NP 1 - Orchestre National de Lyon · 2020-01-27 · Francois Devienne Concerto pour flûte et...

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| di. 29 janv. 16h | symphonique EMMANUEL PAHUD KAMMERAKADEMIE POTSDAM TREVOR PINNOCK

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NP 1

| di. 29 janv. 16h | symphonique

EMMANUEL PAHUD KAMMERAKADEMIE POTSDAM TREVOR PINNOCK

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L’Auditorium-Orchestre national de Lyon est un établissement de la Ville de Lyon, subventionné par l’État, soutenu par la Région Auvergne-Rhône-Alpes.Licences n° 1064009–1064010–1064011 – Photo couverture : Emmanuel Pahud © Lou-Denim/EMI Classics

La saison 16/17 de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon

est fleurie par Les Fleurs de Marie

28, avenue Maréchal-de-Saxe – Lyon 6e

Joseph Haydn (1732-1809)Symphonie nº 47, en sol majeur, Hob.I/47, «Le Palindrome»I. AllegroII. Un poco adagio, cantabileIII. Menuet al roverso – Trio al roverso – Menuet da capoIV. Finale : Presto assai

[25 min]

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)Concerto pour flûte et orchestre n° 2, en ré majeur, KV 314I. Allegro apertoII. Adagio non troppoIII. Allegro

[20 min]

Entracte

François Devienne (1759-1803)Concerto pour flûte et orchestre n° 7, en mi mineurI. Allegro con fuocoII. AdagioIII. Allegretto poco moderato

[20 min]

Wolfgang Amadeus MozartSymphonie n° 29, en la majeur, KV 201I. Allegro moderatoII. AndanteIII. Menuetto – Trio – Menuetto da capoIV. Allegro con spirito

[20 min]

Kammerakademie Potsdam Trevor Pinnock, directionEmmanuel Pahud, flûte

Les fleurs

de

Marie

Interlude propose un service de bar et de restauration légère avant et après le concert et pendant l’éventuel entracte.

Nous vous rappelons néanmoins qu’il est interdit d’emporter toute boisson et toute nourriture en salle.

Retrouvez Luc Hernandez et ses invités dans «Les Trésors cachés de l’ONL» sur RCF (88.4 & RCF.fr) les deux premiers lundis de chaque mois à 20 heures.

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Joseph HaydnSymphonie nº 47, en sol majeur, Hob.I/47, «Le Palindrome»Composition : 1772.

À partir de 1766, et plus particulièrement dans les années 1770-1772, Joseph Haydn subit l’influence du mouvement préromantique du «Sturm und Drang» («Tempête et passion»), qui le conduit à rechercher plus d’expression. Il joue sur les contrastes majeur/mineur, les ruptures rythmiques et harmoniques, tout en restant fidèle aux règles du style classique. La Symphonie nº 47, surnommée «Le Palindrome» en référence à l’utilisation étonnante de cette figure de style (mot ou ensemble de mots qu’on peut lire indifféremment de gauche à droite ou de droite à gauche) dans le troisième mouvement, allie avec élégance équilibre et passion.Le premier mouvement, Allegro, est bâti sur une forme sonate classique, aux thèmes bien différenciés : au premier thème martial des cors répond un deuxième thème léger en triolets aux violons. Le développement prend rapidement la direction des tonalités mineures, plus sombres, devenant dramatiques dans les motifs en triolets. La réexposition se fait en mineur, et c’est le second thème qui permettra le retour du mode majeur, accentuant encore le contraste entre les deux thèmes.

Le thème du deuxième mouvement, Un poco adagio e cantabile, suivi de variations, est structuré en trois grandes phrases, dont les deux premières sont exposées par les violons, et la dernière par les basses (basson, violoncelles et contrebasses). Les trois premières variations sont en accélération rythmique : doubles croches pour la première, sextolets pour la deuxième, triples croches pour la troisième. La quatrième variation a une écriture chorale qui met en valeur les hautbois. Une cadence rompt soudain le déroulement régulier du discours et laisse place à un passage en mineur hors du temps, à la suite duquel le mouvement se délite et se conclut rapidement. Symbole de symétrie classique par excellence, le troisième mouvement, «Menuet al roverso», est écrit de telle façon que les musiciens jouent d’abord les notes de gauche à droite, puis de droite à gauche, ceci formant la deuxième partie du thème. Le trio central est également bâti en palindrome, belle prouesse technique d’écriture. Le finale, Presto assai, présente la particularité que les deux thèmes principaux, au lieu de s’opposer, sont identiques. Le mouvement prend ainsi la forme d’un rondo-sonate, forme que Haydn exploitera pleinement dans le finale de la Symphonie nº 88 en 1787.—Hélène Codjo

Wolfgang Amadeus MozartConcerto pour flûte et orchestre n° 2, en ré majeur, KV 314Composition : 1778, d’après le concerto pour hautbois en

do majeur (1777). Commande de Ferdinand De Jean.

Mozart n’écrivit qu’un seul des trois concertos commandés par le flûtiste amateur néerlandais Ferdinand De Jean, le Concerto en sol majeur KV 313. Le Concerto n° 2, en ré majeur, KV 314, est une adaptation du Concerto pour hautbois en do majeur, composé un an plus tôt à Salzbourg pour le hautboïste Giuseppe Ferlendis. Plus qu’une simple transposition un ton plus haut, dans une tonalité plus flatteuse pour la flûte, il s’agit d’une véritable réécriture effectuée par Mozart, à tel point qu’on a longtemps cru que concerto avait été originellement composé pour la flûte, jusqu’à ce que le manuscrit du Concerto pour hautbois soit retrouvé au début du xxe siècle. Les cadences ne sont pas écrites par le compositeur et sont laissées à la libre improvisation du soliste.Le premier mouvement, Allegro aperto, lance, dès la première phrase du solo, un défi au flûtiste et à sa longueur de souffle, par la tenue d’une très longue note. De ce point culminant, le premier thème redescend par paliers, puis en sauts d’intervalles. Le deuxième thème, par contraste, commence de façon hésitante, par trois mi successifs, avec appoggiatures, solo, comme un doute, doute rapidement dissipé. Le développement s’enchaîne directement, sans reprise de la première partie, et la réexposition se fait directement sur le deuxième thème. Le deuxième mouvement, Adagio non troppo, fait douter que Mozart ait dit un jour sérieusement qu’il n’aimait pas la flûte. Une mélodie élégiaque déroule sa grâce sur un tapis de cordes, soutenu par les hautbois et cors. La cadence en fin de mouvement donne la possibilité au soliste d’improviser sur le magnifique matériau thématique offert par le compositeur. Le concerto se termine sur un rondo, Allegro, dont la flûte lance le léger et joyeux refrain en dialogue avec l’orchestre. L’apparente simplicité du refrain fait ressortir la virtuosité des couplets qui suivent, virtuosité soulignée par l’accompagnement rythmique des cordes,

parfois syncopé. Une courte cadence introduit le deuxième retour du refrain, une plus longue à la fin précède la dernière apparition du refrain, en conclusion de l’œuvre.—H. C.

Francois DevienneConcerto pour flûte et orchestre n° 7, en mi mineurPremière publication : vers 1787.

Les œuvres pour flûte de François Devienne sont pour les flûtistes de petites pépites. Elles font appel à la fois à une brillante technique et à une sensibilité mélodique développée, mais aussi à un talent dramatique au sens théâtral du terme, qui permet de jouer des tensions et détentes harmoniques, de passer rapidement de la puissance à la légèreté comme on passe du rire aux larmes, tout en maîtrisant parfaitement une pluie de notes. Compositeur prolifique pour la flûte, Devienne fut aussi un pédagogue talentueux, auteur de la célèbre Méthode de flûte théorique et pratique (1794) et premier professeur de flûte du tout nouveau Conservatoire de musique de Paris en 1795. Il est l’un des pionniers de l’école de flûte française, qui reste encore de nos jours reconnue internationalement (la présence d’Emmanuel Pahud comme soliste d’un des plus prestigieux orchestres au monde en est le témoignage).Publié vers 1787, le Concerto pour flûte nº 7 est considéré comme le plus brillant de la douzaine écrite par Devienne. Dans le premier mouvement, Allegro con fuoco, le compositeur fait intervenir le soliste dès l’introduction orchestrale, lui permettant de chauffer l’instrument et de souligner la luminosité du deuxième thème, en mi majeur. Le contraste avec le premier thème, en mi mineur, n’en est que plus intense. Le développement central est lancé par la flûte en solo, puis s’ensuit une démonstration brillante des qualités de l’instrument, jouant sur le contraste mineur-majeur. Le mouvement s’achève par une brillante coda en mi mineur. Le deuxième mouvement, Adagio, en sol majeur, déroule de longues phrases mélodieuses à

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l’allure mozartienne, qui permettent au soliste de donner toute la mesure de son souffle et de son expression, ainsi que lors des deux cadences, librement improvisées. Le rondo final, Allegretto poco moderato, fait alterner un refrain au rythme dansant avec des couplets de plus en plus rapides et virtuoses. La coda finale permet d’accélérer le tempo et parachève l’étourdissement provoqué par ce déferlement de notes, qui laisse songeur lorsqu’on imagine rétrospectivement que ce concerto fut joué sur des flûtes datant d’avant le système Boehm (développé dans les années 1830), c’est-à-dire munies de quelques clefs seulement. Le concerto ayant été interprété par le compositeur lui-même, aucun flûtiste ne put lui dire que c’était trop difficile !—H. C.

Wolfgang Amadeus MozartSymphonie n° 29, en la majeur, KV 201Composition : 6 avril 1774, à Salzbourg.

Mozart vient d’avoir dix-huit ans. Il est au service du prince-archevêque de Salzbourg, Colloredo, depuis août 1772, mais il a passé sa première année en voyages en Italie, puis à Vienne, ce qui a fort déplu à l’archevêque. Contraint de se fixer à Salzbourg à la fin du mois de septembre 1773, il compose, entre octobre 1773 et mai 1774, cinq symphonies. La Symphonie n° 29 est l’avant-dernière de cette série salzbourgeoise. C’est une œuvre gaie et brillante, à l’orchestration légère (cordes, deux hautbois, deux cors), qui fait un large emploi de la forme sonate, structure par excellence de la symphonie classique. Elle se caractérise également par la présence de codas supplémentaires à la fin de trois des quatre mouvements, et par des éléments thématiques immédiatement reconnaissables. Ainsi, le premier thème du premier mouvement, Allegro moderato, repose-t-il sur un saut d’octave caractéristique et des notes répétées. Le deuxième mouvement, Andante, en ré majeur, est un long chant au rythme pointé, tantôt soupirant, tantôt sautillant, exprimé par les cordes avec sourdines. La coda surprend par ses chromatismes et sa

fin soudainement forte, avec l’intervention du hautbois et le retrait des sourdines des cordes, rappelant que cette symphonie a été composée alors que le mouvement préromantique du «Sturm und Drang» («Tempête et passion») battait son plein. Le rythme pointé se prolonge dans le troisième mouvement, Menuetto, léger et nerveux. Son trio, en mi majeur, apporte un gracieux contraste par ses lignes pleines. Le finale, Allegro con spirito, est une explosion de joie. Son rythme en 6/8 lui donne un caractère de gigue, et les sauts d’octave de son premier thème rappellent celui du premier mouvement de la symphonie. On reprend son souffle avec les délicates appoggiatures du second thème, avant que l’exposition se termine sur des fusées ascendantes aux violons, surgissant du silence, comme on retient son souffle avant de faire partir un feu d’artifice. Le développement et la réexposition maintiennent cette joyeuse cadence jusqu’à la coda, qui conclut l’œuvre sur une dernière fusée.—H. C.

Biographies

Emmanuel Pahud, flûteNé à Genève, le flûtiste franco-suisse Emmanuel Pahud a commencé ses études musicales à l’âge de six ans. Après avoir obtenu un premier prix au Conservatoire national supérieur de musique de Paris en 1990, il s’est perfectionné auprès d’Aurèle Nicolet. À vingt-deux ans, il a été nommé flûte solo de l’Orchestre philharmonique de Berlin sous la direction de Claudio Abbado  ; il occupe toujours ce poste aujourd’hui. En plus de ses activités au sein de l’orchestre, il donne des concerts dans le monde entier comme soliste et chambriste. Emmanuel Pahud est régulièrement invité à se produire dans les plus grands festivals d’Europe, des États-Unis et d’Extrême-Orient. Il a joué avec des orchestres aussi prestigieux que l’Orchestre philharmonique de Londres, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre de la Radio bavaroise, l’Orchestre du Théâtre Mariinski, l’Orchestre symphonique national

de Washington, l’Orchestre symphonique de la NHK de Tokyo, sous la direction de chefs comme Claudio Abbado, Sir Simon Rattle, David Zinman, Lorin Maazel, Pierre Boulez, Valeri Guerguiev, John Eliot Gardiner, Daniel Harding, Kristjan Järvi, Yannick Nézet-Séguin… Il s’est récemment produit avec l’Orchestre national de Bordeaux-Aquitaine, l’Orchestre symphonique de la SWR de Baden-Baden, l’Orchestre du Mozarteum de Salzbourg, l’Orchestre philharmonique de Belgrade, l’Orchestre de chambre de Bâle, les Orchestres philharmoniques d’Oslo, Prague et Helsinki En 1996, il a signé un contrat d’exclusivité avec EMI Classics. Plus de vingt enregistrements récompensés par de nombreuses distinctions sont aujourd’hui disponibles. Emmanuel Pahud est chevalier dans l’ordre des Arts et des Lettres.

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Trevor Pinnock, directionAvec l’ensemble The English Concert qu’il a fondé en 1972, Trevor Pinnock a été l’un des pionniers de l’interprétation sur instruments anciens. Depuis 2003, il partage son temps entre la direction d’orchestre, les récitals de clavecin, la musique de chambre et les projets pédagogiques. Trevor Pinnock effectue régulièrement des tournées avec la pianiste Maria João Pires et la Philharmonie de chambre allemande de Brême, ainsi qu’avec le flûtiste Emmanuel Pahud et la Kammerakademie Potsdam. Cette saison, il est invité à diriger l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam, l’Orchestre symphonique allemand de Berlin, l’Orchestre de chambre de Bâle, l’Orchestre du Mozarteum de Salzbourg et le Kioi Sinfonietta de Tokyo. Il publie un récital solo intitulé Journey – 200 Years of Harpsichord Music  ; les concertos pour flûte de Carl Philipp Emanuel Bach avec Emmanuel Pahud et la Kammerakademie Potsdam, ainsi que la Sérénade «Gran Partita» de Mozart et le Nocturne n° 8, en sol majeur de Haydn avec les solistes de la Royal Academy of Music de Londres. Trevor Pinnock est premier chef invité de l’Orchestre de la Royal Academy of Music. Il est chevalier dans l’ordre de l’Empire britannique et officier dans l’ordre des Arts et des Lettres.

Kammerakademie Potsdam(Académie de chambre de Potsdam)Fondée en 2001, la Kammerakademie Potsdam est l’orchestre en résidence du Nikolaisaal de Potsdam, ainsi que le principal orchestre de chambre de l’État de Brandebourg. Antonello Manacorda en est le chef depuis 2010. Cette saison, la Kammerakademie Potsdam sera dirigée par Sergio Azzolini, Michael Sanderling et Clemens Schuldt. Plusieurs solistes de renommée internationale se produiront avec l’ensemble  : Albrecht Mayer, Andreas Ottensamer, Veronika Eberle, Daniel Müller-Schott, Midori, Felix Klieser, Xavier de Maistre et Lena Neudauer. L’ensemble donnera l’oratorio Caïn et Abel d’Alessandro Scarlatti sous la direction de Bernhard Forck et dans une mise en scène d’Andrea Moses à l’église Sans-Souci de Potsdam. Il publiera plusieurs disques  : des concertos pour flûte de Carl Philipp Emanuel Bach avec Emmanuel Pahud et Trevor Pinnock (EMI), des concertos pour hautbois de Mozart avec Albrecht Mayer (Deutsche Grammophon) et des concertos pour violoncelle de Haydn avec Maximilian Hornung (Sony Classical). Il enregistrera le dernier cycle de l’intégrale des symphonies de Schubert sous la direction d’Antonello Manacorda pour Sony Classical. La Kammerakademie se produit régulièrement à Potsdam et également à l’étranger  : à Istanbul, Vienne, Cologne, Dresde, aux Festivals du Rheingau, du Mecklembourg-Poméranie et du Schleswig-Holstein, etc. En 2015, l’orchestre a reçu le prix Echo Klassik dans la catégorie «  Ensemble/Orchestre de l’année  » pour l’enregistrement des Symphonies nos 2 et 4 de Schubert.

VIOLONS IYuki Kasai (violon solo)Isabel Stegner Michiko Iiyoshi Matthias LeupoldRenate Loock

VIOLONS II Christiane Plath Julita Maria Forck Thomas Kretschmer Laura Erika Rajanen Judith Wolf

ALTOS Jennifer AnschelAnnette GeigerChristoph Starke

VIOLONCELLESJan-Peter Kuschel Hampe Christoph Vashti Hunter

CONTREBASSE Tobias Lampelzammer

HAUTBOISJan Böttcher Birgit Zemlicka-Holthaus

BASSON Christoph Knitt

CORS Christian Müller Sulamith Seidenberg

T. Pinnock © Peer Lindgreen

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Pour mener à bien l’ensemble de ses missions, l’Auditorium-Orchestre national de Lyon bénéficie du soutien d’une nouvelle fondation, la Fondation philharmonique.

fondation philharmoniqueCercle des mécènes de l’Auditorium- Orchestre national de Lyon

Soutenez la fondation, devenez mécène

Fondation philharmonique Auditorium-Orchestre national de Lyon 84, rue de Bonnel – 69003 Lyon

Contact mécénat : Céline [email protected]

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ABONNEMENTS & RÉSERVATIONS 04 78 95 95 95

prochainement à l’auditorium

| je. 2 fév. 20h & sa. 4 fév. 18hsymphoniqueMAHLER SYMPHONIE N° 3

Gustav Mahler Symphonie n° 3, en ré mineur

Orchestre national de Lyon Spirito (préparation : Nicole Corti) Jeune Chœur symphonique (préparation : Guillaume Bourgoin et Laetitia Toulouse) Maîtrise de l’Opéra national de Lyon (chef de chœur de la Maîtrise : Karine Locatelli) David Zinman, direction Jennifer Johnston, mezzo-soprano

Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 €

| di. 5 fév. 16hjazzJAZZ 100

Danilo Pérez, piano Robin McKelle, chant Chris Potter, saxophone ténor Avishai Cohen, trompette Ben Street, basse Roman Diaz, percussions Adam Cruz, batterie

En coproduction avec Jazz à Vienne et en partenariat avec Saint-Fons Jazz Festival. Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 €

| je. 9 fév. 20hsymphoniqueRAVEL SHÉHÉRAZADE

Nikolaï Rimski-Korsakov/Maurice Ravel Antar (nouveau texte d’Amin Maalouf)Guillaume Connesson Celephaïs (création mondiale, co-commande de l’Auditorium-Orchestre national de Lyon et du Nederlands Pilharmonisch Orkest)Maurice Ravel Shéhérazade – Daphnis et Chloé, suite n° 2

Orchestre national de Lyon Leonard Slatkin, direction Hélène Hébrard, mezzo-soprano André Dussollier, récitant

Tarif : de 16 € à 48 € / réduit : de 8 € à 41 €

www.auditorium-lyon.com

André Dussollier © Gilles Vidal