A SAMEDI IER E - Chronicling America...voyageant, et s'en est retourn avec des trsols d'observation...

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SBUREAU F X E T ATEL IERS A SAMEDI IER JUILLET 1871 ST-JEA.N-BAPTIS, rive dreole, un mille et demi au-dessus de la Maimea de four. XIX AN E E. 26 PIE DS ANNONOS Ms ABONNEMENT: POUR LUt oA* DM DIX LIQUDU: Cinsq psas. rs par ni, Pralre inler . S1............ 0 E Iueratn lvan ........... 75 .P E A PAN(E. JOURNAL DE LA PAROISSE ST.JEAN.BAPTISTE - LOUISIANE - - 7 -7 AGIST A DOYALDtONVILLI Aure t f t vrf. t AY A. IT RA II L E. DUMEZ & T. BELLOW REDACTEURS WVAItARTON.& TAlMR'&.j Wore dei March1es. M. FLIX REYNAUD rue Communeonn .- rtr1 rui.s St (Chinrl<s et Cnni UN SAGE ENNENI Le Sed a e longtemps de "tnala. droits amis" au dvouement impru. dent et icheux, 4M zle excessif et indiscret, lesquele*aemblaient avoir pria pour tAche de fournir an Nord tona les arguments jnaustificatifu ou plutt tonus les motifs spcieux d'une oppression systmatique et d'une implacable exploitation. Le plus ardent et le plus malencon- treux de cea fedoutables amia fut l'ez-prsident Andrew Johnson qui, tout dernirement, a manqun, tout autant que Jefferson Davis, une excellente occasion de garder le silence, et s'est aviod de prcher dans l dsert la rpodiation de la dette nationale. Aleoander I. Stephens, l'homme d'Etat gorgien, qui n'a de regards que pour'nn ir. rvocable pasa, n'est pas mieux inspir en se faint journaliste sor oea vieux Jours pour thoriser plus son aise sur les amendements constitotionmels, points dj effac. dans le lointain et indiffrente nne proccupations actuelles. Vallan. digham enfin, dont la mort ai ici. prvue est une calamit publique et dont la mmoire reoit de ses concitoyens de tout parti des hom. mages prcieux et significatifs. Vallandigham, avant de fermer tes yeux la laumire do jour. le avait sat eur le cours des vaements . dont il comprenait la tendance, et avait donn i la dmocratie am. wricaine de conseils dont le aort tragique du clbre orateur ang. mente encore la gravit et la soles. nitd. Si sa hante influence s'tait rieroe pins tt dans le sens d'une db"sion logique an fait invitable, a aessoe qu'il plaida avec tant de taient 4e dIdliti s'en MAt beoren- semet rssentie. Mals, ap c toot, nous on sommes rdait aux co.n- jectures, et peut.re tait-il bon que le parti vainqueur, ayant libre arrire, ne remneontrat que la fra- gile barrire d'ae opposition ani. le pare qu'elle s'obetiait soate. vr de qnatioes rolises, peut- ctre ooevealt-H quoe M parti pooe *t son priacipe l'e1 be et son triomphe l'abus, et provoquAt dams s propres rags une rac. tion seletaire. Il est sans debte dans Perdre providentiel que la judos Mt la libert soient le pris d'se lutte longue et pnible, pour q"e le peuples veillent de plis Sprs sur ces bienfaits, une fois qu'ils sont parvenus les conqurir. Le " sage ennemi" qui contribue rparer le mal caus par les "ma- ladroits amie" n'est autre que le grand journaliste de New.York, Horace Greeley. Il s'est nvcntur, il y a oun mois, au-del de la ligne de Mason et Dixon, qui loongtemps fut poor lui et ceux de a nuance fon- cde l'infranchissable mitraille de la Chine. Il a parcouru, sans peur et saus reproche, ce pays conquis par une pe qui fut au service de sa plume, et dont pourtant il ne con- naissait pas l'tat rel. Sous pr- texte de se rendie la foire du Texas pour y haranguer des paysans sur l'agricultunre laquel- le il n'entend rien,'le rdacteur du Tribune a voyag un peu partout, s'est tout naturellement instruit en voyageant, et s'en est retourn avec des trsols d'observation sur la po. litique, qui lui est beaucoup plusne familire que la spcialit rurale du fermier. Ingnu mais intelligent, passionn mais honnte, Greeley a dcouvert la vrit et l'a procla- me. Vairnement les misrables in tressde la lui cachlier avaient en- tour le philosophe d'un pais cor- don sanitaire, avaient voulu assu- rer le lourd bandeau4ii le privait ds es organes visuela. Di premier coup, il a trouv soit chemin de Da- mas, et a vu la plaie du Sud. Cette fois, il connalt amsii big-n <pie nous l'horrible mal dont soufyalt les Etats vaincus, et aussi, par ute fatale solidarit, les Etat' oain- qnenrs. Dans son discours rvla- teur, an club Liiicoln Ne'w-Yoik, o l'on entendait comme tinter le glias duo parti coupable, 4t o len harpies du Sud auraientipn lire, sur les murs branls par les applan. dissements, la sentence du prophte au festin de Baitbazar, dans ce dis- coursi sem de traits vengeurs, Greeley a -noblement rempli son devoir, sans s'inquiter des ennut- quences qui en pourront rsulter et qui en rsulteront ncessairement pour le parti rpublicain, s'il ne s'amende promiptement et ino fait une volte-face immdiate. Il a d- bonc les saryet-M-ggers,' et mi ceux- ci s'euorgueilliiisent du titre aprs le tablas de ce matre peintre, ils sauront qu'ils ne se parent qusvd'un stigmate inddidlbile. II faudrait que tout le monde vit, et tout le monde la verra, la photographie de ces clans de bohmiens dposs par les fourgons de l'arme fdrale, pillant le Sud assrrvi et ruin et lui arrachant la pice de monnaie avec laquelle oni clt la paupire du mort, ayant un bran pass au- tour du cou du ngre ignorant et l'autre plong jusqu'au coude dans la poche vide de l'infortun contri- buable, accaparant toutes les places: petites et grandes! Il y a surtout un jeu de mots intraduisible en fran- ais sur la proie et la prire qui s'entremlent dans l'oSuvre inftme de ces malandrins. [le masque est lov maintenant, et le manteau n'est pas rabattu sur la nudit de No. Nous avons un tmoin, etqiel tmoin 1 C'est l'crivain le pluns ha- bile et le plus accrdit du parti rpublicain, dposant la charge et confessant la turpitude de la queue de son parti ; nous devrions ajouter qu'il sacrifie galement la tte de son parti, puisqu'il vient de se pro- noncer a peu ps formellement contre la rlection du prsident qui n'a gure considr la supnOme magistrature de la nation que comme une source de profits per- sonnels. Auprs de cette hideuse corruption, la prtendue socit des Ku-klux devient insignifiante, et Greeley convient qu'elle n'aurait pas exist, ai d'ailleurs elle a t one ralit, en l'absence de l'ostra- cisme politique iniflig aux vaincis du Sud. Notre illustre confrre a nglig ou ddaiga use ligure fort laide de notre paye, celle des scala- wags, enfantsi du Sud qui, mettant l'honneur apis l'argent, sont deve- nu1 sitias conviction aucune les va- lets oa le. allisedes chenapans qui ruinent leurs concitoyens. Un Buf- fon qui se serait hasard4, Il y a dix ans, i prdire ces tristes individus conrmment ils se vendraient un jour pour nit plat de lentilles yankee, et parui commettre une abominable calomnie. Greeley n'a pas vu ou a feint de ne pas voir cette moisissure morale, et ce n'est pas nitus qui refuserons l'aunne du silence cette partie honteuse du Sud. Elle prend bien son temps pour pactiser avec les carpat-iaggers ! Cea gens.1l ne sont plus mme an parti, mais une bande, et une bande d'assassins quj endosse cyniquement les ameur- tres des paroisses voisines de St- Jacques et de l'Assension. Qui donc parmi non- poorrait supporter la d- trisanre d'tre ou seulement de sembler tre du Ct de cwnz que Greeley vient de signaler A la vin* dicte publique I LES MILLE ET UNE CONNAISSANCES UTILES. CXXIV ;cxxiv II y a de espces d'empoisonne- i ment par l'alcool: celai qui se dclare immdiatement aprs un excs de boisson et qui parcourt ses phases trs rapidement, et celui qui rsulte d'un abus longtemps prolong des spiri- tueux, qui se manifeste par des symp- tmes peu effrayants tout d'abord, mais qui mine lentement l'organisation et aboutit souvent la mort. Un homme fait une fois par hasard un excs de boisson: ses ides a'exal- tent, sa parole devient plus facile, le verbe plus haut, la physionomie prend une expression inaccoutume, les gestes sont plus accentus; o'eat la priode d'excitation. L'infilence alcoolique se coutinuant, les idees perdent de leur nettet, le paradoxe tourne l'absurde, le discours devient incohrent, le verbe s'embarrasse, la figure grimace on se contorsionne, les gestes prennent un ca- ractre dsordonn, les sensations sont les unes abolies en partie, les autres au contraire surexcites; c'est la priode de perversion des facults. Enfin si l'alcool persiste agir, la stupeur finit par tendre son voile sur toutes les facults: plts de pense, plus' de conscience, plus ede sensibilit, plus de mouvement; le corps est en quelque sorte ananti et si le cour et les pou-1 mons n'accomplissaient leurs trouve- j ments rguliers, on croirait la dispa- rition complte de la vie Aprs un 1 temps plus ou moins long, le rveil sur-. vient; on a mal la tte, la bouche est piteuse, la soif vive, l'apptit trs mod- r ; c'est tout ce qui reste de la veille. Si lexcs ne se renouvelle pas, s'il n'a pas dpasds certaines limites et s'il n'a pas eu lieu sous l'influence de boissoos trop actives, oa peut tre peu prs certain que cette lgre atteiate d'em- poisonnemnent aigu n'amnera pas de consequences srieuses, parce que ce poison est un de ceux qui traversent lorganiame rapidement. 11 est des cas pourtant,-il 1 faut qu'on le sache bien,-o un seul excs de boisson suffit pour produire des aoci- dents graves, et mme la mort. Ainsi la science a enregistr des ens, mialliheu. remsament pas trs rares, d'individus frapps de mort subite aprs avoir aval un litre d'eau-de-vie ou d'absin- the.. Il est des ciroonstances qui favo- risent cette atagque foudroyante: ainsi un froid trs vif, des 4 motions violentes, un accis de colre, par exesmple. Enfin les bleaures roques pendant l'ivresse praenaagnralement une pluias grande gravit qu' l'tat normal. Il est vrai que llamsnsibilit qu'amne l'ivresse Cmpehe & ressentir la douleur imm- diate qui pea rsulter d'un coup ou d'une blessaure; temais oe n'est l qu'une faveur illmfie. Quant l'iatek avee laquelle agit l'aloool, il faut faie la pas de l'tat dans lequel on se treouve. A saite d'un repas copieux, l'ivrese a 0 oi-s dangereuse et exige pour se produire une plus grande quantit de spiritueu qu'jean. C'est quand on ut jema que I aleool agit plus onergiquemett; o'*dt aussi surtont les individua qui eot l'habitude de boire jean qui sont ntteints d'empoisnemeiiicnt ebrnniutf, bien que souvent ils semblent suppor- ter trbs hivn rvm lihationj jt)urnalires i KEEP & HOGAN QUINUlILLERIE No. S8, rue Tchoupitoulas et No. 34, rue de la NIle-LevEfe, NoUVE LLE-ORLocANS. 'Tipennent conntnmment 01 main un assortiment complet de Quincaillerie, Cu.n tellesie. Ferblanterie, Idtrutments d A rict.ul tare, &c. fdv28.-o 2a SDr. G. DAMAR DENTISTE Bureau & St-Jaoques, rive gauche. pr6s du Couveut. * _ Offrre repectueusement Pen Pervices aux babitants dte St-Jeanii-Baptiste, o il feura ue tourne chaque mois. Pour plui m plei informationo, a'nalresser au Dr Hart S-Jean-]Iaptitte. 8iiai la GRANDE LIQUIDATION. 25[00 au-deasous du prix cotant. Le tonseign informe les marchands de la campagne. quiil a mis en vente partir de Samedi, 10 juin 1871, et pendant deux moie et demi Un magmifque Stock de $225.000 DE VTEMENTS CONFECTIONNS POUR HOMMES ET JEUNES GENS, Linge de peau, Chapeaux, Casquettes. Le ventes Ms feront en gros, demi-gros et dtail 25 010 au-deseous du prix cotant. C. LAZARD. Au No 195 rue Vieille-Leve, Encoigure 8te. Anne 24J151. AVTx Il est reoommandi ou publiade e point achbeter un RADEAU DE CYPRE, qui **8est prrdu. le 30 mnal au matin, dans la erevasse du Bonnet CaraA, et eat chou au-desus du moulin acle de M. Louque. .NO P. AGEE, 60, rue Lafayestte, Nouvelle-Orleans 10)ulolm. GRAND BAZAR DE LA COTE J.-B. CAIRE a l'ihonneur d'infonrmer les miaroihandset babi- tants de St Jean Baptiste et paroisse voii- nes. q il t l'agent de la maison POLAND k HENRY, de Cincinnati, pour el a. WHISKEY ET BOURBON de cet rablisaement Justiment clbre dans tonte l'tendue de* Etats Unis. Il df.toute 'niIcurrence pour la qualitd et le bon marehbd do etc produit populaire. f0O St-Jean-Bptiste, loer mars 1871. J.E JARDINIER CONOMIQUE " PRODUCTIF DR LA LOeItIIANE PAR ULGER VICKNAIR As h ta retee StaJ---aftfte PRIx, CENT6 Ee veste aux irena de Melacab. LE MAfASIN DU IHEMIr DE LA VAV tl!I F, t nu pnr J.-V. ARMANT, A reu, an dbut de l'annIfa 1I70, unmagnifi. qugi et i sp l ortI rlintn se detsli kt M 1ti cite qu oni peut cheicher ch.ne un tnbli nient de commerce. EPICERI E. 8R ,i LIQUIFIlRS ET 0 OF FE S, MERCERIE M E P. c E Il 1 QUJINCA I LL ERIE. CI AP EL I. E RIE. (CH A Il SSURES TC('., ETU., ET L " VA( rERIRKOAP STORE" est meui - '` eatisfair A toi&% lIe gRoto et peut ac merte i lia porte dlo at*as les boutrss. Aiigtt' Kriel le coinni1 nintable et popu laire, eilt tujonri * con pite et flait brave. umentt face aux clients et amid. Une visito aun " VACHERIE ROAD STORE'" convaincra bien vite de la modestie u prsent avi, et elle ne sera pas la der- nire. Bt Jacques, Chemin de la Vfacherie, ter janvier 1870. 8 ip au "VACHERIE ROAD STOREP ST.JACQUES, RIVE DROITE, atix prix de la Nouvelle-Orlans, les mdicaments de deekur Air E, PILVtLW.S CATUAI'LQIOEUX, CISMItE ROAU) STOR'lE" abw~ enudre de GRoYEs< a IRAKKL, dire4,:tement et vendues au' mime pri lqui'8 la Nouvelle-Orlans. et ru*me au. lieu de fabrique. 13mai.71. Le saan.signt a l'honieur de prevents . les familles qu'il ne chargera de l'entretieo des tombes dans lecimetire de la paroise St-Jean- Bptiste, ainsi qnede l'ouverture des fours, de la constructino des moiamrens et de toutea les rparations necessaires asu' bon etat de ce qui lui sera confi. 6 mars 1869. FAvrSTN sonaiobe. sliS'adresser. pour renscignemente, soit' M. J.-B. Caire, soit au signataire du' prEent avis. F. ROMA IN. CHIZ I. W. HOMAN & Ci*,- PIOIERS EN.GR08 UT *ARCHANDI DR LiQUEURS, VINS, TABACS, &CGi, 41... rue Tchoupitoulas.. 41 entre Uravter et Poydrau .NOUVELLE.OFLANS. dMa JEANEDE BEAUCe -Mrs -0 mo hommre, que je t'aime "'dria Mathurine qui sata a eou de Jean MarnaS. L'usa. reaa. Et eomme on ce eomnaismit ai on pre, ai M mre, ni son pays natal, ni aouDn 4e M pasuts; moMM on l'avait raemmie das la plaine besoaeeroone, au bord d'an hbamp de bU, l'appela Jeanne de Beauoe. Vil Does am-6 Vieoalremt. 81 la frts de Jean Marnis reta tatiooesire durant au doues anea as famille, q rvasbe.M s'eeru de deau Pargo4 dm grs noms et jouel OeMM oS r'ea voit P- Jeua de Imm Bea9e M' pa eu Me paruaile de l'ami- tii qu lWt avlma oui. J et Mathrwim. As seatmrais. ** . Os OalaMt deamagi sMee, Mes poU"ie. LM rid.6 blM paia d Msonlt qui jer dimaB duel; egout memjaiuMles gIw fenrams hmasVldm; mnraagulaaessub eu ; epuiast pe pevree lviilteesa; naulesues luar eae osea, hsdae poelhale: : h 0i"e du dIMP w sebb M rift IMeW > aban puagl peum -sM.mi umbi - re pdeM- pleiea>ee ae .as trup de stigueL. L'homme m'y d eas force que graduellement et dams la m mr fxje par la mature. Si ete vie pa t monotone au premier abord, elle r- serve A oeux quf Iembrasent des dooeours iocomparables. Ndaumiols, coaupe toute hobose humaine, elle a aussi ses aiertumes. Jea Marais a devaitfaire l'ezperienoe son tour. Une ivre maliue coarut la contre. Jea tomba eaade. Et eome si le malheur n'eat attenda que oette ocasion pour laiire sentir les ooope de m lanire, vitjours aprs que Jean met oommeao de garder le lit, le feu prit A es maison..' Noms avous raeoUt, au dbut de oette histoire, les pri. pdies de ee ntare qui aadstissit es quelque hbres le fruit de toeste une vie de travail. Nom avoue vu Mathuriueemporter, avec une fore sur. hamaine, ses dux garons ea lie tr. * Quat A Je...e, L'ea1t absadmnde, qui avait trouv Ms le eblam de a puvresw gen un saile et uoe fasille, oue avoens dit que, pousee par as dvouement smbime, ell refe a de quiter soM re adoptif Ne pouvat, seomme le Trowyen -. , emporter am pbr ser m e i elle voulus d mos. mourir ave lui. Jea te it aeanti. Il *'avais plus de vox pser refs r le merifS. de l'on. lIto e sut t l ml peer p lapoM r deesd Beuribssl.tuan li<- 8O regard sunit le el dlastim de elase. qui l. l"isa le psa10er. qui 'eroIl st aer de brmeos, # emoaieu eapiielqmne"t sr lae serm. do muorailles, * & qui a'engouffraient avec fureur par les oovertures. Son oreille entendait le braissement de l'incendie et lu' cris de terrmer de la foule. Mais il en tait arriv A eat tat d'aflibhlisement, voisin de la lthargie, o l'me qui comprend et qui voit, sne peut plus as faire obdir par le corps devenui ie*te. Jeaane, au contraire, embrassait dase oute son tendue l'horreur du danger. Elle pouvait compter obshacoun des pas que la mort fainit pour ase rapprocher d'elle. Par moments an frisson d'effroi luoi serrait le coeur. Et 1'istinot de la oservrtios reprenant ses droits, il lai veoait deu envie folles de vivre, de s'dohajpe de bon. dir travers le fo( et laI fuame. S-Oh ! mourir seins aso! maormnra4-elte es todant s brn desep4rs. Non, noo, je e veuax peas, os Dieu I ee' ermiU 6pe.vatable ! Som eil memre la dietape qui la smperait de la port4., Oh t derrire sette pomrt tait le saint fMais aile songea o samoriboL II *tpit 1l, agosisat. ahaudoa a, ufspnt plus qu'elle ' Il ne lui avae pa mairobse, 1, l $ roueant et iW piti !, 1'.. , Jssne asagof le Mt, ' M (netessertqu'*es sappe lait no lebw, et *'eat te s t"aW s b1a0 PM es t maste voix de !a nature qui lui diait de fcir: -mon, non. uos pbre ehri, je pa qmittera pu I Le w0r4e de &a sme q tui Osbrat le logIoAbo * l'eant alltait a riaeiham t de laiste " tae. la Meuble pris h. watTuP'if CLu S'la GM p^oi<w TiUUdV9^

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