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    A L'ATTENTION DU LECTEURDans tous les livres de l'auteur, les questions lies la foi sont expliques la lumire des versetscoraniques et les gens sont invits connatre la parole de Dieu et vivre selon Ses prceptes.

    Tous les sujets qui concernent les versets de Dieu sont expliqus de telle faon ne laisser planer

    ni doute, ni questionnement dans l'esprit du lecteur. Par ailleurs, le style sincre, simple et fluide

    employ permet chacun, quel que soit son ge ou son appartenance sociale, d'en comprendre

    facilement la lecture. Ces crits efficaces et lucides permettent galement leur lecture d'une seule

    traite. Mme ceux qui rejettent vigoureusement la spiritualit resteront sensibles aux faits rappor-

    ts dans ces livres et ne peuvent rfuter la vracit de leur contenu.

    Ce livre et tous les autres travaux de l'auteur peuvent tre lus individuellement ou tre abords

    lors de conversations en groupes. Les lecteurs qui dsirent tirer le plus grand profit des livres trou-

    veront le dbat trs utile dans le sens o ils seront en mesure de comparer leurs propres

    rflexions et expriences celles des autres.

    Par ailleurs, ce sera un grand service rendu la religion que de contribuer faire connatre et

    faire lire ces livres, qui ne sont crits que dans le seul but de plaire Dieu. Tous les livres de l'au-

    teur sont extrmement convaincants. De ce fait, pour ceux qui souhaitent faire connatre la reli-

    gion d'autres personnes, une des mthodes les plus efficaces est de les encourager les lire.

    Dans ces livres, vous ne trouverez pas, comme dans d'autres livres, les ides personnelles de

    l'auteur ou des explications fondes sur des sources douteuses. Vous ne trouverez pas non plus

    des propos qui sont irrespectueux ou irrvrencieux du fait des sujets sacrs qui sont abords.

    Enfin, vous n'aurez pas trouver galement de comptes-rendus dsesprs, pessimistes ou susci-

    tant le doute qui peut affecter et troubler le cur.

    Publi en dcembre 2006

    Deuxime dition fvrier 2007Troisime dition avril 2007

    Quatrime dition juin 2007

    Cinquime dition

    Sixime dition

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    L'ATLASDE LA

    CREATION

    HARUN YAHYA

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    A PROPOS DE L'AUTEURAdnan Oktar, qui crit sous le pseudonyme HARUN YAHYA,

    est n Ankara en 1956. Il a effectu des tudes artistiques l'Universit Mimar Sinan d'Istanbul, et a tudi la philosophie

    l'Universit d'Istanbul. Depuis les annes 80, il a publi de nom-breux ouvrages sur des sujets politiques, scientifiques et lis la foi.Harun Yahya est devenu clbre pour avoir remis en cause la thoriede l'volution et dnonc l'imposture des volutionnistes. Il a gale-ment mis en vidence les liens occultes qui existent entre le darwinis-me et les idologies sanglantes du 20me sicle.

    Les ouvrages d'Harun Yahya, qui ont t traduits en 41 langues,

    constituent une collection de plus de 45.000 pages et 30.000 illustra-tions.

    Son pseudonyme est constitu des noms "Harun" (Aaron) et "Yahya"(Jean), en mmoire de ces deux prophtes estims qui ont tous deux luttcontre le manque de foi de leurs peuples. Le sceau du Prophte (paix et

    bndiction sur lui) qui figure sur la couverture des livres de l'au-teur, revt un caractre symbolique li leur contenu. Ce sceau

    signifie que le Coran est le dernier Livre de Dieu, Son ulti-me parole, et que notre Prophte (paix et bndiction

    sur lui) est le dernier maillon de la chane proph-tique. En se rfrant au Coran et la Sounna, l'au-

    teur s'est fix comme objectif d'anantir les argu-

    ments des tenants des idologies athes, pourrduire au silence les objections souleves

    contre la religion. Le Prophte (paix etbndiction sur lui) a atteint les plus

    hauts niveaux de la sagesse et de laperfection morale, c'est pour-

    quoi son sceau est utilisavec l'intention de rapporter

    le dernier mot.

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    Tous les travaux de l'auteur sont centrs sur un seul objectif : communiquer aux autres le messagedu Coran, en les incitant rflchir des questions lies la foi, telles que l'existence de Dieu, Son uni-cit, l'au-del, et en exposant les fondations faibles et les idologies perverses des systmes athes.

    L'uvre de Harun Yahya est connue travers de nombreux pays, de l'Inde aux tats-Unis, de laGrande-Bretagne l'Indonsie, de la Pologne la Bosnie, de l'Espagne au Brsil.

    Certains de ses livres sont disponibles dans les langues suivantes : l'anglais, le franais, l'allemand,l'espagnol, l'italien, le portugais, l'urdu, l'arabe, l'albanais, le chinois, le swahili, le hausa, le divehi(parl l'le Maurice), le russe, le serbo-croate (bosniaque), le polonais, le malais, l'ougour, l'indon-sien, le bengali, le danois et le sudois et de nombreux lecteurs du monde entier les apprcient.

    Ces ouvrages ont permis de nombreuses personnes d'attester de leur croyance en Dieu, et d'autres d'approfondir leur foi. La sagesse et le style sincre et fluide de ces livres confrent ces der-

    niers une touche distinctive qui ne peut manquer de frapper ceux qui les lisent ou qui sont amens les consulter. Ceux qui rflchissent srieusement sur ces livres ne peuvent plus soutenir l'athisme outoute autre idologie et philosophie matrialiste, tant donn que ces ouvrages sont caractriss parune efficacit rapide, des rsultats dfinis et l'irrfutabilit. Mme s'il y a toujours des personnes qui lefont, ce sera seulement une insistance sentimentale puisque ces livres rfutent telles idologies depuisleurs fondations. Tous les mouvements de ngation contemporains sont maintenant vaincus de point devue idologique, grce aux livres crits par Harun Yahya. L'auteur ne tire pas de fiert personnelle deson travail ; il espre seulement tre un support pour ceux qui cherchent cheminer vers Dieu. Aucunbnfice matriel n'est recherch dans la publication de ces livres.

    Ceux qui encouragent les autres lire ces livres, ouvrir les yeux du cur et devenir de meilleursserviteurs de Dieu rendent un service inestimable.

    Par contre, encourager des livres qui crent la confusion dans l'esprit des gens, qui mnent au

    chaos idologique et qui, manifestement, ne servent pas ter des curs le doute, s'avre tre unegrande perte de temps et d'nergie. Il est impossible, pour les nombreux ouvrages crits dans le seulbut de mettre en valeur la puissance littraire de leurs auteurs, plutt que de servir le noble objectifd'loigner les gens de l'garement, d'avoir un impact si important. Ceux qui douteraient de ceci se ren-dront vite compte que Harun Yahya ne cherche travers ses livres qu' vaincre l'incrdulit et diffu-ser les valeurs morales du Coran. Le succs et l'impact cet engagement sont vidents dans la convictiondes lecteurs.

    Il convient de garder l'esprit un point essentiel : la raison des cruauts incessantes, des conflits etdes souffrances dont la majorit des gens sont les perptuelles victimes, est la prdominance de l'in-croyance sur cette terre. On ne pourra mettre fin cette triste ralit qu'en btissant la dfaite de l'in-crdulit et en sensibilisant le plus grand nombre aux merveilles de la cration ainsi qu' la moralecoranique, pour que chacun puisse vivre en accord avec elle. En observant l'tat actuel du monde qui

    ne cesse d'aspirer les gens dans la spirale de la violence, de la corruption et des conflits, il apparat vitalque ce service rendu l'humanit le soit encore plus rapidement et efficacement. Sinon, il se pourraitbien que les dgts causs soient irrversibles.

    Les livres d'Harun Yahya, qui assument le rle principal dans cet effort, constitueront par la volon-t de Dieu un moyen par lequel les gens atteindront au 21me sicle la paix, la justice et le bonheurpromis dans le Coran.

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    TABLE DES MATIERES

    INTRODUCTION. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141. QU'EST-CE QU'UN FOSSILE ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162. SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN AMERIQUE DU NORDET DU SUD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AUX ETATS-UNIS. . . . . . . 46ORPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .48

    FEUILLE DE PEUPLIER . . . . . . . . . . . . . .50

    PASTENAGUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .52

    SARDINE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .54

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .56

    CRABE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .58PERCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .60

    FEUILLE DE SUMAC . . . . . . . . . . . . . . . .62

    OMISCOS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .64

    DEUX HARENGS . . . . . . . . . . . . . . . . . . .66

    TRILOBITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .68

    HARENGS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .70

    MILLE-PATTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .72

    LAPIN JUVENILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .74

    OMISCOS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .76

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .78

    FEUILLES DE SYCOMORE . . . . . . . . . . . .80

    POISSON DES SABLES . . . . . . . . . . . . . .82HARENGS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .84

    FEUILLE DE GINKGO . . . . . . . . . . . . . . .86

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .88

    POISSON-LUNE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .90

    LAMPROIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .92

    OMISCOS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .94

    QUEUE DE TRUITE . . . . . . . . . . . . . . . . .96

    PEUPLIER . . . . . . . . . . . . . . . . . . .98

    TIPULE . . . . . . . . . . . . . . . .100

    EPICEA . . . . . . . . . . . . . . . .102

    POISSON LANTERNE . . . . . .104

    PIN PONDEROSA . . . . . . . .106

    PERCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .108

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .110

    SAULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .112

    FEUILLE DE PEUPLIER . . . . . . . . . . . . .114

    FEULLE DE CHENE . . . . . . . . . . . . . . . .116

    GUEPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .118FEUILLE DE VIGNE . . . . . . . . . . . . . . . .120

    HARENG ET POISSON-LUNE . . . . . . . .122

    FEUILLE DE SUMAC . . . . . . . . . . . . . . .124

    CRANE D'OURS NORD AMERICAIN . .126

    PERCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .128

    POISSON-LUNE, HARENG . . . . . . . . .130

    FEUILLE DE NOYER BLANC

    D'AMERIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .132

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .134

    FEUILLE DE FIGUIER . . . . . . . . . . . . . .136

    HARENGS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .138

    HYDROPHILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .140FEUILLE DE MARRONNIER . . . . . . . . . .142

    FOUGERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .144

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .146

    HARENG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .148

    POISSON PIPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150

    CRANE DE LEOPARD . . . . . . . . . . . . . .152

    FEUILLE DE MICOCOULIER AVEC

    UN CRIQUET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .154

    CRANE DE RHINOCEROS . . . . . . . . . . .156

    LAPIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .158

    POISSON-LUNE, HARENG . . . . . . . . . .160

    SAULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .162

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    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU CANADA . . . . . . . . . 184

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN REPUBLIQUEDOMINICAINE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 220

    FEUILLE DE LAURIER . . . . . . . . . . . . . .164

    HARENG ET PERCHE . . . . . . . . . . . . . .166

    LAPIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .168CRANE DE CERF . . . . . . . . . . . . . . . . . .170

    TORTUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .172

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .174

    TORTUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .176

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .178OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .180

    ETOILE DE MER . . . . . . . . . . . . . . . . . .182

    LAQUAICHE ARGENTEE . . . . . . . . . . . .186

    BRANCHE DE SEQUOIA . . . . . . . . . . . .188

    LAQUAICHE ARGENTEE . . . . . . . . . . . .190

    TIGE DE SEQUOIA AVEC MOUCHE

    DE LA SAINT MARC . . . . . . . . . . . . . . .192

    DIPNEUSTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .194

    TIGE DE SEQUOIA ET FEUILLE

    DE CHARME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .196TIGE DE SEQUOIA AVEC COSSES SUR

    LA BRANCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .198

    BOULEAU . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .200

    TETE DE SAUMON . . . . . . . . . . . . . . . .202

    FEUILLE DE GINKGO ET TIGE

    DE SEQUOIA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .204

    FEUILLE DE GINKGO . . . . . . . . . . . . . .206

    FEUILLE D'ORME . . . . . . . . . . . . . . . . .208

    FEUILLE DE GINKGO BILOBA . . . . . . .210

    FEUILLE D'AULNE . . . . . . . . . . . . . . . .212

    FEUILLES DE CHARME ET D'ORME . . .214FRONDE ET CONE DE METASEQUOIA 216

    HOMARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .218

    FULGOROIDEA . . . . . . . . . . . . . . . . . .222

    ARAIGNEE SAUTEUSE . . . . . . . . . . . . . .223

    LIMULODES PARADOXUS . . . . . . . . . .224

    GUEPE SCELIONIDAE . . . . . . . . . . . . .225

    INSECTE ASSASSIN . . . . . . . . . . . . . . .226

    PSEUDOSCORPION . . . . . . . . . . . . . . .228

    FOURMI AILEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .229

    PUNAISE DE FEU, MILLE-PATTES,

    ARAIGNEE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .230

    GUEPE PARASITE

    ET MOUCHE PHORIDE . . . . . . . . . . .232

    ABEILLES SANS DARD . . . . . . . . . . . . .233

    FOURMIS AILEES ET CECIDOMYIE . . . .234

    ARAIGNEE ET SA TOILE . . . . . . . . . . . .235

    POU DES LIVRES . . . . . . . . . . . . . . . . .236

    SCOLYTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .237

    LIMULODES PARADOXUS . . . . . . . . . .238

    FOURMI AILEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .239ARAIGNEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .240

    FOURMI OUVRIERE . . . . . . . . . . . . . . .242

    FOURMI AILEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .243

    MOUCHE CADDIS ET MOUCHES

    A FRUIT A AILES SOMBRES . . . . . . . .244

    TERMITE AILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .245

    HETEROPTERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .246

    ARAIGNEE ET SA TOILE . . . . . . . . . . . .247

    FOURMIS AILEES . . . . . . . . . . . . . . . . .248

    TERMITE AILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .249

    SAUTERELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .250

    GUEPE SCELIONIDAE, CICADELLE . . . .252

    PLATYPODIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . .253

    GUEPE PARASITE, COLLEMBOLE . . . . .254

    GUEPE PTEROMALIDAE . . . . . . . . . . .255

    STAPHYLINIDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .256

    FOURMI AILEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .257

    FOURMI AILEE ET CECIDOMYIE . . . . .258

    TIPULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .260

    MOUCHE PHORIDE . . . . . . . . . . . . . .261

    BRULOT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .262

    MOUCHES A FRUIT A AILES

    SOMBRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .263

    TOILE D'ARAIGNEE, SEPSIDAE . . . . . .264

    COLLEMBOLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .265

    MOUCHE PHORIDE . . . . . . . . . . . . . .266

    PERCE-OREILLE, FOURMI OUVRIERE .268

    NYMPHE DE FULGOROIDEA . . . . . . .269

    MOUCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .270SEPSIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .271

    CHARANON RADICICOLE,

    PLATYPODIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . .272

    PHALENE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .273

    GRILLON, HETEROPTERES . . . . . . . . . .274

    CECIDOMYIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .275

    BRULOT, CECIDOMYIE . . . . . . . . . . . .276

    MOUCHE A FRUIT . . . . . . . . . . . . . . . .277

    PLATYPODIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . .278

    SEPSIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .279

    MOUCHERON DE BOIS . . . . . . . . . . .280

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    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU BRESIL . . . . . . . . . . . 310

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU PEROU. . . . . . . . . . . 330

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN ARGENTINE . . . . . . 338SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU CHILI . . . . . . . . . . . 339

    3. SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN EUROPE . . . . . . . . 350SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN ALLEMAGNE . . . . . . 352

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN ESPAGNE . . . . . . . . . 380SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN REPUBLIQUE TCHEQUE 381

    PSOQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .281

    EPHEMERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .282

    CHARANON . . . . . . . . . . . . . . . . . . .283PHALENE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .284

    GRILLON, TIPULE . . . . . . . . . . . . . . . . .285

    CHARANON . . . . . . . . . . . . . . . . . . .286

    NYMPHE D'ISOPODE . . . . . . . . . . . . .287

    PSYLLES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .288

    FOURMI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .289

    FOURMI CHARPENTIERE . . . . . . . . . . .290

    CLOPORTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .291

    MITE ET SCOLYTE . . . . . . . . . . . . . . . . .292

    STAPHYLINIDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .293

    INSECTE ASSASSIN . . . . . . . . . . . . . . . .294

    FOURMILION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .295

    CHENILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .296

    TERMITE AILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .297MOUCHE A FRUIT . . . . . . . . . . . . . . . .299

    MOUCHE DANSANTE . . . . . . . . . . . .300

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .301

    GUEPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .302

    MOUSTIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .303

    GUEPE BRACONIDE . . . . . . . . . . . . .304

    INSECTE ASSASSIN . . . . . . . . . . . . . . . .305

    ANTHOCORIDE . . . . . . . . . . . . . . . . . .306

    PERCE-OREILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . .307

    FOURMI REINE . . . . . . . . . . . . . . . . .308

    TERMITE AILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .309

    TETTIGONIIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . .312

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .313

    MOUCHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .314

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .315

    SAUTERELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .316

    ORPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .318

    SCORPION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .320

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .322

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .323

    SCARABEE AQUATIQUE . . . . . . . . . .324

    SAUTERELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .325

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .326

    SAUTERELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .327

    SAUTERELLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .328

    SAUTERELLE AUX

    LONGUES ANTENNES . . . . . . . . . . . . . .329

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .332

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .334

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .336

    TRANCHE DE CONE

    D'ARAUCARIA . . . . . . . . . . . . . . . . . . .340

    CRABE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .342

    CONE D'ARAUCARIA . . . . . . . . . . . . . .344

    CRANE DE CORMORAN . . . . . . . . . . .346

    CRANE DE CORMORAN . . . . . . . . . . .348

    CRABE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .349

    CREVETTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .354

    ETOILE DE MER . . . . . . . . . . . . . . . . . . .356

    POISSON-CASTOR . . . . . . . . . . . . . . . .359

    ECREVISSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .360

    CREVETTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .362

    ORPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .364

    CHAUVE-SOURIS . . . . . . . . . . . . . . . . .366

    OPHIURE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .368

    CLACANTHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .370

    HOMARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .372

    OPHIURE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .374

    GASTEROPODE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .376

    GASTEROPODE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .377

    CREVETTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .378

    FOUGERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .382 GRENOUILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .384

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    13/267

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN ITALIE. . . . . . . . . . . . 386

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN GRANDE-BRETAGNE 398

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN RUSSIE . . . . . . . . . . . 416SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN POLOGNE . . . . . . . . 417

    4. SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN AFRIQUEET AU MOYEN-ORIENT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .442SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU MAROC . . . . . . . . . . .444

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS AU LIBAN . . . . . . . . . . . .464

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS A MADAGASCAR . . . . . . .488

    POISSON RASOIR . . . . . . . . . . . . . . . .388

    HIPPOCAMPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .390

    SERIOLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .392

    LARVE DE LIBELLULE . . . . . . . . . . . . . .394

    POISSON PIPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .396

    LIMULE 400

    OPHIURE 402

    NAUTILE 404

    BIVALVE 406

    NAUTILE 408

    ARAIGNEE 410

    NAUTILE 412

    SANGLIER DE MER 414

    ESSAIM DE BRULOTS 418

    NYMPHE DE PHASME

    (INSECTE BATON) 419FOURMI OUVRIERE ET

    LARVE DAPHIDIEN420

    ARAIGNEE-CRABE 422

    LARVE DAPHIDIEN423

    MOUCHERON 424

    MOUCHE A LONGUES PATTES 425

    GUEPE PARASITE 426

    MOUCHE CADDIS 427

    PLECOPTERE (PERLE) 428

    BLATTE 429

    MITE 430

    SAUTERELLE 431

    SAUTERELLE 432CHENILLE 433

    MOUCHE 434

    MOUCHE 435

    PAPILLON 436

    CICADELLE 437

    MITE 438

    PHORIDAE 439

    FOURMI AILEE 440

    MOUCHE DANSANTE 441

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .446

    TRILOBITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .448

    POISSON AIGUILLE . . . . . . . . . . . . . . .450

    ETOILE DE MER . . . . . . . . . . . . . . . . . .452

    TRILOBITE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .454

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .456

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .457

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .458

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .459

    ETOILE DE MER . . . . . . . . . . . . . . . . . .460

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .462

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .463

    REQUIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .466

    ANGUILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .468LE POISSON VOLANT . . . . . . . . . . . . . .470

    POISSON VIPERE . . . . . . . . . . . . . . . . . .472

    CREVETTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .474

    POISSON VOLANT . . . . . . . . . . . . . . . .476

    POISSON VOLANT . . . . . . . . . . . . . . . .478

    ANGUILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .480ANGUILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .482

    REQUIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .484

    CIGALE DE MER . . . . . . . . . . . . . . . . . .486

    CLACANTHE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .490

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .494

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .496

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .497

    OURSIN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .498

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .500

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .501

    BIVALVE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .502

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .504

    NAUTILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .505

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    14/267

    5. SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN CHINE,EN AUSTRALIE ET EN NOUVELLE-ZELANDE . . . . . . . . . . . . . . . . . .506

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN CHINE . . . . . . . . . . . .508

    SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN NOUVELLE-ZELANDE. . 568SPECIMENS DE FOSSILES DECOUVERTS EN AUSTRALIE. . . . . . . . 569

    FOSSILES DE CRANES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 574LE COUP DUR INFLIGE AU DARWINISME PAR LES FOSSILESDE CRANES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 576

    FOSSILES DIVERS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 610

    PRELE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .570 CRABE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .572

    EPHEMERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .510

    MOUCHE-SCORPION . . . . . . . . . . . . .512

    TIPULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .513

    CERCOPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .514

    FULGOROIDEA . . . . . . . . . . . . . . . . . .516

    MOUCHE A FRUIT . . . . . . . . . . . . . . . .518

    SALAMANDRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .520

    ESTURGEON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .522

    TORTUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .524

    EPHEMERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .526

    SALAMANDRE . . . . . . . . . . . . . . . . . .528

    ARAIGNEE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .530ECREVISSE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .532

    LIBELLULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .534

    CRANE DE LOUP . . . . . . . . . . . . . . . . .536

    LIAONINGORNIS . . . . . . . . . . . . . . . .538

    TORTUE JUVENILE . . . . . . . . . . . . . . .540

    ESTURGEON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .542

    FULGOROIDEA . . . . . . . . . . . . . . . . . .544

    CROCODILE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .546

    ESTURGEON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .548

    POISSON NOIR . . . . . . . . . . . . . . . . . . .550

    TORTUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .552

    CRANE D'HYENE . . . . . . . . . . . . . . . . .554

    ESTURGEON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .556

    BLATTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .558

    LARVE D'EPHEMERE . . . . . . . . . . . . . .560CRANE DE TIGRE . . . . . . . . . . . . . . . . .562

    CRANE DE RHINOCEROS . . . . . . . . . .564

    LARVE DEPHEMERE . . . . . . . . . . . . . .566

    CHAMPIGNON . . . . . . . . . . . . . . . . . . .611

    CANTHARIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .612

    FOURMILION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .614

    MOUCHE-SCORPION . . . . . . . . . . . . . .616

    SCIRTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .617

    COQUILLE DESCARGOT . . . . . . . . . . .618

    MOUCHE (Toxoneura) . . . . . . . . . . . . . .619

    PATTE DE REPTILE . . . . . . . . . . . . . . . . .620

    ARAIGNEE NAINE A

    SIX YEUX (Oonopidae) . . . . . . . . . . . . .622

    SCRAPTIIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .623

    BOMBYLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .624

    SIMULIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .625

    SCYDMAENIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . .626

    TIPULE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .627

    THROSCIDAE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .628

    FAUCHEUR . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .629

    CHRYSOPILUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .630

    RAPHIDIOPTERE . . . . . . . . . . . . . . . . . .632

    CRANE DE HYENE . . . . . . . . . . . . . . . .634

    CRANE DE LYNX . . . . . . . . . . . . . . . . . .636

    CRANE DE CHACAL . . . . . . . . . . . . . . .638

    CRANE DE LEOPARD . . . . . . . . . . . . . .640

    CRANE DE ZEBRE . . . . . . . . . . . . . . . . .642

    CRANE DE CHEVAL SAUVAGE

    ASIATIQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .644

    CRANE DE RATON LAVEUR . . . . . . . . .646

    CRANE DANE SAUVAGE TIBETAIN . . .647

    CRANE DE SINGE . . . . . . . . . . . . . . . . .648

    CRANE DE CHAMEAU . . . . . . . . . . . . .649

    CRANE DE RENARD GRIS . . . . . . . . . . .650

    CRANE DE PEKAN . . . . . . . . . . . . . . . . .652

    CRANE DE RENARD . . . . . . . . . . . . . . .588

    CRANE DE LOUP . . . . . . . . . . . . . . . . .590

    CRANE DE TIGRE DU NORD-EST . . . . .592

    CRANE DE RENARD . . . . . . . . . . . . . . .594

    CRANE DOURS BRUN . . . . . . . . . . . . .596

    CRANE DE LOUP . . . . . . . . . . . . . . . . .598

    CRANE DE RENARD ARCTIQUE . . . . . .600

    CRANE DE PANDA . . . . . . . . . . . . . . . .602

    CRANE DE TIGRE . . . . . . . . . . . . . . . . .604

    CRANE DOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . .606

    CRANE DE LEOPARD . . . . . . . . . . . . . .608

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    15/267

    CONCLUSION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 714

    APPENDICELA REFUTATION DE LA THEORIE DE L'EVOLUTION . . . . . . . . . . 718LA REELLE SOURCE IDEOLOGIQUE DU TERRORISME :DARWINISME ET MATERIALISME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 720INTRODUCTION: Pourquoi la thorie de l'volution? . . . . . . . . . . . . . . . . . . 730PREFACE: UN GRAND MIRACLE DE NOTRE TEMPS:

    Coire a la supercherie de Levolution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 732CHAPITRE 1 : S'affranchir des prjugs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 734CHAPITRE 2 : Une brve histoire de la thorie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 738CHAPITRE 3 : Les mcanismes imaginaires de l'volution. . . . . . . . . . . . . . . . 746CHAPITRE 4 : Les archives fossiles rfutent l'volution. . . . . . . . . . . . . . . . . . 751CHAPITRE 5 : Le conte de la transition de l'eau vers la terre . . . . . . . . . . . . . 756CHAPITRE 6 : L'volution imaginaire des oiseaux et des mammifres . . . . . . . 760CHAPITRE 7 : Des interprtations trompeuses et tendancieuses des fossiles . . 770CHAPITRE 8 : Les falsifications de l'volution. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 772CHAPITRE 9 : Le scnario de l'volution humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 775CHAPITRE 10 : L'impasse molculaire de l'volution . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 795

    La thermodynamique rfute l'volution . . . . . . . . . . . . . . . . . 820CHAPITRE 11 : La conception ne peut tre expliquepar la concidence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 824

    CHAPITRE 12 : Pourquoi les revendications volutionnistessont invalides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 832CHAPITRE 13 : L'volution : une thorie drive du matrialisme . . . . . . . . . 845CHAPITRE 14 : Les mdias : un terrain fertile pour l'volution . . . . . . . . . . . . 850CHAPITRE 15 : Conclusion : l'volution est une imposture . . . . . . . . . . . . . . . 854CHAPITRE 16 : La cration est un fait. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 858CHAPITRE 17 : Le secret au-del de la matire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 872CHAPITRE 18 : La relativit du temps et la ralit du destin. . . . . . . . . . . . . . 895

    NOTES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 902

    CRANE DE PHOQUE MOINE

    DES CARAIBES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .653

    CRANE DE RHINOCEROS . . . . . . . . . . .654

    CRANE DE CIVETTE INDIENNE . . . . . . .655CRANE DE GIRAFE . . . . . . . . . . . . . . . .656

    CRANE DE SANGLIER . . . . . . . . . . . . . .658

    CRANE DANTILOPE . . . . . . . . . . . . . . .659

    CRANE DE GUEPARD . . . . . . . . . . . . . .660

    CRANE DE BINTURONG . . . . . . . . . . .662

    CRANE DE DIABLE DE TASMANIE . . . .663

    TORTUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .664

    CRANE DOURS POLAIRE . . . . . . . . . . .666

    CRANE DE COYOTE . . . . . . . . . . . . . . .667

    FEUILLE DE SASSAFRAS . . . . . . . . . . . .668

    FEUILLE DE L'ARBRE DE KATSURA . . . .670

    FEUILLE DE FRENE . . . . . . . . . . . . . . . .672FEUILLE DE MYRICA . . . . . . . . . . . . . . .674

    DIOSPYROS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .676

    CONE DARAUCARIA . . . . . . . . . . . . . .678

    FEUILLE DE CHENE CHEVELU . . . . . . .680

    FEUILLE DE GENEVRIER . . . . . . . . . . . .682

    FEUILLE DE SORBIER DES

    OISELEURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .684FEUILLE DE POMMIER . . . . . . . . . . . . .686

    FEUILLE DE LAURIER-CERISE . . . . . . . .688

    TARPON . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .690

    MONACANTHIDAE . . . . . . . . . . . . . . .692

    PIEUVRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .694

    HIPPOCAMPE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .696

    POLYIPNUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .698

    FUNDULUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .700

    POISSON-SOLDAT (positif et ngatif) . .702

    POISSON-ECUREUIL . . . . . . . . . . . . . . .704

    CHIROCENTRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . .706

    POISSON CHIRURGIEN . . . . . . . . . . . .708CREVETTE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .710

    MERLAN BLEU . . . . . . . . . . . . . . . . . . .712

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    14 L'atlas de la cration

    INTRODUCTION

    I l y a environ 150 ans, le naturaliste anglais CharlesDarwin avana une thorie base sur les diffrentesobservations faites au cours de ses voyages, sans toute-fois tre taye par des dcouvertes scientifiques solides. Ensomme, sa thorie de l'volution se compose de scnariidivers, de suppositions et de conjectures crs de toute

    pice dans son imaginaire.Selon cette thorie de l'volution, des substances

    inanimes se rassemblrent par hasard pour donner nais-sance une premire cellule vivante. Il ne fait pas de douteque cette affirmation est trs imprcise et ne peut tre corrobo-

    re par une quelconque preu-ve ou dcouverte scientifique.Ensuite, toujours selon le mythe deDarwin, cet tre unicellulaire prit vie etse transforma par hasard encore une fois en une premire espcevivante de microbe ; c'est--dire qu'elle volua. La thorie volutionnis-

    te affirme ainsi que toutes les formes de vie sur terre, de la minuscule bactrie jusqu' l'tre humain, mergrent suite au mme processusimaginaire.

    Les allgations de Darwin ne reposaient videmment sur aucu-ne preuve scientifique ni aucune dcouverte. Dans la mesure o lesavoir scientifique et les moyens technologiques disponibles l'poquetaient encore primaires, la pleine mesure du ridicule et de l'irralismede ses affirmations ne put tre pleinement saisie. Dansun tel contexte, les scnarii de Darwin furentaccepts dans un grand nombre de cercles.

    La thorie de l'volution de Darwin reposait sur le matrialisme.Par consquent, rapidement, la thorie fut adopte par les mat-rialistes. Parce que les matrialistes nient le fait de la cra-tion, ils s'accrochrent aveuglment la thorie de l'volu-tion et l'rigrent mme comme base scientifique de leurvision du monde.

    Parmi les dcouvertes majeures qui invalident la thorie de

    l'volution se trouvent les archives fossiles, qui rvlent que

    les structures des espces vivantes sont restes inchanges

    pendant des dizaines de millions d'annes. Est reprsent ici

    un insecte vivant notre poque et son fossile vieux de 50

    millions d'annes. Cette espce, qui est reste identique aprs50 millions d'annes, rfute l'volution.

    Le microscope mono-lentille que

    Darwin utilisa rvle les moyens tech-

    nologiques limits et sous-dvelopps

    de cette poque.

    Charles Darwin

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    15Adnan Oktar

    En lanant de grandesrecherches et des investigations,et en crant des environnementsartificiels dans des laboratoires,ils tentrent d'obtenir les preuves

    corroborant la thorie de Darwin.Or, chaque dcouverte tendait rfuter l'volution au lieu de laconfirmer. La science et la tech-nologie firent de rapides progrsdepuis le dbut du 20me sicle et

    rejetrent la thorie de l'volution.Toutes les branches de la scienceconcernes par le sujet, telles que lamicrobiologie, les biomathma-tiques, la biologie cellulaire, la bio-chimie, la gntique, l'anatomie, laphysiologie, l'anthropologie et lapalontologie, rvlrent des l-ments innombrables discrditanttotalement la thorie de l'volution.

    L'ensemble des fossiles est cer-tainement la preuve la plus explici-

    te dmolissant les allgations de la thorie de l'volution. Les fossiles rvlent en effet que les formes devie sur terre n'ont jamais subi le moindre changement et ne se sont jamais transformes en une autre.L'examen de ces fossiles nous permet de voir que les tres vivants sont exactement les mmes que ce

    qu'ils taient il y a des centaines de millions d'annes. En d'autres termes, ils ne furent jamais impliqusdans une quelconque volution. Mme dans les temps les plus reculs, les formes vivantes mergrentsoudainement dotes de structures complexes, hautement perfectionnes, telles qu'elles sont aujour-d'hui encore.

    Cela dmontre un fait indiscutable : les tres vivants ne naquirent pas suite aux processus imagi-naires de l'volution. Tout ce qui existe sur terre est l'uvre de Dieu. Ce fait de la cration transparatdans les traces laisses par les parfaites cratures vivantes.

    Cet ouvrage vous fournira non seulement des informationsconcernant les fossiles, leur localisation et leur mode de dcouver-te, mais galement un examen srieux d'une varit de spcimensde fossiles, datant de millions d'annes, encore capable de dclarer

    : "Nous ne naqumes pas de l'volution, nous fmes crs." Les fos-siles prsents et illustrs dans ce livre ne sont que quelquesexemples des centaines de millions de spcimensprouvant le fait de la cration. Toutefois, cesquelques exemples suffisent dmontrer que lathorie de l'volution est un des grands canulars etune des grandes supercheries de l'histoire de lascience.

    Harun Yahya

    Les fougres ont conserv leur structure l'identique depuis le

    jour o elles ont t cres. Les fougres qui sont restes les

    mmes depuis environ 300 millions d'annes sont une des

    preuves vrifiant l'invalidit de la thorie de l'volution.

    Un fossile de

    salamandre

    vieux de 125millions d'an-

    nes et un sp-

    cimen de notre

    poque

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    18 L'atlas de la cration

    QU'EST-CE QU'UN FOSSILE ?

    D'aprs une dfinition large, un fossile est ce qu'il reste d'un tre ayant vcu dans le lointain

    pass et ayant survcu jusqu' aujourd'hui grce une prservation sous des conditions natu-

    relles. Les fossiles dont nous disposons sont des parties d'organisme, ou des restes laisss par

    la crature vivante lorsqu'elle tait encore en vie (dans ce cas, on parle de traces de fossiles). Ils se for-

    ment lorsque les plantes ou les animaux morts sont prservs avant de se dtriorer compltement pour

    faire finalement partie de la roche sdimentaire de la terre. Afin que la fossilisation se produise, la plan-

    te ou l'animal concern doit tre enterr assez rapidement, gnralement sous une couche de vase. Vient

    ensuite un processus chimique garantissant la prservation au moyen de changements minraux dans

    les tissus originaux.

    Les fossiles sont la preuve essentielle des dtails de la vie prhistorique. Dans de nombreuses

    rgions du monde, des centaines de millions de fossiles furent dcouverts, ouvrant ainsi une fentre

    dans l'histoire et la structure de la vie sur terre. Des millions de fos-siles indiquent que les espces apparurent spontanment,

    parfaitement forms, avec des structures complexes,

    tout en restant inchangs depuis des millions d'an-

    nes. C'est une preuve claire que la vie naquit de

    rien, c'est--dire qu'elle fut cre. Pas le moindre

    fossile suggre que les tres vivants se form-

    rent graduellement, savoir qu'ils volurent.

    Les spcimens de fossiles classs par les vo-

    lutionnistes comme tant "des fossiles

    intermdiaires" sont peu nombreux et leur

    UN FOSSILE DE

    GRENOUILLE AGE

    DE 50 MILLIONS

    D'ANNEES

    Il n'y a aucune diff-

    rence entre cette

    grenouille, qui vivait

    il y a 50 millions

    d'annes, et celles

    d'aujourd'hui.

    Ce fossile de bouleau

    datant de la priode

    du palocne (il y a

    65,6 55 millions

    d'annes) retrouv

    dans le Montana est

    en trois dimensions.

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    19Adnan Oktar

    Harun Yahya

    Les crevettes qui ont vcu il y a 250

    70 millions d'annes sont les mmes que

    celles qui vivent notre poque. Les

    crevettes qui sont restes identiquespendant des millions d'annes montrent

    que l'volution n'a jamais eu lieu.

    Une toile de mer vieille de 490 443 millions d'annes

    rvle que les toiles de mer sont restes les mmespendant des centaines de millions d'annes et qu'elles

    n'ont pas volu.

    invalidit fut scientifiquement prouve. Par ailleurs, certains des fossiles intermdiaires se rvlrenttre des contrefaons, la fraude des darwinistes dnotant ainsi leur tat de dsespoir.

    Durant les 150 dernires annes environ, des fossiles extraits du monde entier prouvent que les pois-sons ont toujours t des poissons, les insectes ont toujours t des insectes, les oiseaux sont rests desoiseaux et les reptiles des reptiles. Aucun fossile ne pointa vers une quelconque transition entre lesespces vivantes, c'est--dire entre le poisson et l'amphibien ou entre le reptile et l'oiseau. En rsum, les

    fossiles dcouverts dmolissent dfinitivement l'affirmation de base de la thorie de l'volution, selonlaquelle les espces descendent les unes des autres en subissant des changements sur de longuespriodes.

    En plus de l'information sur les formes de vie, les fossiles apportent des donnes riches propos del'histoire de la plante. On sait ainsi comment les mouvements des plaques continentales ont altr la

    surface de la terre et quels furent les changements climatiques dansles res passes.

    Les fossiles attirent l'intrt des chercheurs depuisl'poque de la Grce antique, bien que leur tude

    Un fossile de crabe

    qui a vcu il y a 38

    23 millions d'annes

    UNE FOURMI AILEE QUI A

    VECU IL Y A 20 A 15 MIL-

    LIONS D'ANNEES

    Les insectes pigs dans

    l'ambre par le durcissement dela rsine rfutent galement la

    thorie de l'volution.

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    20 L'atlas de la cration

    Les darwinistes affirment qu'en subissant des changements

    mineurs, les tres vivants voluent d'une espce en une autre au

    cours de millions d'annes. Selon cette affirmation qui est rfute par

    les dcouvertes scientifiques, les poissons se transformrent en

    amphibiens, et les reptiles se transformrent en oiseaux. Ce soi-disant

    processus de transformation, qui aurait dur des millions d'annes,

    aurait d laisser des preuves innombrables dans les archives fossiles.

    En d'autres mots, au cours de leurs recherches intensives des 100

    dernires annes, les chercheurs auraient d dcouvrir de nombreux

    tres vivants grotesques comme des mi-poisson/mi-lzard, des mi-

    araigne/mi-mouche ou des mi-lzard/mi-oiseau. Cependant, bienque pratiquement chaque strate de la terre ait t creuse, pas le

    moindre fossile n'a t retrouv pouvant tre utilis comme preuve

    par les darwinistes pour la soi-disant transition.

    D'un autre ct, il existe d'innombrables fossiles montrant que les

    araignes ont toujours t des araignes, les poissons toujours des

    poissons, les crocodiles toujours des crocodiles, les lapins toujours

    des lapins et les oiseaux toujours des oiseaux. Des centaines de mil-

    lions de fossiles montrent clairement que les tres vivants n'ont pas

    subi d'volution, mais qu'ils ont t crs. Des centaines de millions

    de fossiles prouvent que les tres vivants n'ont pas volu, mais

    qu'ils furent crs.

    Les dcouvertes de fossiles rvlent que les tres imaginaires de

    ces dessins n'ont jamais exist. Les tres vivants apparaissent

    soudainement dans les archives fossiles, avec toutes leurs carac-

    tristiques intactes, et, tout au long de leur vie, ces espces ne

    subissent aucun changement.

    X

    Iln'existe

    aucuneforme

    transitionn

    elle

    X

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    en tant que branche distincte dela science ait commenc seule-ment au milieu du 17me sicle, la suite des travaux du cher-cheur Robert Hooke (auteur de

    Micrographia, 1665, et Discourseof Earthquakes, 1668) et de NielsStensen (plus connu sous le nomde Nicolai Steno). Au momento Hooke et Steno effecturentleurs investigations, la plupartdes penseurs ne croyaient pasque les fossiles taient les restesde cratures vivantes passes.Au cur de ce dbat rside l'in-capacit expliquer o les fos-siles furent dcouverts, en termede donnes gologiques. Lesfossiles taient frquemmentdcouverts dans des rgionsmontagneuses, alors qu'il taitimpossible l'poque d'expliquer comment un poisson avait pu se fossiliser dans une strate de rocheaussi leve par rapport au niveau de la mer. Comme Lonard de Vinci l'avait prcdemment suggr,Steno maintint que les niveaux de la mer avaient d baisser au cours de l'histoire. Hooke, lui, dit que lesmontagnes se formrent suite au rchauffement interne de la terre et aux mouvements des plaques oca-niques.

    Grce aux travaux de Hooke et de Steno, expliquant que les fossiles taient des restes d'tres dupass, la gologie se dveloppa entre le 18me et le 19me sicles. C'est alors que la collection systmatique

    21Adnan Oktar

    Harun Yahya

    Un chercheur de fossile travaillant la Formation Ediacara en

    Australie

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    22 L'atlas de la cration

    et la recherche des fossiles commencrent

    former une branche de la science. Les prin-

    cipes que Steno avait exposs furent suivis

    dans la classification et l'interprtation des

    fossiles. A partir du 18me sicle, l'industrie

    minire et la construction des chemins de ferpermirent des investigations plus grandes et

    plus dtailles du sol terrestre.

    La gologie moderne rvla que la crote

    terrestre se compose d'normes morceaux

    appels "plaques", se mouvant sur la surface

    du globe, et transportant ainsi les continents

    et formant les ocans. Plus les plaques bou-

    gent, plus la gographie terrestre se modifie.

    Les chanes montagneuses sont le rsultat de

    collisions entre de trs grandes plaques. Ces

    changements de la gographie terrestres qui

    eurent lieu sur de trs longues priodes mon-

    trent galement que les strates formant

    aujourd'hui des portions de montagnes taient auparavant immerges sous l'eau.

    Les fossiles prsents dans les strates de roches permirent donc d'obtenir des informations quant aux

    diffrentes priodes de l'histoire terrestre. L'information gologique montra que les vestiges des tres

    vivants prservs aprs leur mort dans des sdiments (c'est--dire des fossiles) ressortirent des strates

    de roches enfouies depuis trs longtemps. Certaines des roches dataient de plusieurs centaines de mil-

    lions d'annes.

    Au cours de ces tudes, on observa que des espces spcifiques de fossiles furent dcouvertes uni-

    quement dans des strates spcifiques et dans certains types de roche. On remarqua ainsi que des strates

    Une image satellite de la Terre

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    23Adnan Oktar

    Harun Yahya

    de roches conscutives contenaient leurs propres groupes de fossiles, ce qui peut tre considr commetant la "signature" de cette couche particulire. Ces "fossiles-signatures" peuvent varier, selon le temps,la priode et le lieu. Par exemple, deux diffrents types de sdiments et conditions environnementales le lit d'un ancien lac et un rif de corail, par exemple peuvent se retrouver dans la mme strate porteu-se de fossile dans la mme priode gologique. Ou bien, le mme fossile-signature peut tre prsent dans

    deux lits de roches diffrents et distants l'un de l'autre de plusieurs kilomtres. Grce l'informationimpartie par ces vestiges, les scientifiques dterminrent le cadre temporel gologique encore en usageaujourd'hui.

    Les fossiles utiliss pour dterminer les dates de formation

    des roches sont appels fossiles index. La majorit de

    ces espces sont celles qui vivaient au cours

    d'une seule priode spcifique, lors-

    qu'elles taient rpandues et facilement

    reconnaissables.

    Sont reprsents ici un trilobite qui

    vivait la priode ordovicienne

    (490 443 millions d'annes) et

    un gastropode de la priode silu-

    rienne (443 417 millions d'an-

    nes). A partir de ces fossiles, on

    peut deviner que les roches en

    question datent de 448 442 mil-

    lions d'annes.

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    24 L'atlas de la cration

    La formation des fossiles

    Aprs la mort de la crature vivante, le fossile nat de la

    prservation des composants du corps dur laiss par l'ani-

    mal, tels que les os, les dents, la coquille ou les ongles. On

    croit gnralement que les fossiles sont les parties d'uneplante ou d'un animal dans un tat ptrifi. Or, les fossiles

    ne naissent pas uniquement de la ptrification. Certains

    spcimens ont survcu jusqu' aujourd'hui sans altration

    ni dommage comme les mammouths prservs dans la

    glace ou les insectes et les petits reptiles et invertbrs figs

    dans l'ambre.

    Lorsqu'une crature vivante meurt, les tissus mous comprenant les muscles et les organes se

    dtriorent sous l'effet des bactries et des conditions environnementales. (Trs rarement, sous des tem-

    pratures en dessous de zro degr ou sous la chaleur sche des dserts, la dcomposition n'a pas lieu.)

    Les parties les plus rsistantes de l'organisme, gnralement des parties contenant des minraux telles

    que les os ou les dents peuvent survivre plus longtemps, et donc subir plusieurs processus physiques etchimiques. Ce sont ces processus qui permettent la fossilisation. Par consquent, la plupart des organes

    qui deviennent des fossiles sont les os et les dents des vertbrs, les coquilles des brachiopodes et des

    mollusques, les squelettes externes de certains crustacs et trilobites, les contours des organismes de

    type corail et ponges et les parties boises des plantes.

    L'environnement de l'organisme et les conditions climatiques jouent un rle majeur dans la forma-

    tion du fossile. C'est pourquoi il est possible de prdire si la fossilisation aura lieu sur la base de l'envi-

    ronnement externe de l'organisme. Par exemple, un contexte sous-marin est plus propice la formation

    de fossiles qu'un contexte sec.

    Le processus de fossilisation le plus rpandu est celui de perminralisation ou minralisation. Au

    cours de ce processus, l'organisme est remplac par des minraux dans le liquide dans le sol o le corps

    est immerg. Voil les diffrentes tapes :

    1) Tout d'abord, il est essentiel que, couvert de terre, de boue ou de sable, le corps de l'organisme

    mort soit immdiatement protg du contact de l'air. Au cours des mois suivants, de nouvelles couches

    de sdiments se superposent sur les restes enterrs. Elles

    agissent comme un bouclier s'paississant, protgeant le

    corps de l'animal des agents externes et de l'usure phy-

    sique. De nombreuses autres couches viennent s'ajouter les

    unes au-dessus des autres. En l'espace de quelques cen-

    taines d'annes, les restes de l'animal reposent plusieurs

    mtres en dessous de la surface de la terre, de la mer ou du

    lac. A mesure que le temps passe, les lments de l'animaltels que les os, la coquille, les cailles ou le cartilage enta-

    ment lentement leur dcomposition chimique. Les eaux

    souterraines commencent infiltrer ces structures, et les

    minraux dissous contenus dans ces eaux minraux tels

    que la calcite, la pyrite, la silice et le fer remplacent gra-

    duellement les substances chimiques dans les tissus. Ainsi

    en l'espace de millions d'annes, ces minraux donnent

    naissance une copie exacte ptrifie dont les tissus dans

    le corps de l'organisme furent remplacs. Enfin, le fossile

    conserve exactement la mme forme et le mme aspect

    externe que son original, bien qu'il soit dsormais trans-form en pierre.

    Cette libellule pige dans de la boue peut

    un jour se fossiliser et elle deviendra une

    preuve pour les gnrations futures quel'volution ne s'est jamais produite.

    Une gupe datant de 54 28 millions

    d'annes, ptrifie dans l'ambre

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    25Adnan Oktar

    Harun Yahya

    5. Dents de requin : les os et les dents sont princi-

    palement constitus de phosphore, c'est pour cette

    raison qu'ils sont plus rsistants, compars aux

    organes composs de tissus mous.

    6. Fossiles de trace : fossiles forms par des traces

    laisses dans la boue.7. Ammonite : un spcimen dont la coquille avait

    t remplace par des pyrites de fer et fossilise.

    8. Un arbre ptrifi : au fil du temps, les cellules de

    l'arbre sont remplaces par du silice et fossilises.

    9. Ambre : de petits organismes sont conservs dans

    la rsine.

    10. Feuilles carbonises : des plantes transformes

    en fibres de carbone.

    1. Rcif : animaux marins calcaires qui forment le rcif.2. Radiolaires : un type de plancton microscopique possdant un squelet-

    te de silice.

    3. Un mollusque bivalve, aux deux coquilles formes de carbonate de

    calcium. Chez les fossiles, de tels organes aussi solides peuvent tre

    conservs inchangs.

    4. Graptolite : des fossiles aux squelettes organiques qui laissent gnra-

    lement des traces sur l'argile noire. Ces cratures vivaient en groupes.

    1 2

    7

    3

    6

    4

    85

    9

    10

    Ce poisson fossilis, vieux de 50 millionsd'annes, est une preuve que les poissons

    ont toujours t des poissons.

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    Quelques fois, des organismes fragiles peuvent aussi tre fossiliss sous des conditions extraor-

    dinaires. Est ici reprsente une ophiure de la priode du jurassique (208 146 millions d'an-

    nes). Il n'y a aucune diffrence entre ce fossile et les ophiures d'aujourd'hui.

    26 L'atlas de la cration

    Plusieurs situations peuvent se produire durant la minralisation :

    1. Si le squelette est compltement rempli de solution liquide et si la dcomposition se fait ultrieu-

    rement, la structure interne se fossilise.

    2. Si le squelette est compltement remplac par un minral diffrent de l'original, une copie com-

    plte de la coquille merge.

    3. Si un modle exact ou un "moule" se forme cause de la pression, alors lesrestes de la surface externe du squelette peuvent rester.

    Dans les fossiles de plantes, en revanche, c'est la carbo-

    nisation cause par les bactries qui s'applique. Au cours

    du processus de carbonisation, l'oxygne et l'azote sont

    remplacs par le carbone et l'hydrogne. La carbonisa-

    tion a lieu en cassant les molcules des tissus par les

    bactries travers des changements de pression et de

    temprature ou de processus chimiques, causant des

    altrations chimiques dans la structure de la protine et

    de la cellulose de sorte que seules les fibres de carbone

    demeurent. Les autres matriaux organiques tels que

    le dioxyde de carbone, le mthane, le sulfate d'hydro-

    gne et la vapeur d'eau disparaissent. Ce processus

    donna naissance aux gisements naturels de charbon

    qui se formrent partir des marais existant pendant

    la priode carbonifre, il y a 354 290 millions d'an-

    nes.

    Les fossiles se forment parfois lorsque des orga-

    nismes sont immergs dans des eaux riches en calcium

    et qu'ils sont recouverts par des minraux tels que le

    Un moucheron vieux de 20 15 millions d'annes

    conserv dans de l'ambre

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    27Adnan Oktar

    travertin. A mesure que l'organisme se dcompose, il laisse ses traces dans un lit minral.

    La fossilisation complte des parties molles d'un tre vivant, y compris la fourrure, les plumes ou la

    peau, est trs rare. Les restes de tissus mous de certaines formes de vie de la priode prcambrienne

    (remontant une priode de 4,6 milliards 543 millions d'annes) ont t trs bien prservs. Il y a ga-

    lement des vestiges de tissus mous qui permettent d'examiner les structures internes de la priode cam-

    brienne (543 490 millions d'annes) en plus des vestiges de tissus durs d'tres vivants jusqu' aujour-

    d'hui. Les vestiges de fossile de fourrure et de poils animaux prservs dans l'ambre, et des restes de fos-

    siles datant de 150 millions d'annes sont d'autres exemples permettant des investigations dtailles. Les

    mammouths prisonniers des glaces sibriennes, les insectes et les reptiles figs dans l'ambre des forts

    baltiques se sont fossiliss avec leurs structures de tissus mous.

    Les fossiles peuvent considrablement varier en terme de taille, selon le type d'organisme prserv.

    Il existe une grande diversit de fossiles : des microorganismes fossiliss jusqu'aux fossiles gants d'ani-

    maux ayant vcu en groupe ou en troupeau, selon un mode de vie communautaire. L'un des exemples

    les plus frappants de fossiles gants est le rcif d'ponge en Italie. Similaire une colline, le rcif est com-

    pos d'ponges calcaires datant de 145 millions d'annes qui se sont dveloppes au fond de l'antiqueMer Tthys et qui plus tard remontrent sous l'effet du mouvement des plaques tectoniques. Il y a des

    spcimens de formes de vie ayant vcu dans les rcifs d'ponge durant la priode triasique. The Burgess

    Shale au Canada et Chengjiang en Chine sont parmi les plus grands gisements de fossiles contenant des

    milliers de fossiles de la priode cam-

    brienne. Les gisements d'ambre en

    Rpublique Dominicaine et le long

    des ctes occidentales de la Mer

    Baltique sont des sources impor-

    tantes de fossiles d'insectes. Les lits

    de fossiles Green River dans l'tat

    amricain du Wyoming, White Riveren Amrique Centrale, Eichstatt en

    Allemagne et Hajoula au Liban sont

    d'autres exemples citer.

    La peau et les cailles de ce poisson de la priode du triasique

    (248 208 millions d'annes) sont fossiliss avec tous leurs

    dtails intacts. Ce spcimen rvle que les poissons ont la mme

    structure d'cailles qu'il y a environ 250 millions d'annes.

    Harun Yahya

    LE PLUS GRAND RECIF

    D'EPONGES SUR TERRECe rcif d'ponges vieux de 145 millions d'an-

    nes est une trace laisse dans la Mer Tthys.

    Les ponges de notre poque ne sont en aucun

    cas diffrentes de celles qui composent la col-

    line. Ces ponges mettent en vidence le faitqu'elles n'ont subi aucune volution.

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    30/267

    28 L'atlas de la cration

    Les premires cartes dessines par

    William Smith, le fondateur de la

    gologie britannique, contriburent

    de beaucoup au dveloppement de

    la gologie moderne.

    Certains spcimens fossilescollects par William Smith

    Priode du

    carbonifre

    suprieur

    Priode du

    carbonifre

    infrieur

    Priode du

    triasique

    Priode du

    jurassique

    Priode du

    jurassiquemoyen

    Gastropode Bivalve

    Sous combien de groupes distincts les fossiles sont-ils tudis ?

    Tout comme les espces vivantes, les fossiles sont diviss en sections ou "rgnes". Au 19me sicle,

    les fossiles taient regroups en deux catgories : les vgtaux et les animaux. Des recherches ult-

    rieures rendirent ncessaires l'tablissement d'autres groupes de fossiles, par exemple pour les bact-

    ries et les champignons. D'aprs la classification des fossiles tablie en 1963, il est possible d'tudiercinq rgnes distincts :

    1. Animalia les fossiles du rgne animal, le plus vieux connu ce jour remonte 600 millions

    d'annes.

    2. Plantae les fossiles du rgne vgtal, dont les spcimens les plus anciens datent de 500 mil-

    lions d'annes.

    3. Monera les fossiles de bactries sans noyau, dont les plus vieux remontent 3,9 milliards

    d'annes.

    4. Protoctista les fossiles d'organismes unicellulaires. Les plus anciens datent de 1,7 milliard

    d'annes.

    5. Fungi les fossiles d'organismes multicellulaires, dont les plus anciens remontent 550 mil-

    lions d'annes.

    Les priodes gologiques et la palontologie

    Les premires informations de base concernant la crote terrestre commencrent tre acquises

    vers la fin du 18me sicle et le dbut du 19me sicle, au moment de la construction des chemins de fer

    et des tunnels. William Smith, un btisseur de tunnels anglais, vit que des roches le long de la Mer

    du Nord taient similaires celles dterres Somerset sur un chantier, datant de la priode juras-

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    31/267

    29Adnan Oktar

    Harun Yahya

    Priode du cambrien

    (Il y a 543 490

    millions d'annes)

    Priode de l'ordovicien

    (Il y a 490 443 mil-

    lions d'annes)

    Priode du silurien

    (Il y a 443 417

    millions d'annes)

    Priode du

    permien

    (Il y a 290

    248 millions

    d'annes)Priodedutriasique

    (Ilya248208millionsd'annes)

    (De 65 millions d'annes aujourd'hui)

    Priodedu

    tertiaire

    Priodedu

    quaternaire

    Afin de rendre l'histoire naturelle

    plus comprhensible, les gologues et

    les palontologistes divisrent l'his-

    toire de la terre en priodes golo-

    giques. Pour dterminer ces priodes,

    la formation des roches, leur ge et

    les fossiles qu'elles contiennent

    jouent un rle important.

    PALEOZOIQUE

    CENOZOIQ

    UE

    Priode du dvonien

    (Il y a 417 354

    millions d'annes)

    Priode du carbonifre

    (Il y a 354 290

    millions d'annes)

    Priode du crtac

    (Il y a 146 65

    millions d'annes)

    sique (208 146 millions d'annes). Avec les spcimens de roches et de fossiles qu'il rassembla d'un bout

    l'autre du pays, Smith dessina la premire carte de la surface gologique de l'Angleterre. Par ailleurs,

    se basant sur des spcimens rocheux en sa possession, il baucha des cartes des sous-sols gologiques

    de certaines rgions, contribuant ainsi significativement l'avance de la gologie moderne et la dter-

    mination du cadre temporel gologique de la terre. Grce ses cartes, la nature et les contenus (sutures

    de fer, charbon, etc.) des strates juste en dessous de la surface purent tre connus, mme si les rochestaient couvertes de vgtation.

    Les fossiles jourent un rle vital dans l'acquisition de toutes ses informations. Le cadre temporel

    gologique depuis la priode prcambrienne jusqu' la priode quaternaire fut bauch d'aprs les don-

    nes rassembles dans les gisements de fossiles, et est encore utilis aujourd'hui. Les sondages de struc-

    tures rocheuses permirent d'identifier les tapes subies par la terre diffrentes priodes. Les fossiles

    l'intrieur des roches fournirent des informations sur les organismes ayant vcu diffrents moments.

    La combinaison de ces deux lments mena la production d'une chronologie, selon laquelle l'histoire

    de la terre est divise en deux ons, chaque on tant subdivis en res et chaque re en priode.

    Priodedujurassique

    (Ilya208146millionsd'annes) MESOZOIQUE

    PRECAMBRIEN

    (Il y 4,6 milliards 543

    millions d'annes)

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    30 L'atlas de la cration

    1.L'on prcambrien (il y a 4,6 milliards 543 millions d'annes)

    Le prcambrien est considr comme la plus ancienne et galement la plus longue priode de l'his-

    toire terrestre et elle est subdivise en plusieurs ons et res. La priode entre 4,6 et 3,8 milliards d'an-

    nes est appele on haden. La crote de la terre tait alors encore en formation. L'on archen s'ten-

    dait de 3,8 2,5 milliards d'annes, suivie de l'on protrozoque entre 2,5 milliards et 543 millions d'an-nes. De nombreuses traces d'organismes uni et multicellulaires de ces priodes sont disponibles dans

    les fossiles.

    2.L'on phanrozoque (543 millions d'annes aujourd'hui)

    Phanrozoque signifie "vie visible ou connue". L'on phanrozoque est tudi sous trois res : le

    palozoque, le msozoque et le cnozoque.

    2A. L're palozoque (543 251 millions d'annes)

    Cette re qui dura quelques 300 millions d'annes est la premire et la plus longue partie de l'on

    phanrozoque. Au cours du palozoque, le climat tait gnralement humide et tempr, bien que des

    ges de glace eurent lieu de temps en temps.

    L're palozoque se divise en six priodes distinctes : le cambrien, l'ordovicien, le silurien, le dvo-

    nien, le carbonifre et le permien.

    Les collines d'Ediacara en Australie contiennent des roches

    de l'on prcambrien. Les fossiles de mduse vieux de 570

    543 millions d'annes reprsents ici ont t trouvs

    Ediacara. Ces fossiles remontant des centaines de millions

    d'annes nient l'affirmation du "processus volutionniste".

    Selon les affirmations non scientifiques des volutionnistes :

    1 Les archives fossiles devraient contenir de nombreuses

    formes de transition.2 La transition affiche dans ces archives devrait tre lente

    et graduelle, et devrait montrer un dveloppement du simple

    vers le complexe.

    3 Aprs que la premire cellule imaginaire a volu, de

    nouvelles espces auraient d apparatre.

    On devrait donc voir les traces de ces espces dans les fos-

    siles. Cependant, les archives fossiles n'ont jamais vrifi les

    affirmations des volutionnistes. Les fossiles ont rvl cer-

    tains faits : avec leurs structures particulires, les tres

    vivants ont des qualits distinctes. Ces qualits n'ont pas t

    acquises au fil du temps, et il n'existe aucune connexion

    volutionniste parmi les groupes d'organismes vivants de nos

    jours. C'est l'une des preuves les plus importantes rvlant

    que tous les tres vivants ont t crs sans dfaut par Dieu,avec toutes leurs caractristiques.

    Des roches de la priode du prcam-

    brien, au Groenland (4,6 milliards

    543 millions d'annes)

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    31Adnan Oktar

    La priode cambrienne (543 490 millions d'annes)

    Cette priode est une phase gologique durant laquelle tous les groupes vivants basiques (ou phyla)

    encore en vie aujourd'hui, et davantage de ceux qui s'teignirent plus tard, apparurent spontanment.

    (Le phylum est la plus grande catgorie aprs le rgne dans la classification des tres vivants. Les phyla

    sont dtermins sur la base du nombre et de la varit des organes et des tissus des tres vivants, leursymtrie corporelle et leur organisation interne. Le nombre de phyla d'aujourd'hui est de 35, mais envi-

    ron 50 existaient pendant la priode cambrienne.)

    L'mergence d'espces fut si soudaine et d'une telle varit que les scientifiques donnrent le nom

    de "explosion cambrienne". Le palontologue volutionniste Stephen Jay Gould dcrit le phnomne

    comme "l'vnement le plus remarquable et le plus troublant de l'histoire de la vie", tandis que le zoo-

    logiste volutionniste Thomas S. Ray crit que l'origine de la vie multicellulaire est un vnement l'im-

    portance comparable l'origine de la vie elle-mme.

    Si l'on considre l'information propos de l'explosion cambrienne fournie par la palontologie, elle

    confirme clairement la cration de Dieu et rfute la thorie de l'volution. L'poque prcambrienne

    avant le cambrien tait peuple principalement d'organismes unicellulaires, avec quelques formes de vie

    multicellulaires aux caractristiques simples et non dotes de structures complexes telles que des yeux

    ou des pattes. Par consquent, aucune preuve n'appuie la transition volutionniste vers les formes de vie

    cambriennes, et on ne peut dire d'aucun fossile qu'il reprsente ses prtendus prcurseurs. Dans cet

    environnement strile, habit par des organismes unicellulaires, une tonnante varit d'tres dots de

    caractristiques complexes naquit spontanment. De cette explosion mergrent des formes de vie dis-

    tinctes les unes des autres avec des caractristiques structurelles propres. Les fossiles rvlent de pro-fondes diffrences en terme de parent et de complexit entre les organismes vivant dans le prcambrien

    Harun Yahya

    Un dessin des cratures de la priode du cambrien

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    32 L'atlas de la cration

    et ceux vivant dans le cambrien. Les diffrences sont si frappantes que les

    volutionnistes, qui se doivent de prouver une continuit entre les groupes

    vivants, sont incapables d'tablir des relations familiales entre ces phyla,

    mme sur un plan purement thorique.

    La priode cambrienne montre ds le dbut que des formes de vie trs

    varies dotes de structures excessivement complexes mergrent spontan-ment, et c'est prcisment ce que nous enseigne la cration. Ces systmes

    parfaits sont tout simplement le rsultat de l'uvre de Dieu. Les fossiles dis-

    ponibles aujourd'hui ne portent pas la moindre trace de dfaillance. Ils ne

    semblent en aucun cas tre imparfaits, des stades de semi-finition ni

    dnus de fonctions comme le prdisait la thorie de l'volution.

    La priode ordovicienne (490 443 millions d'annes)

    A cette poque, vivaient de nombreux invertbrs marins. Les fossiles

    dcouverts rvlrent une grande richesse des familles de cratures marines

    au cours de la priode ordovicienne. A la mme priode existaient galementdes fossiles de plantes terrestres. Les changements climatiques du globe pro-

    voqus par les ges de glace conduisirent l'extinction de nombreuses

    espces. Ce passage est dsign sous le nom "d'extinctions ordoviciennes".

    Certaines formes de vie existant durant la priode ordovicienne existent

    encore aujourd'hui, comme par exemple la limule. Un fossile de limule

    montre que ces cratures avaient exactement les mmes caractristiques que

    celles d'aujourd'hui. La plus ancienne araigne d'eau fossilise appartient

    galement la priode ordo-

    vicienne (425 millions d'an-

    nes). Elle est un autre exemple de l'immuabilit des

    cratures depuis prs d'un demi milliard d'annes. Sur

    une priode durant laquelle les cratures auraient d

    subir une volution, selon le scnario darwiniste, les fos-

    siles montrent qu'il n'en fut rien et que l'volution ne

    s'est jamais produite.

    Une limule vieille de 450

    millions d'annes, en

    aucun cas diffrente deslimules de notre poque

    Ces roches de Terre-Neuve montrent la transition

    du cambrien l'ordovicien.

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    33Adnan Oktar

    La priode silurienne (443 417 millions d'annes)

    Avec la hausse des tempratures, les glaciers fondirent et inondrent certains continents. Il existe de

    nombreux fossiles de plantes terrestres datant de cette poque, ainsi que des chinodermes fossiliss tels

    que les lys de mer, des arthropodes tels que les scorpions de mer et des espces diverses de poissons sans

    mchoires et de poissons dots d'armure, ainsi qu'un nombre d'espces d'araignes.

    La priode dvonienne (417 354 millions d'annes)

    D'innombrables fossiles de poissons

    datent de cette priode. Au cours du dvo-

    nien, une sorte de "disparition de masse" eut

    lieu provoquant l'extinction de certainesespces. Cette disparition affecta les rcifs de

    corail, avec l'extinction totale des stromatopo-

    rodes (une forme de corail formant les rcifs).

    Mais il n'y a aucune diffrence entre les

    milliers de fossiles de poisson du dvonien et

    de nombreuses espces de poissons d'aujour-

    d'hui. C'est une nouvelle preuve que les tres

    vivants sont identiques depuis des millions

    d'annes et qu'il n'est absolument pas ques-

    tion d'volution graduelle.

    Harun Yahya

    Un dessin des cratures de la priode de l'ordovicien

    Un crinode de la priode du silurien

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    34 L'atlas de la cration

    La priode carbonifre (354 290 millions d'annes)

    Egalement connue sous le nom d'poque du charbon, cette priode est subdivise en deux : le car-

    bonifre infrieur ou mississippien et le carbonifre suprieur ou le pennsylvanien. La monte et la des-

    cente de la terre, suite aux collisions entre les continents et les hausses et les baisses des niveaux de mers

    lies aux calottes glacires faonnrent significativement le monde durant cette priode. Le clacanthe,longtemps considr par les darwinistes comme une forme intermdiaire, existe encore aujourd'hui,

    invalidant par l mme l'affirmation des volutionnistes. Au cours de millions d'annes, il n'a absolu-

    ment pas chang et n'est pas pass par un processus d'volution. Non seulement le clacanthe n'est pas

    un "lien manquant" comme l'affirment les darwinistes, mais en plus il est un exemple de "fossile vivant"

    rfutant totalement l'volution. Le clacanthe fut l'objet de nombreuses spculations de la part des vo-

    lutionnistes, or son mergence en tant que fossile vivant reprsente un dilemme majeur pour les volu-

    tionnistes.

    La priode permienne (290 248 millions d'annes)

    A la fin du permien, une autre disparition de masse eut lieu, mettant un terme l're palozoque.

    Les archives fossiles montrent que suite cette immense disparition, 90 95% des espces vivantes

    s'teignirent. Nanmoins, certaines formes de vie permiennes survcurent jusqu' ce jour. Des spcimens

    de fossiles datant du permien tels que des libellules et des araignes prouvent que l'volution n'eut pas

    lieu.

    Un fossile de clacanthe vieux

    de 410 millions danns

    Un fossile d'araigne

    vieux de 355 295

    millions dannes

    Un clacanthe de notre poque

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    35Adnan Oktar

    2B. L're msozoque (248 65 millions d'annes)

    Le msozoque se divise en trois priodes : le triasique, le jurassique et le crtac. C'est sous cette re

    que les dinosaures vcurent et disparurent.

    La priode triasique (248 208milions d'annes)

    Le msozoque commena avec le tria-

    sique. Les fossiles du triasique du monde

    entier montrent une grande varit dans les

    formes de vie la fois marine et terrestre.

    Comme pour les autres priodes, aucun fossi-

    le n'est un fossile intermdiaire selon les sou-

    haits des volutionnistes.

    Harun Yahya

    A droite : la Fort

    Ptrifie en Arizona

    compose d'arbres

    fossiliss, opaliss

    est une des structures

    les plus clbres de

    plantes de la priode

    du triasique. Cette

    fort, compose

    d'arbres maintenant

    connus comme

    l'araucaria chilien est

    la preuve que les

    plantes n'ont pas

    volu. Ces arbres,

    qui vivaient il y a

    248 208 millions

    d'annes, ne sont pas

    diffrents de ceux

    vivant aujourd'hui.

    Des scientifiques travaillant sur des fossiles

    de la priode du triasique

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    36 L'atlas de la cration

    La priode jurassique (208 146 millions

    d'annes)

    Un grand nombre et une grande varit de

    dinosaures vcurent durant cette priode. A la fin

    du jurassique, des ammonites, des ponges de mer,des hutres et des espces de moules s'teignirent.

    Toutefois de nombreux tres vivants survcu-

    rent jusqu' aujourd'hui, sans subir la moindre

    forme d'volution. L'un des plus anciens fossiles de

    crocodiles remonte 200 millions d'annes. Furent

    galement dcouverts des fossiles de lzards

    Tuatara de plus de 200 millions d'annes. Les fos-

    siles de crevettes datant du jurassique prsentent

    les mmes caractristiques complexes et parfaites

    que celles d'aujourd'hui.

    Un fossile de libellule, vieux de 150 millions d'an-nes. Il est identique aux libellules de notre poque.

    Un fossile de crevette vieux de 208

    146 millions d'annes. Il n'est pas diff-

    rent des crevettes vivant aujourd'hui.

    Un lzard de tua-

    tara vieux de 200

    millions d'an-

    nes, et le mme

    lzard vivant de

    nos jours

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    39/267

    37Adnan Oktar

    La priode crtace (146 65 millions

    d'annes)

    La dernire tape du msozoque est celle de la dis-

    parition des dinosaures, et de beaucoup de reptiles ter-

    restres et de vgtaux.En revanche, de nombreuses espces d'animaux

    aquatiques comme les toiles de mer, les crabes, cer-

    tains poissons, les scorpions d'eau, les araignes, les

    libellules, les tortues, les crocodiles et des plantes

    varies parvinrent survivre jusqu' nos jours. Des fos-

    siles d'toile de mer de 135 millions d'annes, des

    limules de 140 millions d'annes, et une feuille de gink-

    go de 125 millions d'annes furent dcouverts. En dpit

    de la traverse de millions d'annes, ces tres vivants

    possdent aujourd'hui encore les mmes systmes

    complexes, invalidant par consquent la thorie darwi-niste sur l'histoire naturelle.

    2C. L're cnozoque (65 millions d'annes

    aujourd'hui)

    Le cnozoque, dans lequel nous vivons encore, commena avec la fin du crtac. Jusqu' rcem-

    ment, les gologues et les palontologues divisaient le cnozoque en deux priodes d'ingale dure : le

    tertiaire et le quaternaire. Le tertiaire s'tendait de 65 millions 1,8 million d'annes et le quaternaire

    comprenait les derniers 1,8 million d'annes. Cependant, depuis peu, le cnozoque est dsormais divi-

    s en trois priodes : le palogne, le nogne et le quaternaire.

    Les archives fossiles du cnozoque contiennent un grand nombre de spcimens montrant, comme

    pour les autres poques, que la thorie de l'volution affirmant la descendance fortuite des tres

    vivants partir d'un anctre commun ne tient pas debout.

    La caractristique des spcimens des fossiles est que justement ils ne subirent aucun changement.

    C'est--dire qu'entre le moment o le fossile apparat jusqu'au moment o il disparat ou il perdure, il

    prserve exactement la mme structure au cours de dizaines de millions d'annes.

    L'histoire des espces des fossiles rfute clairement et indniablement la thorie de l'volution. C'est

    Dieu Tout-Puissant, de par Son pouvoir sublime et Son infinie science qui cre partir de rien des

    espces vivantes compltement dif-

    frentes et qui rend le monde viable.

    O la plupart des

    fossiles reposent-ils ?

    Les fossiles sont disperss par-

    tout sur terre. Selon leur type, les

    roches sont riches ou pauvres en

    fossile. Les gologues rpartissent

    les roches en trois catgories :

    1. Magmatique

    2. Sdimentaire

    3. Mtamorphique

    Harun Yahya

    Ce crocodile vieux de 54 37 millions

    d'annes a t dcouvert en Allemagne.

    Un poisson g de 146 65 millions d'annes, et

    un fossile de chauve-souris dcouvert en France

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

    40/267

    38 L'atlas de la cration

    La catgorie magmatique comprend

    le granite et les roches de type basaltique

    formes par le refroidissement du

    magma prsent dans les profondeurs de

    la terre ou du magma mis par les vol-

    cans sous forme de lave en fusion. Lesroches sdimentaires se forment lorsque

    le sable, la vase, la boue et d'autres

    petites particules ou substances portes

    par l'eau se dposent les unes sur les

    autres. Les roches mtamorphiques sont

    des roches magmatiques ou sdimen-

    taires ayant subi des changements struc-

    turels sous l'action de hautes tempra-

    tures et de la pression dans les profon-

    deurs de la terre.

    On trouve peu de fossiles dans les

    couches magmatiques. Les rares

    exemples sont des fossiles d'animaux ou de plantes pris au pige dans la lave en fusion. Peu de fossiles

    survivent aux tempratures et pressions leves qui transforment les strates sdimentaires en roche

    mtamorphiques. Pratiquement tous les fossiles sont dcouverts dans les couches ou les dpts sdi-

    mentaires.

    Pratiquement toutes les roches sdimentaires sont formes par des sub-

    stances vhicules par le vent, l'eau ou l'rosion d'autres roches. Certaines

    formes, comme le charbon, sont faites de vestiges de vgtaux ou d'animaux.

    La roche sdimentaire forme de particules et de grains infimes est qualifie de

    clastique. Le grs et le schiste en sont deux exemples. S'il y a eu dissolutiondans les substances transportes, alors sous l'action d'une solution chimique

    ou de vaporisation, des lits sdimentaires "organiques" se forment. Le calcaire

    et la dolomite sont des exemples de telles roches. En gnral, les strates de

    roches sdimentaires sont un mlange de couches clastiques et organiques. Les

    fossiles se trouvent habituellement dans les schistes, les grs et les calcaires

    forms par le carbonate de calcium.

    Comment trouve-t-on des fossiles et comment les

    extrait-on ?

    Les outils utiliss pour chercher des fossiles sont simples : des marteaux,des truelles, des boussoles, divers instruments de coupe, des brosses et des tamis.

    Les fossiles apparaissent parfois la surface lorsque la roche molle autour d'eux

    s'rode. Dans ce cas-l, il suffit de nettoyer les fossiles avec une brosse. Toutefois,

    la collecte de fossiles n'est pas toujours aussi simple. Les roches dans les-

    quels ils sont enfouis sont gnralement trs dures, et cela

    peut prendre des heures d'extraire un fossile de sa

    matrice rocheuse. Il est d'abord important de dter-

    miner le point de frappe pour briser la roche. Les

    lignes de fracture sont identifies l'aide du lit

    rocheux lui-mme. Chaque type de roche est bris d'une

    manire diffrente. Les schistes ont par exemple des

    L'ge des roches est dtermin par

    les recherches faites sur la dsin-

    tgration atomique de minraux

    radioactifs.

    Les roches les plus anciennes au monde se trouvent au

    Groenland, elles sont vieilles de 3,9 3,8 milliards d'annes.

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    39Adnan Oktar

    Harun Yahya

    couches travers lesquelles il est possible

    d'tablir des lignes de fracture. Tandis que la

    craie n'offre pas de telles couches. En mme

    temps, il est trs important de surveiller les

    indices comme les changements de couleur

    ou les diffrences structurelles, si on ne sou-

    haite pas endommager les fossiles qui sont l'in-

    trieur.

    Aprs son extraction de la roche, le fossile subit plusieurs

    procds. Il doit tre protg et renforc pendant son transport vers le laboratoi-

    re o il sera examin. L'une des mthodes employes est la stabilisation du fos-

    sile avec des adhsifs chimiques. Des moulages en pltre sont utiliss pour les

    trs grands fossiles. Les parties du fossile exposes des risques durant le trans-

    port sont enveloppes dans du

    papier journal humidifi et

    ensuite plonges dans le pltre.

    Le fossile doit ensuite tre

    nettoy afin de rendre visible

    tous ses dtails. Si le fossile s'av-

    re plus dur que la roche le cernant,

    alors le processus de nettoyage est

    beaucoup plus facile. En revanche, dans le cas o le

    fossile serait de matire plus tendre, il faut recourir

    des substances chimiques. L'une des mthodes les plus

    communment utilises est le lavage de la matrice

    l'acide. Cela permet de faire ressortir tous les dtails du

    fossile. Parfois, lorsque le fossile est trs fragile et quesa structure est identique celle de la roche l'entourant,

    on utilise des rayons X et des scanners pour dterminer

    la structure du fossile avant son extraction.

    Au cours du transport,certains fossiles doi-

    vent tre protgs. La

    photo montre com-

    ment un fossile d'os

    est empaquet.

    Collecter des roches et des

    pierres sdimentaires et cas-

    ser soigneusement cellesdont on pense qu'elles ren-

    ferment des fossiles est une

    tape importante pour la col-

    lecte de fossiles.

    LE NETTOYAGE DE FOSSILES PAR L'ACIDE

    Une mthode pour nettoyer les fossiles est d'utiliser de l'acide. C'est une mthode efficace pour nettoyer la roche cal-

    caire entourant un fossile sans l'endommager.

    1. La roche entourant le fossile est plonge dans l'acide appropri jusqu' ce qu'une petite portion du fossile

    apparaisse.

    2. La section mergeant du fossile est nettoye et recouverte d'un matriau rsistant l'acide.

    3. Le fossile est de nouveau plong dans l'acide, et ces oprations se rptent encore

    plusieurs fois.

    4. Le matriau protecteur doit tre appliqu la partie expose du fossile, afin de

    le protger de toute dgradation.

    5. Finalement le fossile est entirement libr de la roche

    l'entourant. Il est compltement nettoy de

    l'acide et de son matriau protec-

    teur.

  • 8/14/2019 L'ATLAS DE LA CREATION - 1 (1)

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    40 L'atlas de la cration

    Les fossiles rvlent une vrit propos des tres vivants :

    la cration