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7DOIGTS.COM [email protected] . +1 514 521 4477

225 rue Roy Est #205 . Montréal (QC) H2W 1M5 . Canada

CONTACTS DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT

INTERNATIONAL

Les 7 doigts de la main - Tina Diab [email protected]

Tel. +1 514 521 4477 poste 204

FRANCE Blueline Productions - Christine Weiler

[email protected] Tel. +33 (0) 6 77 73 03 07

DIRECTEUR GÉNÉRALNassib El-Husseini

DIRECTRICE - DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT

Tina Diab

COFONDATEURS ET CODIRECTEURS ARTISTIQUES Shana Carroll, Isabelle Chassé, Patrick Léonard, Gypsy Snider, Sébastien Soldevila, Samuel Tétreault.

PATINOIRE . Production Les 7 doigts de la main . Idée originale, direction artistique, scénographie, co-mise en scène, composition musicale au ukulélé et performance Patrick Léonard . Co-mise en scène, soutien moral Nicolas Cantin . Collaboration aux chorégraphies Howard Richard . Environnement sonore et silencieux Félix Boisvert . Choix musical Patrick Léonard, Félix Boisvert et Nicolas Cantin . Lumières Bruno Rafie . Ingénieur de plein de bidules et partenaire de mise en forme David Barabé . Accessoires et patines Cloé Alain-Gendreau . Autres accessoires Bruno Tassé et Alain Fleurent . Rideaux Frédérick Ouellet . Gréeur, complice de coulisses, souffre-douleur et sauveur de vie Laval Dufour . Consultant et gourou de l’audio Jean Landry . Costumes : Manon Desmarais  . Muses Geneviève Drolet, Laska Léonard et Galia Léonard . Soutien…toutes catégories confondues Mes autres “doigts” adorés . Direction de production Luc Paradis a.k.a. Le maudit fatiguant . Direction technique Peter Balov . Coordination technique et muse de service à son insu Chloé Rondeau . Photo affiche Nicolas Cantin, Design affiche Sophie Leclerc . Photos Roland Lorente et Kim Doucet. ÉQUIPE DE TOURNÉE Directeur de tournée Antoine Protat . Gréeur Benoît Rouillard.

LES 7 DOIGTS DE LA MAIN Assistant à la direction artistique Francisco Cruz . Adjointe à la direction artistique Sabrina Gilbert DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT Assistante à la diffusion Claire Thomas . Agente au développement et financement public Joanie Leroux-Côté . ADMINISTRATION Directeur administratif Richard Gagnon . Chargée de projet Lynne Ter Metz . Réception et soutien à la bureautique Jad Mammo PRODUCTION Directeur de production Luc Paradis OPÉRATIONS Chargée des spectacles en tournée Lou Chartrand . Coordonnateur aux opérations Kevin Bissonnette TECHNIQUE Directeur technique Yves Touchette .Coordonnateurs techniques Vincent Houle et Chloé Rondeau COMMUNICATION Chargée des communications Marion Bellin . Communication et réseaux sociaux Fanny Perret COMPTABILITÉ . Techniciennes comptables Sandrine Hubert et Marie-Christine Cyr.

Entre cirque et théâtre, Patinoire joue dans les sables mouvants de la fragilité, du joyeux désespoir qui nous habite. Fanfare pour homme seul, cirque d’infortune, usine à blagues, jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour aimer et être aimé ? C’est la question que pose avec excentricité Patrick Léonard, illustre membre de la compagnie Les 7 doigts de la main, dans ce spectacle solo drôle et sensible. À la fois équilibriste, clown de l’absurde mais aussi ex-champion de patinage artistique à roulettes, il se débat cette fois dans un véritable patinage existentiel ! Cascades, équilibres périlleux ou exploits à deux dollars… Il ne ménage pas sa peine pour susciter l’admiration. Mais comme pour Icare, une fois parvenu au firmament, la chute peut être rude.

On s’amuse franchement face aux mésaventures de cet hurluberlu qui cherche viscéralement, avec toute la maladresse du monde, à se donner en spectacle et à être vu pour exister. Un savoureux mélange d’humour et d’esprit.

Un publicUne grenouilleUne cuillèreUn ukuléléDu divertissementUn soupçon de désespoir et de vulnérabilité Un corps qui craque Une veste rouge, une chaise, une table

A I M E RÊ T R E A I M É

PATINOIRE. LE SPECTACLE LES 7 DOIGTS DE LA MAIN. ÉVÉNEMENTS

2015 • Queen of the Night remporte un Drama Desk Award dans la catégorie «Unique Theatrical experience». • Traces a été présenté plus de 1700 fois dans 30 pays et tourne encore en Angleterre, au Canada, en Italie, en France et en Allemagne. • Cuisine & Confessions est en tournée : France, Roumanie, Espagne, Allemagne, Turquie, Autriche, Italie, Russie, Suède et Argentine. • Séquence 8 est présenté 32 fois dans 9 villes américaines devant 41000 spectateurs. • La compagnie est sacrée Artiste pour la Paix 2014 à Montréal. • Gypsy Snider reçoit le Evolving Circus Award à New York. • La firme d’architecture Lupien + Matteau est sélectionnée pour la réalisation du futur Centre de Création et de Production des 7 doigts de la main qui ouvrira ses portes en 2016.

2014 • Le spectacle Pippin, vainqueur de 4 Tony Awards, est présenté 420 fois au Music Box Theatre à New York et parcourt les États-Unis. • Direction du segment médiéval de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Sotchi (Russie) mettant en scène 600 personnes. • Queen of the Night est présenté au Diamond Horseshoe à New York depuis décembre 2013. Direction du spectacle de cirque par Shana Carroll. • Cuisine & Confessions ouvre la biennale de CINARS à Montréal. • Patinoire joue à guichets fermés au Festival d’Avignon (France) pendant un mois. • Intersection ouvre le festival Montréal Complètement Cirque. • Présentation de Amuse à la Feria de Leon (Mexique) : 76 représentations devant 300 000 spectateurs. • Direction du défilé de mode Bench/ Denim and underwear show à Manille (Philippines). • Chorégraphie de l’émission télévisée de l’illusionniste Darcy Oake: Edge of Reality (Angleterre).

COFONDATEUR CODIRECTEUR ARTISTIQUE LES 7 DOIGTS DE LA MAIN

Idée originale Direction artistique

Scénographie Co-mise en scène

Composition musicale au ukulélé Performance

« Nous fondons ce collectif autour d'un noyau dur, composé d'artistes et de collaborateurs habités par la même vision humaine et le même esprit de coopération et de solidarité. Notre intention première est la création, nous souhaitons sortir des sentiers battus, innover, étonner, toucher. Nous voulons présenter des spectacles à grandeur d'homme, dans lesquels le spectateur peut facilement s'identifier aux artistes. En intégrant de façon originale les différentes formes d'art que sont la musique, la danse, le théâtre, les arts visuels, le cinéma et les médias électroniques, nous voulons proposer une nouvelle perspective du quotidien en mettant en scène le côté extraordinaire caché dans le sillon de l’ordinaire. En plus d'émouvoir et de réjouir, nous voulons inviter les spectateurs à se questionner sur leurs perceptions de la vie et de la réalité et les inciter à réfléchir sur leurs valeurs et leurs espérances. »

Isabelle Chassé, Shana Carroll, Patrick Léonard, Faon Shane, Gypsy Snider, Sébastien Soldevila et Samuel Tétreault. (Avril 2002)

Ils s’étaient croisés sur les routes avant de décider, ensemble, de fonder un collectif en 2002. Les mots d’ordre : créer un cirque à échelle humaine, mêler leurs savoir-faire et donner sa place à chacun, que ce soit au sein de créations collectives ou de projets personnels soutenus par le collectif.

D’artistes sur scène dans une création collective, les 7 doigts se sont rapidement diversifiés, mettant leurs talents au service de la direction artistique, de la chorégraphie, de l’écriture, et de l’entraînement, léguant leur processus créatif unique à une nouvelle génération d’artistes de cirque.

C IRQUE D’AUTEURC O L L E C T I F

L E S 7 D O I G T S D E L A M A I N . V I S I O N

Après avoir remporté quatre titres de champion du Canada de patinage artistique à roulettes, Patrick interrompt le travail physique et obtient un baccalauréat en chimie à l’Université de Montréal. Mais sa passion pour le spectacle le hante et il abandonne la chimie pour rejoindre le cirque. Après trois années de formation à l’École nationale de cirque de Montréal, il décroche son premier contrat comme comédien-jongleur dans le fameux Dîner farfelu du Casino de Montréal.

Cette opportunité lui ouvre les portes de l’Europe où il jouera dans les cabarets les plus renommés d’Allemagne, tels que le Wintergarten Variety de Berlin, le Friedrichbau de Stuttgart ainsi qu’avec Pomp Duck and Circumstances (Cirque du Soleil) pour finalement revenir en Amérique, après trois ans de travail presque sans répit à l’étranger, joindre le Teatro Zinzanni à San Francisco.

« LES MOMENTS INCONFORTABLES DE MON EXISTENCE ONT DÉFINITIVEMENT ÉTÉ LES PLUS INSPIRANTS.»

En 2002, Patrick décide de travailler dans un contexte plus conventionnel pour les arts du cirque : la piste. Il se joint alors à Salto Natale du Cirque Knie pour y interpréter le rôle principal en plus de son numéro solo de diabolo.

Parallèlement au succès des 7 doigts de la main, Patrick a reçu le prix de la relève de la Fondation du Maire de Montréal pour sa performance comique dans le cadre du Festival Juste pour Rire 2002 ainsi que le prix Nikouline (meilleur numéro de clown) en février 2003 au Festival mondial du cirque de demain à Paris pour son numéro de diabolo duo avec son partenaire des 7 doigts de la main Sébastien Soldevila. En 2010, Patrick se lance dans la création de Patinoire, son spectacle solo.

Patrick est un amoureux de la performance, il est un artiste récurrent du Projet Fibonacci et participe aux événements spéciaux du collectif qui lui permettent d’exprimer sa créativité sans limites et sa soif de scène.

PATINOIRE. PATRICK LÉONARD

À L’AFFICHE

AU RÉPERTOIRE

LES 7 DOIGTS DE LA MAIN. CRÉATIONS

PATINOIRE. NICOLAS CANTIN Co mise en scène

Formé au Conservatoire d'Art Dramatique d'Avignon, Nicolas Cantin a longtemps fréquenté l'improvisation comme outil de performance. Son amour du jeu s'est essentiellement nourri au contact de Mario Gonzales, Philippe Hottier et Tapa Sudana. Il a joué dans plusieurs productions théâtrales en Europe.

Formé au travail du clown et du masque, Nicolas Cantin se tient à la frontière des genres, « bricolant » des œuvres qu’il épure jusqu’à l’os pour n’en livrer que la substantifique moelle. Tel un laborantin curieux de son sujet, il capte le vivant dans sa simplicité et le dissèque en étirant le temps jusqu’à la lisière de l’ennui. Chaque fois, c’est d’intimité qu’il nous parle. Dans ce qu’elle a de plus secret. Qu’il transporte ou qu’il rebute, son discours fait mouche.

Avec la sombre et radicale Mygale (FTA, 2012), il jouait dans les zones les plus troubles du handicap émotionnel mis en scène précédemment dans Belle manière et Grand singe. Par cette trilogie regroupée sous le titre de Trois romances, ce Français d’origine a fait sa marque à Montréal. En 2005, il y a créé Jachère, solo pour Christiane Bourget ; qui lui a valu un Prix Paula Citron à Toronto. Il a fait de brèves apparitions sur scène avec Glass House et Falaise avant de danser pour Frédérick Gravel (Tout se pète la gueule, chérie, FTA, 2010). Il dirige aussi les étudiants de l’École nationale de cirque de Montréal et de l’École nationale de théâtre.

Concepteur sonore de ses créations, il est en 2014 artiste en résidence à L'L (Bruxelles), à Montevideo (Marseille) et à l'Usine C (Montréal). Grâce à ces institutions, il développe Cheese et Klumzy.

Photo : Jocelyn Michel

Créé en 2010 par Patrick Léonard (cofondateur et codirecteur artistique des 7 doigts de la main) et en tournée en France à l’automne et à l’hiver, Patinoire nous questionne sur notre besoin constant d’amour et de reconnaissance. Ce besoin d’être reconnu pousse un acrobate maladroit et plutôt porté sur la bouteille à tenter de nous faire la démonstration de ses talents. Porté par les rires et les applaudissements, il va de plus en plus loin dans sa quête…

Se faisant à la fois jongleur, clown (un peu malgré lui) et équilibriste, le personnage imaginé par Patrick Léonard séduit son public d’emblée avec sa manière maladroite de rechercher son regard, son approbation, ses applaudissements. Seul en scène, il réussit le tour de force de capter complètement notre attention, même avec le plus simple des numéros. C’est ainsi qu’on se surprend rapidement à être suspendu au moindre des gestes de l’acrobate, tantôt pour s’inquiéter de l’équilibre apparemment précaire de cette pile de haut-parleurs sur laquelle il se propose de monter, tantôt pour se demander dans quelle nouvelle situation impossible il ira se placer. Aucun pépin technique (des vinyles qui lui échappent, un diabolo qui disparaît, de la musique qui refuse de jouer…) ne semble doucher son enthousiasme à se mettre en scène et sa capacité à faire marcher le public avec lui.

On a beau se retrouver devant un spectacle qui, par moments, relève plus du théâtre que du cirque, chacun des numéros orchestrés par Patrick Léonard nous amène tout de même invariablement sur le bout de notre siège, la bouche entrouverte, dans l’attente du moment inévitable où l’ambition de l’artiste, qui vide bouteille après bouteille, le précipitera dans sa chute. «Vous vous demandez ce qui va se passer? Moi aussi…» confie-t-il d’ailleurs au public.

Patinoire est le terrain glissant sur lequel tout artiste se donne en représentation par besoin d’aimer et d’être aimé. La performance de plus en plus physique de l’acrobate nous colle à notre place jusqu’au dérapage final, face auquel on se retrouve surpris par un souffle d’émotion. Impossible de ne pas répondre par un sourire à ce spectacle en forme de demande d’amour et de ne pas applaudir la précision et l’adresse de son interprète.

Daphné Bathalon, 2014

-12-

Un homme seul en scène. Singulière configuration pour Patrick Léonard habitué à jouer au cirque à plusieurs; il est l'un des fondateurs des 7 doigts de la main. Il prend la scène comme on se ménage une place dans l'existence lorsqu’on est un grand escogriffe d'artiste mal adapté à la vie, et doté d'un solide accent québécois. Il va de bricolages en maladresses, qui sont autant d’exploits.

Pas d'accessoires compliqués: deux chaises, une table, des baffles, une platine et sa valise de vinyles, et un lot de bouteilles vides. Assez pour dire la vie de tous les jours avec une virtuosité qui en souligne tous les déséquilibres. Il se pose tour à tour comme un DJ encombré de câbles et luttant corps à corps avec le matériel, joueur de diabolo aux prises avec la hauteur des cintres, loin des problèmes ordinaires de gravité, bateleur de l'impossible dans un improbable numéro avec une unique pièce de monnaie. C'est un danseur de bric-à-brac, jongleur ébouriffant, qui fait feu de tout ce qui lui tombe entre les mains. Il jette son corps dans l'envol et le rebond, comme on marche sur des oeufs pour éviter le pire.

Avec en guise de morale des maximes joyeusement assénées et idéales pour défier les moments où la vie patine. Même s'il fait beaucoup rire, Patrick Léonard patine sur la gravité avec brio.

Arianne Bavelier, 2014

EXIGENCES TECHNIQUES MINIMALES

Scène sans dénivellation 7,5m (25’) d’ouverture 2m (6’) de coulisses à jardin et à cour 8m (26’) de profondeur 6m (20’) de hauteur libre

3 personnes en tournée

PATINOIRE. TECHNIQUE

MAGISTRAL. MONUMENTAL. UNIQUE Un seul-en-scène époustouflant, une sorte de Peter Sellers.

La Provence, France

. Un formidable athlète et un acteur hors pair.

La Presse, Canada

. Un digne descendant du cinéma muet

façon Buster Keaton ou Charlie Chaplin. Le JDD (Journal Du Dimanche), France

. Léonard frappe dans le mille!

Le Devoir, Canada

.

Patrick Léonard patine avec brio. Le Figaro, France

. Un one-man show unique et intrigant...

Un savoureux mélange d’humour et d’esprit. Canoe, Canada

. On rigole ferme devant les mésaventures d’un hurluberlu baragouinant

franglais et cherchant viscéralement, avec toute la maladresse du monde, à se mettre en spectacle, à garder l’attention, à être vu pour exister.

Le Quatrième, Canada

. Patrick Léonard nous amène invariablement sur le bout de notre siège, la

bouche entrouverte, dans l’attente du moment inévitable. Mon Théâtre, Canada

.

Circassien de génie (…) Il tutoie les cimes du théâtre… dans tous les sens du terme.

Dans la tête du spectateur, France .

MAGISTRAL. MONUMENTAL. UNIQUE Un seul-en-scène époustouflant, une sorte de Peter Sellers.

La Provence, France

. Un formidable athlète et un acteur hors pair.

La Presse, Canada

. Un digne descendant du cinéma muet

façon Buster Keaton ou Charlie Chaplin. Le JDD (Journal Du Dimanche), France

. Léonard frappe dans le mille!

Le Devoir, Canada

.

Patrick Léonard patine avec brio. Le Figaro, France

. Un one-man show unique et intrigant...

Un savoureux mélange d’humour et d’esprit. Canoe, Canada

. On rigole ferme devant les mésaventures d’un hurluberlu baragouinant

franglais et cherchant viscéralement, avec toute la maladresse du monde, à se mettre en spectacle, à garder l’attention, à être vu pour exister.

Le Quatrième, Canada

. Patrick Léonard nous amène invariablement sur le bout de notre siège, la

bouche entrouverte, dans l’attente du moment inévitable. Mon Théâtre, Canada

.

Circassien de génie (…) Il tutoie les cimes du théâtre… dans tous les sens du terme.

Dans la tête du spectateur, France .

PATINOIRE. NICOLAS CANTIN Co mise en scène

Formé au Conservatoire d'Art Dramatique d'Avignon, Nicolas Cantin a longtemps fréquenté l'improvisation comme outil de performance. Son amour du jeu s'est essentiellement nourri au contact de Mario Gonzales, Philippe Hottier et Tapa Sudana. Il a joué dans plusieurs productions théâtrales en Europe.

Formé au travail du clown et du masque, Nicolas Cantin se tient à la frontière des genres, « bricolant » des œuvres qu’il épure jusqu’à l’os pour n’en livrer que la substantifique moelle. Tel un laborantin curieux de son sujet, il capte le vivant dans sa simplicité et le dissèque en étirant le temps jusqu’à la lisière de l’ennui. Chaque fois, c’est d’intimité qu’il nous parle. Dans ce qu’elle a de plus secret. Qu’il transporte ou qu’il rebute, son discours fait mouche.

Avec la sombre et radicale Mygale (FTA, 2012), il jouait dans les zones les plus troubles du handicap émotionnel mis en scène précédemment dans Belle manière et Grand singe. Par cette trilogie regroupée sous le titre de Trois romances, ce Français d’origine a fait sa marque à Montréal. En 2005, il y a créé Jachère, solo pour Christiane Bourget ; qui lui a valu un Prix Paula Citron à Toronto. Il a fait de brèves apparitions sur scène avec Glass House et Falaise avant de danser pour Frédérick Gravel (Tout se pète la gueule, chérie, FTA, 2010). Il dirige aussi les étudiants de l’École nationale de cirque de Montréal et de l’École nationale de théâtre.

Concepteur sonore de ses créations, il est en 2014 artiste en résidence à L'L (Bruxelles), à Montevideo (Marseille) et à l'Usine C (Montréal). Grâce à ces institutions, il développe Cheese et Klumzy.

Photo : Jocelyn Michel

Créé en 2010 par Patrick Léonard (cofondateur et codirecteur artistique des 7 doigts de la main) et en tournée en France à l’automne et à l’hiver, Patinoire nous questionne sur notre besoin constant d’amour et de reconnaissance. Ce besoin d’être reconnu pousse un acrobate maladroit et plutôt porté sur la bouteille à tenter de nous faire la démonstration de ses talents. Porté par les rires et les applaudissements, il va de plus en plus loin dans sa quête…

Se faisant à la fois jongleur, clown (un peu malgré lui) et équilibriste, le personnage imaginé par Patrick Léonard séduit son public d’emblée avec sa manière maladroite de rechercher son regard, son approbation, ses applaudissements. Seul en scène, il réussit le tour de force de capter complètement notre attention, même avec le plus simple des numéros. C’est ainsi qu’on se surprend rapidement à être suspendu au moindre des gestes de l’acrobate, tantôt pour s’inquiéter de l’équilibre apparemment précaire de cette pile de haut-parleurs sur laquelle il se propose de monter, tantôt pour se demander dans quelle nouvelle situation impossible il ira se placer. Aucun pépin technique (des vinyles qui lui échappent, un diabolo qui disparaît, de la musique qui refuse de jouer…) ne semble doucher son enthousiasme à se mettre en scène et sa capacité à faire marcher le public avec lui.

On a beau se retrouver devant un spectacle qui, par moments, relève plus du théâtre que du cirque, chacun des numéros orchestrés par Patrick Léonard nous amène tout de même invariablement sur le bout de notre siège, la bouche entrouverte, dans l’attente du moment inévitable où l’ambition de l’artiste, qui vide bouteille après bouteille, le précipitera dans sa chute. «Vous vous demandez ce qui va se passer? Moi aussi…» confie-t-il d’ailleurs au public.

Patinoire est le terrain glissant sur lequel tout artiste se donne en représentation par besoin d’aimer et d’être aimé. La performance de plus en plus physique de l’acrobate nous colle à notre place jusqu’au dérapage final, face auquel on se retrouve surpris par un souffle d’émotion. Impossible de ne pas répondre par un sourire à ce spectacle en forme de demande d’amour et de ne pas applaudir la précision et l’adresse de son interprète.

Daphné Bathalon, 2014

PATINOIRE. TECHNIQUE

La scène est enfouie sous la lumière.  Un responsable de l'entretien vadrouille le sol. Déjà, nous comprenons qu'un personnage est en représentation. On pourrait même croire, à la limite, croire que la présence de Patrick Léonard, de la troupe Les 7 doigts de la main, dans le hall du théâtre  La Chapelle quelques minutes avant le spectacle était un préambule : se confondant à la foule, il est l'avatar de Monsieur tout le monde.

Ainsi, on peut comprendre  Patinoire  de bien des façons. Si Léonard prétend qu'il s'agit de savoir jusqu'où peut aller quelqu'un pour être aimé, j'y vois surtout représenté le mythe de la célébrité : l'artiste se donne, le public exige,

l'artiste se désâme, le public réclame puis comme Icare ayant atteint les sommets, il chute, parfois. Il retombe sur terre quoique par dépit, il tente de se raccrocher à sa tour d'ivoire ou de Babel, y perdant inévitablement la tête. 

Le personnage que campe Patrick Léonard est un clown timide et bien qu'il soit maladroit, il fait preuve de prouesses physiques étonnantes et détonnantes qui le mèneront au sommet. Plus s'accroîtra sa notoriété, plus s'accentuera le coefficient de difficulté de ses numéros.

Alain Fortaich, 2011

!

Magistral. Monumental. Unique. Crucial. Comment choisir à bon escient les superlatifs après avoir vu cet extra-terrestre de la virtuosité émotionnelle? Comment dire? Patrick Léonard, Québecois comédien-contorsionniste-cascadeur-danseur-clown-poète mais aussi joueur de ukulélé, ambianceur mais encore grimaceur émérite (et on en oublie), présente au Chêne soir un seul-en-scène époustouflant. Imaginez une sorte de Peter Sellers (échappé de "The party"), escogriffe faussement ahuri qui se tape la tête dans le monde réel avec fracas (et rires gargantuesques) mais qui, surtout, se prend tantôt pour Icare, tantôt pour Sisyphe. Et tente de maîtriser son environnement ainsi que les objets-personnages... pour y parvenir avec maestria, en nous laissant croire pour autant que le chemin sera obstrué. Toboggan vertical des plus vertigineux, ascension improbable sur des enceintes bancales empilées, contorsion corporelle sur... une bouteille de champagne (si si) : mais qui est cet ovni bipède, ce saltimbanque irrésistible, ce sensible en suspension issu de "Les 7 doigts de la main", cette compagnie canadienne qui remplit des salles.

Fabien Bonnieux, 2014

PATINOIRE. TECHNIQUE

La scène est enfouie sous la lumière.  Un responsable de l'entretien vadrouille le sol. Déjà, nous comprenons qu'un personnage est en représentation. On pourrait même croire, à la limite, croire que la présence de Patrick Léonard, de la troupe Les 7 doigts de la main, dans le hall du théâtre  La Chapelle quelques minutes avant le spectacle était un préambule : se confondant à la foule, il est l'avatar de Monsieur tout le monde.

Ainsi, on peut comprendre  Patinoire  de bien des façons. Si Léonard prétend qu'il s'agit de savoir jusqu'où peut aller quelqu'un pour être aimé, j'y vois surtout représenté le mythe de la célébrité : l'artiste se donne, le public exige,

l'artiste se désâme, le public réclame puis comme Icare ayant atteint les sommets, il chute, parfois. Il retombe sur terre quoique par dépit, il tente de se raccrocher à sa tour d'ivoire ou de Babel, y perdant inévitablement la tête. 

Le personnage que campe Patrick Léonard est un clown timide et bien qu'il soit maladroit, il fait preuve de prouesses physiques étonnantes et détonnantes qui le mèneront au sommet. Plus s'accroîtra sa notoriété, plus s'accentuera le coefficient de difficulté de ses numéros.

Alain Fortaich, 2011

!

Magistral. Monumental. Unique. Crucial. Comment choisir à bon escient les superlatifs après avoir vu cet extra-terrestre de la virtuosité émotionnelle? Comment dire? Patrick Léonard, Québecois comédien-contorsionniste-cascadeur-danseur-clown-poète mais aussi joueur de ukulélé, ambianceur mais encore grimaceur émérite (et on en oublie), présente au Chêne soir un seul-en-scène époustouflant. Imaginez une sorte de Peter Sellers (échappé de "The party"), escogriffe faussement ahuri qui se tape la tête dans le monde réel avec fracas (et rires gargantuesques) mais qui, surtout, se prend tantôt pour Icare, tantôt pour Sisyphe. Et tente de maîtriser son environnement ainsi que les objets-personnages... pour y parvenir avec maestria, en nous laissant croire pour autant que le chemin sera obstrué. Toboggan vertical des plus vertigineux, ascension improbable sur des enceintes bancales empilées, contorsion corporelle sur... une bouteille de champagne (si si) : mais qui est cet ovni bipède, ce saltimbanque irrésistible, ce sensible en suspension issu de "Les 7 doigts de la main", cette compagnie canadienne qui remplit des salles.

Fabien Bonnieux, 2014

-12-

Un homme seul en scène. Singulière configuration pour Patrick Léonard habitué à jouer au cirque à plusieurs; il est l'un des fondateurs des 7 doigts de la main. Il prend la scène comme on se ménage une place dans l'existence lorsqu’on est un grand escogriffe d'artiste mal adapté à la vie, et doté d'un solide accent québécois. Il va de bricolages en maladresses, qui sont autant d’exploits.

Pas d'accessoires compliqués: deux chaises, une table, des baffles, une platine et sa valise de vinyles, et un lot de bouteilles vides. Assez pour dire la vie de tous les jours avec une virtuosité qui en souligne tous les déséquilibres. Il se pose tour à tour comme un DJ encombré de câbles et luttant corps à corps avec le matériel, joueur de diabolo aux prises avec la hauteur des cintres, loin des problèmes ordinaires de gravité, bateleur de l'impossible dans un improbable numéro avec une unique pièce de monnaie. C'est un danseur de bric-à-brac, jongleur ébouriffant, qui fait feu de tout ce qui lui tombe entre les mains. Il jette son corps dans l'envol et le rebond, comme on marche sur des oeufs pour éviter le pire.

Avec en guise de morale des maximes joyeusement assénées et idéales pour défier les moments où la vie patine. Même s'il fait beaucoup rire, Patrick Léonard patine sur la gravité avec brio.

Arianne Bavelier, 2014

EXIGENCES TECHNIQUES MINIMALES

Scène sans dénivellation 7,5m (25’) d’ouverture 2m (6’) de coulisses à jardin et à cour 8m (26’) de profondeur 6m (20’) de hauteur libre

3 personnes en tournée

PATINOIRE. TECHNIQUE

COFONDATEUR CODIRECTEUR ARTISTIQUE LES 7 DOIGTS DE LA MAIN

Idée originale Direction artistique

Scénographie Co-mise en scène

Composition musicale au ukulélé Performance

« Nous fondons ce collectif autour d'un noyau dur, composé d'artistes et de collaborateurs habités par la même vision humaine et le même esprit de coopération et de solidarité. Notre intention première est la création, nous souhaitons sortir des sentiers battus, innover, étonner, toucher. Nous voulons présenter des spectacles à grandeur d'homme, dans lesquels le spectateur peut facilement s'identifier aux artistes. En intégrant de façon originale les différentes formes d'art que sont la musique, la danse, le théâtre, les arts visuels, le cinéma et les médias électroniques, nous voulons proposer une nouvelle perspective du quotidien en mettant en scène le côté extraordinaire caché dans le sillon de l’ordinaire. En plus d'émouvoir et de réjouir, nous voulons inviter les spectateurs à se questionner sur leurs perceptions de la vie et de la réalité et les inciter à réfléchir sur leurs valeurs et leurs espérances. »

Isabelle Chassé, Shana Carroll, Patrick Léonard, Faon Shane, Gypsy Snider, Sébastien Soldevila et Samuel Tétreault. (Avril 2002)

Ils s’étaient croisés sur les routes avant de décider, ensemble, de fonder un collectif en 2002. Les mots d’ordre : créer un cirque à échelle humaine, mêler leurs savoir-faire et donner sa place à chacun, que ce soit au sein de créations collectives ou de projets personnels soutenus par le collectif.

D’artistes sur scène dans une création collective, les 7 doigts se sont rapidement diversifiés, mettant leurs talents au service de la direction artistique, de la chorégraphie, de l’écriture, et de l’entraînement, léguant leur processus créatif unique à une nouvelle génération d’artistes de cirque.

C IRQUE D’AUTEURC O L L E C T I F

L E S 7 D O I G T S D E L A M A I N . V I S I O N

Après avoir remporté quatre titres de champion du Canada de patinage artistique à roulettes, Patrick interrompt le travail physique et obtient un baccalauréat en chimie à l’Université de Montréal. Mais sa passion pour le spectacle le hante et il abandonne la chimie pour rejoindre le cirque. Après trois années de formation à l’École nationale de cirque de Montréal, il décroche son premier contrat comme comédien-jongleur dans le fameux Dîner farfelu du Casino de Montréal.

Cette opportunité lui ouvre les portes de l’Europe où il jouera dans les cabarets les plus renommés d’Allemagne, tels que le Wintergarten Variety de Berlin, le Friedrichbau de Stuttgart ainsi qu’avec Pomp Duck and Circumstances (Cirque du Soleil) pour finalement revenir en Amérique, après trois ans de travail presque sans répit à l’étranger, joindre le Teatro Zinzanni à San Francisco.

« LES MOMENTS INCONFORTABLES DE MON EXISTENCE ONT DÉFINITIVEMENT ÉTÉ LES PLUS INSPIRANTS.»

En 2002, Patrick décide de travailler dans un contexte plus conventionnel pour les arts du cirque : la piste. Il se joint alors à Salto Natale du Cirque Knie pour y interpréter le rôle principal en plus de son numéro solo de diabolo.

Parallèlement au succès des 7 doigts de la main, Patrick a reçu le prix de la relève de la Fondation du Maire de Montréal pour sa performance comique dans le cadre du Festival Juste pour Rire 2002 ainsi que le prix Nikouline (meilleur numéro de clown) en février 2003 au Festival mondial du cirque de demain à Paris pour son numéro de diabolo duo avec son partenaire des 7 doigts de la main Sébastien Soldevila. En 2010, Patrick se lance dans la création de Patinoire, son spectacle solo.

Patrick est un amoureux de la performance, il est un artiste récurrent du Projet Fibonacci et participe aux événements spéciaux du collectif qui lui permettent d’exprimer sa créativité sans limites et sa soif de scène.

PATINOIRE. PATRICK LÉONARD

À L’AFFICHE

AU RÉPERTOIRE

LES 7 DOIGTS DE LA MAIN. CRÉATIONS

Entre cirque et théâtre, Patinoire joue dans les sables mouvants de la fragilité, du joyeux désespoir qui nous habite. Fanfare pour homme seul, cirque d’infortune, usine à blagues, jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour aimer et être aimé ? C’est la question que pose avec excentricité Patrick Léonard, illustre membre de la compagnie Les 7 doigts de la main, dans ce spectacle solo drôle et sensible. À la fois équilibriste, clown de l’absurde mais aussi ex-champion de patinage artistique à roulettes, il se débat cette fois dans un véritable patinage existentiel ! Cascades, équilibres périlleux ou exploits à deux dollars… Il ne ménage pas sa peine pour susciter l’admiration. Mais comme pour Icare, une fois parvenu au firmament, la chute peut être rude.

On s’amuse franchement face aux mésaventures de cet hurluberlu qui cherche viscéralement, avec toute la maladresse du monde, à se donner en spectacle et à être vu pour exister. Un savoureux mélange d’humour et d’esprit.

Un publicUne grenouilleUne cuillèreUn ukuléléDu divertissementUn soupçon de désespoir et de vulnérabilité Un corps qui craque Une veste rouge, une chaise, une table

A I M E RÊ T R E A I M É

PATINOIRE. LE SPECTACLE LES 7 DOIGTS DE LA MAIN. ÉVÉNEMENTS

2015 • Queen of the Night remporte un Drama Desk Award dans la catégorie «Unique Theatrical experience». • Traces a été présenté plus de 1700 fois dans 30 pays et tourne encore en Angleterre, au Canada, en Italie, en France et en Allemagne. • Cuisine & Confessions est en tournée : France, Roumanie, Espagne, Allemagne, Turquie, Autriche, Italie, Russie, Suède et Argentine. • Séquence 8 est présenté 32 fois dans 9 villes américaines devant 41000 spectateurs. • La compagnie est sacrée Artiste pour la Paix 2014 à Montréal. • Gypsy Snider reçoit le Evolving Circus Award à New York. • La firme d’architecture Lupien + Matteau est sélectionnée pour la réalisation du futur Centre de Création et de Production des 7 doigts de la main qui ouvrira ses portes en 2016.

2014 • Le spectacle Pippin, vainqueur de 4 Tony Awards, est présenté 420 fois au Music Box Theatre à New York et parcourt les États-Unis. • Direction du segment médiéval de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Sotchi (Russie) mettant en scène 600 personnes. • Queen of the Night est présenté au Diamond Horseshoe à New York depuis décembre 2013. Direction du spectacle de cirque par Shana Carroll. • Cuisine & Confessions ouvre la biennale de CINARS à Montréal. • Patinoire joue à guichets fermés au Festival d’Avignon (France) pendant un mois. • Intersection ouvre le festival Montréal Complètement Cirque. • Présentation de Amuse à la Feria de Leon (Mexique) : 76 représentations devant 300 000 spectateurs. • Direction du défilé de mode Bench/ Denim and underwear show à Manille (Philippines). • Chorégraphie de l’émission télévisée de l’illusionniste Darcy Oake: Edge of Reality (Angleterre).

DIRECTEUR GÉNÉRALNassib El-Husseini

DIRECTRICE - DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT

Tina Diab

COFONDATEURS ET CODIRECTEURS ARTISTIQUES Shana Carroll, Isabelle Chassé, Patrick Léonard, Gypsy Snider, Sébastien Soldevila, Samuel Tétreault.

PATINOIRE . Production Les 7 doigts de la main . Idée originale, direction artistique, scénographie, co-mise en scène, composition musicale au ukulélé et performance Patrick Léonard . Co-mise en scène, soutien moral Nicolas Cantin . Collaboration aux chorégraphies Howard Richard . Environnement sonore et silencieux Félix Boisvert . Choix musical Patrick Léonard, Félix Boisvert et Nicolas Cantin . Lumières Bruno Rafie . Ingénieur de plein de bidules et partenaire de mise en forme David Barabé . Accessoires et patines Cloé Alain-Gendreau . Autres accessoires Bruno Tassé et Alain Fleurent . Rideaux Frédérick Ouellet . Gréeur, complice de coulisses, souffre-douleur et sauveur de vie Laval Dufour . Consultant et gourou de l’audio Jean Landry . Costumes : Manon Desmarais  . Muses Geneviève Drolet, Laska Léonard et Galia Léonard . Soutien…toutes catégories confondues Mes autres “doigts” adorés . Direction de production Luc Paradis a.k.a. Le maudit fatiguant . Direction technique Peter Balov . Coordination technique et muse de service à son insu Chloé Rondeau . Photo affiche Nicolas Cantin, Design affiche Sophie Leclerc . Photos Roland Lorente et Kim Doucet. ÉQUIPE DE TOURNÉE Directeur de tournée Antoine Protat . Gréeur Benoît Rouillard.

LES 7 DOIGTS DE LA MAIN Assistant à la direction artistique Francisco Cruz . Adjointe à la direction artistique Sabrina Gilbert DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT Assistante à la diffusion Claire Thomas . Agente au développement et financement public Joanie Leroux-Côté . ADMINISTRATION Directeur administratif Richard Gagnon . Chargée de projet Lynne Ter Metz . Réception et soutien à la bureautique Jad Mammo PRODUCTION Directeur de production Luc Paradis OPÉRATIONS Chargée des spectacles en tournée Lou Chartrand . Coordonnateur aux opérations Kevin Bissonnette TECHNIQUE Directeur technique Yves Touchette .Coordonnateurs techniques Vincent Houle et Chloé Rondeau COMMUNICATION Chargée des communications Marion Bellin . Communication et réseaux sociaux Fanny Perret COMPTABILITÉ . Techniciennes comptables Sandrine Hubert et Marie-Christine Cyr.

7DOIGTS.COM [email protected] . +1 514 521 4477

225 rue Roy Est #205 . Montréal (QC) H2W 1M5 . Canada

CONTACTS DIFFUSION ET DÉVELOPPEMENT

INTERNATIONAL

Les 7 doigts de la main - Tina Diab [email protected]

Tel. +1 514 521 4477 poste 204

FRANCE Blueline Productions - Christine Weiler

[email protected] Tel. +33 (0) 6 77 73 03 07