Amarillis · Dans The Telegraph, le 26 mars (version en ligne) Melody magic The majestic Victoria...

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Amarillis dans la presse en 2013 Critiques de concerts

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Amarillisdans la presse

en 2013

Critiques de concerts

18 février 2013

A la découverte de la Follia

au lycée Bergson d'AngersAmarillis (3 musiciennes)

Dans Le Courrier de l'Ouest (presse locale)

Peines et Plaisirs à la Cour de VersaillesAmarillis (4 musiciennes) et Maïlys de Villoutreys

19 mars 2013

Au City Palace de Jaipur

Dans Times of India, le 21 mars

21 mars 2013

Au Ravindra Bhavan de Bhopal

Dans The Telegraph, le 26 mars (version en ligne)

Melody magicThe majestic Victoria Memorial Hall in Calcutta came alive on March 23 to witness an evening of spectacular music. Theoccasion was a Baroque music concert that effortlessly transported listeners to 17th century Europe where this ornatemusic style had flourished.

The concert was organised by Alliance Francaise du Bengale and the Institute of France as part of the second edition ofBonjour India, a three­month long French festival of literature, art and food in India.

Amarillis Ensemble, an internationally acclaimed baroque orchestra from France, had listeners enthralled with thecomposition, Pain and Pleasure at the Court of Versailles. The four instrumentalists ­­ on the violin, cello, recorder andharpsichord ­ and the soprano who are touring the country for the duration of the festival, have also performed inJaipur, Bhopal and Mumbai.

Interestingly, a harpsichord, the instrument to which baroque music was written before the advent of the piano inEurope, had been especially flown from France.

"I was very impressed by the performance and the grandeur of the venue perfectly matched the mood of the music," saysFabrice Etienne, the French Consul General in Calcutta. Spotted enjoying the performance were Stephane Amalir,director of Alliance Francaise du Bengale and Calcutta singer Suchandra Bhutoria.

Lubna Salim

Dans The Telegraph T2, le 4 avril (quotidien)

Harpsichord magicThe notes of the violin, soprano and harpsichord rang through the Victoria Memorial Hall on a March evening asAlliance Française du Bengale and the Institute of France hosted "Baroque Concert" by the award­winning AmarillisEnsemble to mark the ongoing three­month­long Bonjour India 2013 celebrations. The harpsichord, considered the olderbrother of the piano, was flown in from France for the concert.

23 mars 2013

Au Victoria Memorial Hall de Kolkata

Dans le Sunday Times, le 7 avril (quotidien)

Classical baroqueThe three­month­long French festival Bonjour India 2013, ended recently with a splendid musical extravaganza in thecity. Amarillis, an award­winning musical ensemble, performed the dramatic baroque that incorporated various musicalinstruments such as the cello, harpsichord, etc...Performance by Héloïse Gaillard, Maïlys de Villoutreys and Violaine Cochard enthralled the audience. We spotted theConsul General of France, Fabrice Etienne, who gladly posed for shutterbugs along with the Director of French institute,Stéphane Amalir.

Dans The Statesman, le 26 mars (quotidien)

Dans The Bengal post, le 27 mars (quotidien)

Dans Business economics, 2e quinzaine d'avril (bimensuel)

25 août 2013

Haendel, Telemann : voyageurs virtuoses à TrélazéAmarillis (4 musiciens)

24 août 2013

Concertos de Telemann

en clôture du festival de Sablé‐sur‐SartheAmarillis (7 musiciens)

Dans Passée des arts de Jean‐Christophe Pucek (critiques en ligne)

La proposition de l'ensemble Amarillis dans le Concerto pour flûte à bec en fa majeur n'a pas déçu. Il s'agit probablement decelle où l'esprit de la musique de chambre exécutée entre amis était le plus clairement perceptible et où les pupitress'équilibraient le plus idéalement, la volubilité d'Héloïse Gaillard trouvant, entre autres, dans le clavecin souverain deViolaine Cochard, la luminosité du violon d'Alice Piérot et la verve du violoncelle d'Annabelle Luis des partenaires à sahauteur.

7 novembre 2013

La Révolte des Soupirants

au Grand théâtre d'AngersAmarillis (4 musiciennes) et Benoît Arnould

Dans Ouest France (presse locale), le 14 novembre

Les enfants n'en revenaient pas... Ce jeune homme sur la scène n'avait pas besoin de micro pour faire entendre sa bellevoix de basse taille. Ni pour chanter, ni pour s'adresser aux 250 scolaires installés dans le Grand Théâtre. Benoît Arnouldaccompagné des quatre musiciennes de Amarillis va même livrer ses secrets. Les enfants attentifs font vibrer leurs lèvres,transforment leur bouche en une vaste cave, apprennent à utiliser leur tête comme un haut­parleur.

Ensemble créé en 1994 et régulièrement distingué, de renommée internationale, Amarillis est ambassadeur de la ville.Les Angevins ont eu la primeur, la semaine dernière, de La Révolte des Soupirants, avant que le spectacle ne parte entournée.

Le programme du concert alterne cantates et pièces instrumentales de compositeurs français du XVIII siècle, mis enscène par Tami Troman.

Les enfants reconnaîtront au passage Don Quichotte, Pygmalion et un gentilhomme anonyme, réunis en un seulpersonnage. Le lien entre eux, le coeur... La trame dramaturgique soutenue par des jeux de lumière, sert d'alibi au plusimportant, la musique.

Au violon, clavecin, hautbois et violoncelle, les quatre artistes vêtues de blanc comme des anges permettent d'entendrequelques joyaux de la musique baroque, en forme de respirations et de contre­chants aux émois amoureux, tragiques,héroïques et malheureux de figures du XVIII siècle

Récit d'un spectateur

« Amour anime l’objet qui l’enchante »

Voilà un bien joli spectacle qu’il nous a été donné de voir au Grand Théâtre d’Angers ! Admirablement construite et miseen scène, cette «  Révolte des soupirants » tisse autour d’un vrai projet dramaturgique, une histoire cohérente etincandescente, traversée par la folie, la fureur (celles de Don Quichotte), la plainte, la résignation (celles d’un amantanonyme) et la plus étrange des relations amoureuses (celle de Pygmalion pour sa propre statue). Pour incarner ces troisfigures de l’amant délaissé, qui ont inspiré trois belles cantates à Jean­Baptiste Morin, André Campra et Louis NicolasClérambault, Benoît Arnould distille sa voix chaude de basse­taille, bien posée et d’une diction admirable, accompagnéepar le quatuor féminin des Amarillis, musiciennes autant que muses de l’interprète. C’est toute l’originalité du travail deTami Troman, musicienne de formation, déjà dotée d’une solide expérience dans le domaine de l’opéra, que d’avoir suréunir chanteur et musiciennes en parfaite symbiose, à travers une réalisation scénique intimiste et raffinée, où le blancdes costumes du quatuor instrumental se fond dans celui du sol (un large drap évoquant tout autant la plage désertée dela première cantate que les méandres de l’âme tourmentée des différents personnages), une scénographie subtile portéepar un jeu théâtralement efficace des lumières. Le mélange des registres et l’esthétique du contraste, chers au baroquelittéraire et musical, sont ici parfaitement rendus, en même temps que tenus en relative distance par cet art de l’émotioncontenue, qui donne une impression de froide acceptation de ces amours non partagés, propre à un XVIIIe siècle dominépar les Cupidons vaporeux d’un Boucher. Mais loin de susciter chez le spectateur une telle mise à distance, le spectacleéveille en permanence la curiosité, intrigue, laisse libre cours à l’imagination, ouvre les vannes de la fantasia, au seind’un discours poétique et musical codifié, exaltée en cela par les pièces instrumentales d’un Dornell, un Couperin et unCharpentier, lorsque progressivement, pendant un peu plus d’une heure que dure le spectacle (unité de temps, de lieu etd’action réduite à sa plus simple expression), un tabouret surélevé se transforme, des objets incongrus viennentconstituer les membres épars d’un idéal féminin fantasmé. Travail formidable de la plasticienne Delphine Sainte­Marie,la statue de Pygmalion prend corps et s’anime, telle une invention bizarre digne des plus étranges créations d’unBracelli !

Jean-François Lattarico

Dans Courrier de l'Ouest (presse locale), le 17 novembre