4 chemin de la garenne - 33620 MarsasTel : 05 57 58 58 00 - Fax : 05 57 64 80 54

INTRODUCTION

1

sommaire

INTRODUCTION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 2 à 4

Pour quels publics ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 3

L’animation scolaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 4

LES POINTS FORTS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 5 à 8Une animation réussie pour tous . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 5La participation à un échange culturel et économique . . . . . . . . . . . . . .P 5Des supports professionnels reconnus . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 6 à 7Une lecture à la portée de tous . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 8

COMPOSITION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 9 à 14Les panneaux d'information . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 9 à 10Les films et l'ambiance musicale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 11Les œuvres d'art populaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 12 à 14

LES ANIMATIONS AUTOUR DE L'EXPOSITION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 15

LES ASPECTS PRATIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P16 à 19Réservation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 16Publicité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 16 à 17Assurance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 17Transport . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 18Mise en place . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 18 à 19

LES PARTENAIRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 20

CONTRATS DE RÉSERVATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P 22 à 23

INTRODUCTION

2

introduction

« Un jour je ferai ta rencontre, hommed’une autre couleur, sur la passerelle dela bonne volonté, quand les préjugés,fatigués, auront abandonné le combat ! ».

Francis Bebey (La lune dans un seau tout rouge)

L’exposition présente la culture et la civilisation du peuple noir, l’histoire(du berceau de l’humanité à l’Afrique contemporaine) et les problèmes ducontinent africain.Des textes clairs et de belles photos sont accompagnés de magnifiquesobjets d’artisanat. En provenance directe des pays visités, ils sont le fruit dutravail patient et du sens artistique des habitants, respectueux des traditions.Ils sont proposés en collaboration avec des ONG qui, sur place,soutiennent des populations défavorisées par la diffusion de leur artisanat.Au sortir de l’exposition, chacun aura puisé avec plaisir des informations suivant ses centres d’intérêt et sa sensibilité et aura pu, s’il le souhaite,acheter un petit souvenir.

Sous l’oeil du cyclope

Pasteurs dans l’âme

Du courage

Vers l’âge de 15 ans le jeune Massaïquitte sa famille pour aller vivre dansune manyata, un village construit enpleine brousse, avec d’autres jeunesde son âge. Là il doit faire la preuve deson courage pour devenir un moran(jeune initié). Il vit alors une phaseinitiatique où, dans son groupe, il apprend son métier de chasseur et deuerri

KENYA

PAY S M A S S A Ï

BURUNDI

ZAIRE OUGANDA

RWANDA

SOUDAN

TANZANIE

SOMALIE

ÉTHIOPIE

Kilimandjaro

INTRODUCTION

3

introductionPOUR QUELS PUBLICS ?

« Au cœur de l’Afrique Noire »s’adresse à tous les publics,

jeunes, familles et seniors. Elle peutêtre organisée par :

les mairies, les centres culturels et lessyndicats d’initiative, qui vont bénéficier

d’un outil d’animation unique en son genre,très attractif par le thème, garant d’une

grande fréquentation du public avec deséchanges fructueux entre les habitants.

les établissements scolaires primaires ou secondaires, où les enseignants vont ouvrir les

enfants aux cultures africaines si différentes de la leur,apprendre la tolérance et l’ouverture d’esprit. Avec

les classes de secondaire, ils peuvent compléter les programmes abordés en cours.

les bibliothèques, qui pourront proposer tout un choix dedocuments, de romans et de recueils de poésies de ces

lointains pays… autour d’une exposition très riche de contenu, rehaussée par des objets d’artisanat colorés.les maisons de retraite et les centres de soins qui peuvent faire vivre à leurs pensionnaires ou leurs patients, un voyage immobile passionnant. Une occasion nouvelle de les sortir de leur quotidien et de créer des échanges inter-générations eninvitant des scolaires, avec un dépaysement assuré !

En milieu traditionnel, à la campagne, la plupart desenfants ne sont pas scolarisés. Les musulmans ont ouvert desécoles coraniques. On trouve en brousse des écoles de missions religieuses chrétiennes qui ont formé la plupartdes élites locales. Dans les pays africains qui ont développé unprogramme d'alphabétisation, de nombreuses campagnesd'éducation ont eu lieu depuis les indépendances dont

vait le goût rare et craquantuets salés et grillés à point.voix du vent dans les saules.

Il y avait la voix des cieuxAvec les éclats du tonnerre.vait les voix de deux enfants

Qui riaient : les nôtres...

particulièrement évidente ialisation enfantines. Les ducation se posent partout

quasi identique. Le villagend à une communauté

e. L’être qui naît n’est pasuf, il a déjà un vécu, uneté.ducation vise à donner àes moyens de devenir

nt ce qu’il est en naissant

L’ÉCOLE

ns qui ont des parents sans p

andes villes, mais la plupart du rdu son équilibre. Les premièrent les enfants. A cela s’ajoutent s des déplacements forcés, lettes, les inondations et autres cants survivants, orphelins ou a

rique, mais il s’y développe rapsida qui font beaucoup d’o

erres.

INTRODUCTION

4

introductionL’ANIMATION SCOLAIRE

Cette exposition culturelle,pédagogique et artisanale,permet aux jeunes de com-prendre, dans un langageaccessible à tous, l’histoire puis lavie quotidienne de nombreuses populations africaines. Elle est complé-mentaire des programmes scolairespar son approche ludique et abondam-ment illustrée.

Cette exposition répond aux besoins de diversifier les méthodes pédagogiques pour favoriser l’ouverture d’esprit et le sens du partage.Elle contribue aux chances de réussite future des élèves, pour une meilleure adaptabilité dans leur vie sociale et professionnelle.Elle crée aussi des liens pédagogiques avec d’autres disciplines : histoire et géographie, littérature, arts graphiques,musique, économie, sciences de la terre…Les centres aérés et les centres de vacances sont aussi concernés par cette animation.

« … Exposition très appréciée par les élèves qui sont venus massivement… Merci entout cas pour cette formule originale et efficace. »

Collège - Documentaliste

Au crépgriots r"Il étaitdepuisA sept se soutbarre, pon lui SoundiCe chagénératsolennejeune S

Au Moyen Age, il existait dans tout le continent africain des sociétésdes empires fabuleusement riches ainsi que des routes commercialeésulte d’un double processus d’assimilation des influences extérieure

systèmes politiques originaux, renforcés par l’habile utilisation des res

La civilisation du Zimbabwe futl’une des plus brillantes et des p

Au fil de l’histoire, de vieilles civilisations et de grands empires

Au temps de l’empire romain, le Sahara était habité par de petites communautés que l’on retrouve dans les peintures rupestres du Hoggar, du Tibesti et de l’EnnedL’archéologie apporte davantage de détails sur l’établissement des civilisafricaines. Grâce à elle, on a identifié campements, batailles, lieux de culte et de chmais aussi des royaumes et des empires spécifiquement africains.Ainsi, la civilisation du Tchad, celle des Sao, se serait développée dans le defleuve Chari vers 950, durant le Moyen âge occidental. Ils y vivent en paix jusqu’ausiècle, moment où les souverains du Kanem-Bornou tentent d’agrandirroyaume à leur détriment.Des civilisations bien plus anciennes sont retrouvées, comme celle des Nok, au Nancêtres des Ifé, et dont on pense qu’elle remonte à 500 ans avant Jésus Christ. Les Nok étaient de grands artistes et ont produit des statues de terre cuitenaturalisme et d’un stylisme remarquable.C’est à partir d’Ife, cité des dieux, que selon la légende yorouba les dieux aupeuplé le reste du monde.

De la même manière on sait, grâce à des bronzes que l’on a retrouvés, que le roydu Bénin se constitue entre le 13ème et le 14ème siècle.

LES POINTS FORTS

5

les points forts

LES POINTS FORTS DE L’EXPOSITION

UNE ANIMATION RÉUSSIE POUR TOUT PUBLIC

LA PARTICIPATION À UN ÉCHANGE CULTUREL ETÉCONOMIQUE

« Au cœur de l’Afrique Noire » a été réalisée avec « Undugu » et « Bazar Sans Frontières Santé et Développement » au Kenya et à Madagascar.

Ces ONG luttent contre les problèmes liés au sous-développement (malnutrition, enfants des rues, manque d’assistance médicale, analphabétisme) en proposant dessolutions adaptées aux populations locales, en développant des programmes de formation et en assurant la promotion et la diffusion de leurs productions artisanales.

Cette exposition permet de bâtir un programme d’animation de qualité tout

en respectant les lignes budgétaires. Elle crée un moment de fête, un évènement qui

sera source de rencontres conviviales et d’échanges.

sistance au départ, le marronnagedébouchera le cas échéant sur devéritables sociétés autarciques.En France les critiques contre l’esclavage apparaissent avecMontesquieu, dans “ l’Esprit deslois ” il en dénonce l’inutilité.Rousseau le condamne dans “ lecontrat social ”. De nombreux écri-vains contribuent à sensibiliser l’opinion comme Victor Hugo,Prosper Mérimée, Lamartine. Lestraductions françaises de “La casede l’oncle Tom” conforteront l’abolition. En 1815 le congrès de Vienne condamne la traite desnoirs.

“ La violence commise envers le membre le plus infime

de l’espèce humaine affecte l’humanité entière;

chacun doit s’intéresser à l’innocent opprimé,

sous peine d’être victime à son tour,d viendra un plus fort que lui pour l’asservir.

mme est une parcelle de la liberté universelle,vous ne pouvez toucher à l’une

sans compromettre l’autre tout à la fois ”

om-es.leseur

ques etndere ”quers),tesien

des

ue. et les

quiion L’esclavage consiste à pri-

ver un être humain de sesdroits et de sa liberté pour leforcer à travailler.L’esclavage a existé depuistrès longtemps.Les Egyptiens ont utilisé desesclaves pour construireleurs pyramides, l’esclavages’est pratiqué dans toute

Seule celle de St Domingue débouchera sur la création d’un état, larépublique d’Haïti.

sVictor Schoelcher - auteurdu décret du 27 avril 1848

i l’ l

LES POINTS FORTS

6

les points forts

DES SUPPORTS PROFESSIONNELS RECONNUS

« Au cœur de l’Afrique Noire »bénéficie de toute notre expérience tant dans son contenuque dans sa présentation.Depuis 1988, Créa Diffusion a conçu denombreuses expositions qui ont fait lesuccès de milliers d’animations en France.Les courriers de remerciements attestent dela qualité professionnelle de notre démarche.

« … Au cœur de l’Afrique Noire » est probablementune des plus belles expositions que bibliothèque etcentre culturel aient conjointement organisé… une véritable plongée dans une culture qui fait aussi bien vagabonder notre imagination que nos rêves d’aventure. »

Extrait de presse - Sud-Ouest

« … le centre social… accueille une remarquable exposition sur l’Afrique. Plus qu’uneexposition, c’est tout un hommage qui est rendu au continent africain… »

Extrait de presse - La République du Centre.

« … J’ai le plaisir à vous retourner les deux malles et le grand colis contenant l’ensemble de votre remarquable exposition « Au cœur de l’Afrique Noire »…Souhaitant continuer longtemps notre collaboration, je vous prie de croire, Monsieur,en l’expression de mes sentiments les meilleurs. »

Centre culturel - Chargé du Développement Culturel

Etonnant”ud Africain

er au con-érance en

Mozambique, les premiers comptoirs.Les conquêtes militaires et des exploiL’ingénieur Ferdinand de Lesseps faitraccourci vers l’océan Indien depuis laes expéditions militaires en Afrique v

LES POINTS FORTS

7

les points forts

« … Nous vous remercions et vous assurons que l’exposition a

créé l’évènement dans notre collège, voire dans la commune

puisque nous avions accueilli le collège privé, la maison de retraite,

l’école primaire… » Collège – animateur

« … Cette exposition était intéressante et trèscolorée. Toute l’équipe de l’animation espère

vivement que vous pourrez nous prêter une nouvelle exposition l’année prochaine. En vous

remerciant vivement. »Maison de retraite

« … La maison des jeunes et de la culture… vous remerciepour cette exposition « Au cœur de l’Afrique Noire ». Cette

dernière dégage des valeurs humaines auxquelles la population a été très sensible… Cette exposition, un support idéal pour donner vie àune animation… »

MJC.

de dunes (le grand Erg au nord) et de roches (les massifs plus ou moinsvolcaniques du Hoggar, de l’Aïr et du Tibesti au centre et à l’est) dessinépar le vent. Le Sahara, pays des Touaregs, étend sa majesté sur huit millions de km2.

variété géographique esttagnes où il neige l’hiver,dense d’accès difficile oùy trouve également des

en animaux sauvages.

La grande île constitue le véritable conservatoire zoologique etbotanique du Grand Sud avec ses milliers d’espèces rares indigènes.C’est aussi le lieu de rencontre des populations d’Asie et d’Afrique. Sonsol, riche en pierres précieuses, présente quasiment tous les types declimats africains, du méditerranéen au tropical humide.

danoirs)enes et du Sahel

MADAGASCAR

LA CORNE DE L’AFRIQUE

ait la jachère

La richesse du continent : minerais, gaz, pétrole,...

L’Afrique n’est pas uniquement recouverte de déserts, loin de là.Si son industrie ne représente pas même 1% de la production

Elle est ainsi nommée en raison de sa forme, elle seregroupe autour du vieil État éthiopien ; on y trouve des

hauts plateaux fertiles et arrosés et des zones extrême-ment arides et chaudes parcourues par des

pasteurs nomades guerriers. Le long de la valléedu Rift, on rencontre une très grande activité

volcanique, de nombreux lacs souvent en dessousdu niveau de la mer, qui sécrètent souffre, soude,

sel…

S A H A R A

KILIMANDJARO

EGYPTE

ALGÉRIE

ETHIOPIE

Lac victoriaBassin

du Congo

SOUDANNIGERIA

ANGOLA

ZIMBABWE

AFRIQUE DU SUD

NigerNil

Kilimandjaro

s : Elle est consl’Egypte et desMéditerranée, ede dunes (le grvolcaniques dupar le vent. Lemillions de km

du Sahel

EreS A H A R A

KILIMANDJARO

EGYPTE

ALGÉRIE

ETHIOP

Lac victoriaBassin

du Congo

SOUDANNIGERIA

ANGOLA

ZIMBABWE

AFRIQUE DU SUD

NigerNil

www.creadiffusion.com

Vous pouvez aussi découvrir plus de 1000 témoignages sur notre site :

LES POINTS FORTS

8

les points forts

UNE LECTURE À LA PORTÉE DE TOUS

Suivant l’âge des visiteurs, « Au cœur de l’Afrique Noire » estconçue pour apporter des informations facilement assimilables.

POUR LES PLUS JEUNES :Des cartes et des textes simples permettentaux petits d’acquérir des notions de base surl’Afrique, tout en s’amusant. Les plus grands et lesadultes y trouveront les éléments utiles pour réaliser une synthèse rapide sur les pays visités.Les films constituent des outils de sensibilisation pourtous où les notions de partage, d’entraide et de solidarité prennent vie.

POUR LES PLUS GRANDS :Des textes plus élaborés développent dans le détail les différents thèmes abordés :histoire, géographie, arts, religions, inventions, coutumes, économies locales… Adolescents et adultes vont glaner des informations très utiles pour tous ceux quiveulent compléter leur programme scolaire, améliorer leurs connaissances ou partir à la découverte d’une autre culture.

Les jeux questionnaires :Ils privilégient une approche dynamique de la recherche d’informations et facilitentla mémorisation. Ainsi, les scolaires n’effectuent pas une visite passive, mais participent activement aux questions posées en cherchant les réponses sur les panneaux et les films présentés.

n Afrique les instru-ents de musique sontroitement associés àparole : les tambours,

otamment, permettente transmettre une parolealquée sur les sons, lesons et les rythmes delangue ; la majorité desngues d’Afrique sontes langues à tons très chantantes. Dans une batterie, c’est lembour parleur qui a le plus d’importance, il anime la danse, donne

es ordres aux participants. Les flûtes, les balafons et les cordophoneservent aussi à accompagner les chants par lesquels les griotsansmettent les mythes et les généalogies.

Le creuset américainstré d’abord aux diffusé tout un

percussions peine, des

blent. Aués. Les

t les de

Dans les années 1950 - 1960, les musiques d’origine africaine sont quasiment inconnues du grand public français. Pourtant même si les ethnologues s’intéressent à la musique des villages africains et réhabilitent la science musicale africaine, c’est du côté des

États-Unis que viendra lechangement.Tout ce qui vientdes États-Unis fascine : lejazz, le rythm and blues, la soul.On adapte pour le public français des chansons américaines (le rock, puis le jazz avec Gainsbourg(Gainsbourg percussions),Henri Salvador (Le lion estmort ce soir), Nougaro(L’amour sorcier) Manu

A MUSIQUE S’EXPATRIE

ES RYTHMES “PRIMITIFS” EN EUROPELe continent s’est inventé des orchestres modernesavec des instruments occidentaux,des bals populaireset de nouvelles musiques teintées de sons pop-rock et latino-américain.Certains musiciens venus d’Afrique aux USA se

rendent compte que leur “musique n’a rien d’africain” (Fela en 1969 “Pour la première fois,j’entendais des choses que je n’avais jamais entendues auparavant à propos de l’Afrique”). Felase met à travailler furieusement et invente l’afro-beat, un style qui va révolutionner la créationmusicale en Afrique.

Tout au long des années 1970, les musiciens africains en Europe travaillent à la construction de

l D l di d i i

LES MUSICIENS AFRICAINS À LA CONQUÊTE DE L’ EUROPE

L’AFRIQUE D’APRÈS LES INDÉPENDANCES

COMPOSITION

9

compositionLES PANNEAUX

LES PANNEAUX D’INFORMATION

L’exposition est composée de 20 panneaux en PVC rigide plastifié, munis de deux œillets

et d’un cordon pour l’accrochage (dimensions0,90 m x 0,45 m).

Les textes sont à plusieurs niveaux de lecture, animés par de nombreuses photographies et des cartes

de situation. Un résumé « enfants » sur chaque panneaupermet aux plus jeunes d’accéder à toutes les informations.

Les thèmes choisis permettent d’aborder des pistes de recherche pour des sujets de réflexion. Des textes d’auteurs locaux (poèmes, citations, proverbes d’écrivains, scientifiques, philosophes…) favorisent une approcheplus sensible.

N° 1 : AU CŒUR DE L’AFRIQUE NOIRE (titre).

IntroductionN° 2 : LE BERCEAU DE L’HUMANITÉ

(Le paléolithique, Lucy, le néolithique).

GéographieN° 3 : LES GRANDES RÉGIONS

(Afrique occidentale, centrale, orientale, australe - Madagascar).N° 4 : TERRE SAUVAGE

(La faune et la flore africaines).

mangent tout sur leur passage. A cela schoix en matière agricole (café, cacaarachide) ont été le plus souvent adopcolonisation au détriment des cultures viLa pollution de l’eau et des sols accentu

vorisé la corruption et les projetsion de cathédrales au cœur de la d’empereurs,...).cratiques ont souvent été écrasésons d’étudiants et de religieux ontZaïre, etc.), ce qui a causé du tortpolitique garante de stabilité et de

e durable.L’Afrique reçoit une série d’aides qui s’accomsous tutelle puisqu’elle n’a pas les moyenconditions. La dépendance est déjà très lomilitaire pour “mater” des opposants est accorpromesse de vote à l’ONU ou d’une part de mal’exploitation des richesses minières.Plus récemment, des pays africains ont subi la pmondiale qui ne leur apportait son aide financsoumettait aux choix économiques et politiquesriches.Cette aide liée, tout comme le refus d’annles plus pauvres est un des grands thèmes du dé

nt l’Afrique de plein fouet et peu de s. Certaines maladies ont été endiguéespre) mais d’autres fléaux persistent a, le paludisme) et de nouveaux, encorepropagent de façon exponentielle. La

s maladies est sans nom, les orphelinss rues, avec pour les plus chanceux, unour veiller sur eux. Des pans entiers de laminés et condamnés. L’épidémie est uleur morale et physique, se pose aussidu renouvellement des élites et du

Afrique de demain a tant besoin.

Une dépendance extérieure trop forte

Durant la guerre froide on était accoutumé à voir les Antonov de l’armée sobarbudos cubains, les livraisons d’armes chinoises, les groupes de mercenaires des services secrets américains, les flottes américaines, russes et françaises s’inmer Rouge…A la fin de la guerre froide, avec la résolution de la plupart des conflits en Afriqul’impression que sont enfin soldés de vieux comptes et que le terrain est nettpolitiques pacifiques sur le modèle sud-africain.Or, les longues guerres de libération qui ont marqué la fin des colonies (en AnNamibie), se transforment en guerre civile, les guerres de libération nationale sl’indépendance, voire tournent à la boucherie comme en Erythrée face à l’asommet de l’horreur est atteint en 1994 avec le génocide au Rwanda et les Burundi tandis que les derniers soubresauts de la dictature de Mobutu au Zaïre f

20 PANNEAUX D’INFORMATION2 FILMS, 1 CD MUSICAL

DES ŒUVRES D’ART ET D’ARTISANATDES DOCUMENTS D’ANIMATION

(QUESTIONNAIRES, CONSEILS DE PRÉPARATION)UN LIVRET DE VISITE

COMPOSITION

10

compositionLES PANNEAUX

HistoireN° 5 : LES VIEILLES CIVILISATIONS

(Tchad, Zimbabwe, Mali).N° 6 : L’ESCLAVAGE.N° 7 : LA COLONISATION.

SociétéN° 8 : L’AFRIQUE DU SUD.N° 9 : LES RACINES DE LA SOUFFRANCE.

(Les principales causes des difficultés).N° 10 : AFRIQUES EN RENAISSANCE.

Vie quotidienneN° 11 : MOSAÏQUE AFRICAINE -LES ETHNIES.N° 12 : SOLIDARITÉ ET HOSPITALITÉ.N° 13 : RITES ET RELIGIONS.N° 14 : COMME UN ENFANT.

(L’enfant dans la société africaine).

CivilisationN° 15 : IMAGES D’UN PEUPLE, LES MASSAÏS.N° 16 : LA LONGUE HISTOIRE DES PYGMÉES.

CultureN° 17 : UNE MÉMOIRE VIVANTE - LES GRIOTS.N° 18 : MUSIQUES.N° 19 : LE RAYONNEMENT DE L’ART AFRICAIN.N° 20 : LA DIASPORA NOIRE.

(L’Afrique hors continent).

COMPOSITION

11

compositionLES FILMS

À PARTIR DE 7 ANS

KIPSI – durée 26 min.L’aventure de Kipsi permet à un public jeune

de comprendre les problèmes alimentaires d’unpays sahélien avec ses régions prospères et ses

zones arides, ses difficultés de communication et ses diverses cultures agricoles. Ce film joué s’appuie

sur un scénario léger et humoristique qui permet aussi de découvrir des coutumes et des modes de

vie d’Afrique.

À PARTIR DE 13 OU 14 ANS.BAMAKO LES FILS DE SOUNDJATA – Reportage 52 min.Les réalisateurs interrogent des habitants de Bamako sur la société malienne. Proposet témoignages révèlent les persistances des chocs entre tradition et modernismedans de nombreux domaines : la famille, la place des femmes, l’organisation du travail…

L’AMBIANCE MUSICALEUn CD audio de 90 min : rythmes, chants et danses traditionnelles d’Afrique.

Deux films DVD destinés à compléter ou illustrer les

thèmes développés dans les panneaux sont à votre disposi-

tion. Ils sont destinés à tous publics.

COMPOSITION

12

compositionLES ŒUVRES D’ART POPULAIRE

La tradition artisanale afri-caine est nourrie des savoirsancestraux et de leur rapportavec une symbolique religieuseet cosmologique. De nombreuxmotifs et techniques sont hérités degénérations d’artisans et révèlent unriche passé culturel.

LES BIJOUX

L’art de la parure est une des plus riches expressions de la culture africaine. Outre leur évidente fonction esthétique, les bijoux sont devéritables “décorations”, marquant le rang, le sexe,le statut matrimonial, le rôle social et politique, la fonction sociale ou religieuse, l’état de pureté ou le degré de bravoure, la période de la vie. Comme les costumes et les masques, les bijoux sont également part intégrante des rituels et des cultes.

COMPOSITION

13

compositionLES ŒUVRES D’ART POPULAIRE

LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE

Les tam-tams, souvent consti-tués d’un fût évidé recouvert

d’une peau de chèvre tannée àcet effet, se retrouvent partout sur le

continent, associés aux moments reli-gieux et aux moments de fête. Ils servent

de moyen de communication à travers labrousse, de village en village, mais aussi de

trait d’union avec le monde des ancêtres etdes esprits.

LES SCULPTURES

L’éventail des objets sculptés en bois ou en pierre esttrès large. La sculpture, avant d’être un art, est

d’abord nécessaire pour la réalisation des objets usuelsde toutes dimensions, de la pirogue à l’écuelle en bois. Le

savoir faire devient plus important quand l’objet a un rôle plusdécoratif ou culturel.

OBJETS EN PIERRE

Les objets sculptés dans la pierre sont très nombreux. La pierre à savon, abondante enAfrique de l’Est est recherchée par les artisans pour sa douceur à la taille.

OBJETS EN BOIS

Il peut s’agir d’objets usuels ou religieux. Des poupées de fécondité, par exemple, sontsculptées dans le but de favoriser la grossesse.Les masques, si célèbres en Afrique, n’ont pas la seule fonction décorative qu’on leurattribue en Occident. Représentant traditionnellement une puissance animale ou humaine, ils sont des objets sophistiqués du rituel à part entière.

Les sculpteurs sont souvent regroupés en coopératives, dans les bidonvilles ou dans lesvillages de brousse, l’atelier est en plein air. Ce sont les hommes qui sculptent.

Le creuset américainLe principal apport de la musique africaine est enregistré dÉtats-Unis. La communauté noire des esclaves y a diffupatrimoine originel de chansons, rythmes, tambours et peafricaines. Ces chants accompagnent le travail et la pesclaves ils expriment leur mal du pays et la misère qui les acfil des générations ils vont se répandre dans d’autres commu

d’accompagnement envahnnent les chansons et la m

en dérive), nourrissente le goorme chantée et dansée de soul, jazz et free-jazz, jazz-ration déborde peu à peu le c

communauté noire et celui

Dans les années 1950 - 1960, les musiques d’origine afrquasiment inconnues du grand public français. Pourtant methnologues s’intéressent à la musique des villages aréhabilitent la science musicale africaine, c’est du

États-Unis que changement.Toutdes États-Unis jazz, le rythm and bOn adapte poufrançais des américaines (lele jazz avec G(Gainsbourg peHenri Salvador mort ce soir)(L’amour sorciDibango évolue à Bruxelles danscongolais qui vdes merveillesKabasélé, IndCha-Cha) pour toutes les diaspo

LA MUSIQUE S’EXPATRIE

LE MONDE À L’HEURE DE L’AFRIQUE

DES RYTHMES “PRIMITIFS” EN EUROPE

COMPOSITION

14

compositionLES ŒUVRES D’ART POPULAIRE

LES BATIKS

Les centres de productiondes batiks africains sont trèsanciens. Originaire des civilisa-tions Yoruba, au sud du Nigeria,Sarakollé (ou Soninke) au Sénégal, latechnique s’étend au Kenya, à laSierra Leone, la Guinée, la Guinée-Bissau, la Gambie, le Mali et la Côted’Ivoire...Les batiks présentés sont à l’origine créés pardes ma îtres a rtisans. Ce rtains so nt trè s renommés, même au niveau international. La réalisation s e f ait dans un cadr e f amilial, l es thèmes évoquent très souvent la vie quotidienne, lesscènes de marché, les porteurs d’ eau, la chasse, lamusique, la danse… Ils sont traités dans un mode figuratifou stylisé.

Au fil de l’exposition, vous découvrirez également des tissus brodés, de petits instruments de musique ainsi que divers objets de décoration.Qu’il s’agisse de broderies alliant les techniques de couture apprises dans les écoles des missions et les modèles traditionnels inspirés de l’environnement, de marqueterie en bambou, de petites voitures façonnées dans du bois ou du fer derécupération, tous ces objets artisanaux sont réalisés dans des conditions précairesavec une inventivité et un talent certain. Ils sont proposés par une ONG de Madagascar, « Bazar Sans FrontièresSanté et Développement ».

LES ANIMATIONS

15

les animations autourde l’exposition

Créa Diffusion vous fournit,avec le dossier de presse, des

idées de recettes de cuisineafricaines faciles à réaliser. Des

spectacles de danse, des films ouconférences peuvent être associés

avec succès à l’exposition.

« Le CDI du collège a organisé une exposi-tion sur l’Afrique. Le point d’orgue fut la venue

d’un groupe de percussionnistes. »Extrait de presse - Courrier de l’Ouest

« L’hôpital au cœur de l’Afrique. De quoi occuper lesaprès-midi des pensionnaires qui ont également pu

participer à de multiples activités autour de ce thème… l’atelier pâtisserie et la dégustation de fruits exotiques ont

permis de faire connaissance avec les saveurs de l’Afrique etd’offrir aux enfants des écoles… des « congolais à la noix de coco » pour un joyeux goûter et mélange de générations. »

Extrait de presse - Le Dauphiné

« Repas africain à la MJC Dans le cadre de l’exposition « Au cœur de l’Afrique Noire », la MJC organise un repas typique. Après avoir visionné un film sur l’Afrique, onpourra déguster le menu suivant : punch kenyan, mousse aux avocats, tiep bou dienn. »

Extrait de presse - L’Indépendant.

LES ASPECTS PRATIQUES

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les aspects pratiquesRÉSERVATION / PUBLICITÉ

Tout est fait pour simplifierles différentes formalités.L’exposition est confiée « clés en main ». Nous vous donnonstous les éléments nécessaires pourla promotion de l’exposition.

1°) RÉSERVATION

2°) PUBLICITÉPour créer l’évènement dans votre ville un dossier depresse sur support numérique vous est envoyé gratuitement un mois et demi avant l’exposition ce qui vous permet :

• d’informer les médias, d’informer les établissements scolaires, de préparer l’animationavec les associations et les commerçants qui désirent s’associer à la manifestation(pose d’affiches dans les magasins, décoration des vitrines en rapport avec le thèmede l’exposition, envoi des invitations, préparation d’animations complémentaires...)

Un contrat est joint à la documentation complémentaire. Pour réserver l'exposition, ilvous suffit de renvoyer un exemplaire decontrat complété et signé après accord pré- alable sur les dates de réservation.

LES ASPECTS PRATIQUES

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les aspects pratiquesDOSSIER DE PRESSE

COMPOSITION DU DOSSIER DE PRESSE

LETTRES D’INFORMATION

• 1 modèle de lettre annonçant lamanifestation, elle est destinée à la

presse écrite et parlée et aux associa-tions (plus 2 photographies destinées à

la presse).• 1 modèle de lettre destinée aux établisse-

ments scolaires (avec plan de l’exposition, intérêt pédagogique).

DOSSIER PÉDAGOGIQUE : SPÉCIAL SCOLAIRE

• 1 jeu-questionnaire destiné aux scolaires permettantaux enseignants de préparer la visite de l’exposition.

• 1 corrigé du questionnaire.

AFFICHE ET CARTE D’INVITATION

UNE NOTICE D’INSTALLATION DE L’EXPOSITION

UN LIVRET DE VISITE

Un modèle d’affiche et un modèle de carte d’invitation vous sont fournis, leur version numérique vous permet de les

modifier et de les compléter à votre convenance.

3°) ASSURANCE

4°) TRANSPORTLa participation forfaitaire aux frais detransport aller/retour est mentionné dans le contrat ci-joint à la fin de la documentation.Vous n’aurez rien à régler au transporteur, ni à la réception, ni à la réexpédition, le transport serafacturé séparément.

Réception

Dans le cas où votre assurance ne couvre pas l’exposition, celle-ci peut être assurée par Créa Diffusion pour un montant forfaitaire mentionné dans le contrat ci-joint à la fin de la documentation.

: L’exposition vous sera livrée à domicile parun transporteur routier à l’adresse que vous indiquerez surle contrat, deux jours avant la date d’ouverture au public.Si vous souhaitez la recevoir plus tôt veuillez nous prévenir lorsde la réservation.

Réexpédition : L’exposition sera reprise à domicile par un transporteur routier. Nousvous téléphonerons dans la semaine qui précède le retour pour vous confirmer le passage du transporteur.

5°) MISE EN PLACE• Inventaire :Un inventaire accompagne l’exposition. Nous vous prions de bien vouloir effectuerun contrôle à la réception ainsi qu’à la réexpédition.

LES ASPECTS PRATIQUES

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les aspects pratiquesASSURANCE / TRANSPORT / MISE EN PLACE

LES ASPECTS PRATIQUES

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les aspects pratiquesMISE EN PLACE

• SALLE D’EXPOSITION ET INSTALLATION :Prévoir une moyenne de 50

mètres linéaires d’accrochagepour les panneaux d’information et

les objets de décoration murale (batiks). La fixation aux murs, cimaises,

panneaux ou grilles d’expositions, panneaux électoraux... peut se faire avec

des clous muraux, fils de nylon (fil de pêche),crochets.

Ne pas accrocher les panneaux trop haut, lesespacer d’environ 1m20 afin de faciliter la lecture

pour les enfants.Supports : L’artisanat est à disposer sur des supports

(tables...), prévoir environ 10 à 15 mètres linéaires.

• MATÉRIEL NÉCESSAIRE :Prévoir un lecteur CD et un lecteur DVD pour la diffusion

de la musique et des films.

• VISITE DE L’EXPOSITION :Les jeux - questionnaires mis à la disposition du public et des scolaires permettent une approche dynamique de l’exposition. Le livret de visite présente l’exposition de façon synthétique et donne des éléments d’information complémentaires pourguider le visiteur.

LES PARTENAIRES

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les partenaires

CETTE EXPOSITION A ÉTÉRÉALISÉE GRÂCE AU

CONCOURS :

de l’association Undugu (qui signifie « solidarité » en lan-gue Kiswahili). Créée en 1973 cette O.N.G du Kenya,dont l’objectif initial était de venir en aide aux enfantsdes rues a élargi son action à d’autres catégories de populations en difficulté. Elle met en place des programmesde formation dans le domaine de la santé, de l’éducation etde la formation professionnelle, notamment dans le secteur dela production artisanale.

de coopératives d’artisans.

des familles d’artisans du Sénégal et du Burkina Faso.

de Créa Diffusion, réalisateur de la partie culturelle et pédagogique, responsable de la gestion administrative et comptable de l'exposition.Conception : Danielle Lavidalie - Direction de la rédaction : Bernard Lavidalie - Conseil scientifique :Véronique Faure, chargée de recherche au Centre d'Etudes d'Afrique Noire deBordeaux - Graphisme et mise en page : Alban Saro - Photographies : Jean-Claude Garnier - Bernard Lavidalie - Ulrich Lebeuf - Photographies complémentaires : Véronique Faure- Patrick Veyssière - Équipe technique : Vincent Fourcade - Nourddine Mestaghat - ChristinePellerin - Christian Renouf.

de Bazar Sans Frontières Santé et Développement ». Cette ONG de Madagascar lutte contre la pauvreté en développant des programmes dans le domaine de l’aide sociale et de la formation, elle a mis en place des ateliers de formation et de production de produits artisanaux.

de tous les organismes partenaires depuis plusieurs années (mairies, centres culturels, biblio-thèques, offices de tourisme, maisons de retraite, centres de soins, associations, collèges, écoles...) qui nous ont encouragé et soutenu dans ce projet en nous renouvelant leur confiance.

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4 chemin de la garenne - 33620 MarsasTel : 05 57 58 58 00 - Fax : 05 57 64 80 54

CONTRAT DE RÉSERVATION EXPOSITION CULTURELLE ET ARTISANALE « AU CŒUR DE L’AFRIQUE NOIRE »

ENTRE LES SOUSSIGNÉS A) Créa Diffusion, représenté par Bernard Lavidalie 4 Chemin de la Garenne - 33620 Marsas B) Madame, Monsieur ………………………………………………………………………………………… Adresse ……………………………………………………………………………………………………… Agissant en qualité de ………………………………………………………………………………………. IL A ÉTÉ CONVENU ET ARRÊTÉ CE QUI SUIT L’exposition culturelle et artisanale « Au Cœur de l’Afrique Noire » est confiée du ………………………………. au ………………………………… à …………………………………….. Composition - Vingt panneaux d'information (photos, cartes, textes), - des œuvres d'art et d'artisanat : sculptures abstraites, bijoux massaïs, broderies, batiks, tableaux en fibres végétales et peintures illustrant les principaux thèmes de la vie africaine, masques rituels, instruments de musique... - deux films (une fiction, un documentaire), un CD d'ambiance musicale, un livret de visite, - un dossier de presse / dossier pédagogique (88 pages).

2 formules au choix : location ou prêt gratuit (cocher la case de votre choix)

☐ 1) en location (tarif dégressif selon durée) ☐ 290 euros ttc pour 9 jours d'exposition (livraison le jeudi, exposition 1 week-end + 5 jours + 1 week-end, retour le lundi ou le mardi suivant à votre convenance) ☐ 540 euros ttc pour 2 semaines + 1 week-end ☐ 780 euros ttc pour 3 semaines + 1 week-end ☐ 980 euros ttc pour 4 semaines + 1 week-end ☐ devis pour durée supérieure à 4 semaines (nous consulter)

☐ 2) en prêt gratuit Le contractant s’engage à présenter l’exposition de la meilleure manière possible, dans un lieu ouvert à tous les publics, sans droit d’entrée, après avoir effectué le maximum de publicité possible. Les œuvres présentées seront proposées à la vente au public. Un minimum de ventes de 350 € ttc est demandé. Ce chiffre est tout à fait réalisable avec un peu de publicité, si vous avez du public vous aurez des achats, de nombreux articles sont proposés à un prix très abordable. La durée de prêt ne peut excéder 2 semaines. Si le chiffre de 350 € n’est pas atteint, la différence sera facturée au contractant. De 350 € à 500 €, 10 % du montant des ventes sera réservé au contractant. Au-delà de 500 €, 15 % du montant des ventes sera réservé au contractant.

4 Chemin de la Garenne - 33620 Marsas - Tél. 05 57 58 58 00 - Fax 05 57 64 80 54 E-mail : expo@creadiffusion.com - Site : www.creadiffusion.com

Créa-Diffusion R.C.B. 339 405 011

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CONDITIONS GÉNÉRALES A) Publicité

Le contractant reçoit gratuitement un mois et demi avant l'exposition : - un dossier de presse (avec modèles de lettres d'information pour presse, scolaires ou centres de

vacances, associations…, carte d’invitation, affiche…) - un dossier pédagogique très complet avec des conseils pour les animateurs et les enseignants et des

jeux questionnaires adaptés aux différentes tranches d’âge des publics concernés. Le support numérique vous permet d’adapter les dossiers selon vos souhaits.

B) Transport

La participation forfaitaire du contractant aux frais de transport aller/retour est de 120 euros ttc pour la formule « location » et de 139 euros ttc pour la formule « prêt gratuit ». Le contractant n’aura rien à régler, ni à la réception, ni à la réexpédition. Le transport sera facturé séparément. Réception : l’exposition est livrée à domicile par transport routier. Réexpédition : l’exposition est reprise à domicile par transport routier. Créa Diffusion vous téléphone dans la semaine qui précède le retour pour vous confirmer le passage du transporteur.

C) Jour de livraison (exemple)

Pour un début d’exposition un samedi matin (avec possibilité de vernissage le vendredi soir), l’exposition vous est livrée le jeudi. Par sécurité la journée du vendredi est laissée en battement. Des modalités particulières de livraison peuvent être prévues sur demande.

D) Installation

L’exposition est mise en place par le contractant. Un inventaire détaillé et chiffré est joint à l’envoi et fait l’objet d’un contrôle à l’arrivée et au retour.

OPTION Assurance : le contractant prend en charge la responsabilité de l’assurance du matériel et des objets composant l’exposition. Dans le cas où l’assurance de l’organisme preneur ne couvre pas l’exposition, celle-ci peut être assurée par Créa Diffusion pour un montant forfaitaire de 68 euros ttc. Si vous choisissez cette option, cochez la case ci-contre : ☐ assurance CONDITIONS PARTICULIÈRES : .............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................. Fait à Marsas, le ……………………… Créa Diffusion, le responsable des expositions Le contractant Bernard Lavidalie

Merci de nous indiquer vos coordonnées :

Adresse e-mail : …………………………

Adresse de livraison de l’exposition : Adresse de facturation :

………………………………………………. ……………………………………………… ………………………………………………. ……………………………………………… ………………………………………………. ………………………………………………

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