Post on 25-May-2020
VILLE DE BOURG EN BRESSEOPERATION GEOTHERMIE
AVANT PROJET
DETAILLE
DE LA REALISATION DU 1er FORAGE
RÍK RHONALPENERGIE
S3EP 1981
eteralpFÉVRIER 1980
8O SGN O9O RHA
VILLE DE BOURG EN BRESSE
OPERATION GEOTHERMIE
AVANT PROJET
DETAILLE
DE LA REALISATION DU 1" FORABE
R(KRHÔNALPÉNERGIE
rBTRTGTM;-03EP.1981
BlBLlOTHEQUi.
^yeteralpFÉVRIER
80 SGN 090 RHA
VILLE DE BOURG EN BRESSE
OPERATION GEOTHERMIE
AVANT PROJET
DETAILLE
DE LA REALISATION DU 1" FORABE
R(KRHÔNALPÉNERGIE
rBTRTGTM;-03EP.1981
BlBLlOTHEQUi.
^yeteralpFÉVRIER
80 SGN 090 RHA
VILLE DE BOURG-Ef]-BRESSE
OPERATION HOTVERMIE
A V A N T - P R 0 J E T
DETAI LLE
DE LA REALISATION DU IeR FORAGE
RESUME
Ce rapport concerne la présentation de l'avant-projet
détaillé, établi dans le cadre de la maîtrise d'oeuvre confiée
par la Ville de BOURG-EN-BRESSE au B.R.G.M., pour la réalisation
du premier forage à vocation géothermique, qui sera implanté en
périphérie nord de l'agglomération burgienne.
Il présente un programme chiffré et le calendrier, prévisionnels,
des différentes opérations impliquées par la réalisation de cet
ouvrage .
Ce rapport contient t 26 pages de texte, 6 figures, et 3 annexes
VILLE DE BOURG-Ef]-BRESSE
OPERATION HOTVERMIE
A V A N T - P R 0 J E T
DETAI LLE
DE LA REALISATION DU IeR FORAGE
RESUME
Ce rapport concerne la présentation de l'avant-projet
détaillé, établi dans le cadre de la maîtrise d'oeuvre confiée
par la Ville de BOURG-EN-BRESSE au B.R.G.M., pour la réalisation
du premier forage à vocation géothermique, qui sera implanté en
périphérie nord de l'agglomération burgienne.
Il présente un programme chiffré et le calendrier, prévisionnels,
des différentes opérations impliquées par la réalisation de cet
ouvrage .
Ce rapport contient t 26 pages de texte, 6 figures, et 3 annexes
- I
TABLE DES MATIERES
1 . - PLATEFORME
Pages
1.1.- IMPLANTATION DU CHANTIER
1.11 - Localisation
1.12- Emprise
1.13 - Implantation de l'appareil de forage
1.2. - NETTOYAGE ET ARASEIiENT DU SOL- 3
1.21 - Description des travaux 3
1.22 - Planning des opérations de nettoyage 3
1.23 - Estimation du coût 3
1.3. - RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE A LA TARIERE A
1.31 - But 4
1 . 32 - Planning 4
1.33 - Estimation du coût 4
1.4. - ESSAIS PENETRO^ETRIQUES 4
1 .41 - But 4
1 .42 - Planning 5
1.43 - Estimation du coût 5
1.5. - GENIE CIVIL 5
1 .51 - But 5
1 .52 - Planning 5
1.53 - Estimation du coût 6
1.6. - PAVILLON INFORMATION + EAU + ELECTRICITE + TELEPHONE 6
1.61 - But 6
1 .62 - Planning 6
1.63 - Estimation du coût 8
2. - BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE 8
2.1.- TERRASSEMENT 8
2.2. - IMPER>ÎEABILISATION 8
2.3. - PLANNING 10
2.4. - ESTIMATION DU COUT 10
- I
TABLE DES MATIERES
1 . - PLATEFORME
Pages
1.1.- IMPLANTATION DU CHANTIER
1.11 - Localisation
1.12- Emprise
1.13 - Implantation de l'appareil de forage
1.2. - NETTOYAGE ET ARASEIiENT DU SOL- 3
1.21 - Description des travaux 3
1.22 - Planning des opérations de nettoyage 3
1.23 - Estimation du coût 3
1.3. - RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE A LA TARIERE A
1.31 - But 4
1 . 32 - Planning 4
1.33 - Estimation du coût 4
1.4. - ESSAIS PENETRO^ETRIQUES 4
1 .41 - But 4
1 .42 - Planning 5
1.43 - Estimation du coût 5
1.5. - GENIE CIVIL 5
1 .51 - But 5
1 .52 - Planning 5
1.53 - Estimation du coût 6
1.6. - PAVILLON INFORMATION + EAU + ELECTRICITE + TELEPHONE 6
1.61 - But 6
1 .62 - Planning 6
1.63 - Estimation du coût 8
2. - BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE 8
2.1.- TERRASSEMENT 8
2.2. - IMPER>ÎEABILISATION 8
2.3. - PLANNING 10
2.4. - ESTIMATION DU COUT 10
Page
3. - CLOTURE DU CHANTIER
3.1. - REALISATION CLOTURE
3.2. - PLANNING
3.3. - ESTIMATION DU COUT
4. - FORAGE
4.1. - RAPPEL DU PROGRA^ME GENERAL DE FORAGE
4.2. - COUPE TECHNIQUE PREVISIONNELLE
4.3. - CHOIX DE LA MACHINE DE FORAGE
4.4. - Al-ENEE, MONTAGE, REPLI DE L'APPAREIL
4.5. - FORAGE PROPREMENT DIT
4.51 - Coût journalier
4.52 - Durée de forage
4.53 - Coût du forage proprement dit
4.54 - Planning
5 . - SOCIETES DE SERVICES. APPROVISIONNEMENTS ET OPERATIONS DIVERS
5.1.- TUBAGE
5.11 - Objet des tubages
5.12 - Programme de tubage
5.13 - Coût des tubages
5.2. - OUTILS
5.2 1 - Rôle des outils
5.22 - Programme d'outils
5.23 - Coût des outils
5.3. - BOUES DE FORAGE
5.31 - Objectif
5.32 - Programme de boue
5.33 - Coût
5.4. - CIMENTATION
5.41 - Rôle des cimentations
5.42 - Programme de cimentation
5.43 - Coût des cimentations
5.5. - CAROTTAGES
5.51 - Objectif des carottages
5.52 - Programme de carottages
5.53 - Coût du carottage
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Page
3. - CLOTURE DU CHANTIER
3.1. - REALISATION CLOTURE
3.2. - PLANNING
3.3. - ESTIMATION DU COUT
4. - FORAGE
4.1. - RAPPEL DU PROGRA^ME GENERAL DE FORAGE
4.2. - COUPE TECHNIQUE PREVISIONNELLE
4.3. - CHOIX DE LA MACHINE DE FORAGE
4.4. - Al-ENEE, MONTAGE, REPLI DE L'APPAREIL
4.5. - FORAGE PROPREMENT DIT
4.51 - Coût journalier
4.52 - Durée de forage
4.53 - Coût du forage proprement dit
4.54 - Planning
5 . - SOCIETES DE SERVICES. APPROVISIONNEMENTS ET OPERATIONS DIVERS
5.1.- TUBAGE
5.11 - Objet des tubages
5.12 - Programme de tubage
5.13 - Coût des tubages
5.2. - OUTILS
5.2 1 - Rôle des outils
5.22 - Programme d'outils
5.23 - Coût des outils
5.3. - BOUES DE FORAGE
5.31 - Objectif
5.32 - Programme de boue
5.33 - Coût
5.4. - CIMENTATION
5.41 - Rôle des cimentations
5.42 - Programme de cimentation
5.43 - Coût des cimentations
5.5. - CAROTTAGES
5.51 - Objectif des carottages
5.52 - Programme de carottages
5.53 - Coût du carottage
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Pages5.6. - DIAGRAPHIES 19
5.61 - Objectifs 19
5.62 - Programme de diagraphies 19
5.63 - Coût 20
5.7. - TETE DE PUITS 20
5.71 - Rôle de la tête de puits 20
5.72 - Coût 20
5.8. - APPROVISIONNEMENT EN FUEL 20
5.81 - Objectif 20
5.82 - Coût 20
5.9. - TEST DE FORMATION 20
5.91 - Objectif 20
5.92 - Coûts 21
5.10 - CITERNAGE - TRANSPORT DES BOURBIERS 21
5.11 - TRANSPORTS DIVERS 21
5.111 - Objet 21
5.112 - Montant 21
6 - ESSAIS 21
6.1.- ACIDIFICATION 21
6. 1 1 - Objet 21
6.12- Programme 2 1
6. 13 - Coût 22
6.2. - POMPAGE PAR AIR LIFT 22
6.21 - Objet 22
6.22 - Coût 22
6.3. - REAIISATION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE : COUPE TUBAGE 7" 22
6.31 - Objet 22
6.32 - Coût 22
7 - POMPE D'EXHAURE ET LOCAL 23
8 - CLOTURE AUTOUR DE LA TETE DE PUITS 23
9 - EVACUATION DES BOUES ET DEBLAIS DE FORAGE 24
9.1. - REALISATION DE L'ENLEVEMENT DES BOUES 24
9.2. - PLANNING 24
9.3. - ESTIMATION DU COUT 24
Pages5.6. - DIAGRAPHIES 19
5.61 - Objectifs 19
5.62 - Programme de diagraphies 19
5.63 - Coût 20
5.7. - TETE DE PUITS 20
5.71 - Rôle de la tête de puits 20
5.72 - Coût 20
5.8. - APPROVISIONNEMENT EN FUEL 20
5.81 - Objectif 20
5.82 - Coût 20
5.9. - TEST DE FORMATION 20
5.91 - Objectif 20
5.92 - Coûts 21
5.10 - CITERNAGE - TRANSPORT DES BOURBIERS 21
5.11 - TRANSPORTS DIVERS 21
5.111 - Objet 21
5.112 - Montant 21
6 - ESSAIS 21
6.1.- ACIDIFICATION 21
6. 1 1 - Objet 21
6.12- Programme 2 1
6. 13 - Coût 22
6.2. - POMPAGE PAR AIR LIFT 22
6.21 - Objet 22
6.22 - Coût 22
6.3. - REAIISATION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE : COUPE TUBAGE 7" 22
6.31 - Objet 22
6.32 - Coût 22
7 - POMPE D'EXHAURE ET LOCAL 23
8 - CLOTURE AUTOUR DE LA TETE DE PUITS 23
9 - EVACUATION DES BOUES ET DEBLAIS DE FORAGE 24
9.1. - REALISATION DE L'ENLEVEMENT DES BOUES 24
9.2. - PLANNING 24
9.3. - ESTIMATION DU COUT 24
- IV -
Pages
1 O - REJET DES EAUX DE P0I4PAGE 26
10.1. - CONDITIONS D'ADMISSION DES EAUX DANS LES TROIS EXUTOIRES 26
10.11 - Rivières Reyssouse et Ain 26
10.111 - Rejet dans l'Ain 26
10.112 - Rejet dans la Reyssouse 26
10.12 - Etrez (Extrait d'une note GDF) 27
10.121 - Admission dans le saumoduc Etrez-Poligny 27
10.122 - Admission dans le circuit d'eau douceen amont des pompes de lessivage 28
10.123 - Injection directe dans un puits de cavitéen lessivage à- l'aval de la pomperie 28
10.2 - ESTIMATION DU COUT 29
10.3.- PLANNING (pour rejet en Reyssouse) 30
1 1 - REMISE EN ETAT DES LIEUX 30
11.1. - ESTI>i[ATI0N DU COUT 30
11.2. - PLANNING 30
12 - CONCLUSIONS 31
- IV -
Pages
1 O - REJET DES EAUX DE P0I4PAGE 26
10.1. - CONDITIONS D'ADMISSION DES EAUX DANS LES TROIS EXUTOIRES 26
10.11 - Rivières Reyssouse et Ain 26
10.111 - Rejet dans l'Ain 26
10.112 - Rejet dans la Reyssouse 26
10.12 - Etrez (Extrait d'une note GDF) 27
10.121 - Admission dans le saumoduc Etrez-Poligny 27
10.122 - Admission dans le circuit d'eau douceen amont des pompes de lessivage 28
10.123 - Injection directe dans un puits de cavitéen lessivage à- l'aval de la pomperie 28
10.2 - ESTIMATION DU COUT 29
10.3.- PLANNING (pour rejet en Reyssouse) 30
1 1 - REMISE EN ETAT DES LIEUX 30
11.1. - ESTI>i[ATI0N DU COUT 30
11.2. - PLANNING 30
12 - CONCLUSIONS 31
- V -
TABLE DES FIGURES
Fig. 1 1 1 - Localisation des travaux
Fig. 161 - Pavillon information
Fig. 21 - Bassin de stockage des eaux de pompage
Fig. 3 - Clôture
Fig. 4 - Hypotheses de coupes techniques
Fig. 12 - Tableau récapitulatif
2
7
9
12
14
32
LISTE DES ANNEXES
Annexe I
Annexe II
Annexe III
Emprise des travaux
Implantation de l'appareil de forage
Plateforme Génie Civil.
- V -
TABLE DES FIGURES
Fig. 1 1 1 - Localisation des travaux
Fig. 161 - Pavillon information
Fig. 21 - Bassin de stockage des eaux de pompage
Fig. 3 - Clôture
Fig. 4 - Hypotheses de coupes techniques
Fig. 12 - Tableau récapitulatif
2
7
9
12
14
32
LISTE DES ANNEXES
Annexe I
Annexe II
Annexe III
Emprise des travaux
Implantation de l'appareil de forage
Plateforme Génie Civil.
1 -
1 - PLATE FORÍIE
Les superstructures du chantier nécessitent la mise à disposition de2 2celui-ci, d'une superficie de 8.000 m (80 x 100) + 7.000 m pour la
réalisation du bassin de stockage des eaux de ponpage.
1.1- IMPLANTATION DU CHANTIER
1.11 - Localisation (fig. Ill)
Au Nord de la ville de BOURG-EN-BRESSE, près de l'usine
d'incinération, en rive droite de la Reyssouse, sur un terrain appartenant
â la ville de BOURG-EN-BRESSE -
12 - Emprise (annexe 1)
Elle se décompose en deux zones :
-2-Ê---lLè--H.^L--21nS- ^"^ couvrira toute la superficieentre la "route sauvage" et la Reyssouse - Ce terrain est actuellement
occupé par un dépôt de matériaux D.D.E. et par un volume assez important
de graviers tout-venant, blocs divers, etc..
?2Iîê_i^ê_Si££lSBS^_aÊÊ:_êây-_~_22"'E5SË ^"^ ^^^ prévue entrela "route sauvage" et l'usine d'incinération - Un dépôt de bouteilles en
verre et des déchets de l'usine occupent le terrain.
'13 - Imglantation_de_l_|^a££areil_de_forage (annexe 2)
Le schéma d'implantation présenté concerne un appareil
GB 800 EMSCO - Même s'il ne s'agit pas de cette machine pour l'exécution
des travaux, le dispositif au sol ne varie que très peu d'un appareil à
1' autre .
1 -
1 - PLATE FORÍIE
Les superstructures du chantier nécessitent la mise à disposition de2 2celui-ci, d'une superficie de 8.000 m (80 x 100) + 7.000 m pour la
réalisation du bassin de stockage des eaux de ponpage.
1.1- IMPLANTATION DU CHANTIER
1.11 - Localisation (fig. Ill)
Au Nord de la ville de BOURG-EN-BRESSE, près de l'usine
d'incinération, en rive droite de la Reyssouse, sur un terrain appartenant
â la ville de BOURG-EN-BRESSE -
12 - Emprise (annexe 1)
Elle se décompose en deux zones :
-2-Ê---lLè--H.^L--21nS- ^"^ couvrira toute la superficieentre la "route sauvage" et la Reyssouse - Ce terrain est actuellement
occupé par un dépôt de matériaux D.D.E. et par un volume assez important
de graviers tout-venant, blocs divers, etc..
?2Iîê_i^ê_Si££lSBS^_aÊÊ:_êây-_~_22"'E5SË ^"^ ^^^ prévue entrela "route sauvage" et l'usine d'incinération - Un dépôt de bouteilles en
verre et des déchets de l'usine occupent le terrain.
'13 - Imglantation_de_l_|^a££areil_de_forage (annexe 2)
Le schéma d'implantation présenté concerne un appareil
GB 800 EMSCO - Même s'il ne s'agit pas de cette machine pour l'exécution
des travaux, le dispositif au sol ne varie que très peu d'un appareil à
1' autre .
- 2 -
. Fig. fit
LOCALISATION DES TRAVAUX
ECHELLE 1/25 000
ZON£ DES TRAVAUX
/ ¿ - \ " .
BffGM SG& &MA 0¿f.60 80 SGN 090 RHA
- 3 -
1.2- NETTOYAGE ET ARASEMENT DU SOL
1.21 - Des crigtion_des_ travaux
Les deux zones citées ci-dessus devront être rendues libres
de toutes contraintes au niveau du sol.
Pour la zone "atelier forage", après évacuation des matériaux
D.D.E. et conformément à son emprise, il conviendra d'évacuer les matériaux3"tout-venant" et autres, dont le volume peut être estimé à 1.000 m environ.
Avec l'accord de la Municipalité, il est possible de pousser tous ces
matériaux au Nord de la zone, ceci afin d'éviter une dépense de chargement
et transport à une décharge.
Pour la zone du bassin de stockage, une superficie de2 . . ...
7.000 m est nécessaire pour réaliser le bassin dont les dimensions utiles
sont de 150 x 40 x 2,50 de hauteur.
Après libération des terrains, un arasement du sol sera
nécessaire sur la superficie prévue pour l'atelier forage.
Ces travaux restent essentiellement du domaine terrassement.
1.22 - Planning_des_o2érations_de_netto^|^age
Il est impératif que ces travaux soient achevés pour le
1er Août 1980
+ consultation des entreprises
+ commande des travaux
+ début des travaux
+ fin des travaux
15 Mai 1980
1 Juin 1980
15 Juin 1980
1 Août 1980
1.23 - Estimation_du_coût
+ évacuation des remblais surles deux zones
+ arasement du sol de l'atelierforage
30.000 F environ
- 3 -
1.2- NETTOYAGE ET ARASEMENT DU SOL
1.21 - Des crigtion_des_ travaux
Les deux zones citées ci-dessus devront être rendues libres
de toutes contraintes au niveau du sol.
Pour la zone "atelier forage", après évacuation des matériaux
D.D.E. et conformément à son emprise, il conviendra d'évacuer les matériaux3"tout-venant" et autres, dont le volume peut être estimé à 1.000 m environ.
Avec l'accord de la Municipalité, il est possible de pousser tous ces
matériaux au Nord de la zone, ceci afin d'éviter une dépense de chargement
et transport à une décharge.
Pour la zone du bassin de stockage, une superficie de2 . . ...
7.000 m est nécessaire pour réaliser le bassin dont les dimensions utiles
sont de 150 x 40 x 2,50 de hauteur.
Après libération des terrains, un arasement du sol sera
nécessaire sur la superficie prévue pour l'atelier forage.
Ces travaux restent essentiellement du domaine terrassement.
1.22 - Planning_des_o2érations_de_netto^|^age
Il est impératif que ces travaux soient achevés pour le
1er Août 1980
+ consultation des entreprises
+ commande des travaux
+ début des travaux
+ fin des travaux
15 Mai 1980
1 Juin 1980
15 Juin 1980
1 Août 1980
1.23 - Estimation_du_coût
+ évacuation des remblais surles deux zones
+ arasement du sol de l'atelierforage
30.000 F environ
- 4
1.3 - RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE A LA TARIERE
1 3 1 - But
Déterminer la nature du sol sur une profondeur maximum
de 6 mètres pour la réalisation :
+ des bacs à boues
+ du bassin de stockage des eaux de pompage
+ des points de fixation des haubans de l'appareil de forage
Une dizaine de sondages sont prévus.
1.32 - Pl anning
Commande des travaux " 1er Juillet 1980
Réalisation = dernière semaine de Juillet 1980
Résultats = immédiatement après la réalisation
1.33 - Estimation du coût
Amenée et repli du matériel {
Foration -, 30.000 F environ
Interprétation }
1.4 - ESSAIS PENETROMETRIQUES
1.41 - But
L'importance de l'appareil de forage (poids + puissance
au treuil) impose une adaptation de ses fondations en fonction des apti¬
tudes du sol à la charge. Cinq essais pénétromètriques seront réalisés
aux quatre angles et au centre de la dalle prévue.
- 4
1.3 - RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE A LA TARIERE
1 3 1 - But
Déterminer la nature du sol sur une profondeur maximum
de 6 mètres pour la réalisation :
+ des bacs à boues
+ du bassin de stockage des eaux de pompage
+ des points de fixation des haubans de l'appareil de forage
Une dizaine de sondages sont prévus.
1.32 - Pl anning
Commande des travaux " 1er Juillet 1980
Réalisation = dernière semaine de Juillet 1980
Résultats = immédiatement après la réalisation
1.33 - Estimation du coût
Amenée et repli du matériel {
Foration -, 30.000 F environ
Interprétation }
1.4 - ESSAIS PENETROMETRIQUES
1.41 - But
L'importance de l'appareil de forage (poids + puissance
au treuil) impose une adaptation de ses fondations en fonction des apti¬
tudes du sol à la charge. Cinq essais pénétromètriques seront réalisés
aux quatre angles et au centre de la dalle prévue.
- 5 -
1 .42 - Planning
Commande des travaux = 1er Juillet 1980
Réalisation = dernière semaine de Juillet 1980
Résultats = immédiatement après réalisation
1.43 - Estimation du coût
Essais in situ ^ 15.000 F environAmenée et repli du matériel {
Essais in situ v
Interprétation }
l'5 - GENIE CIVIL (annexe 3)
1.51 - But
Viabiliser le site et assurer une stabilité efficace
à l'appareil de forage.
Pour parvenir à ces deux objectifs les postes suivants sont
à envisager :
. réalisation d'une dalle et d'une cave à l'emplacement del'appareil de forage
d'assises pour les bacs à boues et les pompesde forage
d'aires de roulement
d'aires d'installation de bureaux et baraquede chantier
de bourbiers pour le stockage des boues usées
du circuit boue
d'ancrage des haubans
etc. . .
1.52- Planning_
Ces travaux doivent impérativement être terminés pour le
1 5 Octobre 1980 :
- remise du dossier consultation = 15 Juin 1980
- lancement de l'appel d'offres = 30 Juin 1980
- ouverture appel d'offres = 20 Juillet 1980
- choix des entreprises = 30 Juillet 1980
- passation des contrats = 15 Août 1980
- début des travaux = 1 Septembre 1980
- fin des travaux = 15 Octobre 1980
- 5 -
1 .42 - Planning
Commande des travaux = 1er Juillet 1980
Réalisation = dernière semaine de Juillet 1980
Résultats = immédiatement après réalisation
1.43 - Estimation du coût
Essais in situ ^ 15.000 F environAmenée et repli du matériel {
Essais in situ v
Interprétation }
l'5 - GENIE CIVIL (annexe 3)
1.51 - But
Viabiliser le site et assurer une stabilité efficace
à l'appareil de forage.
Pour parvenir à ces deux objectifs les postes suivants sont
à envisager :
. réalisation d'une dalle et d'une cave à l'emplacement del'appareil de forage
d'assises pour les bacs à boues et les pompesde forage
d'aires de roulement
d'aires d'installation de bureaux et baraquede chantier
de bourbiers pour le stockage des boues usées
du circuit boue
d'ancrage des haubans
etc. . .
1.52- Planning_
Ces travaux doivent impérativement être terminés pour le
1 5 Octobre 1980 :
- remise du dossier consultation = 15 Juin 1980
- lancement de l'appel d'offres = 30 Juin 1980
- ouverture appel d'offres = 20 Juillet 1980
- choix des entreprises = 30 Juillet 1980
- passation des contrats = 15 Août 1980
- début des travaux = 1 Septembre 1980
- fin des travaux = 15 Octobre 1980
- 6 -
1.53- E£timation_du coût
Le montant de l'ensemble des travaux "Génie Civil" peut
être évalué à 400.000 F environ -
1.6- PAVILLON INFORMATION + EAU + ELECTRICITE + TELEPHONE
1 .61 - But
Permettre au public d'être informé au jour le jour de la
vie et de l'avancement des travaux en cours, d'obtenir tous renseignements
sur la géothermie en général et sur le programme présent en particulier.
Des séances audiovisuelles pourront être organisées à la demande de
groupes, d'écoles, de sociétés, etc..
Jouxtant ce pavillon, une estrade panoramique permettra aux
visiteurs de suivre les activités du chantier.
Les installations à réaliser sont (fig. 161) :
. plateforme en remblais de 10 x 6 - hauteur 1,50 m au-
dessus du sol naturel
. mise en place d'un pavillon type Algéco de 6,2 1 x 2,44 m
. clôture en grillage autour de la plateforme
. deux escaliers d'accès à la plateforme
Conjointement à cette installation, le chantier sera doté :
. d'une ligne électrique 380 V 30 A
. d'une prise d'eau sur réseau
. de deux lignes téléphoniques
1 .62- Planning
- consultation des entreprises = 1ère semaine de Mai 1980
- choix des entreprises = 1 Juin 1980
- commande des travaux = 20 Juin 1980
- réalisation des travaux » 1 Août 1980
- 6 -
1.53- E£timation_du coût
Le montant de l'ensemble des travaux "Génie Civil" peut
être évalué à 400.000 F environ -
1.6- PAVILLON INFORMATION + EAU + ELECTRICITE + TELEPHONE
1 .61 - But
Permettre au public d'être informé au jour le jour de la
vie et de l'avancement des travaux en cours, d'obtenir tous renseignements
sur la géothermie en général et sur le programme présent en particulier.
Des séances audiovisuelles pourront être organisées à la demande de
groupes, d'écoles, de sociétés, etc..
Jouxtant ce pavillon, une estrade panoramique permettra aux
visiteurs de suivre les activités du chantier.
Les installations à réaliser sont (fig. 161) :
. plateforme en remblais de 10 x 6 - hauteur 1,50 m au-
dessus du sol naturel
. mise en place d'un pavillon type Algéco de 6,2 1 x 2,44 m
. clôture en grillage autour de la plateforme
. deux escaliers d'accès à la plateforme
Conjointement à cette installation, le chantier sera doté :
. d'une ligne électrique 380 V 30 A
. d'une prise d'eau sur réseau
. de deux lignes téléphoniques
1 .62- Planning
- consultation des entreprises = 1ère semaine de Mai 1980
- choix des entreprises = 1 Juin 1980
- commande des travaux = 20 Juin 1980
- réalisation des travaux » 1 Août 1980
- 7 -
PAVILLON INFORMATION
N
F/g. /6/
B/POM SG/? /?M/i . OV, 80 90 SGN 090 RHA
- 7 -
PAVILLON INFORMATION
N
F/g. /6/
B/POM SG/? /?M/i . OV, 80 90 SGN 090 RHA
- 8 -
1.63- Estimation du coût
i installation du pavillon sur plateforme {
. location pour la durée des travaux \ 20.000 F
. électricité + eau + téléphone }
2 - BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
La qualité des eaux de pompage n'est pas encore connue à ce jour, mais
il faut envisager une teneur possible, de 20 à 50 g/litre de sels dissous.
Ajoutés à la température, ces deux éléments imposent un stockage de ces eaux,
quel que soit le mode d'évacuation qui sera retenu.
3Le volume de stockage prévu est de 12.000 m (100 heures de pompage à
3120 m /heure) .
Dimensions utiles 150 m x 40 m x 2,50 m de hauteur -
Pour éviter des risques de percolation des eaux à travers le fond et
l 'endiguement , une imperméabilisation est prévue -
2.1 - TERRASSEMENT (fig. 21)
Ce bassin sera creusé à - 0,50 m sous le sol naturel sur une2
.e de 6.000 m environ. Les déblais sc
et sur une hauteur de 2, OC m au-dessus du sol,
2 . .. , .superficie de 6.000 m environ. Les déblais seront mis en digue autour
3Volume total du terrassement (déblais + remblais) = 6.500 m env.
2.2- IMPERMEABILISATION
Le fond et les faces intérieures de la digue seront revêtus d'unep
feuille PVC - épaisseur 50/100 pour assurer l'étanchéité du bassin. Selon
la granulométrie et la qualité du matériau qui constituera le fond et la
digue, il sera ou non nécessaire de poser cette feuille PVC sur un support
conposé d'une feuille de "non tissé" qui permettra d'éviter des déchiruresde la feuille PVC - Surface totale à imperméabiliser = 7.500 m environ -
- 8 -
1.63- Estimation du coût
i installation du pavillon sur plateforme {
. location pour la durée des travaux \ 20.000 F
. électricité + eau + téléphone }
2 - BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
La qualité des eaux de pompage n'est pas encore connue à ce jour, mais
il faut envisager une teneur possible, de 20 à 50 g/litre de sels dissous.
Ajoutés à la température, ces deux éléments imposent un stockage de ces eaux,
quel que soit le mode d'évacuation qui sera retenu.
3Le volume de stockage prévu est de 12.000 m (100 heures de pompage à
3120 m /heure) .
Dimensions utiles 150 m x 40 m x 2,50 m de hauteur -
Pour éviter des risques de percolation des eaux à travers le fond et
l 'endiguement , une imperméabilisation est prévue -
2.1 - TERRASSEMENT (fig. 21)
Ce bassin sera creusé à - 0,50 m sous le sol naturel sur une2
.e de 6.000 m environ. Les déblais sc
et sur une hauteur de 2, OC m au-dessus du sol,
2 . .. , .superficie de 6.000 m environ. Les déblais seront mis en digue autour
3Volume total du terrassement (déblais + remblais) = 6.500 m env.
2.2- IMPERMEABILISATION
Le fond et les faces intérieures de la digue seront revêtus d'unep
feuille PVC - épaisseur 50/100 pour assurer l'étanchéité du bassin. Selon
la granulométrie et la qualité du matériau qui constituera le fond et la
digue, il sera ou non nécessaire de poser cette feuille PVC sur un support
conposé d'une feuille de "non tissé" qui permettra d'éviter des déchiruresde la feuille PVC - Surface totale à imperméabiliser = 7.500 m environ -
- 9 -
BASSIN DE STOCKAGE DESEAUX DE POMPAGE
f/'ç, 21
û/mens/'ons /ono/ c/e óass/n
/^8m ¡e 33 /7?
COUPE TRANSVERSALE DE LA DIGUE
S.SOm
Pente 3 pour 2
£ianc/té/saâ/on por /eu///e PVC 50//oo'
Bf?GM SGP /?/^A Oi/.dO 60 SGN 090 RHA
- 9 -
BASSIN DE STOCKAGE DESEAUX DE POMPAGE
f/'ç, 21
û/mens/'ons /ono/ c/e óass/n
/^8m ¡e 33 /7?
COUPE TRANSVERSALE DE LA DIGUE
S.SOm
Pente 3 pour 2
£ianc/té/saâ/on por /eu///e PVC 50//oo'
Bf?GM SGP /?/^A Oi/.dO 60 SGN 090 RHA
- 10 -
2.3- PLANNING
- Remise du
- Lancement
- Ouverture
- Choix des
- Passation
- Dém.arrage
dossier de consultation
des appels d'offre
des appels d'offre
entreprises
des contrats.
des travaux
TERRASSEMENT
10 Juin 80
1er Juil. 80
20 Juil. 80
1 Août 80
15 Août 80
1 Septembre80
IMPERMEABI¬LISATION.
10 Juin 80
1 Juillet 80
20 Juillet 80
15 Août 80
15 Août 80
15 Décembre 80
2.4 - ESTIMATION DU COUT
- Te rrassement
- Im£erméabilisation
+ 1er cas sans"non tissé" ...
+ 2è cas avec "non tissé" ...
40 .000 F
150.000 F
190.000 F
Î2tal_estimé : 1er cas = 40.000 F + 150.000 F = 190-000 F
2ème cas= 40.000 F + 190.000 F = 230.000 F
- 10 -
2.3- PLANNING
- Remise du
- Lancement
- Ouverture
- Choix des
- Passation
- Dém.arrage
dossier de consultation
des appels d'offre
des appels d'offre
entreprises
des contrats.
des travaux
TERRASSEMENT
10 Juin 80
1er Juil. 80
20 Juil. 80
1 Août 80
15 Août 80
1 Septembre80
IMPERMEABI¬LISATION.
10 Juin 80
1 Juillet 80
20 Juillet 80
15 Août 80
15 Août 80
15 Décembre 80
2.4 - ESTIMATION DU COUT
- Te rrassement
- Im£erméabilisation
+ 1er cas sans"non tissé" ...
+ 2è cas avec "non tissé" ...
40 .000 F
150.000 F
190.000 F
Î2tal_estimé : 1er cas = 40.000 F + 150.000 F = 190-000 F
2ème cas= 40.000 F + 190.000 F = 230.000 F
- n -
3 - CLOTURE DU CHANTIER (fig. 3)
L'emprise générale du chantier (aire de forage + aire du bassin de2stockage des eaux de pompage) représente une superficie de 16.000 m env.
pour un périm.ètre de clôture de 550 mètres. Toutefois, si l'on admet que
la Reyssouse qui borde le chantier à l'Ouest fait office de clôture naturelle,
ce périmètre peut être ramené à 450 mètres.
Le chemin sauvage qui traverse le chantier sera fermé par un portail
â chaque extrémité.
3.1 - REALISATION CLOTURE
Mise en place de piquets et jambes de force d'angles en fer T
de 40 mm - hauteur hors sol = 2,00 m, à raison de 1 piquet tous les deux
mètres environ.
Mise en place du grillage simple torsion hauteur 2 mètres, fils
de support et tendeurs galvanisés -
Mise en place de deux portails au chemin sauvage -
3.2 - PLANNING
- remise dossier de consultation = 1er Juillet 1980
- choix de l'entreprise = 1er Août 1980
- passation commande = 20 Août 1980
- démarrage des travaux = 15 Septembre 1980
3.3- ESTIMATION DU COUT
. piquets {{}
. grillage }
portails I 60.000 F
- n -
3 - CLOTURE DU CHANTIER (fig. 3)
L'emprise générale du chantier (aire de forage + aire du bassin de2stockage des eaux de pompage) représente une superficie de 16.000 m env.
pour un périm.ètre de clôture de 550 mètres. Toutefois, si l'on admet que
la Reyssouse qui borde le chantier à l'Ouest fait office de clôture naturelle,
ce périmètre peut être ramené à 450 mètres.
Le chemin sauvage qui traverse le chantier sera fermé par un portail
â chaque extrémité.
3.1 - REALISATION CLOTURE
Mise en place de piquets et jambes de force d'angles en fer T
de 40 mm - hauteur hors sol = 2,00 m, à raison de 1 piquet tous les deux
mètres environ.
Mise en place du grillage simple torsion hauteur 2 mètres, fils
de support et tendeurs galvanisés -
Mise en place de deux portails au chemin sauvage -
3.2 - PLANNING
- remise dossier de consultation = 1er Juillet 1980
- choix de l'entreprise = 1er Août 1980
- passation commande = 20 Août 1980
- démarrage des travaux = 15 Septembre 1980
3.3- ESTIMATION DU COUT
. piquets {{}
. grillage }
portails I 60.000 F
- 12 -
f/ç,3
CLOTURE
SCHEMA THEORIQUE DE L'IMPLANTATION
Porta//
BPOM SGP /?U/> 0¿/.80 80 SGN 090 RHA
- 12 -
f/ç,3
CLOTURE
SCHEMA THEORIQUE DE L'IMPLANTATION
Porta//
BPOM SGP /?U/> 0¿/.80 80 SGN 090 RHA
- 13 -
4 - FORAGE (Figure 4)
4.1. - RAPPEL DU PROGRA>!ME GENERAL DE FORAGE
1) - Forage en 17 1/2" puis élargissage en 23" de 0 à 50 m environTubage en 18 5/8" et cimentation à cette cote
2) - Reprise du forage en 17 1/2" jusqu'à 350 m environ, puis en12 1/4" jusqu'à pénétration d'une centaine de mètres environ dansl'Aquitanien soit vers 600 m.
- Tubage mixte 13 3/8 x 9 5/8" (réduction 13 3/8" vers 350 m)â cette cote, cimentation de ce tubage par les tiges.
3) - Forage en 8 1/2" jusqu'à pénétration de 150 m environ dans leJurassique supérieur calcaire.
Au vu des diagraphies électriques enregistrées, tubage en 7" au toitdu Réservoir Jurassique supérieur, ce tubage sera cimenté en 2
étages .
4) - Forage en 6" ou 6 1/4" jusqu'à la base du réservoir soit vers2500 m avec prise éventuelle de carottes et tests casing éventuels.
5) - Reconnaissance éventuelle du Dogger de 2500 à 2750 mètres, prisede carottes, tests de formation éventuels avec diagraphies.En fonction des résultats, décision :
. d'exploiter le Jurassique Supérieur ; bouchon de ciment à labase du Jurassique Supérieur.
. d'exploiter le Dogger : descente et cimentation d'un liner 5"au toit du Dogger.
. éventuellement d'exploiter les 2 réservoirs, soit en trou ouvertsi les conditions géologiques le permettent soit après descenteet cimentation d'un liner 5 au toit du Dogger et perforationpar charges creuses au niveau du Jurassique Supérieur.
. d'abandonner le puits.
6) - Coupe du tubage 7" vers 300 m afin de dégager une chambre permettantdes essais à l'Air Lift puis avec une pompe d'essai, une stimulationdu réservoir à l'aide d'injections d'acide pourra être tentée.
4.2. - COUPE TECHNIQUE PREVISIONNELLE
En fonction des 3 solutions évoquées en 4.1., 3 coupes
techniques prévisionnelles sont présentées, la différence principale
portant sur la completion du réservoir :
. completion en trou ouvert dans le cas de l'exploitation
du Jurassique Supérieur seul
- 13 -
4 - FORAGE (Figure 4)
4.1. - RAPPEL DU PROGRA>!ME GENERAL DE FORAGE
1) - Forage en 17 1/2" puis élargissage en 23" de 0 à 50 m environTubage en 18 5/8" et cimentation à cette cote
2) - Reprise du forage en 17 1/2" jusqu'à 350 m environ, puis en12 1/4" jusqu'à pénétration d'une centaine de mètres environ dansl'Aquitanien soit vers 600 m.
- Tubage mixte 13 3/8 x 9 5/8" (réduction 13 3/8" vers 350 m)â cette cote, cimentation de ce tubage par les tiges.
3) - Forage en 8 1/2" jusqu'à pénétration de 150 m environ dans leJurassique supérieur calcaire.
Au vu des diagraphies électriques enregistrées, tubage en 7" au toitdu Réservoir Jurassique supérieur, ce tubage sera cimenté en 2
étages .
4) - Forage en 6" ou 6 1/4" jusqu'à la base du réservoir soit vers2500 m avec prise éventuelle de carottes et tests casing éventuels.
5) - Reconnaissance éventuelle du Dogger de 2500 à 2750 mètres, prisede carottes, tests de formation éventuels avec diagraphies.En fonction des résultats, décision :
. d'exploiter le Jurassique Supérieur ; bouchon de ciment à labase du Jurassique Supérieur.
. d'exploiter le Dogger : descente et cimentation d'un liner 5"au toit du Dogger.
. éventuellement d'exploiter les 2 réservoirs, soit en trou ouvertsi les conditions géologiques le permettent soit après descenteet cimentation d'un liner 5 au toit du Dogger et perforationpar charges creuses au niveau du Jurassique Supérieur.
. d'abandonner le puits.
6) - Coupe du tubage 7" vers 300 m afin de dégager une chambre permettantdes essais à l'Air Lift puis avec une pompe d'essai, une stimulationdu réservoir à l'aide d'injections d'acide pourra être tentée.
4.2. - COUPE TECHNIQUE PREVISIONNELLE
En fonction des 3 solutions évoquées en 4.1., 3 coupes
techniques prévisionnelles sont présentées, la différence principale
portant sur la completion du réservoir :
. completion en trou ouvert dans le cas de l'exploitation
du Jurassique Supérieur seul
KtPOTOESES DE COUPES TECHNIQUES - BoURG-EN-BrHSSE
Prof.m/sol0
100
200 -
300
400
500
600 -
700
800
900
1000
1100 -
1200
1300
- 14000M
g 1500
a 1600Du
§ 1700k.
§ 1800 -a.
1900
2000
2100
2200
2300
2400
2500
2600
2700
2800 J
STRATIGRAPHIE LITHOLOGIEEXPLOITATION JURASSIQUE
SUPERIEUR SEUL
EXPLOITATIONDOGGER SEUL
EXPLOITATION DOGGER
ET JURASSIQUE SUPERIEUR
Plioquaternaire
MiocèneContinental
-^ Alluvions
Sables, graviers130 argi les
Marnes
360Miocènemarin
Aquitanien
Stampienmarneux
Sables500
Calciare argi¬leux à silex670
Marnes àgypse etanhydrite
Sel massifsupérieur
Sel massifinférieur
Eocène
Crétacé
Jurassiquesupérieur
890
1130
13401370
Sel
Sel
Marnes âgypse et
anhydrites
1640
I9601985
2130
Sel
Calcaires
2480
2610
\
\
JURASSIQUESUPERIEUR
\
^ AÂ'
'
DOGGER
eo SGN 090 RHA
KtPOTOESES DE COUPES TECHNIQUES - BoURG-EN-BrHSSE
Prof.m/sol0
100
200 -
300
400
500
600 -
700
800
900
1000
1100 -
1200
1300
- 14000M
g 1500
a 1600Du
§ 1700k.
§ 1800 -a.
1900
2000
2100
2200
2300
2400
2500
2600
2700
2800 J
STRATIGRAPHIE LITHOLOGIEEXPLOITATION JURASSIQUE
SUPERIEUR SEUL
EXPLOITATIONDOGGER SEUL
EXPLOITATION DOGGER
ET JURASSIQUE SUPERIEUR
Plioquaternaire
MiocèneContinental
-^ Alluvions
Sables, graviers130 argi les
Marnes
360Miocènemarin
Aquitanien
Stampienmarneux
Sables500
Calciare argi¬leux à silex670
Marnes àgypse etanhydrite
Sel massifsupérieur
Sel massifinférieur
Eocène
Crétacé
Jurassiquesupérieur
890
1130
13401370
Sel
Sel
Marnes âgypse et
anhydrites
1640
I9601985
2130
Sel
Calcaires
2480
2610
\
\
JURASSIQUESUPERIEUR
\
^ AÂ'
'
DOGGER
eo SGN 090 RHA
- 15 -
. completion en trou ouvert, après descente d'un liner 5"
au toit du Dogger, et cimentation de celui-ci, dans le cas
de l'exploitation du Dogger.
. la même completion que précédemment mais avec perforation
du tubage au niveau du Jurassique Supérieur, dans le cas
de l'exploitation du Jurassique Supérieur et du Dogger en
même temps.
4.3. - CHOIX DE LA MACHINE DE FORAGE
Conpte tenu de la profondeur et de la coupe prévisionnelle
(descente d'un 7" à 2300 mètres) l'appareil de forage sera de la
classe 6 (type National 80 B) .
4.4. - AMENEE, MONTAGE, REPLI DE L'APPAREIL
Cette rubrique comprend les opérations suivantes :
. amenée de tous les éléments de la machine sur le chantier,
la plateforme étant terminée.
. montage de la machine
. démontage de la machine, le puits étant terminé
. repli de tous les éléments de la machine sur un autre
chantier.
Ces coûts pourront varier en fonction de la distance séparant
la machine du chantier avant l'opération et de la possibilité de
coordonner le chantier de Bourg-en-Bresse avec d'autres effectués par
la même machine .
Ces coûts ont été évalués en première approximation à
1.000.000 F HT.
- 15 -
. completion en trou ouvert, après descente d'un liner 5"
au toit du Dogger, et cimentation de celui-ci, dans le cas
de l'exploitation du Dogger.
. la même completion que précédemment mais avec perforation
du tubage au niveau du Jurassique Supérieur, dans le cas
de l'exploitation du Jurassique Supérieur et du Dogger en
même temps.
4.3. - CHOIX DE LA MACHINE DE FORAGE
Conpte tenu de la profondeur et de la coupe prévisionnelle
(descente d'un 7" à 2300 mètres) l'appareil de forage sera de la
classe 6 (type National 80 B) .
4.4. - AMENEE, MONTAGE, REPLI DE L'APPAREIL
Cette rubrique comprend les opérations suivantes :
. amenée de tous les éléments de la machine sur le chantier,
la plateforme étant terminée.
. montage de la machine
. démontage de la machine, le puits étant terminé
. repli de tous les éléments de la machine sur un autre
chantier.
Ces coûts pourront varier en fonction de la distance séparant
la machine du chantier avant l'opération et de la possibilité de
coordonner le chantier de Bourg-en-Bresse avec d'autres effectués par
la même machine .
Ces coûts ont été évalués en première approximation à
1.000.000 F HT.
- 16 -
4.5. - FORAGE PROPREMENT DIT
4.5.1. Çoût_ journalier
A ce stade du dossier, nous avons pris un coût moyen de
35.000 F HT/ jour, sachant que ce coût pourra, lui aussi, varier en
fonction des critères évoqués en 4.4. et de l'équipement fourni
avec la machine.
4.5.2. Purée_de_ forage
Celle-ci a été estimée à 80 jours en fonction des derniers
forages (ETREZ) exécutés par G.D.F. dans cette région,.
Cette estimation tient compte d'aléas normaux (4 à 5 jours
supplémentaires par rapport à un forage sans incident) ; elle ne tient
pas compte d'incidents semblables à ceux qui se sont produits à
^S^NTÎ1IRA.L où une karstification importante du Jurassique Supérieur
a entrainé une chute de plusieurs dizaines de mètres suivie d'une
rupture du train de tiges. Cette éventualité n'est cependant pas à
négliger. Cette estimation ne tient pas compte de la reconnaissance
éventuelle du Dogger qui est chiffrée séparément.
4.5.3. Çout_du_forage_2ro2rement ditEn fonction des estimations faites en 4.5.1. et 4.5.2., le
coût du forage pour la mise en exploitation du Jurassique Supérieur a été
chiffré à 2.800.000 F HT. Le surcoût d'approfondissement au Dogger a étéchiffré à 300.000 F HT.
4.5.4. P 1¿B^iSÊ-
Les opérations de mise en place et montage de l'appareil,
d'exécution du forage proprement dit, de réalisation des essais, puis de
repli du matériel, sont l'objet de prévisions planifiées, présentées dans
le tableau synoptique, figure 12, en fin de rapport.
5 - SOCIETES DE SERVICES, APPROVISIONNEMENTS ET OPERATIONS DIVERS
5.1.- TUBAGE
5.1.1. Ob jet_des_tubages
Ceux-ci sont descendus après forage d'une série de terrains
puis cimentés soit pour éviter l'effondrement de ces terrains, soit pour
supprimer des pertes, en cas de pertes incolmatables. D'autre part, ces
tubages permettent d'isoler, après cimentation, des formations aquifères
qu'il convient de protéger.
- 16 -
4.5. - FORAGE PROPREMENT DIT
4.5.1. Çoût_ journalier
A ce stade du dossier, nous avons pris un coût moyen de
35.000 F HT/ jour, sachant que ce coût pourra, lui aussi, varier en
fonction des critères évoqués en 4.4. et de l'équipement fourni
avec la machine.
4.5.2. Purée_de_ forage
Celle-ci a été estimée à 80 jours en fonction des derniers
forages (ETREZ) exécutés par G.D.F. dans cette région,.
Cette estimation tient compte d'aléas normaux (4 à 5 jours
supplémentaires par rapport à un forage sans incident) ; elle ne tient
pas compte d'incidents semblables à ceux qui se sont produits à
^S^NTÎ1IRA.L où une karstification importante du Jurassique Supérieur
a entrainé une chute de plusieurs dizaines de mètres suivie d'une
rupture du train de tiges. Cette éventualité n'est cependant pas à
négliger. Cette estimation ne tient pas compte de la reconnaissance
éventuelle du Dogger qui est chiffrée séparément.
4.5.3. Çout_du_forage_2ro2rement ditEn fonction des estimations faites en 4.5.1. et 4.5.2., le
coût du forage pour la mise en exploitation du Jurassique Supérieur a été
chiffré à 2.800.000 F HT. Le surcoût d'approfondissement au Dogger a étéchiffré à 300.000 F HT.
4.5.4. P 1¿B^iSÊ-
Les opérations de mise en place et montage de l'appareil,
d'exécution du forage proprement dit, de réalisation des essais, puis de
repli du matériel, sont l'objet de prévisions planifiées, présentées dans
le tableau synoptique, figure 12, en fin de rapport.
5 - SOCIETES DE SERVICES, APPROVISIONNEMENTS ET OPERATIONS DIVERS
5.1.- TUBAGE
5.1.1. Ob jet_des_tubages
Ceux-ci sont descendus après forage d'une série de terrains
puis cimentés soit pour éviter l'effondrement de ces terrains, soit pour
supprimer des pertes, en cas de pertes incolmatables. D'autre part, ces
tubages permettent d'isoler, après cimentation, des formations aquifères
qu'il convient de protéger.
- 17 -
5.1.2. Programme_de_tubage
18 5/8" K55 87,5 Ibs/ft à filetage butress
13 3/8" K55 54,5 Ibs/ft à filetage VAM
9 5/8" K55 36 Ibs/ft à filetage API
7" N80 26 Ibs/ft à filetage VAM.
5.1.3. Çoût_des_ tubages
Le coût des tubages et de leurs équipements (centreurs seratchers)
a été évalué à 900.000 F HT. Le surcoût du liner 5" est évalué à
50.000 F HT.
5.2. - OUTILS
5.2.1. R£le_des_outils
Ceux-ci, descendus au bout du drain de tiges, assurent la
foration des terrains.
5.2.2. PrograOTne_dJ^out il s
Celui-ci ne sera défini qu'après choix de la machine de forage.
5.2.3. Coût _des_out ils
Le coût a été estimé à 250.000 F HT.
5.3. - BOUES DE FORAGE
5.3.1. Objectif
Les boues utilisées ont plusieurs rôles :
. remonter les débris de formation en cours de forage, jusqu'enSurface où ils sont séparés de la boue,
. refroidir et nettoyer l'outil,
. maintenir les formations forées,
. empêcher toute éruption en maintenant une densité de bouetelle que la pression hydrostatique soit supérieure à lapression des formations.
5.3.2. I*r2gr'aiie_de_boue
. forage jusqu'à 50 m : boue bentonitique simple
. forage de 50 m à 600 m : boue bentonitique améliorée à laCMC et aux lignosulfonates (d < 1,16)
- 17 -
5.1.2. Programme_de_tubage
18 5/8" K55 87,5 Ibs/ft à filetage butress
13 3/8" K55 54,5 Ibs/ft à filetage VAM
9 5/8" K55 36 Ibs/ft à filetage API
7" N80 26 Ibs/ft à filetage VAM.
5.1.3. Çoût_des_ tubages
Le coût des tubages et de leurs équipements (centreurs seratchers)
a été évalué à 900.000 F HT. Le surcoût du liner 5" est évalué à
50.000 F HT.
5.2. - OUTILS
5.2.1. R£le_des_outils
Ceux-ci, descendus au bout du drain de tiges, assurent la
foration des terrains.
5.2.2. PrograOTne_dJ^out il s
Celui-ci ne sera défini qu'après choix de la machine de forage.
5.2.3. Coût _des_out ils
Le coût a été estimé à 250.000 F HT.
5.3. - BOUES DE FORAGE
5.3.1. Objectif
Les boues utilisées ont plusieurs rôles :
. remonter les débris de formation en cours de forage, jusqu'enSurface où ils sont séparés de la boue,
. refroidir et nettoyer l'outil,
. maintenir les formations forées,
. empêcher toute éruption en maintenant une densité de bouetelle que la pression hydrostatique soit supérieure à lapression des formations.
5.3.2. I*r2gr'aiie_de_boue
. forage jusqu'à 50 m : boue bentonitique simple
. forage de 50 m à 600 m : boue bentonitique améliorée à laCMC et aux lignosulfonates (d < 1,16)
- 18 -
. forage de 600 m jusqu'au toit du Jurassique Supérieur :
boue salée saturée calcique au KCE
. forage du Jurassique Supérieur : boue aux biopolymères.
5.3.3. Coût
Le coût des produits à boue et du technicien de chantier chargé
de déterminer en permanence les paramètres de la boue les mieux adaptés
aux conditions rencontrées (densité, viscosité, PH etc..) a été estimé
à 220.000 F HT.
5.4. - CIMENTATION
5.4.1. Rô le_ de s_ cimen t a t i ons
Le ciment injecté dans l'annulaire entre les tubages et la
formation proprement dite a pour rôle essentiel de maintenir ces tubages
et d'isoler les formations entre elles en assurant l'étanchéité de
l'annulaire.
5.4.2. Pr2£Iê5?S?Ë_d§_ÇÎS?eStation
La colonne 18" 5/8 sera cimentée par les tiges.
La colonne mixte 13" 3/8 x 9" 5/8 sera cimentée par les tiges ;
la colonne 7" sera cimentée en 2 étages ; l'espace annulaire entre le
13" 3/8 et le 7" sera nettoyé par circulation au travers d'une DV située
vers 300 m.
5.4.3. Coût_des_cimentations
Le coût du ciment et des sociétés de service devant intervenir
pour réaliser les cimentations a été estimé à 145.000 F HT.
5.5. - CAROTTAGES
5.5.1. Objectif_des_carottages
Les carottages, qui consistent à prendre un échantillon des
formations rencontrées en cours de forage ont pour objectif :
. soit de se recaler géologiquement, quand les débris de foragene le permettent pas (par exenple, nécessité de voir un"marqueur" très fin qui ne sera pas vu par les débris deforage)
. soit de permettre des mesures directes, sur carotte»de porosité
- 18 -
. forage de 600 m jusqu'au toit du Jurassique Supérieur :
boue salée saturée calcique au KCE
. forage du Jurassique Supérieur : boue aux biopolymères.
5.3.3. Coût
Le coût des produits à boue et du technicien de chantier chargé
de déterminer en permanence les paramètres de la boue les mieux adaptés
aux conditions rencontrées (densité, viscosité, PH etc..) a été estimé
à 220.000 F HT.
5.4. - CIMENTATION
5.4.1. Rô le_ de s_ cimen t a t i ons
Le ciment injecté dans l'annulaire entre les tubages et la
formation proprement dite a pour rôle essentiel de maintenir ces tubages
et d'isoler les formations entre elles en assurant l'étanchéité de
l'annulaire.
5.4.2. Pr2£Iê5?S?Ë_d§_ÇÎS?eStation
La colonne 18" 5/8 sera cimentée par les tiges.
La colonne mixte 13" 3/8 x 9" 5/8 sera cimentée par les tiges ;
la colonne 7" sera cimentée en 2 étages ; l'espace annulaire entre le
13" 3/8 et le 7" sera nettoyé par circulation au travers d'une DV située
vers 300 m.
5.4.3. Coût_des_cimentations
Le coût du ciment et des sociétés de service devant intervenir
pour réaliser les cimentations a été estimé à 145.000 F HT.
5.5. - CAROTTAGES
5.5.1. Objectif_des_carottages
Les carottages, qui consistent à prendre un échantillon des
formations rencontrées en cours de forage ont pour objectif :
. soit de se recaler géologiquement, quand les débris de foragene le permettent pas (par exenple, nécessité de voir un"marqueur" très fin qui ne sera pas vu par les débris deforage)
. soit de permettre des mesures directes, sur carotte»de porosité
- 19 -
et de perméabilité pour apprécier le potentiel d'un réservoir.
5.5.2. P£2Ê£âî!?5Ê_di_£aE2£ÎâS^s
Il n'est pas prévu de carotter le Jurassique Supérieur, celui-ci
devant être testé en trou ouvert après pose du tubage 7" et cimentation au
toit de cette formation.
Par contre le Dogger sera carotté et testé pour décider s'il
convient ou non de l'exploiter.
Ce coût des carottages s'inscrit donc dans le surcoût lié à
la reconnaissance du Dogger.
Il est prévu de disposer sur le chantier d'un carottier de
18 mètres et de réaliser 2 carottes (soit avec 100 % de récupération,
36 mètres de formation).
5.5.3. Çoû t_du_çarot t age
Le coût se décompose comme suit :
. achat couronne de carottage 50.000 F HT
. immobilisation de la machine pendant letemps de carottage (1 j. /carotte) 70.000 F HT
TOTAL 120.000 F HT
5.6. - DIAGRAPHIES
5.6.1. Objectifs
Elles ont différents objectifs :
. se recaler géologiquement par rapport à des forages voisins,
. mesurer le diamètre du trou avant tubage et cimentationpour déterminer les quantités de ciment nécessaires,
. mesurer les paramètres physiques du réservoir pour permettrede déterminer son potentiel.
5.6.2. Prograrame_de_di agra^hies
. avant tubage 13 3/8 x 9 5/8 : Gamme Ray + Diamétreur
. avant tubage 7" : Sonic + Gamme Ray + Diamétreur
. après tubage 7" : CBL
. dans le réservoir : GR + CNL + DLL
. pendant les essais : Débitmètre + Tenpérature + Pression.
- 19 -
et de perméabilité pour apprécier le potentiel d'un réservoir.
5.5.2. P£2Ê£âî!?5Ê_di_£aE2£ÎâS^s
Il n'est pas prévu de carotter le Jurassique Supérieur, celui-ci
devant être testé en trou ouvert après pose du tubage 7" et cimentation au
toit de cette formation.
Par contre le Dogger sera carotté et testé pour décider s'il
convient ou non de l'exploiter.
Ce coût des carottages s'inscrit donc dans le surcoût lié à
la reconnaissance du Dogger.
Il est prévu de disposer sur le chantier d'un carottier de
18 mètres et de réaliser 2 carottes (soit avec 100 % de récupération,
36 mètres de formation).
5.5.3. Çoû t_du_çarot t age
Le coût se décompose comme suit :
. achat couronne de carottage 50.000 F HT
. immobilisation de la machine pendant letemps de carottage (1 j. /carotte) 70.000 F HT
TOTAL 120.000 F HT
5.6. - DIAGRAPHIES
5.6.1. Objectifs
Elles ont différents objectifs :
. se recaler géologiquement par rapport à des forages voisins,
. mesurer le diamètre du trou avant tubage et cimentationpour déterminer les quantités de ciment nécessaires,
. mesurer les paramètres physiques du réservoir pour permettrede déterminer son potentiel.
5.6.2. Prograrame_de_di agra^hies
. avant tubage 13 3/8 x 9 5/8 : Gamme Ray + Diamétreur
. avant tubage 7" : Sonic + Gamme Ray + Diamétreur
. après tubage 7" : CBL
. dans le réservoir : GR + CNL + DLL
. pendant les essais : Débitmètre + Tenpérature + Pression.
- 20 -
5.6.3. Coût
Il a été estimé à 250.000 F HT. Un surcoût de 80.000 F HT
est à prévoir en cas de reconnaissance du Dogger.
5.7. - TETE DE PUITS
5.7.1. Rôle de la tête de puits
La tête de puits est montée sur le tubage de production,
en l'occurence la chambre de pompage en 13" 3/8 et permet d'une part
de supporter le tube auquel sera connectée la pompe immergée et d'autre
part, le raccordement de vannes latérales en cas de débit artésien.
5.7.2. Coût
Il est de 100.000 F HT.
5.8. - APPROVISIONNEMENT EN FUEL
5.8.1. Objectif
Les machines de forage sont généralement indépendantes et
produisent l'énergie dont elles ont besoin à partir de groupes alimentés
en fuel. La consommation moyenne est estim.ée à 3 m3/jour de machine.
5.8.2. Coût
Il est estimé à 216.000 F HT.
5.9. - TEST DE FORMATION
5.9.1. Ob je et if
Un test de formation, appelé couramment D.S.T. (Drill Stem Test)
se différencie des essais de puits effectués en fin de forage par le fait
qu'il est effectué avec les tiges de forage qui sont descendues après
montage d'un équipement spécial (tester) à leur extrémité.
Cet équipement comprend essentiellement un "packer" qui, dilaté mécanique¬
ment, à la cote voulue, permet d'isoler la zone à tester des formations
supérieures et de la mettre en communication avec l'intérieur des tiges.
Si la formation est productive, elle va débiter dans les tiges et éventuel¬
lement en surface (si la formation est artésienne).
- 20 -
5.6.3. Coût
Il a été estimé à 250.000 F HT. Un surcoût de 80.000 F HT
est à prévoir en cas de reconnaissance du Dogger.
5.7. - TETE DE PUITS
5.7.1. Rôle de la tête de puits
La tête de puits est montée sur le tubage de production,
en l'occurence la chambre de pompage en 13" 3/8 et permet d'une part
de supporter le tube auquel sera connectée la pompe immergée et d'autre
part, le raccordement de vannes latérales en cas de débit artésien.
5.7.2. Coût
Il est de 100.000 F HT.
5.8. - APPROVISIONNEMENT EN FUEL
5.8.1. Objectif
Les machines de forage sont généralement indépendantes et
produisent l'énergie dont elles ont besoin à partir de groupes alimentés
en fuel. La consommation moyenne est estim.ée à 3 m3/jour de machine.
5.8.2. Coût
Il est estimé à 216.000 F HT.
5.9. - TEST DE FORMATION
5.9.1. Ob je et if
Un test de formation, appelé couramment D.S.T. (Drill Stem Test)
se différencie des essais de puits effectués en fin de forage par le fait
qu'il est effectué avec les tiges de forage qui sont descendues après
montage d'un équipement spécial (tester) à leur extrémité.
Cet équipement comprend essentiellement un "packer" qui, dilaté mécanique¬
ment, à la cote voulue, permet d'isoler la zone à tester des formations
supérieures et de la mettre en communication avec l'intérieur des tiges.
Si la formation est productive, elle va débiter dans les tiges et éventuel¬
lement en surface (si la formation est artésienne).
- 21 -
Une telle opération permet :
. d'avoir un échantillon de l'eau de la formation
. d'avoir grâce aux enregistreurs (température et pression)descendus dans le packer, une mesure de la température et,après interprétation des courbes de remontée de pression, unepremière évaluation de la productivité potentielle de lazone testée.
Il n'est pas prévu de test au Jurassique Supérieur (testé sur
toute la hauteur en cours d'essais de puits). Ces tests ne concernent donc
que le Dogger et constituent des surcoûts éventuels.
5.9.2. Coûts
Une provision de 150.000 F HT a été prévue à cet effet pour
la réalisation éventuelle de 2 tests.
5.10. - CITERNAGE - TRANSPORT DES BOURBIERS
cf. paragraphe 9.
5.11. - TRANSPORTS DIVERS
5.11.1. Ob je t
Cette rubrique concerne essentiellement le transport des tubages
de la gare jusqu'au chantier.
5.11.2. Mont an t
Il a été estimé à 30.000 F HT.
6 - ESSAIS
6.1. ACIDIFICATION
6.1.1. Objet
Le but d'une acidification est de nettoyer, stimuler le
réservoir. Elle contribue donc à améliorer la productivité d'un puits.
6.1.2. P£ogr atnme
Au vu des diagraphies électriques et avant réalisation de l'air
lift, les zones les plus intéressantes seront traitées sélectivement par
injection d'acide dans la formation.
- 21 -
Une telle opération permet :
. d'avoir un échantillon de l'eau de la formation
. d'avoir grâce aux enregistreurs (température et pression)descendus dans le packer, une mesure de la température et,après interprétation des courbes de remontée de pression, unepremière évaluation de la productivité potentielle de lazone testée.
Il n'est pas prévu de test au Jurassique Supérieur (testé sur
toute la hauteur en cours d'essais de puits). Ces tests ne concernent donc
que le Dogger et constituent des surcoûts éventuels.
5.9.2. Coûts
Une provision de 150.000 F HT a été prévue à cet effet pour
la réalisation éventuelle de 2 tests.
5.10. - CITERNAGE - TRANSPORT DES BOURBIERS
cf. paragraphe 9.
5.11. - TRANSPORTS DIVERS
5.11.1. Ob je t
Cette rubrique concerne essentiellement le transport des tubages
de la gare jusqu'au chantier.
5.11.2. Mont an t
Il a été estimé à 30.000 F HT.
6 - ESSAIS
6.1. ACIDIFICATION
6.1.1. Objet
Le but d'une acidification est de nettoyer, stimuler le
réservoir. Elle contribue donc à améliorer la productivité d'un puits.
6.1.2. P£ogr atnme
Au vu des diagraphies électriques et avant réalisation de l'air
lift, les zones les plus intéressantes seront traitées sélectivement par
injection d'acide dans la formation.
- 22 -
6.1.3. Coût
Une provision de 20.000 F HT a été prévue à cet effet.
6.2. - POMPAGE PAR AIR LIFT
6.2. 1 . Objet
Le pompage par air lift est une technique qui permet d'augmentei
le débit en diminuant la contrepression créée par la colonne d'eau dans
le puits en l'allégeant par injection d'air à une certaine profondeur et
â un certain débit. Le même résultat serait obtenu avec une pompe
immergée. Malheureusement, ses caractéristiques nécessaires (débit,
hauteur de refoulement) ne peuvent pas être connues à l'avance, alors que
1 'air lift avec la possibilité de moduler le débit et la pression d'air,permet de faire face à la quasi totolité des cas de figures rencontrés.
Le ponpage de courte durée par air lift permet d'une part de
développer le réservoir et d'autre part, d'apprécier la productivité
de 1 ' ouvrage .
6.2.2. Coût
Ce coût comprend essentiellement la location du matériel
nécessaire pour réaliser cette opération : compresseur, tête d'air lift
(adaptateur entre conpresseur et tiges utilisées pour l'injection d'air)
etc ... .
Il est évalué à 120.000 F HT.
6.3. - REALISATION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE : COUPE DE TUBAGE 7"
6.3.1. Objet
Avant l'acidification et l'air lift, on procédera à la coupe
du tubage 7", aux environs de 300 mètres pour réaliser la chambre de
pompage. Cette opération nécessite la location d'un coupe tube spécial,
qui est descendu à l'extrémité des tiges,
6.3.2. Coût
La location du coupe tube est d'environ 25.000 F HT.
- 22 -
6.1.3. Coût
Une provision de 20.000 F HT a été prévue à cet effet.
6.2. - POMPAGE PAR AIR LIFT
6.2. 1 . Objet
Le pompage par air lift est une technique qui permet d'augmentei
le débit en diminuant la contrepression créée par la colonne d'eau dans
le puits en l'allégeant par injection d'air à une certaine profondeur et
â un certain débit. Le même résultat serait obtenu avec une pompe
immergée. Malheureusement, ses caractéristiques nécessaires (débit,
hauteur de refoulement) ne peuvent pas être connues à l'avance, alors que
1 'air lift avec la possibilité de moduler le débit et la pression d'air,permet de faire face à la quasi totolité des cas de figures rencontrés.
Le ponpage de courte durée par air lift permet d'une part de
développer le réservoir et d'autre part, d'apprécier la productivité
de 1 ' ouvrage .
6.2.2. Coût
Ce coût comprend essentiellement la location du matériel
nécessaire pour réaliser cette opération : compresseur, tête d'air lift
(adaptateur entre conpresseur et tiges utilisées pour l'injection d'air)
etc ... .
Il est évalué à 120.000 F HT.
6.3. - REALISATION DE LA CHAMBRE DE POMPAGE : COUPE DE TUBAGE 7"
6.3.1. Objet
Avant l'acidification et l'air lift, on procédera à la coupe
du tubage 7", aux environs de 300 mètres pour réaliser la chambre de
pompage. Cette opération nécessite la location d'un coupe tube spécial,
qui est descendu à l'extrémité des tiges,
6.3.2. Coût
La location du coupe tube est d'environ 25.000 F HT.
23 -
7 - POMPE D'EXHAURE ET LOCAL
La ponpe définitive ne sera commandée qu'après interprétation
des essais et étude d'optimisation "couverture des besoins en fonction
du débit et de la puissance de ponpage nécessaire".
Une provision de 250.000 F HT pour la pompe (correspondant
aux caractéristiques suivantes, débit 150 m3/h, hauteur de refoulement
100 mètres) et 100 000 F HT pour le local (devant contenir les annuaires
de commandes, le transformateur de la pompe et éventuellement les
annuaires de commande de la pompe de réinjection) a été prévue.
8 - CLOTURE AUTOUR DE LA TETE DE PUITS (équipement de captage)
Après exécution des essais de débit, et dans l'hypothèse
de résultats positifs, la tête de puits sera équipée d'un dispositif
de captage (jeu de vannes) accessible au-dessus de la surface du sol.
Cet équipement devra être protégé par une clôture rapprochée.
23 -
7 - POMPE D'EXHAURE ET LOCAL
La ponpe définitive ne sera commandée qu'après interprétation
des essais et étude d'optimisation "couverture des besoins en fonction
du débit et de la puissance de ponpage nécessaire".
Une provision de 250.000 F HT pour la pompe (correspondant
aux caractéristiques suivantes, débit 150 m3/h, hauteur de refoulement
100 mètres) et 100 000 F HT pour le local (devant contenir les annuaires
de commandes, le transformateur de la pompe et éventuellement les
annuaires de commande de la pompe de réinjection) a été prévue.
8 - CLOTURE AUTOUR DE LA TETE DE PUITS (équipement de captage)
Après exécution des essais de débit, et dans l'hypothèse
de résultats positifs, la tête de puits sera équipée d'un dispositif
de captage (jeu de vannes) accessible au-dessus de la surface du sol.
Cet équipement devra être protégé par une clôture rapprochée.
- 24 -
9 - EVACUATION DES BOUES ET DEBLAIS DE FORAGE
Ces boues peuvent être classées en deux catégories
- boues de forage comprenant : cuttings (terrains broyés) et produits
ajoutés pour tenir le terrain (KCl, bentonite, CO Ca, baryte, etc..) ;
- boues de développement du forage comprenant les mêmes éléments, mais
plus dilués -
Volume total = 4.000 m environ
Pendant le chantier, ces boues seront stockées dans des bacs creusés
dans le sol -
9.1- REALISATION DE L'ENLEVEMENT DES BOUES
Les travaux comporteront :
- prise dans les bacs
- transport
- mise en décharge
9.2- PLANNING
- remise dossier consultation
- lancement appel d'offre
- ouverture appel d'offre
- choix de l'entreprise
- passation des contrats
- réalisation travaux
1er Septembre 1980
15 Septembre 1980
10 Octobre 1980
1 Novembre 1980
15 Décembre 1980
1 Mars 1980
9.3- ESTIMATION DU COUT
Prise dans les bacs
Transport
Mise en décharge
220.000 F environ
- 24 -
9 - EVACUATION DES BOUES ET DEBLAIS DE FORAGE
Ces boues peuvent être classées en deux catégories
- boues de forage comprenant : cuttings (terrains broyés) et produits
ajoutés pour tenir le terrain (KCl, bentonite, CO Ca, baryte, etc..) ;
- boues de développement du forage comprenant les mêmes éléments, mais
plus dilués -
Volume total = 4.000 m environ
Pendant le chantier, ces boues seront stockées dans des bacs creusés
dans le sol -
9.1- REALISATION DE L'ENLEVEMENT DES BOUES
Les travaux comporteront :
- prise dans les bacs
- transport
- mise en décharge
9.2- PLANNING
- remise dossier consultation
- lancement appel d'offre
- ouverture appel d'offre
- choix de l'entreprise
- passation des contrats
- réalisation travaux
1er Septembre 1980
15 Septembre 1980
10 Octobre 1980
1 Novembre 1980
15 Décembre 1980
1 Mars 1980
9.3- ESTIMATION DU COUT
Prise dans les bacs
Transport
Mise en décharge
220.000 F environ
- 25 -
10 - REJET DES EAUX DE POMPAGE
iîZB°il}|£Ê_,^£_i5_ayêIiiË_aÊ_ilÊêy ' claire, 100°, teneur en selsdissous = 20 à 50 g/litre -
Le schéma ci-dessous résume les différentes solutions recensées pour
l'évacuation des eaux de pompage
ESSAIS
POMPAGE D'EXHAURE
SORTIE FORAGE
fStockage sur site d<z forage
limlnation diffuse
REYSSOUSE
iEvacuation directe par saumoduc
1Elimination par cannions citernes
Bassin tampon 4
VIRIAT <*
L' AIN ETREZ
Il y a trois exutoires en bout de chaîne :
- Reyssouse
- Ain
- Etrez (station de lessivage du G.D.F.)
Dans tous les cas, sauf saumoduc dans l'Ain, il y a obligation de
réaliser un bassin de stockage ou bassin tampon -3
Poser un saumoduc de 20 kilomètres pour rejeter 12.000 m n'est
financièrement pas envisageable -
- 25 -
10 - REJET DES EAUX DE POMPAGE
iîZB°il}|£Ê_,^£_i5_ayêIiiË_aÊ_ilÊêy ' claire, 100°, teneur en selsdissous = 20 à 50 g/litre -
Le schéma ci-dessous résume les différentes solutions recensées pour
l'évacuation des eaux de pompage
ESSAIS
POMPAGE D'EXHAURE
SORTIE FORAGE
fStockage sur site d<z forage
limlnation diffuse
REYSSOUSE
iEvacuation directe par saumoduc
1Elimination par cannions citernes
Bassin tampon 4
VIRIAT <*
L' AIN ETREZ
Il y a trois exutoires en bout de chaîne :
- Reyssouse
- Ain
- Etrez (station de lessivage du G.D.F.)
Dans tous les cas, sauf saumoduc dans l'Ain, il y a obligation de
réaliser un bassin de stockage ou bassin tampon -3
Poser un saumoduc de 20 kilomètres pour rejeter 12.000 m n'est
financièrement pas envisageable -
- 26 -
10.1 - CONDITIONS D'ADMISSION DES EAUX DANS LES TROIS EXUTOIRES
10.11 - Rivières_Re^ssouse_et_Ain
Dans ces deux rivières, le rejet est conditionné à
une autorisation préfectorale qui pourraît être accordée en respectant
certaines règles et principalement une teneur en sels dissous maxi admis¬
sible de 250 mg/litre des eaux de rivière et une tenpérature maxi de 30°
des eaux de rejet.
Pour obtenir ces conditions, il est nécessaire de stocker
les eaux de pompage dans un bassin et de les éliminer progressivement
en fonction du débit des rivières.
10.111 - Rejet_dans_l^Ain
Nous avons éliminé, comp te- tenu du coût,
la possibilité de rejet par saumoduc ; reste donc le transport par camion-
citerne - Cette solution représente elle aussi une très grosse dépense.
10.112 - Rejet dans_la_Re2S souse
Si l'on admet :3
- un débit de 0,700 m /s après confluent
Reyssouse et canal des eaux usées de BOURG-EN-BRESSE, à l'époque de l'année
où le rejet sera effectué (Février, Mars, Avril)
- un rejet admis par Autorisation préfectorale
tolérant une teneur de 250 mg/l de sels dissous dans les eaux de la
Reyssouse qui ont une teneur moyenne inférieure à 50 mg/l
- une teneur de 35 g/l de sels dissous dans
les eaux à rejeter,
le débit de rejet serait de
700 1/s X 0,2 g/l , 1 / Jl J a bL- - 4 11^ d eau de pompage
35 g/l
- 26 -
10.1 - CONDITIONS D'ADMISSION DES EAUX DANS LES TROIS EXUTOIRES
10.11 - Rivières_Re^ssouse_et_Ain
Dans ces deux rivières, le rejet est conditionné à
une autorisation préfectorale qui pourraît être accordée en respectant
certaines règles et principalement une teneur en sels dissous maxi admis¬
sible de 250 mg/litre des eaux de rivière et une tenpérature maxi de 30°
des eaux de rejet.
Pour obtenir ces conditions, il est nécessaire de stocker
les eaux de pompage dans un bassin et de les éliminer progressivement
en fonction du débit des rivières.
10.111 - Rejet_dans_l^Ain
Nous avons éliminé, comp te- tenu du coût,
la possibilité de rejet par saumoduc ; reste donc le transport par camion-
citerne - Cette solution représente elle aussi une très grosse dépense.
10.112 - Rejet dans_la_Re2S souse
Si l'on admet :3
- un débit de 0,700 m /s après confluent
Reyssouse et canal des eaux usées de BOURG-EN-BRESSE, à l'époque de l'année
où le rejet sera effectué (Février, Mars, Avril)
- un rejet admis par Autorisation préfectorale
tolérant une teneur de 250 mg/l de sels dissous dans les eaux de la
Reyssouse qui ont une teneur moyenne inférieure à 50 mg/l
- une teneur de 35 g/l de sels dissous dans
les eaux à rejeter,
le débit de rejet serait de
700 1/s X 0,2 g/l , 1 / Jl J a bL- - 4 11^ d eau de pompage
35 g/l
- 11 -
Le problème température ne se posant pas,
étant donné que l'eau sera refroidie lors de son séjour dans le bassin de
stockage, le rejet peut être envisagé soit par pompage permanent, soit par
syphonnage amorcé par une pompe, la dénivelée entre bassin et rivière
permettant cette deuxième solution.
3ou 14 m /h - seraient de : 12000
Les temps de rejet, à la cadence de 4 1/s -
= 857 heures ou 35 jours -14
Ces temps peuvent être réduits en fonction
des débits de la Reyssouse qui, comme nous le montrent les données du3
S.R.A.E., peuvent atteindre 2 ou 3 m /seconde â cette période de l'année,
10.12 - Etrez (Extrait_d¿une_note_GDF)
Trois possibilités d'admission de la saumure d'exhaure
dans les installations d'Etrez ont été recensées.
NB Les coûts figurant dans cette note s'entendent hors taxes et aux
conditions de Janvier 1979 - Ils sont révisables -
10.121 - Admission_dans_le_saumoduc_Etrez3Poligny__ --- - - - 2 ~
â l'aval des cavités en lessivage, jusqu'à concurrence de 30 m /h -
La réception de cette saumure serait à
combiner avec la réception de la saumure en provenance de l'exploitation
S. N.E. A. de VIRIAT -
Le délai à prévoir pour l'évacuation complète3
du volume produit (12.000 m ) est de 2 à 3 mois -
La facturation par le GAZ de FRANCE s'effec¬
tuerait dans les mêmes conditions que pour la saumure en provenance de
l'exploitation S. N.E. A. de VIRIAT :
^3 3- un coût au m de saumure : 3,34 F/ m
- des frais mensuels d'exploitation à partageravec S. N.E. A., soit, pour la part "forage degéothermie" = 6.320 F/mois -
La dépense totale à prévoir est donc, pour
cette solution, de l'ordre de 50.000 à 60.000 F pour un délai d'évactiation
de 2 à 3 mois .
- 11 -
Le problème température ne se posant pas,
étant donné que l'eau sera refroidie lors de son séjour dans le bassin de
stockage, le rejet peut être envisagé soit par pompage permanent, soit par
syphonnage amorcé par une pompe, la dénivelée entre bassin et rivière
permettant cette deuxième solution.
3ou 14 m /h - seraient de : 12000
Les temps de rejet, à la cadence de 4 1/s -
= 857 heures ou 35 jours -14
Ces temps peuvent être réduits en fonction
des débits de la Reyssouse qui, comme nous le montrent les données du3
S.R.A.E., peuvent atteindre 2 ou 3 m /seconde â cette période de l'année,
10.12 - Etrez (Extrait_d¿une_note_GDF)
Trois possibilités d'admission de la saumure d'exhaure
dans les installations d'Etrez ont été recensées.
NB Les coûts figurant dans cette note s'entendent hors taxes et aux
conditions de Janvier 1979 - Ils sont révisables -
10.121 - Admission_dans_le_saumoduc_Etrez3Poligny__ --- - - - 2 ~
â l'aval des cavités en lessivage, jusqu'à concurrence de 30 m /h -
La réception de cette saumure serait à
combiner avec la réception de la saumure en provenance de l'exploitation
S. N.E. A. de VIRIAT -
Le délai à prévoir pour l'évacuation complète3
du volume produit (12.000 m ) est de 2 à 3 mois -
La facturation par le GAZ de FRANCE s'effec¬
tuerait dans les mêmes conditions que pour la saumure en provenance de
l'exploitation S. N.E. A. de VIRIAT :
^3 3- un coût au m de saumure : 3,34 F/ m
- des frais mensuels d'exploitation à partageravec S. N.E. A., soit, pour la part "forage degéothermie" = 6.320 F/mois -
La dépense totale à prévoir est donc, pour
cette solution, de l'ordre de 50.000 à 60.000 F pour un délai d'évactiation
de 2 à 3 mois .
- 28 -
10.122 - Admiss^on_dans_le_circuit_d'eau_douce , en amont
lÊ^_E°I?EfS_aÊ_iê5^iyâ;Sê » jusqu'à concurrence également de 30 m /h, de
façon à maintenir le titre en chlorure de sodium de l'eau circulant dans
les pompes, inférieur au seuil admissible de 10 g/l. Cette solution
n'apporte pas d'avantages par rapport à la précédente. Elle ne conporte que
des inconvénients, notamment en ce qui concerne la corrosion des pompes.
El le_ne_sera_2as_re tenue .
10.123 - IiîJection_directe dans un Eyi.í£_^E_£fYÍ£É_eí}
lêS^i^êêÊ» â_l'SY.§i_a^_i^_E°2EÊli^ » ^ l'aide d'une installation de pompage
autonome installée sur la plateforme. Le bourbier de lessivage (capacité3 ....
200 à 250 m ) disponible sur chaque plateforme pourrait être utilisé comme
bassin tanpon de déchargement et de reprise de la saumure d'exhaure.
Les moyens à mettre en oeuvre sont les
suivants :
- pompe avec moteur électrique permettant
l'injection du débit de saumure d'exhaure sous 80 â 100 bars
- tDontage de ce groupe moto-pompe sur socle
mobile
- alimentation électrique -
L'investissement correspondant est de l'ordre3
¿ê_300_00û_à_4OO_^00p_F pour un débit d'injection de_20_à_30_m_/h -
Par ailleurs, une réfection de la plateforme
en fin d'opération est à prévoir, suite à la circulation de 600 à 700
camions-citernes sur ladite plateforme. La dépense correspondante serait
environ iQ0_^000_F -
Enfin, le fonctionnement (personnel, énergie)
de cette installation autonome occasionnera une dépense qui a été estimée
du même ordre de grandeur que les frais mensuels d'exploitation mentionnés
plus haut, à savoir 6_j^320_F/mois -
La dépense totale à prévoir est de l'ordre
iê_ff20^000_F_à_520_i000_F -
- 28 -
10.122 - Admiss^on_dans_le_circuit_d'eau_douce , en amont
lÊ^_E°I?EfS_aÊ_iê5^iyâ;Sê » jusqu'à concurrence également de 30 m /h, de
façon à maintenir le titre en chlorure de sodium de l'eau circulant dans
les pompes, inférieur au seuil admissible de 10 g/l. Cette solution
n'apporte pas d'avantages par rapport à la précédente. Elle ne conporte que
des inconvénients, notamment en ce qui concerne la corrosion des pompes.
El le_ne_sera_2as_re tenue .
10.123 - IiîJection_directe dans un Eyi.í£_^E_£fYÍ£É_eí}
lêS^i^êêÊ» â_l'SY.§i_a^_i^_E°2EÊli^ » ^ l'aide d'une installation de pompage
autonome installée sur la plateforme. Le bourbier de lessivage (capacité3 ....
200 à 250 m ) disponible sur chaque plateforme pourrait être utilisé comme
bassin tanpon de déchargement et de reprise de la saumure d'exhaure.
Les moyens à mettre en oeuvre sont les
suivants :
- pompe avec moteur électrique permettant
l'injection du débit de saumure d'exhaure sous 80 â 100 bars
- tDontage de ce groupe moto-pompe sur socle
mobile
- alimentation électrique -
L'investissement correspondant est de l'ordre3
¿ê_300_00û_à_4OO_^00p_F pour un débit d'injection de_20_à_30_m_/h -
Par ailleurs, une réfection de la plateforme
en fin d'opération est à prévoir, suite à la circulation de 600 à 700
camions-citernes sur ladite plateforme. La dépense correspondante serait
environ iQ0_^000_F -
Enfin, le fonctionnement (personnel, énergie)
de cette installation autonome occasionnera une dépense qui a été estimée
du même ordre de grandeur que les frais mensuels d'exploitation mentionnés
plus haut, à savoir 6_j^320_F/mois -
La dépense totale à prévoir est de l'ordre
iê_ff20^000_F_à_520_i000_F -
- 29 -
CONCLUSION
Si les installations de lessivage du G.D.F.
d'Etrez devaient être choisies comme exutoire pour la saumure d'exhaure
du puits de géothermie de BOURG, la solution la plus économique est
l'admission de cette sauraure dans le saumoduc Etrez-Poligny, jusqu'à3
concurrence de 30 m /h - De plus, cette solution a l'avantage de ne pas
nécessiter de modifications par rapport aux installations déjà existantes
(ou en cours de réalisation) de reprise de la saumure en provenance de
l'exploitation S. N.E. A. de VIRIAT;
A tous ces frais, il convient d'ajouter ceux
afférents à l'acheminement des eaux entre le chantier et Etrez (saumoduc
ou ci te mage) .
10.2 - ESTIMATION DU COUT
3Les calculs ont été effectués pour un volume de 12.000 m -
{ Saumoduc = 4.000.000 = > 300 F le m3 environAIN }
{ citemage = 400.000 = 40 F le m3 environ.
{ saum.oduc = 2.000.000 = > 150 F le m3ETREZ }
{ citernage = 450.000 = 36 F le m3 environ.
REYSSOySE_ pompage = 60.000 {surveillance de la } 108.000 F = 9 F le m3 environ,qualité du rejet 48.000 {
Nous constatons que de ces cinq solutions, la plus économique
est le rejet en Reyssouse, ceci compte-tenu de sa proximité immédiate
(100 ra environ) et des moyens très faibles à mettre en oeuvre.
Viennent ensuite les solutions citernages vers la rivière
d'Ain et vers Etrez ''4 à 5 fois plus chères que la Reyssouse).
Les solutions saumoduc ne sont pas envisageables du fait que le3
volume à faire circuler n'est que de 12.000 m -
- 29 -
CONCLUSION
Si les installations de lessivage du G.D.F.
d'Etrez devaient être choisies comme exutoire pour la saumure d'exhaure
du puits de géothermie de BOURG, la solution la plus économique est
l'admission de cette sauraure dans le saumoduc Etrez-Poligny, jusqu'à3
concurrence de 30 m /h - De plus, cette solution a l'avantage de ne pas
nécessiter de modifications par rapport aux installations déjà existantes
(ou en cours de réalisation) de reprise de la saumure en provenance de
l'exploitation S. N.E. A. de VIRIAT;
A tous ces frais, il convient d'ajouter ceux
afférents à l'acheminement des eaux entre le chantier et Etrez (saumoduc
ou ci te mage) .
10.2 - ESTIMATION DU COUT
3Les calculs ont été effectués pour un volume de 12.000 m -
{ Saumoduc = 4.000.000 = > 300 F le m3 environAIN }
{ citemage = 400.000 = 40 F le m3 environ.
{ saum.oduc = 2.000.000 = > 150 F le m3ETREZ }
{ citernage = 450.000 = 36 F le m3 environ.
REYSSOySE_ pompage = 60.000 {surveillance de la } 108.000 F = 9 F le m3 environ,qualité du rejet 48.000 {
Nous constatons que de ces cinq solutions, la plus économique
est le rejet en Reyssouse, ceci compte-tenu de sa proximité immédiate
(100 ra environ) et des moyens très faibles à mettre en oeuvre.
Viennent ensuite les solutions citernages vers la rivière
d'Ain et vers Etrez ''4 à 5 fois plus chères que la Reyssouse).
Les solutions saumoduc ne sont pas envisageables du fait que le3
volume à faire circuler n'est que de 12.000 m -
- 30 -
10.3 - PLANNING (pour rejet en Reyssouse)
- demande d'autorisation préfectoralremise du dossier
- consultation des entreprises
- passation de commande
- réalisation
1er Avril 1980
1er Janvier 1981
15 Février 1981
let au 31 Mars 1981
11 - REMISE EN ETAT DES LIEUX
Lorsque l'enprise générale des travaux aura été rendue libre de
toutes contraintes (matériel, boues de forage, eaux de ponpage), on procé¬
dera à une remise en état qui consistera à :
- reboucher les bourbiers
- niveler le terrain
- reboucher le bassin de stockage des eaux de pompage -
Pour ce dernier poste, si l'usine d'incinération souhaite utiliser
ce bassin pour le stockage de ses déchets, la dépense de remise en état
pourrait être réduite.
11.1- ESTIMATION DU COUT
-rebouchage bourbiers
- nivellement des terrains
- rebouchage bassin
100.000 F environ
11.2 - PLANNING
consultation des entreprises
passation des commandes
réalisation
lear Janvier 1981
20 Février 1981
10 au 20 Mars 1981
- 30 -
10.3 - PLANNING (pour rejet en Reyssouse)
- demande d'autorisation préfectoralremise du dossier
- consultation des entreprises
- passation de commande
- réalisation
1er Avril 1980
1er Janvier 1981
15 Février 1981
let au 31 Mars 1981
11 - REMISE EN ETAT DES LIEUX
Lorsque l'enprise générale des travaux aura été rendue libre de
toutes contraintes (matériel, boues de forage, eaux de ponpage), on procé¬
dera à une remise en état qui consistera à :
- reboucher les bourbiers
- niveler le terrain
- reboucher le bassin de stockage des eaux de pompage -
Pour ce dernier poste, si l'usine d'incinération souhaite utiliser
ce bassin pour le stockage de ses déchets, la dépense de remise en état
pourrait être réduite.
11.1- ESTIMATION DU COUT
-rebouchage bourbiers
- nivellement des terrains
- rebouchage bassin
100.000 F environ
11.2 - PLANNING
consultation des entreprises
passation des commandes
réalisation
lear Janvier 1981
20 Février 1981
10 au 20 Mars 1981
- 31 -
12 - CONCLUSIONS
Les différentes opérations successives sont définies
et présentées suivant l'ordre chronologique prévisible ; leurs
coûts sont évalués .
Le calendrier de réalisation, concernant aussi bien
les formalités préparatoires que les opérations proprement dites
de chantier, est visualisé en un tableau synoptique -fig. 12-
regroupant de façon condensée l'ensemble de ce programme chiffré,
- 31 -
12 - CONCLUSIONS
Les différentes opérations successives sont définies
et présentées suivant l'ordre chronologique prévisible ; leurs
coûts sont évalués .
Le calendrier de réalisation, concernant aussi bien
les formalités préparatoires que les opérations proprement dites
de chantier, est visualisé en un tableau synoptique -fig. 12-
regroupant de façon condensée l'ensemble de ce programme chiffré,
GEOTHERMIE BOURG- EN-BRESSE
- 32-FIG. 12
TABLEAU RECAPITULATIF
COUT
3 0 0 C C
3 0 0 0 0
2 0000
1500 0
-V 0 0 O 0 0
2 3 0000
600 00
1 '.5000
2 200 00
2 500 0 0
9 500 00
A2 500 00
3 000 O
2 1 6O0O
1 2 OO 00
2 OOOO
1 OOOOO
1 2 0000
2 5000
3 3 00 00
2 2 00 00
1 0 SOOO
1 OOOOO
2 500 00
10 00 00
5 000 0
Aasooo ( -
^ A 50 oo
1 0 00 oo
A OOOO
NETTOYAGE PLATEFORME(arasirnzni horizontal - rec géol )
ABRI CHANTIER EAU - ELECTRICITE -TELEPHONE
ESSAIS PENETROMETRIQUES (Elude fordalionl
PLATEFORME
BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
CLOTURE DU CHANTIER
CIMENTATION . CIMENT
BOUE » TECHNICIEN
OUTILS DE FORAGE
TUBAGES . EQUIPEMENTS
MISE EN PLACE. FORAGE-ESSAIS -REPLI
TRANSPORTS DIVERS
FUEL
CAROTTAGE
ACIDIFICATION
TETE DE PUITS
LOCATION DE MATERIEL AIR LIFT( Tubing - compresseur, booster )
COUPE TUBE
DIAGRAPHIES
EVACUATION DES BOUES DE FORAGE
REJET DES EAUX DE POMPAGE
REMISE EN ETAT DES LIEUX
POMPE D'EXHAURE
LOCAL POMPE
CLOTURE FirJALE TETE DE PUITS
ETUDE D'IMPACT . DECLARATION D'OUVRAGE
Avant projet détaillé A. P.O
Dossier consultations entreprises DCEAssistance marchés travaux AMT
DOSSIER AUTORISATION REJET EAUX DE POMR
CONTROLE GENERAL TRAVAUX
INTERPRETATIONS DES RESULTATS
CONCLUSIONS
MARS
y yyy j'i.r .-»/< V
(V
MARS
AVRIL
(
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l/AV-AN'.VV. A».'.'
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SEPTEMBRE
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OCTOBRE
TERi^ASScMENT
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1960
1 L
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SEPTEMBRE
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NOVEMBRE
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MISE.^k i-fj Vxyxyy-" PLACF.'
iy :
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DECEMBRE JANVIER
» IMPERMEABILISAIION
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OCTOBRE
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FEVRIER
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MARS AVRIL MAl
USE IXSSIER DE CONSULTATION.
n rtii,/ ERTURE APPELS D'OFFRES.
A PAS SATION OES CONTRATS COMMANDES
ouït . SOCIETE DE SERVICE SUR
LE SITE.
yxxxyyxxxxxvi ixxyxxxvx///
1
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DECEMBRE
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MARS
1981
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GEOTHERMIE BOURG- EN-BRESSE
- 32-FIG. 12
TABLEAU RECAPITULATIF
COUT
3 0 0 C C
3 0 0 0 0
2 0000
1500 0
-V 0 0 O 0 0
2 3 0000
600 00
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2 200 00
2 500 0 0
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NETTOYAGE PLATEFORME(arasirnzni horizontal - rec géol )
ABRI CHANTIER EAU - ELECTRICITE -TELEPHONE
ESSAIS PENETROMETRIQUES (Elude fordalionl
PLATEFORME
BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
CLOTURE DU CHANTIER
CIMENTATION . CIMENT
BOUE » TECHNICIEN
OUTILS DE FORAGE
TUBAGES . EQUIPEMENTS
MISE EN PLACE. FORAGE-ESSAIS -REPLI
TRANSPORTS DIVERS
FUEL
CAROTTAGE
ACIDIFICATION
TETE DE PUITS
LOCATION DE MATERIEL AIR LIFT( Tubing - compresseur, booster )
COUPE TUBE
DIAGRAPHIES
EVACUATION DES BOUES DE FORAGE
REJET DES EAUX DE POMPAGE
REMISE EN ETAT DES LIEUX
POMPE D'EXHAURE
LOCAL POMPE
CLOTURE FirJALE TETE DE PUITS
ETUDE D'IMPACT . DECLARATION D'OUVRAGE
Avant projet détaillé A. P.O
Dossier consultations entreprises DCEAssistance marchés travaux AMT
DOSSIER AUTORISATION REJET EAUX DE POMR
CONTROLE GENERAL TRAVAUX
INTERPRETATIONS DES RESULTATS
CONCLUSIONS
MARS
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MARS
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ouït . SOCIETE DE SERVICE SUR
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GEOTHERMIE BOURG - EN-BRESSE
FIG. 12
COUT
3 00 CO
3 0000
20000
1 5O00
OOOOOO
2 3 OOOO
SOOOO
1 4 5000
2 2 0 0 0 0
2 50000
9 50000
A2 SOOOO
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2 1 6000
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¡.il 5000
1 0 OOOO
4 OOOO
NETTOYAGE PLATEFORME(arasement horizontal - rec géol )
ABRI CHANTIER EAU - ELECTRICITE -TELEPHONE
ESSAIS PENETROMETRIQUES (Etude fondation)
PLATEFORME
BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
CLOTURE DU CHANTIER
CIMENTATION CIMENT
BOUE . TECHNICIEN
OUTILS DE FORAGE
TUBAGES . EQUIPEMENTS
MISE EN PLACE -FORAGE-ESSAIS -REPLI
TRANSPORTS DIVERS
FUEL
CAROTTAGE
ACIDIFICATION
TETE DE PUITS
LOCATION DE MATERIEL AlH LIFT( Tubing . compresseur, booster )
COUPE TUBE
DIAGRAPHIES
EVACUATION DES BOUES DE FORAGE
REJET DES EAUX DE POMPAGE
REMISE EN ETAT DES LIEUX
POMPE D'EXHAURE
LOCAL POMPE
CLOTURE FINALE TETE DE PUITS
ETUDE D'IMPACT . DECLARATION D'OUVRAGE
Avant projet détaillé APD
Dossier consultations entreprises DCEAssistance marchés travaux AMT
DOSSIER AUTORISATION REJET EAUX DE POMR
CONTROLE GENERAL TRAVAUX
INTERPRETATIONS DES RESULTATS
CONCLUSIONS
MARS
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NETTOYAGE PLATEFORME(arasement horizontal - rec géol )
ABRI CHANTIER EAU - ELECTRICITE -TELEPHONE
ESSAIS PENETROMETRIQUES (Etude fondation)
PLATEFORME
BASSIN DE STOCKAGE DES EAUX DE POMPAGE
CLOTURE DU CHANTIER
CIMENTATION CIMENT
BOUE . TECHNICIEN
OUTILS DE FORAGE
TUBAGES . EQUIPEMENTS
MISE EN PLACE -FORAGE-ESSAIS -REPLI
TRANSPORTS DIVERS
FUEL
CAROTTAGE
ACIDIFICATION
TETE DE PUITS
LOCATION DE MATERIEL AlH LIFT( Tubing . compresseur, booster )
COUPE TUBE
DIAGRAPHIES
EVACUATION DES BOUES DE FORAGE
REJET DES EAUX DE POMPAGE
REMISE EN ETAT DES LIEUX
POMPE D'EXHAURE
LOCAL POMPE
CLOTURE FINALE TETE DE PUITS
ETUDE D'IMPACT . DECLARATION D'OUVRAGE
Avant projet détaillé APD
Dossier consultations entreprises DCEAssistance marchés travaux AMT
DOSSIER AUTORISATION REJET EAUX DE POMR
CONTROLE GENERAL TRAVAUX
INTERPRETATIONS DES RESULTATS
CONCLUSIONS
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