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L’ART ENGAGÉ

www.sitelecorbusier.com

RESSOURCES PÉDAGOGIQUES

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Introduction

Les formes d’engagement

L’engagement politique L’engagement social L’engagement religieux

En Europe au XXe siècle Les conflits armés La condition ouvrière Le capitalisme et la société de consommation Aujourd’hui

Le Corbusier Alfred Manessier

Bibliographie / Webographie

SOMMAIRE

More production, affiche américaine, 1942.

Barbara Kruger, “Untitled (Half Life)”, 2015.

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UNE DÉFINITION

Le terme d’art engagé est très large et change selon les époques et selon notre définition de l’engagement. Il peut également englober nombre de formes artistiques : littérature, cinéma, théâtre, architecture, arts plastiques, arts appliqués, etc.

Il désignera ici la forme d’arts plastiques dont le but n’est pas uniquement la recherche du Beau, mais qui cherche aussi à faire passer un message, à donner du sens, à dénoncer ou à soutenir. Ce but est assumé et souvent revendiqué par l’artiste.

INTRODUCTION

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Is this tomorrow, affiche américaine anti-communiste, 1947.

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L’engagement politique est présent très tôt dans l’histoire de l’art. Il peut être favorable voire commandé par le pouvoir en place et souvent assimilé à de la propagande.

«Vive le grand étendard invincible de Marx, Engels, Lénine et Staline» Affiche de propagande soviétique, A. Kossov, 1953.

Puis, tout au long de l’Histoire et de manière particulièrement accrue avec le développement des moyens de diffusion (imprimerie, médias de masse) des personnages politiques, notament des dirigeants de régimes totalitaires, vont utiliser l’art pour faire passer leurs idéologies.

Tellus (allégorie de la déesse-mère), Musée de l’Ara Pacis.

Ainsi, dès l’Antiquité gréco-romaine, les puissants se servent de l’art pour asseoir leur pouvoir, leur légitimité et leur postérité, et mettre en valeur leurs actions et victoires.

On peut citer en exemple l’Ara Pacis ou Autel de la Paix, construit sous l’empereur Auguste entre 13 et 9 av. JC. Ce monument symbolise la paix retrouvée, grâce à lui, après les horreurs des guerres civiles de la République romaine.

Gargantua, caricature de Louis-Philippe, Honoré Daumier, 1831.

LES FORMES D’ENGAGEMENT

Au XIXe siècle, Honoré Daumier (1808-1879), artiste républicain, s’engage avec ferveur contre la monarchie de Louis-Philippe. De cette opposition résulteront de nombreuses gravures représentant le monarque caricaturé avec une tête en forme de poire.

L’une des plus célèbres, intitulée Gargantua, représente le roi énorme et vorace, avalant des grandes quantités d’impôts, appauvrissant et affamant ainsi son peuple. Cette caricature vaut à son auteur six mois de prison.

À l’inverse, l’artiste engagé peut utiliser son art pour contester le système politique dominant de son temps, dénoncer une idéologie ou valoriser un mouvement politique minoritaire. On parle alors d’art militant, résistant, contestataire ou encore révolutionnaire.

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CONTESTATION ET RÉSISTANCE

L’ENGAGEMENT POLITIQUE

LA PROPAGANDE DU POUVOIR EN PLACE

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L’ENGAGEMENT RELIGIEUXDepuis que l’art existe, les croyances et la foi y tiennent une place prédominante. Pendant des siècles en Occident, il est évident que seul le divin est digne d’être œuvre d’art et c’est par l’art que se transmet la catéchèse. Tout au long de l’histoire, les artistes se sont mis au service de l’Église pour honorer Dieu et la puissance de la foi.

CoeXisT, Combo, Évry, 2015.

Aux XXe et XXIe siècles, si la propagande religieuse est encore très présente dans certains pays où il existe une religion d’État, en Europe elle est moins une affaire institutionnelle qu’un acte personnel.

Les artistes s’appuient sur leur foi pour appeler à la paix, à la solidarité ou au devoir de mémoire.

Ainsi, l’artiste Combo invite à la paix religieuse dans son oeuvre de street art intitulée CoeXisT qui mêle les symboles des trois religions monothéistes.

La vraie religion du Christ et la fausse doctrine de l’Antéchrist, Lucas Cranach Le Jeune, 1545.

Au XVIe siècle, la Réforme protestante combat l’Église catholique alors toute-puissante et s’en prend violemment au Pape et aux prélats du Vatican, notamment à travers des caricatures. Ainsi, chez Cranach Le Jeune, artiste proche de Luther, la doctrine protestante est représentée à travers le Christ chassant les marchands du Temple, alors que le Pape s’enrichit en vendant des indulgences. Très vite, le pouvoir religieux réplique et lance de nombreuses commandes artistiques réaffirmant la suprématie de la foi catholique : c’est la Contre-Réforme.

L’ENGAGEMENT SOCIALSe rapprochant parfois de l’engagement politique, l’art engagé social tend à mettre en lumière et parfois dénoncer des faits, ou un ordre social, considérés comme violents et persécuteurs envers une partie d’une population. Chaque époque connaît ses causes marquantes.

Grève au Creusot, Jules Adler, 1899.

Au XIXe siècle, suite aux Révolutions Industrielles, de nombreux artistes attirent l’attention sur les conditions de vie et de travail des ouvriers et des familles de travailleurs, à l’image de Jules Adler, surnommé le « peintre des humbles ».

Ce qui sert à vos plaisirs est mouillé de nos larmes, Moreau Le Jeune, 1772, (détail).

Au XVIIIe siècle, porté en grande partie par l’esprit des Lumières, émerge un élan abolitionniste qui prône la liberté pour tous les êtres humains. Certains artistes dénoncent alors les conditions de travail des esclaves dans les colonies. Cet engagement fait l’objet de nombreuses peintures et gravures.

Cette tendance se poursuit dans la première moitié du XXe siècle, où l’engagement de certains artistes mêle social et politique à travers leurs témoignages et parfois leur soutien aux combats sociaux et syndicaux.

La guerre et la paix, décors de la chapelle du musée de

Vallauris, Picasso © Succession Picasso 2020

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Au XIXe siècle, représenter en peinture des scènes de travail est déjà une certaine forme d’engagement, tant ce sujet est rejeté des milieux artistiques. Au XXe siècle, l’engagement social d’artistes, souvent politisés à gauche, a laissé beaucoup d’œuvres sur ces thèmes. Certains redonnent une noblesse aux travailleurs, tandis que d’autres dénoncent leurs conditions de vie et soutiennent les mouvements contestataires.

Les Constructeurs, état final 1950, Fernand Léger.

L’œuvre de Fernand Léger représente les ouvriers de la Reconstruction, symbolisant le renouveau de la France. Devenu membre du Parti Communiste à la fin de la guerre, l’artiste affiche ici sa volonté de rendre hommage aux travailleurs : les ouvriers se tiennent droits malgré le labeur, montrant toute la dignité de leur tâche.

> LA CONDITION OUVRIÈRE

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> LE CAPITALISME ET LA SOCIÉTÉ DE CONSOMMATION

La période des Trente Glorieuses voit apparaître le développement de la société de consommation et de l’image. Les dérives de ce système de surproduction et de surconsommation vont ainsi être décrits et dénoncés par de nombreux artistes et mouvements, mettant en avant le rêve chimérique du bonheur par la consommation.

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Les bouleversements de l’art aux XIXe et XXe siècles ont complètement libéré l’artiste de la commande, donnant plus d’envergure à l’art engagé sous toutes ses formes. Quand certains artistes se saisissent de causes ou d’évènements de manière ponctuelle, d’autres y consacrent leur carrière et se revendiquent artistes engagés.

> LES CONFLITS ARMÉS ET LES RÉGIMES TOTALITAIRES

Les différents conflits qui agitent l’Europe de 1870 jusqu’à la Seconde Guerre mondiale et la montée des idéologies totalitaires ont influencé de très nombreux artistes. Quels que soient les courants artistiques, l’antimilitarisme et les dénonciations des violences des combats sont présents dans de nombreuses œuvres de cette période.

À partir des années 1950, l’impact de la Seconde Guerre mondiale, les violences des régimes fascistes européens et l’horreur de l’Holocauste marquent durablement les sociétés et bien évidemment les artistes. La production artistique des décennies d’après-guerre se saisit massivement de ces sujets pour raconter les atrocités de la guerre, contester les régimes de dictatures, et parfois faire œuvre de mémoire.

Les quatre dictateurs éventrés, E. Arroyo, 1963.

Cette œuvre de l’artiste espagnol Eduardo Arroyo est présentée en 1963 à la Biennale de Paris, où l’artiste est alors exilé. Hitler, Mussolini, Franco

et Salazar y sont représentés par les symboles de leur pouvoir et les exactions qu’ils ont commises. Les quatre dictateurs ne

sont pas nommés mais sont tout de suite reconnaissables ; le gouvernement de Franco tente alors de faire censurer l’œuvre

et les drapeaux en arrière-plan permettant de reconnaître les pays sont supprimés.

UNE DÉMARCHE PERSONNELLE

EN EUROPE AU XXE SIÈCLE

© Vincent Dierirkx (détail).

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Œuvre de street art par RNST, rue Gambetta à Roche-la-Molière (42).

La présence de l’art engagé s’est perpétuée jusqu’à nos jours et les artistes contemporains, grâce à leur liberté de création et à la multitude des formes d’art, peuvent laisser libre cours à leur engagement.

C’est le cas du street art, qui à ses débuts dans la deuxième moitié du XXe siècle défie l’interdiction d’utiliser l’espace public pour créer, sans autorisation ou commande. Une partie du street art est aujourd’hui institutionnalisée et est même entrée dans le marché de l’art, cependant il reste considéré comme un art très engagé.

LA VILLE COMME TERRAIN D’EXPRESSION

AUJOURD’HUI Black machine, Nevercrew, Turin, 2015.

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LE CORBUSIER, ARTISTE ENGAGÉ ?

« Il ne s’était battu ni pour la peinture, ni pour la sculpture, ni pour la poésie : il ne s’est battu que pour l’architecture. Avec une véhémence qu’il n’éprouva pour rien d’autre, parce que l’architecture rejoignait son espoir confus et passionné de ce qui peut être fait pour l’homme. »

André Malraux, Oraison funèbre à Le Corbusier, 1965.

Le Corbusier n’a jamais été engagé politiquement. Mais pour lui, l’architecture doit avant tout servir l’homme et l’architecte s’indigne très tôt des conditions de vie des plus pauvres, notamment dans les grandes villes et particulièrement à Paris. Ainsi, en 1934, il écrit au Préfet de la Seine afin de l’alerter sur l’insalubrité du logement de ses voisins :

« C’est par esprit de devoir et de solidarité que je me sens obligé de vous faire part aujourd’hui de l’émouvant fait divers suivant.

J’habite rue Jacob, et j’ai appris ce matin qu’au numéro 14 où se trouve un bougnat, la femme du marchand est morte cette nuit de tuberculose. C’est Mme L. En 1932, sont morts de tuberculose, dans la même boutique, M. B. et sa femme. En 1930, est mort de tuberculose, dans la même boutique, M. R. En 1927, les deux tenanciers, homme et femme, dont on n’a pu me donner les noms sont morts également de tuberculose. Mon enquête n’a pas pu remonter plus haut. Les quatre couples sus-nommés sont tous de solides auvergnats venus directement de leur campagne. Il a suffi à chacun de deux années pour mourir à trente ans. Personne évidemment ne songe à vous avertir de cela, le propriétaire surtout, qui loue impassiblement sa boutique après chaque décès.

Demain, un nouveau couple va arriver d’Auvergne et mourra en 1936, bien entendu. Je me suis permis, Monsieur le Préfet , de penser que ce petit fait divers, assez émouvant en soi, rentre dans les compétences de vos services. [...] »

Son engagement pour un logement décent pour tous est présent dès la construction à Pessac en 1926 de la Cité Frugès, quartier de logement ouvrier, et s’affirmera avec celle des cinq Unités d’Habitation entre 1952 et 1965, toutes construites à l’origine comme logements sociaux.

Cité Frugès, Pessac, 1926 © FLC/ADAGP

QUELQUES GRANDS NOMS

DU DESIGN

QUELQUES GRANDS NOMS

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Offrande de la Terre II ou l’Hommage à Teilhard de Chardin, 1961 - 1962. Reproduction d’un appartement de la Cité Radieuse de Marseille, Cité de l’Architecture à Paris.

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ALFRED MANESSIER ET L’ENGAGEMENT

Alfred Manessier (1911-1993) est un artiste français, peintre, dessinateur et graphiste. Il est notamment considéré comme l’un des maîtres de l’École de Paris, nom donné à un ensemble d’artistes français et étrangers immigrés, qui ont marqué l’histoire de l’art et les avant-gardes et qui ont placé la capitale au centre de leur création artistique tout au long du XXe siècle.

Après des études aux Beaux-Arts d’Amiens, il s’oriente vers l’architecture aux Beaux-Arts de Paris, tout en continuant toujours ses créations picturales. Il finit toutefois par abandonner l’architecture pour se consacrer uniquement à la création artistique : d’abord la peinture, puis des tapisseries, des vitraux, etc. Ses premières toiles exposées s’inspirent des paysages dans un style proche du cubisme et du surréalisme. Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, son art se tourne définitivement vers le non-figuratif.

Alfred Manessier présente dans nombre de ses peintures et dessins une forme d’engagement. Au-delà de ses recherches sur l’abstraction, les couleurs, la lumière et l’inspiration de la nature et des paysages, il est également inspiré par des évènements ou causes politiques, ainsi que par sa foi et sa spiritualité.

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Portrait d’Alfred Manessier, 1949.

QUELQUES GRANDS NOMS

DU DESIGN

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Bien que non politisé, l’art de Manessier est fortement marqué par les évènements politiques et sociétaux de son temps, qu’il dépeint et parfois dénonce.

Ainsi dès 1938, l’un de ses plus célèbres dessins porte un titre sans équivoque : À bas Hitler, étude pour le dernier cheval.

Pendant l’Occupation, Manessier participe à l’exposition « Vingt jeunes peintres de tradition française » à la galerie Braun à Paris. Les œuvres présentées appartiennent à ce que l’idéologie nazie appelle « l’art dégénéré », notamment l’abstraction complètement rejetée par les canons de beauté nazis.

SON ENGAGEMENT POLITIQUE

« La richesse même de l’École de Paris, c’était l’accueil d’étrangers, l’apport international qui avait existé bien avant nous. La tradition française, pour nous, c’était cet accueil. […] Ce titre voulait signifier que pour nous, la tradition française, c’était cette esthétique rejetée par le nazisme. Nous étions très conscients que nous luttions contre ces interdits qui sévissaient en Allemagne. Nous avions conscience de faire partie d’une résistance intellectuelle. »

Alfred Manessier, entretien, dans Histoire de l’art, 1940-1944 de Laurence Bertrand Dorléac, Publications de la Sorbonne, Paris, 1986, p. 397.

Par la suite, de nombreuses toiles de Manessier marquent son engagement selon les évènements qui le touchent : l’assassinat de Martin Luther King, la peine de mort, les otages au Liban...

À bas Hitler, étude pour le dernier cheval, A. Manessier, 1938.

SON ENGAGEMENT RELIGIEUX

La foi chrétienne d’Alfred Manessier marque fortement son œuvre picturale, sans pour autant faire de lui un artiste religieux. Ses nombreuses toiles religieuses, parfois sombres et torturées, d’autres fois joyeuses, s’inspirent des thèmes bibliques ou marquent les temps de la vie liturgique.

Certaines de ses œuvres rendent hommage à de grands personnages chrétiens du XXe siècle, connus pour leurs combats sociaux et politiques, mêlant ici les différents sens de son engagement. On peut notamment citer Pierre Teilhard de Chardin, prêtre jésuite et scientifique qui a cherché à réconcilier foi chrétienne et science et a été sanctionné par l’Église pour ses propos, ou encore Dom Helder Camara, prêtre connu pour son engagement envers les populations les plus pauvres.

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WEBOGRAPHIE

L’ART ENGAGÉ

Art militant, art engagé, art de propagande : Un même combat ?Laure Gillot-Assayag, 2016

http://www.implications-philosophiques.org/langage-et-esthetique/implications-esthetiques/art-militant-art-engage-art-de-propagande-un-meme-combat/

MUCEM : collections d’art contestataire https://www.mucem.org/collections/theme-collection/mai-68-et-les-oeuvres-contestataires-

aux-arts-citoyens

L’art de la propagande http://ww2.ac-poitiers.fr/histoire-arts/IMG/pdf/L_art_de_la_propagande.pdf

Conférence sur les arts et lettres abolitionnistes

https://www.canal-u.tv/video/manioc_bibliotheque_numerique_caraibe_amazonie_plateau_des_guyanes/les_arts_et_les_lettres_contre_l_esclavage_le_combat_abolitionniste_par_les_

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Qu’est-ce qu’un artiste engagé ?

http://artsplastiquescollege.unblog.fr/2015/01/12/quest-ce-quun-artiste-engage/

1 minute au musée : Les Constructeurs de Fernand LEGER https://www.lumni.fr/video/les-constructeurs-a-l-aloes-de-leger

Banksyhttp://www.banksy-art.com/

- Alfred Manessier et l’engagement, Jean-François COQUET, Scriptoria, 2019.

- Alfred Manessier, Le tragique et la lumière, Librairie des musées, 2012.

- Manessier, textes et entretiens, Pierre ENCREVÉ, Somogy, 2013. extrait consultable en ligne : https://issuu.com/baranes/docs/manessier_extrait

- Alfred Manessier, Une aventure avec Dieu, Sabine DE LAVERGNE, Siloë, 2003.

- Tours, Favellas et autres œuvres monumentales, Alfred Manessier, Catalogue FIAC 2012, Galerie Aplicat-Prazan.

ALFRED MANESSIER

BIBLIOGRAPHIE

- Art et politique : Pour une redéfinition de l’art engagé, Daniel VANDER GUCHT, Labor, 2004.

- Les formes contemporaines de l’art engagé - De l’art contextuel aux nouvelles pratiques documentaires, Eric VAN ESSCHE, Virginie DEVILLEZ, Jean-Marc LACHAUD, Hans COVA (Collectif), Collection Essais, 2007.

- L’art face à l’Histoire, 50 événements racontés par les artistes, Nicolas MARTIN et Eloi ROUSSEAU, Collection : Références, 2012, à partir de 12 ans.

L’ART ENGAGÉ