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INFO 510 NELSONBOURG « Non au 19 mars » VOICI quelques articles de presse ou de donateurs retenus à votre attention : 1/ Le village de NELSONBOURG devenu SI-MAHDJOUB à l’indépendance Culminant à 906 mètres d’altitude NELSONBOURG est distant de MEDEA, à son Nord, de 28 Km et de BERROUAGHIA, à son Est, de 18 Km. MEDEA serait l'ancienne station romaine de MEDIX ou ad MEDIAS, ainsi appelée parce qu'elle était à égale distance de TIRINADI (BERROUAGHIA).

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INFO 510 NELSONBOURG

« Non au 19 mars »

VOICI quelques articles de presse ou de donateurs retenus à votre attention :

1/ Le village de NELSONBOURG devenu SI-MAHDJOUB à l’indépendance

Culminant à 906 mètres d’altitude NELSONBOURG est distant de MEDEA, à son Nord, de 28 Km et de BERROUAGHIA, à son

Est, de 18 Km.

MEDEA serait l'ancienne station romaine de MEDIX ou ad MEDIAS, ainsi appelée parce qu'elle était à égale distance de TIRINADI (BERROUAGHIA).

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MEDEA, petite ville d'Algérie située à 88 Km au Sud d'ALGER, sur les hauts plateaux qui ferment la vallée de la MITIDJA, était

la capitale du TITTERI ; un bey, adjoint du Dey d'Alger, y résidait. À l'arrivée des Français en 1830, le Bey de MEDEA était le frère de l'Emir ABD-EL-KADER. En 1837, après le traité de la TAFNA, ABD-EL-KADER en fit une de ses capitales.

Présence française 1830 - 1962

Extrait du site : Alger-roi – auteur Georges BOUCHET

C’est le dernier village de la bande des quatre : BEN CHICAO – CHAMPLAIN – LOVERDO – de la commune mixte de

BERROUAGHIA. AÏN TSARES est le nom du lieu-dit où NELSONBOURG fut implanté

Les quatre villages de colonisation de la Commune Mixte de BERROUAGHIA

BERROUAGHIA

Ce sont à 13 km, BEN CHICAO ; à 15 Km LOVERDO ; à 18 Km NELSONBOURG ; à 29 Km CHAMPLAIN.

BEN CHICAO LOVERDO

Ces quatre villages ont quelques points communs. Ce sont des localités de moyenne montagne bénéficiant d’un climat à hivers froids et de terroirs propices à une viticulture de qualité. Malgré leur taille modeste ces villages ont connu une prospérité relative grâce à leurs vins VDQS qui préservaient leurs colons de crises récurrentes de surproduction et de mévente des vins de table. Prospérité relative car tous les colons n’ont pas réussi pareillement et en 1954 il y vivait moins d’Européens qu’au début :

-77 à NELSONBOURG sur 3.125 habitants, -101 à CHAMPLAIN sur 2.570 habitants, -136 à BEN CHICAO sur 2.057 habitants, -170 à LOVERDO sur 7.126 habitants.

Il existait une cave coopérative dans chacun de ces quatre villages. Leur terroir a été presque entièrement défriché. Des forêts ou des broussailles originelles il n’existait plus après 1945 que des lambeaux sur des sommets ; et encore pas sur tous. Ils ont aussi en commun un village centre pas vraiment conforme au plan en damier carré habituel avec place centrale. Ce sont quasiment des villages rues allongés le long ou en bordure de la route départementale ou nationale qui les traverse.

Ces villages sont devenus chefs-lieux de Commune de Plein Exercice en 1947 et de S.A.S. en 1956.

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Ferme FOULON au col de BEN CHICAO, au milieu des vignes

NELSONBOURG est le nom donné par la France au bout de deux ou trois ans. Cette terminaison en bourg est bien

inhabituelle pour un village d’agriculteurs. Evidemment l’Amiral NELSON n’a strictement rien à voir avec ce toponyme. C’est la première partie d’un algérois, né en 1847 et qui fit une belle carrière dans l’administration et dans la banque. En 1907 il avait 60 ans : il était Préfet honoraire (il avait été préfet du département d’’ALGER) et ancien directeur de la banque d’Algérie. Il était à la retraite, mais avait conservé le goût d’entreprendre.

Son nom est Félix NELSON-CHIERICO (les habitants d’Alger ont bien connu le square NELSON. C’est pour lui…). Cette vieille famille algéroise possédait des terrains, longeant la côte à l’Ouest du port d’ALGER. C’est à cet endroit que furent construits les immeubles bordant les rues Lazergues, Borélie la Sapie et Eugène Robe.

Square NELSON à ALGER

Selon Madame Nelly REY : « Depuis ma plus tendre enfance, on disait que ce nom de village était relié à NELSON-CHIERICO,

un banquier d’Alger. En fait, il s’avère que NELSON-CHIERICO était préfet honoraire, directeur général de la banque d’Algérie, trésorier payeur de l’Algérie. Au cimetière de St-Eugène à Alger, carré 3E CAP N° 1700, se trouve Félix NELSON-CHIERICO (demandeur de concession à AÏN TSARES, commune mixte de BERROUAGHIA), AÏN TSARES devient NELSONBOURG le 29 mars 1908 (dossier 4M/343, Alger aux A.O.M. d’AIX en PROVENCE). Rattaché alors à la commune de MEDEA, située à 40 km, puis passera à la commune de BERROUAGHIA en 1922. Mon père, Jean DURAND, en fut conseiller municipal, adjoint spécial, maire. Durant 18 ans 6 mois (Médaille d’argent et d’honneur par le ministre Roger Frey en 1961) ». Il n’est pas impossible qu’il ait participé au projet de la création du village, ne serait-ce qu’en y achetant une concession. Auquel cas il ne s’y serait pas intéressé longtemps car en 1915 il entreprend la mise en exploitation du gisement de pétrole

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de l’Oued GUETERINI. Toujours est-il, que pour nommer le nouveau village, NELSONBOURG sonnait mieux aux oreilles

françaises de l’époque que NELSON-CHIERICO. La raison, pour laquelle on tenait tant à associer ce nom au village, est ignorée.

La commune de NELSONBOURG occupe le territoire de la tribu des RHIGAS

Mairie

Un avant-projet de création d’un centre de colonisation était établi dès 1896 au lieu-dit TSARES. Le 15 juin 1907 commencent les travaux de voirie vers la colline d’AÏN-TSARES. En 1910 est signé le décret de création du nouveau centre de colonisation. En 1911, le 18 février, arrivent les colons : 15 familles dont 13 ‘’d’immigrants’’. Ce village était apparu postérieurement au décret du 13septembre 1904, ces colons ont dû acheter leur concession. Les lots étaient vastes : 70 hectares par famille, comprenant : un lot à bâtir, un lot pour le jardin et un lot de culture à proximité du centre.

Ils avaient donc les moyens de mettre en valeur leurs terres ; c'est-à-dire de planter des vignes.

En 1922, le village qui dépendait de MEDEA, est rattaché à la Commune Mixte de BERROUAGHIA.

En 1947, le 1er

octobre, il est promu chef lieu de Commune de Plein Exercice avec une superficie de 9.500 hectares.

En 1952 une nouvelle mairie est inaugurée le même jour que celle de LOVERDO, le 4 novembre, par une pléiade de personnalités politiques et religieuses. Les politiques sont notamment le Président de l’Assemblée (LAQUIERE), le Président du Conseil Général (FARES) déjà rencontrés à BERROUAGHIA, le Préfet d’ALGER (TREMAUD) et les maires des treize communes du TITTERI ; le maire venu de plus loin étant celui de LETOURNEUX.

Les trois religions monothéistes étaient également représentées.

A peu près 80 Européens devaient, à cette date, vivre dans la commune : une douzaine de familles de colons propriétaires, trois gérants, un hôtelier-cafetier et des fonctionnaires.

Le cadre naturel est franchement montagneux, entre 800 et 1.000 mètres d’altitude. Le climat y est très favorable à la vigne. Les vins y étaient de qualité supérieure. Le relief est marqué par l’encaissement profond de 300 mètres de l’Oued qui se jette au Sud dans la vallée de l’oued SAHARI, tributaire du CHELIF.

Le village a été construit sur un dos de terrain dominant cette vallée. Il a l’aspect d’un village-rue, tout en longueur comme BEN CHICAO situé 18 Km plus à l’Est. Il faut ajouter que cette localité avait aussi deux rues parallèles à la route, avec de belles maisons à étage qui s’expliquent, et par la date tardive de la fondation du centre, et par le mode d’attribution des lots qui avait sélectionné des familles aisées, et par la taille des lots. Cette image est celle d’un village qui paraît prospère. Les arbres y sont nombreux derrière les maisons. La végétation naturelle était forestière.

Un service d’autocar reliait une fois par jour, dans chaque sens, le village à la gare dite de BEN CHICAO, mais qui est assez loin du village du même nom

Le chiffre de cette population à son maximum fut de 115 personnes. Il était, en 1959, tombé à 34 personnes.

En dehors du village de NELSONBOURG, la population européenne habitait en partie avant 1955, dans des fermes éloignées et dispersées. Elle est actuellement entièrement regroupée au village. Cette population vit de l’agriculture (8 propriétaires possédant au moins 70 ha chacun et 2 propriétaires possédant 100 ha en 1958). On comptait aussi 3 gérants, un commerçant et un fonctionnaire communal.

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Climat méditerranéen avec été chaud

Ressources : vignes et céréales.

Démographie

103 européens en 1937.

97 européens en 1948.

77 non-musulmans en 1954.

63 non-musulmans en 1960 sur une population de 2.849 habitants.

Département

Le département de MEDEA fut un département français d'Algérie entre 1957 et 1962.

Considérée depuis le 4 mars 1848 comme partie intégrante du territoire français, l'Algérie fut organisée administrativement de la même manière que la métropole. C'est ainsi que pendant une centaine d'années, la ville de MEDEA, fut une sous-préfecture du département d'ALGER, et ce jusqu'au 20 mai 1957. À cette date ledit département est amputé de sa partie méridionale, afin de répondre à l'accroissement important de la population algérienne au cours des années écoulées.

Le département de MEDEA fut donc créé à cette date, et couvrait une superficie de 50 331 km2 sur laquelle résidaient 621.013

habitants et possédait cinq sous-préfectures : AUMALE, BOGHARI, BOU-SAÂDA, PAUL CAZELLES et TABLAT.

En 1958, un arrondissement supplémentaire lui est rattaché, celui de DJELFA, constitué du territoire de la commune mixte éponyme, et les arrondissements d'AUMALE, de BOU-SAÂDA et de TABLAT en sont distraits pour constituer l'éphémère département d'AUMALE.

L’arrondissement de MEDEA comprenait 11 localités : BEN CHICAO – BERROUAGHIA – BORELY LA SAPIE – BRAZZA –

CHAMPLAIN – DAMIETTE – EDMOND DAUDET – LODI – LOVERDO – MEDEA – NELSONBOURG -

MONUMENT AUX MORTS

MEDEA était initialement le lieu de rattachement de la commune de NELSONBOURG créé en 1910.

Le relevé n° 54649 mentionne 108 noms de soldats ‘’Mort pour la France’’ au titre de la guerre 1914/1918, mais aucun natif de

notre village n’y est inscrit.

SYNTHESE réalisée grâce aux sites ci-dessous :

ET si vous souhaitez en savoir plus sur NELSONBOURG, cliquez SVP au choix sur l’un de ces liens :

http://encyclopedie-afn.org/Nelsonbourg_-_Ville

http://fr.geneawiki.com/index.php/Alg%C3%A9rie_-_Nelsonbourg

http://alger-roi.fr/Alger/titteri/textes/20_titteri_ben_chicao.htm

http://www.titteri.org/

http://alger-roi.fr/Alger/alger_son_histoire/pages_liees/changement_noms3_pn69.htm

http://users.antrasite.be/ppoisse/Documents/medea.htm

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https://sites.google.com/site/4ertenalgeriede1958a1962/berrouhagha

http://www.algerie-francaise.org/plaintes/plainte2/partie12.shtml

Année 2008 = 8 397 habitants

2/ Différenciation entre le FLN et le courant Messaliste - 21ème

Episode

-1er Episode = Présentation (INFO 489),

-2ème

Episode = Au marge d’un récit déterministe (INFO 490) -3

ème Episode = La progressive réappropriation historienne (INFO 491 - 492)

-4ème

Episode= La Crise du MTLD 2ère

partie (INFO 493) -5

ème Episode= Les préparatifs des Messalistes et des Activistes (INFO 494),

-6ème

Episode= Suite…(INFO 495), -7

ème Episode= Suite...(INFO 496),

-8ème

Episode= La confusion des lendemains du premier novembre (INFO 497) -9

ème Episode= Suite de la ‘’ Confusion des lendemains du 1

er Novembre…’’ (INFO 498)

-10ème

Episode= Suite de la Confusion des lendemains du 1er novembre (INFO 499)

-11ème

Episode= Au CAIRE et dans les maquis, contacts et tentatives de conciliation (INFO 500)

-12ème

Episode= Au CAIRE et dans les maquis, contacts et tentatives de conciliation…… Suite (INFO 501)

-13ème

Episode= Premières ruptures – Premiers affrontements (INFO 502)

-14ème

Episode = Premières ruptures – Premiers affrontements, suite (INFO 503)

-15ème

Episode = Premières ruptures – Premiers affrontements, suite(INFO 504)

-16ème

Episode = La différenciation des choix politiques (INFO 505)

-17ème

Episode = La différenciation des choix politiques- Suite…(INFO 506)

-18ème

Episode = La différenciation des choix politiques- Suite…(INFO 507)

-19ème

Episode = La différenciation des choix politiques- Suite…(INFO 508)

-20ème

Episode = La différenciation des choix politiques- Suite…(INFO 509)

21ème

EPISODE : La différenciation des choix politiques- Suite…

Toutes les divergences pouvant exister allaient néanmoins se concentrer en une seule, la plus spectaculaire : la

recherche effrénée d’apparaître à tout prix comme la seule organisation représentative. Selon Mohammed MAROC, ancien

membre du bureau politique du MNA, cité par M. HARBI : « Jusqu’en avril 1956, l’intransigeance est du côté du MNA. Après

cette date le FLN lui rendra la monnaie de la pièce ». Il est un fait que l’organisation messaliste, trop sûre de ses traditions, de

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son implantation, de son histoire, a d’abord ignoré le FLN et l’a ensuite sous-estimé. Elle oublia une leçon essentielle de sa

propre histoire, celle de la période héroïque des années 1935 – 1940 : tout ce qui a été conquis doit être reconquérir. Dans le

même temps, le FLN eut « l’audace » de jeter l’exclusive contre tout groupement virtuellement concurrent, en particulier le

MNA. Il définissait ses objectifs d’une façon « irréversible ».

Dès le mois de juin 1955, brisant le projet de BEN BELLA qui voulait faire du FLN une organisation des anciens de l’O.S.,

ABANE définissait le Front comme un « vaste rassemblement national ». Dès cette époque, il ne permit plus que le MNA se

présentât à l’opinion comme un des initiateurs de l’insurrection. En juin 1955, lors d’une première rencontre entre les

responsables du Front et de F. ABBAS, ce dernier posa une question : « Je pars bientôt à Paris. M’autorisez-vous à contacter

les responsables français pour une éventuelle négociation en vue d’arrêter les tueries ? ». ABANE répondit à F. ABBAS :

« Vous avez notre accord à la condition que la négociation passe par le FLN ». En posant ainsi son existence comme une

condition préalable, le FLN qui avait tout à conquérir et nul acquis à préserver, s’obligeait lui-même à une politique du tout ou

rien.

F.ABBAS (1899/1985) ABANE RAMDANE (1920/1957) http://fr.wikipedia.org/wiki/Ferhat_Abbas http://fr.wikipedia.org/wiki/Ramdane_Abane

Ses objectifs étaient sans alternative et sans recours. Une fois posé ce programme, de deux choses l’une : ou bien les faits

devaient s’y plier jusqu’à s’y conformer et la lutte durerait autant de temps qu’il le faudrait pour en arriver là, ou bien le FLN

disparaissait. A la lecture des documents consacrés au MNA lors du Congrès de la SOUMMAM, on pouvait pressentir le

caractère implacable que revêtirait le déroulement du combat entre les deux mouvements. On y lisait notamment, à propos

de MESSALI : « La psychologie de MESSALI s’apparente à la conviction insensée du coq de la fable qui ne se contente pas

de constater l’aurore, mais proclame qu’il fait lever le soleil…Le soleil se lève sans que le coq y soit pour quelque chose,

comme la révolution algérienne triomphe sans que MESSALI y ait aucun mérite…MESSALI représente, en raison de son

orgueil et de son manque de scrupules, l’instrument parfait pour la politique impérialiste. Ce n’est donc pas par hasard que

Jacques SOUSTELLE pouvait affirmer en novembre 1955 : MESSALI est ma dernière carte ».

J.SOUSTELLE (1912/1990) La SOUMMAM

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Soustelle http://fr.wikipedia.org/wiki/Congr%C3%A8s_de_la_Soummam

Au sujet de la fameuse phrase, « MESSALI est ma dernière carte », citons le témoignage de Daniel GUERIN : « Je crus devoir

réfuter entre autres, la calomnie selon laquelle, le Gouverneur Général Jacques SOUSTELLE aurait confié, en novembre 1955

à Louis MASSIGNON, ‘’MESSALI est ma dernière carte’’. MASSIGNON, consulté alors qu’il se trouvait au CAIRE avait, par

deux fois démenti avec indignation ce propos empoisonné. Il écrivit d’abord à France Observateur pour s’élever contre ‘’la

citation incorrecte des JEANSON’’ qui, disait-il ‘’risque en déformant ma pensée de faire nuire à un homme qui est patriote et

un croyant convaincu’’ ».

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Louis MASSIGNON (1883/1962) Francis JEANSON (1922/2009

http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Massignon http://fr.wikipedia.org/wiki/Francis_Jeanson

Quatre mois plus tard en novembre 1956, dans une circulaire privée adressée à des amis, il protesta contre « le texte odieux

publié en mon absence et sans m’en avoir prévenu, par Colette et François JEANSON ».

Pourtant ‘’ce texte odieux’’, selon les dires de Louis MASSIGNON, le FLN n’hésita pas à le reprendre et à lui accorder une

place d’honneur dans une brochure de propagande anti-messaliste parue en 1959. La confrontation meurtrière entre les deux

organisations, à ce moment là, tournait en faveur du FLN, en passe de devenir, enfin, ‘’le seul interlocuteur valable’’.

A suivre : Conclusion….

3/ L’enseignement indigène 1832 – 1962 - Auteur Eliaou Gaston GUEDJ

« On façonne les plantes par la culture et les hommes par l’Education…Tout ce que nous n’avons pas à notre naissance et

dont nous avons besoin généralement est donné par l’Education. Cette Education nous vient de la nature, des hommes et

des choses… » Emile ROUSSEAU.

Depuis la proclamation des lois sur l’obligation scolaire, jamais la France n’a connu un taux d’illettrisme aussi important

qu’aujourd’hui. Il n’est pas un responsable de l’éducation qui ne constate les carences de notre système d’éducation et

recherche des solutions, mais on oublie les lois premières, l’Education que nous recevons dans la famille. Cette première

éducation nous prépare naturellement à être des citoyens. Ainsi, « chaque famille particulière doit être gouvernée sur le plan

de la grande famille qu’est la Nation » (MONTESQUIEU). Il nous apparaît évident que le système éducatif national doit être en

harmonie avec le système d’éducation familial. La cause la plus profonde de la désintégration du système éducatif national

est la présence non négligeable d’une population scolaire qui reçoit à l’école une éducation s’opposant au système

d’éducation familiale.

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Il me semble donc illusoire aujourd’hui d’espérer résoudre le problème actuel de notre système éducatif, si l’on veut

continuer à ignorer les réalités éducatives familiales de cette population immigrée. C’est pourquoi, il me paraît intéressant

d’étudier aujourd’hui l’expérience pédagogique spécifique entreprise à l’intention des Indigènes en Algérie au cours de la

période coloniale. La réussite incontestée de cet enseignement spécifique pourrait peut être servir d’exemple….

…Lorsque la France débarque à ALGER le 5 juillet 1830, le problème de la communication avec la population indigène s’est

immédiatement posé. Deux solutions s’imposent : Apprendre la langue locale ou apprendre aux indigènes le français.

Apprendre la langue locale présente certes l’avantage d’entrer rapidement en communication avec la population autochtone.

Cette solution donne l’illusion à l’enseignant d’aller vers eux, à qui il est censé prodiguer son enseignement. Cet objectif

ayant montré rapidement ses limites, on se décide dès 1832 à ouvrir les portes des écoles françaises ouvertes pour les

enfants des colons à la population indigène d’Algérie.

Comme aujourd’hui dans nos banlieues, les contradictions entre l’éducation locale et familiale et l’enseignement que l’in

propose dans les écoles françaises apparaissent si criantes que l’on comprend vite la cause du désintérêt de la population

scolaire indigène dans nos écoles : le décalage entre les objectifs de l’éducation familiale et ceux de l’éducation sociale.

C’est alors que l’on se décide à envisager d’autres solutions. Ce sera la création d’un enseignement spécifique dénommé

« l’enseignement des indigènes en Algérie ».

Cet enseignement des Indigènes en Algérie a établi ses objectifs et ses méthodes pédagogiques en raison de la situation

économique sociale et scolaire du pays à partir de l’école normale de la BOUZAREA….

Cliquez SVP sur ce lien pour lire la suite : http://cagrenoble.fr/ecoles/enseignement.pdf

Et sur le même sujet : http://www.constantine-ecoles-normales.com/saurier.html

4/ Les Unités Territoriales (U.T.) – Auteur Michel SAPIN LIGNIERES -

L’Algérie, et c’est une des curiosités de son destin, n’a connu l’approbation unanime de l’opinion publique métropolitaine

que dans les périodes où elle prodigua son sang. Zouaves et Turcos de SOLFERINO ou de FROESCHWILLER, le 19ème

corps

d’armée pendant la grande épreuve de 1914/1918 et, plus près de nous, les « Africains » de la campagne d’Italie et de la

Libération de la France, tous connurent l’accueil enthousiaste des Français et entendirent de chaudes paroles –

reconnaissance…, sacrifice inoubliable…- auxquelles ils crurent.

Et pourtant, il est non moins constant que, dans les périodes difficiles, l’Algérie a toujours rencontré l’hostilité d’une

importante fraction de l’opinion métropolitaine. Orléanistes en 1830, républicains en 1871, partis de gauche de 1956 à 1962 en

fournissent de navrants et permanents exemples. La plus élémentaire manifestation de cette hostilité fut de refuser au

commandement en Algérie, qu’il fût civil ou militaire, les crédits et les troupes indispensables à la mission dont il était

chargé. Aussi fut-il souvent contraint de demander à la population les effectifs que lui refusait le pouvoir central

Bertrand CLAUZEL (1772 /1842) Anne-Jean-Marie SAVARY, duc de ROVIGO (1774/1833)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Clauzel http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Jean_Marie_Ren%C3%A9_Savary

Le premier qui eut recours à cette solution fut le général CLAUZEL, et ce, dès décembre 1830, cinq mois après la prise

d’ALGER. A peine de retour de l’expédition qui venait de conquérir MEDEA et d’y installer Mostefa Ben OMAR comme bey du

TITTERI, il reçut l’ordre de renvoyer en métropole la majeure partie des régiments du corps expéditionnaire. Certes, les

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zouaves – corps alors indigènes – existaient déjà mais ce n’était qu’un mince bataillon et les zouaves à cheval, nos futurs

Chasseurs d’Afrique, n’étaient que trente. Le général CLAUZEL eut alors l’idée de créer une milice avec la population civile

d’ALGER, non point à l’imitation de la Garde nationale, qui, en France, dépendait du ministre de l’Intérieur et avait surtout in

rôle de défense du régime, mais bien davantage à l’image des milices coloniales qui, aux Antilles, par exemple, avaient joué

un rôle essentiel dans la défense des îles.

Médéa au 19e siècle

Tous les habitants d’ALGER, français, étrangers, maures et juifs, devaient y servir et se rassembler en armes chaque fois que

la ville serait menacée et que, à défaut de tocsin, le canon tonnerait.

Mais cette première milice ne pouvait valoir que ce que valait la population civile d’alors. Nous n’étions à ALGER que depuis

cinq mois. Les Maures étaient dans une expectative dédaigneuse, les Juifs n’avaient pas encore osé prendre les armes et la

population française ou étrangère n’était guère composée que de cabaretiers et de boutiquiers – que nos soldats appelaient

« mercantis », le mot aura une longue et péjorative carrière – qui étaient plus occupés à ficeler leurs pauvres paquets et à

chercher à s’embarquer qu’à combattre.

On sait l’hostilité pour l’Algérie de cette opposition qui venait de renverser Charles X et mettre LOUIS-PHILIPPE à sa place ;

aussi tous étaient-ils convaincus du prochain départ de toute l’armée.

Dans ces conditions, la mise sur pied de la « milice africaine », qui fut ordonnée le 24 décembre 1830, était vouée à l’échec et

un malheureux essai d’élection des gradés ne servit à rien d’autre qu’à la mieux discréditer.

L’idée ne tardera pas cependant à être reprise. La situation s’étant un peu améliorée et la population civile ayant augmenté, le

général SAVARY, duc de ROVIGO, put, le 21 septembre 1832, en appelant seulement les Français, constituer quatre

compagnies de cent hommes et un peloton de trente miliciens à cheval.

Hors des murs

A chaque alerte, on courait aux remparts et on en défendait les accès contre les razzieurs audacieux qui voulaient profiter de

ce que la garnison faisait colonne hors de la ville.

Un jour entre autres, le 17 octobre 1835, le général RAPATEL, commandant d’armes d’ALGER, repoussa une attaque, puis,

prenant la tête de deux escadrons de Chasseurs d’Afrique et du peloton des milices africaines, poursuivit les fuyards

largement hors des murs. Ceux-ci se reformèrent derrière Sidi M’BAREK Mahieddine es-Seghir, khalifa d’ABD EL KADER à

MILIANA, venu avec ses réguliers tâter nos défenses. Malgré son infériorité numérique, le général RAPATEL fit sonner la

charge, nos cavaliers culbutèrent les troupes de Sidi M’BAREK et le peloton des milices africaines s’empara d’un drapeau.

Nommé une deuxième fois au commandement de l’Algérie, le maréchal CLAUZEL réorganisa la milice africaine en y

incorporant tous les Européens de 20 à 50 ans et, en 1846, ce fut une force sérieuse – deux bataillons, un escadron et une

demi-batterie d’artillerie – qui participa aux opérations qui permirent au général BUGEAUD de dégager toute la MITIDJA.

La guerre révolutionnaire que nous subissons ouvertement depuis 1954, mais en réalité depuis près de trente ans par les

lents efforts souterrains des extrémistes pour détacher de nous les Musulmans, avait abouti, en 1956, à un pourrissement

créant une situation difficile à laquelle le gouvernement Guy MOLLET entreprit de faire face, notamment en donnant à Robert

LACOSTE, ministre résident à ALGER, des pouvoirs très étendus.

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Guy MOLLET (1905/1975) Robert LACOSTE (1898/1989)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Mollet http://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Lacoste

Le premier problème était militaire. La guerre révolutionnaire est, en effet, une considérable mangeuse d’effectifs. Pour

pacifier, il faut obtenir la confiance de la population, la délivrer de la peur.

Restaurer cette confiance implique deux impératifs. D’une part, réunir des effectifs nombreux pour rassurer partout la

population et lui apporter la protection dont elle a besoin et, d’autre part, faire se créer entre elle et l’armée une sympathie et

une mutuelle compréhension qui seront le véritable barrage contre la subversion.

Si, pour le premier point, la solution était entre les mains de Guy MOLLET, qui, dès 1956, fit envoyer en Algérie une partie du

contingent et rappeler les « disponibles », pour le deuxième, la solution en revint à Robert LACOSTE, qui réinventa les

milices africaines sous le nom « d’unités territoriales ».

En fait, la ressemblance entre milices africaines et unités territoriales se limite à cette continuité historique, car les rôles

furent profondément différents. Les milices africaines agissaient un peu comme des pompiers de village, courant au feu et

reprenant leur vie journalière dès l’incendie éteint. Les Français d’Algérie rappelés dans la territoriale eurent au contraire une

mission durable. Groupés en bataillons dont les P.C. étaient proches de leurs domiciles, les « U.T. », s’ils étaient mobilisés

en permanence, n’étaient appelés à fournir un service actif que quelques jours par semaine, deux en moyenne. Conservant

chez eux leur uniforme – sommaire – ceux qui venaient prendre leur tour de garde trouvaient aux P.C. de leurs unités armes

et équipements et, leurs 24 heures terminées, remettaient ces armes aux suivants.

La chasse aux paquets…..

A suivre….

5/ « L’Islam fait partie de la France depuis la colonisation de l’Algérie »

Il est une voix dissonante dans le concert de polémiques sur l’islam et la France. Patrick WEIL, historien et directeur de recherche au CNRS, appelle les Français à assumer que « l’Islam fait partie de la France. » Invité de France Inter, il répondait à une question du présentateur sur les propos de la chancelière allemande Angela MERKEL, laquelle a répété il y a quelques jours que « l’Islam fait partie de l’Allemagne ».

« Les autorités françaises devraient dire les faits, a réagi Patrick WEIL. L’Islam fait partie de la France depuis qu’en 1848 on a déclaré que l’Algérie était française. L’un des problèmes que nous avons, c’est que nous n’assumons pas le fait que l’Islam était part de la France bien avant l’Allemagne, depuis 1848. »

Alors que le journaliste lui demandait si la rupture venait de la Guerre de 54-62, l’historien a insisté : « Non justement pas, je n’ai pas parlé de la guerre, j’ai parlé de 1848, de l’intégration. »

Le spécialiste français des questions de citoyenneté et d’immigration a aussi expliqué que la France a « quatre catégories de compatriotes qui viennent d’Algérie et qui ont encore une partie de leur cœur en Algérie », en désignant les pieds noirs, les juifs algériens, les harkis et les moudjahidine, « ceux qui ont combattu pour l’indépendance. »

« Il faut aussi que cette histoire soit intégrée dans notre histoire (française ndlr) parce que c’est aussi notre histoire » a insisté Patrick WEIL.

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Revoir Patrick WEIL sur France Inter (à partir de 6’43) Cliquez SVP sur ce lien : http://www.tsa-algerie.com/2015/02/04/video-lislam-fait-partie-de-la-france-depuis-la-colonisation-de-lalgerie/

NDLR : Toutes les religions étaient alors respectées en Algérie Française ; ce n’est plus le cas. Avoir maintenant une bible en

main à Alger c’est condamnable pour prosélytisme ! Mettre de nos jours sur le même rang, en France, fellaghas et patriotes

français de toutes confessions me parait irraisonnable. Lorsque l’on souhaite l’indépendance de son pays et après l’avoir

obtenue, il faut se mettre en adéquation avec son idéal. Il n’est pas alors nécessaire de s’accrocher aux avantages sociaux

du vil colonisateur souvent comparé par le FLN à Alger, d’avoir appliqué des méthodes « nazis ». Etant bien entendu leurs

exactions furent ‘’nobles et humaines’’ comme à MELOUZA, au MILK Bar, EL HALIA ou AÏN ABID ; pour ne citer que celles-ci.

http://www.liberte-algerie.com/dilem/dilem-du-05-f%C3%A9vrier-2015

6/ Eric ZEMMOUR à NICE : « Le vivre ensemble n’existe plus »

http://www.nicematin.com/nice/eric-zemmour-a-nice-le-vivre-ensemble-nexiste-plus.2090387.html

Qu'on l'aime ou pas, on ne peut nier trois évidences : Éric ZEMMOUR vend des livres. Il remplit des salles. Et il sait tenir un auditoire en haleine.

Ce mardi après-midi, à Nice, plusieurs dizaines de personnes sont restées sur le trottoir, le Centre universitaire méditerranéen étant trop petit pour contenir tous ceux qui souhaitaient écouter l'auteur du Suicide français, ovationné à son arrivée.

Interrogé par le journaliste Patrice ZEHR, ZEMMOUR l'a, d'entrée, confirmé : s'il avait écrit son livre après les attentats de janvier, il n'en aurait pas changé un mot. «La messe était dite depuis longtemps. Nous avons assisté à l'émergence d'un peuple dans le peuple, avec son dieu, sa culture, l'halalisation des quartiers…»

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Et de dénoncer ce triple travail de «déconstruction, dérision et finalement destruction de la nation», à l'œuvre ces quarante dernières années, qui constitue la trame de son ouvrage.

Ce leurre d'une laïcité qu'il perçoit comme une autolimitation de l'État, là où l'assimilation - selon le précepte «A Rome, fais comme les Romains» - a totalement échoué à ses yeux.

Des mots factices

«Nous avons poussé l'adoration de l'autre jusqu'à la détestation de nous-mêmes», a-t-il admonesté, mettant l'accent sur des mots en trompe-l'œil : «L'effet Charlie a été une formidable opération de communication du pouvoir en place et c'est au fond assez logique. Quand le peuple a peur, il se réfugie auprès du monarque républicain. Quant au vivre ensemble, on invente des mots quand la réalité n'existe plus. Nous n'avons plus de culture commune, les mots ne sont plus que des attrape-couillons. Ils servent au contraire à effacer la réalité. Nous sommes dans une guerre idéologique.»

Éric ZEMMOUR en serait presque admiratif : «L'idéologie laxiste dominante qui a conduit aux attentats a réussi à retomber sur ses pattes et à faire croire que le plus grand danger serait l'amalgame.»

Le polémiste, dans la même veine, a dénoncé une perversion du débat : «On ne me dit pas "vous avez tort", on me dit "vous êtes méchant".»

Interrogé sur sa misogynie supposée, il a argumenté : «J'ai simplement souligné que notre société a détruit le patriarcat. Et en supprimant la loi du père, on est tombé dans le caprice permanent, la dictature du bonheur née de la féminisation de la société. Entre l'individu-roi et l'univers, plus rien n'existe désormais.»

Regrettant enfin «une Europe de pouvoirs oligarchiques qui organisent le continent sans tenir compte des peuples », ZEMMOUR a conclu sur une note nuancée : «La raison me fait penser que les gaules sont pliées. Mais on s'est remis de 1870, de 1940, alors j'espère…»

Et aussi sur le même sujet : http://www.lepoint.fr/societe/charlie-hebdo-eric-zemmour-s-exprime-sur-la-vague-d-attentats-04-02-2015-

1902419_23.php

7/ Rassemblement pour le respect des droits des étudiants algériens en France

Appel à la mobilisation de l’UEAF et de l’UNEF, soutenues par la CGT et la maison des potes, pour le retour du changement

de statut pour les étudiants algériens dans la préfecture du 93 et exiger la fin de l’arbitraire contre les étudiants étrangers….

Cliquez SVP sur ce lien : http://www.lematindz.net/news/16477-rassemblement-pour-le-respect-des-droits-des-etudiants-algeriens-en-france.html

8/ INFOS

-Disparus : Si vous possédez une box ; la chaine FR 3, région Côte d’Azur, annonce que ce samedi à 15h25, elle diffusera un

reportage sur les disparus après le 19 mars 1962 en Algérie (A voir ou à revoir).

-Livre:« La rive orpheline » - Roman historique de Jacqueline GOSSON GRAPPIN :

L’histoire se déroule en Afrique du Nord entre 1830 et 1965. Une famille de pionniers arrivée avec les premiers convois et qui évolue sur cinq générations jusqu’à la fin de cette épopée qui va durer 150 ans, c'est-à-dire jusqu’à l’indépendance. Pourquoi La Rive Orpheline ? Parce que cette rive pleure encore le départ, la séparation et l’amitié perdue d’hommes et de femmes souvent de culture différente mais liés par le cœur. Prix : 22 euros + 3 (Frais d’envoi). Pour commande éventuelle : [email protected]

-Bourse aux armes : Vente aux enchères le vendredi 13 février 2015 à 10 heures chez PRIMARDECO – 14 rue du rempart Saint

Etienne – 31100 TOULOUSE (Voir : site www.ateliersaintetienne31.fr – ) Expositions publiques : 12 février (après-midi) et le matin de la vente.

-ORAN : https://www.youtube.com/watch?v=CmrGBBO2jI4

-ORANIE : https://www.youtube.com/watch?x-yt-cl=84924572&v=pX8GaIP4piw&x-yt-ts=1422411861

BON Week-end à tous. Jean-Claude ROSSO

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