Document 1 Schémas de structures cellulaires de ......Cycle each of the 3GP molecules will be...
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Document 1
Schémas de structures cellulaires de microalgues
A : algue unicellulaire B : cyanobactérie
cellule de 10 à 20 µm environ cellule de 5µm environ
Source : Prescott, Harley, Klein, Microbiologie, Ed. De Boeck Université 1995 p 474, 537.
Les thylacoïdes sont les membranes où se déroule la photosynthèse.
Le pyrénoïde est une structure cellulaire interne aux chloroplastes, qui concentre les enzymes responsables de la photosynthèse. Le pyrénoïde est un centre de production de l'amidon : des grains d'amidon viennent s'accoler à l'extérieur du pyrénoïde.
Les phycobilisomes sont des complexes hétéroprotéiques ancrés dans les thylacoïdes. Ils comprennent entre autres les pigments photosynthétiques.
Le carboxysome est un compartiment protéique contenant les enzymes responsables de la photosynthèse.
La cyanophycine constitue une réserve d’azote et de carbone.
Les granules de polyphosphate sont des réserves de phosphates inorganiques quand le milieu est carencé en phosphates.
La vacuole pulsatile intervient dans l’équilibre hydrique de la cellule.
Les vacuoles gazeuses permettent de moduler la flottabilité de la cellule.
membrane plasmique
vacuole pulsatile
amidon
reticulum endoplasmique rugueux
appareil de
Golgi
noyau
mitochondrie
paroi
chloroplaste
flagelle
thylacoïdes
vacuole
pyrénoïde
amidon
chloroplaste
membrane plasmique
glycogène
nucléoïde
paroi
ribosomes
vacuoles gazeuses
phycobilisomes
membrane plasmique
granule de polyphosphate
carboxysome
cyanophycine
thylacoïdes
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Document 2
2.a Schéma de l’ultrastructure du chloroplaste
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Chloroplast.svg
1-membrane externe 2-espace inter-membranaire
3-membrane interne 4-stroma (fluide aqueux)
5-lumière du thylacoïde 6-membrane du thylacoïde
7-granum (thylacoïdes accolés) 8-thylacoïde inter-granaire (lamelle)
9-grain d'amidon 10-ribosome
11-ADN 12-plastoglobule (gouttelette lipidique)
2.b Schéma fonctionnel du chloroplaste
Source : G. Alkan-CART-P. Morin, Biologie Term.D, Ed. F. Nathan, p333
2.c Expérience
Culture après 6 jours
Des algues unicellulaires ont été mises en culture dans un milieu minéral et placées à la lumière. La photographie ci-contre montre la culture obtenue six jours après l’inoculation du milieu.
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Document 3
Structures moléculaires des chlorophylles et spectr e d’absorption
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Chlorophylle
Document 4
Schéma "en Z" de la photosynthèse, transfert acycli que des électrons.
Source : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Photosynthese-cours/image/Z1.gif
PSI et PSII sont les photosystèmes I et II qui contiennent chacun une molécule de chlorophylle comme centre réactionnel.
Les LHC (light harvesting complex) sont des ensembles de pigments et de protéines qui collectent l’énergie lumineuse pour la distribuer aux centres réactionnels des photosystèmes.
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Document 5
5.a Expérience de Jagendorf et Uribe (1966)
A partir d'une suspension de chloroplastes, les chloroplastes sont cassés (par choc osmotique par
exemple) et les thylacoïdes sont isolés par centrifugation (le stroma a été éliminé). L'ensemble de
l'expérience est effectué à l'obscurité.
• 1 - cette suspension est placée dans un milieu acide tamponné à pH 4, • 2 - après quelques minutes, le pH des thylacoïdes s'est équilibré avec celui du milieu, • 3 - on transfère alors les thylacoïdes dans un milieu basique tamponné à pH 8 en présence
d'ADP, de phosphate inorganique (Pi) et de magnésium (Mg2+
).
Résultat : un dosage d'ATP dans le milieu de suspension montre qu'il y a eu synthèse d'ATP.
5.b Mesure de la concentration en protons dans la s uspension de thylacoïdes
Le dispositif de mesure (à gauche) permet l’enregistrement des variations de concentration en protons
dans le milieu de suspension des thylacoïdes lors de transitions obscurité / lumière (à droite).
5.c Thylacoïdes en coloration négative observés en microscopie électronique à transmission
(Cliché : Marcel Signol).
Source : http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/Chloroplaste/chloneg.htm
stroma
ATP synthases
thylacoïde
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Document 6
Transferts d’électrons et de protons au niveau de l a membrane du thylacoïde
Source : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/affiche_image.php3?id_document=2923
Membrane du
thylacoïde
Espace
intrathylacoïdal
Stroma
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Document 7
Cycle de fixation du CO 2 dans la photosynthèse : cycle de Calvin (version simplifiée)
Source : http://svt.ac-dijon.fr/schemassvt/affiche_image.php3?id_document=2880
Document 8
Protocole opératoire de l’extraction des lipides to taux des cellules C. reinhardtii
Un protocole d'extraction a été décrit par Zhu et al. (2002). Il s'agit d'une modification de la méthode d'extraction par voie humide de Bligh et Dyer (1959). Les cellules sont récoltées par centrifugation à 8500 tr/min pendant 5 min et lavées une fois avec de l'eau distillée. Après séchage, les échantillons sont broyés dans un mortier et extraits par un mélange de chloroforme : méthanol (2:1, v/v ). Après agitation mécanique de l'échantillon pendant 5 h et des ultrasons pendant 30 min, les échantillons sont centrifugés à 3000 tr / min pendant 10 min. La phase solide est séparée avec soin en utilisant un papier filtre. La phase solvant est évaporée dans un évaporateur rotatif sous vide à 60°C. La procédure est répétée trois fois jusqu'à ce que la totalité des lipides soit extraite.
Source : http://www.ensaia.inpl-nancy.fr/marie/web/ntic/pages/2009/rapport05.pdf
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Document 9
Séparation des lipides totaux de C. reinhardtii
par chromatographie sur couche mince
Témoins Extrait
lipidique
TAG : Triacylglycerol ;
MGDG : Monogalactosyldiacylglycerol ;
DGDG : Digalactosyldiacylglycerol ;
PG : Phosphatidylglycerol ;
PE : Phosphatidylethanolamine;
PC : Phosphatidylcholine.
TAG
MGDG
DGDG
PG
PE
PC
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Document 10
Réactifs révélateur Classement SGH
(Sécurité)
Chlorure de manganèse et
méthanol en milieu
sulfurique SGH 02 SGH 05 SGH 06 SGH 07 SGH 08
Document 11
Danger Physique
Pictogramme Danger
SGH 01
Produits explosifs
Ces produits peuvent exploser au contact d’une flamme, d’une étincelle,
d’électricité statique, sous l’effet de la chaleur, d’un choc, de frottements, …
SGH 02
Produits inflammables
Ces produits peuvent s’enflammer, suivant le cas :
- au contact d’une flamme, d’une étincelle, d’électricité statique, … ;
- sous l’effet de la chaleur, de frottements, … ;
- au contact de l’air ;
- au contact de l’eau, s’ils dégagent des gaz inflammables (certains gaz
s’enflamment spontanément, d’autres au contact d’une source d’énergie :
flamme, étincelle, …).
SGH 03
Produits comburants
Ces produits peuvent provoquer ou aggraver un incendie, ou même
provoquer une explosion s’ils sont en présence de produits inflammables.
SGH 04
Gaz comprimés
Ces produits sont des gaz sous pression contenus dans un récipient. Certains
peuvent exploser sous l’effet de la chaleur ; il s’agit des gaz comprimés, des
gaz liquéfiés et des gaz dissous. Les gaz liquéfiés réfrigérés peuvent, quant à
eux, être responsables de brûlures ou de blessures liées au froid appelées
brûlures et blessures cryogéniques.
SGH 05
Produits corrosifs pour les métaux
Ces produits attaquent ou détruisent les métaux.
SGH 05 représente à la fois un danger physique et un danger pour la santé
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Danger chimique
Pictogramme Danger
SGH 05
Produits corrosifs pour la peau et/ou les yeux
Ces produits peuvent ronger la peau et/ou les yeux en cas de contact ou de
projection.
SGH 05 représente à la fois un danger physique et un danger pour la santé
SGH 06
Produits toxiques (toxicité aigüe)
Ces produits empoisonnent rapidement, même à faible dose. Ils peuvent provoquer
des effets très variés sur l’organisme : nausées, vomissements, maux de tête, perte
de connaissance ou d’autres troubles plus importants entraînant la mort.
SGH 07
Produits altérant la santé
Ces produits chimiques ont un ou plusieurs des effets suivants :
- ils empoisonnent à forte dose ;
- ils sont irritants pour les yeux, la gorge, le nez ou la peau ;
- ils peuvent provoquer des allergies cutanées (eczémas) ;
- ils peuvent provoquer une somnolence ou des vertiges.
SGH 08
Produits portant gravement atteinte à la santé (CMR, STOT, Danger par aspiration)
CMR : Cancérigène, Mutagène, Reprotoxique
STOT : Toxicité spécifique pour certains organes cibles.
Ces produits rentrent dans une ou plusieurs de ces catégories :
- produits cancérogènes : ils peuvent provoquer le cancer ;
- produits mutagènes : ils peuvent modifier l’ADN des cellules et peuvent alors
entraîner des dommages sur la personne exposée ou sur sa descendance (enfants,
petits-enfants, …) ;
- produits toxiques pour la reproduction : ils peuvent avoir des effets néfastes sur la
fonction sexuelle, diminuer la fertilité ou provoquer la mort du fœtus ou des
malformations chez l’enfant à naître ;
- produits qui peuvent modifier le fonctionnement de certains organes comme le
foie, le système nerveux, … Selon les produits, ces effets toxiques apparaissent si
l’on a été exposé une seule fois ou bien à plusieurs reprises ;
- produits qui peuvent entraîner de graves effets sur les poumons et qui peuvent
être mortels s’ils pénètrent dans les voies respiratoires (après être passés par la
bouche ou le nez ou bien lorsqu’on les vomit) ;
- produits qui peuvent provoquer des allergies respiratoires (asthme, par exemple).
Danger pour l’Environnement
Pictogramme Danger
SGH 09
Danger pour le milieu aquatique
Ces produits provoquent des effets néfastes sur les organismes du milieu aquatique
(poissons, crustacés, algues, autres plantes aquatiques, …).
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Documents, p 10
Document 12
La Rubisco d’après UC Davis - University of Califor nia - Ressources
The limiting reaction within the Calvin Cycle is carried out by the enzyme Ribulose 1, 5-bisphosphate carboxylase,
commonly referred as Rubisco (figure 1).
This enzyme was discovered by Melvin Calvin at Berkeley in the 1940’s. Rubisco has since been named as the
most abundant protein on earth.
The enzyme is located in the chloroplasts' stroma, consisting of at least 15% and up to 50% of the chloroplast
protein. The high concentration of Rubisco indicates a significant role for the metabolism. It is estimated that 4 .
1010
kg of the enzyme is made every second on earth.
Figure 1. Crystal structure ribulose-1,5-bisphosphate carboxylase/oxygenase from green alga
Chlamydomonas reinhardtii
Source: http://www.rcsb.org/pdb/explore/explore.do?structureId=1IR1
Rubisco’s shape directly relates to its function. In order for Rubisco to function, it requires substrates supplied
from the surrounding environment. These include carbon dioxide and Ribulose 1,5 bisphosphate (RuBP).
The enzyme will perform a conformation change and essentially ‘slam’ the Carbon dioxide onto RuBP. The result
is a highly unstable six-carbon reaction intermediate
Due to the molecules instability the carbon splits into two molecules of 3-phosphoglycerate (3GP). In the Calvin
Cycle each of the 3GP molecules will be synthesized into Glyceraldehyde 3-phosphate (G3P).
In the analysis of the active site within Rubisco it has been studied that there is the involvement of Mg2+
. This
alkaline earth metal stabilizes formation of an enediolate carbanion equivalent that is subsequently carboxylated
by CO2, as shown in figure 2. This conformation change, as shown in studies, activates a broadband of visible and
infrared emissions. Once in stable formation Mg2+
, although not well depicted in figure 2, will form covalent
bonds with four Oxygen atoms. This formation can be described as square planar when considering only the
immediate ligands around Mg2+
.
Figure 2: Active site of the Rubisco (From UC Davis - University of California - Ressources)
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Document 13
Détermination des grandeurs cinétiques de la Rubisco
Résultats d’une étude expérimentale
[Ribulose 1,5-
bisphosphate]
(µmol.L-1
)
0,0 1,2 2,4 4,8 7,2 9,6 12,0 24,0 32,0
vi sans effecteur
(nkat.mg-1
)
0,0 23,1 37,5 54,5 64,3 70,6 75,0 81,0 81,0
vi en présence de Fructose
1,6-bisphosphate
(nkat.mg-1
)
0,0 13,0 23,1 37,5 47,4 54,5 60,0 66,0 66,0
Représentation graphique
Rappel :
La représentation de Lineweaver et Burk (ou représentation des doubles inverses), a pour
équation : [ ] maxi)S,c(imaxi)S,c(M
i v
1
ebisphophat5,1Ribulose
1.
v
K
v
1 +=
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Documents, p 12
Document 14
Composition du milieu de culture Tris – Acétate – P hosphate avec azote (TAP+N)
Le milieu de culture est réalisé à partir des solutions mères suivantes :
- Solution A (pour 1 L) : NH4Cl 8 g, MgSO4 7 H2O 2 g, CaCl2 2 H2O 1 g.
- Tris 0,2 M (pour 1 L) : C4H11NO3 24,2 g, ajuster le pH à 7,0 à l’aide d’acide acétique glacial.
- Tampon II (pour 100 mL) : K2HPO4 9,35 g, KH2PO4 6,3 g, ajuster le pH à 7,0.
- Solution minérale (pour un litre) : EDTA 50 g, H3BO3 11,4 g, ZnSO4 22 g,
MnCl2 5,06 g, FeSO4 4,9 g, CoCl2 1,61 g, CuSO4 1,57 g, (NH4)6Mo7O24 4 H2O 1,1 g.
Composition en solutions mères pour 1L de milieu TAP+N Volumes
Tris 100 mL
Solution A 50 mL
Tampon II 1 mL
Solution minérale 1 mL
pH ajusté à 7
Document 15
Détection de l’accumulation de lipides neutres dans les cellules d’une souche commune de Chlamydomonas reinhardtii (cw15)
Detection of neutral lipid accumulation in cw15, a common laboratory strain of C. reinhardtii
using Nile red staining.
The yellow fluorescence observed in the presence of Nile red indicates the presence of neutral
lipids while the red fluorescence corresponds to chlorophyll autofluorescence.
TAP+N : standard growth medium. TAP-N : nitrogen-depleted TAP medium. Bars = 8 μm.
Source : Siaut M. (2011) BMC Biotechnology
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Documents, p 13
Document 16
Analyse de la composition en acides gras de C. reinhardtii
16. a Analyse de la composition en acides gras de C. reinhardtii :
Analysis of fatty acid composition in C. reinhardtii. Comparison of the fatty acid composition
of the TAG fraction and total lipids. The TAG fraction was isolated from cells cultivated in TAP-
N for 2 days while total lipids were from cells grown in TAP+N medium. Asterisks denote a
statistically significant difference.
Source : Siaut M.(2011) BMC Biotechnology.
16. b Noms systématique et commun des acides gras c ités dans le document 16. a :
Symbole Nom systématique Nom commun
connu
Symbole Nom systématique Nom commun
connu
16:0 Acide hexadécanoïque Acide
palmitique
18:0 Acide octadécanoïque Acide stéarique
16:1 (9) Acide hexadéc-9-
énoïque
Acide
palmitoléique
18:1 (9) Acide octadéc-9-
énoïque
Acide oléique
16 :1 (3t) Acide 3-trans-
hexadécénoïque
18:1 (11) Acide octadéc-11-
énoïque
Acide vaccénique
16:2 (7,10) Acide hexadéc-7, 10-
diénoïque
18:2 (9, 12) Acide octadéca-9, 12-
diénoïque
Acide linoléique
16:3 (7, 10, 13) Acide hexadéc-7, 10, 13 18:3 (5, 9, 12) Acide octadéca-5, 9, 12-
triénoïque
Acide pinolénique
16:4 (4, 7, 10, 13) Acide hexadéc-4, 7, 10,
13-tétraénoïque
18:3 (9, 12, 15) Acide octadéca-9, 12,
15-triénoïque
Acide α-linolénique
18:4 (5, 9, 12, 15) Acide octadéca-5,9, 12, 15-tétraénoïque
Acide
coniféronique
+N)
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Documents, p 14
Document 17
Cinétique d’évolution des réserves en amidon (starc h), TAG et chlorophylle dans les cellules de C. reinhardtii cultivées sur le milieu TAP-N
Time course of accumulation of triacylglycerols, starch and chlorophyll in C. reinhardtii in
response to nitrogen depletion. Precultures of strain cw15 were grown in TAP+N medium for
2 days before changing medium to TAP-N (day 0).
Source : Siaut M.(2011) BMC Biotechnology.
TAP+N
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Documents, p 15
Document 18
Etude des conditions opératoires d’extraction des l ipides de la micro-algue Chlorella vulgaris.
18. a Effet de la température de séchage des échant illons sur le rendement en lipides :
18 b Effet du temps de traitement des échantillons aux ultrasons sur le rendement en lipides :
Source : Widjaja and coll. (2008) Journal of Taiwan Institute of Chemical Engineers.
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Documents, p 16
Document 19
Localisation des TAG de réserve dans les corps lipi diques
19.a Image of Chlamydomonas reinhardtii
Source : Siaut M. (2011) BMC Biotechnology.
19.b Modèle structural d’un corps lipidique
Source : Tzen and Huang (1993) JBC.
Corps lipidiques
Phospholipides (en rouge)
TAG (en bleu)
Protéines (en jaune)
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Documents, p 17
Document 20
Fractionnement des protéines cellulaires de C. reinhardtii et identification de la MLDP associée aux corps lipidiques
20. a Protocole opératoire :
1) Extraction des protéines cellulaires :
- de la cellule entière (Tot. Prot.) ;
- des thylacoïdes (Thylakoïd) ;
- des pyrénoïdes (Eyespot) ;
- des corps lipidiques (Lipid Droplet).
2) Dépôt sur un gel de polyacrylamide en conditions dénaturantes. Les extraits obtenus dans
l’étape 1 sont déposés respectivement pistes 1, 2, 3 et 4.
2) Migration électrophorétique
3) Révélation
20. b Résultats :
Les masses moléculaires des protéines sont indiquées sur la gauche de la figure en Kilodalton.
Les numéros placés à droite correspondent aux bandes d’intérêt excisées de la piste 4 du gel
pour une étude plus approfondie.
Source : Moellering (2009) Eucaryotic cell
+
_
Sens de migration
Pistes
1 2 3 4
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Documents, p 18
Document 21
Mise en évidence d’une accumulation de lipides chez un mutant de C. reinhardtii cultivé en conditions de croissance normales
21. a Micrographies des cellules de C. reinhardtii colorées au rouge de Nile
Wild type = cellules sauvages de C. reinhardtii
Mutant = cellules obtenues par mutation
Source : Beisson (2012)
21. b
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Documents, p 19
Document 22
Principe de l’interférence par ARN
Dégradation de l’ARN messager cible
ARNi = ARN interférant
Source : http://www.sidablog.fr/articles/3/nouveau-traitement-arn-interferences-contre-vih.php
1
1
1
ADN
5’ 3’
MLDP
MLDP
messager
2
ARNi
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Documents, p 20
Document 23
Réduction de l’expression de la protéine MLDP par l a méthode
d’interférence par ARN
1 : Niveaux d’ARN messager dans deux lignées de cellules de C. reinhardtii contrôles (EV1 et
EV2) et dans quatre lignées de cellules modifiées grâce à l’interférence par ARN (A1, C7,
E9 et G11).
2 : Diamètre des corps lipidiques mesuré pour ces mêmes lignées contrôles et modifiées.
Source : Moellering (2010) Eucaryotic cell.
1
2
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Documents, p 21
Document 24
Source : http://www.biosolis.org/ingenierie-des-photobio.html
Source : http://www.labcluster.com/images/Cryoconservation_Corning.pdf
24a : Culture en boîte 24b : Conservation en cryot ubes
24c : Effets des vitesses de congélation sur les cellul es
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Documents, p 22
Document 25
Système de dénombrement des microalgues
Présentation de la technique :
J.C. DRUART et F. RIMET. Protocoles d’analyse du phytoplancton de l’INRA : prélèvement,
dénombrement et biovolumes. INRA-Thonon, Rapport SHL 283 - 2008, 96 p.
Détails de la plaque Wild :
Sédimentation Observation et dénombrement Montage de la lame
Surface de comptage : 1,70 mm2
Surface entière de la
chambre : 530,66 mm2
Plaque Wild
Microscope
inversé X40
Tube de
sédimentation
de 25 mL
Lamelle de
verre
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Documents, p 23
Document 26
Logigramme d’acceptabilité des résultats
Source : Norme ISO 5725
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Documents, p 24
Document 27
Résultats du dénombrement pour la réalisation de la courbe de croissance de Chlamydomonas reinhardtii
Jour 0 1 2 3 4 5 6
C (microalgues ; dispositif de culture) 50 100 5,00.103 2,50.105 1,25.107 6,25.108 3,12.1010
ln (C (microalgues ; dispositif de culture))
3,91 4,61 8,52 12,4 16,3 20,3 24,2
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Documents, p 25
Document 28
Culture en photobioréacteur
28 a : Photo de photobioréacteur 28 b : Schéma de photobioréacteur
Source : http://www.hielscher.com/fr/algae_reactor_
cleaning_01.htm
Source : http://sitiosolar.com/SITIOSOLAR%20EN%20FRANCES/Les%20biocombust
ibles%20de%20microalgues.htm
28 c : Protocole d’ensemencement du photobioréacteu r
• Préculture au laboratoire dans un réacteur contenant le même milieu de culture que celui du photobioréacteur
• Transfert de la totalité de la préculture dans la cuve du photobioréacteur, soit un inoculum de 106 microalgues en phase exponentielle de croissance
• Incubation pendant un temps t nécessaire pour obtenir une population de 5,00.105 microalgues.mL-1.
Diamètre des tubes : 5 cm
Longueur des tubes : 80 m
Nombre des tubes : 8
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Documents, p 26
Document 29
Dispositifs de culture industrielle des microalgues
Le procédé « raceway » ( champ de course) : un exemple de système solaire ouvert
C’est une culture réalisée en extérieur dans un bassin en forme de boucle. C’est donc une culture saisonnière puisque soumise aux aléas climatiques et non protégée des contaminations, à moins de cultiver des espèces extrêmophiles en milieu alcalin ou hypersalé. La culture d'algues circule dans le bassin sous l'action d'une roue à pales qui assure le brassage et évite la sédimentation des algues. La source de CO2 est atmosphérique, la source de lumière est naturelle. De l'eau filtrée, additionnée d'éléments minéraux est additionnée en continu afin de pallier l'effet d'évaporation. La taille des bassins est variable : de 0,5 à 105 m3, la concentration en biomasse atteint 0,1 à 0,2 g.L-1 et la productivité 10 à 30 t/ha/an.
Source : http://www.ceva.fr
Le procédé en photobioréacteur : un système artific iel fermé
Il présente de fortes similitudes avec les bioréacteurs bactériens. Les microalgues circulent entre un réservoir qui porte une colonne de dégazage et le collecteur de rayonnement solaire composé de tuyaux transparents qui laissent entrer la lumière. Les tuyaux sont disposés sous forme de plan incliné pour permettre d'augmenter le rayonnement incident. Les tubes ne dépassent pas un diamètre de 10 cm pour éviter les zones d'ombre. L'éclairement de ces tubes peut être réalisé à l'aide de sources lumineuses artificielles qui nécessitent un surcoût d’énergie. Un flux turbulent est maintenu dans l'écoulement au moyen d'une pompe afin d'éviter la sédimentation et les zones d'ombre. Un générateur assure l’approvisionnement en CO2 . Les paramètres de la culture peuvent être rigoureusement contrôlés. Le volume de ces réacteurs varie de 0,1 à 2 m3, avec une concentration en biomasse qui peut atteindre 10 g.L-1 et une productivité de 100 t/ha/an.
Source : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0167779908000218