'on !es aura, Voilà ce que dactenr en Droit parla réunion de lu gauche 1 ao haine M. le maim répond qu'il n'y a rien, vde et celles relevées par son ad.i.;s. d'ores et Ber je. Pense vous dire,

ûcorti et ca-

'Itsag les poterges le filé utiu 1000Bas tutise art ousi I Oe

brRlanhe$chu pl dans

s'est e, de 'm principalement, avant la abseinmi nt r en de fondé dans cette lrotiou,MoffrUsle, setforça de lui prouver que

ponesura'

dans la galper de filtration, on lucrativesli l'eaulo de leur orienté0

«Laséance, de son o nesatinn intérieure, alléea

tioa deM.

Ce n'e, M. l ni

d'aidéde

demande, 1 e al Meure]. C. t! au sein du l e l pas f Bées t I les 1 ra ré fi p r s C m n p,nuI, aillaLite

1 lié, s 1 mes sla Ca, M ! -1LI

f.t f des

m tde ! t.'. l 1. t ni J. et p' IIdaas SI.l Salles tém it eacaa que"- se I et eu dhd

ri- f'f es y p . t a til d c t,

ou a., eG p,ès J, l e lue.., tn puhhq J

v1' pr i lq je P °

t i M. Ilulfre me darse. Si hasard, cette Commeaston ne le troll ante dla

magistrature, ite tes uu rat Par succédé à son eue dans aa modeste étu-qu le lon'g's cr 'exactitude, de es chiffres. J'ai !lues inquiétudes.

demamlé la nomination d'une Iommis. do si je les partageais, Je répondis que trouvait pas qu'au a Il 101111 pouces P

t, MUne lettre. de Versailles, adressée a. ,n dêrl compétent, pour les leur je las les partageais De aucune manière, d'eau, recommencerait jusqu'à co de ded '

etlige ue. Doué d'une remscqua-lus

To ilter vi exc, dit que le Message d ssonm;te.

r itteJe la demande encore. aie bien! dit M. Nofl'rei si sons éppnet qu'on

Ivs

'à"nie une mém

uroire p .

hl. Itarbe sa t de la mauvaise foi uz des scrupules, Je vais lire le rapport Si les 1000 pouces existent que van t- Rieuse et d'un Jugement très dror M.

AlLa lséan ce de I'lasenmblée a été moles de cil Ilion rédacteurs de maux, en mon nom et au nom de M. Barbe ou de plus? Et l'aodraibil par exemple lioudet avait acquis par l'étude et par la

Pari r li ue des alaires nue ex é ce etbonne ; la .a det l'Assemblée a qui utelI pas craint d'affirmer que l'An'- ssM. Sot faire 790 mètres dej galerie, sous pré.

ur

aerûreté d`aprlelation à laquelle les

secneilii le Messageavee

c froileer ;mats et pistes lino avait envoyé des barras M. salles ne voulut pas et déclara texte qu ïls sont indiqués au rapporthommes les us cor lests rendaient

M. 'l'hiles o demandé aven de liard tel un nne tu sd'allée

hmlla er l'eau des roi-, Tien acceptait le rapport comme mous. i 300 mètces. suffisaient 5 fournir 1990 Hommage.Sâldroiture

et son inflexibleu Il faut que les 1000 pouces c o gis n, nuis d r iy5 e. La f

fera anterdre à M. afin de faire échouer In projet pré eut fnmesOcre , et le rapport fut lu au nom M, MarelThiers. aces détour. Par M. cleut el, de l'entiè.re sous-Commission. existent à l'étiage.. remorqué, dans re,%pp et

de tees. Irorement attaché à ses

11 yrcteald avec La puas grande élue. M, Salles, dans ''elle erelidernière lecture, mes travaux, quo l'étiage Fruit à 0;25

coulleide sa vieieu

lxétdit resltévaiidéefait

1.o au

Roi

-- - - lie contra da pareilles calomnies, qui avait fait u autre observation, aur ou 0, 30 + au dessous de l'étiage offi-téditions et aux afleclions de sa jeunes-

Madrid, 13 novem gbre. e fendent 'a rien moins, qu'à porter laquelle il i l ista bea u c o up plus que ciel. se

lit su'int' à la pruhieo d'une administra. art celle de l'étiage. ll voulait que l'on II ne faut pas es fierà la quantité d'eauDe s et a nnées, M. Boodetet indisposé; il ardéI le ton hounéle et dévouée sus de recueillit es eaux deUraqueville, mais que l'on trouve en ce mommet car .prés pue qu yuan

s'était retiré des alaires. Il avait cédéll inl tb l d

'auj.urd erra seseoita Epoca Par e a

la ville. ilen ront l'impossibilité à la vue 1a pluie des Derniers jours,vitéde la situation daas a pmv ej Ilu reste, M. Barbe, ec(,, des ni vr,Ilemenii, et il fut admis que si suit emprégoés et ces infiltrat ans aug- on étude à lainé de ses tlin, et vivt,Cadix ; ou

"Ildes 111`11tl Cejonr

balle impossible eut étr ei outre bien avait plus tard besoin des eaux de menl le débit.auprs de lui, dans une pieuse

retraaiite,

sa quatrerat engage le gouvernement à prendre outil', car la commission des eaux dont ttrmjueville, on [ce élèverait dans la con- hI, le Maire. Il est certain pou, tou t Cool là qu'il s'est éteint, d anse a

des masures. ' p. L , t duite avec une moches hydraulique de lemonde que c'est à l'étiage q u'on doit vingt dngwéma amée, e t-ô11111ih d t

Marseille, 14 novembre.Marché animé-A lfaires unliee.Ventes ..34,500 hectolitres,

'tuante Afrique 150j100 à t'r, 4v, 50.Irka d'OJ 128/125 à fr. 41. 2i,Il'rdiai à. 42a/123 z fr. 42.Gta.danapuli 12bjtJi à A. 40

revuecnsc

,

m- ou 7-+ meneau, Le

Cenvacté en corna de ela lai du 48juillet 1856,

Le Maire de Toulouse à l'banaeur de

paronore ce r ai e, s s nombreuse famdle, sort ImIaaIls il rare-e

je mplacéc à ce point de v e. File a sup. faible puissance. te.. ver les 1000 pouces et qu'u ne s'ar-poiré (contre es conviction) que l'on M. Petit. M. Salles a déclaré, au sein tétera que hue(q) les aura. çait un vérilabla saceroce.

pouvait trouver dans le ramier du do conseil des bâtiments, que ces étiages (Lis suite éz demain). On écrit du-il

que, dores lachâueau, l'eau da bonne gnnlité et ml. étaient à 1 m. 1,0 c. au lieu defr5 à 70 c,ionraiedrr7 du un neeons n

rue eu quantité suffisante. El ces hp- ormeditceux de. l'ingénieur de la villa, _--poihéses admises, la c

aut'simaa ce- et il a qu'il .rait fait des réserves aur Mardi malin, une lourde charrette

dstniit une maison, daas lo -moulus do

connu qu'il n'y avait d'avlro prcj,t ce Point dans la s u-or ert'onc8e dansu:m malle, a: préjudice J. lieur Jeun

aacaptable que "Ini d Portez. M. le M, les. Il Pet pa qu'il y tI uché 0 nue t I itu AL t lai t

1t. ie M i t a M, 1fai:icl. d u t ill. h S Il p fi ii 1- +l d I s il ! U t dans ma 1 mp

Il n'ya pas do missi.m à nomme d _ ! u J d. p é" 1

D t far L i y lie. onIl

d fe 1é t i d, I

aujourdnP"

pl s qu" avmr a d l v, e Il tà d .e vas. Il d grands rlsts poureelev-r ceIl e char. d fi1lq a d 1 f. 1s .codé 1e trouaccepter votre projet, quand nous l'une a fut une obj cLnai, il exprimé des lette, ec d ,tant figde 4

uvopé .prés un vote dhfinitil'.oSi v s craintes dent cu :i triomphé et sur les. ait seul à lamais

en, cou." é dans uu

l' --^ lit Immédiatement, Jean Rassit s em.di- ganlles il n a pas insistétt i uez ezprese ou, je sme perme ,

ai que vo s l'avez envoyé quand1. fille Quant b ce qui est de l'étiage, M. Petit pressa d'accourir, mais déjà 1. maison

était mariée e[ que vous e couriez à raison hl.Il Il

a dit, en elfe!, aa La nommée L., âgée de 29 sus, signa. s'elondrait,par conséqueul, aucun risquede l'ob' Con=cil Bas L:Niccente qnr les étiages léede Tarbes, lordépécHe lélégranhique, Le ..Illusoire- péta, aidé par quel-tenie,

élaieu

t 1 m.. 0 C ,i bj t c .ln t : teOé que, personnes v'an's de divers pointsNaia puisque, par vos publication r t Ie s l des b ! t 1 pi 1 00 f p. .té r fée de la z mmnee, pneninl à tirer l'eau

ale

ez saut l'opinion de la quesuoe ni'er'. lia ace, cm 'l vu a le pioj,.t en and: à -on ev,e à Tain e cr are faut de dessous les décombres; il eutces

dntia

le1080 Lance, ,su elle avait cx- alors la deuleur de constater u'il étaitn d'étabbr l'.- na qà uloulters h dis- principenil i v r s,es ¢, ux je canse o, Ulingé

culer avec vous, tison'' J a étiage i

es sgtalés par l'i.gé thés dans eea chmiasettes entièrement carbonisé.Je tiens à vous dire tout d'abord, M. sieur de la vi11e, .--,-_ (Ariégeois).

On écrit du Pays Itasque :. L'émigration "es Mon!erideo et

Buenos Ayres prend dans la Puys Bas-que, antamment dans l'arrondisse.ruentde Manléon, des pro',ornons elrayanteeet bien supérieures à ce lia déjà co i

dérable qui s'opérait jusqu'à preseut.a Les jettes gels. partent de chaque

commune, la plupart uniquement pouréchapper an service militai,' obliga!0i-

Le gouvernement en trouvera auprochain tirage an sort que les iafirm,+s

ment exenhGL5on les jeunes gens légaledu service.

, Les expiai lotions rurales déjà bienifsmles soalreut si élahirmcny

ainsique to i es les indusiqutries ds ma

çous, charpentiers, domestes, rte, ;les services public, saut en souffrance

ne trouve que très difficilement de.

onebcaniers pour les routes ; des pas.

tes nombreux sont vacante.. Nous croy eir que M. Dague-

net J p lé j t mIl de celtet -t éd- r t transmis à M,PI P de t 1 I République, un

d I q q , ll fanion lia-I l ezpooa et dont la conclu-

o t l propo%er u guuveutemeu1q II oesnt es de nature tanélur,

Il us à alablic cs mouvementirrégulier et serilablement désastreux

pour le pay(Memorlatdes Py1elnées).

On lit duos le Courser de da Giron-de

Nous avoes fait connaître hier les om.séquences du ...veau traité de cemceener avec l'Angleterre, eu ce qui cor,-cernarne 1. marine marchande. Cl

ont le rétablissementl és.

deb nIA ea pavillons.

lin ce qui touche ana vin seançais,ici quelle est leur situationvoici

1870, le traité de 1860 pouvaitéhe déoncé d'année eu année , ce qui""ni eu droit , lesgaranties de nos vite à engagement

nue". 11 est vrai, qu'eu fait, oo n'avaitpas à eraiedre, croyons-n.us , aucun.

oddïeation da la part de l'Angleterre,IxgmIlc voit avec plaisir sa pepulatiauboire nos vins et faire entrer duos aea`ime', talion uae buieson hygiénique aupremier cIAL

T.ujours est-il que la garantie légalepeur l'admission de nos vins dans laRayon' Uni, n'était plus que d'un' an-néo à partir de 1870. Le nouveau trai-té porte la durée de cette garantie 4.nées, t0n pas pour forme de i

leca-

que écrite, mais par rue voie indirecte

que voit[; dollar' à cas vins jusqu'en1877 e frai lament accordé à 1'Anli,"car .,p traité avec l'Angeerre. Or 1 art1 r de 1 nvu,, eoauglo-anglase de

umhten1867 a. de a tmmenedans ,, yaumelune la traitement stip.lAdans

lles c..ven's ae ançaises.

Il est certainque

e l'Autrichehenene en dépar-

erapas

de . nn droit, dont nous parta-gerons Béa lors les bénéfices avec elle.

Eu somme nos e leur atears pot tirédr canar, Ils ontle mnil'. la par Il leu

obtenu la faculté d'augmenter les droitssur certains articles anglais atteintsparle eéginrr diD,'menbel, en e payantcette c lressioo arraché. à AI. Glads-tanc, ee par l'absurde. d'une cau-se perdue : la su!lase du pavillon, quine serrait qu'à constituer nu monopoleau profit des allemands.

Marseille, 12 novembre.L'instruction de I'dol'e de M. Caillot,

mure de. Alarseillr, contra M. Co tuand,seller munimpal, ee poursuit acier

varans néanmoins lejour où elle seraappelée devant le delta unal euncection.ILde notre ville n'est pas définitivementfief,. On parle de vendredi,

Noua croyons assoie que M, Cuquaudse défendra lui-méme,

hier lundi, dans la matinée, les ce..seillers loi vol assisté à la seine devendredi, ont comparu devant M, lejoue

d'instruction. Le parier entendu aété M. Jullien, qui a séparé les deusmi-

Le lendemain d'incident qui fait esse m e'

l'objet

t de toutes tel c-

sations,

ns, c'est-à.dire samedi, laséoneeséance

du conseil municipal a eu lieu commed'habitude.

Pour ne pas rappelerma

fait trop d-

cent,il a été décidé que la lecture du

procès.-bal du jour précédent seraitrenvoyée à lundi.

Celle décision .a été prise toutefoisqu'à ace faible ..irrité et la partie lplus Indice la du conseil s'est

retirée

e

aussitôt après.

Ces, hier soir que la lecture du Plu.cès.verbal a

dû avoirlieu et que ana

édiles ont dû en même temps statuerur l'opp.,I Lité d'iniliger ma rappel à

tardes à M. Stabie, conseiller mmricicipnl, qui aura tlei il uas haltre conçue

m s pila parlemea'aucs à ses nul-bègues ne se plu ndre du peu d'este..t n qu'ils ont prétie à l'un de ses der-rires rapport.,

(Petit Mueesèllaie.)

VERSAILLES PARIS

(Correspondance particulière,)

Versailles, 12 novembre,M, Thiere a communiqué hier soir une

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

grande partie de sou ."sage su m c il une restauration bonapartiste ; peutdes ministras. Il a communiqué 0lu ou complet aujourd'hui sur l'Infanterie

pour faire son devoir: elle est bienmnlms républicaine que l'artillerie.,

M. Fable était venu chez M. Dobrossetpour acheter du vin ce dernier estparti hier matin pour l'Allemagne et

qu'un ue lei pensait, puisque , dans le ne devra être de retour qu dans dix àentre gau he' méme, oa est loin, je ne Bonze jours. Mais il a répété ces propres

foi leditdirai pas de s'enleodre , mais méme li e personne digne de , et

d'avoir étudié sérieusement la question. eut Bourré Deusles

corrobore rles ayant parfaitement en e la'l'ont s'est passé jnsqu ici entre quel- tendus

de la

gnes unes des notabilités les plus auto. bouche de M. Fabre.risées il est vrai, de cette fraction par. Ces propos, monsieur le préfet, don-lementairr, mais dont le but a été sim- trot des inquiétudes dans conserce pays, oIlplument de poser la question et mon l'on désire u Jemmeat ver la lié-pas d'impsnee à 1m col légr.rs une soin. publique modérée.fine ryérvaturée. C'est ois al qu'il tant,

selon moi, interpréter la campagne queont. de faim le B41 tin Consaro=-

tur lsepubl,euies,e.

le 9nir, In Bien pallie

l sontd dep orge qmles. T

eIl icice

dci depuis feux jou s dans les cerrleparlrmenlairex, an peut de

joord'hui yti il ne sera pas déposélde' lo liunne.lle avant unproposaimi co

;,t perd-é'! n: davantage.

d

uNt

111 L'élcrtion e . Merlin dans le Mor-Llhan, sera lnsiosldes mais ou ne doute

u'elle soit validée. Le cane cetpas ymalheureux de co candidat, NI. Ltuu vais,maires c Vannes, est depuis hier ici. Il

intervcuu I:uvecrse le clergé d,[ce ende M. Martin, mais il parait que dos faitsgraves ont été, d'autre part, étabba à lacharge de sea propres partisans, et notamment d'un maire qui avait dans son

u chair dis bulletins de M. l:suvaisqu'UI substituait aux bulielius de M.Nfurtin On ajoute que le ministre de laj uslice a ordon.é hier nue poursuiteco Ire cet officier public.

M. I;atnbelta s'attend à être mis ene aujourd'hui ou jeudi par le géné-

ral Changarnirr, au sujet dudisent

rs deGreupbb. 0. me dit que l'honorablegénéral a fui[ une e quils ieés-minu-tieuee sue l'antllenticilé de certaines dé-clmplions contennrs dans ce discours etqu'ut n'entend porter à la tribune quedis chassa acgmsrs a 1 histoire fficielledu radicalisme, si le député de Saune etLoire maintient son épithète d'imbécilepo tir onracléri:er les électeurs quiont acclamé M. Gambette , alors il y

tira rem pole; nais sil se boue àdénoncer en ternes généraux lesagic-sements funestes du radicalisme, toute passera de la façon la plus conr-

t.ise. Je n'ai pas besoin de .as1.1yue les amis de la présidence s'ef-forcent de prévenir un éclat.

L'; I'ideot do la Fére revient sur l'eauuns la Unbliration très-ex teaordiuaieedan e lettre du r mana e de

police

C

nrnntde cette ville au préfet de l'Aisne. vieéfts

lettre quia paru duos le Siècle provensd'eue iudusrreCOn hlauni le à tons l'apoints de vue, et quel qu'en soit l'au-teur M Q'hirea n'cat pas mores énergi.que que NI. de Ciasry à la egrctteri

i l'enq' &L. pour ...Il d'or clicrient estelle déjà cormmeueée. Oo assureque u'e,t le commissaire de la Père quiest fautif. Mais je ne garantis rie..

...a l.n, les cas, I.a gauche devra te-r à la démarche qu'elle avait pro-

j,Ietéeauprès de M. le président de laItep.bliquecar, à un s que l'objetde la vis,ln en geslionnuve sent cimngé,M. "fhiers ae déclare dons l'impossibilitéAe. rr errsir Irs délégués de la gauche.Je suis responsable, dit-il ; qu'on porteà la I (bore I,sgrirfs 'loulou tout m'en.lertenir. Nous se: colis et dons tous lescas, nous répondr0us. n

Voici le t'aie de ce document

aulne crnm.Des s»nver0111l. échangées natte les

député, de cultes u re rlq euhe év i-demment à cette

haeureque les projrt0

onstituti...ois spotbi'. moins avancés

Lance, 28 octobre.

LOTIONS

4417à7o

618

SasSen

4,E67 60

7s43r

7f5161

54

027bt7

li107d7 75

827 50

955Na3531

1 $650

Le jo meus! la siècle aujourd'hui estciels, roué à l'

opar une grande par-

tie d,s habitnts, qui n'auraient pas cruM. Fabrr capable de pareille sentimentspolitiques.

d ice,Le commissoire de p.(Sigo6) X

Leseadicaux se proposent de ne pasperdre une minute pour fiée surgir u'candidat destiné à trou plecar M. Sauvage

me députés de Paris. 1l est inexactq e1 9i. Victor Rugo nanseoto à se lais-rr' poker de .an dan. Geai troll er que

je. puis dire actuellement eor or sujet,M. Sauvsgenémnt mEme pas - nc01 enterré à l'heure ou j'écris.Jemenda dire et je constaté sous te.-

le pnveraememt alle-tes réserve qud gmoud oe serait pas éloigné de provoquer

entente avec le gonveraemenl fran-çais sur les voies et moyens de prolon-ger d'une nouée ou mémo de sis moisle modus niuendi économique concédéd'on commun accord aux maechsn-dites d'Alsace Lorraine, et qui e pire

de plein droit le ter janvier prochain.Si ce fait est exact, il est à désirer quele cabinet de Versailles la mette à pro.dit,... l'évacuation du territoire dansde conditiooe plus rapides.

DU reste, la sitrmtian des pays annexésest toujours très délicate. La polémiquee faveur du rétablissement des conseilsgénéraux conliaue dans le Courrier duBas-Rhin sous le tiare Vérité sana dégaei-

enf, et ces articles cnnliennent desremo'rsilsignificatifs sur les procédés

gnveeemedo

appliqués à l'Alsace. On{,n étend que le gouverneur de carte pro'

'ê" l'aM. Mutiler est pour l'adoption im-

médiate de mesures libérales.Uaprés le Biea-Public dans l'affaire

du prince Napoléon, a8aire traitéehier

parla droite, M. Depeyre aurait dit qu aos point de vue le gasrernemeet n é-

tait plus ea dehors de la loi ; il auraitsévèrement caractérisé. la conduite duprince es aurait manifesté l'intention deperuire la parole à ce sujet.

Ntiu

$3e

0 procède à la nomination de 6 vice- vents

secrétaires.Démit convoquent le conseil général

Je prie les membresdu département de Rhéne su session

dei'ssemblê. de n s"loi 'net, ext onediaaire tour le 18 de c !sernNATIONALE pua D&cr t caq ont 1. coassR général

parce qu'il possible qae la omi- du Lot en sessionextraordinaire

pour le-'-'- allie. des 6 crrtaire' ne fùt pas c e . 16 ovembre.Présidence de M. MARTEL pléte uu premier tour de scrutin; Décret nommantn l.$

- J'ai lheneur dtic -ransuna:sT

- On s'occupe au minutée des finan-ces du classement des documenta relatifsà la nouvelle loi eor les patentes.

- Le Tempe annonce que la réuniesl'aire covnaitre à l'Assemblée le résultat Au grade de directeur des eavstruetio.e de la gauche a décidé d'envoyer une d6du scrutin pour la nominalisa des vice- montes: pualion b M. Thiers pour s'entretenirprésidente : M. Dirais de Seaneville (Ilneei.Paul'

avec lui de l'incident de la Fêlé. Si

Nombre des votants, 420 Eenesil, ingénieur de Ire classe de la as rnseignemems ,et exacts, dit la

marina.la marne euille, M. Thien esgageesitit

SuffrPes

ages exprimés, 41 G ar une fin de non-recevoir et eagmanMajorité absolue, 209 A. grade d'ingénieur de Ire classe : réclamants à porter leur demande

M.

Martel a obtenu, 402 voix. M. Lebeltu de fiasse (Alfred Frau- devant la Chambre par voie d'interpella-

M. Vilet, 3$g çois). ingénieur de deuxième casse de lion.

M. Ilenoist-d'Azy, 328 la marine.

M. S,..Marc Cirardi., 304 Décretm nommant M. du i (heur; , dit-onn généraux députée se proPo-

M. de Malleville, 22 Jules), ancien président dutr irih

ueal deett-on

de déposer une plu loi de

octants, M. Costa de Beauregard quemesses de Marseille, officier de a relative à des modifications à la loi de

L s autres voix ont été disséminées Légion d'honuevr. recrutement déjà Il agirait de{des oisons de famille r d ir [ cas.M .,a

nient chez lui, ;décline toute te can- par 4 ou 2 etc. A irais emplois de lisu[enand coloud. rendre 1. facultéde

eontvote sua officiers quiMonsieur le préfet, la.k

e

J'ai i'.heauuar de vous rendre compte didatvre nouvelle au secrétariat. En conséquence MM. Martel, Vitet, Be- Décret nommantpourraient justifier, de 0 mois de réel-

que, indépeudammenl des mauvais pro. M. le Vicomte de 5lcevx, député de -ciel d'Any et'eamt Marc Girardin saut G5e ri t d'infanterie de li ne, M. dente dans une ville. On lait que d'a.

pas tenus le RU de er n nus, dans e la Luire, l'on des secrfaires sortants, proclamés vice-p, aide.ta.euten ui prés aloi les officiera oe peuvent ja-

réuuion privée à la Iser, épar M. l'abri d onne lecture d. és-verbal Je la M. le ésident fait conmallre à I'As-Rogé, lieutenant colonel à Iv te du

mais voter.

I , Jianei d'état-ma- pro Pr 12e de ligne.(Adoi pro) 'meu ut culu séance d'hier. Le proçès verbal est adop- aeDes l'ordre re jour de demain.

116e

régiment d bataille. de ligne.de et aide de camp de M. ei nuirais té sa réclam o,sea

Demmain

mercredi e13. norombre, à 2 M.

Chopai,

chef de batalliee eu 15e -La commission ans graves re tan

de la guerre, cet officier supérieur en a m MARTEL, : Ni. le Président ]mures séance publique. Com ae.t. n de ligne. paends n besogne sans désemparer. Onle.u d'à peu pré. semblables dans le e reçu de51gr. l'Eréqua de Versailles de gnavernenlenl et agréa cet

tete comm.- 49e régiment d'infanterie de ligne. Parle de 3 à400 d.esiers.

domicile il un mtoyen le 25 septembeu ne lettre ainsi conçue : iç fion, discussion de la loi sur le jury M. Ilecquet, Rente ua.t colonel d'tnfan-dereier, 3 hem'es et demie de relevée, (liés bien ! très bien I d droite.) torils en au. activité. -A la réception d'hier àla présidence,aux sieurs 1' Uobcosset, et 2' Bourré, e Versailles, 1I Novembre. i m. ou enasmenT : ll n'y ..'a pas de ne remarquent le maréchal et la maré-

Ces propos sont ceux-ei : r Monsieur le Président, réunion des bureaux demain, l'A.ssem- choie Mac-M. hoa, M.Je

Rémunt , le

u

+ J'ai !honneur de voas avertir quje Idée en gens te partie désir est a sixtes ®Ji parlote, il n perlera pas. Cette comte d'Arcnaet. M. Martel et M. de. 11 n'y a que la voyoucralie qui est conformité du vote ils 1 Assemblée, sri aux obségnes de M. Sauvage. L'Assemblée plaimnterie empruntés aux lauaties des 1 Gholseull.

républicaine, et si, à un moment dansé, I ,ed...é que des prières publiques fus. fixera ullérienremnt le jour de la réa. théâtres du boulevard de crime , estj'étais commandé, je sabrerais tout ce sont adressées sole...ilemen dans loures sion des bureaux. I adressé. à M. le comte de Parie par le -Le général Bayer, dont le nom ajour-ik. Avant trois m , nous aurons les églises du diocèse pour appeler les Voix nombreuses : A jeudi! àjeudi 1 1 journal le XIX Siec(e. été mémé au préliminaires de la ca0tu-

4r 685

40078

ha53t8 85

476 95570665

5r707 558l3 60ISuL6U

9725

1;

9:17 Rc

a07 9U

50t $

Seance du 12 novembre 1872

Al heures et demie la aéauce n'estpas encore ouvete.

tha assez grand ombre de députéssont présents dans la salle. L'ordre dejour plut, : scrutin pour la nomination

l'rêsidenl dos, ea'Imt,de lvicedoIlnt des six secrétaires de l'assemblée.;0. Hait que, Parmi les secrétaires

e. tW loura. juillet. cpt.fin c.

J 0108mp.7L, 79f.P'tin

010 Smp. 71, t. p. ept.ec .

!If DinosJ -ilss oe P.enr,

010 es,r. e, 5 c.obi. Trésor, r.

5â 6W 1. cpt.

e de France. fin .G.puC. s, j. févr..54e. sc piCrédit agi. solo YW fr. cpt.Cegul foncier col. W e, epi,Crédit font. de prince. cpl.

Onr..1100 e, 3 010 cpt

-10e,. 4010 1. mai cpi3U0 rPInsu J00 tmai.GWI ptCanin eaiu ,

Eo:' 6 g f k rbd1

alhif bl

no dté gdu è le, art cplSer fr. p au 31

Clurentes aW fol f. cpt

Est. jan .usance m cpt

Pan smnaau-Mdovlemaa v,cut.' 5 .

raidi, ).ai.. Juillet. pt.e c.

Nord, lomu. jnilldt. .

eccOrio na, esumpilla pt

js, race octobre en o0

reat, joua. va epi

Camp.jô

psp6num e1 y

Bourse de Paris, du 12 Novembre.ry Ce- !Dessus

prMAd. I cours.455e Demi .TVBT. Pn.L.C. Copra IDarnier ODLau&ranN0precdd. cou.. .* crama om

lasréau!. Bonn

85éra. Trauntl. nepSll . Pan-Lyon-Médit. 3 01864 GEL 69 50 Cnm .P

a 946 - 1848,j. octobre,5d58 7'84 Id 8i 15 Cmal mari[. da 3uea. ept. 300 366 85 Ouest, m15, lob garanti

NM1 M1OI eh 70 an 3l 358 368 10 3 070, ibleirnur,.N6 9U' cPt. 9tl0 Ytl'. G0. Bet, 3 Ute, mériur, ger93 65 87. - Dé. .t0, 10. v0 a a30

.Ad,nnss, g ru .ePt ira 8-, 5 état 0 fill85 a.Dois 5-Y

7G 75 Empr. itnlien, 5 0!0. ppt. 67 50 67 Si,8çç Ilavphind, 301lu garanti.

uentes, pVl s57s7endéa, a

0

011pal7e.

OlirdPoc, d

3

.

Médoc, 3 OlogViondtréàâF Oéthou.,nn vu,

b10..Orléans S Câlons, 1010

0amames, 3 010.Vieteo-Rmmanue 0. 3010

3

.

Surnleste. 3 00.tl.S 6

010ms aeg P n 3

N 1 d I P..spag 09 le.PU

e r 3 UI0, â R(M 11 496 9,1C P T ' t. nikï f 5 0e 376 95.Lnmilt 6010 à., obiC P d. 5 5 1e. 675

Ca7

dR

0110,

,

r3010417

5010 .à500f .. 3,5606Dép. Je la S ne.Emp 4897.1 21t 86Ville 1 Q10. â 5W V.- 1955.10, e, 375- colin x,'150111. t. p'é. 1'11

9711 5n7178 - 1869, 3 O,U, e, a a00 7.1

r. 1070,$9:i Yilis de Lilie,3 r. â l W L 9d Romaines üevtpnieea priv,301 28 camp. géra. Voit de pana$8J FONDe dTnANOY$n. I Union des Oaz, oct. 950 fr.970 RO Hspag. 3 010 sat.,1881 52-53 30 30 pua éra. de. Parie, bot 114Ô255 60 nupenot belge, 41$1059 0h1 g t ,1

,roman, 68lmr W - '.YGù 5 Cmprant du,Doubs ils

Marseill.

a 1150 50I 146 25- dam: t

_angnn bmare.417 50 11005, des '100az pL'1936 11395

4590 anad'AUV,'W

fr. cpPiâpayds. a 3f 907 50, 900

Crdd mobil. 8spagnol. ryt. 497 fi 511l

6540. 40736

49nil.le f. mat pa}'d av 31 0U9505.Eon amrich ept. 781 hal0nies,

jouissance juillet. av a4 791 Ro 781 60 1m

Est-Hongrois, j. juill. cpt

Ovill._ a,. Loa. 1. ept.77viv 479 eG 471 96Nord de ard acri. ulnNcN delesenaPg

S sagesse 8 Pampalme ept. 905 19aU

onLr6A050N9.: Oeloaes. 109 010- 4058 4 010.

Rn, 1ail, 4 0) 0.i 8a7 49

Havre, 114b G 516.1866, 6 010.

Est, iN6Y-54;18, e, â 6501e,u316d;tereiveirée, ge4 r.uehoor-n'Le,

010

Dombonnaie, 3 010.

,C Néditorrxnde, 3NoN, 2010.Orlh n, 3 1110.Graa.d Central, 1856.v wa S Gerb e 48b5. ger

1803.

1101.L su,

a45443470176 14552x112E0

Lénédictiam; de Dieu sur les travaux del'Assemblée. Cellesolennité sera célébréeparticulilrement pour les députés dansla chapelle du ehâlreu, le méme jour,c'est-à-dire dimanche prochtin 17 no-vembre à 11 heures et demie.

Je présiderai moi-méme la cérémo-aie. a

divAdroite : Très bien I - Mouv ementsràrgauuheuers :

éslorsnr. - Une demande d'm'lerpellation a été dépurée sur le huma.de l'Assemblée pur l'honurablc généralChaogaraier ; elle rat ainsi conçue,. Jul l'honoenr de demander àbileationale

l'autorisation d'interpel-ler le gouvernement à l'occasion des ro-yynges de M. Gembetta en Savoie et enIluophiué, gandaul les cadavres parle-meotfes.

Vol. à droite : Très bien f - Rires àgauche,

s1. PRésmasT. - Aux termes de ré-glemeut, le gouvernement doit être con-sulté sur le jour auquel il accepte ladélibération.

Voix à gauche : A. 2 décembre.ministre de la jostice. -

Legouvernement répondra à alto intdr-pellelionlejourqueleChambre oudrabled dJterminer. Si toutefois L'Assem-4lroinel. Sblé, désire que la gouvernement déter-mine lui mâme un Jour, il lui demandede 1, fixer à lundi prochain. (Trés-bien.).

e eadsmeno. de Le gouveeaerentdemande la fixation des iaerpellatious àlundi proche!.. Y--Y-441 opposition 1( !don !) Les interpellations sontfixées à lundi prochain. Pl e Madépu-tés eotr'aaires Léon Léon

dde Mallevile,

général Ducroy Dregondi, Henri Viuay,acquis de la Roche-Aymond deman-

dent des congés, pour raisons de ferma-

le les demandes sont renvoyées à laommisslon des rongés.rLe scrutin est nu est pour la somi

nation trimestrielle du Président del'Assemblés.

Le tirage au sert des 45 scrutateurs alien. A 3 heures 112 le scrutin pour la

'nation de l'Assemblée estfermé

,il est immidiat.mmlt eéeouert pour lenomination dos quatre vices.présidents.

A 4 h. 114 cette seconde opération estaeulemeut terminée.

rvismao'r morves : Voici le résol-tat dusscrminn pour la nomination duprésident de l'Assemblée :

Nombre des volants, 505 iNlajariti absolue 255. lion.

M. Jules Grévy a obtenu 462 suffrages; Aujourd'hui les baraquements -.et

M. Gambette, 2 voix ; M. Martel, 0 voix; prêts, et les teeepea allemandes engénéral Clan 1 voix ; M. Paquet, prennent successivement possession.

1 voix ; duc d'Aumala, 1 voix. - vol.perdues 55 parmi lesquels 4 bulletins Le Journal effieied publie les actes sel-blancs et 6 ulleliu' nuls.

440

Ca.tira

IDe M.précéd

976975 10975

979177

Yô5119

ilcIII(td

937180let1582101902Ü3

976 le71

mR

969 50tOo 50146411238

237 00480 93

6PO

814

904194375

Puisque l'Assemblée parait le détirer, le XIX- Siècle qui ferait si bien en lotion de Metz a été entendu par le gé'les bureaux se iéneoroetjeudi à 1 heure pus d'une cireoustance, d'imiter M. le étal Rivière. La dépusiOoa dit d'Avenirpour l'organisation des bureaux et la I anime de Paris et de se mire , ae peut National a été très longue.numtnatioo des commissions meusuellea s ommoder du silence qu'observe ceordinaires. FI'iuve II faudrait voir M. le comte de

Î c - Po. mois j..,.a_ disent qu'onLes sons, pour la nomination des ix Paris foire des manifestes ! A quoi DU.7 ttaïs nier é ans la salle des Pas-Pnrdua

seerdtairos e i fermé h 5 heures mains Que pmirrait dire dl. le comte de Paris pM le président donne connaissance à du ,ap u de cardinal demandé pur

.

l'Assemblée du résultat du scrutin pourla nomination des seeeélaires.

Votants 455. - Msjerité absolue 227.Suai élus MM. Rive, Desjardins, de Ba-

reet,, de Rémasat, de Menus et Cazenavede Pradines.

La séance est levée à 5 h, 45.

On lit duos Le ournai effild.1Certains journaux ont annoncé avec

la persistance qû ils mettent parfois dansles ceprochns qu'ils adressent au Gou-vernémeut que les ennueeuz baraque-meuls coasleulL

pourI'armée alleman-

de avaient coulé 28 mülione.Celle ssemtou est iuezarte. Les der-

niérea dépenses faites peur les baraque-ments ne se sont élevées qua 10 mil-lions, dont 2 millions, ont été employéspour améliorer et entretenir lea baraque-ments déjà occlrpés.

1n faisant cette depemq le Gmuver-nemeut a tenu avant tout à éviter queIls troupes allemandes ne fussent logées le roi lui-même n 'i été que le premierchez l'habitant dass les quatre départe- des citoyens pa sa respectueuse àue'meurs encore soumis à l'occupation ; it miasioo à la fol.

nouba aussi qas ces baraquements pus. Ce sent de bel.% exemples et de bc.-ssent être employés plu tard pa'Je nus traditions que M. le comte de Paris

propres troupes dans le sas où rte ua a recueillis et anxquela très eert.ine-devlendraientutiles.

"Il,

quoi qu ïl arrive, il restera 4déle.ades constructionsL'achèvement subi

il

na 'pas besoinde s'expliquer b cetquelques retarde, par sait. de mécomptes égard et ceux qui l'interrogent eu eaoen,divers résultant principalement des pré- on peul m dire, autant que lut, le XIXtestions de quelques ouvriers qui ont Siéc(e en tète.

lu abuser des dlesueslances pourM. . Il comte de Paris est un de ces

réclamer dos salaires qui dépssalent esprits éclairés et rélléclüegei saventfairetoute exigence acceptable, et qui auraient les choses à propos. Quand il sera eti-eedu Impossible, a.x eQtrep,eneues le de parler, le XIX' Siècle peut être tran-r

l'e écutlou de leurs marchés. quille, ce prise parlera sana y titre sol-os avait demandé, pour remplacer lieu lé. Mais butor les sellieitatioua tacon-

ces ouvriers, des charpentiers militatees; mdéeèes ne l'amèneraient pas à parlermole il eut d'abord été aussi long que peu, ne ries dire.difficile de 1. rechercher, un à un, dans p

(Courrier de le Gironde).les corps, et le Gouvernement n'eut pu,d'un autrecOté, envoyer ces soldats Ira- Daprée la Patrie, Mgr Unpa.loup décailler, en tenue militaire, dans les dé' poserait use interpellahoo à propos de

aparlements occupés. la circulaire de M. Jale. Simon sur levpIleoreusement, i1 a pu tronreq dans réformes universitaires,

Ils arse.snx de la marine, 300 charpee'tiers civils, qui Det été transportés surles lieux en quarante.huit heures, et quicol fait face aux besoins de la situa-

SONNe fx'4NOrae1

dura. obl. h8Po-,

sue BonU

yypp

'3093709E,Deue

orque, 6 IO d2 l96'81 fr. 50048 fr. 60

Emprunt etmman, 1860.- ouemau, 4883.ooBUman, 1885,

tbman 1889.mois. 7 Q I§ r au p.vit, t. 7 I FIBü

1.68Hmpe. dgyPlieu, 7 1. 185$.Autrichiens, 5 010

obligation 1865.Obi.

Obl.Piémout1804940,Ôeu.

50400usa

aAe 18678t. rot P yP- 9 487 f. t.160 P

te arvese..v. ow

43750ICaisse gBéra. des chem de fera

It , 200 le,Co pt e411 Créd ( t

l grseI 150

4'18 60

1e

f 6

'la

r. 6W fanse lomharde,

210 - r. de 1873 à 4374.187 a.

373 79 r. 1878.44Y 50 - r.1877.

146 259a6t5%366373379

419

4175

47093

41628850u

33U38'384

90

l7t 96

161 1554 4055 5054 503$9 6)379176 15347

206

uis5a03

166 5d

280380

30 75

470169

504

553107 90

609fia37 25 337 76

511 991 9:0

605/ G

rate le XIX- Siéc(e ne sache pdéjà

arfaitement Mgr l'archevêque de Lyon..

M. le comte de Paris cl. ni confidences, ni révélations à faire. Tout le monde I -Le synode des églises réformées desait à quoi s'en teutr sur ce qu il pense France,quidevait se réunir de nouveau

reprendra le courset sur ce qu'il représente ceux uni I le I5 novembre, nel'ieteeeogen le plus toue tes' premiers.

M. le comte de Paris est le petit filsde sou grand'pèee, qui a donné pendant18 années à la France l'ordre et la libercé; qui n'a pas berné le pays de thés'ries creuses et d'illusions décevantes,

nue l'a enrichi par de sages mesuresa serti ses isléréts moraux par l'eapan-sien de l'iaelructio. anus toutes les for'mes et à toutes les hauteurs, et su !u-tdréts matériels par l'établissement d'unadmirable réseau de soies de commuui

none, e t un système de tmvix pu-blics aussi libéral que judicieux.

Sous le règne de son gra.d'père, lefol a été la règle inflexible pour touille

onde. Elle a sauvegardé touslesdroits. Grande et petits an sont cour-bée sans dislisetionsons sou niveau , et

-Le Rappel croit savoir que le gomee'nement d'une part et les gerands filancierseueopéeua d'autre part 6tudieat déjà lesmoyens d'offrir à l'Allemagne des garan-ties pour le dernier demi-milliard, demanière à arriver à l'éncuatioo com-plète. D'après la mbme feuille, hier sont

'vés à l'aria trois personnages ours;-chiens, le comte Chuter, le bar.. Haler,

et le comte Sehu, représeUt..ts de lahaute finance.

BULLETIN FINANCIER.

La Bourse est là.... ; las offres sontfacilement absorbées et tentes les rente'cotée' ce hausse. 0. prétend qui eu grosapéculatene nchéle; ai le reneeignemeetest ezsct, ou reprendrait au marchétoutes les rentes dontla vente, à la fie dumois dernier, a empééhé la hausse qqu envoulait faire aux dépend des veau eu,$de primes.

Il suffit d'ailleurs qua las acheta relati-vement importants soient signalés pourprovoquer des demandes; la spécalattonn'a pas besoin d'être beaucoup sollicitéepour m'engager dis ce sens.

Ou s'eoteeueet, cemmo, hier, de I9n-anglraisoeudie de bled s. ; le miaistre

lesserait alleint par oe sinistre et aasscompagnies d'assurances, la conséquence

Con¢osera toi a epéost t des ventes de liPvau,

etla spéculation in pris 1. de-

cesfs, ce qui ezplignesc la baisse rat

ces f,sujoueds hier ; la

eaugsm re cota rient

aujourd'hui sans changement.Les valeurs lus profilent pas da.s es

même mesure des achats qui rclé, lottesrs des routes, ce quidonao à pour

poser que la hausse peut avoir ppurcause principale le Message présiden-

tiel.1'. marché comptant est ..ce a' t

pour les ren tes , calme peur te' sa-leurs.

La Banque n'a pas de variations ; ellee cote à 4.640; la Banque de Paris est

h 1,295, les ventes d'un spéculateur

de ses séances que lorsque l'Assembléeualionale aura accepté la nouvelle cous'titutioo qu'il a ueeoé à ces églises,durant sa deroiére session.

La cour d'assises du Doubs vient decondamnér à Mut le nommé Piégeliu,ssntrebaadter.

I.'ezécution ira lieu i Resançee11 y a deuz mois environ, Piégeliu 1!vos,combat aux douaniers des ELeachee,

dur 1. frontière suisse, avec deux de sescamarades. Trois douaniers furent grié.cernent blessés. Piégeliu rencontrant adouanier Jselé , l'assomma à coup debâton et piétina sur sa tête de façon à I-

lits méconnaissable.penSes deux 'a- -is, les deux Prèles

Lagalis, ont été condamnés à vingt vas detravaux forcés.

- On fit dans la République de Ne-pers

aEn apprenant la mort de M. EmmuPaultrc, député de 77 Nièvre, sou beafrérc, M. Glllois, ossmbre du conseil gé-néral, ss serait, si toua sommes bien iu-formés, subit emeat affaissé.

s Lnequ'on l'a peleeé, et n'était plus

qu'un coMnv,i . m

.Parmi leu gardes na0onau: dn siégeparmi euz, notamment, qui ont uasistéi la bataille de Champigny, la petiteSaur Frisons était bien nonne. C'estelle qui, au plus fort de la canonade,est venue relever le brave commandantFeanchetti, blessé mortellelleeent bVilliers.

Le petite sent Frimas, qui s'émit faiteatube laaciéro, n émit autre que Mme labaronne de Mirelli, Italiens de laissa.-ce et Française de cent. Décorée poursa courageuse enduite, la baronne Mi-rciti sait retirée dans une de ses pro-priétés dQ Limouaio. Aujoord'hui nousrecevons la douLUreuse eonveile que la

ort onrde

poitrlne.desucomber

Seune maladie

- Voici un fait qui prouve que l'ad-miniamatien de la marine vent celle dele guerre :

Le Courrier de l'Inde française, dansson numéro du 30 septembre, nous ap-

M. Boatemps,prcnd qu'en Juillet 1870, Masalort gouverneur de noa poeseious dans

l'Inde, s avisa de craindre un débarque-mena des Fruasiene à Pondichéry. Lesoie donc qu'il décore la ville en élutde siége et qui, pont armer ses 150 a!-payes àpeine exercés, écrit et télégraphiean ministèe de la marine q.,ma ait 3 luienvoyer des obus chargés, des carmu-cbes et de la poudra.

Le gouveesemeot de m défense natio-nale avait d'autres soucis, il devait salis-m!rc à des hurle. plus peinante et ré-pondre à des demandes plus «rares.

Mais il s'est trouvé an ministère de lamari.. un de ces employés que l'Europe

nus envie, qui a pieusement eecneüli,tiqueté, classé les dépécba de M. Bon-étape,

si bien que les autorités militai-res de la Réunion ont reçu, il y a quel-ques mois, l'ordre d'expédier b Pndichbry les mitions demandées.Jugez de la stupéfaction du nouveau

gouverneur en voyant arriver, dix-huit

mois après la cessation de la guerre,

500 obus chargée, plusieurs centainesde mille de cartouches chassepot et nenombre considérable de caissons de

poudre IOr, Pondiebér7 n'a n; fnetilicalione,

ni caso.a, ut fusil., nt soldats... Aussies momenttout ses babim.ls eunt.illa en

ea proie 3 ne véritable terreur eavoyant débarquer cet mai' ens quan nesait eh loger ; le moindre accident pur-nlt amener la destruction de la villeentière I

sent la seule cause donnée à la baie.ee

Les Autrichiens sont lourds b 701d'après les avis ils sont égalam et lourdsen Allemagne. l.'Itallen et le. Lombardsas

sout pas mieux tenus que les Antrechien..

Aquarium ToulousainSITUI? 1111E DE CUGNAUX, 45

nni;np aA1NT-OYeninn

OUVERT AU PUBLICTous les joncs, excepté le aamedt, des

ter sub I b A heures. (3076)

MBRE 1t-0s NOVESPECTACLE DU

epdaeet 117 vannivds

jeudi, novembre 1872, à 7 he 112

PATRIE 1Drame historique en 5 actes et 8 tableaux

de victorien SARDOU.

0e Cirant: E. JOUGLA.

Typ. Philip. Montaubin, p. r. St-Rsme;I.

IJ

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Rue Lafayette , 6 , ToulouseLIBRAIRIE PARISIENNE

F. MASSIPDroit, Médecine, Histoire, Sciences et Arts, Economie

Politique, Agriculture, Romans, Nouveautés Litté-raires, Publications 1!lustrées, vendus par

Séries. - Achat de Bibliotld,(Iues.

(0111 X1 A UflI It)L (CDUiReIIrLILP L3y

A VENDREA suite As Faillite

El après grands baisse de mise à prix, les créancesde la Faillite Darnaud et Ci-

En 4 lots, savoir :1 lot, du chiffre de fr. 135,570, mis, à prix : 5,000 t'e.2. lot, - 180,301, - 1,0007. lot, - 131,370, - 5,0004 lot, - 111,800, - 10,000

Cane veste aura lieu dans la Chambre des notaires, rueTemponières, 2, par le ministère de M. LANSAC, notaire, ieLundi 25 novembre, à 2 heures du soir. (3007)

VENTE AUX ENCEERESPeur riions de'bépart

Le Samedi 16 novembre 1872, à une heure de l'après.midi,eue St-Jérome, 12.B.

.o quanti. de MEUBLES divers, Lits, Armoires à

C.luce, Canapé, Chaises, Fautsuil3, DnTete, Tableaux, Table à

mdnger, etc., etc.

Al. DELJOUCLA, eommiaaaire-priseur, logé roc Mage, 10,est chargé de la vente. (3132)

MINISTÈRE DE LA GUERRE

SIIt 1CL MILITAIRES

Fournitures de Pain de TroupeÀ FAIRE EN 1873

Le 3 décembre 1872 d lfoneenboea; t, 4 décembre 1872d Cahors; le 5 décembre 1872 d Albi

Il sera procédé, sur aeumissiaus cachetées, b l'adjudicationpublique du service des fournitures de pain à faire, à prixfermes, pendant l'année 1873, ans ireupes de .ales armes..ttonnées, cantonnées, campées, baraquées, bivouaquées. oude passage, dans la circon riptiou de chacun des arro.disse-menls de fourniture ci-après :

:CHEFS-LIEUXn a nnnalseeu,

COMPOSITION.aa n

de .urniture eooenmuns.

Ils,-Carorme , Montaubao Les deux départ,, moins

12 'Tarn. t.car, la place de 'l'onleuse.

LOI, Cahors Le département.Tarn, Albi Idem.

Les sdi.dicalio.. aeroat fait.,, pour chaque arrondissementde fourniture, par les soins d'uns commission que présiderale

.-Intendantmilitaire o. suppléant légal (commue.

sisal de place, maire). Elles auront Iieu au chefli de (arrondissement, à mois. de décision contraire deMM. les ialendanto militaire. des diriaioos.

Les personnes qui voudroa prendre part auxdites opéra. Au 15 décembre 1870doua devront déposer, avant le 21 novembre an soir, terme ® Louerde rigueur, dans Tes bureaux du président de I. commisssiond'adjudication, une déclaeaRaa faisant cennallre leur litre- tns...1. O saranénsvrlion, et indiquaul leers noms, prénoms, domicile et qualité. Des Vastes LOCAUX actoelle-Le résident de la commission d...era récépissé de chaqueP Must occupés par J 'institutionlitutiundéclaration déparée. A dater du 22 novembre, sucedé. Muant,cI, usas

rie pourra plu bics coure, et a liste r par es chaussée I.,et 2. ta

, co etm2..agee

man-leprésident

-

te président de la commission pour constater la remise des sardes et comuns.

DE Lt

TONDEUSE AVERICAINE(GARANT )

EN VENTE CHEZ C H &TA 1 G N É, SELLIFR

Se Wfier des Con1refaousl

VAPEURS POSTAUX - LIGNE ALLANSERVICE DIRECT ES' MENSUEL

Horileanx, Havane NonvelleaO,ILansvn¢ ar rA

ss

a¢a n eux néourrs

rFlatte de 1a ligneConinruun, cap J. Scolt.. Dlc000Un, cap. J. Grahsm.I:AnA.IAN, cap. Grange. Hmannun, cap. II. S. Watts.Cmcsasun, (en construction). N""""*'," p. W. Grange.SAemoun, (dito). NmrrnAnnncen, cep. nliller.Pourstsua, cap. R. Browe. Orraws, cap. Archer.SAnurrux, cap. J. Wylie. Suive II-m, cap. E. Seeit.f serin, cap. Joncs. Ssmr Anonaw, P. II. \Vylie.

cap. Ilitebie. Suive rap. Sterens.Pnussun, cap. J. E. Battue. Ganuenv, cap. Tracts.Ausrnan, cap. W. Ihuhurdson. Nunwer, cap. C N. Mylius.Nmsroman, cap. A. D Aird. Swsr¢n, P. M. Essaie.l'enuvun, cap. W. Il. SmiW. \Lsrertmun, cap. I'. Arche'.

Cette Compagnie, une des plos po sanies de l'Europe nrien négligé pour placer la ligne de Bordeaux au premierrang.Le

premier départ sera effectué parle magnifique .peurde premiéra classe

CORINTHJANle ' n embrs

et de rlud. marche 'fiasse;et sera suivi par le

G E R NI A N Yle 40 décembretire, pour la

Nouve0rlésas

ma.

seulement.loslallations supérieures pour passagers de 1rq 2" et

3v' clans

Nourriture saine et abondante, avec vin.

S'adresser, pour frsl, passage et renseignements : à Br-deaux, à MM. E. DUPAS st Ci-, agents gé.éranx de la ligne,gant Louis XVIII, 16. (3136)

A CÉDER Pa t,,ile deUne clsurge d'lluisaier aubaaal civil de Toulouse. -I

Sl-Pé, avoué,S'adrwser àILrue do Vieux (luisis, 28.

(3107)

d.lantsons sers close irrévocablement. Ancien hôtel B ellegarde rue sl'ha rie commission délibérera le 47 norembre sur l' PATS DE MILLPdR II

Élude M' MARS0f avoué, ruePlmraov, 21.

A 51;50110Aux enchères publiques; par

licitation à suite de auren-cbèrr, Iejeudl 21 ovemb.rr1572, à r idi précis, pur-devant et à l'audience descriées du Tribnuat civil de1" instance de 'l'autour,

.palais de Justice, place Si.hichel :

STATE LIN lâ8ervica régulier

de Bordeaux à la Nouvelle-Orléans1+ Départ de Borde le 47 novembre, par 1.

magnifique steamer LOUISIANA.Superbes aménagements pour passagers de toutes classes

Pris réduits, horion Nourriture, Vins pour les passagersd'anu'vpoa.

Les marchandises devront partir de Bordeaux les 13 et 14an[. - S'adresser pour de plus amples r selgnemont \

M r4. Lafûle, courtier-Rime, et à AI. Vandereruyce, agentà Bordeaux. (3127)

A VENDREEn Bloc, u u parcelles

un lll'AU DOMAINESitué. dans la commune d'Ie-

oanlon de Mootgéesaiundépendant de la ude M. de Cor,,ri de Pru-dhollme, composé de Troisnlém Tries, consistant en Bâti.nuls d'exploitation, biais..

r les colons dsi epou p vdauces, Jardin. 'l'erres laboura.

Un DOMAINE, dit du l'ncv, bics, Près et Vignes; le toutComposé de maison de maître D'rmuutDdlimen ls d'eaploitalion, deux 1"" Métairie de la LisgueMétairies, appelées le Prch et

ayclarra r75 aese35centde e52

la Lé.ude, situées dans les2e Métairie de Pigruc,s er,communes de Tuutens et Ces- ,

arrondisaemenl de Vil. ayant une contenance de 43 agréoblo que celui des meilleures liqueurs de lubie.elles ,Îerranche (Hante - Ilaronue ), hectare, 71 ares !10 c«nliares ; 11 est perucril avec auccèa anx enfants débuea, anx femmesro nsistant eu terres laboura- 3' Métairie de Sl.Jean, ayant délicates, a x vieillards et aux co :valrscen iv, et il devientbics, Prés, Dois, Vignes, Jar-I une contenance de 32 lirclures Pondant les

auxon préservatif précieux et salutaire.

die et Parc; de crosleuauce ares 80 centiares; Prix : S fr. 60daslralede 1,76ectares 18 mes' 4e maison d'habilaile. avec DI: POT CCiVlilt.AL A TOULOUSE00 centiares, s la mise. à Cna r, Jardin et dépendnces, 7, rue de la Pomme.prix de 137,700 francs. situées an village d'Usus, le

- - -tout dune ..perfide de 33Pour extrit, es '12 rnnliares.

435 MAliqGL, avoué signé. I arS'udrrsser pour les rensei-

missiôn ou le rejet des signataires des dfclaralioéa prépara. elbûarvis(lerbd

les Locaux et la 'oeunumen a oounc.s (cent) U $$i S dé i if ét t ( 'édu r s. es c s ans seron i eno a imm iatement aux Partie r en dé end rata 1 employédu Po $P P P Yp ,

aac

concierge de parPrécieules plz ecmra

Parties in érescées qui aerml 'for ét ter urées en m me lem s duP , é adresser us célébrer mède des0 g Mjour et de l'heure auxquels l'adjudication aura lieu. l'hôtel ou au propriétaire, rue pour la guérisrtn iulhicolur des W ° M

Le public pourra prendre connaissance du cahier des chars du faubourg Arnaud Dernard, rlmmes invétérés, catarrhe,am

2M`es et de toue te,fin sur le mode d'adjudication, dans les 2g, saluer', - tri, e deberaux

de

e tous les fonctionnaires da l'mlendaece militaire, Le 15 décembre lu locaux poitrine. Prix, 1 fr.maladi50s - IGEA hum IJ M rxln u

et spéciallement dans ans da présidents de com(sizaioa, seront entièrement remis à Dépôt à Toulouse, chez.

M.EX PLSSr,le

pourdedudcr

trotsl'aria, e 28 octobre 1872. (5135) neuf, (3110) (3041) costrefdpon, (1141)

SEUL P T

gv«m^nts et poise traiter dupnx a M-,,., ruoe, notaire àl'un rase , rue 'femponi)res,no 12. (3123) -

1

CAFÉA VENDRE ày pli.., place Les-,

trapade, 21.

Yinilgr. ilerlrigsv tnurenrLe plus iflicacedes Calmant,pour Névralgies, Migraines,

etc. etc.Centrale ')

1 anlaliou Trul5use,oc SiLe F'-mu : 1 fr. 25

tt.L1211-11 211 la poste 1 fr. 40.

G Gdr rat L. JOUGW.

Toulouse, Imp Pb. Montaubin.

La

CHOCOLAT -HENIEREE TROUVE PARTOUT

N nVlraaA

LES CONTREFAÇONS

EN EXIGEANT

le véritable nom.

unie, SabaitePRODUIT VECETAL DES CIiVENNES

Ce spécifique est le seul qui guérisse, sans retour, lesRhumatismes gonileux, les Névralgie', la Scnlique ut lamaladie de la Moidle épinière. - Vérité corroborée parl'Académie de Médecine. pris ii francs le put. Ilepositaires' 'foulouae, Vidal.Abadie ; à Aucb, Caaeneuvc; a pou, Vi.guier

à

à Cahors, Vinel, à APrivat ; à Castres, Loba.farcasson.eu Darro-lot ; Casanaudary, Mnrdagne ; à

Inu liaynier ; à Pais, IJriget ; à parle, Roux, rue Alonlmar-Ire, 141, tous pharmaciens.

Le Topique Subatié guérit les Tumeurs et Abcès quel-conques, Cloras, panaris, A.L les , vieilles plates dn mule na-ture, mémo gangrenées et les Cors va pieds. - On unle Irouve qu'à la pharmacie Vidal-Abbadir, à 'foulouae.

PRIX : 2 FR. LA TABLETTE.

ANCIENNE. PII:IRMACIE L. 'l'ANQ

CHARLES AB.'DIE , Successeur

lisé,0e.

Tin de QuinquinaAo Cacao d S'écorce d'oranges amères ee au van d'Napagne.

Ce vin a l'immense avantage de réunir à ses propriétéstoniques, nutritives et mni.apasmodiques, u r goût aussi

115 13a nxfa IrSDE

L'Art DentaireAyant assidûment étudié, pendant de longues années,

le mécani de l'Art Dentaire, Ni. PIII;SSON, rue dela

smePomme, 7, vient nbid e uns personnes qui out besoin

du .secours de sel art, s .s d. ,,tire, à bases de caoutchoucro e pn fedionvés, livrés a l'essai, garantis dix une.

Quinze .nées de succès toujours croissants coutalent Ifl' t ê é éex r me sn P norit des d nlesq à bancs éIasticoe-nile-l'resaon les s«uls .- 1 nets on Pm es.q e broyerles aliments les plus durs, d'une légèreté cires

etsouP

posés sans coupe ai extraction de racines et sonne douleur.

auCc syst.!me s applique avec succès pour les Dentiersàa ans r

s 111 I ICI' I.I -.; I I vT<sen r s a..,,n, ,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés