Direction des Études et Synthèses Économiques G2017/07 ... · observée aux États-Unis....
Transcript of Direction des Études et Synthèses Économiques G2017/07 ... · observée aux États-Unis....
Direction des Études et Synthèses Économiques
G2017/07
Qualification, progrès technique et marchés du travail locaux en France,
1990-2011
Pauline CHARNOZ et Michael ORAND
Document de travail
Institut National de la Statistique et des Études Économiques
INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES
Série des documents de travail de la Direction des Études et Synthèses Économiques
AOÛT 2017
Ce document de travail a bénéficié tout particulièrement des commentaires détaillés de Pierre CAHUC, Ève CAROLI, Matthieu CROZET, Gilles DURANTON, Laurent GOBILLON et Miren LAFOURCADE, dans le cadre du jury de thèse de Pauline CHARNOZ. Nous tenons à remercier également Didier BLANCHET, Claire LELARGE, Dominique GOUX, Corinne PROST, Sébastien ROUX, Sévane ANANIAN (Dares), ainsi que l'ensemble des participants au séminaire D2E, à la conférence SOLE/EALE 2015 ainsi qu'au CGET pour leurs questions et remarques nous ayant permis d'avancer sur ce travail.
_____________________________________________
* RITM (Université Paris Sud) - Crest - Insee au moment de la rédaction de ce document
** Insee - Département des Études Économiques au moment de la rédaction de ce document
Département des Études Économiques - Timbre G201 - 15, bd Gabriel Péri - BP 100 - 92244 MALAKOFF CEDEX - France - Tél. : 33 (1) 41 17 60 68 - Fax : 33 (1) 41 17 60 45 - CEDEX - E-mail : [email protected] - Site Web Insee : http://www.insee.fr
Ces documents de travail ne reflètent pas la position de l’Insee et n'engagent que leurs auteurs. Working papers do not reflect the position of INSEE but only their author's views.
G 2017 / 07
Qualification, progrès technique et marchés du travail locaux en France,
1990-2011
Pauline CHARNOZ* et Michael ORAND**
2
Qualification, progrès technique et marchés du travail locaux en France, 1990-2011
Résumé
La France, comme d’autres pays développés, a connu une forte transformation de la demande de travail au cours de 20 dernières années, avec un biais en faveur des travailleurs les plus qualifiés. Nous testons une des principales hypothèses cherchant à expliquer cette évolution biaisée de la demande : un progrès technique lié aux technologies de l’information et de la communication qui ferait disparaître les métiers composés de tâches routinières en les automatisant, et favoriserait par conséquent les métiers peu qualifiés des services d’une part et les métiers très qualifiés d’autre part. À partir d’un modèle théorique développé par Autor et Dorn (2013), qui utilise la structure de l’emploi sur des marchés locaux du travail pour identifier les effets du progrès technique, nous montrons en mobilisant les recensements de la population qu’il existe effectivement un lien entre le progrès technique et l’évolution de la structure de l’emploi entre 1990 et 2011 en France. En particulier, on assiste à la disparition d’emplois peu qualifiés routiniers, qui se transforment en partie en emplois de services, ou bien disparaissent définitivement conduisant à un accroissement du chômage. Nous montrons également une interaction entre la transformation de la demande et la spécialisation fonctionnelle des territoires. Ces résultats sont robustes à l’introduction d’hypothèses alternatives, comme l’influence de la mondialisation et du commerce international, ou encore celle de transformations démographiques.
Mots-clés : progrès technique, automatisation, marchés du travail locaux
Skills, technical change and local labor markets: evidence from France 1990-2011
Abstract
A skill-biased labor demand shift occurred in France, as well as other developed economies, over the last 20 years. We test one of the main hypothesis that explain this particular shift : a skill-biased technical change driven by the dissemination of Information and Communication Technologies and the automatisation of routine jobs, leading to their disappearance in favor of high-skilled jobs and low-skilled service jobs. Using a theoretical model developed by Autor and Dorn (2013), based on the analysis of the employment structure of local labor markets to identify national effects of technical change, we find evidence of a link between technical change and the 1990-2011 evolution of the labor force in France. In particular, we find that the low-skilled jobs switch from routine jobs to service jobs or unemployment. We also find that the labor demand shift interacts with a spatial functional specialization. This results are robust to the introduction of alternative hypothesis, such as globalization and international trade growth, or demographic changes.
Keywords: technical change, automation, local labor markets
Classification JEL : F16, F60, J23, J24, O33, R23
3
Sommaire
Introduction 5
I - Données utilisées et stratégie empirique 10 I.1 Tâches et métiers 10 I.2 Cadre empirique 13
II - Statistiques descriptives 15
III - L’automatisation des emplois routiniers et ses conséquences 19
IV - D’autres facteurs explicatifs d’un biais défavorable à l’emploi peu qualifié 23
Conclusion 28
Bibliographie 29
Annexes 31 A Métiers et tâches 31 B Indices d’exposition à la concurrence des importations
et à la diffusion des TIC 33 C Tableau additionnel 34
4
5
Introduction
Au cours des années 1990 et 2000, l’offre et la demande de travail se sont profondément transformées en France. Avec la poursuite de la démocratisation scolaire, le nombre de diplômés du supérieur a sensiblement augmenté. Au cours des 20 dernières années, ceux-ci se sont concentrés dans les grandes agglomérations. Une analyse conjointe de l’évolution de cette concentration et de l’évolution de leur salaire relativement à celui des peu diplômés, suivant une méthode proposée par Moretti (2013), met en évidence une transformation de la demande biaisée en faveur des plus diplômés (Charnoz et Orand (2016)). La France connaît en ce sens une dynamique semblable à celle des États-Unis. Plusieurs explications ont été apportées pour le cas américain à cette transformation de la demande de travail biaisée, la reliant principalement à deux phénomènes : le progrès technique lié aux nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) d’une part, la mondialisation et la croissance du commerce international d’autre part. Dans cet article, nous étudions la pertinence de la première hypothèse pour le cas français.
L’hypothèse technologique lie les mutations de la demande de travail à l’adoption de TIC, dont on suppose qu’elles améliorent plus la productivité des travailleurs très qualifiés que celle des peu qualifiés. Par exemple, Beaudry et al. (2006) et Beaudry et al. (2010) estiment l’effet de l’adoption du PC sur l’offre et la demande de travail dans les différentes zones métropolitaines des États-Unis. L’effet potentiel de la technologie sur les emplois est défini plus précisément par Autor et al. (2003) comme une automatisation de procédures routinières. Les métiers qui consistent principalement en des tâches routinières disparaitraient progressivement à mesure que ces tâches peuvent être réalisées par des ordinateurs et que le prix de la technologie diminue. Les tâches plus manuelles ou plus abstraites, en revanche, se maintiendraient. Puisque les tâches abstraites correspondent au haut de la distribution des salaires et que les tâches manuelles correspondent au bas de cette distribution, ce phénomène pourrait expliquer l’augmentation des inégalités salariales observée aux États-Unis. L’automatisation de tâches routinières a ainsi été reliée à la polarisation du marché du travail (Autor et al. (2003), Goos et al. (2009), Goos et al. (2014), Michaels et al. (2014), Firpo et al. (2011), Machin et van Reenen (1998)). La polarisation du marché du travail consiste en une augmentation de la part des métiers les plus et les moins payés, alors que la part des métiers intermédiaires diminue. Elle est observée aux États-Unis et en Europe, dans une certaine mesure1, et est un facteur d’explication important de l’augmentation des inégalités salariales.
Une autre explication lie l’augmentation des inégalités de salaire à la concurrence des importations des pays à bas salaires (Autor et al. (2013a), Rigby et al. (2015)). À mesure que les barrières commerciales se sont levées, les emplois peu qualifiés ont fait face à une compétition plus importante que les emplois plus qualifiés, ce qui peut expliquer une augmentation des inégalités salariales liées à la qualification, due en partie à un alignement du coût du travail sur les coûts à l’étranger, et en partie à des effets de spécialisation des pays : en effet, comme le prédit la théorie, la concurrence des travailleurs non-qualifiés des pays à bas salaires pousse à une spécialisation des économies vers les travailleurs qualifiés, ce qui conduit à une augmentation des salaires de ces derniers2. Une autre explication liée au commerce international repose sur la délocalisation des emplois ou des tâches (Grossman et Rossi-Hansberg (2008)). Si certains emplois ou tâches peuvent être déplacés dans des pays à bas salaires et que le coût de la délocalisation diminue (à travers les barrières commerciales, les coûts de transport ou de communication), la demande de travail peu qualifié peut diminuer. Notons que ce phénomène peut en partie être lié aux TIC, dans la mesure où elles sont un des facteurs de diminution des coûts de communication.
Des articles récents ont utilisé les marchés du travail locaux, et plus particulièrement les différences d’évolution en leur sein, pour tester ces explications aux États-Unis (Autor et Dorn (2013), Autor et al. (2013a) et Autor et al. (2013b)). Ils montrent que la concurrence
1 En Europe, et en France en particulier, la hausse moins marquée de la part des emplois peu qualifiés a conduit à
discuter de la pertinence du terme de polarisation (voir par exemple Jolly (2015)). 2 Dans certains cas, l’effet peut être cependant opposé, comme l’ont montré Lorentowicz et al. (2005) pour
l’Autriche et la Pologne.
6
des importations a eu un effet sur le niveau d’emploi pour tous les niveaux de qualification. Ils mettent également en évidence l’existence d’un progrès technique biaisé en faveur des plus qualifiés, à la fois dans les secteurs industriels et non-industriels. Ils montrent que parmi les emplois routiniers, ce sont d’abord les emplois liés à la chaîne de production qui disparaissent, puis ceux liés au traitement de l’information (les employés de bureau).
Ces travaux utilisent les marchés du travail locaux principalement comme un moyen d’identifier un phénomène ayant lieu à l’échelle nationale. Une autre série de travaux, cependant, s’intéresse à la composante spatiale des inégalités de salaire liées à la qualification (Lindley et Machin (2014), Moretti (2013)). Ils montrent une concentration des travailleurs les plus qualifiés dans certaines zones, liée à une évolution de la demande biaisée en faveur des plus qualifiés. Des dynamiques similaires ont été identifiées en France par Charnoz et Orand (2016). L’analyse des territoires et de leurs dynamiques propres laisse apparaître comme explication potentielle aux différences spatiales une composition du tissu industriel local différente qui, initialement, aurait favorisé l’adoption des TIC ou exposé de façon plus importante les marchés locaux à la compétition internationale.
D’autres mécanismes analysés par l’économie géographique pourraient également expliquer ces dynamiques spatiales. C’est le cas par exemple des économies d’agglomération ou des coûts liés à la distance. Baum-Snow et al. (2014) ont montré qu’il y a eu une augmentation des économies d’agglomération pour les travailleurs les plus qualifiés aux États-Unis. Ils n’étudient pas la cause de cette augmentation, mais la relient aux externalités positives liées à la diffusion des connaissances, plus importantes pour les travailleurs les plus qualifiés, et qui ont pu augmenter sur la période récente. Cette hausse des économies d’agglomération, qui pourrait être biaisée en faveur des plus qualifiés, expliquerait la concentration plus importante et les salaires plus élevés des travailleurs qualifiés dans les grandes villes denses. Un autre canal, qui lie les TIC et la géographie, est la diminution des coûts de communication provoquée par le développement des TIC. Il s’agit de prendre en compte la composante communication des TIC, alors que l’hypothèse du progrès technique est plutôt reliée à la composante information. Le modèle de Duranton et Puga (2005) prédit ainsi qu’une baisse des coûts de communication entre les sièges sociaux et les établissements qui en dépendent mène à une spécialisation fonctionnelle des villes : certaines se spécialisent dans les sièges sociaux et les services aux entreprises (plus précisément les services aux sièges sociaux), pendant que d’autres se spécialisent dans les activités de production. Même si leur modèle ne tient pas compte directement de la qualification, dans la mesure où les sièges sociaux et les activités de service aux entreprises emploient plus de travailleurs qualifiés, cette mécanique pourrait expliquer que la demande de travailleurs plus qualifiés a augmenté plus fortement dans certaines villes que dans d’autres. Ce renforcement de la spécialisation fonctionnelle est également mis en évidence au sein des grands groupes par Charnoz et al. (2016), qui étudient l’impact de l’installation de lignes TGV en France sur les rapports entre têtes de groupe et filiales.
La littérature sur tous ces sujets est moins fournie pour la France que pour les États-Unis. Aubert et Sillard (2005), Barlet et al. (2009) et Fontagné et d’Isanto (2013) proposent une estimation de l’étendue des délocalisations mais n’étudient pas leur effet sur l’emploi ou les salaires. Malgouyres (2014) a mis en œuvre la méthode d’Autor et al. (2013a) pour tester l’effet de la concurrence des importations en France, et trouvé un impact négatif sur l’emploi. Cet effet est polarisé, touchant plus fortement les emplois intermédiaires dans le secteur manufacturier, et les emplois peu qualifiés dans le secteur non-manufacturier. Cela diffère des résultats d’Autor et al. (2013a) et Autor et al. (2013b), qui ne trouvent pas d’effet polarisant de la concurrence des importations pour les États-Unis. L’hypothèse d’un progrès technique biaisé en faveur des plus qualifiés a été démontrée au niveau national par Goux et Maurin (2000), mais avec une intensité moindre qu’aux États-Unis. Ils trouvent que les ordinateurs et les nouvelles technologies de production ont été responsables d’une diminution d’environ 15 % de la part de travailleurs peu qualifiés (dont le niveau de diplôme est inférieur au bac) dans l’emploi total entre 1970 et 1993. De même, Pak et Poissonnier (2016), par une décomposition au niveau macroéconomique, montrent que l’évolution technologique a provoqué une baisse de l’emploi d’environ 1 % par an, avec par ailleurs un biais favorisant l’emploi des travailleurs les plus qualifiés. Goos et al. (2009) ont étudié la distribution des différents métiers dans l’emploi en Europe et trouvé une polarisation en
7
France entre 1993 et 2006. Machin et van Reenen (1998), en utilisant un panel de sept pays de l’OCDE, dont la France, entre 1973 et 1989, ont montré un lien significatif entre l’amélioration des qualifications et l’intensité de la R&D. Caroli et van Reenen (2001) montrent l’existence de changements organisationnels favorisant les plus qualifiés en France et au Royaume-Uni. Ils montrent que les nouvelles formes d’organisation des entreprises, limitant la profondeur de la hiérarchie, sont plus favorables pour les travailleurs les plus qualifiés. Un des facteurs de cette limitation de la hiérarchie pourrait être la diminution des coûts de communication induite par les TIC. En résumé, en ce qui concerne spécifiquement la France, des éléments de preuve concernant le lien entre les TIC et la demande relative de travailleurs qualifiés par rapport aux travailleurs peu qualifiés existent, mais seulement pour la période allant jusqu’aux années 1990. Pour la période plus récente, des éléments indiquent que les parts des travailleurs les plus qualifiés et les moins qualifiés ont augmenté en France, mais ces augmentations n’ont pas été reliées aux TIC et il n’y a pas de résultats sur l’impact des TIC au niveau des marchés du travail locaux. Ce sont plutôt les effets de facteurs liés à la croissance du commerce international ou de facteurs institutionnels au niveau national, comme les baisses de cotisations sociales sur les bas salaires, qui ont été étudiés jusqu’alors.
Dans cet article, nous documentons les dynamiques spatiales des métiers en France depuis les années 1980 et nous utilisons les marchés du travail locaux pour tester s’il y a eu une diminution des tâches routinières et une augmentation des tâches manuelles et abstraites et pour confirmer l’hypothèse d’automatisation des tâches routinières d’Autor et Dorn (2013). Plus précisément, l’objectif principal d’Autor et Dorn (2013) est de tester si la polarisation des emplois observée aux États-Unis est due à un progrès technique biaisé. L’idée est que les emplois les plus répétitifs et les mieux codifiés ont été automatisés suite à l’adoption des TIC, alors que des services à la personne, comme la restauration, le ménage ou les soins n’ont été que peu impactés par ces TIC. Cette intuition est formalisée dans un modèle théorique qui repose sur les deux équations de production suivantes, valables pour chaque marché du travail local :
( )[ ]μβ
μμβ αα −− += 11 )( KLLY krrag
mss LY α=
Yg représente la production sur le marché des biens et Ys la production sur le marché des services. La production d’un bien résulte d’une part de la combinaison de travail routinier Lr et de capital K, substituables l’un à l’autre, et de travail abstrait La, complémentaire (relativement) aux deux précédents facteurs. La production sur le marché des services ne nécessite en revanche que du travail correspondant à des tâches manuelles Lm. Le progrès technique correspond à une baisse de prix du capital informatique : ce capital se substitue alors au travail routinier, qui diminue. La quantité de tâches routinières effectuées sur le marché local ne diminue pas (contrairement à ce qui se passerait avec une délocalisation), et augmente même ; c’est simplement le facteur produisant ces tâches (travail ou machines) qui change. Le travail abstrait, complémentaire aux tâches routinières, voit donc dans le même temps sa demande augmenter. Le travail peu qualifié se déplace enfin du secteur des biens (où il effectuait les tâches routinières) vers le secteur des services (où il effectue des tâches manuelles). On doit donc s’attendre également à un accroissement du travail peu qualifié dans les services suite au progrès technique.
Le modèle théorique fournit donc des prédictions quant à l’effet du progrès technique sur les marchés du travail locaux. L’idée d’Autor et Dorn (2013) est que selon la quantité initiale de tâches routinières sur un marché local, l’effet du progrès technique sera plus ou moins intense : plus la quantité de tâches routinières dans la production est importante, plus il est avantageux de substituer du capital au travail quand le prix du premier diminue. Plus précisément, le modèle théorique prédit les quatre faits suivants sur la dynamique des marchés du travail locaux suite à une baisse de prix du capital informatique :
8
1. les zones où les emplois routiniers sont initialement plus nombreux sont celles où l’exposition aux TIC augmente le plus et où la baisse des emplois routiniers est, corrélativement, plus importante ;
2. les emplois de service à la personne augmentent dans les zones où la part d’emplois routiniers est initialement plus importante, les travailleurs peu qualifiés passant d’emplois routiniers à des emplois de service à la personne ;
3. les emplois abstraits augmentent plus dans les zones avec une part plus importante d’emplois routiniers, en raison de la complémentarité avec le capital informatique ;
4. les salaires des emplois manuels ou abstraits augmentent plus dans les zones avec un niveau initial élevé d’emplois routiniers.
En utilisant des données américaines, leur analyse empirique vise essentiellement à tester la deuxième prédiction, liée à la question de la polarisation du marché du travail, cette dernière étant le principal fait stylisé qu’ils cherchent à expliquer. Ils montrent que la part d’emplois dans les services à la personne a effectivement augmenté plus dans les marchés du travail où la part d’emplois routiniers était initialement plus élevée. En comparaison avec les États-Unis, l’existence d’une polarisation en France est moins évidente, mais cela ne signifie pas que l’hypothèse de l’automatisation des tâches routinières par les TIC n’est pas pertinente pour la France. Pour vérifier cela, nous testons donc les prédictions d’Autor et Dorn (2013) pour la France3, en observant l’évolution de la part de travail abstrait, routinier et manuel dans les marchés du travail locaux. Nous trouvons dans un premier temps que les zones où le travail routinier était initialement le plus important ont bien vu leur exposition aux TIC augmenter4, ce qui semble confirmer l’hypothèse de substituabilité entre capital informatique et travail routinier. Dans un second temps, nous retrouvons les trois effets prédits par le modèle sur les parts respectives de travail abstrait, routinier et manuel, dont le deuxième, qui correspond au principal résultat d’Autor et Dorn (2013) sur les États-Unis.
Par ailleurs, Autor et al. (2013b) montrent que parmi les métiers routiniers, la diminution des emplois de production et celle des emplois de bureau (en d’autres termes, l’automatisation des tâches de production et celle des tâches de traitement de l’information) n’ont pas lieu simultanément. Les tâches de traitement de l’information correspondent principalement à des fonctions support. Il semble donc que l’effet des TIC soit différent pour les fonctions de production et les fonctions support. Cela peut être mis en relation avec le modèle de Duranton et Puga (2005), qui décrit un autre effet potentiel des TIC sur les disparités spatiales, lié à la diminution des coûts de communication plutôt qu’à celle des coûts de traitement de l’information. Cette diminution induirait une spécialisation fonctionnelle accrue : certaines villes se spécialisent dans les sièges sociaux et les services aux entreprises, c’est-à-dire dans les fonctions support. Si c’est effectivement le cas, l’impact du progrès technique sur les marchés du travail locaux doit être différent selon leur spécialisation dans les activités de production ou de support. Cela pourrait expliquer des résultats différents sur les métiers routiniers, selon qu’ils correspondent à des fonctions de production ou à des fonctions support. Techniquement, l’automatisation des tâches de bureau est par ailleurs d’une nature différente de l’automatisation des tâches de production. Notre analyse complète donc celle d’Autor et Dorn (2013) en examinant si le fait de tenir compte de la différence de fonction des métiers routiniers (production ou support), apporte des éléments de compréhension supplémentaire des mécanismes à l’œuvre.
Le modèle théorique d’Autor et Dorn suppose par ailleurs que les emplois des travailleurs peu qualifiés sont transférés parfaitement depuis les métiers routiniers vers les métiers des services. Dans le contexte français, avec notamment un taux de chômage élevé, on pourrait imaginer qu’une partie des emplois détruits ne sera pas recréé par ailleurs, ce qui devrait se traduire par une augmentation du taux de chômage pour les travailleurs les moins qualifiés. Nous testons cette hypothèse également.
3 À l’exception de celle concernant les salaires, non disponibles dans les données que nous utilisons. 4 Ce résultat est cependant moins bien établi que dans le papier d’Autor et Dorn (2013), faute de données
comparables disponibles.
9
Enfin, comme on l’a vu, l’hypothèse de l’informatisation est loin d’être la seule explication plausible à la polarisation des emplois, la concurrence des importations ou les délocalisations pouvant en être d’autres. La confirmation par l’analyse empirique des prédictions du modèle théorique n’est donc pas suffisante pour valider entièrement l’hypothèse du progrès technique, même si celle-ci est la plus pertinente pour expliquer la croissance de la part des métiers très qualifiés (par la complémentarité entre ces métiers très qualifiés et les tâches routinières). Il convient donc de tester la robustesse des résultats à l’introduction des explications concurrentes.
La partie 2 de cet article présente les données utilisées et notre stratégie empirique. La troisième partie donne des éléments généraux de description. Les résultats sont présentés dans la quatrième partie, et leur robustesse à l’introduction des autres hypothèses est testée dans la partie 5.
10
I - Données utilisées et stratégie empirique
Dans la mesure où nous avons besoin de connaître le contenu des emplois, notre analyse empirique repose sur l’utilisation de données concernant les métiers des travailleurs5. Notons que dans cet article, la qualification et les catégories socioprofessionnelles correspondent aux emplois, alors que le niveau d’éducation se rapporte aux travailleurs : deux personnes avec un niveau de diplôme différent peuvent occuper un emploi avec une qualification identique.
Nous définissons les marchés du travail locaux pour la France, en utilisant les zones d’emploi, dont la construction par l’Insee repose sur les déplacements domicile-travail, et sont donc très similaires aux Commuting Zones américaines utilisées par Autor et Dorn (2013). Les 304 zones d’emploi de 2010 correspondent ainsi à des espaces au sein desquels la plupart des actifs résident et travaillent simultanément, Un établissement situé dans une zone d’emploi y recrutera donc la majorité de sa main d’œuvre, et c’est pourquoi ce zonage est pertinent dans une approche locale des marchés du travail. Soulignons que dans le modèle théorique les travailleurs peu qualifiés sont immobiles entre les zones, alors que les travailleurs les plus qualifiés sont mobiles. Cela peut sembler être une hypothèse forte, mais le modèle reste en fait valide tant que les très qualifiés sont plus mobiles que les peu qualifiés, ce qui est valable dans le cas français (Charnoz et Orand (2016)).
Il existe peu de bases de données avec des informations détaillées et suffisamment d’observations pour une utilisation à ce niveau géographique. De plus, dans la mesure où beaucoup de services à la personne relèvent d’indépendants ou d’auto-entrepreneurs, il est préférable de ne pas se reposer sur des bases de données de salariés, comme les DADS par exemple. Nous utilisons donc les données des recensements français de 1982, 1990 et 1999 (échantillon au quart) et les enquêtes annuelles de recensement 2006 et 2011, en exploitant tout particulièrement les informations sur les catégories socioprofessionnelles (à 4 chiffres) et le statut sur le marché de l’emploi.
Nous disposons également d’informations sur le niveau d’éducation et nous distinguons deux groupes pour séparer les travailleurs les plus diplômés et les autres : le groupe de ceux ayant eu accès à l’enseignement supérieur d’un côté (titulaire d’un bac +2 ou plus), et ceux ayant un diplôme du secondaire au mieux (titulaires du bac ou moins). Un inconvénient des données du recensement français est l’absence de données sur les salaires ou les revenus. C’est pourquoi nous concentrerons notre analyse sur les prédictions du modèle d’Autor et Dorn (2013) qui concernent la part des emplois routiniers, de service ou très qualifiés.
Nous présentons dans la suite comment nous définissons ces catégories à partir des données françaises, et comment nous définissons les fonctions de production ou de support dont nous avons besoin pour notre variation du modèle d’Autor et Dorn (2013). Les analyses de l’évolution des différentes catégories de métiers seront réalisées sur le champ de la population active en emploi, et l’information sur le statut d’emploi sera utilisée uniquement pour calculer un taux de chômage des travailleurs peu diplômés.
I.1 Tâches et métiers
Dans un souci de clarté et de lisibilité, nous groupons les métiers en sept groupes. Nous définissons les métiers très qualifiés comme les managers, les cadres et les ingénieurs (voir tableau 19 en annexe) et nous séparons les métiers intermédiaires et peu qualifiés de la façon suivante : ouvriers artisanaux, ouvriers industriels, employés, vendeurs, métiers des services et travailleurs des transports, du bâtiment ou du secteur agricole6. Plus
5 Le secteur dans lequel ils travaillent n’est pas utilisé. En revanche, la répartition locale des différents secteurs
d’activité servira pour des tests de robustesse. 6 Cela correspond aux regroupements utilisés par Autor et Dorn (2013), avec une distinction supplémentaire entre
les employés et les vendeurs.
11
précisément, les métiers des services incluent les métiers de la restauration, de la santé (à l’exception des médecins et des pharmaciens) et des services ménagers (voir tableau 20 en annexe). Au niveau national, les parts des métiers très qualifiés et des métiers des services ont augmenté entre 1982 et 2011, la part des ouvriers industriels et des travailleurs des transports, du bâtiment et du secteur agricole ont diminué, alors qu’il n’y a pas d’évolution pour les autres groupes (tableau 1).
Tableau 1 : Évolution de la distribution des groupes de métiers
1982 1990 1999 2011
Managers/Cadres/Ingénieurs 13% 16% 18% 20%
Ouvriers artisanaux 11% 10% 10% 10%
Transport/Construction/Agriculture 15% 12% 10% 9%
Ouvriers industriels 17% 14% 12% 10%
Vendeurs 16% 17% 16% 15%
Employés 9% 9% 10% 11%
Métiers des services 19% 21% 25% 25%
Source : Recensements, France métropolitaine. Champ : population active occupée. Lecture : En 1990, 13% des actifs occupés étaient Managers/Cadres/Ingénieurs, contre 20 % en 2011.
Nous caractérisons également les métiers en fonction de leur intensité en tâches routinières. Pour cela, nous avons construit une table de passage entre les classifications américaines et françaises (PCS de 1982 à 4 chiffres). Ensuite, nous avons utilisé une base construite par Autor et Dorn (2013) indiquant le contenu en tâches pour chaque métier dans la classification américaine, estimé à partir de la description des métiers présente dans le Dictionary of Occupational Titles. Cela nous permet d’attribuer un contenu en tâches abstraites, manuelles ou routinières aux PCS françaises. En faisant cela, nous supposons que le contenu des métiers diffère peu entre la France et les États-Unis. L’utilisation d’un niveau très fin de classification permet toutefois de contrôler les effets qui seraient liés à des classifications trop différentes. De la même façon qu’Autor et Dorn (2013), nous avons calculé ensuite un indice d’intensité en tâches routinières qui permet de tenir compte simultanément des contenus en tâches routinières, abstraites et manuelles des différentes professions7. Le tableau 2 montre comment les intensités des différents types de tâche et l’indice d’intensité en tâches routinières varient selon les groupes de métiers. D’après cette mesure, les ouvriers industriels, et plus encore les employés, ont les métiers les plus intensifs en tâches routinières. Ces deux groupes peuvent être associés à deux fonctions différentes : production et support. Comme Autor et Dorn (2013), nous classons le tiers des PCS à 4 chiffres ayant l’indice d’intensité en tâches routinières le plus élevé comme les métiers routiniers. Ces métiers relèvent pour l’essentiel des catégories des ouvriers industriels et des employés (notamment secrétaires, employés administratifs, financiers et comptables)8.
7 Plus précisément, l’indice d’intensité en tâches routinières est égal à log(tâches routinières) - log (tâches
manuelles) - log (tâches abstraites). 8 On retrouve également parmi les métiers routiniers, même si c’est de façon marginale (une dizaine de cas), des
professions relevant des groupes des cadres ou des métiers des services. La classification en métiers routiniers et le découpage en 7 groupes ne coïncident donc pas exactement.
12
Figure 1 : Classification des métiers routiniers
Figure 2 : Classification des variables d’intérêt
13
Tableau 2 : Intensité dans les différentes tâches des groupes de métier en 1982
Tâches
abstraites Tâches
routinières Tâches
manuelles Indice d'intensité
routinière
Managers/Cadres/Ingénieurs + - - -
Ouvriers artisanaux - + + -
Transport/Construction/Agriculture - - + -
Ouvriers industriels - + + +
Vendeurs + - - -
Employés - + - +
Métiers des services - - + - Source : Recensement de 1982, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur l'intensité des tâches par métier. Champ : population active occupée. Note : (+) indique une valeur au-dessus de la moyenne de l'ensemble des métiers en 1982 et (-) une valeur en dessous de cette moyenne.
Enfin, nous classons toutes les PCS en métiers de production ou en métier support. Les fonctions administratives et de management sont les fonctions support (voir annexe A pour le détail) et les autres sont les fonctions de production. Nous séparons également les métiers routiniers en deux groupes : les métiers routiniers de support et les métiers routiniers de production. Le tableau 3 présente la distribution de la part de métiers routiniers dans l’emploi pour les différentes zones d’emploi en 1982. La géographie des métiers routiniers reflète en partie la répartition sectorielle de l’emploi : la part de métiers routiniers est ainsi plus importante dans le nord de la France, région très industrielle, ainsi que dans la région parisienne et dans certaines agglomérations comme Nantes ou Nice. Les colonnes suivantes du tableau 3 font la distinction entre les métiers routiniers de support et de production, qui sont distribués de façons très différentes dans l’espace : la part de métiers routiniers de support est plus importante dans la région parisienne, dans le Sud-est et dans les grandes agglomérations ; la part de métiers routiniers de production est plus importante dans le nord et l’est, ainsi que dans certaines zones plus centrales.
I.2 Cadre empirique
Nos principales variables d’intérêt sont la part dans l’emploi des métiers routiniers, des métiers des services et des métiers très qualifiés. Le modèle d’Autor et Dorn (2013) affirme que, quand le prix du capital informatique diminue, nous devrions observer parmi les marchés du travail locaux une augmentation de la part des métiers de service et des métiers très qualifiés, et que cette hausse devrait être positivement corrélée à la part initiale de métiers routiniers.
Une diminution de la part de métiers routiniers devrait également avoir lieu, et être plus forte là où la part initiale de métiers routiniers était la plus élevée. En raison d’un contexte français marqué par un fort taux de chômage, nous pouvons supposer que le chômage des travailleurs peu diplômés se comporte comme la part de métiers des services : les travailleurs peu diplômés sortant des métiers routiniers peuvent soit passer sur des métiers de service, soit être au chômage. Nous pourrions donc trouver également une corrélation positive entre le taux de chômage des peu diplômés et la part initiale de métiers routiniers dans l’emploi des différents marchés du travail locaux.
Nous fondons notre analyse sur les évolutions de nos variables d’intérêt entre 1990 et 2011, ce qui correspond à la période où les TIC se répandent en France. Notre variable explicative principale est la part initiale des métiers routiniers dans l’emploi pour chaque zone d’emploi. La part initiale de métiers routiniers correspond dans le cadre théorique à la technologie productive de la zone, ou, comme le soulignent Autor et Dorn (2013), à une mesure empirique qui reflète « la composante de long terme, quasi fixe, de sa structure sectorielle ». C’est pourquoi nous décidons de prendre comme part initiale de métiers routiniers la valeur de 1982 plutôt que celle de 1990. Cette valeur, antérieure à la diffusion des TIC est moins
14
susceptible d’être corrélée aux chocs ayant pu avoir lieu entre 1990 et 2011. Autor et Dorn (2013) ont par ailleurs implémenté une stratégie ayant recours aux variables instrumentales, et ont trouvé des résultats similaires, parfois plus forts, que ceux obtenus par la stratégie classique. Nous ne pouvons pas utiliser cette stratégie ici, dans la mesure où nous n’avons pas l’information dont ils disposent (à savoir la structure sectorielle locale de 1950). Nous devons donc garder à l’esprit qu’il peut y avoir un léger biais à la baisse sur nos résultats. Finalement, nous proposons une extension du modèle en séparant la proportion de métiers routiniers de 1982 selon la fonction, production ou support, des métiers.
Tableau 3 : Part des métiers routiniers par zone d'emploi en 1982
Part des métiers routiniers par zone d'emploi
Ensemble Production Support
Moyenne 30% Moyenne 17% Moyenne 13%
Écart-type 5% Écart-type 4% Écart-type 4%
Q3 34% Q3 19% Q3 15%
Médiane 30% Médiane 16% Médiane 13%
Q1 27% Q1 14% Q1 10%
10 premières 10 premières 10 premières
Lille 40% Charolais 25% Poissy 23%
Saint-Dié-des-Vosges 41% Vallée de la Bresle-Vimeu 27% Roissy - Sud Picardie 24%
Créteil 41% Roubaix-Tourcoing 27% Versailles 24%
Saint-Omer 41% Cholet 28% Évry 25%
Marne-la-Vallée 41% Longwy 28% Saclay 25%
Paris 41% Les Herbiers 30% Orly 26%
Orly 41% Saint-Dié-des-Vosges 30% Cergy 26%
Remiremont 42% Saint-Omer 30% Marne-la-Vallée 26%
Roubaix-Tourcoing 46% Remiremont 32% Paris 26%
Vallée de l'Arve 46% Vallée de l'Arve 35% Créteil 27%
10 dernières 10 dernières 10 dernières
Ghisonaccia-Aléria 12% Ghisonaccia-Aléria 6% Ghisonaccia-Aléria 6%
Saint-Flour 16% Corte 8% Saint-Flour 7%
Carhaix-Plouguer 16% Saint-Flour 9% Carhaix-Plouguer 7%
Porto-Vecchio 17% Porto-Vecchio 9% Mauriac 7%
Mauriac 18% Carhaix-Plouguer 9% Segré 7%
Loudéac 19% Lannion 10% Avranches 7%
Calvi-L'Ile-Rousse 20% Loudéac 10% Brioude 8%
Lannion 20% Mauriac 10% Sablé-sur-Sarthe 8%
Avranches 20% Guingamp 11% Porto-Vecchio 8%
Guingamp 20% Ajaccio 11% La Flèche 8% Source : Recensement de 1982, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur l'intensité des tâches par métier. Champ : population active occupée.
La principale difficulté d’interprétation des résultats obtenus est liée au fait que la part de métiers routiniers en 1982 peut être corrélée à d’autres facteurs qui pourraient expliquer les évolutions de la distribution des métiers, et qui ne seraient pas pris en compte dans le modèle théorique. Pour traiter cette question, nous effectuons une analyse de la robustesse de nos résultats, pour vérifier qu’ils restent valides en ajoutant des variables de contrôle pour les facteurs explicatifs concurrents.
15
II - Statistiques descriptives
Avant d’estimer l’effet de la part initiale de métiers routiniers sur les évolutions de nos variables d’intérêt (part de métiers routiniers, de métiers des services et de métiers très qualifiés) entre 1990 et 2011 dans les marchés du travail locaux français, nous décrivons brièvement les dynamiques à l’œuvre, qui ont assez peu été documentées.
Tableau 4 : Part des métiers routiniers par zone d'emploi en 1990 et 2011
Part des métiers routiniers par zone d'emploi
1990 2011
Moyenne 33% Moyenne 31%
Écart-type 4% Écart-type 2%
Q3 36% Q3 33%
Médiane 33% Médiane 31%
Q1 30% Q1 30%
10 premières 10 premières
Roissy - Sud Picardie 41% Orly 36%
Cergy 41% Ajaccio 36%
Créteil 41% Vallée de la Bresle-Vimeu 36%
Paris 41% Créteil 36%
Vallée de la Bresle-Vimeu 42% Cergy 36%
Marne-la-Vallée 42% Marne-la-Vallée 37%
Orly 42% Roubaix-Tourcoing 38%
Saint-Omer 43% Longwy 38%
Roubaix-Tourcoing 45% Thionville 38%
Vallée de l'Arve 48% Vallée de l'Arve 39%
10 dernières 10 dernières
Ghisonaccia-Aléria 19% Saint-Flour 24%
Saint-Flour 20% Loudéac 24%
Carhaix-Plouguer 21% Mauriac 24%
Loudéac 21% Carhaix-Plouguer 25%
Mauriac 22% Pauillac 25%
Ploërmel 24% Ghisonaccia-Aléria 25%
Morvan 24% Thiérache 26%
Pauillac 24% Pontivy 26%
Pontivy 25% Morvan 26%
Brioude 25% Calvi-L'Ile-Rousse 26% Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur l'intensité des tâches par métier. Champ : population active occupée.
16
Tableau 5 : Part des métiers des services par zone d'emploi en 1990 et 2011
Part des métiers des services par zone d'emploi
1990 2011
Moyenne 22% Moyenne 28%
Écart-type 3% Écart-type 3%
Q3 23% Q3 30%
Médiane 22% Médiane 28%
Q1 20% Q1 26%
10 premières 10 premières
Ussel 27% Le Blanc 33%
Le Blanc 27% Saint-Amand-Montrond 33%
Corte 28% Verdun 33%
Céret 28% Honfleur 34%
Honfleur 28% Saint-Girons 34%
Berck-Montreuil 30% Calvi-L'Ile-Rousse 34%
Calvi-L'Ile-Rousse 30% Ussel 34%
Prades 31% Prades 34%
Briançon 33% Berck-Montreuil 35%
Menton Vallée de la Roya 34% Menton Vallée de la Roya 36%
10 dernières 10 dernières
Vallée de l'Arve 13% Vallée de l'Arve 19%
Morteau 14% Morteau 19%
Saint-Claude 15% Rambouillet 20%
Oyonnax 16% Saint-Quentin-en-Yvelines 20%
Les Herbiers 16% Paris 20%
Wissembourg 17% Oyonnax 21%
Thiers 17% Saclay 21%
Vallée de la Bresle-Vimeu 17% Saint-Claude 21%
Épernay 18% Les Herbiers 22%
Ambert 18% Wissembourg 22% Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur l'intensité des tâches par métier. Champ : population active occupée.
17
Tableau 6 : Part des métiers très qualifiés par zone d'emploi en 1990 et 2011
Part des métiers très qualifiés par zone d'emploi
1990 2011
Moyenne 12% Moyenne 15%
Écart-type 3% Écart-type 4%
Q3 13% Q3 17%
Médiane 11% Médiane 14%
Q1 10% Q1 13%
10 premières 10 premières
Cergy 20% Grenoble 26%
Créteil 20% Toulouse 28%
Lille 20% Aix-en-Provence 28%
Montpellier 21% Poissy 29%
Aix-en-Provence 22% Lille 29%
Paris 23% Versailles 30%
Versailles 23% Rambouillet 32%
Saint-Quentin-en-Yvelines 24% Saclay 35%
Rambouillet 26% Saint-Quentin-en-Yvelines 36%
Saclay 28% Paris 40%
10 dernières 10 dernières
Mayenne 7% Péronne 9%
L'Aigle 7% Mauriac 10%
Morteau 7% Loudéac 10%
Louhans 7% Louhans 10%
Ghisonaccia-Aléria 7% Chatillon 10%
Wissembourg 8% Saint-Flour 10%
Vitré 8% Brioude 10%
Segré 8% Jonzac-Barbezieux-Saint Hilaire 10%
Loudéac 8% Les Herbiers 10%
Nogent-le-Rotrou 8% Vallée de la Bresle-Vimeu 10% Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur l'intensité des tâches par métier. Champ : population active occupée.
Les tableaux 4, 5 et 6 montrent respectivement la part des métiers routiniers, très qualifiés et de service dans les différentes zones d’emploi en 1990 et en 2011. En premier lieu, on constate que les métiers routiniers et les métiers de service ne sont pas situés dans les mêmes zones d’emploi. La part de métiers des services est élevée sur les côtes atlantique et méditerranéenne, probablement en raison de l’importance de l’activité touristique dans ces zones, ainsi que dans certaines zones rurales. La part des métiers routiniers a diminué entre 1990 et 2011 et semble répartie de façon plus égale en 2011 qu’en 1990. En régressant l’évolution de cette part entre 1990 et 2011 sur la part de 1990 pour chaque zone d’emploi (tableau 7), on trouve en effet une relation significativement négative, qui indique une convergence de la part de métiers routiniers entre les zones. Cela est également vrai lorsqu’on distingue dans l’emploi les diplômés du supérieur et les autres. La part de métiers très qualifiés est plus importante dans les grandes agglomérations, plus encore en 2011 qu’en 1990 (tableau 8).
Nous ne présentons pas les résultats concernant les métiers très qualifiés séparément selon le niveau de diplôme, car les titulaires d’au plus le baccalauréat sont peu nombreux à occuper ces métiers. Enfin, la part des métiers de service a augmenté dans la plupart des zones d’emploi entre 1990 et 2011. Pour l’emploi des titulaires d’au plus un baccalauréat, on observe une relation négative entre l’évolution de cette part entre 1990 et 2011 et le niveau initial en 1990, ce qui indique également une convergence entre les zones d’emploi. Pour
18
l’emploi des diplômés du supérieur dans les métiers de service, l’effet n’est pas significatif. Dans la suite de l’article, nous nous concentrerons donc pour les métiers de service sur la part de ces métiers dans l’emploi des peu diplômés : les prédictions du modèle d’Autor et Dorn (2013) concernant les métiers de service portent en effet sur les travailleurs peu qualifiés, et nous utilisons ainsi une nomenclature comparable à celle qu’ils utilisent.
Tableau 7 : Dynamiques spatiales de la part de métiers routiniers dans l'emploi entre 1990 et 2011
Évolution de la part de métiers routiniers entre 1990 et 2011 Emploi total Diplômés du supérieur Titulaires au plus du bac
-0,467*** -0,445*** -0,395*** Part en 1990
(0,015) (0,021) (0,098)
Observations 304 304 304 Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine. Champ : population active occupée. Note : Écarts-type entre parenthèses. Les régressions sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. Pour chaque variable, l'évolution entre 1990 et 2011 est régressée sur son niveau initial en 1990. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
Tableau 8 : Dynamiques spatiales de la part de métiers très qualifiés et de métiers des services dans l'emploi entre 1990 et 2011
Évolution entre 1990 et 2011 de la part de métiers très qualifiés d'emplois des services Ensemble Diplômés du supérieur Titulaires au plus du bac
0,756*** -0,025 -0,227*** Part en 1990
(0,243) (0,146) (0,042)
Observations 304 304 304 Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine. Champ : population active occupée. Note : Écarts-type entre parenthèses. Les régressions sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. Pour chaque variable, l'évolution entre 1990 et 2011 est régressée sur son niveau initial en 1990. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
19
III - L’automatisation des emplois routiniers et ses conséquences
Autor et Dorn (2013) proposent une logique en deux temps pour expliquer les transformations des marchés locaux du travail : dans un premier temps, ils posent l’hypothèse que la disparition des emplois routiniers est due à l’adoption de TIC qui permettent leur automatisation. Dans un second temps, et grâce à leur modèle théorique de production, ils en déduisent des prédictions sur des phénomènes qui découleraient directement de cette automatisation : une plus forte baisse de ces emplois là où ils sont les plus nombreux, associée à un développement des emplois plus qualifiés et des emplois non qualifiés de service ou à une hausse du chômage.
Nous commençons par tester la première hypothèse, en vérifiant si la diffusion des TIC a été effectivement plus marquée dans les zones où les emplois routiniers étaient initialement les plus répandus. Contrairement à Autor et Dorn, nous n’avons accès à aucune mesure locale du capital informatique, ni à d’autres variables permettant de mesurer cette diffusion. Nous procédons donc à un test moins direct, mais néanmoins informatif. Celui-ci s’appuie sur la connaissance de l’évolution du stock de capital informatique par secteur au niveau national, ainsi que sur la répartition de l’emploi dans les différents secteurs pour chaque zone. Nous construisons pour chaque zone un « indice de diffusion des TIC », avec une méthode similaire à celle qu’utilisent Autor et al. (2013b) pour construire un indice d’exposition à la concurrence des importations. Nous calculons en 1990 et en 2011 et pour chaque secteur le niveau national de capital informatique, normalisé par l’emploi en 1982. Nous utilisons de préférence le niveau d’emploi de 1982 plutôt que le niveau courant, dans la mesure où ce dernier est probablement corrélé au capital informatique. Pour chaque zone d’emploi et chaque année, nous appliquons le capital informatique par tête de chaque secteur calculé précédemment à la structure sectorielle de l’emploi dans la zone en 1982. Cela donne une estimation du niveau local de capital informatique si la structure sectorielle de la zone était restée celle de 1982 avec une évolution intra-sectorielle d’utilisation du capital informatique correspondant à l’évolution nationale. L’évolution entre 1990 et 2011 de cet indicateur est une mesure de l’exposition de la zone à la diffusion des TIC liée à sa structure sectorielle (voir annexe B pour plus de détails). Par la suite, nous nous référerons à cet indicateur comme « l’évolution de l’exposition aux TIC entre 1990 et 2011 ». Il convient toutefois de noter que l’on ne mesure pas directement le niveau réel d’exposition aux TIC dans la zone d’emploi : on ne fait que l’approximer à travers la structure sectorielle.
La première colonne du tableau 9 confirme que les zones avec une part de métiers routiniers plus importante en 1982 ont été effectivement exposées à une évolution plus importante de leur exposition aux TIC entre 1990 et 2011. Mais ce constat doit-être différencié entre métiers routiniers de production et de support, ce que font les colonnes (2) et (3) du tableau 9. Il existe bien un lien significativement positif entre l’évolution de l’exposition aux TIC entre 1990 et 2011 et la part initiale de métiers routiniers de support, mais pas avec celle de métiers routiniers de production. Vu la manière dont notre indicateur est construit, cela signifie que les secteurs qui utilisaient beaucoup de tâches routinières pour les fonctions de production n’ont pas connu de développement du capital informatique supérieur aux secteurs avec une faible utilisation de tâches routinières de production entre 1990 et 2011. Cela pourrait indiquer que pour les fonctions de production, le progrès technique n’a pas pris la forme d’une augmentation de capital informatique, ou encore que l’adoption de l’informatique dans le secteur productif a eu lieu avant notre période d’étude. En revanche, les secteurs où les tâches routinières de support prenaient une place importante en 1982 ont connu un développement plus important du capital informatique9. Cela justifie d’autant plus la distinction des métiers routiniers selon leur fonction, de production ou de support, dans l’analyse menée par la suite.
9 Autor et Dorn (2013) mettent en évidence cette relation en contrôlant de l’appartenance sectorielle, car ils
disposent d’informations sur l’utilisation des PC au niveau des entreprises.
20
Tableau 9 : Part initiale de métiers routiniers dans l'emploi et évolution de l'exposition aux TIC entre 1990 et 2011 par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux TIC
1,792*** 1,991*** -0,427 Part de métiers routiniers en 1982
(0,282) (0,145) (0,388)
Type de métier routinier Ensemble Support Production
Observations 304 304 304 Source : Recensements de 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour le capital informatique. Champ : population active occupée. Note : Écarts-type entre parenthèses. Capital informatique en milliers d'euros. L'évolution de l'exposition aux TIC est calculée à partir de l'évolution nationale du capital informatique par emploi et par secteur, en pondérant pour chaque zone d'emploi par la structure sectorielle de l'emploi. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
Une fois vérifiée cette relation entre diffusion des TIC et part d’emplois routiniers en 1982, en particulier dans les fonctions support, nous pouvons tester les prédictions du modèle, à savoir : le fait que la baisse des emplois routiniers est d’autant plus marquée que leur part initiale est élevée, la croissance des emplois qualifiés, ainsi que les effets de report vers les emplois de service ou le chômage. Comme précédemment, il est préférable d’utiliser le niveau de 1982 de la part d’emplois routiniers comme point initial, plutôt que celui de 1990, pour tester ces prédictions.
Tableau 10 : Effet de la part initiale de métiers routiniers sur l'évolution entre 1990 et 2011 du marché du travail par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011
de la part de métiers routiniers
dans l'emploi
de la part de métiers très
qualifiés dans l'emploi
de la part de métiers des
services parmi les peu diplômés
du taux de chômage des peu
diplômés
(1) (2) (3) (4)
-0,353*** 0,482** 0,100*** 0,266*** Part en 1982 de métiers routiniers (0,014) (0,229) (0,025) (0,04)
Observations 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011. France métropolitaine. Champ : population active occupée ; population active pour le taux de chômage. Note : Écarts-type entre parenthèses. Peu diplômés : titulaires au plus du baccalauréat. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
Nous contrôlons tout d’abord que la part des métiers routiniers a bien diminué de façon plus importante entre 1990 et 2011 dans les zones où cette part était élevée en 1982 (colonne (1) du tableau 10). Nous régressons ensuite l’évolution de la part de métiers très qualifiés entre 1990 et 2011 et celle de la part des métiers des services dans l’emploi des travailleurs ayant au plus le bac sur la part en 1982 de métiers routiniers dans la zone. Les résultats correspondent respectivement aux colonnes (2) et (3) du tableau 10. Comme le modèle le prédit, les zones où la part initiale de métiers routiniers est élevée sont celles où la part de métiers routiniers a diminué, la part de métiers très qualifiés et de métiers des services ont augmenté. Le fait que les trois prédictions testables soient vérifiées tend à valider le modèle d’Autor et Dorn (2013).
Enfin, dans le modèle théorique, le transfert depuis les métiers routiniers vers les métiers de services repose sur le fait que les travailleurs les moins qualifiés sont immobiles et restent dans leur marché du travail local. Dans le contexte français, avec un salaire minimum élevé et un fort taux de chômage, cette hypothèse pourrait se traduire par le fait que les travailleurs les moins qualifiés se retrouvent au chômage, plutôt que de passer d’un emploi routinier à un emploi de services, en particulier si la demande pour des services à la personne est trop faible. C’est pourquoi nous testons l’effet de la part initiale de métiers routiniers sur l’évolution du taux de chômage des personnes ayant au plus le bac. La
21
colonne (4) du tableau 10 montre une relation positive et significative entre ces deux grandeurs. Il semble donc bien que dans le cas de la France, quand les emplois routiniers disparaissent, ils ne sont pas entièrement, mais seulement en partie remplacés par des emplois de services, ce qui explique qu’une part grandissante des travailleurs les moins qualifiés soient au chômage.
Nous testons également si ces résultats sont de nouveau différenciés en distinguant les deux types de tâches routinières, celles qui correspondent à des fonctions support et celles qui correspondent à des fonctions de production. Cela permet d’intégrer à notre analyse des mécanismes liés à la spécialisation fonctionnelle des territoires, telle qu’elle a pu être par exemple décrite par Duranton et Puga (2005). En effet, la spécialisation fonctionnelle des zones d’emploi (entres fonctions de management et de production) semble s’être accrue entre 1990 et 2011 (tableau 11) : les villes les plus petites se sont concentrées sur les fonctions de production pendant que les grandes villes se sont spécialisées dans les fonctions support. On peut alors imaginer que cette spécialisation fonctionnelle, simultanée au progrès technique, interagisse avec lui, donnant des résultats différents selon que les métiers routiniers relèvent des fonctions support ou production.
Tableau 11 : Spécialisation fonctionnelle par zone d'emploi en 1990 et 2011 Spécialisation fonctionnelle dans le management ou la production
Population locale 1990 2011
< 50 000 -0,52 -0,52
50 000-100 000 -0,44 -0,5
100 000-250 000 -0,36 -0,38
250 000-500 000 -0,17 -0,19
500 000-1 000 000 0,04 0,08
1 000 000-2 000 000 0,41 0,57
> 2 000 000 1,36 3,49 Source : Recensements de 1900 et 2011, France métropolitaine. Champ : population active occupée. Note: Cette mesure est semblable à celle utilisée par Duranton et Puga (2005). Il s'agit de la différence en pourcentage par rapport à la moyenne nationale du nombre de cadres et managers par travailleur de production (c'est-à-dire travaillant dans la production de précision, la fabrication ou l'assemblage). La dernière catégorie (plus de 2 millions d'habitants) ne contient que la zone d'emploi de Paris.
Le tableau 12 présente les mêmes estimations que précédemment, mais en séparant la part initiale de métiers routiniers en fonctions de production et en fonctions support. La part de chaque type de métier routinier a diminué davantage là où elle était initialement la plus élevée. Les résultats précédents sur la part de métiers de service dans l’emploi des titulaires au plus du bac et sur le taux de chômage des titulaires au plus du bac sont toujours valides : ils ont crû plus fortement là où la part initiale de métiers routiniers, de support et de production, était plus élevée. La part des métiers très qualifiés dans l’emploi a augmenté plus fortement dans les zones où la part de métiers routiniers de support était plus élevée, mais pas dans celles où la part de métiers routiniers de production était plus élevée. Ce dernier résultat contredit les prédictions d’Autor et Dorn (2013), notamment concernant la complémentarité entre les tâches routinières de production et les tâches abstraites. Mais l’on pourrait également penser que cette complémentarité ne requiert pas de proximité géographique, d’autant plus avec la diminution des coûts de communication liée au développement des TIC. Nos résultats tendent à montrer que la proximité géographique semble plus nécessaire pour les fonctions support que pour les fonctions de production.
Pour les personnes titulaires au plus du baccalauréat, l’effet du niveau initial de métiers routiniers est plus important sur le taux de chômage que sur la part de métiers des services. Cela signifie que la disparition plus importante d’emplois routiniers dans les zones les plus intenses en tâches routinières a mené à une augmentation plus forte du chômage plutôt qu’à une croissance de l’emploi dans les métiers de service. De plus, l’effet sur la part des métiers de service est plus fort avec les métiers routiniers de production plutôt qu’avec les métiers routiniers de support. Il semble ainsi que la demande pour des métiers de service a été moins importante dans les zones où se trouvaient les emplois routiniers de support que
22
dans celles où se trouvaient les emplois routiniers de production. Dans le modèle théorique d’Autor et Dorn (2013), les résultats pour les travailleurs peu qualifiés sont déterminés par leur immobilité et par la demande de services des consommateurs. Finalement, dans le cas français, les zones où la part de métiers de service a le plus augmenté et celles où la part de métiers très qualifiés a le plus augmenté ne semblent pas être les mêmes. Cela signifie que la croissance de la demande pour des métiers de service n’est pas imputable aux travailleurs locaux et l’hypothèse d’une consommation de services tirée par les plus qualifiés semble moins crédible. En observant les lieux où l’augmentation des métiers de service a eu lieu de façon plus importante, il apparaît plus probable que celle-ci soit due au vieillissement de la population ou au tourisme. La demande serait ainsi entraînée par des consommateurs qui ne sont plus dans l’emploi (retraités) ou qui ne travaillent pas sur place (touristes).
Tableau 12 : Effet de la part initiale de métiers routiniers de production et de support sur l'évolution entre 1990 et 2011 du marché du travail par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011
de la part de métiers routiniers
de production
de la part de métiers routiniers
de support
de la part de métiers très
qualifiés
de la part de métiers des services parmi les peu diplômés
du taux de chômage des peu diplômés
(1) (2) (3) (4) (5)
-0,444*** 0,028* -0,001 0,147*** 0,223*** Part en 1982 de métiers routiniers de
production (0,022) (0,015) (0,035) (0,023) (0,03)
-0,050*** -0,285*** 0,621*** 0,087** 0,279*** Part en 1982 de métiers routiniers de
support (0,01) (0,015) (0,213) (0,037) (0,042)
Observations 304 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine. Champ : population active occupée ; population active pour le taux de chômage. Note : Écarts-type entre parenthèses. Peu diplômés : titulaires au plus du baccalauréat; Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
23
IV - D’autres facteurs explicatifs d’un biais défavorable à l’emploi peu qualifié
Dans cette dernière partie, nous cherchons à tenir compte des autres facteurs potentiels d’explication de l’évolution de la demande de travail et à voir comment ces facteurs interagissent avec l’hypothèse du progrès technique et de l’automatisation des tâches routinières. En particulier, nous testons si les résultats obtenus dans la partie précédente sont robustes à l’introduction de ces explications alternatives. Nous testons dans un premier temps les résultats concernant les travailleurs peu diplômés. L’internationalisation du commerce est la principale explication alternative de la diminution de la demande relative pour les travailleurs peu diplômés. D’abord à travers les délocalisations : il est devenu moins cher d’effectuer certaines tâches dans d’autre pays, où les salaires sont plus bas. La facilité à délocaliser un métier est potentiellement corrélée à son intensité en tâches routinières : les tâches plus faciles à codifier sont plus faciles à délocaliser. Au contraire, les métiers des services à la personne sont plus difficilement délocalisables : ils sont définis précisément par la nécessité d’être effectués là où le consommateur se trouve. Autor et Dorn (2013) utilisent une mesure de la facilité de délocaliser un emploi fondée sur deux variables issues de la base de données sur les métiers (Occupational Information Network database) du Department of Labor américain : le fait d’avoir des contacts en face-à-face et le travail sur place. « La mesure capture le degré avec lequel un métier requiert soit des interactions interpersonnelles directes, soit une proximité avec un lieu de travail donné ». Nous utilisons leur base de données pour calculer une mesure similaire pour les PCS françaises, de la même façon que nous l’avons fait auparavant pour mesurer l’intensité des différents types de tâches. Le tableau 13 illustre le fait que les métiers les plus facilement délocalisables sont ceux des employés de bureau. Les emplois des ouvriers industriels ne sont pas considérés comme facilement délocalisables avec cette mesure10. Nous calculons ensuite le niveau moyen de cet indice de facilité à délocaliser pour chaque zone d’emploi en fonction de la structure des PCS dans l’emploi, et nous utilisons ce niveau moyen en 1982 pour nos tests de robustesse. Cette mesure est positivement corrélée, sur l’ensemble des zones d’emploi, à la part de métiers routiniers dans les fonctions support en 1982, mais pas à la part de métiers routiniers dans les fonctions de production.
Tableau 13 : Facilité de délocalisation des groupes de métiers
Offshorability index
Managers/Cadres/Ingénieurs -
Ouvriers artisanaux +
Transport/Construction/Agriculture +
Ouvriers industriels -
Vendeurs -
Employés +
Métiers des services - Source : Recensement de 1982, France métropolitaine, base établie par Autor et Dorn (2013) sur la facilité de délocalisation par métier. Champ : population active occupée. Note : (+) indique une valeur au-dessus de la moyenne de l'ensemble des métiers en 1982 et (-) une valeur en dessous de cette moyenne.
Une autre voie par laquelle la mondialisation peut avoir un effet sur la demande de travail est à travers la concurrence des importations. La croissance du commerce international aurait induit une concurrence des importations plus importante pour les secteurs employant des travailleurs peu qualifiés, et donc une demande moindre pour ces métiers, qui sont potentiellement des métiers routiniers, dans l’industrie par exemple. Nous construisons une
10 Ce résultat paraît surprenant à première vue, mais est confirmé par la plupart des mesures de la facilité à
délocaliser (voir par exemple Blinder et Krueger (2013)). Il peut s’expliquer par le fait que un emploi industriel se situe souvent au sein d’une équipe de production. La délocalisation devrait alors concerner l’ensemble de l’équipe et est, de ce fait, plus difficile.
24
mesure de l’exposition à la concurrence des importations pour chaque zone d’emploi à partir de la structure sectorielle de la zone, de façon très similaire à celle utilisée par Autor et al. (2013a) et à notre indicateur de diffusion des TIC. Plus précisément, nous appliquons le niveau national des importations par emploi et par secteur à la structure sectorielle de chaque zone d’emploi. Nous utilisons ensuite l’évolution de cette mesure entre 1990 et 2011, pour représenter l’intensité avec laquelle la structure d’emploi locale a été exposée à la concurrence des importations, en fonction de l’évolution nationale des importations entre 1990 et 2011 (voir annexe B pour plus de détails). Le tableau 14 montre que cette mesure est positivement et significativement corrélée à la part de métiers routiniers dans l’emploi en 1982, et plus fortement avec les métiers routiniers de production qu’avec les métiers routiniers de support.
Tableau 14 : Part initiale de métiers routiniers et évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition à la concurrence des importations par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition à la concurrence des importations
(1) (2) (3)
1,007*** 0,396** 1,386*** Part de métiers routiniers en 1982
(0,207) (0,179) (0,387)
Type de métier routinier Ensemble Support Production
Observations 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour les données sur les importations. Champ : population active occupée. Note : Écarts-type entre parenthèses. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
Nous ajoutons les mesures de facilité à délocaliser en 1982 et d’évolution de la concurrence des importations entre 1990 et 2011 comme contrôles dans nos régressions de la part des métiers de service dans l’emploi des peu diplômés et du taux de chômage des peu diplômés sur la part initiale de métiers routiniers (tableaux 15, et 16 avec la séparation des fonctions support et production). Ces deux nouvelles variables sont positivement corrélées à l’évolution de la part de métiers des services et du taux de chômage des peu diplômés. Les effets de la part initiale des métiers routiniers, pris dans leur ensemble ou séparément, sont plus faibles que précédemment mais restent significatifs. En termes de comparaison des effets11, l’effet de la part initiale de métiers routiniers et celui de la concurrence des importations sont du même ordre de grandeur, alors que celui de la facilité à délocaliser est sensiblement moins important. Nos résultats sur l’hypothèse de l’automatisation sont donc toujours valides, même en contrôlant de l’effet potentiel des délocalisations et de la concurrence des importations. Ils suggèrent en outre un effet d’ampleur similaire de la concurrence des importations.
Comme nous l’avons mentionné précédemment, dans la mesure où la part des métiers des services pour les peu diplômés augmente moins là où la part de métiers très qualifiés a crû, il est peu probable que nos résultats soient déterminés par une demande liée à la consommation des travailleurs. Mais la demande pour les services à la personne peut être également déterminée par des transformations démographiques. Une participation plus élevée des femmes au marché du travail peut se traduire par une demande plus forte pour des services habituellement réalisés au sein du foyer comme le ménage ou la garde des enfants. Le vieillissement de la population peut induire une demande plus importante de services à domicile. Bien qu’il n’y ait a priori pas de raison évidente pour que ces effets démographiques soient liés à la part de métiers routiniers dans la zone d’emploi, une corrélation fallacieuse pourrait biaiser nos estimations. En ajoutant la participation des femmes et la part de plus de 75 ans en 1982 comme contrôles dans nos régressions, les résultats restent globalement identiques en ce qui concerne la part d’emplois de service et le taux de chômage pour les travailleurs peu qualifiés (tableaux 15, et 16 avec la séparation
11 On peut comparer l’effet des différentes variables en multipliant la valeur estimée du coefficient par l’écart-type de
cette variable, ce qui revient à estimer un modèle où les variables auraient été centrées réduites auparavant.
25
des fonctions support et production), ainsi que pour la part de métiers routiniers (tableau 21 en annexe).
Tableau 15 : Robustesse de l'effet de la part initiale de métiers routiniers sur l'évolution entre 1990 et 2011 du marché du travail pour les peu diplômés par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de la part d'emploi des services
parmi les titulaires d'au plus le baccalauréat
(1) (2) (3) (4) (5)
0,105*** 0,123*** 0,092*** 0,082*** 0,085*** Part en 1982 de métiers routiniers
(0,023) (0,027) (0,024) (0,031) (0,029)
-0,01 -0,018 Participation des femmes en 1982
(0,026) (0,026)
0,112** 0,212*** Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,052) (0,048)
0,001 0,002** Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,001)
0,005*** 0,009*** Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports (0,002) (0,002)
Observations 304 304 304 304 304
Évolution entre 1990 et 2011 du taux de chômage
des titulaires d'au plus un baccalauréat
(1) (2) (3) (4) (5)
0,221*** 0,256*** 0,164*** 0,246*** 0,122*** Part en 1982 de métiers routiniers
(0,019) (0,05) (0,024) (0,048) (0,03)
0,106*** 0,094*** Participation des femmes en 1982
(0,022) (0,027)
-0,053 0,008 Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,064) (0,045)
0,007*** 0,004*** Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,002)
0,006** 0,011*** Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports (0,003) (0,003)
Observations 304 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour les données sur les importations. Champ : population active occupée ; population active pour le taux de chômage. Note: Écarts-type entre parenthèses. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
26
Tableau 16 : Robustesse de l'effet de la part initiale de métiers routiniers de production ou de support sur l'évolution entre 1990 et 2011 du marché du travail
pour les peu diplômés par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de la part d'emploi des services
parmi les titulaires d'au plus le baccalauréat
(1) (2) (3) (4) (5)
0,148*** 0,161*** 0,140*** 0,104*** 0,083*** Part en 1982 de métiers routiniers de production
(0,024) (0,024) (0,023) (0,027) (0,024)
0,084** 0,110*** 0,039 0,078** 0,086* Part en 1982 de métiers routiniers de support
(0,035) (0,04) (0,044) (0,038) (0,048)
0,006* -0,018 Participation des femmes en 1982
(0,03) (0,025)
0,103* 0,214*** Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,057) (0,06)
0,003 0,002 Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,002) (0,001)
0,005*** 0,009*** Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports (0,002) (0,002)
Observations 304 304 304 304 304
Évolution entre 1990 et 2011 du taux de chômage
des titulaires d'au plus un baccalauréat
(1) (2) (3) (4) (5)
0,236*** 0,217*** 0,201*** 0,147*** 0,125*** Part en 1982 de métiers routiniers de production
(0,031) (0,031) (0,029) (0,035) (0,037)
0,213*** 0,269*** 0,123*** 0,263*** 0,119*** Part en 1982 de métiers routiniers de support
(0,024) (0,054) (0,036) (0,042) (0,038)
0,112*** 0,094*** Participation des femmes en 1982
(0,025) (0,027)
-0,043 0,005 Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,067) (0,049)
0,008*** 0,004** Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,002)
0,009*** 0,011*** Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports (0,003) (0,003)
Observations 304 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour les données sur les importations. Champ : population active occupée ; population active pour le taux de chômage. Note: Écarts-type entre parenthèses. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
Qu’en est-il des résultats obtenus sur la part de métiers très qualifiés ? En contrôlant des effets de la concurrence des importations et des délocalisations, les résultats sont similaires à notre modèle principal (tableau 17). D’autres explications à la concentration des travailleurs les plus diplômés dans certaines zones seraient, comme nous l’avons vu, la spécialisation fonctionnelle des grandes agglomérations proposée par Duranton et Puga (2005) ou un accroissement des économies d’agglomérations pour les métiers les plus qualifiés (Baum-Snow et al. (2014)). Si les zones à forte densité (c’est-à-dire celles où les économies d’agglomérations sont potentiellement les plus fortes) sont les mêmes que celles où la part initiale de métiers routiniers de support est élevé, cela pourrait donc biaiser notre estimation. Nous ajoutons donc comme variable de contrôle la densité de la zone d’emploi
27
en 1982 (tableau 17). D’abord, nous constatons qu’une forte densité en 1982 est effectivement corrélée à une augmentation plus importante de la part de métiers très qualifiés entre 1990 et 2011, avec un effet du même ordre de grandeur que celui des parts initiales de métiers routiniers. Les métiers les plus qualifiés correspondant principalement à des fonctions support, cela est cohérent avec le modèle de spécialisation fonctionnelle des agglomérations proposé par Duranton et Puga (2005).
Ensuite, nos résultats précédents restent valides. La part de métiers très qualifiés a augmenté davantage dans les zones où la part de métiers routiniers de support était élevée, mais pas là où la part de métiers routiniers de production était élevée. La conclusion d’une complémentarité spatiale entre les tâches routinières de support et les tâches abstraites reste valable.
Tableau 17 : Robustesse de l'effet de la part initiale de métiers routiniers de production ou de support sur l'évolution entre 1990 et 2011 de la part de métiers très qualifiés par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de la part de métiers très
qualifiés
(1) (2) (3) (4)
-0,055* -0,041 -0,018 -0,075** Part en 1982 de métiers routiniers de production
(0,029) (0,039) (0,042) (0,032)
0,198*** 0,327*** 0,618*** 0,166*** Part en 1982 de métiers routiniers de support
(0,065) (0,081) (0,213) (0,059)
0,013*** 0,012*** Densité en 1982
(0,001) (0,001)
0,015*** 0,002 Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,006) (0,003)
0,002 0,002 Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports (0,003) (0,002)
Observations 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour les données sur les importations. Champ : population active occupée. Note: Écarts-type entre parenthèses. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
28
Conclusion
Nous montrons qu’il existe une automatisation des tâches, aussi bien dans les fonctions support que dans les fonctions de production, en France entre 1990 et 2011. Plus précisément, nous montrons que le développement des TIC a fait disparaître des emplois peu qualifiés intenses en tâches routinières. Une partie seulement de ces emplois a été transformée en emplois de service (tâches manuelles), ce qui a conduit également à une augmentation du chômage. Cela pourrait expliquer la transformation de la demande de travail sur cette période, biaisée en faveur des plus qualifiés, ainsi que ses composantes spatiales.
Dans le même temps, une spécialisation fonctionnelle des marchés du travail locaux semble avoir eu lieu et a probablement contribué à la transformation spatiale de la demande : les métiers les plus qualifiés se sont concentrés dans les zones où ils étaient déjà le plus représentés, et où les métiers routiniers de support étaient également surreprésentés.
Nous montrons enfin que ces résultats sont robustes à l’introduction d’explications alternatives comme les délocalisations, la concurrence des importations ou encore les économies d’agglomération. Pour autant, nous n’excluons pas que celles-ci aient pu jouer également un rôle dans la transformation de la demande. Évaluer la pertinence de ces explications est cependant au-delà de l’objectif de la présente analyse, mais pourra faire l’objet de recherches ultérieures.
29
Bibliographie
AUBERT, P. ET P. SILLARD (2005) : “Délocalisations et réductions d’effectifs dans l’industrie française», in L’économie française : comptes et dossiers, INSEE, 57–89.
AUTOR, D. H. ET D. DORN (2013) : “The Growth of Low-Skill Service Jobs and the Polarization of the US Labor Market,” American Economic Review, 103, 1553–97.
AUTOR, D. H., D. DORN, ET G. H. HANSON (2013a) : “The China Syndrome : Local Labor Market Effects of Import Competition in the United States,” American Economic Review, 103, 2121–68.
——— (2013b) : “Untangling Trade and Technology : Evidence from Local Labor Markets,” NBER Working Papers 18938, National Bureau of Economic Research, Inc.
AUTOR, D. H., L. F. KATZ; AND M. S. KEARNEY (2008) : “Trends in U.S. Wage Inequality : Revising the Revisionists,” The Review of Economics and Statistics, 90, 300-323.
AUTOR, D. H., F. LEVY, ET R. J. MURNANE (2003) : “The Skill Content Of Recent Technological Change : An Empirical Exploration,” The Quarterly Journal of Economics, 118, 1279–1333.
BAUM-SNOW, N., M. FREEDMAN, ET R. PAVAN (2014) : “Why Has Urban Inequality Increased ?” Working papers.
BEAUDRY, P., M. DOMS, ET E. LEWIS (2006) : “Endogenous Skill Bias in Technology Adoption : City-Level Evidence from the IT Revolution,” NBER Working Papers 12521, National Bureau of Economic Research, Inc.
——— (2010) : “Should the Personal Computer Be Considered a Technological Revolution ? Evidence from U.S. Metropolitan Areas,” Journal of Political Economy, 118, 988 – 1036.
BARLET, M., BLANCHET D. ET L. CRUSSON (2009) : “Globalisation et flux d’emploi : que peut dire une approche comptable ?,” Économie et Statistique, n°427-428, 3-20.
BLINDER, A. S. ET A. B. KRUEGER (2013) : “Alternative Measures of Offshorability : A Survey Approach,” Journal of Labor Economics 31 (2)
CAROLI, E. ET J. VAN REENEN (2001) : “Skill-Biased Organizational Change ? Evidence From A Panel Of British And French Establishments,” The Quarterly Journal of Economics, 116, 1449–1492.
CHARNOZ, P., C. LELARGE ET C. TREVIEN (2016) : “Communication Costs and the Internal Organization of Multi-Plant Businesses: Evidence from the Impact of the French High-Speed Rail,” Document de travail INSEE n°G2016/02
CHARNOZ, P. ET M. ORAND (2016) : “Une concentration spatiale accrue des diplômés du supérieur en France entre 1991 et 2011,” in Insee Références 2016 : Emploi, chômage, revenus du travail, INSEE, 67–77.
DURANTON, G. ET D. PUGA (2005) : “From sectoral to functional urban specialisation,” Journal of Urban Economics, 57, 343–370.
FIRPO, S., N. M. FORTIN, ET T. LEMIEUX (2011) : “Occupational Tasks and Changes in the Wage Structure,” IZA Discussion Papers 5542, Institute for the Study of Labor (IZA).
FONTAGNÉ, L. ET A. D’ISANTO (2013) : “Chaînes d’activité mondiales : Des délocalisations d’abord vers l’Union européenne,” Insee Première, 1451.
30
GOOS, M., A. MANNING, ET A. SALOMONS (2009) : “Job Polarization in Europe,” American Economic Review, 99, 58–63.
———(2014) : “Explaining Job Polarization : Routine-Biased Technological Change and Offshoring,” American Economic Review, 104, 2509–26.
GOUX, D. ET E. MAURIN (2000) : “The Decline in Demand for Unskilled Labor : an Empirical Analysis Method and Its Application to France,” The Review of Economics and Statistics, 82, 596–607.
GROSSMAN, G. M. ET E. ROSSI-HANSBERG (2008) : “Trading Tasks : A Simple Theory of Offshoring,” American Economic Review, 98, 1978–97.
JOLLY C. (2015) : “La polarisation des emplois : une réalité américaine plutôt qu’européenne,” Document de Travail France Stratégie n°2015-04
LINDLEY, J. ET S. MACHIN (2014) : “Spatial changes in labour market inequality,” Journal of Urban Economics, 79, 121 – 138, spatial Dimensions of Labor Markets.
LORENTOWICZ, A., D. MARIN, ET A. RAUBOLD (2005) : “Is Human Capital Losing from Outsourcing ? Evidence for Austria and Poland,” Discussion Papers in Economics 715, University of Munich, Department of Economics.
MACHIN, S. ET J. VAN REENEN (1998) : “Technology and Changes in Skill Structure : Evidence from Seven OECD Countries,” The Quarterly Journal of Economics, 113, 1215–1244.
MALGOUYRES, C. (2014) : “Chinese imports competition’s impact on employment and the wage distribution : evidence from French local labor markets,” Economics Working Papers ECO2014/12, European University Institute.
MICHAELS, G., A. NATRAJ, ET J. VAN REENEN (2014) : “Has ICT Polarized Skill Demand ? Evidence from Eleven Countries over Twenty-Five Years,” Review of Economics and Statistics, 96, 60–77.
MORETTI, E. (2013) : “Real Wage Inequality,” American Economic Journal : Applied Economics, 5, 65–103.
PAK M. ET POISSONNIER A. (2016) : “Accounting for technology, trade and final consumption in employment: an Input-Output decomposition,” Document de travail Insee, à paraître.
RIGBY, D., T. KEMENY, ET A. COOKE (2015) : “US Wage Inequality and Low-Wage Import Competition,” Tijdschrift voor economische en sociale geografie.
31
Annexes
A Métiers et tâches
Nous apparions la classification française des catégories socioprofessionnelles avec des données publiées par Autor et Dorn (2013), elles-mêmes issues d’une méthode développée dans Autor et al. (2003). Ces données sont calculées en utilisant le Dictionary of Occupational Titles (DOT) du Department of Labor américain, qui permet de connaître les tâches exercées dans chaque métier, qui sont ensuite classées en trois catégories : abstraite, routinière ou manuelle. Nous apparions les PCS françaises de 1982 avec la classification américaine des métiers pour obtenir une mesure de l’intensité en tâches abstraites, routinières ou manuelles pour chaque PCS à 4 chiffres. Pour cela, nous supposons que les tâches effectuées pour un même métier en France et aux États-Unis sont similaires. Un autre point est important est que le contenu des métiers peut évoluer. En particulier, des métiers intenses en tâches routiniers peuvent voir cette intensité diminuer avec le développement de l’informatique sans pour autant changer de dénomination. Cela n’est pas pris en compte dans la mesure d’Autor et Dorn (2013), qui se fonde sur le millésime 1977 du DOT, mais c’est une stratégie plutôt prudente, dans la mesure où elle sous-estime probablement le déclin des tâches routinières. Il convient enfin de noter que nous n’utilisons l’intensité des métiers dans les différentes tâches uniquement pour classer les PCS en 1982, et que nous n’analysons ensuite que les variations des parts des différents métiers dans l’emploi.
Nous séparons également les métiers selon qu’ils participent d’une fonction de production ou d’une fonction support, en application du modèle théorique de Duranton et Puga (2005). Le tableau 18 présente les PCS de 1982 que nous définissons comme des fonctions support. Nous conservons les fonctions de management, administratives et commerciales quand l’activité principale de l’entreprise n’est pas le commerce, en considérant dans ce cas qu’ils sont une fonction support de l’activité principale de l’entreprise.
Tableau 18 : Catégories socioprofessionnelles définies comme des fonctions support PCS 1982 Description
23 Salariés chefs d'entreprise 33 Cadres de la fonction publique 37 Cadres administratifs et commerciaux 38 Ingénieurs et cadres techniques 45 Professions intermédiaires de la fonction publique 46 Professions administratives et commerciales
sauf techniciens artistiques, professions du tourisme et de la restauration, ne travaillant pas dans le secteur commercial
52 Employés de la fonction publique, sauf 5216, 5217, 5221, 5222, 5223, 5445 (santé et service)
54 Employés administratifs d'entreprise
Tableau 19 : Professions et catégories socioprofessionnelles définies comme très qualifiées PCS 1982 Description
2244 Indépendants gestionnaires de spectacle ou de service récréatif, de 0 à 9 salariés 2246 Indépendants gestionnaires d'établissement privé d'enseignement, de santé, d'action sociale, de 0 à 9 salariés
23 Salariés chefs d'entreprise
3 Cadres et professions intellectuelles supérieures
42 Professeurs des écoles, instituteurs et professions assimilées
32
Tableau 20 : Catégories socioprofessionnelles définies comme métiers des services PCS 1982 Description
2101 Artisans boulangers, pâtissiers, de 0 à 2 salariés 2102 Artisans boulangers, pâtissiers, de 3 à 9 salariés 2103 Artisans bouchers, de 0 à 2 salariés 2104 Artisans bouchers, de 3 à 9 salariés 2105 Artisans charcutiers, de 0 à 2 salariés 2106 Artisans charcutiers, de 3 à 9 salariés 2107 Autres artisans de l'alimentation 2171 Conducteurs de taxi artisans 2172 Artisans coiffeurs, manucures, esthéticiens 2173 Artisans teinturiers, blanchisseurs 2174 Artisans des services divers 2181 Transporteurs routiers Indépendants, de 0 à 3 salariés 2182 Bateliers Indépendants, de 0 à 9 salariés 2190 Aides familiaux non salariés ou associés d'artisans effectuant un travail administratif ou commercial 4311 Cadres infirmiers et assimilés 4312 Infirmiers psychiatriques 4313 Puéricultrices 4314 Infirmiers spécialisés (autres que puéricultrices) 4315 Infirmiers en soins généraux 4316 Infirmiers libéraux 4321 Sages-femmes 4322 Spécialistes de la rééducation et diététiciens 4323 Spécialistes de la rééducation et pédicures, libéraux 4324 Techniciens médicaux 4325 Spécialistes de l'appareillage médical 4326 Spécialistes de l'appareillage médical, Indépendants 4327 Préparateurs en pharmacie 4331 Assistantes sociales 4332 Éducateurs spécialisés 4333 Animateurs socioculturels et de loisirs 4334 Conseillers familiaux 4411 Clergé séculier 4412 Clergé régulier 5216 Agents de service des établissements d'enseignement 5217 Agents de service de la fonction publique (sauf écoles, hôpitaux) 5221 Aides-soignants 5222 Agents de service hospitaliers 5223 Ambulanciers 5311 Agents de police 5312 Gendarmes 5313 Sergents 5314 Hommes du rang 5315 Pompiers 5316 Agents techniques des eaux et forêts 5317 Agents de sécurité, de surveillance 5445 Agents et hôtesses d'accompagnement (transports, tourisme) 5611 Serveurs et commis de restaurant ou de café 5614 Employés de l'hôtellerie 5621 Manucures, esthéticiennes 5622 Coiffeurs 5631 Assistantes maternelles, gardiennes d'enfants, travailleuses familiales 5632 Employés de maison et femmes de ménages chez des particuliers 5633 Concierges, gardiens d'immeubles 5634 Employés des services divers 6301 Jardiniers 6351 Bouchers (sauf industrie de la viande) 6352 Charcutiers (sauf industrie de la viande) 6353 Boulangers, pâtissiers (sauf activité industrielle) 6354 Cuisiniers qualifiés 6411 Conducteurs routiers et grands routiers 6412 Conducteurs de véhicule routier de transport en commun 6413 Conducteurs de taxi 6414 Conducteurs de voiture particulière 6415 Conducteurs-livreurs, coursiers 6851 Apprentis boulangers, bouchers, charcutiers 6891 Nettoyeurs
33
B Indices d’exposition à la concurrence des importations et à la diffusion des TIC
Nous calculons deux indices supplémentaires à partir de données des Comptes Nationaux de l’Insee, sur notre période d’étude (1982, 1990 et 2011).
Nous calculons un indice d’exposition à la concurrence des importations, semblable à celui utilisé par Autor et al. (2013a). Cependant, contrairement à eux, nous n’utilisons pas les exportations chinoises comme instrument, puisque notre but ici n’est pas d’estimer précisément les effets de la compétition à l’import, mais simplement de contrôler de ces effets. Malgouyres (2014) utilise une telle instrumentation dans le cas français. Nous utilisons des données sur les importations de biens et services (volumes chaînés) et calculons les importations par emploi au niveau national pour chaque année et chaque secteur. Le niveau le plus fin utilisable, commun à ces données et au recensement, comporte 21 secteurs, dont 11 sont des secteurs industriels. Pour chaque zone d’emploi, nous calculons la moyenne des importations par emploi en fonction de la structure sectorielle de l’emploi en 1982. Cet indice mesure donc le degré avec lequel l’emploi de la zone en 1982 était exposé à la concurrence des importations, à tendance nationale et structure sectorielle données.
Nous calculons également un indice permettant de mesurer l’exposition à la diffusion des TIC dans une zone d’emploi. Nous utilisons le capital net informatique (au prix de l’année précédente, en volumes chaînés) de chaque secteur et chaque année. Nous calculons un capital informatique par emploi à un niveau national pour chaque année, puis nous calculons la moyenne du capital informatique dans chaque zone d’emploi en fonction de la structure sectorielle de l’emploi en 1982. Cet indice mesure donc l’exposition de l’emploi de la zone en 1982 à la diffusion des TIC, à tendance nationale et structure sectorielle données.
34
C Tableau additionnel
Tableau 21 : Robustesse de l'effet de la part initiale de métiers routiniers sur l'évolution entre 1990 et 2011 de la part de métiers routiniers par zone d'emploi
Évolution entre 1990 et 2011 de la part
de métiers routiniers dans l'emploi
(1) (2) (3) (4) (5)
-0,340*** -0,365*** -0,347*** -0,348*** -0,357***Part en 1982 de métiers routiniers
(0,022) (0,019) (0,029) (0,016) (0,03)
-0,03 -0,060**Participation des femmes en 1982
(0,024) (0,026)
-0,059 -0,085**Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,038) (0,035)
0 0,002* Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,001)
-0,001 -0,004**Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports
(0,002) (0,002)
Observations 304 304 304 304 304
Évolution entre 1990 et 2011 de la part
de métiers routiniers de support dans l'emploi
(1) (2) (3) (4) (5)
-0,272*** -0,298*** -0,269*** -0,290*** -0,278***Part en 1982 de métiers routiniers de support
(0,019) (0,017) (0,028) (0,015) (0,033)
-0,030* -0,027 Participation des femmes en 1982
(0,018) (0,017)
-0,039 -0,02 Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,027) (0,032)
-0,001 0,00002Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,001)
0,001 0,0002 Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports
(0,001) (0,001)
Observations 304 304 304 304 304
Évolution entre 1990 et 2011 de la part
de métiers routiniers de production dans l'emploi
(1) (2) (3) (4) (5)
-0,438*** -0,419*** -0,435*** -0,414*** -0,435***Part en 1982 de métiers routiniers de production
(0,019) (0,021) (0,02) (0,023) (0,022)
-0,045*** -0,028* Participation des femmes en 1982
(0,01) (0,015)
0,03 0,013 Part en 1982 des plus de 75 ans
(0,024) (0,025)
-0,002*** -0,001* Indice de facilité à délocaliser en 1982
(0,001) (0,001)
-0,001 -0,0005 Évolution entre 1990 et 2011 de l'exposition aux imports
(0,002) (0,002)
Observations 304 304 304 304 304 Source : Recensements de 1982, 1990 et 2011, France métropolitaine, insee.fr pour les données sur les importations. Note : Écarts-type entre parenthèses. Les estimations sont pondérées par la population en emploi de la zone en 1982. *p<0,10 ** p<0,05 *** p<0,01.
G 9
001
J.
FA
YO
LLE
et
M. F
LE
UR
BA
EY
A
ccum
ulat
ion,
pro
fitab
ilité
et e
ndet
tem
ent
des
entr
epris
es
G 9
002
H
. RO
US
SE
D
étec
tion
et e
ffets
de
la m
ultic
olin
éarit
é da
ns le
s m
odèl
es li
néai
res
ordi
naire
s -
Un
prol
onge
men
t de
la r
éfle
xion
de
BE
LS
LE
Y,
KU
H e
t W
ELS
CH
G 9
003
P
. R
ALL
E e
t J.
TO
UJA
S-B
ER
NA
TE
In
dexa
tion
des
sala
ires
: la
rupt
ure
de 1
983
G 9
004
D
. GU
EL
LEC
et P
. RA
LLE
C
ompé
titiv
ité, c
rois
sanc
e et
inno
vatio
n de
pro
duit
G 9
005
P
. R
ALL
E e
t J.
TO
UJA
S-B
ER
NA
TE
Le
s co
nséq
uenc
es d
e la
dés
inde
xatio
n. A
naly
se
dans
une
maq
uette
prix
-sal
aire
s
G 9
101
É
quip
e A
MA
DE
US
Le
mod
èle
AM
AD
EU
S -
Pre
miè
re p
artie
-P
rése
ntat
ion
géné
rale
G 9
102
J.L.
BR
ILLE
T
Le m
odèl
e A
MA
DE
US
- D
euxi
ème
part
ie -
Pro
prié
tés
varia
ntie
lles
G 9
103
D
. GU
EL
LEC
et P
. RA
LLE
E
ndog
enou
s gr
owth
and
pro
duct
inno
vatio
n
G 9
104
H
. RO
US
SE
Le
mod
èle
AM
AD
EU
S -
Tro
isiè
me
part
ie -
Le
com
mer
ce e
xtér
ieur
et
l'env
ironn
emen
t in
tern
atio
nal
G 9
105
H
. RO
US
SE
E
ffet
s de
dem
ande
et
d'of
fre
dans
les
résu
ltats
du
com
mer
ce e
xtér
ieur
man
ufac
turé
de
la F
ranc
e au
co
urs
des
deux
der
nièr
es d
écen
nies
G 9
106
B
. C
RE
PO
N
Inno
vatio
n, t
aille
et c
once
ntra
tion
: ca
usal
ités
et
dyna
miq
ues
G 9
107
B.
AM
AB
LE e
t D.
GU
ELL
EC
U
n pa
nora
ma
des
théo
ries
de la
cro
issa
nce
endo
gène
G 9
108
M. G
LAU
DE
et M
. MO
UT
AR
DIE
R
Une
éva
luat
ion
du c
oût
dire
ct d
e l'e
nfan
t de
1979
à
1989
G 9
109
P
. R
ALL
E e
t alii
F
ranc
e -
Alle
mag
ne :
perf
orm
ance
s éc
onom
ique
s co
mpa
rées
G 9
110
J.L.
BR
ILLE
T
Mic
ro-D
MS
N
ON
PA
RU
G 9
111
A
. M
AG
NIE
R
Eff
ets
accé
léra
teu
r e
t mul
tiplic
ate
ur e
n F
ranc
e de
puis
197
0 :
quel
ques
rés
ulta
ts e
mpi
rique
s
G 9
112
B
. C
RE
PO
N e
t G. D
UR
EA
U
Inve
stis
sem
ent e
n re
cher
che-
déve
lopp
emen
t :
anal
yse
de c
ausa
lités
dan
s un
mod
èle
d'ac
célé
-ra
teur
gén
éral
isé
G 9
113
J.
L. B
RIL
LET
, H.
ER
KE
L-R
OU
SS
E,
J. T
OU
JAS
-B
ER
NA
TE
"F
ranc
e-A
llem
agne
Cou
plée
s" -
Deu
x éc
onom
ies
vues
par
une
maq
uette
mac
ro-é
cono
mét
rique
G 9
201
W
.J. A
DA
MS
, B. C
RE
PO
N, D
. EN
CA
OU
A
Cho
ix te
chno
logi
ques
et s
trat
égie
s de
dis
suas
ion
d'en
trée
G 9
202
J.
OLI
VE
IRA
-MA
RT
INS
, J.
TO
UJA
S-B
ER
NA
TE
Mac
ro-e
cono
mic
impo
rt f
unct
ions
with
impe
rfec
t co
mpe
titio
n -
An
appl
icat
ion
to th
e E
.C.
Tra
de
G 9
203
I.
ST
AP
IC
Les
écha
nges
inte
rnat
iona
ux d
e se
rvic
es d
e la
F
ranc
e da
ns le
cad
re d
es n
égoc
iatio
ns m
ultil
a-té
rale
s du
GA
TT
J
uin
1992
(1è
re v
ersi
on)
Nov
embr
e 19
92 (
vers
ion
final
e)
G 9
204
P
. S
EV
ES
TR
E
L'éc
onom
étrie
sur
don
nées
indi
vidu
elle
s-te
mpo
relle
s. U
ne n
ote
intr
odu
ctiv
e
G 9
205
H
. ER
KE
L-R
OU
SS
E
Le c
omm
erce
ext
érie
ur e
t l'e
nviro
nnem
ent
in-
tern
atio
nal d
ans
le m
odèl
e A
MA
DE
US
(r
éest
imat
ion
1992
)
G 9
206
N
. GR
EE
NA
N e
t D
. GU
EL
LEC
C
oord
inat
ion
with
in th
e fir
m a
nd e
ndog
enou
s gr
owth
G 9
207
A.
MA
GN
IER
et
J. T
OU
JAS
-BE
RN
AT
E
Tec
hnol
ogy
and
trad
e: e
mpi
rical
evi
denc
es fo
r th
e m
ajor
five
indu
stria
lized
cou
ntrie
s
G 9
208
B
. C
RE
PO
N, E
. DU
GU
ET
, D. E
NC
AO
UA
et
P.
MO
HN
EN
C
oope
rativ
e, n
on c
oope
rativ
e R
& D
and
opt
imal
pa
ten
t life
G 9
209
B
. C
RE
PO
N e
t E. D
UG
UE
T
Res
earc
h an
d de
velo
pmen
t, co
mpe
titio
n an
d in
nova
tion:
an
appl
icat
ion
of p
seud
o m
axim
um
likel
ihoo
d m
etho
ds to
Poi
sson
mod
els
with
he
tero
gene
ity
G 9
301
J. T
OU
JAS
-BE
RN
AT
E
Com
mer
ce in
tern
atio
nal e
t co
ncur
renc
e im
par-
faite
: dé
velo
ppem
ents
réc
ents
et i
mpl
icat
ions
po
ur la
pol
itiqu
e co
mm
erci
ale
G 9
302
Ch.
CA
SE
S
Dur
ées
de c
hôm
age
et c
ompo
rtem
ents
d'o
ffre
de
trav
ail :
une
rev
ue d
e la
litté
ratu
re
G 9
303
H
. ER
KE
L-R
OU
SS
E
Uni
on é
cono
miq
ue e
t m
onét
aire
: le
déb
at
écon
omiq
ue
G 9
304
N
. GR
EE
NA
N -
D. G
UE
LLE
C /
G
. B
RO
US
SA
UD
IER
- L
. M
IOT
TI
Inno
vatio
n or
gani
satio
nnel
le,
dyna
mis
me
tech
-no
logi
que
et p
erfo
rman
ces
des
entr
epris
es
G 9
305
P.
JAIL
LAR
D
Le tr
aité
de
Maa
stric
ht :
prés
enta
tion
jurid
ique
et
hist
oriq
ue
G 9
306
J.L.
BR
ILLE
T
Mic
ro-D
MS
: p
rése
ntat
ion
et p
ropr
iété
s
G 9
307
J.L.
BR
ILLE
T
Mic
ro-D
MS
- v
aria
ntes
: le
s ta
blea
ux
G 9
308
S
. JA
CO
BZ
ON
E
Les
gran
ds r
ésea
ux p
ublic
s fr
ança
is d
ans
une
pers
pect
ive
euro
péen
ne
G 9
309
L. B
LOC
H -
B.
CŒ
UR
E
Pro
fitab
ilité
de
l'inv
estis
sem
ent p
rodu
ctif
et
tran
smis
sion
des
cho
cs f
inan
cier
s
G 9
310
J. B
OU
RD
IEU
- B
. C
OLI
N-S
ED
ILLO
T
Les
théo
ries
sur
la s
truc
ture
opt
imal
e du
cap
ital :
qu
elqu
es p
oint
s de
rep
ère
List
e de
s do
cumen
ts d
e tr
avail de
la
Direc
tion
des
Étu
des
et S
ynth
èses
Éco
nomique
sii
G 9
311
J. B
OU
RD
IEU
- B
. C
OLI
N-S
ED
ILLO
T
Les
déci
sion
s de
fin
ance
men
t de
s en
trep
rises
fr
ança
ises
: un
e év
alua
tion
empi
rique
des
théo
-rie
s de
la s
truc
ture
opt
imal
e du
cap
ital
G 9
312
L. B
LOC
H -
B.
CŒ
UR
É
Q d
e T
obin
mar
gina
l et t
rans
mis
sion
des
cho
cs
finan
cier
s
G 9
313
Équ
ipes
Am
adeu
s (I
NS
EE
), B
anqu
e de
Fra
nce,
M
étri
c (D
P)
Pré
sent
atio
n de
s pr
oprié
tés
des
prin
cipa
ux m
o-dè
les
mac
roéc
onom
ique
s du
Ser
vice
Pub
lic
G 9
314
B
. C
RE
PO
N -
E. D
UG
UE
T
Res
earc
h &
Dev
elop
men
t, co
mpe
titio
n an
d in
nova
tion
G 9
315
B
. D
OR
MO
NT
Q
uelle
est
l'in
fluen
ce d
u co
ût d
u tr
avai
l sur
l'e
mpl
oi ?
G 9
316
D
. BL
AN
CH
ET
- C
. BR
OU
SS
E
Deu
x ét
udes
sur
l'âg
e de
la r
etra
ite
G 9
317
D. B
LAN
CH
ET
R
épar
titio
n du
trav
ail d
ans
une
popu
latio
n hé
té-
rogè
ne :
deu
x no
tes
G 9
318
D
. EY
SS
AR
TIE
R -
N.
PO
NT
Y
AM
AD
EU
S -
an
annu
al m
acro
-eco
nom
ic m
odel
fo
r th
e m
ediu
m a
nd
lon
g te
rm
G 9
319
G
. C
ET
TE
- P
h. C
UN
ÉO
- D
. E
YS
SA
RT
IER
-J.
GA
UT
IÉ
Les
effe
ts s
ur l'
empl
oi d
'un
abai
ssem
ent
du c
oût
du t
rava
il de
s je
unes
G 9
401
D. B
LAN
CH
ET
Le
s st
ruct
ures
par
âge
impo
rten
t-el
les
?
G 9
402
J.
GA
UT
IÉ
Le c
hôm
age
des
jeun
es e
n F
ranc
e :
prob
lèm
e de
fo
rmat
ion
ou p
héno
mèn
e de
file
d'a
ttent
e ?
Que
lque
s él
émen
ts d
u dé
bat
G 9
403
P.
QU
IRIO
N
Les
déch
ets
en F
ranc
e :
élém
ents
sta
tistiq
ues
et
écon
omiq
ues
G 9
404
D. L
AD
IRA
Y -
M.
GR
UN
-RE
HO
MM
E
Liss
age
par
moy
enne
s m
obile
s -
Le p
robl
ème
des
extr
émité
s de
sér
ie
G 9
405
V.
MA
ILLA
RD
T
héor
ie e
t pra
tique
de
la c
orre
ctio
n de
s ef
fets
de
jour
s ou
vrab
les
G 9
406
F
. R
OS
EN
WA
LD
La d
écis
ion
d'in
vest
ir
G 9
407
S
. JA
CO
BZ
ON
E
Les
appo
rts
de l'
écon
omie
indu
strie
lle p
our
défin
ir la
str
atég
ie é
cono
miq
ue d
e l'h
ôpita
l pub
lic
G 9
408
L.
BLO
CH
, J.
BO
UR
DIE
U,
B.
CO
LIN
-SE
DIL
LOT
, G. L
ON
GU
EV
ILLE
D
u dé
faut
de
paie
men
t au
dépô
t de
bila
n :
les
banq
uier
s fa
ce a
ux P
ME
en
diff
icul
té
G 9
409
D
. EY
SS
AR
TIE
R,
P.
MA
IRE
Im
pact
s m
acro
-éco
nom
ique
s de
mes
ures
d'a
ide
au lo
gem
ent
- qu
elqu
es é
lém
ents
d'é
valu
atio
n
G 9
410
F
. R
OS
EN
WA
LD
Sui
vi c
onjo
nctu
rel d
e l'i
nves
tisse
men
t
G 9
411
C
. DE
FE
UIL
LEY
- P
h. Q
UIR
ION
Le
s dé
chet
s d'
emba
llage
s m
énag
ers
: une
anal
yse
écon
omiq
ue d
es p
oliti
ques
fran
çais
e et
al
lem
ande
G 9
412
J. B
OU
RD
IEU
- B
. C
ŒU
RÉ
-
B.
CO
LIN
-SE
DIL
LOT
In
vest
isse
men
t, in
cert
itude
et i
rrév
ersi
bilit
é Q
uelq
ues
déve
lopp
emen
ts r
écen
ts d
e la
thé
orie
de
l'in
vest
isse
men
t
G 9
413
B.
DO
RM
ON
T -
M. P
AU
CH
ET
L'
éval
uatio
n de
l'él
astic
ité e
mpl
oi-s
alai
re d
épen
d-el
le d
es s
truc
ture
s de
qua
lific
atio
n ?
G 9
414
I.
KA
BLA
Le
Cho
ix d
e br
evet
er u
ne in
vent
ion
G 9
501
J.
BO
UR
DIE
U -
B.
CŒ
UR
É -
B. S
ED
ILL
OT
Ir
reve
rsib
le In
vest
men
t an
d U
ncer
tain
ty:
Whe
n is
the
re a
Val
ue o
f Wai
ting?
G 9
502
L.
BLO
CH
- B
. CŒ
UR
É
Impe
rfec
tions
du
mar
ché
du c
rédi
t, in
vest
isse
-m
ent
des
entr
epris
es e
t cyc
le é
cono
miq
ue
G 9
503
D. G
OU
X -
E.
MA
UR
IN
Les
tran
sfor
mat
ions
de
la d
eman
de d
e tr
avai
l par
qu
alifi
catio
n en
Fra
nce
U
ne é
tude
sur
la p
ério
de 1
970-
1993
G 9
504
N
. GR
EE
NA
N
Tec
hnol
ogie
, ch
ange
men
t org
anis
atio
nnel
, qua
-lif
icat
ions
et
empl
oi :
une
étu
de e
mpi
rique
sur
l'i
ndus
trie
man
ufac
turiè
re
G 9
505
D. G
OU
X -
E.
MA
UR
IN
Per
sist
ance
des
hié
rarc
hies
sec
torie
lles
de s
a-la
ires:
un
réex
amen
sur
don
nées
fran
çais
es
G 9
505
D. G
OU
X -
E.
MA
UR
IN
B
is
Per
sist
ence
of i
nter
-ind
ustr
y w
age
s d
iffer
entia
ls: a
re
exam
inat
ion
on m
atch
ed w
orke
r-fir
m p
anel
dat
a
G 9
506
S
. JA
CO
BZ
ON
E
Les
liens
ent
re R
MI
et c
hôm
age,
une
mis
e en
pe
rspe
ctiv
e N
ON
PA
RU
- a
rtic
le s
orti
dans
Éco
nom
ie e
t P
révi
sion
n°
122
(199
6) -
pag
es 9
5 à
113
G 9
507
G
. C
ET
TE
- S
. M
AH
FO
UZ
Le
par
tage
prim
aire
du
reve
nu
Con
stat
des
crip
tif s
ur lo
ngue
pér
iode
G 9
601
Ban
que
de F
ranc
e -
CE
PR
EM
AP
- D
irect
ion
de la
P
révi
sion
- É
rasm
e -
INS
EE
- O
FC
E
Str
uctu
res
et p
ropr
iété
s de
cin
q m
odèl
es m
acro
-éc
onom
ique
s fr
ança
is
G 9
602
R
app
ort
d’a
ctiv
ité d
e la
DE
SE
de
l’ann
ée
199
5
G 9
603
J.
BO
UR
DIE
U -
A.
DR
AZ
NIE
KS
L’
octr
oi d
e cr
édit
aux
PM
E :
une
ana
lyse
à p
artir
d’
info
rmat
ions
ban
caire
s
G 9
604
A
. T
OP
IOL
-BE
NS
AÏD
Le
s im
plan
tatio
ns ja
pona
ises
en
Fra
nce
G 9
605
P
. G
EN
IER
- S
. JA
CO
BZ
ON
E
Com
port
emen
ts d
e pr
éven
tion,
con
som
mat
ion
d’al
cool
et
taba
gie
: pe
ut-o
n pa
rler
d’un
e ge
stio
n gl
obal
e du
cap
ital s
anté
?
Une
mod
élis
atio
n m
icro
écon
omét
riqu
e em
piriq
ue
G 9
606
C. D
OZ
- F
. LE
NG
LAR
T
Fac
tor
anal
ysis
and
uno
bser
ved
com
pone
nt
mod
els:
an
appl
icat
ion
to t
he s
tudy
of
Fre
nch
busi
ness
sur
veys
G 9
607
N
. GR
EE
NA
N -
D. G
UE
LLE
C
La t
héor
ie c
oopé
rativ
e de
la f
irme
iii
G 9
608
N
. GR
EE
NA
N -
D. G
UE
LLE
C
Tec
hnol
ogic
al in
nova
tion
and
empl
oym
ent
real
loca
tion
G 9
609
P
h. C
OU
R -
F. R
UP
PR
EC
HT
L’
inté
grat
ion
asym
étriq
ue a
u se
in d
u co
ntin
ent
amér
icai
n :
un e
ssai
de
mod
élis
atio
n
G 9
610
S.
DU
CH
EN
E -
G. F
OR
GE
OT
- A
. JA
CQ
UO
T
Ana
lyse
des
évo
lutio
ns r
écen
tes
de la
pro
duct
i-vi
té a
ppar
ente
du
trav
ail
G 9
611
X
. BO
NN
ET
- S
. MA
HF
OU
Z
The
influ
ence
of
diff
eren
t sp
ecifi
catio
ns o
f w
ages
-pr
ices
spi
rals
on
the
mea
sure
of
the
NA
IRU
: the
ca
se o
f F
ranc
e
G 9
612
P
H. C
OU
R -
E. D
UB
OIS
, S. M
AH
FO
UZ
,
J. P
ISA
NI-
FE
RR
Y
The
cos
t of f
isca
l ret
renc
hmen
t re
visi
ted:
how
st
rong
is th
e ev
iden
ce?
G 9
613
A
. JA
CQ
UO
T
Les
flexi
ons
des
taux
d’a
ctiv
ité s
ont-
elle
s se
ule-
men
t co
njon
ctur
elle
s ?
G 9
614
ZH
AN
G Y
ingx
iang
- S
ON
G X
ueqi
ng
Lexi
que
mac
roéc
onom
ique
Fra
nçai
s-C
hino
is
G 9
701
J.L.
SC
HN
EID
ER
La
tax
e pr
ofes
sion
nelle
: él
émen
ts d
e ca
drag
e éc
onom
ique
G 9
702
J.L.
SC
HN
EID
ER
T
rans
ition
et s
tabi
lité
polit
ique
d’u
n sy
stèm
e re
dist
ribut
if
G 9
703
D. G
OU
X -
E.
MA
UR
IN
Tra
in o
r P
ay: D
oes
it R
educ
e In
equa
litie
s to
En-
cour
age
Firm
s to
Tra
in t
heir
Wor
kers
?
G 9
704
P
. G
EN
IER
D
eux
cont
ribut
ions
sur
dép
enda
nce
et é
quité
G 9
705
E.
DU
GU
ET
- N
. IU
NG
R
& D
Inv
estm
ent,
Pa
ten
t Life
and
Pat
ent V
alu
e A
n E
cono
met
ric A
naly
sis
at t
he F
irm L
evel
G 9
706
M
. HO
UD
EB
INE
- A
. T
OP
IOL
-BE
NS
AÏD
Le
s en
trep
rises
inte
rnat
iona
les
en F
ranc
e :
une
anal
yse
à pa
rtir
de d
onné
es in
divi
duel
les
G 9
707
M
. HO
UD
EB
INE
P
olar
isat
ion
des
activ
ités
et s
péci
alis
atio
n de
s dé
part
emen
ts e
n F
ranc
e
G 9
708
E
. D
UG
UE
T -
N. G
RE
EN
AN
Le
bia
is te
chno
logi
que
: un
e an
alys
e su
r do
nnée
s in
divi
duel
les
G 9
709
J.L.
BR
ILLE
T
Ana
lyzi
ng a
sm
all F
renc
h E
CM
Mod
el
G 9
710
J.L.
BR
ILLE
T
For
mal
izin
g th
e tr
ansi
tion
proc
ess:
sce
nario
s fo
r ca
pita
l acc
umul
atio
n
G 9
711
G
. F
OR
GE
OT
- J
. G
AU
TIÉ
In
sert
ion
prof
essi
onne
lle d
es je
unes
et p
roce
ssus
de
déc
lass
emen
t
G 9
712
E
. D
UB
OIS
H
igh
Rea
l Int
eres
t R
ates
: th
e C
onse
quen
ce o
f a
Sav
ing
Inve
stm
ent
Dis
equi
libriu
m o
r of
an
in-
suff
icie
nt C
redi
bilit
y of
Mon
etar
y A
utho
ritie
s?
G 9
713
Bila
n de
s ac
tivité
s de
la D
irect
ion
des
Étu
des
et S
ynth
èses
Éco
nom
ique
s -
1996
G 9
714
F
. L
EQ
UIL
LER
D
oes
the
Fre
nch
Con
sum
er P
rice
Inde
x O
ver-
sta
te I
nfla
tion?
G 9
715
X
. BO
NN
ET
P
eut-
on m
ettr
e en
évi
denc
e le
s rig
idité
s à
la
bais
se d
es s
alai
res
nom
inau
x ?
U
ne é
tude
sur
que
lque
s gr
ands
pay
s de
l’O
CD
E
G 9
716
N
. IU
NG
- F
. RU
PP
RE
CH
T
Pro
duct
ivité
de
la r
eche
rche
et r
ende
men
ts
d’éc
helle
dan
s le
sec
teur
pha
rmac
eutiq
ue
fran
çais
G 9
717
E
. D
UG
UE
T -
I. K
AB
LA
A
ppro
pria
tion
stra
tegy
and
the
mot
ivat
ions
to u
se
the
pate
nt s
yste
m in
Fra
nce
- A
n ec
on
omet
ric
ana
lysi
s at
th
e fi
rm le
vel
G 9
718
L.
P. P
EL
É -
P. R
AL
LE
Â
ge d
e la
ret
raite
: le
s as
pect
s in
cita
tifs
du r
égim
e gé
néra
l
G 9
719
ZH
AN
G Y
ingx
iang
- S
ON
G X
ueqi
ng
Lexi
que
mac
roéc
onom
ique
fra
nçai
s-ch
inoi
s,
chin
ois-
fran
çais
G 9
720
M
. HO
UD
EB
INE
- J
.L. S
CH
NE
IDE
R
Mes
urer
l’in
fluen
ce d
e la
fis
calit
é su
r la
loca
li-sa
tion
des
entr
epris
es
G 9
721
A
. M
OU
RO
UG
AN
E
Cré
dibi
lité,
indé
pend
ance
et
polit
ique
mon
étai
re
Une
rev
ue d
e la
litt
érat
ure
G 9
722
P.
AU
GE
RA
UD
- L
. BR
IOT
Le
s do
nnée
s co
mpt
able
s d’
entr
epris
es
Le s
ystè
me
inte
rméd
iair
e d’
entr
epris
es
Pas
sage
des
don
nées
indi
vidu
elle
s au
x do
nnée
s se
ctor
ielle
s
G 9
723
P.
AU
GE
RA
UD
- J
.E. C
HA
PR
ON
U
sing
Bus
ines
s A
ccou
nts
for
Com
pilin
g N
atio
nal
Acc
ount
s: th
e F
renc
h E
xper
ienc
e
G 9
724
P.
AU
GE
RA
UD
Le
s co
mpt
es d
’ent
repr
ise
par
activ
ités
- Le
pas
-sa
ge a
ux c
ompt
es -
De
la c
ompt
abili
té
d’en
trep
rise
à la
com
ptab
ilité
nat
iona
le -
A
para
ître
G 9
801
H. M
ICH
AU
DO
N -
C.
PR
IGE
NT
P
rése
ntat
ion
du m
odèl
e A
MA
DE
US
G 9
802
J. A
CC
AR
DO
U
ne é
tude
de
com
ptab
ilité
gén
érat
ionn
elle
po
ur la
Fra
nce
en 1
996
G 9
803
X. B
ON
NE
T -
S. D
UC
HÊ
NE
A
ppor
ts e
t lim
ites
de la
mod
élis
atio
n «
Rea
l Bus
ines
s C
ycle
s »
G 9
804
C. B
AR
LET
- C
. DU
GU
ET
-
D. E
NC
AO
UA
- J
. PR
AD
EL
The
Com
mer
cial
Suc
cess
of
Inno
vatio
ns
An
econ
omet
ric a
naly
sis
at t
he f
irm le
vel i
n F
renc
h m
anuf
actu
ring
G 9
805
P.
CA
HU
C -
Ch.
GIA
NE
LLA
-
D. G
OU
X -
A.
ZIL
BE
RB
ER
G
Equ
aliz
ing
Wag
e D
iffer
ence
s an
d B
arga
inin
g P
ower
- E
vide
nce
form
a P
anel
of
Fre
nch
Firm
s
G 9
806
J.
AC
CA
RD
O -
M.
JLA
SS
I La
pro
duct
ivité
glo
bale
des
fact
eurs
ent
re 1
975
et
1996
iv
G 9
807
Bila
n de
s ac
tivité
s de
la D
irect
ion
des
Étu
des
et
Syn
thès
es É
cono
miq
ues
- 19
97
G 9
808
A
. M
OU
RO
UG
AN
E
Can
a C
onse
rvat
ive
Gov
erno
r C
ondu
ct a
n A
c-co
mod
ativ
e M
onet
ary
Pol
icy?
G 9
809
X
. BO
NN
ET
- E
. DU
BO
IS -
L. F
AU
VE
T
Asy
mét
rie d
es in
flatio
ns r
elat
ives
et m
enus
cos
ts
: te
sts
sur
l’inf
latio
n fr
ança
ise
G 9
810
E.
DU
GU
ET
- N
. IU
NG
S
ales
and
Adv
ertis
ing
with
Spi
llove
rs a
t the
firm
le
vel:
Est
imat
ion
of a
Dyn
amic
Str
uctu
ral M
odel
on
Pa
nel
Dat
a
G 9
811
J.
P. B
ER
TH
IER
C
onge
stio
n ur
bain
e :
un m
odèl
e de
traf
ic d
e po
inte
à c
ourb
e dé
bit-
vite
sse
et d
eman
de
élas
tique
G 9
812
C
. PR
IGE
NT
La
par
t de
s sa
laire
s da
ns la
val
eur
ajou
tée
: une
ap
proc
he m
acro
écon
omiq
ue
G 9
813
A
.Th.
AE
RT
S
L’év
olut
ion
de la
par
t des
sal
aire
s da
ns la
val
eur
ajou
tée
en F
ranc
e re
flète
-t-e
lle le
s év
olut
ions
in
divi
duel
les
sur
la p
ério
de 1
979-
1994
?
G 9
814
B.
SA
LAN
IÉ
Gui
de p
ratiq
ue d
es s
érie
s no
n-st
atio
nnai
res
G 9
901
S.
DU
CH
ÊN
E -
A. J
AC
QU
OT
U
ne c
rois
sanc
e pl
us r
iche
en
empl
ois
depu
is le
dé
but
de la
déc
enni
e ?
Une
ana
lyse
en
com
pa-
rais
on in
tern
atio
nale
G 9
902
Ch.
CO
LIN
M
odél
isat
ion
des
carr
ière
s da
ns D
estin
ie
G 9
903
Ch.
CO
LIN
É
volu
tion
de la
dis
pers
ion
des
sala
ires
: un
essa
i de
pro
spec
tive
par
mic
rosi
mul
atio
n
G 9
904
B
. C
RE
PO
N -
N.
IUN
G
Inno
vatio
n, e
mpl
oi e
t per
form
ance
s
G 9
905
B
. C
RE
PO
N -
Ch.
GIA
NE
LLA
W
ages
ineq
ualit
ies
in F
ranc
e 19
69-1
992
An
appl
icat
ion
of q
uant
ile r
egre
ssio
n te
chni
ques
G 9
906
C. B
ON
NE
T -
R. M
AH
IEU
M
icro
sim
ulat
ion
tech
niqu
es a
pplie
d to
inte
r-ge
nera
tiona
l tra
nsfe
rs -
Pen
sion
s in
a d
ynam
ic
fram
ewor
k: t
he c
ase
of F
ranc
e
G 9
907
F
. R
OS
EN
WA
LD
L’im
pact
des
con
trai
ntes
fin
anci
ères
dan
s la
dé-
cisi
on d
’inve
stis
sem
ent
G 9
908
Bila
n de
s ac
tivité
s de
la D
ES
E -
199
8
G 9
909
J.P
. ZO
YE
M
Con
trat
d’in
sert
ion
et s
ortie
du
RM
I É
valu
atio
n de
s ef
fets
d’u
ne p
oliti
que
soci
ale
G 9
910
C
h. C
OLI
N -
Fl.
LEG
RO
S -
R.
MA
HIE
U
Bila
ns c
ontr
ibut
ifs c
ompa
rés
des
régi
mes
de
retr
aite
du
sect
eur
priv
é et
de
la fo
nctio
n pu
bliq
ue
G 9
911
G
. LA
RO
QU
E -
B. S
ALA
NIÉ
U
ne d
écom
posi
tion
du n
on-e
mpl
oi e
n F
ranc
e
G 9
912
B.
SA
LAN
IÉ
Une
maq
uett
e an
alyt
ique
de
long
ter
me
du
mar
ché
du t
rava
il
G 9
912
Ch.
GIA
NE
LLA
B
is
Une
est
imat
ion
de l’
élas
ticité
de
l’em
ploi
peu
qu
alifi
é à
son
coût
G 9
913
Div
isio
n «
Red
istr
ibut
ion
et P
oliti
ques
Soc
iale
s »
Le m
odèl
e de
mic
rosi
mul
atio
n dy
nam
ique
D
ES
TIN
IE
G 9
914
E.
DU
GU
ET
M
acro
-com
man
des
SA
S p
our
l’éco
nom
étrie
des
pa
nels
et d
es v
aria
bles
qua
litat
ives
G 9
915
R. D
UH
AU
TO
IS
Évo
lutio
n de
s flu
x d’
empl
ois
en F
ranc
e en
tre
1990
et
1996
: un
e ét
ude
empi
rique
à p
artir
du
fichi
er d
es b
énéf
ices
rée
ls n
orm
aux
(BR
N)
G 9
916
J.Y
. FO
UR
NIE
R
Ext
ract
ion
du c
ycle
des
aff
aire
s : l
a m
étho
de d
e B
axte
r et
Kin
g
G 9
917
B
. C
RÉ
PO
N -
R. D
ES
PL
AT
Z -
J. M
AIR
ES
SE
E
stim
atin
g pr
ice
cost
mar
gins
, sca
le e
cono
mie
s an
d w
orke
rs’ b
arga
inin
g po
wer
at
the
firm
leve
l
G 9
918
C
h. G
IAN
EL
LA -
Ph.
LA
GA
RD
E
Pro
duct
ivity
of
hour
s in
the
agg
rega
te p
rodu
ctio
n fu
nctio
n: a
n ev
alua
tion
on a
pan
el o
f Fre
nch
firm
s fr
om th
e m
anuf
actu
ring
sect
or
G 9
919
S.
AU
DR
IC -
P. G
IVO
RD
- C
. P
RO
ST
É
volu
tion
de l’
empl
oi e
t de
s co
ûts
par
qual
i-fic
atio
n en
tre
1982
et 1
996
G 2
000/
01
R. M
AH
IEU
Le
s dé
term
inan
ts d
es d
épen
ses
de s
anté
: un
e ap
proc
he m
acro
écon
omiq
ue
G 2
000/
02
C. A
LLA
RD
-PR
IGE
NT
- H
. GU
ILM
EA
U -
A
. Q
UIN
ET
T
he r
eal e
xcha
nge
rate
as
the
rela
tive
pric
e of
no
ntra
bles
in te
rms
of t
rada
bles
: th
eore
tical
in
vest
igat
ion
and
empi
rical
stu
dy o
n F
renc
h da
ta
G 2
000
/03
J.
-Y.
FO
UR
NIE
R
L’ap
prox
imat
ion
du f
iltre
pas
se-b
ande
pro
posé
e pa
r C
hris
tiano
et F
itzge
rald
G 2
000/
04
Bila
n de
s ac
tivité
s de
la D
ES
E -
199
9
G 2
000/
05
B.
CR
EP
ON
- F
. R
OS
EN
WA
LD
Inve
stis
sem
ent e
t con
trai
ntes
de
finan
cem
ent
: le
poid
s du
cyc
le
Une
est
imat
ion
sur
donn
ées
fran
çais
es
G 2
000
/06
A
. F
LIP
O
Les
com
port
emen
ts m
atrim
onia
ux d
e fa
it
G 2
000
/07
R
. MA
HIE
U -
B. S
ÉD
ILL
OT
M
icro
sim
ulat
ions
of
the
retir
emen
t dec
isio
n: a
su
pply
sid
e ap
proa
ch
G 2
000
/08
C
. AU
DE
NIS
- C
. PR
OS
T
Déf
icit
conj
onct
urel
: u
ne p
rise
en c
ompt
e de
s co
njon
ctur
es p
assé
es
G 2
000
/09
R
. MA
HIE
U -
B. S
ÉD
ILL
OT
É
quiv
alen
t pa
trim
onia
l de
la r
ente
et s
ousc
riptio
n de
ret
raite
com
plém
enta
ire
G 2
000/
10
R. D
UH
AU
TO
IS
Ral
entis
sem
ent
de l’
inve
stis
sem
ent
: pe
tites
ou
gran
des
entr
epris
es ?
indu
strie
ou
tert
iaire
?
G 2
000
/11
G
. LA
RO
QU
E -
B. S
ALA
NIÉ
T
emps
par
tiel f
émin
in e
t inc
itatio
ns f
inan
cièr
es à
l’e
mpl
oi
G20
00/1
2 C
h. G
IAN
ELL
A
Loca
l une
mpl
oym
ent
and
wag
es
v
G20
00/1
3 B
. C
RE
PO
N -
Th.
HE
CK
EL
- In
form
atis
atio
n en
Fra
nce
: un
e év
alua
tion
à pa
rtir
de d
onné
es in
divi
duel
les
- C
ompu
teriz
atio
n in
Fra
nce:
an
eval
uatio
n ba
sed
on in
divi
dual
com
pany
dat
a
G20
01/0
1 F
. LE
QU
ILLE
R
- La
nou
velle
éco
nom
ie e
t la
mes
ure
de
la c
rois
sanc
e du
PIB
-
The
new
eco
nom
y an
d th
e m
easu
re
m
ent
of G
DP
gro
wth
G20
01/0
2 S
. A
UD
RIC
La
rep
rise
de l
a cr
oiss
ance
de
l’em
ploi
pro
fite-
t-el
le a
ussi
aux
non
-dip
lôm
és ?
G20
01/0
3 I.
BR
AU
N-L
EM
AIR
E
Évo
lutio
n et
rép
artit
ion
du s
urpl
us d
e pr
oduc
tivité
G20
01/0
4 A
. B
EA
UD
U -
Th.
HE
CK
EL
Le c
anal
du
créd
it fo
nctio
nne-
t-il
en E
urop
e ?
Une
ét
ude
de
l’hét
érog
énéi
té
des
com
port
emen
ts
d’in
vest
isse
men
t à
part
ir de
do
nnée
s de
bi
lan
agré
gées
G20
01/0
5 C
. AU
DE
NIS
- P
. B
ISC
OU
RP
-
N. F
OU
RC
AD
E -
O. L
OIS
EL
Tes
ting
the
augm
ente
d S
olow
gro
wth
mod
el:
An
empi
rical
rea
sses
smen
t usi
ng p
anel
dat
a
G20
01/0
6 R
. MA
HIE
U -
B. S
ÉD
ILL
OT
D
épar
t à
la r
etra
ite, i
rrév
ersi
bilit
é et
ince
rtitu
de
G20
01/0
7 B
ilan
des
activ
ités
de la
DE
SE
- 2
000
G20
01/0
8 J.
Ph.
GA
UD
EM
ET
Le
s di
spos
itifs
d’
acqu
isiti
on
à tit
re
facu
ltatif
d’
annu
ités
viag
ères
de
retr
aite
G20
01/0
9 B
. C
RÉ
PO
N -
Ch.
GIA
NE
LLA
F
isca
lité,
coû
t d’
usag
e du
cap
ital
et d
eman
de d
e fa
cteu
rs :
une
ana
lyse
sur
don
nées
indi
vidu
elle
s
G20
01/1
0 B
. C
RÉ
PO
N -
R. D
ES
PL
AT
Z
Éva
luat
ion
des
effe
ts
des
disp
ositi
fs
d’al
lége
men
ts
de c
harg
es s
ocia
les
sur
les
bas
sala
ires
G20
01/1
1 J.
-Y.
FO
UR
NIE
R
Com
para
ison
des
sal
aire
s de
s se
cteu
rs p
ublic
et
priv
é
G20
01/1
2 J.
-P.
BE
RT
HIE
R -
C. J
AU
LEN
T
R. C
ON
VE
NE
VO
LE
- S
. PIS
AN
I U
ne
mét
hodo
logi
e de
co
mpa
rais
on
entr
e co
nsom
mat
ions
int
erm
édia
ires
de s
ourc
e fis
cale
et
de
com
ptab
ilité
nat
iona
le
G20
01/1
3 P
. B
ISC
OU
RP
- C
h. G
IAN
EL
LA
Sub
stitu
tion
and
com
plem
enta
rity
betw
een
capi
tal,
skill
ed
and
less
sk
illed
w
orke
rs:
an
anal
ysis
at
th
e fir
m
leve
l in
th
e F
renc
h m
anuf
actu
ring
indu
stry
G20
01/1
4 I.
RO
BE
RT
-BO
BE
E
Mod
ellin
g de
mog
raph
ic b
ehav
iour
s in
the
Fre
nch
mic
rosi
mul
atio
n m
odel
D
estin
ie:
An
anal
ysis
of
fu
ture
cha
nge
in c
ompl
ete
d fe
rtili
ty
G20
01/1
5 J.
-P.
ZO
YE
M
Dia
gnos
tic
sur
la
pauv
reté
et
ca
lend
rier
de
reve
nus
: le
ca
s du
“P
anel
eu
ropé
en
des
mén
ages
»
G20
01/1
6 J.
-Y.
FO
UR
NIE
R -
P.
GIV
OR
D
La
rédu
ctio
n de
s ta
ux
d’ac
tivité
au
x âg
es
extr
êmes
, un
e sp
écifi
cité
fran
çais
e ?
G20
01/1
7 C
. AU
DE
NIS
- P
. B
ISC
OU
RP
- N
. RIE
DIN
GE
R
Exi
ste-
t-il
une
asym
étrie
dan
s la
tra
nsm
issi
on d
u pr
ix d
u br
ut a
ux p
rix d
es c
arbu
rant
s ?
G20
02/0
1 F
. MA
GN
IEN
- J
.-L.
TA
VE
RN
IER
- D
. T
HE
SM
AR
Le
s st
atis
tique
s in
tern
atio
nale
s de
P
IB
par
habi
tant
en
st
anda
rd
de
pouv
oir
d’ac
hat
: un
e an
alys
e de
s ré
sulta
ts
G20
02/0
2 B
ilan
des
activ
ités
de la
DE
SE
- 2
001
G20
02/0
3 B
. S
ÉD
ILLO
T -
E. W
ALR
AE
T
La c
essa
tion
d’ac
tivité
au
sein
des
cou
ples
: y
a-t-
il in
terd
épen
danc
e de
s ch
oix
?
G20
02/0
4 G
. B
RIL
HA
ULT
-
Rét
ropo
latio
n de
s sé
ries
de F
BC
F e
t ca
lcul
du
capi
tal
fixe
en
SE
C-9
5 da
ns
les
com
ptes
na
tiona
ux f
ranç
ais
- R
etro
pola
tion
of t
he i
nves
tmen
t se
ries
(G
FC
F)
and
estim
atio
n of
fix
ed c
apita
l st
ocks
on
the
E
SA
-95
basi
s fo
r th
e F
renc
h ba
lanc
e sh
eets
G20
02/0
5 P
. B
ISC
OU
RP
- B
. C
RÉ
PO
N -
T.
HE
CK
EL
- N
. R
IED
ING
ER
H
ow
do
firm
s re
spon
d to
ch
eape
r co
mpu
ters
? M
icro
econ
omet
ric e
vide
nce
for
Fra
nce
base
d on
a
prod
uctio
n fu
nctio
n ap
proa
ch
G20
02/0
6 C
. AU
DE
NIS
- J
. DE
RO
YO
N -
N. F
OU
RC
AD
E
L’im
pact
de
s no
uvel
les
tech
nolo
gies
de
l’i
nfor
mat
ion
et
de
la
com
mun
icat
ion
sur
l’éco
nom
ie
fran
çais
e -
un
bouc
lage
m
acro
-éc
onom
ique
G20
02/0
7 J.
BA
RD
AJI
- B
. SÉ
DIL
LOT
- E
. W
ALR
AE
T
Éva
luat
ion
de t
rois
réf
orm
es d
u R
égim
e G
énér
al
d’as
sura
nce
viei
lless
e à
l’aid
e du
m
odèl
e de
m
icro
sim
ulat
ion
DE
ST
INIE
G20
02/0
8 J.
-P.
BE
RT
HIE
R
Réf
lexi
ons
sur
les
diffé
rent
es n
otio
ns d
e vo
lum
e da
ns l
es c
ompt
es n
atio
naux
: co
mpt
es a
ux p
rix
d’un
e an
née
fixe
ou
aux
prix
de
l’a
nnée
pr
écéd
ente
, sé
ries
chaî
nées
G20
02/0
9 F
. H
ILD
Le
s so
ldes
d’o
pini
on r
ésum
ent-
ils a
u m
ieux
les
ré
pons
es
des
entr
epris
es
aux
enqu
êtes
de
co
njon
ctur
e ?
G20
02/1
0 I.
RO
BE
RT
-BO
BÉ
E
Les
com
port
emen
ts
dém
ogra
phiq
ues
dans
le
m
odèl
e de
m
icro
sim
ulat
ion
Des
tinie
-
Une
co
mpa
rais
on
des
estim
atio
ns
issu
es
des
enqu
êtes
Je
unes
et
C
arriè
res
1997
et
His
toire
F
amili
ale
1999
G20
02/1
1 J.
-P.
ZO
YE
M
La d
ynam
ique
des
bas
rev
enus
: u
ne a
naly
se d
es
entr
ées-
sort
ies
de p
auvr
eté
G20
02/1
2 F
. H
ILD
P
révi
sion
s d’
infla
tion
pour
la F
ranc
e
G20
02/1
3 M
. LE
CLA
IR
Réd
uctio
n du
tem
ps d
e tr
avai
l et
ten
sion
s su
r le
s fa
cteu
rs d
e pr
oduc
tion
G20
02/1
4 E
. W
ALR
AE
T -
A. V
INC
EN
T
- A
naly
se d
e la
red
istr
ibut
ion
intr
agén
érat
ionn
elle
da
ns le
sys
tèm
e de
ret
raite
des
sal
arié
s du
priv
é -
Une
app
roch
e pa
r m
icro
sim
ulat
ion
- In
trag
ener
atio
nal
dist
ribut
iona
l an
alys
is
in
the
fren
ch
priv
ate
sect
or
pens
ion
sche
me
- A
m
icro
sim
ulat
ion
appr
oach
vi
G20
02/1
5 P
. C
HO
NE
- D
. LE
BLA
NC
- I.
RO
BE
RT
-BO
BE
E
Offr
e de
tr
avai
l fé
min
ine
et
gard
e de
s je
unes
en
fant
s
G20
02/1
6 F
. MA
UR
EL
- S
. G
RE
GO
IR
Les
indi
ces
de
com
pétit
ivité
de
s pa
ys :
in
ter-
prét
atio
n et
lim
ites
G20
03/0
1 N
. RIE
DIN
GE
R -
E.H
AU
VY
Le
coû
t de
dép
ollu
tion
atm
osph
ériq
ue p
our
les
entr
epris
es f
ranç
aise
s :
Une
est
imat
ion
à pa
rtir
de
donn
ées
indi
vidu
elle
s
G20
03/0
2 P
. B
ISC
OU
RP
et
F. K
RA
MA
RZ
C
réat
ion
d’em
ploi
s,
dest
ruct
ion
d’em
ploi
s et
in
tern
atio
nalis
atio
n de
s en
trep
rises
in
dust
rielle
s fr
ança
ises
: un
e an
alys
e su
r la
pé
riode
19
86-
1992
G20
03/0
3 B
ilan
des
activ
ités
de la
DE
SE
- 2
002
G20
03/0
4 P
.-O
. BE
FF
Y -
J. D
ER
OY
ON
-
N. F
OU
RC
AD
E -
S. G
RE
GO
IR -
N.
LAÏB
-
B.
MO
NF
OR
T
Évo
lutio
ns d
émog
raph
ique
s et
cro
issa
nce
: un
e pr
ojec
tion
mac
ro-é
cono
miq
ue à
l’ho
rizon
202
0
G20
03/0
5 P
. A
UB
ER
T
La s
ituat
ion
des
sala
riés
de p
lus
de c
inqu
ante
an
s da
ns le
sec
teur
priv
é
G20
03/0
6 P
. A
UB
ER
T -
B.
CR
ÉP
ON
A
ge,
sala
ire e
t pr
oduc
tivité
La
pro
duct
ivité
des
sal
arié
s dé
clin
e-t-
elle
en
fin
de c
arriè
re ?
G20
03/0
7 H
. B
AR
ON
- P
.O.
BE
FF
Y -
N.
FO
UR
CA
DE
- R
. M
AH
IEU
Le
ral
entis
sem
ent
de l
a pr
oduc
tivité
du
trav
ail
au
cour
s de
s an
nées
199
0
G20
03/0
8 P
.-O
. BE
FF
Y -
B. M
ON
FO
RT
P
atrim
oine
des
mén
ages
, dy
nam
ique
d’a
lloca
tion
et c
ompo
rte
men
t de
con
som
mat
ion
G20
03/0
9 P
. B
ISC
OU
RP
- N
. FO
UR
CA
DE
P
eut-
on
met
tre
en
évid
ence
l’e
xist
ence
de
rig
idité
s à
la
bais
se
des
sala
ires
à pa
rtir
de
donn
ées
indi
vidu
elle
s ?
Le c
as d
e la
Fra
nce
à la
fin
des
ann
ées
90
G20
03/1
0 M
. LE
CLA
IR -
P.
PE
TIT
P
rése
nce
synd
ical
e da
ns l
es f
irmes
: qu
el i
mpa
ct
sur
les
inég
alité
s sa
laria
les
entr
e le
s ho
mm
es e
t le
s fe
mm
es ?
G20
03/1
1 P
.-O
. B
EF
FY
-
X.
BO
NN
ET
-
M.
DA
RR
AC
Q-
PA
RIE
S -
B. M
ON
FO
RT
M
ZE
: a
smal
l mac
ro-m
odel
for
the
euro
are
a
G20
04/0
1 P
. A
UB
ER
T -
M. L
EC
LAIR
La
co
mpé
titiv
ité
expr
imée
da
ns
les
enqu
êtes
tr
imes
trie
lles
sur
la s
ituat
ion
et l
es p
ersp
ectiv
es
dans
l’in
dust
rie
G20
04/0
2 M
. DU
ÉE
- C
. R
EB
ILLA
RD
La
dé
pend
ance
de
s pe
rson
nes
âgée
s :
une
proj
ectio
n à
long
term
e
G20
04/0
3 S
. R
AS
PIL
LE
R -
N. R
IED
ING
ER
R
égul
atio
n en
viro
nnem
enta
le
et
choi
x de
lo
calis
atio
n de
s gr
oupe
s fr
ança
is
G20
04/0
4 A
. N
AB
OU
LET
- S
. RA
SP
ILLE
R
Les
déte
rmin
ants
de
la d
écis
ion
d’in
vest
ir :
une
appr
oche
pa
r le
s pe
rcep
tions
su
bjec
tives
de
s fir
mes
G20
04/0
5 N
. RA
GA
CH
E
La d
écla
ratio
n de
s en
fant
s pa
r le
s co
uple
s no
n m
arié
s es
t-e
lle f
isca
lem
ent
optim
ale
?
G20
04/0
6 M
. DU
ÉE
L’
impa
ct d
u ch
ômag
e de
s pa
rent
s su
r le
dev
enir
scol
aire
des
enf
ants
G20
04/0
7 P
. A
UB
ER
T -
E.
CA
RO
LI -
M. R
OG
ER
N
ew T
echn
olog
ies,
Wor
kpla
ce O
rgan
isat
ion
and
the
Age
Str
uctu
re o
f th
e W
orkf
orce
: F
irm-L
evel
E
vide
nce
G20
04/0
8 E
. D
UG
UE
T -
C.
LE
LA
RG
E
Les
brev
ets
accr
oiss
ent-
ils l
es i
ncita
tions
priv
ées
à in
nove
r ?
Un
exam
en m
icro
écon
omét
rique
G20
04/0
9 S
. R
AS
PIL
LER
- P
. S
ILLA
RD
A
ffili
atin
g ve
rsus
Sub
cont
ract
ing:
th
e C
ase
of M
ultin
atio
nals
G20
04/1
0 J.
BO
ISS
INO
T -
C. L
’AN
GE
VIN
- B
. M
ON
FO
RT
P
ublic
Deb
t S
usta
inab
ility
: S
ome
Res
ults
on
the
Fre
nch
Cas
e
G20
04/1
1 S
. A
NA
NIA
N -
P. A
UB
ER
T
Tra
vaill
eurs
âgé
s, n
ouve
lles
tech
nolo
gies
et
cha
ngem
ents
org
anis
atio
nnel
s :
un r
éexa
men
à
part
ir de
l’en
quêt
e «
RE
PO
NS
E »
G20
04/1
2 X
. BO
NN
ET
- H
. P
ON
CE
T
Str
uctu
res
de r
even
us e
t pr
open
sion
s di
ffér
ente
s à
cons
omm
er
- V
ers
une
équa
tion
de
cons
omm
atio
n de
s m
énag
es
plus
ro
bust
e en
pr
évis
ion
pour
la F
ranc
e
G20
04/1
3 C
. PIC
AR
T
Éva
luer
la r
enta
bilit
é de
s so
ciét
és n
on f
inan
cièr
es
G20
04/1
4 J.
BA
RD
AJI
- B
. SÉ
DIL
LO
T -
E.
WA
LRA
ET
Le
s re
trai
tes
du
sect
eur
publ
ic :
pr
ojec
tions
à
l’hor
izon
20
40
à l’a
ide
du
mod
èle
de
mic
rosi
mul
atio
n D
ES
TIN
IE
G20
05/0
1 S
. B
UF
FE
TE
AU
- P
. GO
DE
FR
OY
C
ondi
tions
de
dépa
rt e
n re
trai
te s
elon
l’âg
e de
fin
d’
étud
es :
anal
yse
pros
pect
ive
pour
le
s gé
néra
tions
194
5 à1
974
G20
05/0
2 C
. AF
SA
- S
. BU
FF
ET
EA
U
L’év
olut
ion
de l’
activ
ité f
émin
ine
en F
ranc
e :
une
appr
oche
par
pse
udo-
pane
l
G20
05/0
3 P
. A
UB
ER
T -
P.
SIL
LAR
D
Dél
ocal
isat
ions
et
rédu
ctio
ns d
’eff
ectif
s
dans
l’in
dust
rie f
ranç
aise
G20
05/0
4 M
. LE
CLA
IR -
S. R
OU
X
Mes
ure
et u
tilis
atio
n de
s em
ploi
s in
stab
les
da
ns le
s en
trep
rises
G20
05/0
5 C
. L’A
NG
EV
IN -
S.
SE
RR
AV
ALL
E
Per
form
ance
s à
l’exp
orta
tion
de la
Fra
nce
et
de
l’Alle
mag
ne -
Une
ana
lyse
par
sec
teur
et
dest
inat
ion
géog
raph
ique
G20
05/0
6 B
ilan
des
activ
ités
de l
a D
irec
tion
des
Étu
des
et
Syn
thès
es É
cono
miq
ues
- 20
04
G20
05/0
7 S
. R
AS
PIL
LE
R
La
conc
urre
nce
fisca
le :
pr
inci
paux
en
seig
ne-
men
ts d
e l’a
naly
se é
cono
miq
ue
G20
05/0
8 C
. L’A
NG
EV
IN -
N. L
AÏB
É
duca
tion
et c
rois
sanc
e en
Fra
nce
et d
ans
un
pane
l de
21 p
ays
de l’
OC
DE
vii
G20
05/0
9 N
. FE
RR
AR
I P
révo
ir l’i
nves
tisse
men
t de
s en
trep
rises
U
n in
dica
teur
de
s ré
visi
ons
dans
l’e
nquê
te
de
conj
onct
ure
sur
les
inve
stis
sem
ents
da
ns
l’ind
ustr
ie.
G20
05/1
0 P
.-O
. BE
FF
Y -
C.
L’A
NG
EV
IN
Chô
mag
e et
bou
cle
prix
-sal
aire
s :
ap
port
d’u
n m
odèl
e «
qual
ifiés
/peu
qua
lifié
s »
G20
05/1
1 B
. H
EIT
Z
A t
wo-
stat
es M
arko
v-sw
itchi
ng m
odel
of
infla
tion
in
Fra
nce
and
the
US
A:
cred
ible
ta
rget
V
S
infla
tion
spira
l
G20
05/1
2 O
. B
IAU
- H
. ER
KE
L-R
OU
SS
E -
N. F
ER
RA
RI
Rép
onse
s in
divi
duel
les
aux
enqu
êtes
de
co
njon
ctur
e et
pré
visi
on m
acro
écon
omiq
ues
: E
xem
ple
de
la
prév
isio
n de
la
pr
oduc
tion
man
ufac
turiè
re
G20
05/1
3 P
. A
UB
ER
T -
D. B
LAN
CH
ET
- D
. BLA
U
The
lab
our
mar
ket
afte
r ag
e 50
: so
me
elem
ents
of
a F
ranc
o-A
mer
ican
com
paris
on
G20
05/1
4 D
. BL
AN
CH
ET
- T
. DE
BR
AN
D -
P
. D
OU
RG
NO
N -
P. P
OLL
ET
L’
enqu
ête
SH
AR
E :
pr
ésen
tatio
n et
pr
emie
rs
résu
ltats
de
l’édi
tion
fran
çais
e
G20
05/1
5 M
. DU
ÉE
La
m
odél
isat
ion
des
com
port
emen
ts
dém
ogra
-ph
ique
s da
ns
le
mod
èle
de
mic
rosi
mul
atio
n D
ES
TIN
IE
G20
05/1
6 H
. RA
OU
I -
S.
RO
UX
É
tude
de
sim
ulat
ion
sur
la p
artic
ipat
ion
vers
ée
aux
sala
riés
par
les
entr
epris
es
G20
06/0
1 C
. BO
NN
ET
- S
. BU
FF
ET
EA
U -
P. G
OD
EF
RO
Y
Dis
parit
és
de
retr
aite
de
dr
oit
dire
ct
entr
e ho
mm
es e
t fem
mes
: qu
elle
s év
olut
ions
?
G20
06/0
2 C
. PIC
AR
T
Les
gaze
lles
en F
ranc
e
G20
06/0
3 P
. A
UB
ER
T -
B.
CR
ÉP
ON
-P
. ZA
MO
RA
Le
ren
dem
ent
appa
rent
de
la f
orm
atio
n co
ntin
ue
dan
s le
s en
tre
pris
es :
effe
ts s
ur l
a pr
oduc
tivité
et
les
sala
ires
G20
06/0
4 J.
-F. O
UV
RA
RD
- R
. R
AT
HE
LOT
D
emog
raph
ic c
hang
e an
d un
empl
oym
ent:
w
hat
do m
acro
econ
omet
ric m
odel
s pr
edic
t?
G20
06/0
5 D
. BLA
NC
HE
T -
J.-
F.
OU
VR
AR
D
Indi
cate
urs
d’en
gage
men
ts
impl
icite
s de
s sy
stè
me
s d
e re
tra
ite :
ch
iffra
ges,
p
rop
riété
s an
alyt
ique
s et
ré
actio
ns
à de
s ch
ocs
dém
ogra
phiq
ues
type
s
G20
06/0
6 G
. B
IAU
- O
. B
IAU
- L
. R
OU
VIE
RE
N
onpa
ram
etric
For
ecas
ting
of t
he M
anuf
actu
ring
Out
put G
row
th w
ith F
irm-le
vel S
urve
y D
ata
G20
06/0
7 C
. AF
SA
- P
. GIV
OR
D
Le
rôle
de
s co
nditi
ons
de
trav
ail
dans
le
s ab
senc
es p
our
mal
adie
G20
06/0
8 P
. S
ILLA
RD
- C
. L’A
NG
EV
IN -
S. S
ER
RA
VA
LL
E
Per
form
ance
s co
mpa
rées
à
l’exp
orta
tion
de
la
Fra
nce
et d
e se
s pr
inci
paux
par
tena
ires
U
ne a
naly
se s
truc
ture
lle s
ur 1
2 an
s
G20
06/0
9 X
. BO
UT
IN -
S. Q
UA
NT
IN
Une
m
étho
dolo
gie
d’év
alua
tion
com
ptab
le
du
coût
du
capi
tal d
es e
ntre
pris
es f
ranç
aise
s :
1984
-20
02
G20
06/1
0 C
. AF
SA
L’
estim
atio
n d’
un c
oût
impl
icite
de
la p
énib
ilité
du
trav
ail c
hez
les
trav
aille
urs
âgés
G20
06/1
1 C
. LE
LAR
GE
Le
s en
trep
rises
(in
dust
rielle
s)
fran
çais
es
sont
-el
les
à la
fron
tière
tec
hnol
ogiq
ue ?
G20
06/1
2 O
. B
IAU
- N
. FE
RR
AR
I T
héor
ie d
e l’o
pini
on
Fau
t-il
pond
érer
les
répo
nses
indi
vidu
elle
s ?
G20
06/1
3 A
. K
OU
BI -
S. R
OU
X
Une
ré
inte
rpré
tatio
n de
la
re
latio
n en
tre
prod
uctiv
ité
et
inég
alité
s sa
laria
les
dans
le
s en
trep
rises
G20
06/1
4 R
. RA
TH
ELO
T -
P.
SIL
LAR
D
The
im
pact
of
lo
cal
taxe
s on
pl
ants
lo
catio
n de
cisi
on
G20
06/1
5 L.
GO
NZ
ALE
Z -
C.
PIC
AR
T
Div
ersi
ficat
ion,
rec
entr
age
et p
oids
des
act
ivité
s de
sup
port
dan
s le
s gr
oupe
s (1
993-
2000
)
G20
07/0
1 D
. SR
AE
R
Allè
gem
ents
de
co
tisat
ions
pa
tron
ales
et
dy
nam
ique
sal
aria
le
G20
07/0
2 V
. A
LBO
UY
- L
. LE
QU
IEN
Le
s re
ndem
ents
non
mon
étai
res
de l
’édu
catio
n :
le c
as d
e la
san
té
G20
07/0
3 D
. BL
AN
CH
ET
- T
. DE
BR
AN
D
Asp
iratio
n à
la r
etra
ite,
sant
é et
sat
isfa
ctio
n au
tr
avai
l : u
ne c
ompa
rais
on e
urop
éenn
e
G20
07/0
4 M
. BA
RLE
T -
L.
CR
US
SO
N
Que
l im
pact
des
var
iatio
ns d
u pr
ix d
u pé
trol
e su
r la
cro
issa
nce
fran
çais
e ?
G20
07/0
5 C
. PIC
AR
T
Flu
x d’
empl
oi e
t de
mai
n-d’
œuv
re e
n F
ranc
e :
un
réex
amen
G20
07/0
6 V
. A
LBO
UY
- C
. T
AV
AN
M
assi
ficat
ion
et
dém
ocra
tisat
ion
de
l’ens
eign
emen
t sup
érie
ur e
n F
ranc
e
G20
07/0
7 T
. LE
BA
RB
AN
CH
ON
T
he
Cha
ngin
g re
spon
se
to
oil
pric
e sh
ocks
in
F
ranc
e: a
DS
GE
typ
e ap
proa
ch
G20
07/0
8 T
. C
HA
NE
Y -
D. S
RA
ER
- D
. TH
ES
MA
R
Col
late
ral V
alue
and
Cor
pora
te I
nves
tmen
t E
vide
nce
from
the
Fre
nch
Rea
l Est
ate
Mar
ket
G20
07/0
9 J.
BO
ISS
INO
T
Con
sum
ptio
n ov
er
the
Life
C
ycle
: F
acts
fo
r F
ranc
e
G20
07/1
0 C
. AF
SA
In
terp
réte
r le
s va
riabl
es
de
satis
fact
ion
: l’e
xem
ple
de la
dur
ée d
u tr
avai
l
G20
07/1
1 R
. RA
TH
ELO
T -
P.
SIL
LAR
D
Zon
es
Fra
nche
s U
rbai
nes
: qu
els
effe
ts
sur
l’em
ploi
sa
larié
et
le
s cr
éatio
ns
d’ét
ablis
sem
ents
?
G20
07/1
2 V
. A
LBO
UY
- B
. CR
ÉP
ON
A
léa
mor
al
en
sant
é :
une
éval
uatio
n da
ns
le
cadr
e du
mod
èle
caus
al d
e R
ubin
G20
08/0
1 C
. PIC
AR
T
Les
PM
E
fran
çais
es :
re
ntab
les
mai
s pe
u dy
nam
ique
s
viii
G20
08/0
2 P
. B
ISC
OU
RP
- X
. BO
UT
IN -
T. V
ER
GÉ
T
he E
ffec
ts o
f Ret
ail R
egul
atio
ns o
n P
rice
s E
vide
nce
form
the
Loi
Gal
land
G20
08/0
3 Y
. B
AR
BE
SO
L -
A. B
RIA
NT
É
cono
mie
s d’
aggl
omér
atio
n et
pr
oduc
tivité
de
s en
trep
rises
: e
stim
atio
n su
r do
nnée
s in
divi
duel
les
fran
çais
es
G20
08/0
4 D
. BL
AN
CH
ET
- F
. LE
GA
LLO
Le
s pr
ojec
tions
dé
mog
raph
ique
s :
prin
cipa
ux
méc
anis
mes
et
reto
ur s
ur l’
expé
rienc
e fr
ança
ise
G20
08/0
5 D
. BLA
NC
HE
T -
F.
TO
UT
LEM
ON
DE
É
volu
tions
dé
mog
raph
ique
s et
dé
form
atio
n du
cy
cle
de v
ie a
ctiv
e :
quel
les
rela
tions
?
G20
08/0
6 M
. BA
RLE
T -
D. B
LAN
CH
ET
- L
. CR
US
SO
N
Inte
rnat
iona
lisat
ion
et f
lux
d’em
ploi
s :
que
dit
une
appr
oche
com
ptab
le ?
G20
08/0
7 C
. LE
LAR
GE
- D
. SR
AE
R -
D. T
HE
SM
AR
E
ntre
pren
eurs
hip
and
Cre
dit
Con
stra
ints
-
Evi
denc
e fr
om
a F
renc
h Lo
an
Gua
rant
ee
Pro
gram
G20
08/0
8 X
. BO
UT
IN -
L. J
AN
IN
Are
Pric
es R
eally
Affe
cted
by
Mer
gers
?
G20
08/0
9 M
. BA
RL
ET
- A
. B
RIA
NT
- L
. C
RU
SS
ON
C
once
ntra
tion
géog
raph
ique
da
ns
l’ind
ustr
ie
man
ufac
turiè
re e
t da
ns l
es s
ervi
ces
en F
ranc
e :
une
appr
oche
par
un
indi
cate
ur e
n co
ntin
u
G20
08/1
0 M
. BE
FF
Y -
É. C
OU
DIN
- R
. RA
TH
ELO
T
Who
is
co
nfro
nted
to
in
secu
re
labo
r m
arke
t hi
stor
ies?
Som
e ev
iden
ce b
ased
on
the
Fre
nch
labo
r m
arke
t tra
nsiti
on
G20
08/1
1 M
. RO
GE
R -
E.
WA
LRA
ET
S
ocia
l Sec
urity
and
Wel
l-Bei
ng o
f th
e E
lder
ly:
the
Cas
e of
Fra
nce
G20
08/1
2 C
. AF
SA
A
naly
ser
les
com
posa
ntes
du
bien
-êtr
e et
de
son
évol
utio
n
Une
ap
proc
he
empi
rique
su
r do
nnée
s in
divi
duel
les
G20
08/1
3 M
. BA
RLE
T -
D. B
LAN
CH
ET
-
T.
LE B
AR
BA
NC
HO
N
Mic
rosi
mul
er le
mar
ché
du tr
avai
l : u
n pr
otot
ype
G20
09/0
1 P
.-A
. PIO
NN
IER
Le
par
tage
de
la v
aleu
r aj
outé
e en
Fra
nce,
19
49-2
007
G20
09/0
2 La
uren
t C
LAV
EL
- C
hris
telle
MIN
OD
IER
A
M
onth
ly
Indi
cato
r of
th
e F
renc
h B
usin
ess
Clim
ate
G20
09/0
3 H
. ER
KE
L-R
OU
SS
E -
C. M
INO
DIE
R
Do
Bus
ines
s T
ende
ncy
Sur
veys
in
Indu
stry
and
S
ervi
ces
Hel
p in
For
ecas
ting
GD
P G
row
th?
A
Rea
l-Tim
e A
naly
sis
on F
renc
h D
ata
G20
09/0
4 P
. G
IVO
RD
- L
. W
ILN
ER
Le
s co
ntra
ts t
empo
raire
s :
trap
pe o
u m
arch
epie
d ve
rs l’
empl
oi s
tabl
e ?
G20
09/0
5 G
. LA
LA
NN
E -
P.-
A. P
ION
NIE
R -
O. S
IMO
N
Le p
arta
ge d
es f
ruits
de
la c
rois
sanc
e de
195
0 à
2008
: u
ne a
ppro
che
par
les
com
ptes
de
surp
lus
G20
09/0
6 L.
DA
VE
ZIE
S -
X. D
’HA
ULT
FO
EU
ILLE
F
aut-
il po
ndér
er ?
…
Ou
l’éte
rnel
le
ques
tion
de
l’éco
nom
ètre
con
fron
té à
des
don
nées
d’e
nquê
te
G20
09/0
7 S
. Q
UA
NT
IN -
S. R
AS
PIL
LER
- S
. SE
RR
AV
AL
LE
Com
mer
ce
intr
agro
upe,
fis
calit
é et
pr
ix
de
tran
sfer
ts :
une
ana
lyse
sur
don
nées
fran
çais
es
G20
09/0
8 M
. CLE
RC
- V
. MA
RC
US
É
last
icité
s-pr
ix d
es c
onso
mm
atio
ns é
nerg
étiq
ues
des
mén
ages
G20
09/0
9 G
. LA
LA
NN
E -
E. P
OU
LIQ
UE
N -
O. S
IMO
N
Prix
du
pétr
ole
et c
rois
sanc
e po
tent
ielle
à l
ong
term
e
G20
09/1
0 D
. BLA
NC
HE
T -
J.
LE C
AC
HE
UX
-
V.
MA
RC
US
A
djus
ted
net
savi
ngs
and
othe
r ap
proa
ches
to
su
stai
nabi
lity:
som
e th
eore
tical
bac
kgro
und
G20
09/1
1 V
. B
ELL
AM
Y -
G.
CO
NS
ALE
S -
M.
FE
SS
EA
U -
S
. LE
LA
IDIE
R -
É. R
AY
NA
UD
U
ne d
écom
posi
tion
du c
ompt
e de
s m
énag
es d
e la
co
mpt
abili
té
natio
nale
pa
r ca
tégo
rie
de
mén
age
en 2
003
G20
09/1
2 J.
BA
RD
AJI
- F
. TA
LLE
T
Det
ectin
g E
cono
mic
R
egim
es
in
Fra
nce:
a
Qua
litat
ive
Mar
kov-
Sw
itchi
ng
Indi
cato
r U
sing
M
ixed
Fre
quen
cy D
ata
G20
09/1
3 R
. A
EB
ER
HA
RD
T
- D
. F
OU
GÈ
RE
-
R. R
AT
HE
LOT
D
iscr
imin
atio
n à
l’em
bauc
he :
com
men
t ex
ploi
ter
les
proc
édur
es d
e te
stin
g ?
G20
09/1
4 Y
. B
AR
BE
SO
L -
P. G
IVO
RD
- S
. QU
AN
TIN
P
arta
ge
de
la
vale
ur
ajou
tée,
ap
proc
he
par
donn
ées
mic
roéc
onom
ique
s
G20
09/1
5 I.
BU
ON
O -
G.
LALA
NN
E
The
Eff
ect
of t
he U
rugu
ay r
ound
on
the
Inte
nsiv
e an
d E
xten
sive
Mar
gins
of
Tra
de
G20
10/0
1 C
. MIN
OD
IER
A
vant
ages
com
paré
s de
s sé
ries
des
prem
ière
s va
leur
s pu
blié
es
et
des
série
s de
s va
leur
s ré
visé
es -
Un
exer
cice
de
prév
isio
n en
tem
ps r
éel
de la
cro
issa
nce
trim
estr
ielle
du
PIB
en
Fra
nce
G20
10/0
2 V
. A
LBO
UY
- L
. DA
VE
ZIE
S -
T. D
EB
RA
ND
H
ealth
Exp
endi
ture
Mod
els:
a C
ompa
rison
of
Fiv
e S
peci
ficat
ions
usi
ng P
anel
Dat
a
G20
10/0
3 C
. KL
EIN
- O
. SIM
ON
Le
mod
èle
MÉ
SA
NG
E r
éest
imé
en b
ase
2000
T
ome
1 –
Ver
sion
ave
c vo
lum
es à
prix
con
stan
ts
G20
10/0
4 M
.-É
. CLE
RC
- É
. CO
UD
IN
L’IP
C,
miro
ir de
l’é
volu
tion
du c
oût
de l
a vi
e en
F
ranc
e ?
Ce
qu’a
ppor
te
l’ana
lyse
de
s co
urbe
s d’
Eng
el
G20
10/0
5 N
. CE
CI-
RE
NA
UD
- P
.-A
. C
HE
VA
LIE
R
Les
seui
ls d
e 10
, 20
et
50 s
alar
iés
: im
pact
sur
la
taill
e de
s en
trep
rises
fra
nçai
ses
G20
10/0
6 R
. AE
BE
RH
AR
DT
- J
. P
OU
GE
T
Nat
iona
l O
rigin
D
iffer
ence
s in
W
ages
an
d H
iera
rchi
cal
Pos
ition
s -
Evi
denc
e on
Fre
nch
Ful
l-T
ime
Mal
e W
orke
rs f
rom
a m
atch
ed E
mpl
oyer
-E
mpl
oye
e D
atas
et
G20
10/0
7 S
. B
LAS
CO
- P
. GIV
OR
D
Les
traj
ecto
ires
prof
essi
onne
lles
en d
ébut
de
vie
activ
e :
quel
impa
ct d
es c
ontr
ats
tem
pora
ires
?
G20
10/0
8 P
. G
IVO
RD
M
étho
des
écon
omét
rique
s po
ur
l’éva
luat
ion
de
polit
ique
s pu
bliq
ues
ix
G20
10/0
9 P
.-Y
. CA
BA
NN
ES
- V
. LA
PÈ
GU
E -
E
. P
OU
LIQ
UE
N -
M. B
EF
FY
- M
. GA
INI
Que
lle
croi
ssan
ce
de
moy
en
term
e ap
rès
la
cris
e ?
G20
10/1
0 I.
BU
ON
O -
G. L
ALA
NN
E
La r
éact
ion
des
entr
epris
es f
ranç
aise
s
à la
bai
sse
des
tarif
s do
uani
ers
étra
nger
s
G20
10/1
1 R
. RA
TH
EL
OT
- P
. S
ILLA
RD
L’
appo
rt d
es m
étho
des
à no
yaux
pou
r m
esur
er la
co
ncen
trat
ion
géog
raph
ique
-
App
licat
ion
à la
co
ncen
trat
ion
des
imm
igré
s en
Fra
nce
de 1
968
à 19
99
G20
10/1
2 M
. BA
RA
TO
N -
M.
BE
FF
Y -
D. F
OU
GÈ
RE
U
ne é
valu
atio
n de
l’e
ffet
de l
a ré
form
e de
200
3 su
r le
s dé
part
s en
re
trai
te
- Le
ca
s de
s en
seig
nant
s du
sec
ond
degr
é pu
blic
G20
10/1
3 D
. B
LA
NC
HE
T -
S.
BU
FF
ET
EA
U -
E.
CR
EN
NE
R
S.
LE M
INE
Z
Le
mod
èle
de
mic
rosi
mul
atio
n D
estin
ie
2 :
prin
cipa
les
cara
ctér
istiq
ues
et p
rem
iers
rés
ulta
ts
G20
10/1
4 D
. BLA
NC
HE
T -
E. C
RE
NN
ER
Le
blo
c re
tra
ites
du
mod
èle
Des
tinie
2 :
gu
ide
de l’
utili
sate
ur
G20
10/1
5 M
. B
AR
LET
-
L.
CR
US
SO
N
- S
. D
UP
UC
H
- F
. PU
EC
H
Des
se
rvic
es
écha
ngés
au
x se
rvic
es
écha
n-ge
able
s : u
ne a
pplic
atio
n su
r do
nnée
s fr
ança
ises
G20
10/1
6 M
. BE
FF
Y -
T. K
AM
ION
KA
P
ublic
-priv
ate
wag
e ga
ps:
is c
ivil-
serv
ant
hum
an
capi
tal s
ecto
r-sp
ecifi
c?
G20
10/1
7 P
.-Y
. C
AB
AN
NE
S
- H
. E
RK
EL
-RO
US
SE
-
G.
LAL
AN
NE
- O
. MO
NS
O -
E.
PO
ULI
QU
EN
Le
mod
èle
Més
ange
rée
stim
é en
bas
e 20
00
Tom
e 2
- V
ersi
on a
vec
volu
mes
à p
rix c
haîn
és
G20
10/1
8 R
. AE
BE
RH
AR
DT
- L
. DA
VE
ZIE
S
Con
ditio
nal
Logi
t w
ith o
ne B
inar
y C
ovar
iate
: Li
nk
betw
een
the
Sta
tic a
nd D
ynam
ic C
ases
G20
11/0
1 T
. LE
BA
RB
AN
CH
ON
- B
. OU
RLI
AC
- O
. S
IMO
N
Les
mar
chés
du
trav
ail f
ranç
ais
et a
mér
icai
n fa
ce
aux
choc
s co
njon
ctur
els
des
anné
es
1986
à
2007
: u
ne m
odél
isat
ion
DS
GE
G20
11/0
2 C
. MA
RB
OT
U
ne
éval
uatio
n de
la
ré
duct
ion
d’im
pôt
pour
l’e
mpl
oi d
e sa
larié
s à
dom
icile
G20
11/0
3 L.
DA
VE
ZIE
S
Mod
èles
à
effe
ts
fixes
, à
ef
fets
al
éato
ires,
m
odèl
es m
ixte
s ou
mul
ti-ni
veau
x :
prop
riété
s et
m
ises
en
œ
uvre
de
s m
odél
isat
ions
de
l’h
étér
ogén
éité
dan
s le
cas
de
donn
ées
grou
pées
G20
11/0
4 M
. RO
GE
R -
M. W
AS
ME
R
Het
erog
enei
ty
mat
ters
: la
bour
pr
oduc
tivity
di
ffere
ntia
ted
by a
ge a
nd s
kills
G20
11/0
5 J.
-C. B
RIC
ON
GN
E -
J.-
M. F
OU
RN
IER
V
. LA
PÈ
GU
E -
O.
MO
NS
O
De
la
cris
e fin
anci
ère
à la
cr
ise
écon
omiq
ue
L’im
pact
des
per
turb
atio
ns f
inan
cièr
es d
e 20
07 e
t 20
08 s
ur la
cro
issa
nce
de s
ept
pays
indu
stria
lisés
G20
11/0
6 P
. C
HA
RN
OZ
- É
. CO
UD
IN -
M. G
AIN
I W
age
ineq
ualit
ies
in F
ranc
e 19
76-2
004:
a
quan
tile
regr
essi
on a
naly
sis
G20
11/0
7 M
. CLE
RC
- M
. GA
INI
- D
. BL
AN
CH
ET
R
ecom
men
datio
ns
of
the
Stig
litz-
Sen
-Fito
ussi
R
epor
t: A
few
illu
stra
tions
G20
11/0
8 M
. BA
CH
ELE
T -
M. B
EF
FY
- D
. B
LAN
CH
ET
P
roje
ter
l’im
pact
des
réf
orm
es d
es r
etra
ites
sur
l’act
ivité
des
55
ans
et p
lus
: un
e co
mpa
rais
on d
e tr
ois
mod
èles
G20
11/0
9 C
. LO
UV
OT
-RU
NA
VO
T
L’év
alua
tion
de
l’act
ivité
di
ssim
ulée
de
s en
tre-
pris
es s
ur l
a ba
se d
es c
ontr
ôles
fis
caux
et
son
inse
rtio
n da
ns le
s co
mpt
es n
atio
naux
G20
11/1
0 A
. S
CH
RE
IBE
R -
A. V
ICA
RD
La
te
rtia
risat
ion
de
l’éco
nom
ie
fran
çais
e et
le
ra
lent
isse
men
t de
la
prod
uctiv
ité e
ntre
197
8 et
20
08
G20
11/1
1 M
.-É
. CLE
RC
- O
. MO
NS
O -
E. P
OU
LIQ
UE
N
Les
inég
alité
s en
tre
géné
ratio
ns d
epui
s le
bab
y-bo
om
G20
11/1
2 C
. MA
RB
OT
- D
. RO
Y
Éva
luat
ion
de l
a tr
ansf
orm
atio
n de
la
rédu
ctio
n d'
impô
t en
cré
dit
d'im
pôt
pour
l'em
ploi
de
sala
riés
à do
mic
ile e
n 20
07
G20
11/1
3 P
. G
IVO
RD
- R
. RA
TH
EL
OT
- P
. SIL
LA
RD
P
lace
-bas
ed
tax
exem
ptio
ns
and
disp
lace
men
t ef
fect
s:
An
eval
uatio
n of
th
e Z
ones
F
ranc
hes
Urb
aine
s pr
ogra
m
G20
11/1
4 X
. D
’HA
ULT
FO
EU
ILL
E
- P
. G
IVO
RD
-
X. B
OU
TIN
T
he E
nviro
nmen
tal
Effe
ct o
f G
ree
n T
axa
tion:
th
e C
ase
of t
he F
renc
h “B
onus
/Mal
us”
G20
11/1
5 M
. B
AR
LET
-
M.
CLE
RC
-
M.
GA
RN
EO
-
V.
LAP
ÈG
UE
- V
. M
AR
CU
S
La
nouv
elle
ve
rsio
n du
m
odèl
e M
ZE
, m
odèl
e m
acro
écon
omét
rique
pou
r la
zon
e eu
ro
G20
11/1
6 R
. AE
BE
RH
AR
DT
- I.
BU
ON
O -
H. F
AD
ING
ER
Le
arni
ng,
Inco
mpl
ete
Con
trac
ts
and
Exp
ort
Dyn
amic
s:
The
ory
and
Evi
denc
e fo
rm
Fre
nch
Firm
s
G20
11/1
7 C
. KE
RD
RA
IN -
V. L
AP
ÈG
UE
R
estr
ictiv
e F
isca
l Pol
icie
s in
Eur
ope:
W
hat
are
the
Like
ly E
ffect
s?
G20
12/0
1 P
. G
IVO
RD
- S
. Q
UA
NT
IN -
C.
TR
EV
IEN
A
Lon
g-T
erm
Eva
luat
ion
of t
he F
irst
Gen
erat
ion
of t
he F
renc
h U
rban
Ent
erpr
ise
Zon
es
G20
12/0
2 N
. CE
CI-
RE
NA
UD
- V
. CO
TT
ET
P
oliti
que
sala
riale
et
perf
orm
ance
des
ent
repr
ises
G20
12/0
3 P
. F
ÉV
RIE
R -
L.
WIL
NE
R
Do
Con
sum
ers
Cor
rect
ly
Exp
ect
Pric
e R
educ
tions
? T
estin
g D
ynam
ic B
ehav
ior
G20
12/0
4 M
. GA
INI
- A
. LE
DU
C -
A. V
ICA
RD
S
choo
l as
a s
helte
r? S
choo
l le
avin
g-ag
e an
d th
e bu
sine
ss c
ycle
in F
ranc
e
G20
12/0
5 M
. GA
INI
- A
. LE
DU
C -
A. V
ICA
RD
A
sca
rred
gen
erat
ion?
Fre
nch
evid
ence
on
youn
g pe
ople
ent
erin
g in
to a
tou
gh la
bour
mar
ket
G20
12/0
6 P
. A
UB
ER
T -
M. B
AC
HE
LET
D
ispa
rités
de
m
onta
nt
de
pens
ion
et
redi
strib
utio
n d
ans
le s
ystè
me
de
retr
aite
fra
nçai
s
G20
12/0
7 R
. AE
BE
RH
AR
DT
- P
GIV
OR
D -
C. M
AR
BO
T
Spi
llove
r E
ffect
of
the
Min
imum
Wag
e in
Fra
nce:
A
n U
ncon
ditio
nal Q
uant
ile R
egre
ssio
n A
ppro
ach
x
G20
12/0
8 A
. E
IDE
LM
AN
- F
. LA
NG
UM
IER
- A
. VIC
AR
D
Pré
lève
men
ts
oblig
atoi
res
repo
sant
su
r le
s m
énag
es :
des
can
aux
redi
strib
utifs
diff
éren
ts e
n 19
90 e
t 20
10
G20
12/0
9 O
. B
AR
GA
IN -
A. V
ICA
RD
L
e R
MI
et s
on s
ucce
sseu
r le
RS
A d
écou
rage
nt-
ils c
erta
ins
jeun
es d
e tr
avai
ller
? U
ne a
naly
se s
ur
les
jeun
es a
utou
r de
25
ans
G20
12/1
0 C
. MA
RB
OT
- D
. RO
Y
Pro
ject
ions
du
co
ût
de
l’AP
A
et
des
cara
ctér
istiq
ues
de s
es b
énéf
icia
ires
à l
’hor
izon
20
40 à
l’ai
de d
u m
odèl
e D
estin
ie
G20
12/1
1 A
. M
AU
RO
UX
Le
cr
édit
d’im
pôt
dédi
é au
dé
velo
ppem
ent
dura
ble
: un
e év
alua
tion
écon
omét
rique
G20
12/1
2 V
. C
OT
TE
T -
S. Q
UA
NT
IN -
V.
RÉ
GN
IER
C
oût
du t
rava
il et
allè
gem
ents
de
char
ges
: un
e es
timat
ion
au
nive
au
étab
lisse
men
t de
19
96
à 20
08
G20
12/1
3 X
. D
’HA
UL
TF
OE
UIL
LE
-
P.
FÉ
VR
IER
-
L. W
ILN
ER
D
eman
d E
stim
atio
n in
the
Pre
senc
e of
Rev
enue
M
anag
emen
t
G20
12/1
4 D
. BLA
NC
HE
T -
S. L
E M
INE
Z
Join
t m
acro
/mic
ro e
valu
atio
ns o
f ac
crue
d-to
-dat
e pe
nsio
n lia
bilit
ies:
an
ap
plic
atio
n to
F
renc
h re
form
s
G20
13/0
1-
T.
DE
RO
YO
N -
A. M
ON
TA
UT
- P
-A P
ION
NIE
R
F13
01
Util
isat
ion
rétr
ospe
ctiv
e de
l’e
nquê
te
Em
ploi
à
une
fréq
uenc
e m
ensu
elle
: ap
port
d’
une
mod
élis
atio
n es
pace
-éta
t
G20
13/0
2-
C. T
RE
VIE
N
F13
02
Hab
iter
en
HLM
: qu
el
avan
tage
m
onét
aire
et
qu
el im
pact
sur
les
cond
ition
s de
loge
men
t ?
G20
13/0
3 A
. P
OIS
SO
NN
IER
Tem
pora
l di
sagg
rega
tion
of s
tock
var
iabl
es -
The
C
how
-Lin
met
hod
ext
end
ed
to d
yna
mic
mod
els
G20
13/0
4 P
. G
IVO
RD
- C
. MA
RB
OT
Doe
s th
e co
st o
f ch
ild c
are
affe
ct f
emal
e la
bor
mar
ket
part
icip
atio
n? A
n ev
alua
tion
of a
Fre
nch
refo
rm o
f chi
ldca
re s
ubsi
dies
G20
13/0
5 G
. LA
ME
- M
. LE
QU
IEN
- P
.-A
. P
ION
NIE
R
In
terp
reta
tion
and
limits
of
sust
aina
bilit
y te
sts
in
publ
ic f
inan
ce
G20
13/0
6 C
. BE
LLE
GO
- V
. D
OR
TE
T-B
ER
NA
DE
T
La
par
ticip
atio
n au
x pô
les
de c
ompé
titiv
ité :
que
lle
inci
denc
e su
r le
s dé
pens
es d
e R
&D
et
l’act
ivité
de
s P
ME
et E
TI
?
G20
13/0
7 P
.-Y
. CA
BA
NN
ES
- A
. MO
NT
AU
T -
P
.-A
. PIO
NN
IER
Éva
luer
la
prod
uctiv
ité g
loba
le d
es f
acte
urs
en
Fra
nce
: l’a
ppor
t d’
une
mes
ure
de l
a qu
alité
du
capi
tal e
t du
trav
ail
G20
13/0
8 R
. AE
BE
RH
AR
DT
- C
. MA
RB
OT
Evo
lutio
n of
In
stab
ility
on
th
e F
renc
h La
bour
M
arke
t D
urin
g th
e La
st T
hirt
y Y
ears
G20
13/0
9 J-
B. B
ER
NA
RD
- G
. CLÉ
AU
D
O
il pr
ice:
the
nat
ure
of t
he s
hock
s an
d th
e im
pact
on
the
Fre
nch
econ
omy
G20
13/1
0 G
. LA
ME
Was
the
re a
« G
reen
span
Con
undr
um »
in
the
Eur
o ar
ea?
G20
13/1
1 P
. C
HO
NÉ
- F
. EV
AIN
- L
. W
ILN
ER
- E
. YIL
MA
Z
In
trod
ucin
g ac
tivity
-bas
ed p
aym
ent
in t
he h
ospi
tal
indu
stry
: E
vide
nce
fro
m F
renc
h da
ta
G20
13/1
2 C
. GR
ISLA
IN-L
ET
RÉ
MY
Nat
ural
Dis
aste
rs: E
xpos
ure
and
Und
erin
sura
nce
G20
13/1
3 P
.-Y
. CA
BA
NN
ES
- V
. CO
TT
ET
- Y
. DU
BO
IS -
C
. LE
LAR
GE
- M
. SIC
SIC
F
renc
h F
irms
in t
he F
ace
of t
he 2
008/
2009
Cris
is
G20
13/1
4 A
. P
OIS
SO
NN
IER
- D
. RO
Y
H
ouse
hold
s S
atel
lite
Acc
ount
for
Fra
nce
in 2
010.
M
etho
dolo
gica
l is
sues
on
th
e as
sess
men
t of
do
mes
tic p
rodu
ctio
n
G20
13/1
5 G
. C
LÉA
UD
- M
. LE
MO
INE
- P
.-A
. PIO
NN
IER
Whi
ch
size
an
d ev
olut
ion
of
the
gove
rnm
ent
expe
nditu
re m
ultip
lier
in F
ranc
e (1
980-
2010
)?
G20
14/0
1 M
. BA
CH
ELE
T -
A.
LED
UC
- A
. M
AR
INO
Les
biog
raph
ies
du m
odèl
e D
estin
ie I
I :
reba
sage
et
pro
ject
ion
G20
14/
02
B.
GA
RB
INT
I
L’ac
hat
de l
a ré
side
nce
prin
cipa
le e
t la
cré
atio
n d’
entr
epris
es s
ont-
ils f
avor
isés
par
les
don
atio
ns
et h
érita
ges
?
G20
14/0
3 N
. CE
CI-
RE
NA
UD
- P
. CH
AR
NO
Z -
M. G
AIN
I
Évo
lutio
n de
la v
olat
ilité
des
rev
enus
sal
aria
ux d
u se
cteu
r pr
ivé
en F
ranc
e de
puis
196
8
G20
14/0
4 P
. A
UB
ER
T
M
odal
ités
d’ap
plic
atio
n de
s ré
form
es d
es r
etra
ites
et p
révi
sibi
lité
du m
onta
nt d
e pe
nsio
n
G20
14/0
5 C
. GR
ISLA
IN-L
ET
RÉ
MY
- A
. KA
TO
SS
KY
The
Im
pact
of
Haz
ardo
us I
ndus
tria
l F
acili
ties
on
Hou
sing
Pric
es:
A C
ompa
rison
of
Par
amet
ric a
nd
Sem
ipar
amet
ric H
edon
ic P
rice
Mod
els
G20
14//0
6 J.
-M. D
AU
SS
IN-B
EN
ICH
OU
- A
. MA
UR
OU
X
Tur
ning
th
e he
at
up.
How
se
nsiti
ve
are
hous
ehol
ds
to
fisca
l in
cent
ives
on
en
ergy
ef
ficie
ncy
inve
stm
ents
?
G20
14/0
7 C
. LA
BO
NN
E -
G.
LAM
É
Cre
dit
Gro
wth
and
Cap
ital R
equi
rem
ents
: B
indi
ng
or N
ot?
G20
14/0
8 C
. GR
ISLA
IN-L
ET
RÉ
MY
et C
. T
RE
VIE
N
The
Im
pact
of
Hou
sing
Sub
sidi
es o
n th
e R
enta
l S
ecto
r: t
he F
renc
h E
xam
ple
G20
14/0
9 M
. LE
QU
IEN
et
A.
MO
NT
AU
T
Cro
issa
nce
pote
ntie
lle
en
Fra
nce
et
en
zone
eu
ro :
un
tour
d’
horiz
on
des
mét
hode
s d’
est
imat
ion
G20
14/1
0 B
. G
AR
BIN
TI -
P. L
AM
AR
CH
E
Les
haut
s re
venu
s ép
argn
ent-
ils d
avan
tage
?
G20
14/1
1 D
. AU
DE
NA
ER
T -
J. B
AR
DA
JI -
R.
LAR
DE
UX
-
M. O
RA
ND
- M
. SIC
SIC
W
age
Res
ilien
ce
in
Fra
nce
sinc
e th
e G
reat
R
eces
sion
G20
14/1
2 F
. A
RN
AU
D -
J.
BO
US
SA
RD
- A
. PO
ISS
ON
NIE
R
- H
. SO
UA
L C
ompu
ting
addi
tive
cont
ribut
ions
to
grow
th a
nd
othe
r is
sues
for
chai
n-lin
ked
quar
terly
agg
rega
tes
G20
14/1
3 H
. FR
AIS
SE
- F
. KR
AM
AR
Z -
C. P
RO
ST
La
bor
Dis
pute
s an
d Jo
b F
low
s
xi
G20
14/1
4 P
. G
IVO
RD
-
C.
GR
ISL
AIN
-LE
TR
ÉM
Y
- H
. NA
EG
ELE
H
ow
does
fu
el
taxa
tion
impa
ct
new
ca
r pu
rcha
ses?
A
n ev
alua
tion
usin
g F
renc
h co
nsum
er-le
vel d
atas
et
G20
14/1
5 P
. A
UB
ER
T -
S.
RA
BA
TÉ
D
urée
pa
ssée
en
ca
rriè
re
et
duré
e de
vi
e en
re
trai
te :
que
l pa
rtag
e de
s ga
ins
d'es
péra
nce
de
vie
?
G20
15/0
1 A
. P
OIS
SO
NN
IER
T
he w
alki
ng d
ead
Eul
er e
quat
ion
Add
ress
ing
a ch
alle
nge
to
mon
etar
y po
licy
mod
els
G20
15/0
2 Y
. D
UB
OIS
- A
. M
AR
INO
In
dica
teur
s de
ren
dem
ent
du s
ystè
me
de r
etra
ite
fran
çais
G20
15/0
3 T
. M
AY
ER
- C
. T
RE
VIE
N
The
im
pact
s of
U
rban
P
ublic
T
rans
port
atio
n:
Evi
denc
e fr
om t
he P
aris
Reg
ion
G20
15/0
4 S
.T. L
Y -
A. R
IEG
ER
T
Mea
surin
g S
ocia
l Env
ironm
ent
Mob
ility
G20
15/0
5 M
. A. B
EN
HA
LIM
A -
V.
HY
AF
IL-S
OLE
LHA
C
M. K
OU
BI -
C.
RE
GA
ER
T
Que
l es
t l’i
mpa
ct
du
syst
ème
d’in
dem
nisa
tion
mal
adie
sur
la
duré
e de
s ar
rêts
de
trav
ail
pour
m
alad
ie ?
G20
15/0
6 Y
. D
UB
OIS
- A
. M
AR
INO
D
ispa
rités
de
rend
emen
t du
sys
tèm
e de
ret
raite
da
ns
le
sect
eur
priv
é :
appr
oche
s in
terg
énér
a-tio
nnel
le e
t int
ragé
néra
tionn
elle
G20
15/0
7 B
. C
AM
PA
GN
E -
V.
ALH
EN
C-G
ELA
S -
J.
-B.
BE
RN
AR
D
No
evid
ence
of
finan
cial
acc
eler
ator
in F
ranc
e
G20
15/0
8 Q
. LA
FF
ÉT
ER
- M
. P
AK
É
last
icité
s de
s re
cett
es
fisca
les
au
cycl
e éc
onom
ique
: é
tude
de
troi
s im
pôts
sur
la p
ério
de
1979
-201
3 en
Fra
nce
G20
15/0
9 J.
-M.
DA
US
SIN
-BE
NIC
HO
U,
S.
IDM
AC
HIC
HE
, A
. LE
DU
C e
t E
. P
OU
LIQ
UE
N
Les
déte
rmin
ants
de
l’attr
activ
ité d
e la
fon
ctio
n pu
bliq
ue d
e l’É
tat
G20
15/1
0 P
. A
UB
ER
T
La m
odul
atio
n du
mon
tant
de
pens
ion
selo
n la
du
rée
de c
arriè
re e
t l’â
ge d
e la
ret
raite
: q
uelle
s di
spar
ités
entr
e as
suré
s ?
G20
15/1
1 V
. D
OR
TE
T-B
ER
NA
DE
T -
M. S
ICS
IC
Eff
et d
es a
ides
pub
lique
s su
r l’e
mpl
oi e
n R
&D
da
ns le
s pe
tites
ent
repr
ises
G20
15/1
2 S
. G
EO
RG
ES
-KO
T
Ann
ual
and
lifet
ime
inci
denc
e of
the
val
ue-a
dded
ta
x in
Fra
nce
G20
15/1
3 M
. PO
ULH
ÈS
A
re
Ent
erpr
ise
Zon
es
Ben
efits
C
apita
lized
in
to
Com
mer
cial
Pro
pert
y V
alue
s? T
he F
renc
h C
ase
G20
15/1
4 J.
-B.
BE
RN
AR
D -
Q.
LAF
FÉ
TE
R
Eff
et d
e l’a
ctiv
ité e
t de
s pr
ix s
ur le
rev
enu
sala
rial
des
diff
éren
tes
caté
gorie
s so
ciop
rofe
ssio
nnel
les
G20
15/1
5 C
. GE
AY
- M
. KO
UB
I - G
de
LA
GA
SN
ER
IE
Pro
ject
ions
de
s dé
pens
es
de
soin
s de
vi
lle,
cons
truc
tion
d’un
mod
ule
pour
Des
tinie
G20
15/1
6 J.
BA
RD
AJI
- J
.-C
. B
RIC
ON
GN
E -
B
. C
AM
PA
GN
E -
G.
GA
ULI
ER
C
ompa
red
perf
orm
ance
s of
Fre
nch
com
pani
es
on t
he d
omes
tic a
nd f
orei
gn m
arke
ts
G20
15/1
7 C
. BE
LLÉ
GO
- R
. DE
NIJ
S
The
red
istr
ibut
ive
effe
ct o
f on
line
pira
cy o
n th
e bo
x of
fice
perf
orm
ance
of
A
mer
ican
m
ovie
s in
fo
reig
n m
arke
ts
G20
15/1
8 J.
-B.
BE
RN
AR
D -
L.
BE
RT
HE
T
Fre
nch
hous
ehol
ds
finan
cial
w
ealth
: w
hich
ch
ange
s in
20
year
s?
G20
15/1
9 M
. PO
ULH
ÈS
F
enêt
re s
ur C
our
ou
Cha
mbr
e av
ec V
ue ?
Le
s pr
ix h
édon
ique
s de
l’im
mob
ilier
par
isie
n
G20
16/0
1 B
. G
AR
BIN
TI -
S. G
EO
RG
ES
-KO
T
Tim
e to
sm
ell t
he r
oses
? R
isk
aver
sion
, th
e tim
ing
of in
herit
ance
rec
eipt
, an
d re
tirem
ent
G20
16/0
2 P
. C
HA
RN
OZ
- C
. LE
LAR
GE
- C
. TR
EV
IEN
C
omm
unic
atio
n C
osts
an
d th
e In
tern
al
Org
aniz
atio
n of
Mul
ti-P
lant
Bus
ines
ses:
Evi
denc
e fr
om th
e Im
pact
of
the
Fre
nch
Hig
h-S
peed
Rai
l
G20
16/0
3 C
. BO
NN
ET
- B
. GA
RB
INT
I -
A. S
OL
AZ
G
ende
r In
equa
lity
afte
r D
ivor
ce:
The
Flip
Sid
e of
M
arita
l S
peci
aliz
atio
n -
Evi
denc
e fr
om a
Fre
nch
Adm
inis
trat
ive
Dat
abas
e
G20
16/0
4 D
. B
LAN
CH
ET
-
E.
CA
RO
LI
- C
. P
RO
ST
-
M. R
OG
ER
H
ealth
cap
acity
to
wor
k at
old
er a
ges
in F
ranc
e
G20
16/0
5 B
. C
AM
PA
GN
E -
A.
PO
ISS
ON
NIE
R
ME
LEZ
E:
A D
SG
E m
ode
l fo
r F
ranc
e w
ithin
th
e E
uro
Are
a
G20
16/0
6 B
. C
AM
PA
GN
E -
A.
PO
ISS
ON
NIE
R
Laffe
r cu
rves
and
fis
cal
mul
tiplie
rs:
less
ons
from
M
élèz
e m
odel
G20
16/0
7 B
. C
AM
PA
GN
E -
A.
PO
ISS
ON
NIE
R
Str
uctu
ral
refo
rms
in D
SG
E m
odel
s: a
cas
e fo
r se
nsiti
vity
ana
lyse
s
G20
16/0
8 Y
. D
UB
OIS
et
M. K
OU
BI
Rel
èvem
ent
de l'
âge
de d
épar
t à
la r
etra
ite :
que
l im
pact
sur
l'ac
tivité
des
sén
iors
de
la r
éfor
me
des
retr
aite
s de
201
0 ?
G20
16/0
9 A
. N
AO
UA
S -
M. O
RA
ND
- I.
SL
IMA
NI H
OU
TI
Les
entr
epris
es e
mpl
oyan
t de
s sa
larié
s au
Sm
ic :
quel
les
cara
ctér
istiq
ues
et q
uelle
ren
tabi
lité
?
G20
16/1
0 T
. B
LAN
CH
ET
-
Y.
DU
BO
IS
- A
. M
AR
INO
-
M. R
OG
ER
P
atrim
oine
priv
é et
ret
raite
en
Fra
nce
G20
16/1
1 M
. PA
K -
A. P
OIS
SO
NN
IER
A
ccou
ntin
g fo
r te
chno
logy
, tr
ade
and
final
co
nsum
ptio
n in
em
ploy
men
t: an
In
put-
Ou
tpu
t de
com
posi
tion
G20
17/0
1 D
. FO
UG
ÈR
E -
E. G
AU
TIE
R -
S. R
OU
X
Und
erst
andi
ng W
age
Flo
or S
ettin
g in
Ind
ustr
y-Le
vel A
gree
men
ts: E
vide
nce
from
Fra
nce
G20
17/0
2 Y
. D
UB
OIS
- M
. KO
UB
I R
ègle
s d’
inde
xatio
n de
s pe
nsio
ns
et
sens
ibili
té
des
dépe
nses
de
re
trai
tes
à la
cr
oiss
ance
éc
onom
ique
et
aux
choc
s dé
mog
raph
ique
s
xii
G20
17/0
3 A
. C
AZ
EN
AV
E-L
AC
RO
UT
Z -
F.
GO
DE
T
L'es
péra
nce
de
vie
en
retr
aite
sa
ns
inca
paci
té
sévè
re d
es g
énér
atio
ns n
ées
entr
e 19
60 e
t 199
0 :
une
proj
ectio
n à
part
ir du
mod
èle
Des
tinie
G20
17/0
4 J.
BA
RD
AJI
- B
. C
AM
PA
GN
E -
M
.-B
. K
HD
ER
- Q
. LA
FF
ÉT
ER
- O
. S
IMO
N
(Ins
ee
) A
.-S
. D
UF
ER
NE
Z
- C
. E
LEZ
AA
R
-P
. LE
BLA
NC
- E
. M
AS
SO
N -
H
. P
AR
TO
UC
HE
(D
G-T
réso
r)
Le m
od
èle
mac
roéc
ono
mé
triq
ue
Més
ang
e :
ré
estim
atio
n et
nou
veau
tés
G20
17/0
5 J.
BO
US
SA
RD
- B
. C
AM
PA
GN
E
Fis
cal
Pol
icy
Coo
rdin
atio
n in
a
Mon
etar
y U
nio
n a
t th
e Z
ero
-Lo
wer
-Bo
und
G20
17/0
6 A
. C
AZ
EN
AV
E-L
AC
RO
UT
Z -
A
. G
OD
ZIN
SK
I E
ffec
ts o
f th
e on
e-da
y w
aitin
g pe
riod
for
sick
le
ave
o
n he
alth
-rel
ated
a
bse
nce
s in
th
e F
ren
ch c
en
tra
l civ
il se
rvic
e
G20
17/0
7 P
. C
HA
RN
OZ
- M
. O
RA
ND
Q
ualif
ica
tion
, p
rog
rès
tech
niqu
e e
t m
arc
hé
s du
tra
vail
loca
ux e
n F
ran
ce,
1990
-201
1